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 Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca

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yanis la chouette




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MessageSujet: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyJeu 16 Mar à 9:56

Une nouvelle forme d'expression libre et communication éthique dans l'aspect informatique mais l'attrait du timbre.
Le silence est une source de confusion quand les bruits de l'alentour le couvrent d'une carapace auditive, qui n'est plus sienne.
Tel une lettre sans timbre mais comportant une adresse sera expulsé au profit de lettre vierge comportant des timbres... c'est ainsi que naquit l'aspect premier du bug informatique... Big Chill est ainsi une forme de sauvegarde de l’instinct premier des choses sur l'aspect de Destin établi... L'expansion de l'Univers pourrait continuer indéfiniment dans une configuration de timbre car celui implique un aspect de valeur dans la mémoire, alors que l'adresse peut toujours elle être renvoyé par l'attrait d'un changement de valeur dans l'aspect immobilier, cela est le Big Rip, un scénario catastrophique où l'Univers est détruit en un temps fini.

Univers homogène et isotrope est l'aspect du Timbre sur une enveloppe alors que l'adresse vierge de timbre sur l’enveloppe équivaut à une entropie maximale... Voilà la vision de l'Humanité en terme d'informatique sur l'aspect de propriété d'envoi de formule de politesse d'un lieu A vers un lieu B par l'intermédiaire de satellites géostationnaires... Ainsi, L’hypothèse d’une mort thermique universelle provient des idées de William Thomson, en 1850. Elle résulte de l’extrapolation à l’ensemble de l’univers de la théorie de la thermodynamique, en particulier des considérations sur la perte naturelle d’énergie mécanique, telle qu’elles résultent du premier principe de la thermodynamique.

Pourtant dans un aspect de réel et d'observation sur l'état de Santé de notre communication visuelle, il réside l'aspect de l'éclair que je désigne par cette formule savante: c est la vitesse de la lumière, K / a2 la courbure spatiale, G la constante de gravitation et ρ l'ensemble des densités d'énergie des différentes formes de matière qui emplissent l'univers. La courbure spatiale représente la forme géométrique de l'espace...

Comment définir un espace temps à une enveloppe indiquant une adresse qui n'existe plus quand celle ci ne comporte plus de timbres... Oui, L'expansion de l'Univers pourrait continuer indéfiniment1. Dans ce cas, l'Univers s'étendra et se refroidira, devenant éventuellement trop froid pour abriter la vie. Pour ces raisons, ce scénario est parfois appelé Grand Gel... L'adresse est tout comme le timbre... Bien sur; elle est liée à l'enveloppe... Il fait également allusion au fait qu'il existe... Au contraire d'une enveloppe sans timbre qui ne trouve intérêt que dans le contenu de sa lettre...

Alors certains lettres par absence de Timbres furent détruites: Pourtant dans la conscience de ce crime, un phénoméne apparait pour certaines et certains, il s'agit du Cosmos à expansion d'échelle de C. Johan Masreliez, où il n'y a aucune accélération, la quantité est w Q = − 1 / 3 {\displaystyle w_{\mathrm {Q} }=-1/3} {\displaystyle w_{\mathrm {Q} }=-1/3} exact, ce qui signifie courbure de l'espace-temps. En effet, ces enveloppes était adressées à une fonction de discutions entre deux personnalités de la communication...

Ainsi une Lettre avec ou sans timbre qui comporte une adresse est de l'importance de la densité d'énergie moyenne de l'Univers ainsi que de ses propriétés géométriques, sa courbure spatiale. Interviennent aussi certaines propriétés des différentes formes de matière qui emplissent l'Univers, en particulier leur pression: Qu'elle soit Orale, écrite ou informatique...
L'expansion s'arrête par définition quand le taux d'expansion H est nul. Cela ne peut se produire que si la courbure spatiale est positive ou éventuellement si la densité d'énergie totale devient négative. Cette dernière hypothèse étant a priori peu réaliste, seul le cas d'une courbure spatiale positive est susceptible d'être à l'origine d'un arrêt de l'expansion de l'Univers. Cependant, même si la courbure spatiale est positive, il n'y a pas nécessairement d'arrêt de l'expansion : il faut pour cela que la densité d'énergie totale décroisse suffisamment vite pour que le membre de droite de l'équation ci-dessous s'annule.

Ainsi, Le taux d'expansion de l'Univers, noté H, ne se résume pas à une lettre mais l'importance de transmettre une lettre d'un expéditeur à un destinataire équivaut à cette formule de vie que représente La Vie, la Force et l'Amour. Le sens, même du survivre dans Le destin de l'Univers... On ne sait jamais comment le destinataire répondra à la lettre reçu... Univers homogène et isotrope est l'aspect du Timbre sur une enveloppe alors que l'adresse vierge de timbre sur l’enveloppe équivaut à une entropie maximale...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
ou
Monsieur Tignard Yanis

_________________
Kounak le chat....

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MessageSujet: Re: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyJeu 16 Mar à 10:04

En physique, le terme d'éther a recouvert plusieurs notions différentes selon les époques. Les différents éthers considérés par les physiciens sont « des substances subtiles distinctes de la matière et permettant de fournir ou transmettre des effets entre les corps1 ». Ces effets divers ont été les trajectoires des planètes (pour Descartes), la transmission de la force gravitationnelle (Isaac Newton), le transport de la lumière (depuis Descartes, Robert Hooke, Newton et bien d'autres jusqu'au début du XXe siècle), le transport de la force électrique, magnétique, et ensuite du courant électromagnétique, voire de la création de charge électrique chez certains corps, ainsi que la création d'une force répulsive, autour des corps, contrecarrant la gravitation (pour Pierre-Simon de Laplace expliquant les phénomènes gazeux)1.


Turquie. CEE: Vous avez trinqué le champagne quand vous avez fait supprimer la peine de mort; maintenant ils vous font vomir par vengeance...

La Turquie veux intégrer l'Europe économique alors que dans un premier lieu, elle doit prendre conscience des actes juridiques humains. TAY

En France, Sans Justice Humaine, il ne peut avoir d'actes économiques en ce qui concerne les domaines régaliens d'État. Hélas, on oublie.

Chacun mène sa fronde mais en terme d'infini et d'évolution, L'ASPECT HUMAIN NE PEUT SE RÉSUMER EN DES ENFANTILLAGES: MATIÈRES DE PROGRÈS.

MATIÈRES DE PROGRÈS: NOS ENFANTILLAGES RALENTISSEMENT L'ASPECT HUMAIN ET D'ÉVOLUTION. NOUS NIONS L'ÉVIDENCE QUE LA VISION LUMIÈRE ÉVOLUE.

PIRATAGES. LA VITESSE LUMIÈRE A L'USAGE D'ENFANTILLAGE. PERTE DE TEMPS, POUR QUELS INTÉRÊTS SCIENTIFIQUES, HUMAINS ET POLITIQUES. MINABLE

A L'HEURE DITES, NOUS AGISSONS TEL PHAETON ORGUEILLEUX D'ÊTRE FILS DE DIEU ET CONDUISANT LA MODERNITÉ. JE SENS QUE LA FOUDRE YEUTE L'HOMME.

L'étude théorique de l'éther luminifère (transmetteur de la lumière) a été l'occasion de développer la notion d'élasticité, a permis de prévoir certains résultats expérimentaux en considérant la lumière comme une onde transmise par un éther considéré comme un fluide aux propriétés diverses (Christian Huyghens, Augustin Fresnel, entre autres). Ce milieu, non accessible directement à l'expérimentation, fut aussi l'occasion de comparer les méthodes inductive et déductive (John Stuart Mill et William Whewell ont été particulièrement actifs dans ce débat)1.

