Les services d'urgences débordés. Autre possibilité dans les grandes villes, faire appel à SOS Médecins en composant le 3624 afin qu'un médecin se rende à votre domicile. Certaines communes disposent également de centre de soins non-programmés (CSNP), qui regroupent plusieurs professionnels de santé !!!
Grève des médecins : reportage dans la manif pour la consultation à 50 euros !
Déjà en grève, les médecins généralistes sont descendus dans les rues de Paris ce jeudi 5 janvier pour demander notamment une revalorisation à 50 euros de la consultation.
Grève: la colère monte chez les médecins généralistes !
Remember a day before today
A day when you were young
Free to play along with time
Evening never comes
Sing a song that can't be sung
Without the morning's kiss
Queen, you shall be it if you wish
Look for your king
Why can't we play today
Why can't we stay that way
Climb your favourite apple tree
Try to catch the sun
Hide from your little brother's gun
Dream yourself away
Why can't we reach the sun
Why can't we blow the years away
Blow away
Blow away
Remember
Remember
Source : Musixmatch
Paroliers : Rick Wright
DÉCRYPTAGE - Plusieurs milliers de praticiens libéraux ont manifesté jeudi dans les rues de Paris. Au-delà de la question de la rémunération, le malaise des médecins généralistes est profond.
SANTÉ - « Médecins méprisés, patients en danger ». Déjà en grève, les médecins libéraux étaient dans la rue ce jeudi 5 janvier à Paris avec pour revendication principale la revalorisation de la consultation à 50 euros. La manifestation, organisée par le jeune collectif « Médecins pour demain » avec le soutien de syndicats, a été suivie par plusieurs centaines de médecins (les organisateurs évoquent 4000), principalement des généralistes.
« Si on est là, c’est que l’exaspération est telle qu’on est obligés de sortir et d’abandonner nos cabinets », défend Christophe Rondeau, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Ce médecin généraliste venu d’Angers exerce depuis 30 ans et dit avoir vu le système de santé se détériorer. Il fustige particulièrement la part du travail administratif qui empiète trop sur le soin : « On est là pour soigner, pas pour remplir des papiers » déplore-t-il.
«Pour bien soigner,un médecin doit être heureux», lance le Dr Jérôme Marty, médecin généraliste en Haute-Garonne et médiatique patron du syndicat Union française pour une médecine libre (UFML). Née en 2012 du mouvement des «médecins pigeons», l’UFML soutient, avec d’autres (mais pas les syndicats majoritaires de la profession que sont la Confédération des syndicats médicaux français et MG France), le mouvement de grève lancé début décembre par le tout jeune collectif Médecins pour demain, né sur Facebook en septembre et qui revendique plus de 16.000 participants.
Leur revendication phare: une consultation de base chez le généraliste fixée à 50€, au lieu de 25€. «Les médecins travaillent en moyenne 55 heures par semaine et plus de 20% du temps de travail est hors consultation: administratif, gestion du cabinet», fustige le collectif, qui réclame un «véritable choc (…) pour favoriser l’installation conventionnée».
Certains médecins généralistes libéraux sont engagés dans un conflit social depuis début décembre et manifestent ce jeudi à Paris.
Ils proposent, entre autres, une augmentation du tarif de la consultation à 50 euros, au lieu de 25 euros.
Nous avons demandé à nos lectrices et nos lecteurs ce qu’ils en pensaient.
511. C’est le nombre de nos lectrices et lecteurs ayant répondu à notre appel à témoignages sur le prix de la consultation demandée par le collectif Médecins pour demain, qui passerait de 25 à 50 euros chez les « généralistes ». Créé en août et soutenu par certains syndicats, le collectif sera reçu ce jeudi par le ministre de la Santé, François Braun, pour engager la discussion sur la tarification des consultations, les conditions de travail des généralistes libéraux et la réorganisation du système de soins en général, alors que le mouvement de grève se poursuit.
Far, far, far away, way
People heard him say, say
I will find a way, way
There will come a day, day
Something will be done
Then at last, the mighty ship
Descending on a point of flame
Made contact with the human race
At Mildenhall
Now, now, now
Is the time, time, time
To be, be, be aware
Carter's father saw it there
And knew the road revealed to him
The living soul of Hereward the Wake
Oh, my, something in my eye, eye
Something in the sky, sky
Waiting there for me
The outer lock rolled slowly back
The service men were heard to sigh
For there revealed in glowing robes
Was Lucy in the sky
Oh, oh, did you ever know, know
Never ever will they
I can't say
Summoning his cosmic powers
And glowing slightly from his clothes
His psychic emanations flowed
Source : LyricFind
Paroliers : Roger Waters
Paroles de Let There Be More Light
Universal Music Publishing Group
Selon Médecins pour demain, la « consult » à 50 euros servirait à créer un « choc d’attractivité », afin d’attirer les jeunes praticiens vers la médecine de ville. Car, les généralistes se plaignent régulièrement de la charge administrative et financière d’une installation en libéral qui, selon eux, découragerait les plus jeunes à reprendre les cabinets. D’un autre côté, ce prix de 50 euros « serait relativement extravagant, ça voudrait dire une augmentation de chaque médecin généraliste de l’ordre de 100.000 euros », soulignait le directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), Thomas Fatôme, au micro de France Info lundi, tout en se disant favorable à une augmentation. Pour comparer, en 2017, la hausse du tarif avait été de deux euros.
