LE MINISTRE DE LA VILLE, L'ÉCOLOLOGIE, L'INDUSTRIALISATION, LES INSTITUTIONS ET LES MAIRES !
LES VILLES URBAINES ET LES CAMPAGNES RURALES SANS OUBLIER LES VILLES RURALES ET LES CAMPAGNES URBAINES !
DANS LA POUSSIÈRE DES POÉSIES, LE CYCLE DES NATURES DÉVOILE LE DEVENIR ET LES CARACTÈRES :
AINSI LA MARRÉE SUBIT L'ATTRACTION D'UNE MATIÈRE ALORS QUE LA LUNE INFLUENCE LES TRAJECTOIRES.
LA RÉALITÉ INTERPELLE LA MÉTÉO : LES MÉTAMORPHOSES DES NUAGES SE DÉTACHENT DE L'ÊTRE.
LA SOUFRIÈRE SOUFFLE SUR LES SOURCES PENDANT QUE DES NUAGES ACCENTUENT LA FERTILITÉ DE LA TEMPÊTE.
LA CERTITUDE DE LA TERRE TRANSPIRE LES TRADITIONS ALORS QUE L'ÉCLAIR TRANSFIGURE LA MÉTAMORPHOSE DES FRUITS.
EN CE SOUVENIR, LE MOMENT SE FAIT DANS LE SENTIMENT.
LA CONNAISSANCE DES VOLCANS EST TRÈS IMPORTANTE CAR ELLE IMPLIQUE LE PRINCIPE
D'INTERVENTION SECOURISTE :
CES PHÉNOMÈNES SE RETROUVENT AUTANT CHEZ LES PLANÈTES ET LES SATELLITES.
SI SUR UNE COMÈTE, CELA SEMBLE IMPROBABLE, CELA N'EST PAS POUR AUTANT DU DOMAINE DE L'IMPOSSIBLE.
LA MASSE DANS LA MORT TOURNE SA CONSCIENCE VERS UNE SITUATION ET UNE SILHOUETTE: DANS L'ATOME, IL S'AGIT D'UN MOUVEMENT ET
DANS LE PEUPLE, IL S'AGIT D'UNE PRÉSENCE ET D'UNE CONSCIENCE. IL Y A L'ÉTHIQUE QUI NOUS MONTRE L'ÉQUILIBRE ET LE DROIT D'ÊTRE
SANS ÊTRE VIOLER OU ÊTRE VIOLEUR !
Les transformations du système politico-administratif français, ainsi que les évolutions économiques à partir des années 1970, ont refaçonné le pouvoir municipal. La figure du maire-notable aurait ainsi glissé vers une dimension plus entrepreneuriale et gestionnaire, correspondant au développement des collectivités locales, de leurs sources de financement et des procédures contractuelles. L’étude du maire par le prisme de la production de politiques publiques locales permet de relativiser ce glissement pour souligner l’imbrication de logiques notabiliaires dans la mobilisation des ressources et de dynamiques de type entrepreneurial dans le pilotage des politiques ainsi que dans les temporalités et les risques de l’action publique. De plus, l’observation de l’ensemble du processus de production des deux politiques urbaines décrites révèle la capacité de l’équipe municipale emmenée par le maire à définir les règles du jeu entre les acteurs, à intégrer les intérêts divergents et à pérenniser l’interdépendance entre les différents acteurs de la mise en œuvre. Cet article s’attache ainsi à faire dialoguer une étude du gouvernement urbain avec l’observation de politiques publiques locales, afin de saisir les mécanismes de transformation du pouvoir municipal ! Depuis sa création, la politique de la ville a bénéficié d'un cadre d'action privilégiant la souplesse à travers, notamment, la Délégation interministérielle à la ville. Cette organisation a, sans doute, été précieuse au début afin d'inciter les ministères à travailler ensemble et de les rassurer face à l'émergence toujours redoutée d'une nouvelle bureaucratie, alors que la nécessité même d'une « politique de la ville » était discutée. Pourtant, au fil des années et des gouvernements, la souplesse a pu donner le sentiment de céder la place au flou et la modification incessante des périmètres a pu limiter l'efficacité de cette politique. Cette analyse est partagée par de nombreux élus locaux concernés au premier chef, qui regrettent les « adaptations nombreuses à chaque arrivée de ministre et le fait que la "politique de la ville" est vécue comme variable d'ajustement du budget national » !
Propositions au titre de la loi, de la participation des collectivités locales à la diversité de l'habitat et création d'établissements publics fonciers-continuité avec la politique déjà engagée notamment à propos des programmes locaux de l'habitat et des conventions ville :
- habitat-seuil des 350000 habitants pour l'obligation des programmes locaux de l'habitat-maintien de la diversité sociale à l'occasion des rénovations des quartiers anciens-propositions du CES "programmes locaux d'intégration urbaine" et de "programmes d'amélioration de la vie quotidienne" pour les quartiers récents-aides fiscales à l'implantation d'entreprises dans les quartiers-maîtrise foncière par les collectivités notamment grâce aux ZAD !
