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 LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ.

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yanis la chouette




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LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ. Empty
MessageSujet: LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ.   LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ. EmptyMar 3 Avr à 10:00

LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ.

SolarSystem and Beyond; Darkness Galaxy and Fluorence Light...

La Laurussia, continent des vieux grès rouges ou Euramérique, était un supercontinent qui s'est formé au Silurien à la suite de la collision de Laurentia, de Baltica et d'Avalonia (orogenèse calédonienne). Il comprenait les actuelles Amérique du Nord et Europe du Nord et de l'Est.

Après sa formation, la poussée du Gondwana au sud qui élève les montagnes Hercyniennes à la fin du Dévonien fracture la Laurussia le long de la chaîne calédonienne, et la partie est du continent glisse vers le nord dans un processus de faille coulissante. Ces failles sont aujourd'hui visibles en Écosse (le Great Glen, dans lequel se trouve le Loch Ness), ou encore à Terre-Neuve. Ce phénomène de glissement s'arrête au Carbonifère. La collision avec la Sibérie-Kazakhstania à l'Est (au Permien) parachève la formation de la Pangée.

Au Crétacé, la Laurussia, alors partie intégrante de la Laurasia, se fracture lors de l'ouverture de l'Atlantique, suivant plus ou moins le système de faille qui l'avait affaiblie au Dévonien.

La Laurussia tire son nom de « continent des vieux grès rouges » des grès de couleur rouge, dus a la forte présence d'oxyde de fer, dans les strates du Dévonien en Amérique du Nord et dans le nord de l'Europe, ce qui indique qu'une grande partie du continent était émergée.
Voir aussi

   Vieux grès rouges

Le Gondwana est un supercontinent formé à la toute fin du Néoprotérozoïque (– 600 millions d'années) et qui a commencé à se fracturer au Jurassique (– 160 millions d'années). On distingue le Gondwana du Paléozoïque (appelé aussi Protogondwana) et celui du Mésozoïque. Entre les deux, le Gondwana a fait partie du supercontinent Pangée.

Il a été nommé par Eduard Suess d'après le nom d'une région de l'Inde du nord, Gondwâna (du sanskrit gondavana, forêt des Gonds), où ont été décrites les séquences sédimentaires du Permien-Trias de cet ancien continent. Eduard Suess orthographie originellement ce terme Gondwána-Land dans son livre Le Visage de la Terre (das Antlitz der Erde), édité entre 1883 et 1901.

Protogondwana
Schémas de l'évolution paléogéographique au dévonien, silurien et ordovicien.

Lors de la fracturation de la Rodinia (environ −750 millions d'années), on distingue le Gondwana oriental (Afrique australe, Antarctique oriental, Australie, Inde, Madagascar, Arabie, Nouvelle-Guinée, Chine du Nord, Chine du Sud, Indochine et bassin du Tarim) et le Gondwana occidental (Amazonie, craton de Rio de Plata, Afrique occidentale, Floride, Avalonia et Europe du Sud). Ils entrent en collision il y a 600 millions d’années en prenant en tenaille le craton du Congo, causant l'orogenèse panafricaine.

Pendant la période suivante, de l'Ordovicien au Carbonifère, des terranes (fragments de continents) vont progressivement se détacher du Gondwana (qui se situe alors autour du pôle Sud) et dériver vers le nord : le terrane d'Avalonia s'en détache vers 490 Ma, suivi par les blocs armoricain et ibérique vers 430 Ma, puis les blocs chinois et indochinois vers 400 Ma.
Formation et dislocation de la Pangée

Au début du Carbonifère, le Protogondwana, qui a lui-même lentement dérivé vers le nord, amorce sa collision avec le supercontinent Laurussia, créant l'orogénèse hercynienne (voir hercynien) qui soulève les Appalaches et les Mauritanides : c'est l'assemblage de la Pangée, achevé au début du Permien (290 Ma).

Au sein de la Pangée, le Gondwana perd encore le terrane de Cimmeria, incluant des fragments de l'actuelle Turquie, Iran, Afghanistan et Tibet, qui dérive vers le nord.

La Pangée se fracture à la fin du Trias, approximativement là où elle s'était assemblée, ouvrant l'Océan Téthys entre le Gondwana et le supercontinent Laurasia. Dans ce processus, le Gondwana perd la Floride et la péninsule du Yucatan qui restent soudées à la Laurasia.
Morcellement du Gondwana
Carte de répartition de la faune et de la flore du Trias.

Le Gondwana se morcelle durant le Jurassique supérieur, il y a 160 millions d'années, lorsqu'un rift sépare l'Afrique de l'Inde. Il y a 125 millions d'années, l'Inde se détache entièrement, puis la Nouvelle-Zélande (80 millions d'années). Au début du Cénozoïque, le bloc Australien et la Nouvelle-Guinée se séparent graduellement en se dirigeant vers le nord tout en pivotant sur lui-même et ainsi reste connecté au Gondwana pour une longue période.[pas clair]

Il y a 45 millions d'années, l'Inde entre en collision avec l'Asie, forçant la croûte terrestre à se plisser et formant ainsi l'Himalaya. Dans le même temps, la partie sud de l'Australie (l'actuelle Tasmanie) se sépare de l'Antarctique permettant la création de courants océaniques entre eux, ce qui produit un climat plus froid et plus sec.