Une fois les équations de Maxwell de James Clerk Maxwell établies, il y eut de multiples tentatives pour formuler une théorie d'un éther qui soit transporteur mécanique de ces ondes électromagnétiques (Maxwell fut le premier à s'y essayer), mais aucune ne permit de prendre en compte toutes les propriétés de l'électromagnétisme, même dans les cas les plus simples. Les expériences de Michelson et Morley sur l'optique des corps en mouvement poussa à l'abstraction dans de telles théories (Antoon Lorentz, Joseph Larmor), et l'apparition de la relativité restreinte mit un terme à tous ces travaux, reléguant les questions sur l'éther à des considérations générales notamment au sujet des fluctuations du vide quantique1.

Éther (physique) et Isaac Newton ou l'optique des corps...
Y'becca.
TAY
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MessageSujet: Re: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyJeu 16 Mar à 10:06

L'éther dans l'Antiquité

À l'origine, Éther est un dieu primordial de la mythologie grecque, personnifiant les parties supérieures du ciel, ainsi que sa brillance2 ; cela nous est resté au travers de la langue poétique classique, où l'on parle d'éther pour un ciel pur. Empédocle, a qui l'on doit la théorie classique des quatre éléments parle fréquemment de l'éther comme une entité différente. Platon mentionne dans le Timée l'éther comme "la forme de l'air la plus pure". Aristote, dans son traité du Ciel, introduit un nouvel élément qui n'existe que dans la sphère céleste et dont la particularité est de mouvoir en cercle sans avoir besoin d'une force extérieure.

« Il est de toute nécessité qu'il existe un corps simple dont la nature soit de se mouvoir selon la translation circulaire, conformément à sa propre nature… En dehors des corps qui nous entourent ici-bas, il existe un autre corps, séparé d'eux, et possédant une nature d'autant plus noble qu'il est plus éloigné de ceux de notre monde. »

— (Aristote, Du ciel, I, 2).

Cette nouveauté, qui a créé bien de confusions, a fini par être assimilée à l'éther, sans que toutefois Aristote ait utilisé le mot pour la désigner. Étant le "plus noble" l'élément céléste n'est jamais designé par Aristote comme le cinquième. C'est durant la période hellénistique, lorsque les textes d'Aristote sont plus ou moins soustraits à la circulation, que différentes interprétations amalgamant ce qu'il nomme "le premier corps" à l'éther et aussi à la substance de l’âme3. Aux premiers siècles une sorte de consensus entérine la confusion. Par exemple selon Sextus Empiricus la notion d'éther remonterait au pythagoricien Ocellos (ou bien à Philolaos) :

« Ocellos de Lucanie et Aristote aux quatre éléments ont adjoint un cinquième corps, doté d'un mouvement circulaire et dont ils pensent qu'il est la matière des corps célestes. »

— (Sextus Empiricus, Contre les mathématiciens, X, 316).

Le Pseudo-Plutarque donne une version tout aussi approximative :

« Aristote tient que le dieu suprême est une forme séparée, appuyée sur la rondeur et sphère de l'univers, laquelle est un corps éthéré (aithérion sôma) et céleste, qu'il appelle le cinquième corps : et que, tout ce corps céleste étant divisé en plusieurs sphères de natures cohérentes et séparées seulement d'intelligence, il estime chacune de ces sphères-là être un animal composé de corps et d'âme, desquelles le corps est éthéré, se mouvant circulairement, et l'âme raison immobile cause de mouvement, selon l'action4. »

Les idées des stoiques ont fortement marqué la compréhension de l'éther et elles ont eu un impact considérable dans les expositions en latin. Cicéron (Tusculanes, I, 10) ajoute qu'Aristote soutient que « l'âme tire son origine » de ce cinquième élément. Le stoïcien Cléanthe tient l'éther pour le dieu souverain (Cicéron, De la nature des dieux, I, 37).

Une image synoptique de la confusion régnante a été brossée par André-Jean Festugière : « Dans les plus anciens auteurs, « éther » désigne le ciel (Homère, L'Iliade, 412 ; Hésiode, Les travaux et les jours, 18)… Le mot « éther » avait été employé déjà par Empédocle, mais pour désigner l'air atmosphérique, par opposition au brouillard… Anaxagore est le premier à avoir fait la distinction entre air et éther, mais ce qu'il désignait sous le nom d'éther était le feu (fragments 59 A 43, 59 A 73)… À partir du Phédon de Platon, l'espace entre l'air et le ciel des fixes (région du feu) devient l'éther, séjour des dieux astres. Platon attribue à l'éther son caractère spécifique d'être toujours en mouvement. L'éther est considéré comme une espèce de l'air, l'espèce la plus pure. Platon distinguait trois sortes d'éther : l'air supérieur, l'air atmosphérique, l'air brouillard… C'est avec l' Épinomis et le De la philosophie d'Aristote [ouvrage de jeunesse], deux ouvrages contemporains [vers 350 av. J.-C.], que nous voyons apparaître la notion d'éther, cinquième corps. L'Épinomis mentionne une première fois l'éther comme cinquième corps (981c6), comme une sorte d'air plus subtil et plus pur : l'éther n'est pas, d'ailleurs, le séjour des astres (celui-ci est le feu), mais, comme l'air, celui d'êtres démoniques de nature translucide, qui servent d'intermédiaires entre les hommes et les dieux visibles [les astres] (984 b). Les fragments du De la philosophie d'Aristote montrent que la notion d'éther cinquième corps y tient une place importante. Les Anciens ont unanimement regardé Aristote comme l'inventeur de la doctrine de l'éther cinquième Élément. Aristote a toujours la suite éther, feu, air, eau, terre, et c'est l'ordre qui prévaudra, l'éther (et non le feu) étant alors considéré comme la matière des astres et l'élément où ils séjournent. L'âme est un mouvement perpétuel parce qu'elle est tirée de l'éther qui court toujours. Enfin, cet éther aristotélicien est une chaleur, il est principe de chaleur, donc de vie. » (Études de philosophie grecque, Vrin, 1971, p. 389-400)

Les pythagoriciens récents, dans les Mémoires pythagoriques (IIIe s. av. J.-C.) semblent admettre trois éthers : 1) le chaud (le feu solaire astral et divin), 2) le froid (l'air) et 3) le dense (l'eau, le sérum, le liquide, le sang…), et deux sortes d'âmes : 1) une âme faite d'éther chaud, l'intellect (correspondant à la vie animale), et 2) une âme faite d'un mélange de deux éthers, chaud et froid, vapeur, l'âme végétative (correspondant au non-vivant, c'est-à-dire au non-sentant et non-mobile)5.

Aux dernières années du Ier siècle av. J.-C. Xénarque écrit un traité Contre le cinquième élément dont la connaissance devient indispensable dans toute discussion de l'éther. Cesare Cremonini écrit une réfutation en 1616 et Galileo le mentionne encore. Entre-temps l'éther ou quintessence est devenu une conception importante pour les alchimistes. À leur tour ils interprètent l'élément incorruptible et qu'Aristote a défini par son absence de contraire. On en discute encore jusqu'au XIXe siècle où les métaphysiciens notamment s'en emparèrent.
L'éther gravitationnel en physique pré-relativiste

René Descartes élabora une mécanique des tourbillons pour expliquer que le mouvement des planètes est dû à de grands tourbillons d'éther (matière subtile composée de minuscules globules transparents) remplissant l'espace et qui les emportent et les maintiennent sur leurs trajectoires. Cette physique qualitative était propre à justifier le mouvement des planètes de manière mécaniste, en réfutant l'existence du vide, envisagé par lui comme un néant. Ce même éther était supposé transmettre instantanément la lumière sous la forme d'une pression1.

