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 THE JUDGEMENT DAY AND THE DARK FATE TIBÈRE IN GENISYS

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yanis la chouette




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MessageSujet: THE JUDGEMENT DAY AND THE DARK FATE TIBÈRE IN GENISYS   THE JUDGEMENT DAY AND THE DARK FATE TIBÈRE IN GENISYS EmptyVen 27 Jan à 1:36

THE DARK FATE OU TIBÈRE !

Cette fonction entrée en existence autour de 275 av. J.-C. était, à l’origine, honorifique car, il s’agissait du plus ancien des ex-magistrats présents au Sénat :
le « princeps senatus » (traduit du latin : « prince du Sénat ») est le premier membre par préséance du Sénat romain.

Sous la République romaine, le princeps senatus n’était pas nommé à vie, mais sélectionné par chaque nouveau tandem de censeurs, c’est-à-dire tous les 5 ans et pouvait toutefois être confirmé pour une période supplémentaire de 5 ans. Sélectionné parmi les sénateurs patriciens jouissant du rang consulaire, généralement le plus ancien des censeurs, le candidat devait être un patricien respecté de ses collègues sénateurs au passé politique irréprochable. Cette dignité qui conférait un grand prestige et une autorité morale à celui qui en disposait : le privilège de parler le premier au sénat lors des délibérations dont il disposait lui permettait de donner le ton du débat et son avis influait généralement celui des sénateurs qui parlaient après lui et son nom était, à ce titre, inscrit en tête de l’album sénatorial.

Vers la fin de la République et durant le Principat, cette fonction a augmenté en héritant des prérogatives des magistrats présidents et des pouvoirs supplémentaires, tels que : l’invocation et l’ajournement du Sénat ; la décision de son ordre du jour ; la décision du lieu de la session ; l’imposition de l’ordre et des autres règles de la session ; la réunion, au nom du sénat, avec les ambassades des pays étrangers ; la rédaction, au nom du Sénat, des lettres et des dépêches.

On estime que les réformes constitutionnelles de Lucius Cornelius Sylla ont modifié le statut et la fonction de princeps senatus en 80 av. J.-C. Bien que le terme soit demeuré pour refléter le sénateur dont le nom figurait en le premier dans le registre du Sénat délivré par les censeurs, les prérogatives de sa fonction furent limitées. En particulier, l’honneur de parler en premier sur un sujet débattu au Sénat, signe de leur auctoritas, leur fut retirée pour être transférée au consul désigné !

Après le renversement de la république, c’est l’empereur romain qui fut le princeps senatus. Une fois parvenu au pouvoir, Octave a pris le titre de princeps senatus en 28 et reçut celui d’Auguste, l’année suivante. Ses successeurs auront à leur tour le titre de princeps senatus. D’autres occupèrent toutefois cette fonction durant la crise du iiie siècle. Le futur empereur Valérien l’occupa en 238, durant le règne de Maximin le Thrace et de Gordien Ier.

-214 – Marcus Fabius Buteo
-209 – Quintus Fabius Maximus Verrucosus
-199 – Publius Cornelius Scipio Africanus
-189 – Publius Cornelius Scipio Africanus pour la troisième fois
-184 – Lucius Valerius Flaccus
-179 – Marcus Aemilius Lepidus (-187)
-147 – Publius Cornelius Scipio Nasica
-136 – Appius Claudius Pulcher
-131 – Lucius Cornelius Lentulus Lupus
-125 – Publius Cornelius Lentulus
-115 – Marcus Aemilius Scaurus
-86 – Lucius Valerius Flaccus
-28 – Auguste
68 - Galba
98 - Trajan

Tibère (latin : Tiberius Cæsar Divi Augusti Filius Augustus), né à Rome le 16 novembre 42 av. J.-C. et mort à Misène le 16 mars 37 ap. J.-C., est le deuxième empereur romain de 14 à 37. Il appartient à la dynastie julio-claudienne.

C'est un descendant de la gens Claudia et il porte à la naissance le nom de Tiberius Claudius Nero, comme son père. Durant sa jeunesse, Tibère se distingue par son talent militaire en conduisant avec succès de nombreuses campagnes le long de la frontière septentrionale de l'Empire et en Illyrie, souvent aux côtés de son frère Drusus I, qui meurt en Germanie.

Après une période d'exil volontaire dans l'île de Rhodes, il retourne à Rome en 4 ap. J.-C. où il est adopté par Auguste et devient le dernier des successeurs potentiels de l'empereur, se nommant dorénavant Tiberius Iulius Cæsar. Il mène alors d'autres expéditions en Illyrie et en Germanie afin de remédier aux conséquences de la bataille de Teutobourg.