Il y a 15 millions d'années, la Nouvelle-Guinée entre en collision avec le sud de l'Asie et plus récemment l'Amérique du Sud s'est liée à l'Amérique du Nord.
Conséquences sur le climat mondial

D'un point de vue climatologique, la séparation de l'Amérique du Sud a eu un effet bien plus important. Avec l'ouverture du passage de Drake il y a 23 millions d'années, il n'y a plus de barrière pour l'échange des eaux froides de l'océan sud et des eaux tropicales. Un courant circumpolaire se met en place et l'Antarctique devient ce qu'il est de nos jours : un continent glacé contenant une grande partie des réserves d'eau douce du monde. La température de la mer a chuté de 10 °C et le climat mondial est devenu bien plus froid.
Articles connexes

Sur les autres projets Wikimedia :

   Gondwana, sur le Wiktionnaire

   Tectonique des plaques
   Alfred Wegener
   Échelle des temps géologiques

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Masses continentales de la Terre
Modèle à 4 continents
Projection orthographique de l'Amérique.
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Projection orthographique de l'Antarctique.
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Océanie
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Paléocontinents
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Évolution géologique future

   Pangée ultime Amasie Nouvelle Pangée

Continents imaginaires

   Atlantide Hyperborée Lémurie Kumari Kandam Méropide Mu Terra Australis

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gondwana#Protogondwana

Pink Floyd with Syd Barrett - Lucifer Sam...
https://www.youtube.com/watch?v=tLhepbmpsUI

Darkness, the polar opposite to brightness, is understood as a lack of illumination or an absence of visible light.

Humans are unable to distinguish color in conditions of either high brightness or darkness.[1] In conditions of insufficient light, perception is achromatic and ultimately, black.

The emotional response to darkness has generated metaphorical usages of the term in many cultures.

Complete darkness is when the sun is more than 18 degrees below the horizon.

Perception
Stare at the image for a minute, then look away. The image of Jesus in inverted color will appear.

The perception of darkness differs from the mere absence of light due to the effects of after images on perception. In perceiving, the eye is active, and the part of the retina that is unstimulated produces a complementary afterimage.[2]
Physics

In terms of physics, an object is said to be dark when it absorbs photons, causing it to appear dim compared to other objects. For example, matte black paint does not reflect much visible light and appears dark, whereas white paint reflects lots of light and appears bright.[3] For more information see color. An object may appear dark, but it may be bright at a frequency that humans cannot perceive.

A dark area has limited light sources, making things hard to see. Exposure to alternating light and darkness (night and day) has caused several evolutionary adaptations to darkness. When a vertebrate, like a human, enters a dark area, its pupils dilate, allowing more light to enter the eye and improving night vision. Also, the light detecting cells in the human eye (rods and cones) will regenerate more unbleached rhodopsin when adapting to darkness.

One scientific measure of darkness is the Bortle Dark-Sky Scale, which indicates the night sky's and stars' brightness at a particular location, and the observability of celestial objects at that location. (See also: Sky brightness)
Technical

The color of a point, on a standard 24-bit computer display, is defined by three RGB (red, green, blue) values, each ranging from 0-255. When the red, green, and blue components of a pixel are fully illuminated (255,255,255), the pixel appears white; when all three components are unilluminated (0,0,0), the pixel appears black.
Cultural
Artistic
Caravaggio's The Calling of St Matthew uses darkness for its chiaroscuro effects.
Main article: Tints and shades

This section has multiple issues. Please help improve it or discuss these issues on the talk page. (Learn how and when to remove these template messages)
This section does not cite any sources. (January 2010)
This section possibly contains original research. (November 2014)

Artists use darkness to emphasize and contrast the presence of light. Darkness can be used as a counterpoint to areas of lightness to create leading lines and voids. Such shapes draw the eye around areas of the painting. Shadows add depth and perspective to a painting. See chiaroscuro for a discussion of the uses of such contrasts in visual media.

Color paints are mixed together to create darkness, because each color absorbs certain frequencies of light. Theoretically, mixing together the three primary colors, or the three secondary colors, will absorb all visible light and create black. In practice it is difficult to prevent the mixture from taking on a brown tint.
Literature
Separation of light and darkness on the first day of creation, from the Sistine Chapel ceiling by Michelangelo
Further information: Light and darkness

As a poetic term in the Western world, darkness is used to connote the presence of shadows, evil, and foreboding, or in modern parlance, to connote that a story is grim, heavy, and/or depressing.
Religion