Mots-clés : Gouvernement urbain, Politiques de constructions, Politiques d'espaces publics et de circulations Politiques publiques, Politiques urbaines, Pouvoir municipal, Projets urbains, Politiques de la ville, France et autres aspects déontologiques, sociaux, culturels, religieux, philosophiques et fiscales !
1 Les transformations de la figure du maire ont donné lieu à des typologies sur les différentes logiques de son activité et leur imbrication (Lorrain, 1993, p. 295). Ce personnage central de la vie politique française, pris dans des logiques à la fois partisanes et de représentation politique, mais aussi de production de services et de politiques publiques, a été qualifié successivement de notable, de bâtisseur ou d’entrepreneur. La notion de maire-notable a été façonnée dans les années 1970 dans le contexte d’un état centralisé et planificateur. Homme de réseaux, le notable sait à la fois jouer de relations locales tissées avec différents milieux sociaux pour construire son « fief » (Lagroye, 1973) et de ses liens avec le système partisan national pour représenter son territoire et attirer les ressources depuis la capitale (Gremion, 1976), phénomène renforcé par le cumul des mandats. Il opère ainsi « l’articulation, l’intégration et la régulation des différents champs d’action », qu’ils soient politiques ou administratifs (Garraud, 1990, p. 22), travail dont résultent son pouvoir et sa légitimité.
2 Les changements institutionnels, mais aussi économiques de ces 30 dernières années ont conduit les chercheurs à renforcer la présentation du maire comme producteur de politiques publiques et acteur du développement économique et à envisager son action par le vocable du maire entrepreneur. Il devient stratège dans son intervention sur le développement économique, s’inscrit dans la concurrence entre les villes et développe des outils managériaux de gestion de l’administration municipale. Devant l’État, le maire devient un représentant de son territoire, un porteur de projet prêt à négocier des contrats pluriannuels. La légitimité acquise par la maîtrise d’un ensemble de réseaux permettant d’attirer les ressources financières ministérielles et de s’assurer que des soutiens locaux se transforme en une légitimité par l’action (Lorrain, 1993).
3 La mise en place de normes, d’appels d’offre et la constitution d’une culture managériale de l’action publique dans les années 1990 n’ont pas remplacé les pratiques antérieures, mais les ont au contraire alimentées et réorientées : les pratiques politiques et les mutations de l’action publique se nourrissent réciproquement et les changements sont donc plus nuancés. Plusieurs travaux s’attachent notamment à critiquer la description entrepreneuriale, en montrant des pratiques notabiliaires inchangées et qui s’adaptent aux nouveaux leviers de pouvoir comme l’intercommunalité ou la formulation de documents directeurs (Bardet et Jouve, 1999). Pour penser cette imbrication entre mécanismes notabiliaires et changements de l’action publique, d’autres développent ou expérimentent la notion de leadership (Smith et Sorbets, 2002).
4 Les élus locaux gouvernent selon des mécanismes de pouvoir hérités du passé et dans des contextes économique et sociaux en évolution. La multiplication des sources de financement a non seulement rendu les élus plus fragiles financièrement, mais également politiquement et juridiquement, tandis que le blâme peut difficilement être rejeté sur l’État, bien que l’Europe puisse constituer un nouveau bouc émissaire.
5 La mobilisation de ressources autour d’un objectif défini est un trait caractéristique de la production de politiques publiques. Ces ressources peuvent être légales, financières, matérielles ou humaines. Elles représentent autant de leviers pour l’action : leur articulation autour d’un objectif fixé procède d’un travail qui peut dépasser la simple prise en compte des réseaux sociaux et politiques ou du cumul des mandats. Nous nous attachons à distinguer ici entre des ressources héritées et articulées autour du projet du nouveau maire en 1989 et celles qu’il construit par la suite. Cette distinction permet de comprendre que si son élection en 1989 est présentée comme une rupture dans les sources consultées, il s’agit plutôt d’un renversement politique interne à l’agglomération que d’une rupture brutale dans la production des politiques publiques.
6 Cette grande hétérogénéité des situations, comme l'évolution incessante des périmètres, ne constituent pas, assurément, un gage d'efficacité et de lisibilité de la politique de la ville. C'est en particulier vrai pour le suivi des différents programmes de la politique de la ville qui manquent d'indicateurs fiables et de données continues. Par ailleurs, l'absence de ministère de plein exercice peut constituer une difficulté supplémentaire si celle-ci donne lieu, comme on le constate fréquemment, à une compétition entre le ministre « chef de pôle » et son secrétaire d'État ou son ministre délégué. Enfin, un dernier inconvénient de la situation actuelle peut apparaître lorsque la politique de la ville relève d'un simple secrétariat d'État, et que celui-ci ne dispose pas du poids suffisant pour obtenir des arbitrages favorables auprès des autres ministères, dont celui des finances en particulier.