À la mort de son père adoptif, le 19 août 14, il obtient le nom de Tiberius Iulius Cæsar Augustus et il peut lui succéder officiellement dans la fonction de princeps senatus, car il est depuis 12 ans associé au gouvernement de l'Empire. Il détient aussi l'imperium proconsulaire et la puissance tribunitienne, les deux pouvoirs majeurs des empereurs du Principat. Il met en place d'importantes réformes dans les domaines économiques et politiques. Il arrête la politique d'expansion militaire, se limitant à sécuriser les frontières grâce à l'action de son neveu Germanicus.

Après la mort de ce dernier et de celle de son fils Drusus II, Tibère favorise l'ascension du préfet du prétoire Séjan. Il s'éloigne de Rome et se retire sur l'île de Capri. Lorsque le préfet essaie de s'emparer du pouvoir, Tibère le fait destituer et assassiner. L'empereur ne retourne plus dans la capitale, où il est haï, jusqu'à sa mort en 37.

Caligula, fils de Germanicus et d'Agrippine l'Aînée, lui succède.

Tibère a été durement critiqué par les historiens antiques tels que Tacite et Suétone, mais sa personnalité a été réévaluée par les historiens modernes, qui reconnaissent en lui un politicien habile et prudent mais, il est étrange d'avoir une telle divination pour un tel personnage :

Après la séance du Sénat du 17 septembre 14, Tibère devient le successeur d'Auguste à la tête de l'État romain, regroupant la puissance tribunitienne, l’imperium proconsulare maius et d'autres pouvoirs dont bénéficiait Auguste, et prenant le titre de princeps. Tibère reste empereur pendant plus de vingt ans, jusqu'à sa mort en 37. Son premier acte est de ratifier la divinisation de son père adoptif, Auguste (Divus Augustus), comme cela fut fait précédemment pour Jules César, en confirmant aussi le legs aux soldats : Dès le début de son principat, Tibère se trouve devoir vivre avec l'important prestige que Germanicus, le fils de son frère Drusus qu'il a adopté sur l'ordre d'Auguste, acquiert auprès de tout le peuple de Romea. Ce prestige provient des campagnes sur le front septentrional que Germanicus a menées à leurs termes. Ceci lui a valu l'estime de ses collaborateurs et des légionnaires, réussissant à récupérer deux des trois « aigles légionnaires » perdues lors de la bataille de Teutobourg45. Sa popularité est telle qu'il aurait pu prendre le pouvoir en chassant son père adoptif dont l'accession au principat s'est accompagnée de la mort de tous les autres parents qu'Auguste avait indiqués comme héritiersa. Le ressentimenta conduit Tibère à donner à son fils adoptif une mission particulière en Orient de manière à l'éloigner de Rome. Le Sénat décide de donner au jeune homme l’imperium proconsulare maius sur toutes les provinces orientales46. Tibère, cependant, n'a aucune confiance en Germanicus, qui en Orient, se serait trouvé sans aucun contrôle et exposé à l'influence de son entreprenante femme Agrippine l'Aînée. Il décide donc de placer à ses côtés un homme de confiance47 : le choix de Tibère se porte sur Gnæus Calpurnius Piso qui est un homme dur et inflexible et qui a été consul avec Tibère en 7 av. J.-C. Germanicus part en 18 pour l'Orient avec Piso qui est nommé gouverneur de la province de la Syrie. La succession n'est donc pas résolue, la rivalité entre son fils cadet Julius Cæsar Drusus et le fils aîné — juridiquement l'héritier — adopté Germanicus étant latente.

Tibère se trouve une fois de plus, à l'âge de 64 ans, sans héritier, parce que les jumeaux de Drusus, nés en 19, sont trop jeunes, et que l'un d'entre eux est décédé peu après son père. Il choisit de proposer comme successeur les jeunes fils de Germanicus qui ont été adoptés par Drusus et qu'il place sous la protection des sénateurs. Séjan a, alors, de plus en plus de pouvoir, de sorte qu'il espère devenir empereur après la mort de Tibère. Il commence une série de persécutions envers les enfants et la femme de Germanicus, Agrippinea, puis contre les amis de Germanicus et beaucoup d'entre eux sont contraints à l'exil ou choisissent le suicide, pour éviter une condamnation.

On ne trouvait point de forgeron dans tout le pays d'Israël; car les Philistins avaient dit: Empêchons les Hébreux de fabriquer des épées ou des lances.

