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 COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE

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yanis la chouette




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COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE  Empty
MessageSujet: COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE    COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE  EmptyDim 24 Sep à 8:41

Jules Belin n’aura pas cette chance. Et pourtant, ce Dijonnais de naissance est à l’origine d’arrestations retentissantes du siècle passé, à une époque où les policiers portaient encore la moustache en guidon, la montre à gousset, et crapahutaient derrière le malfrat, matraque à la main et sifflet au coin du bec. Si les grands criminels, serial killers et voyous de haut vol fascinent le public, on s’aperçoit en revanche que ceux qui ont causé leur perte sont pour la plupart tombés aux oubliettes, quand ils ne sont pas considérés eux-mêmes comme des meurtriers. Le cas Broussard, par exemple. Lorsqu’il met fin en cet après-midi du 2 novembre 1979 à la cavale de Jacques Mesrine, cet ancien de la BRI se voyait déjà entrer au panthéon des super flics. Raté. Cela fait trente longues années que l’ancien poulet doit justifier l’interpellation mortelle de l’ennemi public numéro un. Pire, il est toujours régulièrement taxé d’assassin par ceux qui ont élevé un fou dangereux mégalo au rang de martyr. Consolation pour Robert Broussard, aussi maigre soit-elle, les manuels d’histoire garderont sa trace. Les succès du policier, Jules Belin s’évanouiront pourtant bien vite de l’inconscient collectif, comme balayés par l’aura des criminels qu’il mènera à l’échafaud ou derrière les barreaux. Simenon sera le dernier à rendre hommage à cet incroyable flic des temps anciens, en s’inspirant de son personnage pour créer le commissaire Maigret à partir de 1931. Même cela, tout le monde semble l’avoir oublié.

SACHEZ POURTANT,

Jules Belin pousse son premier cri à Dijon en 1884, né de l’amour d’une modeste couturière de la place de la Libération et d’un comptable mort avant l’âge de la vieillesse. Le futur flic ne restera pas longtemps dans la cité ducale. Il rejoint Langres, où il décroche un bac de sciences et lettres - une rareté à l’époque -, puis Paris où il se présente au concours d’inspecteur de Police Judiciaire. Recalé. Il s’obstine et passe - avec succès cette fois-ci - l’examen de secrétaire de commissariat. Le job, bien que formateur, l’ennuie profondément. Le jeune policier est ambitieux, il rêve de terrain, d’enquêtes et de gloire policière. Lorsqu’il apprend en 1907 la création des premières brigades mobiles de Paris, les fameuses brigades du Tigre, il demande sa mutation. Le pari est risqué. Ce nouveau service de police, initié par Clémenceau et Hennion, est une expérimentation, censée rénover la police en profondeur. Nul doute qu’il n’aurait pas survécu s’il n’avait connu les succès qu’on lui connaît. Bombardé inspecteur, Jules Belin enchaîne les affaires sans grande importance, celles-là mêmes qui jaunissent aujourd’hui dans les archives de la police judiciaire. Le premier gros dossier où Belin va s’illustrer arrive 4 ans après sa prise de fonction aux brigades. Jules-Joseph Bonnot, un anarchiste particulièrement actif, sème le trouble dans l’Hexagone depuis la fin de l’année 1911. Secondé par une douzaine d’autres membres qui ont épousé sa cause, la bande multiplie les braquages et les assassinats gratuits. Sur les dents, les autorités semblent impuissantes, comme sclérosées par l’audace dont fait preuve la petite entreprise criminelle. La baraka pourtant s’évanouit au printemps 1912. Traqués par des dizaines d’agents, les membres de la bande tombent un à un. Bonnot, lui, court toujours, du moins sur une jambe. La fusillade du 24 avril 1912 à Ivry-sur-Seine, où il abat au passage le numéro deux de la sureté nationale, lui vaut une bastos logée bien profond dans le cuissot. Réfugié chez l’un de ses comparses du côté de Choisy-le-Roi en région parisienne, l’anarchiste ne tarde pas à se faire fixer par Belin et ses hommes. Plus question de l’arrêter, il faut l’abattre, c’est la consigne délivrée en haut lieu. Et cela va se faire en public, dans une liesse populaire, tout ce qu’il y a de plus malsain. Tôt le matin du 28 avril, le pavillon est cerné par près d’un millier d’hommes en armes. Les premiers échanges ne tardent pas. Les balles fusent, la dynamite aussi…. A la mi-journée, 30 000 spectateurs venus des communes alentours assistent, médusés, aux assauts répétés des forces de police et de gendarmerie. Jules Bonnot n’en sortira pas vivant, il n’en était de toute façon pas question. Le chef passé à trépas, Belin s’atèle à démanteler le reste de la bande, réduite à deux membres. Octave Garnier et René Valet, une quarantaine de printemps à eux deux, se sont terrés à Nogent-sur-Marne en attendant une accalmie qui ne viendra finalement jamais. Le 14 mai, l’histoire se répète. Plusieurs milliers d’hommes s’agglutinent autour du refuge des deux anarchos. L’une des plus importantes fusillades des annales de la police judiciaire s’engage alors. Près de 10 heures de feu nourri sont nécessaires avant d’abattre les deux forcenés. Pas de procès non plus pour ces deux-là. Comme pour Bonnot, il n’en était de toute façon pas question.