Après avoir réfuté la théorie des tourbillons de Descartes (vers 1680)6, Isaac Newton élabore sa théorie de la gravitation universelle où la force gravitationnelle se transmet instantanément d'un corps à l'autre, sur des distances quelconques et à travers l'espace, vide ou non.

Newton, bien que satisfait de l'efficacité de sa théorie, ne se satisfaisait pas de cette situation où une force se transmet à travers le vide. Dans une lettre de Newton à Richard Bentley en 1692 : « Que la gravité soit innée, inhérente et essentielle à la matière, en sorte qu'un corps puisse agir sur un autre à distance au travers du vide, sans médiation d'autre chose, par quoi et à travers quoi leur action et force puissent être communiquées de l'un à l'autre est pour moi une absurdité dont je crois qu'aucun homme, ayant la faculté de raisonner de façon compétente dans les matières philosophiques, puisse jamais se rendre coupable7. »

Ainsi, dans le Scholium général du livre III des Principia, conçoit-il une « espèce d'esprit très subtil qui pénètre à travers tous les corps solides », ajoutant que « c'est par la force, et l'action de cet esprit que les particules des corps s'attirent mutuellement » : un éther mécanique, emplissant l'espace et justifiant la transmission de la force gravitationnelle.

Cet éther est médiateur de la force gravitationnelle mais n'y est pas soumis, et semble soustrait aux caractéristiques et principes physiques énoncés dans les Principa. Newton soutenait ce point de vue à partir de considérations théologiques, disant que l'espace est le sensorium Dei, sorte d'organe sensoriel de Dieu qui lui permet de transmettre les influences d'un corps à l'autre8,9. Cet éther est toujours resté une hypothèse sous-jacente, n'intervenant pas dans les calculs, ayant le statut d'hypothèse rassurante quant à la cohérence de cette théorie10. Pour Newton, cet éther était le même que celui qui transmettait la lumière, considérée comme composée de corpuscules de tailles différentes, transmettant des oscillations à l'éther qui créaient les couleurs1.
L'éther luminifère en physique pré-relativiste

Jusqu'à l'avènement de la relativité restreinte, les physiciens élaborèrent des théories d'un éther luminifère : milieu diffusant la lumière considérée comme une onde, la difficulté étant d'élaborer une théorie cohérente rendant compte de toutes les observations faites sur la lumière et alors qu'aucune expérience ne permettait de mettre en évidence les propriétés de l'éther considéré comme fluide ou milieu physique1.

René Descartes (chez qui la notion d'onde n'était pas clairement formulée), Robert Hooke et Christian Huygens ont supposé que, comme le son dans l'air ou les ondes à la surface d'un milieu liquide, la lumière se propageait dans un fluide : l'éther. L'éther, subtil, c'est-à-dire indétectable puisqu'il ne freine aucun corps, était censé remplir l'univers, puisque la lumière des étoiles nous parvient1.

Newton considéra un éther répondant aux fortes contraintes du transport de la force gravitationnelle : dispensé d'être soumis aux mêmes principes que la matière ordinaire, il était doué d'un rôle actif assimilé à l'intervention de Dieu sur le monde naturel. Cet éther sera parfois assimilé au feu de Hermann Boerhaave, au début du XVIIIe siècle, substance impondérable pénétrant l'espace et les corps, et ayant un pouvoir répulsif opposé au pouvoir attractif des corps1.

Au XVIIIe siècle furent développées des théories de l'éther subtil, rendant compte des phénomènes électriques et magnétiques, de l'optique, mais aussi de la chaleur et la chimie, en prenant souvent comme modèles ceux de Newton et de Boerhaave1. Benjamin Franklin expliquait l'électrification et la décharge électrique des corps par la présence d'un éther composé de particules attirées par les corps mais se repoussant entre elles. Pour John Canton, l'éther était l'air lui-même. Pour André-Marie Ampère, un éther universel impondérable et composé de deux électricités de signes opposés expliquait la force pondéromotrice entre les circuits électriques1.

En 1801, Thomas Young développa l'interprétation de la lumière comme vibration d'un éther, pour rendre compte de phénomènes liés à la diffraction à l'aide de l'interférence des ondes. Mais son modèle ne rendait pas compte de la polarisation, et cet éther impondérable (comme celui de Benjamin Thompson à propos de la chaleur, celui de Humphry Davy à propos de l'électrochime) n'attira pas l'intérêt des savants alors qu'à l'époque de nombreuses propriétés s'expliquaient par des forces d'attractions entre particules de matières (la capillarité, la cohésion des solides, les réactions chimiques, etc)1. Pierre-Simon de Laplace émit l'hypothèse d'un éther appelé calorique et produisant une force répulsive entre les particules de matières, et qui permettait de rendre la théorie corpusculaire de la lumière cohérente avec la double réfraction de Huygens1.

À partir de 1830, la théorie d'Augustin Fresnel, suivant laquelle la lumière est une ondulation d'un éther, s'impose : pour rendre compte de la polarisation, ce que ne pouvait faire la théorie de Young, il dut considérer l'éther comme solide et élastique. Ce modèle permit de prévoir plusieurs effets inattendus (par exemple la polarisation circulaire, la réfraction conique). L'étude des éthers solides et élastiques, dont les vibrations forment la lumière, sera un thème de recherche jusqu'à la fin du XIXe siècle. Augustin-Louis Cauchy étudiant l'élasticité trouva une expression de la vitesse de propagation des ondes transversales (la lumière étant une onde transversale dans la théorie de Fresnel) et James MacCullagh déduit les lois de l'optique cristalline d'une fonction de Lagrange de l'éther. Le nombre des hypothèses sur l'éther augmente dans l'espoir de trouver un accord entre les propriétés observées de la lumière et celles des ondes supposées se propager à travers un solide élastique1.

Ce corps élastique avait des propriétés étranges : il doit être d'une rigidité quasi infinie pour transmettre la lumière des lointaines étoiles, tout en offrant une résistance nulle au déplacement des objets matériels (puisque la Terre tourne autour du Soleil sans en être ralentie). George Gabriel Stokes montra qu'il suffisait pour cela que l'éther fût doté d'une faible viscosité pour laisser les corps le traverser lentement, et il retrouva ainsi le coefficient d'entraînement partiel de l'éther par les corps réfringents qu'avait déjà proposé Fresnel pour expliquer l'aberration. En 1851, Hippolyte Fizeau vérifia expérimentalement la valeur de ce coefficient pour de l'eau en mouvement1.

Hermann Helmholtz et William Thomson, s'inspirant du magnétisme, proposèrent des éthers dotés de mouvements rotatoires1. Pour ses travaux unifiant l'électricité et le magnétisme, James Clerk Maxwell s'appuya sur l'idée de champ de force due à Michael Faraday pour éliminer de ces domaines la notion d'action à distance. Le champ ou lignes de force est une sorte de répartition spatiale de l'influence d'un corps, en attente de la présence d'un autre corps à influencer, et se modifiant à vitesse finie ; sans hypothèse matérielle sur l'éther remplissant l'espace géométrique et portant ce champ10. Maxwell proposa ensuite un modèle d'éther qu'il voulait compatible avec sa théorie de l'électromagnétisme, notamment les ondes électromagnétiques qu'il avait mises en évidence dans ses équations et qu'il identifiait à la lumière : cet éther était composé de « tourbillons moléculaires entourés de roues libres, dont le mouvement était analogue au courant électrique1 ».