The Holy Bible presents the first written account and mention of "darkness" in the literary world, and that account was penned in the Hebrew language, using the Hebrew word חשד [kho-shek], from which the English translators derived "darkness". The Scriptures, though attesting to the Biblical teaching of a creation in saying, "In the beginning God created the heaven and the earth" (Genesis 1:1), the very next verse does not refer to "darkness" being created within that first act of God, but simply notes that "the earth" that was created "in the beginning" (vs. 1) "was without form, and void; and darkness WAS upon the face of the deep" (Genesis 1:2) without locating or defining what the Scriptures meant by "the deep". What ever "the deep" is a reference to astronomically, the second verse of the Bible, when mentioning "darkness" for the first time in human history, simply stated as a matter of common fact, that "darkness was upon the face of the deep". This first mention of "darkness" in Genesis 1:2, is then completed with this ending statement concerning "the deep", that "the Spirit of God moved upon the face of the waters". Howbeit, though darkness is mentioned tense wise as "darkness was", the next verse highlights the first spoken oracle of God Almighty as "And God said, Let there BE LIGHT: and THERE WAS Light" (Genesis 1:3). (Second Epistle to the Corinthians 4:6) expounds and further clarifies that first oracle of God, saying "For God, Who commanded the Light to SHINE OUT OF DARKNESS", sets forth the science of theology as admitting that "darkness WAS" existent before LIGHT was mentioned, and that "God commanded the Light to SHINE OUT OF darkness". That theological science does not negate the pre-creative existence of "Light" as opposed to "darkness", but only that "God commanded the Light to shine out of darkness" (Second Epistle to the Corinthians 4:6), which "darkness WAS" by oracle of God already in existence, and by referential statement encompassed "the Light" (Genesis 1:3) from whence "the Light" shone out of darkness from this comparative link of the Biblical references thus cited: "For God commanded the Light to shine out of darkness...And God said, Let there be Light: and there WAS LIGHT" (2 Corinthians 4:6 c.f. Genesis 1:3). This first creation narrative in Christianity also notes the theological science that places "darkness" and "Light" in a definitive created act of God, whereby the existence of both were four (4) days before God created the sun and moon, and "set them in the firmament of the heaven to give light upon the earth" (Genesis 1:17). True science, defined throughout the ages as "that body of demonstrative, observable and producible facts" continues to deny the Biblical account of the origin of "darkness" and "light", though adhering daily to that same Biblical narrative in their scientific admissions to the existence of what the Bible first called "Day, and...Night" (Genesis 1:5). Scientists of every persuasion also continue to theorize about both "darkness" and "light", while acknowledging the Biblical science of that first creative narrative that light does shine out of darkness, for which (John 1:5) attested to over 2,000 years ago in the present tense that "the Light shineth in darkness (present tense); and the darkness comprehended it not" (past tense). That theological change in tense within the same verse highlights the Biblical scientific positional statement that "the darkness is PAST, and the True Light NOW shineth" (1 John 2:Cool. Science admits such past and present tense positional astrology, in that the existence of "light" whether "shining in" (John 1:5) or "out of" (Second Epistle to the Corinthians 4:6) "darkness" is both present tense (John 1:5) and past (Genesis 1:3) in that its present tense appearance NOW, is a present tense scientific revelation that in reality, this same light originates as much as it also originated in "time past" (Hebrews 1:1) in the same exact darkness that still exists from which man's present tense eye NOW sees it shining in and out of said darkness. Thus, although both light and darkness are included in the comprehensive works of the almighty God, darkness is set forth in the Bible as evil, while Light is personified as good. Darkness as evil is "the second to last plague" (Exodus 10:21/ Revelation 16:10), and the location of "weeping and gnashing of teeth" (Matthew 8:12). As such, the Bible notes the eternal existence of "darkness" (Jude 13), even when also attesting that "Heaven and earth shall pass away" (Matthew 24:35/ Mark 13:31/ Luke 21:33).

The Qur'an has been interpreted to say that those who transgress the bounds of what is right are doomed to "burning despair and ice-cold darkness" (Nab 78.25).[4]
Philosophy

In Chinese philosophy, Yin is the complementary feminine part of the Taijitu and is represented by a dark lobe.
Poetry

The use of darkness as a rhetorical device has a long-standing tradition. Shakespeare, working in the 16th and 17th centuries, made a character called the "prince of darkness" (King Lear: III, iv) and gave darkness jaws with which to devour love. (A Midsummer Night's Dream: I, i)[5] Chaucer, a 14th-century Middle English writer of The Canterbury Tales, wrote that knights must cast away the "workes of darkness".[6] In The Divine Comedy, Dante described hell as "solid darkness stain'd".[7]
Language

In Old English there were three words that could mean darkness: heolstor, genip, and sceadu.[8] Heolstor also meant "hiding-place" and became holster. Genip meant "mist" and fell out of use like many strong verbs. It is however still used in the Dutch saying "in het geniep" which means secretly. Sceadu meant "shadow" and remained in use. The word dark eventually evolved from the word deorc.[9]
Greek mythology

Erebus was a primordial deity in Greek mythology, representing the personification of darkness.
See also

Lightness
Shadow
Theory of colours

References

"W. Wundt (1907): Outlines of Psychology - 6. Pure sensations". uni-leipzig.de.
Horner, David T. (2000). Demonstrations of Color Perception and the Importance of Contours, Handbook for Teaching Introductory Psychology. 2. Texas: Psychology Press. p. 217. "Afterimages are the complementary hue of the adapting stimulus and trichromatic theory fails to account for this fact"
Mantese, Lucymarie (March 2000). "Photon-Driven Localization: How Materials Really Absorb Light". American Physical Society. Retrieved 2007-01-21.
"Online translation of The Quran". Retrieved November 2010. Check date values in: |access-date= (help)
Shakespeare, William. "The Complete Works". The Tech, MIT.
Chaucer, Geoffrey (14th century). The Canterbury Tales, and Other Poems. The Second Nun's Tale. Check date values in: |date= (help)
Alighieri, Dante; Francis, Henry, translator (14th century). The Divine Comedy. Check date values in: |date= (help)
Mitchell, Bruce; Fred C. Robinson (2001). A Guide to Old English. Glossary: Blackwell Publishing. pp. 332, 349, 363, 369. ISBN 0-631-22636-2.