7 On relèvera que cette instabilité a également caractérisé l'organisation du Comité interministériel des villes et du développement social urbain. Celui-ci devait pourtant avoir un rôle important, aux termes du décret du 28 octobre 1988, puisqu'il devait définir des programmes, « veiller à l'exécution des engagements financiers » pris par les ministères en application de ces programmes et « assurer le suivi des actions financées par l'État ». Or il n'a été réuni que de manière très erratique, à la différence du Comité d'aménagement et de développement du territoire, qui se réunit au moins une fois par an.
8 La prise en compte des héritages du paysage politico-institutionnel fait apparaître la marge de manœuvre, dont le maire peut bénéficier. Il s’assure notamment le soutien technique et politique de la communauté urbaine et de l’agence d’urbanisme. L’attraction de ressources financières, légales ou même en termes de soutien par ses réseaux font apparaître un maire certes entrepreneur, mais qui a également recours à des dynamiques notabiliaires plus classiques. Le travail de direction et d’orientation des acteurs dans la production des deux politiques fait alors apparaître une autre facette de son gouvernement. Le maire joue un rôle de levier dans la mobilisation de ressources pour l’action. L’observation des mécanismes d’intégration des acteurs nous conduit à considérer d’autres mécanismes de son gouvernement : la constitution de règles du jeu et leur institutionnalisation. Dans cette entreprise, le maire incite les acteurs de la mise en œuvre à le suivre, mais il parvient aussi à éviter ou à intégrer d’autres acteurs, dont les intérêts divergent. Ces mécanismes de pilotage sont au cœur de l’activité du maire qui gouverne, conjuguant à la fois des méthodes pour inciter à la mise en œuvre, mais pour partager la décision afin d’éviter le blâme. Nous distinguons ici d’une part les mécanismes mis en place pour piloter les objectifs de l’action publique, et d’autre part, ceux qui permettent de mobiliser à la fois les acteurs à la fois de la mise en œuvre, mais aussi ceux qui revendiquent leurs intérêts dans les deux projets. Les démarches partenariales et transversales de la politique de la ville drainent un grand nombre d’acteurs41. Les associations, les partenaires financiers et les partenaires institutionnels qui se réunissent sont alors structurés en groupes de travail dirigés par des élus et chapeautés par l’adjoint au logement, tandis que le maire a le dernier mot sur les projets présentés. Ce pilotage opérationnel est renforcé par la création d’un comité de pilotage ad hoc qui réunit la mairie de Dunkerque, les représentants de l’État, les bailleurs et la communauté urbaine. Mais c’est surtout avec la création d’une « conférence communale spécifique » que la municipalité se dote d’un puissant outil de contrôle politique des objectifs. Cette instance, présidée par l’adjoint au logement, s’occupe spécifiquement du relogement des familles du quartier, au cas par cas. Elle réunit les bailleurs, l’État et les élus pendant quatre ans sur la base du « secret partagé » et élabore des critères de relogement ou de maintien sur le quartier : favoriser les familles en début de parcours résidentiel, les ménages de petite taille et ceux dont au moins un membre est en activité.
9 La restructuration est orchestrée par un trio d’acteurs qui assigne des objectifs et assure le suivi des opérations. Le maire mobilise, d’une part, un réseau d’acteurs techniques aguerris aux pratiques de la politique de la ville qui se sont diffusées depuis les expériences grands-synthoises. Il compte, d’autre part, sur l’intervention directe de l’adjoint municipal et communautaire au logement pour suivre le programme. Partisan d’une restructuration en profondeur, ce dernier porte le projet depuis ses débuts : il sensibilise dans un premier temps le maire à la situation du quartier et fait ensuite appel à lui pour drainer les ressources et intervenir dans les négociations avec le bailleur social principal. Un acteur de l’État parle du « projet de M. XX », tandis qu’un membre de l’agence d’urbanisme évoque « le boss, le chef. C’était son projet. Par exemple, l’adjoint à l’urbanisme, il n’avait pas son mot à dire. [...] C’était son truc à lui ». La relation d’interdépendance entre le maire et son adjoint garantit ainsi le verrouillage de la politique.
10 La création de telles structures de pilotage chargées de formuler et de contrôler les objectifs est moins facile à identifier dans le cas du projet Neptune. Cela peut être le fait d’un manque de connaissance des groupes de décision plus informels. Si l’on se concentre sur les structures de pilotage existantes, on peut difficilement parler de contrôle des objectifs, tant ces derniers restent généraux. Neptune est considéré depuis les années 1980 comme un « label sans contenu ». Si la programmation semble évanescente, les communications concernant l’esprit de retournement de la ville sur la mer remplissent ce vide. L’encadrement du projet par des structures publiques et parapubliques semble tenir lieu d’objectif. Le remplacement du groupement d’intérêts économique par une société d’économie mixte (la Société de développement du Dunkerquois, S3D) est présenté dans ce cadre comme permettant de garder l’initiative publique de l’aménagement des deux zones, mais aussi de donner des garanties aux futurs investisseurs. Alors que la restructuration du Carré-de-la-Vieille nécessite le partenariat des bailleurs sociaux, de l’État et schématiquement de partenaires publics, l’attraction de partenaires privés dans le cas de Neptune est au cœur du projet. La capacité de l’équipe municipale à prévoir les projets en est réduite, mais la définition de cadres d’interactions en prévision de la participation des acteurs privés permet d’envisager les futures négociations. La création de deux zones d’aménagement concerté permet ainsi la mise en place des projets constituant le projet Neptune. La mise en valeur du caractère public de ces structures permet d’attirer l’attention sur l’importance de l’attraction des ressources par la municipalité, alors que les investisseurs privés fuyaient dans les années. Pour encadrer l’action des promoteurs immobiliers qui arrivent avec les débuts de l’aménagement de la zone du Grand Large en 1999, la communauté urbaine rédige un cahier des charges pour sélectionner un groupe de promoteurs tenant lieu d’interlocuteur unique. Pour sceller la collaboration avec la municipalité, un protocole d’accord voit le jour au moment de la sélection du consortium.