George Francis Fitzgerald, comparant les éthers de Maxwell et de MacCullagh, en montra les analogies et en affina les propriétés, faisant ainsi de l'éther de Maxwell un concurrent sérieux de l'éther luminifère solide et élastique. Les expériences de Heinrich Hertz confirmaient que les ondes électromagnétiques de Maxwell sont semblables en bien des points aux ondes lumineuses, et par conséquent consolidaient la confiance envers l'éther de Maxwell, mais celui-ci ne fut jamais assez performant pour tenir compte de toutes les propriétés de l'optique et de l'électromagnétisme, « malgré les efforts considérables des savants1 ».

En 1887, le résultat de l'expérience de Michelson-Morley, sur l'optique des corps en mouvement, contredisait les prévisions de toutes les théories de l'éther. Antoon Lorentz et Joseph Larmor, chacun à sa manière, tentèrent de concevoir des théories plus abstraites de l'éther pour tenir compte de ces résultats. Au début du XXe siècle, les avis des physiciens étaient partagés, certains mettant en doute l'existence de l'éther, les autres — beaucoup plus nombreux — étant sûrs de sa réalité1.

« Peu nous importe que l'éther existe réellement, c'est l'affaire des métaphysiciens ; l'essentiel pour nous c'est que tout se passe comme s'il existait et que cette hypothèse est commode pour l'explication des phénomènes. Après tout, avons-nous d'autre raison de croire à l'existence des objets matériels ? Ce n'est là aussi qu'une hypothèse commode ; seulement elle ne cessera jamais de l'être, tandis qu'un jour viendra sans doute où l'éther sera rejeté comme inutile. »

— Henri Poincaré, La Science et l'hypothèse (Chapitre 12)

En 1905, Albert Einstein proposa sa théorie de la relativité restreinte d'où l'éther est absent et où la vitesse de la lumière est la même pour tout référentiel inertiel, déclarant qu'il n'y avait nul besoin en physique de la notion d'éther1.
L'éther après 1905

La conception et la perception de l'éther, après 1905, ont été profondément influencées par les travaux d'Albert Einstein sur la théorie de la relativité, restreinte en 1905, puis générale en 1916. Par la suite, la perception de l'éther par Einstein continue à évoluer avec ses travaux sur la grande unification des champs.
1905 : Einstein nie l'existence de l'éther

Avant la publication de ses premiers travaux, Einstein étudie la théorie de l'éther de Lorentz, à travers les livres de Paul Drude, à laquelle il accorde une attention particulière11. Cet éther luminifère reste dans un repos absolu et constitue un repère préférentiel dans lequel les phénomènes électromagnétiques prennent place, et dans lequel la lumière possède une vitesse constante. Bientôt, il rejette ce concept de repère préférentiel, car il juge que cela introduit une asymétrie inacceptable entre les lois de la mécanique, qui ne dépendent pas d'un référentiel, et la théorie de l'électromagnétisme11.

En 1905, Einstein propose la relativité restreinte qui postule l'équivalence totale des lois de la physique, y compris électromagnétiques, quel que soit le référentiel. Cela implique la constance de la vitesse de la lumière, quel que soit le référentiel, et rend sans objet le concept d'éther. À partir de ce moment, et jusqu'en 1916, Einstein va nier toute réalité au concept d'éther11. Mais il s'avère difficile de convaincre les physiciens de l'époque de l'absence d'éther, et notamment Lorentz qui n'en sera jamais convaincu. D'après Kostro, c'est l'insistance de Lorentz qui mènera Einstein à une nouvelle position à partir de 191612. En attendant, face aux oppositions, il tente en 1909 de justifier l'absence d'éther par un nouvel argument faisant usage d'une dualité onde-corpuscule de la lumière dont il vient de proposer une amélioration de la théorie13 : pour lui, l'énergie de la lumière et son impulsion sont véhiculées par un quantum autonome, qui n'a nul besoin de support ni d'éther14

En 1913, Einstein développe la relativité générale. Dans un premier temps, il trouve dans cette théorie des raisons supplémentaires d'abandonner complètement l'éther. En effet, le tenseur métrique g i j {\displaystyle g_{ij}} g_{{ij}}, représentant dans cette théorie le champ gravitationnel, est rigoureusement indépendant des variables d'espace et de temps indicées par le couple (i, j). Selon Einstein, dans une lettre adressée à Ernst Mach15, « il devient absurde d'attribuer des attributs physiques à l'espace », et le total arbitraire avec lequel les variables d'espace et de temps sont choisies « dépouille l'espace des derniers vestiges de réalité »16. Or, la conception de l'éther de Lorentz, telle que présentée par Drude, impliquait précisément d'attribuer des caractéristiques physiques, et donc une certaine « réalité », à l'espace. Pour Einstein la cause de l'éther est dès lors entendue.
1916 : Einstein admet l'existence d'une certaine forme d'éther

Cependant, cette position se modifie à partir de 1916, sous l'influence conjuguée d'une correspondance avec Lorentz, et de polémiques avec le physicien allemand Philipp Lenard. En juin 1916, Lorentz envoie une longue lettre à Einstein17 dans laquelle il le félicite pour la découverte de la théorie de la relativité générale, pour laquelle il montre un grand enthousiasme, et tente de lui montrer que cette théorie peut être réconciliée avec le concept d'éther stationnaire18.

Einstein retourne rapidement une réponse très détaillée aux arguments de Lorentz19 dans laquelle, pour la première fois, il reconnaît la possibilité d'introduire un nouveau concept d'éther. Toutefois, il rejette énergiquement le caractère stationnaire de l'éther défendu par Lorentz, c'est-à-dire la conception d'un médium rigide qui possède son propre référentiel dans lequel il est au repos, car cela est contraire au principe de relativité. En revanche, il admet la possibilité d'un éther qui ne serait pas un médium doté d'un état de mouvement et donc qui ne violerait pas le principe de relativité. Ce « nouvel éther » serait doté d'un état qui déterminerait le mouvement des objets physiques, dont le comportement métrique serait décrit par le tenseur g i j {\displaystyle g_{ij}} g_{{ij}}20. Mais Einstein ne juge pas ces idées suffisamment matures et ne publie rien concernant ce « nouvel éther » pendant plus de deux ans.

En juillet 1917, Lenard publie un article Principe de relativité, Éther, Gravitation21 où il tente de montrer que la théorie de la relativité générale a recyclé le concept d'éther en le renommant « espace », et que cette théorie ne tient pas sans le concept d'éther. En réponse à cet article, Einstein publie en novembre 1918 son premier article explicitant ses nouvelles positions concernant l'éther : Dialogue concernant les accusations contre la théorie de la relativité22. Dans cette réponse, il accorde à Lenard que la théorie de la relativité générale implique d'accorder des propriétés physiques à l'espace. En revanche, il dénie que cela signifie un retour à l'éther de Lorentz, possédant un état de mouvement défini23.