Harper, Douglass (November 2001). "Dark". Online Etymology Dictionary. Retrieved 2007-01-18.

External links

The dictionary definition of darkness at Wiktionary
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LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ. Empty
MessageSujet: Re: LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ.   LA TERRE, LES CONTINENTS, L’ÉVOLUTION ET YAHVÉ. EmptyMar 3 Avr à 10:16

LA CIRCONSTANCE DES MOLÉCULES MONTRE LES SIMILITUDES DANS L’ÊTRE ET L'AVOIR: LA MATIÈRE ET LA FUSION.
L'UNIVERS SERAIT UN MOUVEMENT DE PLAQUES ET LES ÉTOILES SERAIENT LES BULLES DE SON ARTHROSE...
TAY

LES CIRCONSTANCES DES MOLÉCULES MONTRENT LES SIMILITUDES DANS L’ÊTRE ET L'AVOIR: LA MATIÈRE ET LA FUSION.
L'UNIVERS SERAIT UN MOUVEMENT DE PLAQUES ET LES ÉTOILES SERAIENT LES BULLES DE SON ARTHROSE...
TAY


La Pangée (prononcé en français : /pɑ̃.ʒe/) ou Pangæa[réf. nécessaire] est un supercontinent formé au Carbonifère de la collision de la Laurussia et du Protogondwana et ayant regroupé presque l'ensemble des terres émergées. Au Trias, il s'est morcelé en Laurasia au nord et Gondwana au sud.

Étymologie

Le nom « Pangée », qui signifie littéralement « toutes les terres », vient du grec ancien πᾶν (pân), « tout », et γαῖα (gaïa), « terre », qui devient en latin pangaea.
Concept

Le concept et le nom de Pangée viennent du météorologue et astronome allemand de l’université de Marburg, Alfred Wegener. Le concept de Pangée apparaît, pour la première fois, dans une publication de 19121,2. Dans son ouvrage intitulé La Genèse des continents et des océans, publié en 1915, il décrit la Pangée comme rassemblant la quasi-totalité des terres émergées, qui a existé de la fin du Carbonifère au début du Permien, il y a 290 millions d'années. Le mot Pangée (Pangäa) apparaît dans l'édition 1920 de sa Genèse3.

La théorie de Wegener fut rejetée par les géologues de l'époque. C'est seulement 40 ans plus tard que des géophysiciens démontrèrent que la dérive des continents était due à la tectonique des plaques et que la théorie de Wegener fut vérifiée et admise2.
Formation

Sa formation est due à la collision des supercontinents Protogondwana et de Laurussia qui eut lieu au début du Carbonifère (orogenèse hercynienne), fermant l'océan Centralien et élevant d'imposantes chaînes de montagnes, dites hercyniennes, allant des Appalaches au massif silésien. À la même époque, le craton de Sibérie et Kazakhstania entrent en collision avec Laurussia sur son bord oriental, fermant l'océan Ouralien et élevant la chaîne de l'Oural. À la fin du Permien, la formation de la Pangée est achevée. On nomme le vaste océan entourant la Pangée Panthalassa (ancêtre de l'océan Pacifique) et le vaste océan situé à l'est, dans le creux du croissant formé par la Pangée, océan Téthys. La formation du supercontinent Pangée a eu des conséquences importantes sur la vie : la longueur des côtes, et donc la superficie des eaux côtières qui abritent la majorité des espèces marines, ont été considérablement réduites. Il s'est ensuivi une importante extinction marine. Enfin, sur terre, l'éloignement des terres de la Pangée centrale (Amérique du Nord, Amérique du Sud et Afrique) par rapport à la mer a conduit à une forte baisse des précipitations dans ces régions et, donc, à l'expansion de gigantesques déserts.

Il aura fallu plus de 200 Ma pour rassembler tous les morceaux de la Pangée, soit de l'Ordovicien au Permien. Il en faudra 200 autres, soit de la fin du Trias à aujourd'hui, pour disperser les morceaux de la Pangée, une dispersion qui se poursuit toujours. Puisque ces événements sont plus près de nous dans le temps, nous avons des informations plus détaillées, d'autant plus que cette fois nous connaissons les planchers océaniques.