Parmi les plus inoffensifs, citons son amour immodéré pour le vin qui conduisit, pendant ses débuts militaires, ses compagnons d’armes à modifier son nom : Tiberius Claudius Nero devint Biberius Caldius Mero. Biberius du verbe latin bibere, boire. Claude et Néron, ses autres noms transformés en caldius (chaud) et merum (vin blanc). En finale : l’ivrogne amateur de vin blanc chaud. Tout un programme... Plus tard, devenu empereur, il participa à une orgie de quarante-huit heures en compagnie de Pomponius Flaccus et Lucius Pison. C’était au moment où il travaillait à la réforme des mœurs... Aussitôt après ce mémorable banquet, il nomma le premier gouverneur de la Syrie, et le second, préfet de Rome. Dans les correspondances qu’il échangeait avec eux, il les appelait ses amis les plus chers et de toutes les heures. Dans sa villa de Capri, il avait installé des chambres garnies de bancs. Là, des groupes de jeunes filles et de garçons formaient entre eux des chaînes et forniquaient en sa présence dans l’espoir que ce spectacle ranime ses désirs. De jeunes garçons étaient entraînés dès leur plus jeune âge à jouer entre ses cuisses pendant qu’il était dans son bain. Il les appelait ses petits poissons. D’autres enfants non sevrés étaient habitués à téter ses organes génitaux. Son règne ne fut signalé par aucun grand monument, et il ne fit de largesses publiques que contraint et forcé, quand un peuple affamé réclamait du secours avec une insistance qui pouvait devenir dangereuse. Il n’accorda que très peu de congés aux vétérans de ses armées, comptant sur leur vieillesse et leur mort. Cette avarice le conduisit à la confiscation des biens dans les riches provinces de l’empire. Les habitants des Gaules, de l’Espagne, de la Syrie et de la Grèce furent mis à contribution forcée uniquement parce que ceux-ci disposaient d’une partie de leur fortune en argent comptant. Il ne visita jamais sa mère durant sa maladie, et quand elle mourut, il se fit attendre longtemps pour ses funérailles. Quand il daigna s’en préoccuper, le corps était infect et pourrissant quand il fut enfin brûlé. Il s’opposa à l’apothéose de sa mère sous le fallacieux prétexte que telles étaient ses dernières volontés. Il annula son testament et acheva la ruine de tous ceux qui l’avaient entourée, même ceux qu’elle avait chargés du soin de ses funérailles. Il ne manifesta aucune tendresse paternelle, ni envers son propre fils Drusus ni envers son fils adoptif Germanicus. Après la mort de Drusus, des envoyés de Troie lui apportèrent un peu trop tard à son goût leurs condoléances. Il se moqua d’eux en leur disant qu’il les plaignait beaucoup d’avoir perdu un aussi illustre citoyen qu’Hector (un des mythiques héros de la Guerre de Troie, qui eut lieu douze siècles avant l’époque de Tibère, et relatée par Homère au VIIIe siècle av. J.-C.). Il réserva un sort horrible à sa belle-fille Agrippine, qu’il exila dans l’île de Pandataria. Il la fit battre par un centurion, qui lui arracha un œil. Elle résolut de se laisser mourir de faim, mais il la fit nourrir de force. Elle s’obstina dans sa volonté et mourut finalement. Il fit également périr deux de ses petits-fils en les accusant de tout et n’importe quoi. Tous deux moururent également de faim : Néron dans l’île de Pontia et Drusus dans les souterrains du mont Palatin. À Capri, Tibère sombra dans la débauche la plus totale et fit construire une villa où il pourrait réaliser ses fantasmes les plus inavouables. Ils ont été largement décrits par l’historien romain Suétone, qui dans sa Vie des douze Césars, consacre de nombreuses pages aux vices de l’empereur. Ses crises de rage
Un jour, peu après son arrivée à Capri, un pêcheur l’aborda alors qu’il était seul. Son seul crime était d’avoir voulu offrir à l’empereur un rouget d’une taille extraordinaire. Effrayé, Tibère fit fouetter le visage du malheureux avec ce poisson. Ce dernier, en subissant sa peine, se félicita de ne pas lui avoir fait présent d’une grosse langouste, prise également. Tibère ordonna qu’on lui déchirât la face avec cette dernière. On montre encore aujourd’hui à Capri le lieu des exécutions : un rocher d’où l’on précipitait les hommes auxquels on avait préalablement fait endurer les tortures les plus sauvages. Des matelots les poursuivaient dans la mer et les frappaient avec des crocs ou des avirons jusqu’à ce qu’ils expirent et coulent. Ceux qui étaient appelés à comparaître devant les tribunaux se suicidaient dans leurs maisons pour éviter la torture et une mort ignominieuse, car les suppliciés étaient traînés à l’aide d’un croc et jetés aux Gémonies (un escalier au flanc du Capitole où l’on exposait les corps des suppliciés avant de les jeter dans le Tibre).