Hermann Weyl résumera en 1922 la différence fondamentale entre le « nouvel éther » d'Einstein et l'éther défendu par Lenard, et en quoi l'« éther » de la relativité générale n'est pas l'éther de Lorentz : « Le vieil éther de la théorie de la lumière était un medium substantiel, un continuum tridimensionnel, dont chaque point P à tout moment t est à un endroit défini p de l'espace; le fait de pouvoir distinguer et suivre l'évolution dans l'espace d'un certain point de l'éther en fonction du temps est un point fondamental »24, « cet éther est rigide maintenant et à jamais et n'est pas influencé par la matière »24. L'éther de la relativité générale est un médium, mais non-substantiel et ne comportant pas de « points » dont on peut suivre le mouvement dans l'espace. Il dote l'espace d'un « "champ d'états" », possédant une réalité physique, interagissant avec la matière et étant influencée par elle25.
1920 : Le « nouvel éther » d'Einstein, le discours de Leyde

Cela ne suffit cependant pas à calmer les violentes campagnes anti-Einstein, menées notamment par Lenard et Ernst Gehrcke, qui trouve son apogée pendant l'année 1920. Loin d'apaiser les critiques contre la relativité générale et le principe de relativité, le fait pour Einstein d'accepter une certaine forme d'éther semble donner du grain à moudre à ses adversaires. Poussé par ces attaques et encouragé par Lorentz, Einstein décide de communiquer officiellement sur son « nouvel éther », lors de son discours d'investiture à l'université de Leyde le 17 octobre 192026, intitulé l’Éther et la théorie de la relativité27 qui constitue sa première œuvre majeure à propos de l'éther28.

Dans ce discours, Einstein commence par exposer les raisons historiques ayant mené les physiciens à imaginer l'existence de l'éther, qui selon lui sont au nombre de deux : le problème de l'action à distance et la découverte des propriétés ondulatoires de la lumière29. Le problème de l'action à distance est apparu avec la théorie de la gravitation de Newton, où la question se pose inévitablement de savoir si les forces d'attraction se propagent instantanément et à distance, sans médium de transport, ou au contraire de proche en proche au travers d'un médium. La seconde hypothèse entraine l'existence d'un éther.

D'un autre côté, le développement de la théorie de l'électromagnétisme, par Maxwell et Lorentz, mène également à imaginer l'existence d'un éther, mais dont aucun modèle mécanique ne s'avère cohérent avec l'expérience. Einstein décrit alors les travaux de Lorentz concernant l'éther, une des seules théories d'éther compatibles avec l'expérience. Dans cette théorie, l'éther est dépourvu de toute propriété mécanique et, présent à la fois dans la matière et dans le vide, est un simple support aux ondes électromagnétiques. De son côté, la matière est dépossédée de toute propriété électromagnétique, n'ayant un rôle à jouer dans l'électromagnétisme uniquement du fait que les particules de matière peuvent posséder une charge électrique, lesquelles sont les seules à se déplacer30. Mais Einstein fait remarquer que Lorentz dépouille l'éther de toute propriété mécanique sauf une : son immobilité.

Einstein, dans la deuxième partie du discours, montre alors que la théorie de la relativité restreinte enlève cette dernière propriété mécanique de l'éther, achevant selon lui le mouvement amorcé par Lorentz. Selon cette théorie, les lois de la physique (et spécialement les lois de l’électromagnétisme) sont identiques dans tous les référentiels en translation rectilignes et uniformes les uns par rapport aux autres. Il n'y a dès lors aucune raison physique de distinguer un référentiel particulier dans lequel l'éther serait immobile, apportant une asymétrie qui n'est justifiée ou détectée par aucune expérience physique. Mais Einstein admet qu'il a eu tort d'en conclure l'inexistence de l'éther28 :

« Mais une réflexion attentive nous enseigne, cependant, que le principe de relativité restreinte n'implique pas de dénier toute existence à l'éther. Nous pourrions admettre l'existence d'un éther; seulement, nous devons nous abstenir de lui attribuer un état de mouvement, c'est-à-dire que nous devons faire abstraction du dernier attribut mécanique que Lorentz lui a laissé. »27

Einstein explique alors, dans la troisième partie du discours, que l'idée d'un éther peut revenir afin d'attribuer des propriétés physiques (autres que mécaniques ou cinématiques) à l'espace, et que l'espace - même dépourvu de matière - ne peut être considéré comme réellement vide. Citant l'exemple du principe de Mach, qui attribue les forces d'inerties comme la force centrifuge aux masses distantes, il énonce le besoin d'un medium pour transmettre l'interaction gravitationnelle de ces masses distantes, tout en soulignant une différence essentielle de ce medium avec tous les éthers imaginés jusqu'alors31 :

« Cette conception d'un éther, à laquelle mène l'approche de Mach, diffère par un aspect essentiel des éthers de Newton, Fresnel ou Lorentz. L'éther de Mach non seulement conditionne le comportement des masses inertes, mais aussi est conditionné, en ce qui concerne son état, par elles. »27

Dans la dernière partie du discours, Einstein explique comment ces idées de Mach ont contribué à mener à la relativité générale et comment la notion d'éther peut évoluer avec cette dernière théorie. Il décrit également les relations de cet éther avec les interactions gravitationnelles et électromagnétiques. L'état de l'éther relativiste est entièrement déterminé en chaque point par son interaction locale avec la matière, et avec les points immédiatement adjacents de l'éther, conformément au principe de localité, cher à Einstein. L'état de l'éther de Lorentz, au contraire, n'est défini que par lui-même, et - en l'absence de champ électromagnétique - est le même partout32.

Einstein insiste sur le fait que l'on ne peut imaginer de région de l'espace dénuée de potentiel gravitationnel, car c'est ce potentiel qui définit localement la métrique de toute région de l'espace selon la théorie de la relativité générale. En revanche, selon Einstein, une région de l'espace peut tout à fait être conçue dépourvue de tout champ électromagnétique et l'électromagnétisme n'entretient donc qu'une relation secondaire, et non fondamentale avec l'éther dans la mesure où (selon l'état des théories et des réflexions d'Einstein à cette époque sur l'unification des forces électromagnétiques et gravitationnelles) les particules de matière qui influent sur l'éther relativiste sont considérées comme des condensations du champ électromagnétique33.

Einstein conclut son exposé sur l'éther par le résumé suivant :

« Nous pouvons résumer comme suit : selon la théorie de la relativité générale, l'espace est pourvu de propriétés physiques, et dans ce sens, par conséquent, il existe un éther. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est impensable, car dans un tel espace non seulement il n'y aurait pas de propagation de la lumière, mais aussi aucune possibilité d'existence pour un espace et un temps standard (mesuré par des règles et des horloges), ni par conséquent pour les intervalles d'espace-temps dans le sens physique du terme. Cependant, cet éther ne peut pas être conçu comme pourvu des qualités des medias pondérables et comme constitué de parties ayant une trajectoire dans le temps. L'idée de mouvement ne peut pas lui être appliqué. »27
L'éther dans la physique contemporaine

Au XXIe siècle, les propriétés déconcertantes découvertes concernant le vide (énergie du vide, énergie sombre) ou ses caractéristiques supposées (Champ de Higgs) rappellent étrangement les propriétés mystérieuses de l'éther. Mais les physiciens soulignent bien[réf. nécessaire] qu'il ne s'agit pas de revenir aux hypothèses d'avant 1905.
Notes et références

↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s et t Dictionnaire d'histoire et philosophie des sciences. Article Éther rédigé par M. Scott Walter.
↑ Encyclopédie Larousse, Mythologie grecque, http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/mythologie_grecque/185863 [archive]
↑ Pépin J., Idées grecques sur l'homme et Dieu, Paris: Les Belles Lettres, 1971, p.71 et s.
↑ Aristote selon le pseudo-Plutarque, Placita philosophorum, I, 6, 881.
↑ Les Présocratiques, coll. "Pléiade", 1988, p. 561-562, 1396.
↑ Voir Les cahiers de science et vie, Hors série sur Newton de février 1993, article P40 de M. Robert Iliffe, chercheur à l'Institut d'Études Historiques de l'Université de Londres.
↑ Citation issue du Dictionnaire d'histoire et philosophie des sciences. Article Champ rédigé par Mme Françoise Balibar.
↑ Article Champ rédigé par Mme Françoise Balibar, dans le Dictionnaire d'histoire et philosophie des sciences.
↑ Avant comme après Giordano Bruno, l'espace fini ou infini est pensé par rapport à Dieu, et Newton doit beaucoup à Henry More pour sa description des propriétés de l'espace. Un siècle après Newton, Pierre-Simon de Laplace sera le premier physicien à ne pas se préoccuper de Dieu. Voir Alexandre Koyré, Du monde clos à l'univers infini (1962, 1957 pour l'édition en anglais).
↑ a et b Françoise Balibar, Einstein 1905. De l'éther aux quanta, Presses universitaires de France, 1992, 125 p. (présentation en ligne [archive])
↑ a, b et c Kostro 2000, p. 5.
↑ Kostro 2000, p. 32.
↑ A. Einstein, « Über die Entwicklung unserer Anschauungen über das Wesen und die Konstitution der Strahlung », Physikalische Zeitschrift, vol. 10,‎ 1909, p. 817–825 (lire en ligne [archive]). Une traduction en anglais est disponible sur Wikisource.
↑ Kostro 2000, p. 37.
↑ Einstein, A. Letter to E. Mach in: V.P. Vizgin, Ya.A. Smorodinskii. From the equivalence principle to the equation of gravitation. Sov. Phys. Usp., 22 (7), July 1979, p. 499
↑ Kostro 2000, p. 53.
↑ Lorentz, H. A. Letter to A. Einstein, 6/6/1916. Albert Einstein Archives 16-451.
↑ Kostro 2000, p. 64.
↑ A. Einstein, Letter to H. A. Lorentz, 17/6/ 1916 Albert Einstein Archives, 16-453.
↑ Kostro 2000, p. 74.
↑ Ph. Lenard, Über Relativitätsprinzip, Äther, Gravitation Jahrbuch der Radioaktivität, 15 (1918), pp. 117-136
↑ A. Einstein, Dialog über Einwande gegen die Relativitätstheorie Die Naturwissenschaften, 6 (1918), pp. 697-702.
↑ Kostro 2000, p. 76.
↑ a et b H. Weyl, Die Relativitätstheorie auf der Naturforscherversammlung in Bad Nauheim Jahresbericht der Deutschen Mathematikervereinigung, 31 (1922), pp. 51-63.
↑ Kostro 2000, p. 90.
↑ Kostro 2000, p. 84.
↑ a, b, c et d A. Einstein Äther und Relativitätstheorie Springer, Berlin, 1920
↑ a et b Kostro 2000, p. 94.
↑ Kostro 2000, p. 92.
↑ Kostro 2000, p. 93.
↑ Kostro 2000, p. 95.
↑ Kostro 2000, p. 96.
↑ Kostro 2000, p. 97.

Bibliographie

Dominique Lecourt et Thomas Bourgeois, Dictionnaire d'histoire et philosophie des sciences, Presses universitaires de France - PUF, coll. « Quadrige Dicos Poche », 2006, 4e éd. (ISBN 978-2130544999, lire en ligne [archive]). On y trouve, entre autres, l'article « Champ », rédigé par Mme Françoise Balibar, ainsi que l'article « Éther », rédigé par M. Scott Walter.
W. K. Guthrie, A History of Greek Philosophy, Cambridge University Press, 1962-1965, t. I, p. 270 ss. Sur le cinquième Élément (l'Ether).
Pierre Boyancé, 1967, Revue des Études Grecques, Vol.80, p. 202-9 [1] [archive] Note sur l'éther chez les Pythagoriciens, Platon et Aristote
Einstein 1905. De l'éther aux quanta de Françoise Balibar, éd PUF, 1992, ISBN 2 13 044298 6
Le roman du Big Bang, Simon Singh, Paris, JC Lattès, 2004, (pages 98–104)
Ludwik Kostro, Einstein and the ether, Montreal, Apeiron, 2000 (ISBN 0-9683689-4-Cool

Liens externes

(en) Article de 1911 de l'EB [archive]
(fr) L'entrainement de la lumière par les corps en mouvement, selon le principe de relativité, article de Laue (1907), en ligne et commenté sur le site BibNum [archive]

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Histoire de la physique Article de qualité Histoire de la relativité restreinte · Histoire de la relativité générale · Controverse sur la paternité de la relativité · Bon article Critiques de la théorie de la relativité · Expérience de Michelson-Morley · Expérience d’Ives-Stilwell · Éther · Tests de la relativité restreinte · Théorie de l'éther de Lorentz
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MessageSujet: Re: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyJeu 16 Mar à 10:38

« Être » comme substantif
-------------------------------
Distinction ontologique ou théologique.

le fait d'être ou acte d'être, l'existence
ce qui est réellement (ens reale), la substance ou essence
un être existant dans la pensée, être de raison : objet de pensée artificiellement créé par l'esprit, sans existence en soi
une instance du vivant (généralement humain).

Dans chaque catégorie, les philosophes ont donné des sens variés au mot être. On remarque que l'être en général désigne soit une réalité déterminée (être tel, être un étant), soit une réalité plus fondamentale, un être plus réel. Dans ce dernier cas, on peut parvenir soit à l'idée d'un Être qui contienne en lui tous les êtres et toutes les déterminations (la nature ou un dieu immanent), soit à l'idée d'un être qui n'est aucun être, mais est le degré de suprême perfection de l'être (ens summum, un dieu absolument transcendant).

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Identité
--------
Sens généraux

L'identité, en logique formelle, est le fait pour deux unités de sens d'être en équivalence logique, c'est-à-dire, de s'impliquer mutuellement et d'avoir la même valeur de vérité.
L'identité désigne, en anthropologie ou en philosophie, la relation ontologique d'égalité à soi-même.
L’identité personnelle, en philosophie, désigne le fait pour un sujet d'être un individu à la fois distinct de tous les autres et demeurant le même à travers le temps.
L'identité, en sciences sociales, est la reconnaissance d'un individu par lui-même ou par les autres.
L'identité, en mathématiques, est le fait pour deux objets mathématiques de désigner le même objet.
L'identité nationale est une notion qui découle du sentiment d'appartenance à un même peuple.
L'identité sonore est un ensemble de sons associé à une marque ou à une organisation.
L'identité légale, ou personnalité juridique.
L'identité culturelle est relative aux valeurs qui constituent une culture locale, régionale, nationale, continentale...

Sens particuliers

Une carte d'identité est un document officiel comportant l'indication d'un certain nombre de traits physiques et administratifs permanents et originaux propres à une personne (ou à une chose) afin de permettre de distinguer son possesseur comme une personne (ou une chose) unique.
L'usurpation d'identité désigne, dans le droit français, le fait de s'emparer de l'identité de quelqu'un d'autre dans un but frauduleux. Elle constitue un délit pénal.
En mathématiques, on appelle identité remarquable une égalité particulière utilisée en algèbre.
En mathématiques, l'application identité est l'application d'un ensemble dans lui-même telle que tout élément coïncide avec son image.

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

La nature du verbe
----------------
Comme tout autre partie du discours, le verbe peut être envisagé sous trois aspects :

sémantique : À quelle réalité extralinguistique le verbe se réfère-t-il ? Quel point de vue du locuteur sur la réalité peut-il véhiculer ?
morphologique : de quelles formes lexicales et grammaticales est-il composé ?
syntaxique : Quel rôle joue-t-il dans une phrase et quelles relations entretient-il avec les autres constituants ?

Les catégories verbales : Temps, Aspect , Mode
----------------------------------------------
Ce sont les catégories majeures des formes verbales .

Le temps situe le procès par rapport à un repère sur l'axe temporel, ce peut être le moment de l'énonciation ou un autre repère temporel .

L'aspect désigne la manière dont son déroulement est envisagé , globalement dans il voyagea ou dans sa durée dans il voyageait .

Le mode exprime l'attitude du locuteur par rapport au contenu de son énoncé : Il regarde un tableau est un constat ( indicatif ) ; regarde ce tableau est une exhortation (impératif )

La nature du verbe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Verbe
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MessageSujet: Re: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyMar 28 Mar à 9:59

Le Monde du Silence, Le phare de Y'becca et Police la Coatie

L'Homme arrête sa réflexion; il ouvre sa fenêtre
pour laisser l'air pénétrer la pièce...
Il laisse ses ides et idées, s'envoler et
s'évaporer devant un pot de fleur:
Il s’étend sur le parquet... L'homme
fixe le plafond et replonge dans le calme.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme"

Le Clans des mouettes se prononce différemment
du Clan des mouettes... L'Homme pousse un profond
soupir et fixe l'Horloge... Un rendez vous est prévu
sur ce sens de l'aiguille entre le masculin et le féminin;
entre le pluriel et le singulier ainsi Tel le décrit Platon
dans la caverne; l'orthographe assimile l'hermaphrodisme
par le son et l’ambiguïté du temps...

Il lui reste dix minutes à se reposer... Puis deux ou même
trois minutes après, il décide de quitter son appartement...
Car, l'avance est une source de tranquillité... Il se reflete
dans un miroir qu'il appelle photographie; son ombre se mélange
à la substance créative de nuages. Fier d'avoir déjouer
pour un instant, la prophétie du cabinet noir et de l'Homme
pressé. Oui, il savoure d'avoir traversé les rives du Jourdain;

Un nouveau baptême enflamme son cœur. Il prie pour les ombres
et les vivants qui accompagne ces ombres. il décrit l'adversité
à venir mais celle ci n'est que soulagement devant le triomphe
de l'espérance Libérée... Le Testament n'est qu'un aspect
de son héritage; il laisse l'empreinte d'un art sur l'obscurantisme.
Dans le tréfonds d'un puit, il est l’âne qui est remonté de la
poussière qu'on lui jetait.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme".

Souviens toi d'elle, cette douce vierge apeuré par le sang et la douleur
mais ivre de marcher et de courir, défiant l'Horizon de son arrogance.
elle est loin d'être morte dans le fait de grandir, devenue femme qu'elle
est une douleur qui ne s'estompe pas: celui du Siège. Oui, Marcher.
Souviens toi de toi, ce jeune libertaire qui voulait devenir
archéologue des pierres et qui devient comme
L’Anticonstitutionnellement. L'Inconstitutionnellement se mue en jalousie
et en prophétie antique sur le progrès et la persécution...

Moi, j'ai évolué dans une forme de sympathie ayant une forme de compassion;
ces paraphrases de discours sont les premières étapes qui conduisent les
hommes physiques vers l’exéma et qui les éloigne du sens de morale,
puis de pardon. La Constitution morale est tout comme une goutte d'eau.
Elle s’avère selon le caractère être une source d'océan et pour d'autres,
un chuchotement conduisant à la folie... Construite est ma conscience...

Ecrit de
Monsieur Tignard Yanis

_________________
Kounak le chat....
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MessageSujet: Re: Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca   Destin de l'Univers, Le Timbre, La République et Y'becca EmptyVen 31 Mar à 9:24

L'Homme arrête sa réflexion; il ouvre sa fenêtre
pour laisser l'air pénétrer la pièce...
Il laisse ses ides et idées, s'envoler et
s'évaporer devant un pot de fleur:
Il s’étend sur le parquet... L'homme
fixe le plafond et replonge dans le calme.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme"

Le Clans des mouettes se prononce différemment
du Clan des mouettes... L'Homme pousse un profond
soupir et fixe l'Horloge... Un rendez vous est prévu
sur ce sens de l'aiguille entre le masculin et le féminin;
entre le pluriel et le singulier ainsi Tel le décrit Platon
dans la caverne; l'orthographe assimile l'hermaphrodisme
par le son et l’ambiguïté du temps...

Il lui reste dix minutes à se reposer... Puis deux ou même
trois minutes après, il décide de quitter son appartement...
Car, l'avance est une source de tranquillité... Il se reflete
dans un miroir qu'il appelle photographie; son ombre se mélange
à la substance créative de nuages. Fier d'avoir déjouer
pour un instant, la prophétie du cabinet noir et de l'Homme
pressé. Oui, il savoure d'avoir traversé les rives du Jourdain;

Un nouveau baptême enflamme son cœur. Il prie pour les ombres
et les vivants qui accompagne ces ombres. il décrit l'adversité
à venir mais celle ci n'est que soulagement devant le triomphe
de l'espérance Libérée... Le Testament n'est qu'un aspect
de son héritage; il laisse l'empreinte d'un art sur l'obscurantisme.
Dans le tréfonds d'un puit, il est l’âne qui est remonté de la
poussière qu'on lui jetait.

Une femme traverse son esprit
et puis un désir de reconquête enflamme
le cœur du déchu... Et puis alors le masculin
du désir s'éveille dans le ventre de cet homme,
qui devient "cette homme".

Souviens toi d'elle, cette douce vierge apeuré par le sang et la douleur
mais ivre de marcher et de courir, défiant l'Horizon de son arrogance.
elle est loin d'être morte dans le fait de grandir, devenue femme qu'elle
est une douleur qui ne s'estompe pas: celui du Siège. Oui, Marcher.
Souviens toi de toi, ce jeune libertaire qui voulait devenir
archéologue des pierres et qui devient comme
L’Anticonstitutionnellement. L'Inconstitutionnellement se mue en jalousie
et en prophétie antique sur le progrès et la persécution...

Moi, j'ai évolué dans une forme de sympathie ayant une forme de compassion;
ces paraphrases de discours sont les premières étapes qui conduisent les
hommes physiques vers l’exéma et qui les éloigne du sens de morale,
puis de pardon. La Constitution morale est tout comme une goutte d'eau.
Elle s’avère selon le caractère être une source d'océan et pour d'autres,
un chuchotement conduisant à la folie... Construite est ma conscience...

Ecrit de
Monsieur Tignard Yanis

http://leclandesmouettes.bbflash.net/t28-women-and-countering-violent-extremism

L'éclair et le pigeon.


C'était un jeudi, à librairie Privat, rue des arts, où
je décidais d'acheter un livre intitullé Chagall et la
période russe !.
C'est alors que j'entendit un frisson et me retournant
dèrrière mon dos! C'est là que je vis un pigeon
assomée où plûtot fou de la dernière heure.
Il était à terre et frappait des ailes sans voler !
Alors, je le pris dans les mains, et je vis qu'il
saignait un peu !

Fût il foudroyé par une guêpe, une abeille... ou par
un virus !

Le piegeon étant mort, et aprés l'avoir embrasser je
suis parti vers la Garonne.

Alors son cercueil fût le fleuve des loups ! Les
nuages.
Alors j'entendit un corbeau et un goeland emportait la
carcasse du mort
vers le cimetière: L'eau est tout comme le plaisir
abreuvant un corps de raison et de douleurs.
-------------------------------------------------------
Le chacal et le renard.

"Elle avait raison nous avons sombré dans la
barbarie." dit le renard.
"Rien n'est encore perdu !" réponds le chacal et à sa
manière, il baisse les yeux vers ses pattes
antérieurs.

"cette mort vient de nous, alors que nul ne peut
échapper à son jugement!" dit le renard.
"Nul pourtant n'a de réponse mais je concerve ma
foi.!" dira le chacal.

Dans les plumes de chacun nous avons ressenti le
plaisir d'autrui.

-------------------------------------------------------

Fables d'aujourd'hui.


Ludivine et le canari
"-Ludivine."
"Canari."
"Veux tu m'offrir cette main."
"Non."
"Le cancer... je parle de l'autre..."dit le canari.
"Mais, tu parles."
"Le serpent est vivant Ludivine la blanche."
"La vipére n'est pas le térrorisme."dit la chatte.
"Tu souffres." demande le canari.
"Enervé..." fait Ludivine la chatte blanche.
-------------------------------------------------------
Croaw-croaw, l'ancien corbeau.

"Mais qu'en est-il devant l'homme."
"Corbeau."
"Cassandre tu portes le poids, et tu devra nous donner
l'envie d' aller défendre ce qui est notre valeur:
Yafo."
"La chouette éffraie, je suis faible corbeau et elle
va reprendre le pacte de l'union et elle est prète à
défendre des hontes que se sont livré Jaël et Sisara
dans l'ancien temps."
"La nature et TAY savent la douleur mais il est des
coeurs à sauver, à défendre et à aimer: Toute femme
n'est pas une espionne, par Yahvé celui qui est
Allah."
"Protége le, corbeau."
"Par les racines de mes ancetres, ma fille Nicosie
sera là et lui donnera le plaisir de s'unir dans la
joie avec un autre corbeau.
Nous ne sommes pas un détail, Cassandre chouette
d'égypte;nous avons le fait d'être."
"Croaw-croaw, L'olivier est une graine devenant par
les années un grand arbre comme le cèdre et chacuns."
-------------------------------------------------------
La tourterelle: envoyé à khatami@president.ir,
nagaliew@yahoo.fr,vice.president@whitehouse.gov

Elle pousse un soupir. Elle s'envole et quelle
sensation de voler sous la pluie.

La tourterelle se pose alors dans un jardin et murmure
alors des notes


La petite fille et sa mére voient athèna la chatte
bleue

" Oh... regarde...Le chat." dit la petite fille.
"Oh...Il est beau, il est tout bleu." fait la mére.

Athéna les regarde amuser et s'en va rentrer chez ses
filles.
-------------------------------------------------------
Les mouettes.

"Heu" dit le corbeau.

" En poste,..." réponds le goeland.

Au loin de ses nuptiaux, Nagalïèw ressent l'amour des
saisons:

Eole cet albatros est là...

Dans la garonne, la nature a construit ses iles et
seront faire face au lit Du fleuve.
-------------------------------------------------------
Poéme pour prisonniers sur Mer Morte.

au coeur d'un lac, ainsi est l'histoire: L'eau
s'évapore laissant place au sable de s'éparpiller dans
le clair obscur de nos yeux...

Certes sont...
Est là...
derrière...

Le temps rappellant le temps.
La science appelant la science

Certes sont.
Est là.
Derrière.Elle disparaitra un jour,
Sans gré et sans force.
Elle demeura Mer Morte.

Certes sont
Est là,
Derrière.
-------------------------------------------------------




C’est les plus mauvais mots. Et, pourtant nous pouvons
choisir.

Oui a la grève et non a l’esclavage. Je t’embrasse le
service public.

A l’appel des verbes, qui pourrait contenir, la parole
n’est pas de contenir.

Mouettes sont dévorés par les renards ; finis n’est
pas finir.

2ieme strophe.

O cœurs ravagés, par temps et virus, celui des filles
de l’ogre méchant voulant dévorer.

Alléluia, o mon peuple, me voilà dans la lassitude des
plus grand âges : je le peux.

Comment ceux qui n’ont, plus le goût des plus grands
affamer des pieux.

Les vaches sont là et mangent des foins. Coquin a été
l’être des absorbés : Arborer.

3ieme des
remarques.

Ils se sont élevés dans le cri des plus grandes
douleurs. Ces hommes, épris de connaissance,

Connurent la joie d’être une couverture. Par le dieu,
les concrets affirment dans les aisances.
-------------------------------------------------------
« Elle chante…bien sur qu’elle chante…elle ose malgré…
oh, elle va voir.

Cette enfant n’a pas le goût de l’obéissance. Elle vit
dans son univers. » ; la femme se dirige

vers la chambre de l’enfant. Elle grimpe par
l’escalier. Celui qui la ramène vers ses longues

années de service. Dame Julie entends toujours des
airs de musique provenant de la chambre

de la jeune fille. Il faut savoir oser, et cette
enfant ne dispose pas de la liberté. Elle aime jouer

de son piano, mais elle délaisse sa grammaire. Il n’y
a rien de bien original sauf que cette

enfant est l’héritière.

Dame Julie frappe à la porte et la musique,
alors s’interrompt :


« Mademoiselle… Vous m’avez désobéi… Vous délaissez la
grammaire, je veux vous dire !

Vous avez utilisé votre charme et le dos tourné, vous
avez … Mademoiselle… ! » : Dame

Julie est en pleurs mais la jeune fille lui répond :

« Dame Julie, ma mère sera satisfaite
de mon travail. Il est moins bâclé. Je suis

chagrinée. J’ai si peur d’être frapper pour une
nouvelle désobéissance, dame Julie. » ;

l’enfant est vraiment bouleversé, elle ne sait que lui
dire ses mots :

« une nouvelle lecture, dame Julie ;
ainsi, j’observerai l’orthographe. »

« Mademoiselle, j’en ai assez de
vous entendre hurler sous les fouets de la

punition. Votre père et votre mère attache une
importance réelle à votre éducation. Je suis si

faible. Je n’ai pas eu la chance d’apprendre à écrire
; ces devoirs ne sont pas bâclés,

mademoiselle. » réponds dame Julie.

« bien sur qu’il y a des erreurs, le
parfait est d’apprendre ses nouvelles règles.

Je vous assure que mon cœur est de jouer car je serai
battue : Ils sont ainsi. »

« Mademoiselle » répond dame Julie.

« Je ne faisait que chanter, dame
julie. »

« Vous avez désobéie, mademoiselle.
»

Quand les parents arrivèrent, ils demandèrent si dame
Julie avait chanté, Dame Julie répondit

Qu’elle voulait savoir si la petite fille avait bien
travaillé son écriture et sa grammaire.

Après quelques minutes, ils reviennent pour dire la
chose la plus merveilleuse qui soit

Pour Dame Julie : Ils sont fiers…

Alors, elle comprit que la petite fille, elle comprit
sa faiblesse : Elle prétendit avoir chanter.

Dame Julie alors baissa la tête et les parents riaient
: le temps donne ses fruits, Dame Julie.
----------------------------------------------------------------

Showcased at the center of this NASA/ESA Hubble Space Telescope image is an emission-line star known as IRAS 12196-6300.

Located just under 2,300 light-years from Earth, this star displays prominent emission lines, meaning that the star’s light, dispersed into a spectrum, shows up as a rainbow of colors marked with a characteristic pattern of dark and bright lines. The characteristics of these lines, when compared to the “fingerprints” left by particular atoms and molecules, can be used to reveal IRAS 12196-6300’s chemical composition.

Under 10 million years old and not yet burning hydrogen at its core, unlike the sun, this star is still in its infancy. Further evidence of IRAS 12196-6300’s youth is provided by the presence of reflection nebulae. These hazy clouds, pictured floating above and below IRAS 12196-6300, are created when light from a star reflects off a high concentration of nearby dust, such as the dusty material still remaining from IRAS 12196-6300’s formation.

Text credit: European Space Agency
Image credit: ESA/Hubble & NASA, Acknowledgement: Judy Schmidt

Last Updated: March 4, 2016
Editor: Ashley Morrow

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