Pink Floyd / Syd Barrett - London 1966-67 Full
https://www.youtube.com/watch?v=8N0ESigxJxs

Au Trias et au début du Jurassique, les principaux mouvements se sont faits du côté de la Téthys, un océan à l'est de la Pangée.
Géographie de la Pangée au Permien

Après sa formation, au Permien, la quasi-totalité des terres sont parties intégrantes de la Pangée. Seules le Craton du Yangtsé (Chine méridionale), la Chine du Nord, une partie de l'Indochine et, plus tard, le terrane de Cimmérie sont à part, dans l'océan Téthys. La Pangée prend la forme d'un C, dont le centre est sur l'équateur. Elle est barrée, au niveau de l'équateur, d'une vaste chaîne de montagnes courant d'est en ouest, la chaîne hercynienne. Toute la zone centrale, du 40° sud au 40° nord, est formée de vastes déserts qui couvrent la majorité des actuelles Amérique du Nord, du Sud, Afrique et Europe. Le nord de l'Europe (zone de la mer du Nord) est recouvert d'une mer intérieure peu profonde, très salée, et épisodiquement reliée à l'Océan. L'Europe est séparée de la Sibérie par une étroite mer peu profonde, qui relie Panthalassa au nord de la Téthys au sud. Cette mer est bordée du côté sibérien par la chaîne de l'Oural. La Sibérie, l'Antarctique et l'Inde jouissent d'un climat tempéré.
Vie animale
Cette section n’est pas rédigée dans un style encyclopédique. Améliorez sa rédaction !

La Pangée, qui apparait à la fin du Carbonifère et au début du Permien, est recouverte de grandes forêts tropicales luxuriantes. La hausse du taux de dioxygène libéré dans l'air par les forêts (30 % d'oxygène de plus que de nos jours) favorise le gigantisme de certaines espèces. Des « insectes géants » et des arthropodes tels que Meganeura, Mesothelae, Arthopleura, s'apparentent respectivement aux araignées, aux libellules et aux mille-pattes[réf. nécessaire].

Le gigantisme ne s'étend toutefois pas à toutes les espèces. Les paléontologues ont mis au jour dans les terrils de l'ancienne mine de charbon d'Avion dans le Pas-de-Calais, des insectes qui vivaient il y a environ 320 Ma, à l'époque où la Pangée était en voie de formation. On y trouve des libellules géantes mais aussi de très petits insectes mesurant entre 4 et 14 mm tels qu'une guêpe baptisée Avioxyela gallica4.

Concernant les tétrapodes, les sites fossilifères de Karoo en Afrique du Sud et de la région de Perm en Russie montrent que des faunes quasi identiques ont vécu au sud et au nord de la Pangée. Les sites d'Argana au Maroc et de Maradi au Niger révèlent des animaux qui vivaient spécifiquement au centre du supercontinent, par exemple les stégocéphales, des amphibiens carnivores d'un mètre de long environ qui ressemblent aux crocodiles et aux salamandres sans leur être apparentés. Divers reptiles ainsi que des reptiles mammaliens occupaient également le centre de la Pangée5.

Dans la faune d'Argana, on trouve aussi le genre Arganaceras, proche parent du Scutosaurus et des tortues[réf. souhaitée]. Ailleurs des reptiles tels que le Petrolacosaurus et des amphibiens comme l'Eryops.

Les reptiles sont ceux qui s'adapteront le mieux par la suite.

   Durant le début de la période permienne, les espèces ont évolué. Les " Petrolacosaurus " ont évolué en " Edaphosaure/Edaphosaures " , des reptiles géants herbivores de 3 m avec une voilure dorsale, qui ont conquis pratiquement la totalité de la planète vers -280 millions d' années . Mais la planète est aussi peuplée d'autres espèces telles que les " Dimétrodon/Dimétrodons " (souvent confondus avec des dinosaures), se trouvant parmi les premiers " reptiles mammaliens " de redoutables prédateurs carnivores et cannibales, les plus grands reptiles de leur temps. La terre est également peuplée d'insectes de petite taille et de végétaux comme les conifères primitifs.

   Arrive la fin de la période permienne avec une extinction de masse de toutes les espèces de la Pangée, réduisant à néant des millions d'années d'évolution. Une extinction de plus de 90 % des espèces, la plus grande de tous les temps. À cette époque, vers -250 millions d' années , la Pangée est recouverte du plus grand désert ayant existé, les animaux et végétaux doivent faire face à une grande sécheresse et canicule ( +70 °C qu'aujourd'hui).

Les espèces ayant vécu à cette époque sont les Scutosaurus (ancêtres des tortues), des reptiles de une tonne vivant en hordes. On a aussi l'apparition de " Thérapside|thérapsides " comme les " Diictodon /Diictodons " , de petits fouisseurs et reptiles mammaliens de 50 cm, vivant en couple dans des terriers ou encore des Listrausaures. Des amphibiens tels que le Labyrinthodonte, un amphibien géant s'apparentant à des crocodiles.

Et le Gorgonopsien (évolution du dimétrodon), un reptile mammalien de 5 m de long. Qui est rapide, puissant, possède une grande masse musculaire, a un cerveau très développé et des dents de plus de 12 cm.Ne possédant aucun rival jusqu'à l'arrivée des dinosaures. Et aussi le Trinaxidon, probablement l’ancêtre du premier mammifère, qui ne possède pas toutes les caractéristiques.

   Enfin la période Trisassique qui arrive a 250 millions d'années. À cette époque vit l'Eupaqueria, le premier reptile bipède, qui évoluera en Staurikosaure, le tout premier dinosaure. Durant cette période vecurent le Casmathosaure, le Proterosuchus et le Rutiodon (des reptiles similaires aux crocodiles).Le tout premier vrai mammifère : le Megazostrodon.Egalement les Eudimorphodons (les premiers vertébrés a voler) et des Desmatosochus.