Juges 5:8
Il avait choisi de nouveaux dieux: Alors la guerre était aux portes; On ne voyait ni bouclier ni lance Chez quarante milliers en Israël.

Et le Sénat fût faible où plutôt les sénateurs furent ses donneurs de victimes de Rome jusqu'en Syrie et des Gaulle au delà de l'Afrika !

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes et de l'Homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD !
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MessageSujet: Re: THE JUDGEMENT DAY AND THE DARK FATE TIBÈRE IN GENISYS   THE JUDGEMENT DAY AND THE DARK FATE TIBÈRE IN GENISYS EmptyVen 27 Jan à 1:54

THE DARK ADOPTIVE !

Caligula (31 août 12 à Antium - 24 janvier 41 à Rome) (latin : Caius Julius Caesar Augustus Germanicus) est le troisième empereur romain. Il régna de 37 à 41, succédant à l'empereur Tibère. Selon les principales sources concernant son règne, principalement les récits du biographe latin Suétone et de l'historien grec Dion Cassius, il eut tout d'abord un début de règne prometteur, durant lequel il connut une grande popularité auprès du peuple romain. Cependant il devint peu à peu un empereur autocratique, délaissant et assassinant tous ceux qui avaient soutenu son ascension, tout en nourrissant une profonde haine pour le Sénat. Dans la lignée des travaux de l'historien allemand H. Willrich1, de nombreux historiens contemporains ont toutefois pris leurs distances vis-à-vis de ces témoignages. Caligula meurt à Rome en 41, assassiné par un groupe de prétoriens. Claude lui succède.

Ésaïe 54:16
Voici, j'ai créé l'ouvrier qui souffle le charbon au feu, Et qui fabrique une arme par son travail; Mais j'ai créé aussi le destructeur pour la briser.

La mort subite de Germanicus, envoyé en Orient, le suicide de Pison (19), firent accuser Tibère d'avoir fait empoisonner ce dernier. Le fait n'est pas probable.
L'ambition de son perfide ministre Séjan, qui, pour se faire associer à l'empire, fit assassiner Drusus à l'insu de Tibère (28), fut l'origine des crimes de cet empereur.
Il crut voir partout des complots, et frappa tout ce qui inspirait quelque souffle de l'antique liberté. Séjan, de son côté, exilait Agrippine, veuve de Germanicus, et faisait périr les fils de celui-ci : Néron et Drusua. Eclairé sur l'infamie de son favori, Tibère le fit arrêter, et la populace mit en pièces l'impitoyable ambitieux. Alors, Tibère se retira à Caprée, à l'âge de soixante-neuf ans (26), et y resta presque constamment jusqu'à sa mort. De là, il gouvernait Rome par la terreur, se livrant, dit-on, aux plus affreuses débauches. Bon administrateur, lettre, actif et intelligent, bon général, il garda l'empire prospère, mais fut dans les dernières années de sa vie un tyran avec le soutient de nombreux sénateurs !

Mais au bout des dix jours leurs visages parurent en meilleur état, et ils avaient plus d'embonpoint que tous les jeunes enfants qui mangeaient la portion de la viande Royale.

Vicieux, cruel, dépravé, souffrant d’une mégalomanie confinant à la folie, Caligula a laissé à la postérité l’image d’un monstre. Une vision largement due à la plume des historiens de l’Antiquité, qui en ont fait un modèle du tyran décadent à l'image de Tibère ?

Caligula se considérait comme l’égal des dieux. Ainsi, il lui sembla naturel de faire du temple de Castor et Pollux, sur le Forum de Rome, un prolongement de son propre palais, un lieu dans lequel il se faisait saluer par les passants ébahis au nom de Jupiter. Le perfide arrière-petit-fils d’Auguste régna sur l’Empire romain de 37 à 41 apr. J.-C. En un peu moins de quatre ans, il parvint à se faire haïr de tout un peuple. Sa fin tragique ne chagrina personne, pas même les membres de sa famille qu’il menaçait en permanence par des petites phrases vénéneuses telles que « Cette tête charmante tombera dès que je l’ordonnerai », rapportées par l’historien romain Suétone. Pourtant, Caligula n’aurait jamais dû parvenir à la pourpre. Une succession de meurtres et de malveillances au sein de sa propre famille l’a mené sur la plus haute marche du pouvoir. Quand on devient maître du monde à 24 ans sans y être réellement préparé et après avoir vécu une enfance traumatisante, comment ne pas sombrer dans la folie ?