Belin sort grandi de l’affaire, mais n’obtient pas pour autant ses galons de commissaire. Il lui faudra attendre l’année 1919. Au gré de ses pérégrinations policières il va s’intéresser à un certain Henri-Désiré Landru, petit aigrefin déjà connu des services de police pour quelques broutilles de jeunesse. Le bonhomme, fin stratège, semble cette fois-ci avoir fait de la gente féminine une proie de choix pour subvenir à ses besoins. L’affaire fleure bon l’escroquerie, rien de bien folichon non plus. En flic aguerri par quelques années de service, Belin poursuit l’enquête, recoupe les témoignages, auditionne à tout-va. Le 11 avril 1919, à des années lumière de se douter du lièvre qu’il va lever, l’inspecteur se rend à l’un des domiciles de Landru. Il est tard, trop tard pour interpeller celui que l’on appellera plus tard la Barbe Bleue de Gambais. A l’époque, la loi l’interdit. Peur de laisser filer l’insaisissable larron, Belin passe la nuit sur le paillasson, c’est du moins ce que raconte la légende. A six heures tapantes, l’œil cerné et la bouche pâteuse, Jules Belin passe les bracelets à un Landru fou de rage. Embarqué manu-militari dans les locaux de la brigade, Désiré ne lâche rien, pas un mot, pas un aveu. L’examen minutieux des documents trouvés à son domicile parisien du 9ème arrondissement ainsi que les perquisitions menées dans ses villas de Gambais et Vernouillet ne vont pas tarder à parler pour lui, à révéler toute l’horreur de son secret. Il est bien plus question d’escroquerie et d’abus de confiance. Des restes humains calcinés sont retrouvés à Gambais et Vernouillet. Et puis, il y a ce petit calepin noir où Landru a inscrit le nom de toutes les femmes (ndlr : plus de 200) qu’il a rencontrées, abusées, et pour certaines assassinées. Jules Belin, sans le savoir, vient d’arrêter l’un des plus grands criminels du XXème siècle, lui qui pensait avoir serré un petit malfrat sans grande envergure La voilà son heure de gloire, celle qui devait, en tout cas pensait-il, faire de lui un super flic pour l’éternité ?

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 3h
En réponse à @Economie_Gouv @BrunoLeMaire et 2 autres personnes
LE TEMPS, LA JUSTICE ET LA RAISON OU LE TÉMOIGNAGE DU PEUPLE CONSCIENCE LE CHÔMAGE, LE REPOS ET
LE TRAVAIL EN LE VIF HUMAIN !
LA NATURE SAUVAGE, THE LIGHTHOUSE ET L'INFINI SONT :
LA PRUDENCE ET LA FIDÉLITÉ N'ONT JAMAIS VOULU
LA DESTRUCTION DES SENTIMENTS ET DE L’ÉROTISME.
TAY

MAIS POURQUOI UN TEL SILENCE AUTOUR DE SA PERSONNE !

Jules Joseph Bonnot est un anarchiste et criminel français, né le 14 octobre 1876 à Pont-de-Roide (Doubs) et mort le 28 avril 1912 (à 35 ans) dans le 4e arrondissement de Paris. Il est le meneur de ce que la presse appela la « bande à Bonnot », un groupe illégaliste ayant multiplié les braquages et les meurtres en 1911 et 1912. Sa mère meurt le 23 janvier 1887 à Besançon alors qu’il n'a que dix ans. Le père de Jules, ouvrier fondeur, doit alors assumer seul l’éducation du garçon.