Dislocation
Dislocation de la Pangée (du Trias à aujourd'hui).

Pink Floyd - Another Brick In The Wall...
https://www.youtube.com/watch?v=YR5ApYxkU-U

La Pangée commence à se fracturer dès la fin du Permien mais de manière véritablement intense uniquement à la fin du Trias (~200 millions d'années) par des systèmes de rifts séparant l'Amérique du Nord et l'Afrique. Ce rift devait être semblable à l'actuel rift de la vallée du Jourdain et la mer Morte, car situé aux mêmes latitudes tropicales désertiques. À cet endroit seront retrouvées beaucoup d'évaporites. Ce rift a ouvert l'océan Atlantique nord et séparé la partie nord de la partie sud de la Pangée pour former deux nouveaux supercontinents : le Gondwana et la Laurasia. L'ouverture de cet océan a ramené l'humidité dans les régions arides.

Le cycle varisque ou cycle hercynien (appelé aussi orogenèse varisque ou hercynienne) est un cycle orogénique paléozoïque qui a débuté au Dévonien et s'est terminé avec le Permien, formant la chaîne varisque. Il succède aux cycles orogéniques cadomien et calédonien.

Il trouve son origine dans le rapprochement puis le chevauchement de trois masses continentales : le microcontinent de l'Armorica entre les deux supercontinents du Protogondwana et de la Laurussia (réunion des continents du Laurentia et du Baltica lors de l'orogenèse calédonienne). Cette collision continentale contemporaine de la disparition des océans centralien et rheïque, est à l'origine de la surrection de plusieurs massifs européens, notamment ceux d'Allemagne dont le Harz, qui a donné son nom à « hercynien », des Ardennes, du Massif des Vosges, du Massif central et de l'Oural, mais aussi du Massif armoricain. Ce rapprochement aboutit au supercontinent de la Pangée. C'est au Permien avec la fin des convergences appalachiennes et de l'Oural et la constitution finale de la Pangée, que cesse ce régime de déformation générale.

Il est responsable de la formation de la chaîne de montagnes appelée chaîne hercynienne (ou chaîne armoricaine, ou encore chaîne varisque), orogène sinueux de 5 000 km de long (du Sud de l'Espagne jusqu'au Caucase), 700 km de large et 6 000 m d'altitude initialement1, dont les structures sont encore bien visibles en Europe et en Amérique du Nord. En effet, une partie des Appalaches dans l'Est des États-Unis d'Amérique s'est érigée comme résultat du plissement hercynien.

Cette chaîne hercynienne est caractérisée par le plissement de tous les terrains primaires plus vieux que le Carbonifère et même, localement, plus vieux que le Permien. Elle est partiellement masquée par les bassins sédimentaires, et surtout a été profondément disloquée à partir du Permien par les déformations ultérieures dont il faut tenir compte pour toute reconstitution2.

Conséquences

Du point de vue climatique, l'existence de plusieurs masses continentales favorise les courants océaniques, et les interactions entre le milieu marin et continental, apportant des précipitations et multipliant les chances de voir apparaître de nouvelles espèces. Certaines, comme les marsupiaux, ont évolué de façons indépendantes en Australie et en Amérique du Sud qui étaient isolées des autres masses continentales. Les changements climatiques induits par la dislocation de la Pangée ont également joué un rôle important dans l'émergence et la diversification des plantes à fleurs6.

La similitude des géologies entre la côte ouest africaine et la côte est d'Amérique latine7 pousse les géologues à inférer la présence de pétrole offshore sur toute la côte ouest africaine. Le cas de l'Angola validant en partie cette théorie, l'exploration des eaux profondes namibiennes fut alors lancée dès 20118.
Notes et références

   ↑ (de) Alfred Wegener, « Die Entstehung der Kontinente », Dr. A. Petermann's Mitteilungen aus Justus Perthes' Geographischer Anstalt, Gotha, vol. 58, no 1,‎ 1912
   ↑ a et b Karen de Seve, « Au début, il y avait la Pangée » [archive], sur Nationalgeographic.fr, 10 mars 2015
   ↑ (de) Alfred Wegener, Die Entstehung der Kontinente und Ozeane, Braunschweig, Friedrich Vieweg & Sohn, 1920, p. 120
   ↑ Jean-Luc Nothias, « La Pangée était habitée par de petits insectes » [archive], sur Lefigaro.fr, 5 novembre 2013
   ↑ Sébastien Steyer, « Voyage au centre de la Pangée » [archive], sur pourlascience.fr, 15 avril 2009
   ↑ (en) Chaboureau AC, Sepulchre P, Donnadieu Y, et coll., « Tectonic-driven climate change and the diversification of angiosperms », Proceedings of the National Academy of Sciences USA, vol. 111, no 39,‎ août 2014, p. 14066–14070 (DOI 10.1073/pnas.1324002111)
   ↑ « La Pangée déchirée : réponse à l’énigme » [archive], sur Ac-nice.fr
   ↑ « cheikh Faye : "La Namibie a une chance inouïe vu sa position géographique" » [archive], sur Buzz-africa.com, 3 juillet 2015