11 Les différences entre les deux politiques seraient-elles dues à leur cadre d’action ? La politique de la ville apparaît comme plus normée, encadrée dans le temps et dans l’espace par des mécanismes de financement contractuels, incluant une dimension programmatrice. Le projet urbain est encadré par des structures de pilotage publiques ou parapubliques, mais dépend fortement de la participation des investisseurs privés. De ce fait, l’équipe municipale le présente comme un projet inscrit dans le temps long et sans visée programmatrice.
12 La comparaison des modalités d’encadrement des acteurs de la mise en œuvre et de l’intégration des intérêts qui se mobilisent autour des deux politiques permet de relativiser cette différence tenant à la nature et au cadre d’action des deux politiques. Alors que les modes de contrôle des objectifs divergent, l’intégration des intérêts est menée dans les deux cas par des mécanismes d’enrôlement des acteurs. Nous distinguons ici la relation de l’équipe municipale avec, d’une part, les acteurs directement impliqués dans la mise en œuvre des politiques et, d’autre part, les acteurs qui s’immiscent dans le processus. Ce second type d’acteurs, les « invités », se sont insérés dans le jeu municipal en cours de projet, soit pour infléchir la décision, soit pour en contester la mise en œuvre. On assiste dans les deux projets à la mise en place de mécanismes de partenariat et de coopération qui ne sont pas décidés en amont, mais construits au cours de la formulation et de la mise en œuvre des politiques.
13 Le projet Neptune émerge, quant à lui, à la suite d’une série de projets qui voient le jour dans les années 1970. Cette époque de croissance, ou du Far-West selon l’expression de deux acteurs de la municipalité rencontrés, est marquée par un foisonnement de projets de construction d’un centre tertiaire à Dunkerque, afin de contrebalancer le déplacement de l’économie dunkerquoise vers l’ouest de l’agglomération suite à l’implantation du complexe sidérurgique. La zone des bassins, qui ouvre le centre-ville sur la mer, est un lieu qui suscite l’ambition de la municipalité dunkerquoise depuis plusieurs décennies sans que les investisseurs privés n’aient montré beaucoup d’enthousiasme, ni que la municipalité ne puisse soutenir toutes les initiatives. La fermeture des chantiers navals, en 1986, laisse la zone en friche et représente alors une opportunité pour remettre ces projets à l’agenda. L’équipe de Michel Delebarre reprend donc le flambeau d’une politique héritée. L’aménagement de ces terrains se fait par la constitution de deux « zones d’aménagement concerté » (ZAC), soit des zones aménagées et équipées dans leur ensemble et dont l’initiative publique est ici orchestrée par la municipalité (Jegouzo, 2000). La première ZAC, dite des « Bassins », est achevée en 1999. Elle est essentiellement composée d’infrastructures publiques — port de plaisance, criée, université — avant que deux centres commerciaux ne voient le jour en 1999. La ZAC dite du « Grand Large » commence à être aménagée en 1999 à l’est des bassins. Il s’agit d’une zone d’habitat publique et privée. Le projet Neptune dépasse les seules frontières de la revalorisation des friches du chantier naval : le projet sur les bassins donne lieu à une restructuration du centre, comprenant notamment la réfection des places publiques, de la zone de la gare et s’étend aujourd’hui avec le programme du Grand Large jusqu’à la plage plus à l’est. Le projet s’étend et s’étale donc à la fois dans l’espace et dans le temps.
14 Si ces atouts deviennent des ressources pour drainer des financements, d’autres ne se sont pas révélés suffisants ou pertinents. L’exemple de la relation entre la municipalité et le principal bailleur (OPAC) illustre cette différenciation entre les atouts du candidat et les ressources mobilisables pour l’action. Suite à la rénovation de 1986, ce bailleur ne possède pas de marge de manœuvre financière suffisante pour rénover les sept bâtiments qu’il possède sur le quartier. Le maire propose alors de racheter deux immeubles au bailleur et d’en donner la gestion à l’autre bailleur (Cottage social des Flandres). Mais il est légalement impossible pour une municipalité d’acheter un logement social occupé. Le maire de Dunkerque tente jusqu’à la fin des années 1990 de faire modifier la législation en vigueur, notamment en requérant le soutien du ministre de l’époque. Toutes les tentatives de montage juridique et financier en usant des réseaux politiques du maire échouent. La participation financière du bailleur est définitivement réglée par un prêt de 2925 millions de francs que la municipalité lui octroie. On perçoit ici que les atouts du maire — principalement le cumul des mandats et ses appuis ministériels — n’ont pas permis d’aboutir aux résultats désirés. Le travail d’articulation des ressources passe donc aussi par des échecs, des tâtonnements et des ajustements.