Daniel 8:17,27
Il vint alors près du lieu où j'étais; et à son approche, je fus effrayé, et je tombai sur ma face. Il me dit: Sois attentif, fils de l'homme, car la vision concerne un temps qui sera la fin.…

Dans son testament, Tibère avait initialement assigné sa succession conjointement à son propre petit-fils Gemellus et à Caligula, mais ce dernier se fit seul reconnaître par le Sénat le 18 mars 37. Le nouvel empereur adopta d'abord Gemellus, avant de le faire exécuter en 37 ou 38 dans des circonstances qui demeurent mal élucidées.

« Lui succéda Caius, fils de Germanicus et d'Agrippine, que l'on nommait aussi Germanicus et Caligula. Tibère avait en fait laissé le pouvoir suprême à son petit-fils Gemellus ; mais Caius fit parvenir au Sénat les dispositions testamentaires par l'intermédiaire de Macron, les rendit caduques grâce à l'intervention des consuls et grâce à d'autres qu'il avait placés là à cet effet, invoquant la folie du testateur qui remettait les rênes à un enfant qui n'avait même pas encore le droit d'entrer dans la salle du Conseil. C'est ainsi que promptement, à cette époque, Caius lui enleva le pouvoir ; et plus tard, bien que l'ayant adopté, il le fit assassiner. »

— Dion Cassius, Histoire romaine, 59,1

Selon les Anciens, son règne aurait ensuite basculé dans la démesure. Caligula se montre inique pour le simple plaisir de faire sentir l’étendue de son autorité. Ce changement a parfois été mis sur le compte d'une grave maladie à l'automne, mais une analyse minutieuse montre qu'elle n'entraîne en réalité aucun changement politique significatif.

Selon les Anciens, il s'achemina dès lors, comme son grand-oncle Tibère (son prédécesseur), vers le despotisme, s'adonnant, selon certaines sources, à la débauche. On lui prête entre autres une longue liaison incestueuse avec sa sœur Drusilla. Certains historiens modernes ont pensé que cette pratique pourrait trouver sa source dans la volonté d'imiter les mariages consanguins égyptiens et témoignerait de l'influence du despotisme oriental. Le prince descendait d'Antoine, et l'on connaît la fascination qu'exerçait sur ce dernier la monarchie « à l'orientale ». Cette « hypothèse orientale » est toutefois fortement mise en doute par d'autres historiens, qui soulignent notamment que l'accusation d'inceste relève du lieu commun, fréquemment associé dans l'Antiquité à la figure du « mauvais empereur ».

Certains Modernes ont expliqué son comportement par la folie, une hypothèse défendue dès la fin du xixe siècle par le futur prix Nobel de la paix Ludwig Quidde. Dans Bubi ou l'histoire de Caligula, le Viennois Hanns Sachs, ami de Sigmund Freud, expliquait quant à lui les dérèglements que lui prêtent les Anciens par les traumatismes qui lui furent infligés dans l'enfance29. Nombre de psychiatres et de médecins se sont penchés sur son dossier, expliquant son comportement tantôt par l'épilepsie, tantôt par l'hyper-anxiété, l'hyperthyroïdie ou encore l'alcoolisme. Les historiens contemporains ont toutefois régulièrement souligné que ces diagnostics a posteriori n'avaient que peu de valeur, a fortiori si l'on considère que nombre des accusations portées contre Caligula paraissent sans réels fondements. En effet, le règne de Caligula n'est connu pour l'essentiel que par des sources véhiculant une tradition sénatoriale qui lui était profondément hostile; une tradition qui s'ingénie à brosser de lui le portrait du parfait tyran, tel qu'il est déjà dépeint par Platon dans La République, un despote à la fois mégalomane, cruel et débauché, incapable de contrôler ses désirs et ses pulsions.

Luc 22:24
Il s'éleva aussi parmi les apôtres une contestation: lequel d'entre eux devait être estimé le plus grand ?