« Ils sont médecins, pas manageurs »
Et nos lecteurs, eux aussi, se disent, en majorité, favorables à une augmentation. Comme Jean-Marie, pour qui « cela semble indispensable pour assurer une meilleure qualité des consultations ». Ils défendent ces médecins qui ont fait de longues études. « Neuf ans, au moins, pour former un médecin généraliste… Alors pourquoi le prix d’une consultation est-il à peu près le même chez un coiffeur ? », se demande Thomas. Une comparaison que l’on retrouve très très souvent dans les réponses de nos lecteurs. Pour justifier une hausse du prix, il y a la question du temps de travail : « Je travaille actuellement cinquante heures par semaine sans compter les gardes », confie Marion, une des généralistes qui a répondu à notre questionnaire.
Et, plus que le nombre d’heures travaillées, c’est la place toujours plus grande que prend « l’administratif ». « Ils ont besoin d’aide pour gérer leur cabinet, parce qu’ils sont médecins, pas manageurs, lance Aurélie, une lectrice. Ils ont besoin de secrétaires médicales pour qu’ils puissent passer plus de temps à s’occuper de leurs patients au lieu de gérer eux-mêmes les appels et les prises de rendez-vous. » Pour cela, les généralistes l’assurent, il faut augmenter le prix de la consultation pour pouvoir embaucher.
« Dix minutes de consultation, c’est honteux »
Alors plus de temps accordé au médical, une meilleure qualité de soin et une meilleure attractivité pour les jeunes médecins ? Certains de nos lecteurs ne sont pas convaincus. Pour Agnès, un doublement du prix de la consultation pourrait se faire, « à condition qu’il ne se cumule pas avec les dépassements d’honoraires pratiqués par un bon nombre de médecins ». Lilian, lui, pense que cette hausse ne pourrait avoir lieu que si « les généralistes prennent en compte la mutuelle, afin que l’on n’ait plus rien à avancer. »
Anne-Marie, elle, réclame dans ce cas, qu’ « une carte de zonage soit créée avec des zones surdotées, où il serait interdit [pour des médecins généralistes] de s’y installer ». Elle souhaiterait aussi qu’ils soient dans l’obligation d’assurer « des gardes la nuit et le week-end, afin d’obtenir une continuité des soins ». Et surtout, ce qui agace ou inquiète le plus souvent nos lecteurs, c’est le temps accordé au patient à chaque consultation. Ainsi, Isabelle serait d’accord pour une augmentation du prix de la consultation, « si celle-ci ne se fait pas au lance-pierre comme c’est le cas maintenant ». « Dix minutes, c’est honteux ! », s’exclame-t-elle.
Des généralistes déjà bien payés ?
Et puis, il y a celles et ceux qui ne sont pas d’accord du tout. « C’est indécent de demander ça dans la situation actuelle », tance Christian. Comme lui, beaucoup voient, dans cette hausse du prix de la consultation, un doublement du salaire des généralistes. Mais, selon Marion, la médecin généraliste, « sur 25 euros, environ 11 euros va dans notre poche, avant l’impôt sur le revenu. » Cette augmentation du prix de la consultation ne représenterait donc pas une hausse directe du salaire. Reste que le revenu moyen des généralistes s’élevait, en 2017, à 92.000 euros par an, avant impôts, selon la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees). En comparaison, le revenu moyen d’activité des non-salariés, tous secteurs confondus, est de 43.000 euros.
Le risque, selon Roz, l’un de nos lecteurs, c’est qu’« encore plus de personnes renoncent à se faire soigner ». Une crainte partagée par Alice, 25 ans : « Pensons aux étudiants pour qui cette somme représente plus d’un tiers de leur budget parfois et qui devront réfléchir entre manger correctement ou se soigner. »
Négociations « la semaine prochaine »
Pour quelques-uns de nos lecteurs, enfin, l’argent n’est pas le cœur du problème. Les conditions de formation, la répartition des actes médicaux entre les différentes professions soignantes (infirmières, infirmières de pratique avancées, kinésithérapeute…), la relation avec les urgences, sont ainsi des sujets récurrents dans les retours de nos lecteurs. La place primordiale de « référent » du médecin généraliste dans le parcours de soins et l’attachement parfois fort qui existe entre les patients et le praticien font que ce sujet de la hausse du prix de la consultation se retrouve à l’épicentre de nombreuses questions sur le système de soin en général.
Si le débat entre nos lecteurs s’est principalement borné à savoir si les généralistes « méritaient » ou non cette augmentation, la question du tarif des consultations intervient surtout dans un contexte épidémique quasi permanent depuis près de trois ans. Les négociations autour du tarif des actes médicaux, entre les syndicats de praticiens et l’Assurance maladie, qui ont fait chou blanc en novembre, devraient reprendre « dès le début de la semaine prochaine », selon Thomas Fatôme, le patron de la Cnam.