Indiscipliné et bagarreur, il déteste ses frères et une sœur que son père a eue d'un second mariage, et est rétif à l'autorité dès son plus jeune âge. La scolarisation se passe mal — « Il était paresseux, indiscipliné, insolent », dit de lui un instituteur —, et il abandonne vite l’école. À quatorze ans, il entre en apprentissage, est rebuté par des emplois pénibles et se dispute souvent avec ses patrons successifs. En 1891, à quinze ans, Bonnot est condamné pour la première fois pour pêche avec engin prohibé, puis en 1895 à la suite d'une bagarre dans un bal. Après avoir frappé son père, il est chassé de la maison familiale et se réfugie à Nancy où il est repéré par la police en compagnie d’une prostituée et suspecté de « vagabondage spécial » (proxénétisme). En 1897, il est condamné à nouveau à trois mois de prison pour « coups, outrage, rébellion ». Il est appelé au service militaire le 15 novembre 1897 et rejoint le 133e d'infanterie à Belley. Il termine sa carrière de soldat muni d'un certificat de bonne conduite et d'un brevet de tireur d'élite. Après son service militaire, il est alors ajusteur mécanicien, il se marie le 14 août 1901 à Vouvray avec Sophie Burdet, une jeune couturière. Son frère aîné Justin Louis se suicide par pendaison en 1903 à la suite d'une déception amoureuse.

Héritier des Apaches, c’est à la Belle Époque que Bonnot commence à militer pour l’anarchisme. Il se fait renvoyer des chemins de fer de Bellegarde à la suite de son engagement syndical et politique, et désormais plus personne n’accepte de l’engager. Il décide alors de partir pour la Suisse. Il trouve un poste de mécanicien à Genève6. Le couple attend un enfant mais le nouveau-né, Émilie, meurt quelques jours après l’accouchement. Bonnot milite toujours pour l’anarchisme et acquiert une réputation d’agitateur. Il est alors expulsé de Suisse5.

Ses dons en mécanique lui permettent cependant de retrouver rapidement un emploi chez le constructeur automobile Berliet de Lyon. Le 23 février 1904, sa femme accouche d’un second enfant, Justin. Les convictions politiques de Bonnot restent vivaces : dénonçant les injustices et menant des grèves, il s’attire les foudres des patrons. Il décide alors de quitter Lyon pour Saint-Étienne. Dès cette époque, il est fiché par la police comme « très violent et méchant ».

À Saint-Étienne, il est mécanicien dans une firme reconnue. Il loge avec sa famille chez le secrétaire de son syndicat, un certain Benoit Antoine Besson, qui devient l’amant de sa femme (ils se marieront à Toulouse, le 2 septembre 1935). Pour échapper à la colère de Bonnot, Besson part en Suisse avec Sophie et son fils. Jules adresse à Sophie des messages désespérés. En vain. Il ne reverra plus sa femme ni son fils (un décret présidentiel du 30 mars 1925 homologué par ordonnance du président du tribunal civil de Lyon du 31 mai 1926 obligea Justin à adopter le patronyme de « Besson » à la place de celui de « Bonnot »). Quant à Bonnot, son engagement est toujours plus fort. Il perd son emploi et devient, comme bien d’autres à cette époque, un chômeur miséreux.

De 1906 à 1907, il commet plusieurs cambriolages avec Joseph Platano (1883-1911), son bras droit, un boulanger italien originaire de Peveragno. Bonnot s'exerce notamment à l'ouverture de coffres-forts, ce qui lui permet d'ouvrir deux ateliers de mécanique à Lyon, les voitures et motos qu'il répare lui permettront la nuit de réaliser ses braquages. En 1910, il se rend à Londres pour y rencontrer des cellules anarchistes et serait, selon la légende, devenu le chauffeur de Sir Arthur Conan Doyle (ou d'Ashton Wolfe, ami et collaborateur du romancier10), grâce à ses talents de chauffeur qui lui seront plus qu’utiles dans son aventure illégaliste. Ce fait est toutefois controversé : certaines biographies de Bonnot y font bien référence, mais aucune biographie de Conan Doyle ne le confirme. Edmond Locard rapporte, quant à lui, que Conan Doyle, alors qu'il visitait son laboratoire de police scientifique à Lyon, tomba en arrêt devant un portrait et s'écria : « Mais c'est Jules, mon ancien chauffeur ! »

C’est la première fois qu’une voiture est utilisée pour commettre un braquage, et l’événement a un retentissement considérable, accru par la blessure grave de l’encaisseur. Le lendemain l’événement fait la une des journaux qui surnomme les braqueurs « la bande en automobiles » ou « les bandits tragiques ». La bande déchante pourtant en découvrant le butin qui n’est que de quelques titres et de 5 000 francs. Ils abandonnent leur voiture à Dieppe puis reviennent à Paris. Callemin, parti en Belgique pour tenter en vain de négocier les titres, les rejoint bientôt. Pendant ce temps la police découvre que le braquage est lié au milieu anarchiste, nouvelle qui, lorsqu’elle transpire dans la presse, augmente encore le retentissement de l’affaire.