Caligula exècre ces sénateurs qui n’ont rien fait pour sauver ses parents et ses frères. Par ailleurs, ils forment un obstacle à ses rêves d’absolutisme. Pour les humilier et les détruire, le jeune empereur est prêt à toutes les injustices, à toutes les folies. Il dégrade plusieurs familles aristocratiques. Ainsi, les descendants de Pompée se voient interdire l’usage du surnom « Grand », car personne ne saurait être plus grand que ­César. Passionné de jeux et de courses, ­Caligula est fou de son cheval Incitatus. Il lui fait construire une stalle de marbre, une mangeoire d’ivoire, lui fait confectionner un licou d’or et de pierreries, et des couvertures pourpres. Pour montrer que son cheval a plus de valeur que les sénateurs, il envisage de le faire consul, magistrature censée couronner la carrière sénatoriale. Cette provocation est perçue comme un nouvel acte de déraison pure, mais elle est surtout une manière de ridiculiser les sénateurs, de montrer que leur participation au gouvernement ne vaut guère plus que ce que pourrait faire un animal. Caligula envisage également de s’en prendre aux légions qui pourtant l’adorent. Lors de son unique voyage en Germanie, il veut faire décimer l’ancienne armée de Germanicus qui s’était mutinée à l’avènement de Tibère. Cette injure faite à l’autorité de son père devant ses yeux d’enfant continue à le hanter. Mais les légionnaires refusent d’être punis pour une faute commise vingt-cinq ans plus tôt et menacent de sortir le glaive. Caligula, terrorisé, revient sur sa décision. Il se venge en mesquines petites vexations sur les hommes du Prétoire, ces soldats d’élite qui veillent sur sa sécurité personnelle.

Mais ces vexations générales ne suffisent pas à Caligula. Il s’attaque à plusieurs sénateurs à titre personnel. Il commande à certains d’entre eux de rester debout à côté de lui pendant qu’il dîne, comme s’ils étaient de simples esclaves. D’autres sont démis de leurs fonctions pour des vétilles. Un questeur soupçonné de tremper dans un complot est flagellé à mort sous ses yeux. Plusieurs sénateurs reçoivent chez eux un sicaire envoyé par l’empereur sans raison apparente. Le lendemain, au Sénat, Caligula feint de s’étonner de leur absence. Frappait-il au hasard ou visait-il plus particulièrement tous ceux qu’il estimait, à tort ou à raison, avoir été impliqués dans les meurtres de ses proches ? Sa soif de vengeance et sa volonté de domination semblent si étroitement imbriquées que ses crimes peuvent autant être motivés par la haine que par une cruauté gratuite. Son sadisme atteint des combles de raffinement. Il va jusqu’à forcer des pères de famille à regarder l’exécution de leurs propres fils avant de les inviter à dîner et de se donner toutes les peines du monde pour les divertir, comme lui-même était obligé de se montrer agréable à la table de Tibère, à Capri, alors que ce dernier avait les mains rouges du sang de la moitié de ses proches.

Zacharie 4:1
L'ange qui parlait avec moi revint, et il me réveilla comme un homme que l'on réveille de son sommeil.

L'hostilité entre Caligula et le Sénat est patente à partir de 39, année qui voit l'empereur prononcer un violent discours contre les pères conscrits à la curie, rétablir la charge de maiestas et démettre, au début du mois de septembre 39, les consuls en exercice. Les raisons de cette hostilité demeurent toutefois difficiles à déterminer, mais elles pourraient témoigner d'une inflexion du principat sous le règne de Caligula, désireux de mettre fin à la fiction instaurée par Auguste d'un pouvoir partagé entre l'empereur et le Sénat.
C'est envers les Sénateurs qu'il se montre le plus violent. Il entend humilier cette élite qui prétend partager le pouvoir avec lui. En dépit de ses promesses de pardon, il s'en prend à tous ceux qui, de près ou de loin, avaient soutenu les exactions contre sa famille, puis multiplie les actes de cruauté envers les membres de cet ordre. Ce glissement vers des aspirations absolutistes semble notamment s'être manifestée dans le domaine religieux, avec un certain nombre de nouveautés tendant à renforcer l'exaltation divine du souverain et de sa famille. Les actes des frères arvales indiquent ainsi que son genius fut associé aux dévotions en l'honneur des divinités poliades de Rome ; mais la principale nouveauté fut toutefois la divinisation de sa sœur, Drusilla, après la mort de celle-ci le 10 juin 384. Sans doute ces mesures ont-elles alimenté les rumeurs véhiculées par Suétone et Dion Cassius prétendant que Caligula aurait songé être lui-même un dieu46. Pour donner corps à sa propre dimension divine, Caligula fait placer sa tête sur de nombreuses statues de dieux à travers tout l'Empire. Il siège lui-même dans le temple de Castor et Pollux pour se faire honorer par les dévots. Enfin, il consacre un sanctuaire à sa propre divinité, et constitue un collège sacerdotal pour célébrer sa personne. C'est sous son règne qu'eurent lieu les émeutes anti-juives d'Alexandrie (38-40), un épisode relaté par Philon d'Alexandrie dans Légation à Caius. Le jeune empereur n’épargne pas plus le peuple que les aristocrates. Il ne peut s’assurer de sa domination qu’en faisant souffrir les autres. Par un jour de forte chaleur, il fait replier le velum de l’amphithéâtre et interdit à quiconque de quitter les gradins. À une autre occasion, alors qu’il se remet d’une maladie, il apprend qu’un homme avait fait le vœu de mourir si l’empereur guérissait. Voyant que l’homme en question n’offre pas aux dieux ce qu’il a promis, il le force à parcourir toute la ville couronné de verveine et de bandelettes blanches, à l’instar des victimes sacrificielles, avant de le faire jeter du haut de la roche tarpéienne.