Les manifestants arguent que la revalorisation de la consultation à 50 euros leur permettrait notamment d’embaucher des secrétaires pour pouvoir consacrer plus de temps aux patients. Ils défendent cette mesure pour rendre la médecine de ville plus attractive.
La réponse de François Braun ne convainc pas
« Soyons raisonnables », avait anticipé François Braun. Mais s’il a fermé la porte aux 50 euros, le ministre de la Santé a redit ce jeudi que la consultation serait bien revalorisée dans le cadre de la renégociation en cours de la convention avec l’Assurance maladie. « Je suis prêt à augmenter cette consultation dès lors que les besoins de santé des Français sont remplis », a-t-il souligné, reprenant un principe de « droits et devoirs ».
« On fait déjà le maximum », rétorque Aurélie Prouvost. « Il faut nous donner les moyens de voir encore plus de patients » insiste la généraliste de Plumergat (Morbihan). Pour Emmanuelle Jolly, venue de Bordeaux, c’est l’épuisement et l’inquiétude qui dominent : « Le système de santé est en train de mourir » affirme-t-elle. Sa consœur Maxine Raimi ajoute : « Ce bras de fer, on ne l’a pas demandé. On a fait des propositions depuis des années qui n’ont pas été écoutées. »
Le mouvement de grève des médecins libéraux se poursuit, y compris dans la Nièvre. Le niveau de mobilisation devrait être variable selon les médecins, mais leur motivation est la même : le prix de la consultation est loin d’être le seul problème. Les médecins nivernais veulent surtout de meilleures conditions globales.
Le Dr David Taupenot, médecin à Clamecy, et représentant du syndicat MG, appelant à la grève, ne pense pas que le mouvement sera très suivi par ses adhérents, ce jeudi 5 janvier. Le principal mot d’ordre de Médecins pour demain étant le passage du prix de la consultation à 50 €. Or, selon lui, les médecins libéraux nivernais demandent surtout de meilleures conditions d’exercice de la profession.
Concernant les assistants médicaux, il regrette ainsi que le dispositif ne soit financé que sur trois ans (« ce n’est pas une solution pérenne ») et qu’ils remplacent les secrétaires médicales. Pour ce dispositif, les médecins libéraux souhaiteraient également une aide pour agrandir leurs locaux afin d’accueillir ces assistants. « Si nos étudiants ne viennent pas dans la Nièvre, c’est aussi parce qu’il n’y a pas de bonnes conditions », regrette le Dr Taupenot.
Ces 50 € de consultation n’ont pas pour but de doubler mon salaire, mais de me permettre d’installer des assistants médicaux dans un local, actuellement, je n’ai pas la place pour.
Le Dr Thierry Lemoine, président de l’ordre des médecins, a noté un mouvement de grève très suivi fin décembre, dont lui. Il ira d’ailleurs à Paris ce jeudi 5 janvier pour manifester avec une dizaine d’autres médecins. « Ce n’est pourtant pas dans notre ADN de faire grève. Mais ces 50 € de consultation n’ont pas pour but de doubler mon salaire, mais de me permettre d’installer des assistants médicaux dans un local, actuellement, je n’ai pas la place pour. Et un local, c'est 20.000 €. À Nevers, il y a eu quatre départs dernièrement, et ce n’est pas fini. Le nombre de médecins prêts à dévisser leur plaque... ça fait froid dans le dos. Depuis 20 ans que je suis installé, je n'ai jamais vu ça ».
« Si on n’a pas l’aide de ces assistants, ça va devenir dramatique. Je ne sais pas combien de patients vont se retrouver sans médecin traitant. Le gouvernement propose la solution des infirmières de pratique avancée. Cela peut fonctionner pour des spécialistes, mais pas pour des généralistes. Elles sont payées 50 € la consultation quand nous sommes payés 25. Et s'il y a un problème, c'est nous qui sommes responsables. C'est comme si une hôtesse de l'air était chargée de conduire un avion, et qu'en cas de crash, c'était la faute du pilote. Sachant que l'hôtesse est deux fois mieux payée que le pilote. Dans ces conditions, moi, je ne monte pas dans l'avion. On mettrait en danger la population ».
Quand son médecin traitant n’est pas disponible dans la journée, quelles sont les autres solutions dans la Nièvre ?
It's awfully considerate of you to think of me here
And I'm most obliged to you for making it clear
That I'm not here
And I never knew the moon could be so big
And I never knew the moon could be so blue
And I'm grateful that you threw away my old shoes
And brought me here instead dressed in red
And I'm wondering who could be writing this song
I don't care if the sun don't shine
And I don't care if nothing is mine
And I don't care if I'm nervous with you
I'll do my loving in the winter
And the sea isn't green
And I love the queen
And what exactly is a dream
And what exactly is a joke
Source : Musixmatch
Paroliers : Syd Barrett
Paroles de Jugband Blues
Westminster Music Ltd
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes et de l'Homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
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