- Mobiliser et orienter les ressources de l’action publique
- Héritages de la configuration institutionnelle et de l’action publique
- L’activation des atouts et leur transformation en ressources pour l’action
- Orchestrer les politiques publiques : contrôle des objectifs et enrôlement des acteurs
- La formulation et le contrôle des objectifs
- Structures d’échange et médiation politique : l’enrôlement des acteurs
- La stabilisation des règles du jeu
- Conclusion
15 La mise en perspective des mécanismes d’intégration des acteurs dans les deux politiques publiques pourrait donner l’impression d’une succession de stratégies de court terme visant à adapter le rôle mayoral à la nature et à la configuration des acteurs en présence, à leur capacité d’intercession ou de blocage. Néanmoins, on peut dégager la formulation d’un cadre d’action global permettant de lier dans chaque projet tous les acteurs autour d’objectifs communs et de stabiliser la coopération dans le temps. Ce mécanisme est assuré par la mise en place de chartes qui ne permettent pas tant de fixer des normes d’action, que d’institutionnaliser les relations entre les différents acteurs. Une analyse des politiques locales à partir du maire en action permet d’observer la capacité des responsables politiques à mobiliser, articuler et orienter des ressources hétérogènes, à mettre en place un pilotage de l’action publique et stabiliser les règles du jeu. Les réseaux politiques et sociaux du maire ainsi que son accès aux cabinets ministériels ont permis d’initier des projets urbains coûteux et ambitieux. Néanmoins, non seulement ces logiques ne sont pas suffisantes pour expliquer la mobilisation de l’ensemble de ces ressources — soutien du conseil général de droite dans le cas du Carré-de-la-Vieille et incapacité du maire à infléchir la législation sur le logement social — mais elles ne permettent pas non plus d’appréhender l’ensemble du processus de production des deux politiques. Si la mobilisation initiale des ressources dépend pour beaucoup de mécanismes notabiliaires classiques, leur articulation et la pérennité de l’action publique dépendent de la fixation des objectifs par l’équipe municipale et de la mise en œuvre des projets. La qualité d’entrepreneur que l’on peut attribuer au maire se lit surtout dans la mise en œuvre des politiques qui témoigne de la maîtrise de plusieurs horizons temporels et notamment le long terme, avec la volonté de diminuer les risques en laissant la porte ouverte aux développements futurs ou en institutionnalisant des partenariats sur le long terme.
16 Si la maîtrise des risques témoigne de logiques entrepreneuriales, c’est surtout le rôle structurant de la formulation de règles du jeu par la nouvelle municipalité qui rapproche les deux cas et cristallise cette articulation des logiques notabiliaires et entrepreneuriales. Les lieux d’échanges et d’intégration des acteurs de la mise en œuvre et des intérêts divergents sont au cœur du processus de production de ces politiques urbaines. Les lignes directrices du master plan, les chartes, les différentes strates de la démocratie participative et les processus de compromis trouvés avec les commerçants du centre-ville ou avec les habitants pour le parc urbain sont autant de règles mises en place permettant de distinguer les acteurs et les actions pertinents. Ils permettent surtout d’intégrer les intérêts contradictoires en instituant des espaces de dialogue et de compromis qui se perpétuent par la suite par des liens contractuels ou l’institution de liens d’interdépendance. Il ne s’agit donc pas de rejeter simplement le blâme, mais plutôt de le disperser ou de le fondre dans le processus de mise en œuvre. Ainsi, les choix forts opérés par la municipalité comme celui de transformer le peuplement du Carré ou d’installer un centre commercial sur l’ancien site des chantiers navals semblent être légitimés par sa capacité à intégrer les mécontentements, afin de trouver des compromis ou des ajustements aux projets. Dès lors, les débats ne portent plus tant sur les finalités des projets que sur leurs dynamiques de développement, ce qui pose la question des transformations de la légitimité politique et de ses liens avec ces modalités de production de l’action publique.
17 Les fonctionnaires ne sont pas oubliés et diverses mesures de valorisation de la carrière des agents travaillant dans ces quartiers sont prises en 1991 (un avantage spécifique d’ancienneté – ASA – d’un mois par année passée dans une circonscription comprenant un quartier en DSU…) et sont censées les inciter à travailler dans ces espaces urbains.