Actes 26:6
Et maintenant, je suis mis en jugement parce que j'espère l'accomplissement de la promesse que Dieu a faite à nos pères,

Les proches de Caligula ne bénéficient guère d’un meilleur traitement, surtout pas ceux qui pourraient éventuellement lui arracher la pourpre. Ainsi, il fait assassiner son cousin Ptolémée, prince de Maurétanie et descendant de Marc Antoine et de Cléopâtre, parce qu’il était apprécié du peuple. Personne ne trouve grâce aux yeux de Caligula, sauf sa sœur cadette Drusilla qu’il traite comme si elle était l’impératrice. En lui offrant les honneurs réservés d’ordinaire à une épouse, Caligula cherche encore à importer le modèle monarchique égyptien à Rome, celui d’une dynastie endogame qui se referme sur elle-même pour garder jalousement le pouvoir. Mais Drusilla meurt prématurément à 22 ans.
La cruauté et les vengeances sans discernement dont ­Caligula fait preuve témoigne de troubles qui relèvent assurément de la psychiatrie : perversion, mégalomanie, paranoïa. Sa jeunesse ponctuée de drames et de maltraitances, et son avènement à la tête de l’Empire ont accru ou induit ses troubles psychopathologiques. La disparition de Drusilla semble aggraver ses symptômes. Il décrète un deuil national avant de disparaître pendant plusieurs semaines à Syracuse. À son retour, il laisse libre cours à tous ses penchants malsains dont le jeu, le viol et la violence sous toutes ses formes. Dans cette atmosphère profondément délétère, plusieurs conjurations se trament, impliquant notamment son beau-frère et ses deux sœurs. Caligula sera finalement assassiné par ses deux préfets du Prétoire, Cassius Chéréa et Cornelius Sabinus, ses propres gardes du corps.

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compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 16h
En réponse à @AssembleeNat et @JLBorloo
NAGALÏÉW LA MOUETTE AUX YEUX VERTS ET LE SERVICE PUBLIC
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t954-nagaliew-la-mouette-aux-yeux-verts-et-le-service-public
AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD, ACCUEIL SCOLAIRE ET PÉRISCOLAIRE
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t974-amandine-nietzsche-rimbaud-accueil-scolaire-et-periscolaire
DANS LES PEUPLES ET L'INFINI : LA SILHOUETTE ET LE MÉDICAL
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t865-dans-les-peuples-et-l-infini-la-silhouette-et-le-medical
LES PEUPLES VERS L'INFINI !
TAY

COMPAGNON YANIS TIGNARD DANS LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1078-compagnon-yanis-tignard-dans-les-collectivites-territoriales
LE GOUVERNEMENT DANS L'ATTRAIT DU PORT D'AMSTERDAM
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1077-le-gouvernement-dans-l-attrait-du-port-d-amsterdam
LE CADRE HIÉRARCHIQUE ADMINISTRATIF ET LE SERVICE PUBLIC
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1076-le-cadre-hierarchique-administratif-et-le-service-public
LES PEUPLES VERS L'INFINI !
TAY

JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER, IPHIGÉNIE ET JÉRUSALEM
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t942-juge-de-la-republique-de-l-olivier-iphigenie-et-jerusalem
LE COMPAGNON YANIS TIGNARD DANS LES TRENTE CINQ HEURES
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t914-le-compagnon-yanis-tignard-dans-les-trente-cinq-heures
DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD, L’OCÉAN ET LE CORBEAU DE YAHVÉ
https://leclandesmouettes.1fr1.net/t1031-amandine-nietzsche-rimbaud-locean-et-le-corbeau-de-yahve
LES PEUPLES VERS L'INFINI.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 10s
En réponse à @RussianEmbassy @mfa_russia et 9 autres personnes
L'ALLIANCE EN LE MAUDIT NE PLEURE PAS LES INSTANTS CAR SACHANT QU'IL DONNERA UN PLAISIR À UNE VOLUPTÉ :
DANS SA HANTISE, L'AMOUR S'ENVOLE POUR DONNER LA JOUISSANCE À CELLE QUI RECHERCHE
LE PÉCHÉ ET LE FANTASME EN OUBLIANT L'IDÉALISME POUR TRANSFORMER SON SOUFFLE EN UNE ÂME.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 26 min
En réponse à @IsraeliPM @narendramodi et @PMOIndia
LE SOUFFLE DES ACQUIS RÉSONNE DANS LE DÉSERT DE GOBI EN NOS MÉMOIRES SUR L'HISTOIRE TOUT EN OUBLIANT L'IDÉALISME POUR TRANSFORMER
SON SOUFFLE EN UNE ÂME : CE QUI SEMBLE LE CONTRAIRE EST UNE FORME TRÈS DOUCE DE TRANSPERCER CELLE QUI EST DANS LA JOUISSANCE DE L'INTELLIGENCE.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 25 min
En réponse à @NossTandia
LA NONCHALANCE PROVOQUE LE DÉTERMINÉ ET LE DESTIN AUQUEL LE TÉMOIGNAGE EST DANS LE DEVENIR OÙ L'ACTE OBÈSE L'INFINI EN UNE PULSION OÙ LA PASSION ROUGIT :
LE DEVENIR SILLONNE LES ROUTES OÙ LE MOUVEMENT PROVOQUE LA RÉALITÉ CAR LE TEMPS ENGENDRE LE MOMENT.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 21 min
En réponse à @humanitaire123
MASHA AMINI EN CE SOMMEIL, CHER INFINI, LE TEMPS INTERPELLE YAHVÉ OÙ LE TÉMOIGNAGE EST SON ÉVOLUTION !
LE TESTAMENT DEVIENT L'HÉRITAGE MAIS LE RESPECT S'ÉGOUTTE DANS L'ÉVANOUISSEMENT. JE DEMEURE DANS L'ESPÉRANCE OÙ
CELLE-CI INTERPELLE L'ESPRIT ET SES SOUPIRS : LA PERPÉTUELLE.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 19 min
En réponse à @WhiteHouse
COMPAGNONS !
J'ASSUME LE DÉCENTRALISME EN L'ASSEMBLÉE NATIONALE, LE SÉNAT, LE RÉGALIEN AINSI QU'AU GOUVERNEMENT :
NOTRE PUISSANCE ÉNERGÉTIQUE ET NOTRE POUVOIR D'ACHAT ?
DÉMOCRATES ET RÉPUBLICAINS DANS UN ODYSÉE LUNAIRE VERS LA VALEUREUSE ET INOUBLIABLE DAME ADRIENNE BOLLAND !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 19 min
En réponse à @MiddleEastEyeFr
HILARE DANS LE VENT ET FIÈRE DEVANT LE TOURBILLON, LA LÉOPARDE DES NEIGES ARTÉMIS OBSERVE TOUJOURS SANS PRESCRIRE LA SAIGNÉE !
PEUT IMPORTE LES ALTITUDES CAR LES NEIGES SONT EN L’ÉTERNEL DE SA VISION :
OBSERVER ET ENTENDRE SONT LE PROPRE DE L'INVISIBLE SUR L'INVINCIBLE ZEÚS.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 11 min
En réponse à @DefenceU
LES ÉLECTIONS SONT LA PAROLE DES ÉLECTRICES ET DES ÉLECTEURS !
LES TERRES, LA FOI ET L'ÂME EN LA JUSTICE DES PEUPLES CAR, LA FORCE AUX CITOYENNES ET LA COMMUNION AUX CITOYENS EN LES URNES DÉMOCRATIQUES :
LA LOGISTIQUE, LA PERTINENCE ET LA SÉCURITÉ DANS LE DROIT ET LIBERTÉS !
TAY

UNE ÉQUATION N'EST PAS UNE FORMULE ET LA FORMULE N'EST PAS UNE ÉQUATION !
L'ESSENCE EST LE DON DE LA DIVERSITÉ ET LE VENT EST ANTÉRIEUR À L'UNIVERS :
MON CHEMIN N'EST PAS DANS LE DÉNI ET J'AI SU OBSERVER CEUX QUI ONT LA HAINE DES PEUPLES À TRAVERS L'ENSEMBLE DES PEUPLES !
TAY

COMPAGNONS !
LA NATURE SAUVAGE N'EST JAMAIS SOUMISE AUX ASPECTS ET AUX PROTOCOLES CAR ELLE RESPECTE LA DÉONTOLOGIE, L'INDÉPENDANCE ET L'AUTONOMIE :
ELLE EST ORGANE ET VIVANT DES NATIONS UNIES ET DE L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE !
AU DELÀ DES NATIONS, IL Y A DES ENVIRONNEMENTS.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes et de l'Homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini
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