Voir aussi

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   Pangée, sur Wikimedia Commons Pangée, sur le Wiktionnaire Hypothèse d'Alfred Wegener, sur Wikiversity

Articles connexes

   Échelle des temps géologiques
   Tectonique des plaques
   Pangée ultime
   Cycle de Wilson
   Supercontinents antérieurs : Pannotia | Rodinia | Columbia | Kenorland | Ur | Vaalbara
   Gondwana
   Panthalassa

Liens externes

   Notices d'autorité

: Bibliothèque nationale de France (données)
(en) Paleomap Project [archive]
(en) Histoire de la dérive des continents [archive]

Phases

Le modèle de référence de l'évolution de la chaîne varisque reste celui de Matte4, même si certains de ses aspects doivent être précisés ou revus. L’évolution géodynamique de la chaîne a en effet depuis fait l’objet de nombreuses tentatives de reconstructions, utilisant différentes hypothèses et différentes méthodes comme des études paléontologiques (Cocks, 20005 ; Robardet, 20036), des études structurales et métamorphiques (Matte, 20017 ; Faure et al., 19978 ; Cartier et al., 20019) des études paléomagnétiques (Tait et al., 199710) ou encore des modélisations numériques (Stampfli et Borel, 2002 11).

Notes et références

   Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Hercynien » (voir la liste des auteurs).

   ↑ (en) H.-J. Behr, W. Engel, W. Franke, P. Giese, K. Weber, « The Variscan Belt in Central Europe: Main structures, geodynamic implications, open questions », Tectonophysics, vol. 1–2, no 1984,‎ 109, p. 15-40
   ↑ Jacques Debelmas, Georges Mascle, Christophe Basile, Les grandes structures géologiques, Dunod, 2008, p. 251
   ↑ Chaînes varisques ou hercyniennes [archive] sur Encyclopædia Universalis
   ↑ (en) Ph. Matte, « Tectonics and plate tectonics model for the Variscan Belt of Europe », Tectonophysics, vol. 126,‎ 1986, p. 329-374
   ↑ (en) L.R.M. Cocks, « The early Palaeozoic geography of Europe », Journal of the Geological Society, vol. 157, no 1,‎ 1er janvier 2000, p. 1-10 (DOI 10.1144/jgs.157.1.1).
   ↑ (en) M. Robardet, « The Armorica "microplate": fact or fiction ? Critical review of the concept and contradictory palaeobiogeographical data », Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology, vol. 195, no 1-2,‎ 5 juin 2003, p. 125-148 (DOI 10.1016/S0031-0182(03)00305-5).
   ↑ (en) P. Matte, « The Variscan collage and orogeny (480-290 Ma) and the tectonic definition of the Armorica microplate: a review », Terra Nova, vol. 13, no 2,‎ avril 2001, p. 122-128 (DOI 10.1046/j.1365-3121.2001.00327.x).
   ↑ M. Faure, C. Leloix et J.Y. Roig, « L'évolution polycyclique de la chaîne hercynienne », Bull. Soc. Geol. France, vol. 168, no 1,‎ 1997, p. 695-705.
   ↑ (en) C. Cartier, M. Faure et H. Lardeux, « The Hercynian orogeny in the South Armorican Massif (Saint-Georges-sur-Loire Unit, Ligerian Domain, France): rifting and welding of continental stripes », Terra Nova, vol. 13, no 2,‎ avril 2001, p. 143-149 (DOI 10.1046/j.1365-3121.2001.00334.x).
   ↑ (en) J. A. Tait, V. Bachtadse, W. Franke et H.C. Soffel, « Geodynamic evolution of the European Variscan fold belt: palaeomagnetic and geological constraints », Geol. Rundsch, vol. 86, no 3,‎ octobre 1997, p. 585-598 (DOI 10.1007/s005310050165).
   ↑ (en) G. M. Stampfli et G.D. Borel, « A plate tectonic model for the Paleozoic and Mesozoic constrained by dynamic plate boundaries and restored synthetic oceanic isochrones », Earth and Planetary Science Letters, vol. 196,‎ avril 2001, p. 17-33 (lire en ligne [archive]).

On distingue dans le cycle varisque de nombreuses phases tectoniques :

   la phase orogénique ardennaise, la plus ancienne terminant le plissement calédonien et commençant le plissement hercynien (au début du Dévonien inférieur, ou Gedinnien, il y a environ 400 millions d'années) ;
   la phase orogénique bretonne, au début du Carbonifère inférieur, ou Tournaisien, il y a environ 360 Ma ;
   la phase orogénique sudète, au début du Carbonifère supérieur, ou Namurien, il y a environ 320 Ma ;
   la phase orogénique de l'Erzgebirge (Monts Métallifères), au milieu du Carbonifère supérieur, ou Westphalien, il y a environ 310 Ma ;
   la phase orogénique asturienne, à la fin du Carbonifère supérieur, ou Stéphanien, il y a environ 300 Ma ;
   la phase orogénique saalienne, au Permien inférieur, à la fin de l'Autunien et au début du Saxonien, il y a environ 270 Ma ;
   la phase orogénique palatine, la plus récente, à la fin du Permien supérieur, ou Thuringien, il y a environ 250 Ma.