18 Les lois, les dispositifs, les mesures se multiplient depuis les années 1970 pour promouvoir ou accompagner les multiples tentatives de réformer et améliorer l’action publique. Pour se repérer dans la chronologie qui suit, nous verrons d’abord le processus d’institutionnalisation avec la création d’instances, la promulgation de lois… Nous soulignerons ensuite la territorialisation qui accompagne la conception de cette action publique avant de distinguer sommairement ce qui contribue à constituer ou conforter des domaines d’action comme la prévention de la délinquance, la formation et l’insertion ou la culture ! La loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité « permet aux habitants d’être mieux associés à la vie locale à travers l’instauration des conseils de quartier, et procède à plusieurs transferts ou extensions de compétences, au profit, essentiellement, des collectivités régionales ».
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 5s
AUX AIGUILLES DES MOUVEMENTS DES MARÉES, MAINTENANT; JE GUIDERAI
LES VOYAGEURS DEPUIS MON PHARE ET DANS MON RIEN :
JE DISTINGUE LE CONFLIT DE LA COLÈRE OU CELUI DE LA PAIX SUR LA SÉRÉNITÉ CAR, JE NE L’ÉTEINDRAI JAMAIS MA SOIF ET MA FOI
EN L'OCÉAN, LE TEMPS ET L'EXISTENCE !
TAY
LE RIEN N'EST PLUS UN MIRAGE, IL EST LA CONSCIENCE D'UNE FRONTIÈRE BRISÉE PAR
LA MÉTAMORPHOSE DU TEMPS EN UNE SOURCE D'INSPIRATION : LE VOULOIR DANS LE CHAOS !
CE RIEN MUTANT ENTRE EN JEU, DEVANT DIEU ,DE L'INCRÉDULITÉ DE CEUX QUI SE NOURRISSENT
DES VIEILLARDS ET DES ENFANTS.
TAY
LE SAÜL PLEUREUR DE LA RÉPUBLIQUE DE LA GARONNE DANS LA STRUCTURE DU COURS DILLON A CETTE VOLONTÉ D'ÊTRE :
IL N'EST PAS UN MOBILIER MAIS IL EST UN INDICATEUR AU MÊME TITRE QUE LE CHÊNE, LE CORBEAU, LA CIGOGNE, LE ROSEAU, LE RENARD ET LE POT DE LAIT :
L'ÊTRE DANS LE VIVANT !
TAY
LE DÉTERMINÉ ET LE DESTIN AUQUEL LE SENSIBLE TÉMOIGNAGE EST DANS LE DEVENIR OÙ L'ACTE OBÈSE L'INFINI
EN UNE PULSION OÙ LA PASSION ROUGIT :
L'OPPOSITION, LES RÉSISTANTS DE L'OMBRE AINSI QUE LES QUERELLES MONTRENT UNE CAPACITÉ
DE MÉFIANCE HONORABLE, CRÉDIBLE ET DÉONTOLOGIQUE.
TAY
UN EFFORT DE VÉRITÉ QUE L'ON OSAIT PLUS ESPÉRER : JAMAIS PAR LE PASSÉ, L’ÉMOI PROVOQUA LA RÉALITÉ CAR
LE TEMPS ENGENDRE LE MOMENT ET LE MOUVEMENT !
LE CŒUR DES PROCÉDURES DANS L’ÉTAT ET DE CE GESTE QUI DONNE UNE APTITUDE DE SAUVEUR :
DONC, NE REMERCIE PAS CE QUE JE FAIS ?
TAY
SI L'UNIVERS RÉTRÉCIT DANS SON IMAGE DE COVID-19, IL DEMEURE INFINI DANS LA CONDITION DE LA CIRCONSTANCE ET DE L'ENVIRONNEMENT
CAR LA FONCTION N'EST PAS DE CONDUIRE CAR ELLE DOIT DÉMONTRER LA CONDUITE DE ROUTE :
NON À L'ESCLAVAGE, OUI À LA GRÉVE ET CONTRE LES LICENCIEMENTS !
TAY
COMPAGNONS !
L'URGENCE, L'ÉPOPÉE ET LE SECOURISME DANS L’ÉVOLUTION DU PARAITRE SONT DEVENUS UNE SYNTHÈSE DES SIGNATURES DEPUIS UN TILLEUL ET
UN SAUL PLEUREUR OÙ LE COMMUN DES MORTELS ENTRE LES PLAISIRS AU DÉTRIMENT DE LA JUSTICE ET DES TÉMOIGNAGES :
NON AUX LICENCIEMENTS !
TAY
SUR LE QUAI DES SAVOIRS, LA DIRECTION EST SOUMISE AUX INSTINCTS ET AUX MÉMOIRES DES SELS :
NON AUX LICENCIEMENTS ABUSIFS !
LE SECOURISME PEUT SOIGNER LES CICATRICES ET LA JUSTICE ENTENDS LES LARMES DES PEUPLES :
MA LAÏCITÉ EST LIBERTÉ CAR NON À L'ESCLAVAGE, OUI À LA GRÉVE !