Une semaine environ après le braquage de la Société générale, Garnier et Callemin trouvent refuge quelques jours chez Victor Serge et sa maîtresse Rirette Maîtrejean. Bien que n’approuvant pas les méthodes de la bande, ils les hébergent par solidarité. Peu après le départ de Garnier et Callemin, la police, enquêtant toujours parmi les anarchistes connus, perquisitionne le domicile de Victor Serge. Le couple est arrêté, officiellement pour détention d’armes trouvées dans un paquet laissé par un ami anarchiste. La presse présente Victor Serge comme le « cerveau » de la bande, estimant que sans lui la capture des autres est imminente. L’événement a en fait plutôt l’effet inverse : de jeunes anarchistes comme René Valet et André Soudy, révoltés par cette arrestation, vont par la suite se joindre au groupe illégaliste !

La bande continue son périple ; le 31 décembre 1911 à Gand, Bonnot, Garnier et Carouy tentent de voler une voiture. Ils sont surpris par le chauffeur mais Garnier assomme celui-ci, puis tue au revolver un veilleur de nuit alerté par le bruit. Le 3 janvier 1912, à Thiais, Carouy, en compagnie de Marius Metge, assassine un rentier et sa femme de chambre au cours d’un cambriolage. Rien n’indique que ce double meurtre ait été concerté avec Bonnot et ses autres complices, mais du fait de la participation de Carouy au coup de Gand, la justice va le confondre avec les autres crimes de la bande.

Le 27 février 1912, Bonnot, Callemin et Garnier volent une nouvelle Delaunay-Belleville. Alors que le trio conduit dangereusement dans les rues du 9e arrondissement, il entre en collision avec un autobus de la ligne Grenelle-Javel-Gare-Saint Lazare sur la place du Havre avant de prendre la fuite. Témoin des faits, un gardien de la paix occupé à régler la circulation tente de les interpeller en saisissant le volant. Garnier fait feu à trois reprises sur l'agent, qui par coïncidence s’appelait François Garnier et qui meurt devant le restaurant Garnier. Cet agent était âgé de trente ans, marié et père d'un enfant. Le meurtre d’un agent de la force publique augmente encore la fureur de la presse et de l’opinion, qui exigent la capture de la bande. Le lendemain à Pontoise, le trio tente de dévaliser le coffre-fort d’un notaire. Surpris par celui-ci, ils sont contraints de s’enfuir en abandonnant le butin !

Le 27 avril 1912, la police le surprend dans sa cachette de Choisy-le-Roi, le pavillon « Nid Rouge » où il est hébergé par un autre membre de la bande et du mouvement anarchiste, le garagiste Jean Dubois. Bonnot a le temps de se retrancher au premier étage de la maison et se barricade, si bien que le chef de la Sûreté préfère faire cerner les alentours et attendre les renforts plutôt que de donner l’assaut20. Un long siège commence, mené en personne par le préfet de police, Louis Lépine, et sous le commandement du capitaine Pierre Riondet et du lieutenant Félix Fontan de la garde républicaine. De plus en plus de troupes diverses arrivent (jusqu’à un régiment de zouaves avec sa mitrailleuse Hotchkiss dernier cri), ainsi que de nombreux badauds venus assister au « spectacle ». Bonnot sort de temps en temps sur le perron pour tirer sur ses ennemis ; il est évidemment accueilli par des salves de tir mais parvient à chaque fois à s’en sortir indemne.

Tandis que le temps passe et que la police tergiverse sur la façon de mettre fin au siège, il se désintéresse peu à peu de ses assaillants pour se mettre à écrire son testament. Finalement, le lieutenant Félix Fontan décide de faire sauter la maison : progressant à l'abri d'une charrette de paille dont le cheval recule, il peut déposer une charge de dynamite puis, une cartouche à la main et le cordon Bickford de l'autre, la faire exploser. Grièvement blessé dans l’explosion, Bonnot prend encore le temps de terminer son testament en affirmant l’innocence de plusieurs personnes dont Dieudonné. Lorsque les policiers emmenés par Xavier Guichard donnent l’assaut, il parvient encore à les accueillir à coup de revolver avant d’être blessé. Il meurt peu après en arrivant à l’Hôtel-Dieu de Paris. Il est inhumé deux jours plus tard dans le cimetière parisien de Bagneux (42e division).