Au milieu de l'Ordovicien, se sont détachés de la marge Nord du Gondwana les terranes d'Armorica et d'Iberia, ouvrant l'océan Centralien alors que l'océan Rhéique séparait la Laurussia et le Gondwana. Au Silurien la collision entre Gondwana et Armorica finit par fermer l'océan centralien par subduction (les laves métamorphisées de cet océan se retrouvent notamment dans les schistes bleus à glaucophane de l'île de groix) au dévonien inférieur. Au dévonien, le Gondwana, qui a continué de dériver vers le nord, amorce sa collision avec le supercontinent Laurussia et les terranes Armorica-Iberia, fermant l'océan Rhéique par subduction (témoins de cette subduction : formations de bassin d'arrière arc de la Brévenne et de Génis, ophiolites des Sudètes, de Cornouaille, du Harz) et créant l'orogénèse hercynienne au cours de laquelle se soulèvent également les Appalaches et les Maurétanides : c'est l'assemblage de la Pangée, achevé au début du Permien (290 Ma).

PHILOSOPHIE...
DANS LE CONTEXTE DU MIRAGE, L'HORIZON DISTINGUE LE TEMPS ET LE SOUVENIR DANS LE TERME DES MOUVEMENTS DE FUSION DANS L’APESANTEUR ET DANS LE VIDE; LE CROIRE SE SOULÈVE DANS LA RÉALITÉ AFIN DE MONTRER LES RÉVOLUTIONS QUI ENTRAINE LE RÉVOLUTION DE SURVIVRE SUR LE NARCISSIQUE...
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GÉOGRAPHIE.
DANS LE CONTEXTE DU MIRAGE, L'HORIZON DISTINGUE LE TEMPS ET LE SOUVENIR DANS LE TERME DES MOUVEMENTS DE FUSION DANS L’APESANTEUR ET DANS LE VIDE; L'OPTIQUE EST DE SE FIER AUX INSTINCTS DE LA MATIÈRE DEVANT DES SABLES MOUVANTS: POUSSIÈRE, TU REDEVIENDRAS POUSSIÈRES.
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LES NOTIONS DE EN, DANS ET SUR QUAND IL CONCERNE LA MATIÈRE, LE VIDE, L'HORIZON ET LA SIMILITUDE: IL SEMBLERAI MÊME UN DEVOIR D'ADAPTER UN NOUVEAU SYSTÈME DE PONCTUATION POUR SOUTENIR LA VIRGULE, LES POINS ET LES ACCENTS SANS REMETTRE EN CAUSE LES NOTIONS DE SOUPIR.
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Synthèse et mise au point sur la Chaîne Varisque...
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Coldplay - Adventure Of A Lifetime (Official Video)...
https://www.youtube.com/watch?v=QtXby3twMmI

Stances...
Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)...

Et j'ai dit dans mon coeur : Que faire de la vie?
Irai-je encor, suivant ceux qui m'ont devancé,
Comme l'agneau qui passe où sa mère a passé,
Imiter des mortels l'immortelle folie?

L'un cherche sur les mers les trésors de Memnom,
Et la vague engloutit ses voeux et son navire;
Dans le sein de la gloire où son génie aspire,
L'autre meurt enivré par l'écho d'un vain nom.

Avec nos passions formant sa vaste trame,
Celui-là fonde un trône, et monte pour tomber;
Dans des pièges plus doux aimant à succomber,
Celui-ci lit son sort dans les yeux d'une femme.

Le paresseux s'endort dans les bras de la faim;
Le laboureur conduit sa fertile charrue;
Le savant pense et lit, le guerrier frappe et tue;
Le mendiant s'assied sur les bords du chemin.

Où vont-ils cependant? Ils vont où va la feuille
Que chasse devant lui le souffle des hivers.
Ainsi vont se flétrir dans leurs travaux divers
Ces générations que le temps sème et cueille!

Ils luttaient contre lui, mais le temps a vaincu;
Comme un fleuve engloutit le sable de ses rives,
Je l'ai vu dévorer leurs ombres fugitives.
Ils sont nés, ils sont morts : Seigneur, ont-ils vécu?

Pour moi, je chanterai le maître que j'adore,
Dans le bruit des cités, dans la paix des déserts,
Couché sur le rivage, ou flottant sur les mers,
Au déclin du soleil, au réveil de l'aurore.

La terre m'a crié : Qui donc est le Seigneur?
Celui dont l'âme immense est partout répandue,
Celui dont un seul pas mesure l'étendue,
Celui dont le soleil emprunte sa splendeur;

Celui qui du néant a tiré la matière,
Celui qui sur le vide a fondé l'univers,
Celui qui sans rivage a renfermé les mers,
Celui qui d'un regard a lancé la lumière;

Celui qui ne connaît ni jour ni lendemain,
Celui qui de tout temps de soi-rnême s'enfante,
Qui vit dans l'avenir comme à l'heure présente,
Et rappelle les temps échappés de sa main :

C'est lui! c'est le Seigneur : que ma langue redise
Les cent noms de sa gloire aux enfants des mortels.
Comme la harpe d'or pendue à ses autels,
Je chanterai pour lui, jusqu'à ce qu'il me brise...

JÉRUSALEM...

RAPPORT ET MOSAÏQUE DE Y'BECCA
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