TAY
LA TEMPÊTE DÉVOILE SUR LES ACTES DES TESTAMENTS. LES PHARES REGARDENT LES RESPONSABILITÉS
ET LE NUAGE DÉFI LA NOTION DE L’ALÉATOIRE : LE DIRECTEUR N'EST PAS UNE DIRECTRICE ET LA DIRECTRICE N'EST PAS UN DIRECTEUR POUR
LES ANIMATEURS, LES ÉLÈVES LES ÉDUCATEURS ET LES ENSEIGNENTS DANS L'ÉDUCATION NATIONALE CAR,
LE MALHEUR DEVIENT LE MAL QUAND L'ÉVIDENCE ABSORBE LE PRINCIPE D'EXISTENCE EN CE CONTEXTE D'IMMORTALITÉ ET DE LA RÉALITÉ, MADAME ET MONSIEUR !
LE JOUR EST DANS LA VIVACITÉ ET LA NUIT EST DANS LA PRÉCIPITATION : LE VIF, LA MÉMOIRE ET L'INSTINCT !
L'INTROSPECTION N'EST PAS L'IRRÉFLEXION D'UN IRRÉFLÉCHI OU D'UN IRRÉFRAGABLE !
LA CONSTITUTION D'UN ÉLAN COMMUN !
LE MORAL GÉOGRAPHIQUE ET L'INDIVIDU !
LE CARACTÈRE SANCTIONNE LE NARCISSISME CAR LA VOLONTÉ EST UNE ABNÉGATION !
LA RUE, LA RÉCRÉATION ET LES CUISINES !
LA CONDITION, L'EXISTENCE ET LA RESPONSABILITÉ.
NON AUX VIOLS, OUI À L'AUTONOMIE.
LE VÉRITABLE EST LE RÉACTIF DES URGENCES DANS LE SOUFFLE DU QUOTIDIEN : AUDACES, SOLIDARITÉS ET ÂMES.
EN LA TEMPÉRANCE, IL Y A LE SOUFFLE ET EN LA PRUDENCE, IL Y A L'ACTION !
DIMENSIONS ENTRE CIEL ET TERRE OÙ LE SOUFFLE, LE MYSTÈRE ET L'INFINI SONT LES BASES DE LA CROYANCE ET LE TEMPS !
LE TÉMOIGNAGE DU PEUPLE EST LE SENTIMENT DES ORIGINES DE L'INAPTOCRATIE ET L’AMBIGUÏTÉ !
LA FIERTÉ DE L’INDÉPENDANCE ET DE CETTE AUTONOMIE SAIT QUE LA LIBERTÉ N'EST PAS D'ÊTRE EN UNE ÉTENDUE SANS HORIZON !
LE SOUFFLE DE LA NATURE S'EST LA CONDITION ET LE TÉMOIGNAGE !
LE JOUR SERAIT ABSENT SI LA NUIT N'ÉTAIT PAS TANDIS QUE LA NUIT SERAIT SANS GOÛT SI
LE JOUR NE LA METTAIT PAS EN LUMIÈRE :
LA TRISTESSE DES ABUS DE VIOLENCES VIENNENT AUTANT DES VOISINES QUE DES VOISINS !
PERCEVOIR L'INSTANT : LE CARACTÈRE, UNE FRATERNITÉ.
LA TRISTESSE DES ABUS DE VIOLENCES VIENNENT AUTANT DES VOISINES QUE DES VOISINS :
L'INÉGALITÉ FÉMININE VIENT AUSSI D'UN IMPITOYABLE FÉMININ IDENTIQUE À UNE SUPERIORITÉ MASCULINE SUR LA FÉMINITÉ OÙ
LA CONSCIENCE DE CONCURRENCE ET DE RÉUSSITE SUR UN AUTRUI : LA CONDITION !
LA FEMME, LA TRAVAILLEUSE, LA MÈRE ET LA SOEUR NE DOIVENT JAMAIS ÊTRE L'ESCLAVE D'UN FÉMININ,
D'UN MASCULIN ET D'UN TRADITIONNEL : EN CE HUIT MARS, LA GRANDE MOBILISATION EST
DANS LA LIBERTÉ, L'ÉGALITÉ ET FRATERNITÉ EN L'ESPÉRANCE ET LE DEVENIR.
LES INTEMPÉRIES, DES INTERVENTIONS ET DES ACTES !
LE CONCRET DANS LE SUJET D'ÊTRE !
LA TRANSFORMATION D'UN ATOME EN UNE MOLÉCULE : NON À L'ESCLAVAGE, OUI À LA GRÉVE !
LE SAVOIR N'EST IL PAS UNE QUALITÉ OU UN REPROCHE DES CONNAISSANCES SUR LE QUOTIDIEN ?
D'OÙ VIENT LE SAVOIR ET QUELLE EST L'ORIGINE DE SA DÉFINITION ?
LE SAVOIR EST IL UN CODE CIVIL, UN MANIERE D'ÊTRE OU UNE POLITESSE DÉONTOLOGIE ?
LE SAVOIR N'EST IL PAS UNE LACUNE POUR CELUI QUI VEUT L'IGNORER, LE VIVRE, LE CONDAMNER OU S'Y RÉSIGNER ?