Le procès des membres survivants de la bande à Bonnot a lieu en février 1913. Les principaux accusés sont Callemin, Carouy, Metge, Soudy, Monier, Dieudonné, Victor Serge, auxquels s’ajoutent diverses personnes accusées d’avoir aidé la bande à différents titres.

Callemin est le principal membre survivant ; il utilise le tribunal comme une tribune pour exprimer sa révolte. Il nie les faits qui lui sont reprochés, mais de telle façon qu’il ne laisse guère de doute sur sa culpabilité.
Carouy et Metge sont surtout jugés pour le double meurtre de Thiais ; ils nient mais leurs empreintes digitales les accusent sans équivoque.
À Monier et Soudy est reprochée leur participation au braquage de Chantilly, car les témoins les reconnaissent formellement.
Victor Serge est présenté au début du procès comme la tête pensante de la bande, ce qu’il nie énergiquement, montrant qu’il n’a à aucun moment profité de leurs vols.
Le seul cas véritablement douteux est celui de Dieudonné, accusé de participation au braquage de la rue Ordener. Bonnot et Garnier ont affirmé son innocence avant de mourir. Dieudonné dispose de plus d’un alibi étayé de preuves, montrant qu’il était à Nancy au moment des faits. Contre lui pèsent les témoignages de plusieurs témoins, dont celui de l’encaisseur de recettes dévalisé par la bande.

À l’issue du procès, le 27 février 191327,14 :

Callemin, Monier, Soudy et Dieudonné sont condamnés à mort ;
Carouy et Metge sont condamnés aux travaux forcés à perpétuité (Carouy se suicidera par la suite dans sa cellule) ;
Victor Serge est condamné à cinq ans de prison ; il est parvenu à se disculper de l’accusation d’avoir été le « cerveau » de la bande à Bonnot, mais est condamné pour les revolvers retrouvés à son domicile au cours de son arrestation ;
David Bélonie est condamné à quatre ans de prison et dix ans d'interdiction de séjour.

À l’annonce du verdict, Callemin prend la parole. Alors qu’au cours des débats il avait nié avoir participé au braquage de la rue Ordener, il s’accuse, et affirme que Dieudonné est innocent. Cette déclaration va être utilisée par le défenseur de Dieudonné, maître Vincent de Moro-Giafferri, pour présenter un recours en grâce auprès du président Raymond Poincaré. Celui-ci commue la peine de Dieudonné en travaux forcés à perpétuité.

Callemin, Monier et Soudy sont guillotinés le 21 avril 1913, devant la prison de la Santé à Paris.

Le député et romancier nationaliste Maurice Barrès prit prétexte de l'affaire Bonnot pour refuser le 10 juin 1912, à la Chambre des députés, les crédits que le gouvernement radical-socialiste voulait allouer à la célébration du bicentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, en rapprochant la pensée politique de celui-ci des théories anarchistes. Son discours fut repris par tous les journaux de droite d'alors et eut un retentissement national. On trouve la trace de l'importance quasi-mythique que prirent les exploits de la bande à Bonnot aussi bien chez les écrivains surréalistes des années 1920 (Aragon dans Le Libertinage et, plus tard, dans Les Cloches de Bâle) que chez Cendrars (Moravagine, dont le narrateur se nomme Raymond la Science) ou Armen Ohanian (Dans les griffes de la civilisation).

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 15h
En réponse à @IntlCrimCourt et @KarimKhanQC
LE VIF VIENT D'ÊTRE D'UNE PERTINENCE DES DEVOIRS ET DES SOCIÉTÉS DEVANT LES CALCULS ET LES SITUATIONS :
LES STRUCTURES LIBRE DE LA RÉGION ET AUX VALEURS HUMAINES ET NATIONALES QUI PERMETTENT AUX ÉLÈVES ET AUX PERSONNES
D'ÊTRE PRÉSENTS EN UNE ÉCOLE PRIMAIRE OU UNE UNIVERSITÉ.
TAY

REVENONS VERS NOS MOUTONS !

Les pièces du dossier de l’affaire Landru, sont présentées jusqu’au 15 septembre 2013, au Musée des Lettres et Manuscrits (222, bd Saint-Germain, Paris 7e). Henri Désiré Landru est né à Paris dans le 19e arrondissement. Après une longue et complexe enquête, il sera arrêté, sous le nom de Lucien Guillet au 76 rue Rochechouart (Paris 9e), en avril 1919 par l’inspecteur Jules Belin de la première brigade mobile de la police judiciaire. Il sera exécuté par Anatole Deibler, à la prison de Versailles, le 25 février 1922. Le jour de son exécution, le bourreau notera dans son carnet : « 6h10, par temps clair». Le commissaire scientifique de l’exposition, l’ancien inspecteur de police Jean Bernard Vincent alias Eric Yung a participé au choix des pièces présentées ici une scénographie d’Estelle Gaudry !

Des livres, des essais, des articles et même des chansons ont été écrits sur cette affaire. Des films ont été tournés sur l’histoire de ce personnage « sordide et macabre ». Mais ici ce sont des documents « officiels » du dossier qui ont été réunis ; rapports tapuscrits, éléments d’enquête comme le tableau analytique manuscrit dans lequel les enquêteurs tentent d’établir la chronologie des faits, notes manuscrites des enquêteurs. Des précisions, adresses et occupations, sont fournies pour chacune des onze victimes, dont la presse de l’époque a publié la photo … Au-delà du fait divers, l’un des plus célèbres du XXe siècle, cette exposition nous rappelle qu’en l’absence de corps son mode opératoire n’a jamais totalement été élucidé. Il a été condamné pour avoir tué, découpé, brûlé et abusé la confiance de onze victimes mais jusqu’au bout il a refusé tout aveu…

Les commissaires des gares et des ports, créés sous Napoléon III, chargés de lutter contre la criminalité mais aussi de missions politiques, sont les ancêtres des brigades mobiles.

Placées sous l'autorité du Contrôle général des services de recherches judiciaires nouvellement créée, ces « Brigades du Tigre » sont au nombre de douze à l'origine (1re brigade de Paris, 2e de Lille, 3e de Caen, 4e de Nantes, 5e de Tours, 6e de Limoges, 7e de Bordeaux, 8e de Toulouse, 9e de Marseille, 10e de Lyon, 11e de Dijon et 12e de Châlons-sur-Marne), puis quinze par le décret du 31 août 1911 (brigades de Rennes la 13e, Montpellier la 14e et Nancy la 15e)3. Elles étaient ainsi implantées dans les principales villes de province. Par ce même décret les 4e, 5e, 6e et 12e brigades sont respectivement relocalisées à Angers, Orléans, Clermont-Ferrand et Reims.

Chacune d'entre elles était dirigée par un commissaire divisionnaire, assisté de trois commissaires de police et commandant quinze à vingt inspecteurs qui effectuaient leur travail vingt-quatre heures sur vingt-quatre en se relayant par groupes de cinq. L'effectif initial est composé de 168 policiers (12 commissaires divisionnaires, 36 commissaires et 120 inspecteurs)2. Ainsi, leur activité continue dans leurs enquêtes, surveillances et filatures optimisaient l'efficacité de leur mission et maintenait une pression constante sur le banditisme.

En 1919, la 1re brigade mobile, qui quittera Paris pour Versailles, va s'illustrer avec l'arrestation par l'inspecteur Jules Belin d'Henri Désiré Landru, le « barbe bleue » de Gambais. Leur nombre passe à dix-sept par un décret de décembre 1919 (création de la 16e brigade d'Amiens et de la 17e de Strasbourg), puis à 19 par décret du 8 octobre 1920 (la 18e de Rouen et la 19e d'Ajaccio), le nombre de brigades régionales est ramené à 16 en septembre 1924.

Le 9 août 1938, le nombre de brigades mobiles passe à 19. Elles sont ainsi implantées à : Versailles (1re), Lille (2e), Rouen (3e), Angers (4e), Orléans (5e), Clermont-Ferrand (6e), Bordeaux (7e), Toulouse (8e), Marseille (9e), Lyon (10e), Dijon (11e), Reims (12e), Rennes (13e), Montpellier (14e), Nancy (15e), Strasbourg (16e), Pau (17e), Digne (18e) et Chambéry (19e).

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 14h
En réponse à @VOAfarsi
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE EST EN TOUTES INTELLIGENCES DES INFORMATIONS : AU VIF PATRIARCAT, DES CITOYENNES ET DES CITOYENS
ONT MANIFESTÉ AVEC PRESTANCE ET DÉTERMINATION DES CONDITIONS ET DES DROITS QUI SONT AU CŒUR MÊME DE NOTRE MÈRE PATRIE ET
DES TERRES ANCESTRALES !
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini
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yanis la chouette




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Date d'inscription : 12/11/2005

COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE  Empty
MessageSujet: Re: COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE    COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE  EmptyDim 24 Sep à 9:14

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 22 sept.
En réponse à @observesyria
CONDAMNATION ?
AU VÉRITABLE DE L'EXISTENCE, LES MÉTAMORPHOSES DES NUAGES ET DE LA POUSSIÈRE SE DÉTACHENT
DE L'ÊTRE QUI GOUVERNE SA VIVANTE NATION !
EN LA RÉALITÉ, NOUS SOMMES LA JUSTICE QUI ENTENDS LES TERRES ET LEURS VICTIMES :
LE TUMULTE DE VOTRE VOLONTÉ OU DE SON DÉSIR ?
TAY

CULTIVEZ VOS FRUITS SANS SOMBREZ EN L'IVRESSE : LE GOUFFRE N'EST PAS UNE TENTATION.
SACHEZ TROUVER LA CLÉ QUI VOUS EST PROPRE.
EN CE CERCLE NOUS SOMMES UN CENTRE EN LA POUSSIÈRE, L'INFINI ET L’INDÉFINI AYANT UNE INFINITÉ DE MOUVEMENTS !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM : IN GOD WE TRUST.
TAY

VIVRE QUE L'IMPROBABLE N'EST PAS L'IMPOSSIBLE, LA RÉALITÉ N'EST QU'UNE SUGGESTION D'UN IMPOSSIBLE IMPROBABLE SI RÉEL !
CE SERMENT PAR LE SOUFFLE ET LES CIRCONSTANCES QU'EST LA RÉPUBLIQUE DANS LE SERMENT DE DÉMOCRATIE POUR LA SYRIE, LE YÉMEN ET AUTRES !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 22 sept.
En réponse à @USApoRusski et @POTUS
L'AU DELÀ EST UN PHÉNOMÈNE INDÉFINI ET STABLE DANS LA NATURE : UNE ROTATION ET SON ENVIRONNEMENT !
LE SOUFFLE SUR LA SOURCE OÙ LA NATURE INVOQUE LA JUSTICE.
LES MESURES NÉCESSAIRES SONT
LA PERSPECTIVE D'UN HORIZON OÙ L'INFINI, LE MOUVEMENT, L'HORIZON, LE TEMPS ET LA VIE !
TAY

MES AMI'E'S ET MES COMPAGNONS
LE MIRACLE NOUS POUSSE À UNE PRIÈRE DEVANT LE MIROIR DU CIEL CAR SENSIBILITÉ DES SENTIMENTS DONNE DES ILLUSTRATIONS AUX IDÉES.
À NOUS DE DÉFINIR SI IL EST LA CAVERNE, UN SENTIMENT OU UN HORIZON.
L'ESPACE D'UNE SOURIS EST L'INFINI D'UN IMAGINAIRE.
TAY

LA PERSONNE ET LA PERSONNALITÉ !
L'ANTARCTIQUE EST CAR L'AMOUR EST NOTRE ÉLIXIR :
ÊTRE PRÉSENCES ET LOGIQUES OÙ INTERPELLEZ LE DESSEIN ET LE DESTIN !
LE CHAOS AIME LA LUNE DANS LE TEMPS,
LA NATURE SAUVAGE LA RÉCONFORTE CAR SA LIBERTÉ
NE PEUT DEVENIR LA LUXURE : L'EXISTENCE.
TAY

LE VIF EST UN DÉVELOPPEMENT OÙ LES ÉTOILES CONSTITUENT UN MAGMA DE SENTIMENTS DE L'HORIZON DES ÉVÉNEMENTS :
LE PRINCIPE DU TEMPS ET LA RÉALITÉ GÉOGRAPHIQUE RATTRAPENT LA GRAVITÉ ET SON PLACENTA CAR LA MATIÈRE DÉVELOPPE UNE MÉTAMORPHOSE EN LA SITUATION !
IN GOD WE TRUST !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 19 min
En réponse à @antonioguterres
LA DISPARITION DE DEUX VEUVES NE SEMBLENT PAS INTERPELLER SA HIÉRARCHIE MAIS LUI MALGRÉ SON JEUNE ÂGE N'EST PAS NÉ DE LA DERNIÈRE PLUIE !
COMPAGNON JULES BELIN ET LA PAGE INDÉPENDANTE :
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1373-compagnon-jules-belin-la-judiciaire-y-la-page-independante#14676
AU LIEU D'ENTERRER UNE LETTRE MORTE, IL VA CHERCHER LE SENS.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 14 min
En réponse à @VOAfarsi
LA SÉCURITÉ ET LA PRÉVENTION DANS LE SOCIAL, L’ÉCOUTE ET L’HYGIÈNE !
LE PROPRE AUX SENTIMENTS EST DE PERMETTRE ET DE PERCEVOIR L'INSTANT TOUT EN AYANT
UN TÉMOIGNAGE DANS LE JUGEMENT :
UN SENTIMENT.
OUI AUX GRÈVES ET NON AUX TORTURES !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 11 min
En réponse à @UN
AINSI DANS UN ÉTAT D'ÂME, LE SILENCE EST UN SOUFFLE OÙ LA SOURCE DE LA SITUATION
MONTRE LE CARACTÈRE DE LA SOCIÉTÉ ET DE SA SITUATION. DANS LA PÉNOMBRE
DE LA SURVIE, LE DÉSIR EST TOUJOURS LIÉ À UN DESTIN LORSQUE LES DEUX CARACTÈRES
ONT DÉCIDÉ DE S'UNIR DANS UN MUTUEL ACCORD.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 10 min
En réponse à @YaelBRAUNPIVET
SAUVEGARDE DU SERVICE PUBLIC ET DES ACQUIS SYNDICALES EN LES PROGRAMMES JURIDIQUES
SUR LA PROTECTION CONTRE L'ESCLAVAGE, CONTRE LES TORTURES,
CONTRE LES HARCÈLEMENTS MORAUX ET PHYSIQUES ET, CONTRE LES VIOLS MORAUX ET PHYSIQUES :
SE TENIR PRÊT EN L'IMPROBABLE ET L'IMPRÉVISIBLE !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 10 min
En réponse à @AASCBSPM @sis_2b et 5 autres personnes
LA NAISSANCE DE LA VIE EST LE PRINCIPE DE NATURE. EN CELA, PAR LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION
ET DE LA PHILOSOPHIE, L'UNIVERS ET L'INFINI SONT DE CE DOMAINE DE DROIT CAR LA QUESTION
SERA INÉVITABLE POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES :
LA SOLIDARITÉ SERA L'HÉRITIÈRE DU RÉCONFORT.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 6 min
En réponse à @USApoRusski
LA LIBERTÉ EST UN AVENIR ET L'ÉTHIQUE DEVIENT L'ÊTRE :
LA JUSTICE, LE SERVICE PUBLIC ET LA RÉPUBLIQUE !
LA CONSCIENCE SE LIBÈRE DES CHAINES QUAND ELLE RESSENT LA RÉALITÉ :
AINSI EST LE SAVOIR QUE LA LAÏCITÉ RÉSERVE AUX ÂMES QUI NE VIOLENT PAS LA NUIT QUI ESTOMPE LA BRÛLURE !
TAY

GUERRES FROIDES ET DÉCOLONISATIONS EN LE CHAPITRE 18 DE LA DÉFINITION ANTIQUE VARIABLE DU CROIRE N'EST PAS DE CONDAMNER
SANS AVOIR DES PREUVES DANS LA PROPRIÉTÉ PUBLIQUE ET LE DROIT RELIGIEUX :
L'ÉPINE NATIONALISTE EN LE CŒUR DU PEUPLE OU DISCOURS D'UN DIAPHRAGME NUCLÉAIRE !
TAY

LE COMMISSAIRE JULES BELIN DANS LA PROPRIÉTÉ PUBLIQUE ET L'ÉPINE DU PEUPLE : LE CYCLONE S'ÉGOUTTE SELON L'ÉVANOUISSEMENT DE LA GRAVITÉ : JE RESTE UN FLIC POUR LE TOUT EN CHACUN !
DANS MON CŒUR, LE GOUFFRE N'EST PAS UNE TENTATION :
SACHEZ TROUVER CETTE CLÉ QUI VOUS EST PROPRE.
TAY

LA RAISON EN LA SURETÉ NATIONALE DANS LA FÉDÉRATION EN CE QUI EST LE RÉACTIF DES URGENCES DANS LE SOUFFLE DE NOS QUOTIDIENS :
NOS ACQUIS, NOTRE DÉONTOLOGIE ET NOS TESTAMENTS SUR LA CONDITION, LA MIXITÉ ET LE SAVOIR ET QUE, JE RESTE CE FLIC POUR LE TOUT EN CHACUN CAR JE SUIS !
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini
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http://www.atelier-yannistignard.com
 
COMPAGNON JULES BELIN, LA JUDICIAIRE Y LA PAGE INDÉPENDANTE
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