LE SAVOIR N'ENGENDRE IL PAS UN CRIME PRÉMÉDITÉ SANS QU'ON PUISSE LUI FAIRE
LE REPROCHE D'AVOIR LE SENSIBLE QUI LUI PERMET DE DISTINGUER LA VÉRITÉ ET LE MENSONGE ?
LE SAVOIR N'EST IL PAS UNE ILLUSION QUELCONQUE DEVANT LA MULTITUDE DES CONNAISSANCES ?
LE SAVOIR N'EST IL PAS UN ARTIFICIEL DES DICTATURES SUR L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE ?
LA JUSTICE, LE SERVICE PUBLIC ET LA RÉPUBLIQUE.
LA LIBERTÉ EST UN AVENIR ET L'ÉTHIQUE DEVIENT L'ÊTRE.
LE DESTIN VOIT LE DESSEIN DU RÉCONFORT :
LA RECHERCHE DE RESPONSABILITÉ : LE PROJET NEPTUNE DE MICHEL DELEBARRE !
DISTINGUE LA NATURE SAUVAGE ET SES RÉALITÉS !
LE RÉCONFORT EST DANS LA NOBLESSE DE L'EXISTENCE ET SON ÂME PEUT SE RÉVÉLER POURTANT
INSENSIBLE À L'USURPATION : LA RECHERCHE DE RESPONSABILITÉ DANS LE DESSEIN !
PROMETHÉE ET CASSANDRE DANS LES ÉLOIGNEMENTS PRÉJUDICIABLES !
LA SÉCURITE SOCIALE, LES LOGEMENTS ET LES CHARGES !
DE L'ÉCO-RÉSISTANCE À L'ÉCO-TERRORISME !
L'ASSURANCE MALADIE ET LE CRÉDIT IMMOBILIER !
LES DAUPHINS DES OCÉANS CONTRE LES SÉÏSMES DES EXPANSIONS !
LE GOUVERNEMENT DANS L'ATTRAIT DU PORT D'AMSTERDAM !
LA BIODIVERSITÉ EN HAUTE MER ET LE SALON DE L'AGRICULTURE !
LA RENTE ACCIDENT DU TRAVAIL ET LA MUTUALITÉ SOCIALE AGRICOLE !
LA FORMATION, LA LIMITE ET L'IMPULSION !
LA STRATÉGIE DES COMBATS ET LA DIVERSITÉ DES DRONES !
LE CHAR D'ASSAUTS ET LE MYCÉLIUM !
LE SIXIÈME ART, LES DIMENSIONS ET LES CONTINENTS !
LA MOUCHE JAPONAISE ET LE TRIANGLE DES BERMUDES !
LA SOUFFRANCES DES TÉMOINS ET L'ENGAGEMENTS DES PERCÉCUTIONS !
DU CAPITAL VERS LA CORRUPTION !
LES PAPILLOMAVIRUS ET LES ALLERGIES !
LA VAGUE DE NAZARE ET LE STOCKAGE DU CO2 EN PROFONDEUR !
DE LA MONNAIE FACILE VERS L'ARGENT SALE !
NAVIRES FANTÔMES, BOUTEILLE À LA MER ET LABYRINTHE DE GALLY !
LA RUPTURE DE CONTRAT PUBLIC ET LE CONSEIL DE PRUD'HOMMES !
LE TRIBUNAL CIVIL ET LA CONSOLIDATION DU PRÉJUDICE !
LA CIRCONSTANCE EST LE LIEU, LA RENCONTRE EST L'ÉMOTION ET LE SAVOIR EST L'ÉTHIQUE !
LE SECOURISME ET LE SENTIMENT D'ÊTRE DANS LE TEMPS !
LE LOGEMENT DANS LA NOTION DE L’ALÉATOIRE !
LA LECTURE ET LA DICTÉE DANS LE VIF DE LA MÉMOIRE !
LE LOGEMENT EST UNE INTÉGRATION !
LE CONSERVATOIRE ET LA PISCINE !
LA PRÉHISTOIRE ET LE PROPRE AUX SENTIMENTS !
LES ORIGINES DE L'HOMME MODERNE, LE TEMPS ET LES CHEVAUX !
LA CONDITION ET LE DEVENIR !
LA COHÉRENCE SOCIALE VERS LE PEUPLE !
L'ÊTRE ET LE CONCEPT D'HARMONIE !
DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET LA CASERNE JACQUES VION
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https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1171-plafonnement-remuneration-des-interimaires-hospitaliersDAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD EXPOSE L'EUTROPHISATION
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1167-dame-amandine-nietzsche-rimbaud-expose-l-eutrophisationCOMPAGNON YANIS TIGNARD, LES RETRAITES ET L'ÉTENDUE SPATIALE
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1169-compagnon-yanis-tignard-les-retraites-et-l-etendue-spatialeLA RENTE ACCIDENT DU TRAVAIL Y LA MUTUALITÉ SOCIALE AGRICOLE
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https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1030-le-principe-actif-le-paracetamol-et-les-vaccinsLE BOUVREUIL DES ÉCOLES !
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TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
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La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini