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 LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS.

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yanis la chouette




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MessageSujet: LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS.   LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS. EmptyVen 9 Aoû à 8:53

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 8s
8 ethnies : Borucas, Bribri, Cabecar, Chorotega, Maleku ou Guatuso,
Guaymie ou Ngabe, Huetar et Terrabos.
https://www.youtube.com/watch?v=DipEiYAyKxY
Mendiante et recluse.
Delphine de Sabran :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_de_Sabran
Sibylle et Alayette.
Vies occitanes.
https://www.youtube.com/watch?v=vNcKRbmnnc4
Signes
Réserve...
Actuellement, environ 1200 personnes vivent dans la réserve qui abrite trois villages (palenques) : El Sol, Margarita et Tonjibe.
Avant la colonisation espagnole au xvie , leur territoire s’étendait à l'ouest jusqu'à Rincon de la Vieja, et comprenait le volcan Arenal et le Rio Celeste, qui était leur territoire sacré. Les Malekus invitent les touristes à visiter leurs villages pour avoir une meilleure idée de la culture Maleku, même si elle s’est quelques peu appauvrie avec les temps modernes. On peut y visiter également des jardins traditionnels de plantes médicinales. Aujourd’hui, l’économie Maleku repose principalement sur l'art indigène. Sculptures, peintures, et instruments de musique sont les productions les plus populaires. En plus des artisans, la plupart des membres des villages, y compris les enfants, participent à la préparation de la production (découpe des arbres de bois de balsa ou préparation des fruits nécessaires (calebassier) pour les créations.

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 1m
D'origine volcanique, l'île de Skye, en écossais An t-Eilean Sgitheanach, est l'île la plus vaste et la plus au nord de l'archipel des Hébrides en Écosse.
Elle se situe dans les mers intérieures des côtes du temps de l'oubli : « My Skye boat song » ou l'infini du vent.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
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yanis la chouette




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MessageSujet: Re: LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS.   LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS. EmptyMar 13 Aoû à 4:08

Qu’est-ce donc qu’un sacrifice ? Quelle est sa fonction ? La réponse à ces questions semble aller de soi, tant la terminologie sacrificielle est entrée dans le langage courant. Le plus souvent employé sous forme pronominale, le verbe « sacrifier » est généralement associé aux notions de dévouement, de renoncement, de privation d’un bien, et même de sa propre vie, et cela au service d’une cause, le martyre apparaissant ainsi comme la forme suprême du sacrifice. Cette conception implicite du sacrifice, centrée, non sur le destinataire, mais sur le sacrifiant, est aux antipodes de la définition qu’en donnent les historiens des religions qui caractérisent le sacrifice comme un rite cultuel par lequel un sacrifiant transmet un objet à une divinité, et donc le fait passer du domaine profane au domaine sacré. L’étymologie, quant à elle, rattache « sacrifier » au latin sacrificare, un composé de sacrum facere, faire un acte sacré [1]

[1]Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice…
. Avant même de décrire le sacrifice tel que le présente la Bible, il convient donc de commencer par clarifier la question des définitions. Ce point est d’autant plus important que, par un singulier retournement, l’acception profane est devenue, de fait, une clé d’interprétation inconsciente pour déterminer la fonction du rite cultuel et en a complètement faussé le sens.

2
Selon la Bible, le sacrifice est, tout d’abord, un don fait à Dieu. Il fait partie de ce que la Bible qualifie de qorban, littéralement « rapprochement », un terme qui englobe toutes les formes d’offrandes à Dieu, celles qui sont détruites et lui sont directement transmises par combustion sur l’autel, celles qui sont versées au trésor du temple et celles qui sont destinées aux prêtres et réservées à leur usage. Parmi ces offrandes, seules les premières peuvent être qualifiées de « sacrifice » au sens strict du mot.

3
Pour caractériser le sacrifice proprement dit, la Bible emploie, plus précisément, deux termes, qui sont complémentaires.

4
Le premier, le plus fréquent, est zèbach, un dérivé du verbe zabach, sacrifier, dont provient également mizbéach, autel. Utilisé, de même que zabach, dans un sens générique recouvrant toutes les formes du sacrifice animal, ce terme désigne aussi le sacrifice de cyommunion, une catégorie de sacrifice où la matière sacrificielle est partagée entre Dieu, les prêtres, le sacrifiant et ses invités. Zèbach représente le sacrifice sous l’aspect du repas. Comme l’indiquent ses emplois profanes, zabach, c’est tuer un animal et l’apprêter de manière à pouvoir le consommer. On voit ainsi la nécromancienne d’Eïn-Dôr « sacrifier » un veau et cuire des pains, puis servir le tout à Saül et ses compagnons qui étaient venus chez elle pour évoquer l’esprit de Samuel (1 Sm 28, 24-25). « Sacrifier » désigne ici l’ensemble du processus de préparation du veau, depuis sa mise à mort jusqu’à sa cuisson [2]
[2]Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34,…
.

5
L’autre terme dont se sert la Bible est minchah, présent, tribut. Dans ses emplois profanes ce terme caractérise le présent que le sujet ou le vassal remet à son suzerain en signe d’hommage et de soumission. La rébellion, à l’inverse, se traduit par le refus d’offrir une minchah. Ainsi les opposants à l’élection de Saül, qui contestent sa capacité à libérer Israël de la domination philistine, refusent de lui apporter une minchah (1 Sm 10, 27) et le roi Osée, après son alliance avec l’Égypte, cesse de verser au roi d’Assyrie la minchah, le tribut annuel, auquel il était assujetti (2 R 17, 3-4). La minchah apparaît ainsi comme une marque de reconnaissance de la suzeraineté divine, un aspect sur lequel le Lévitique mettra tout spécialement l’accent. De là l’obligation faite à tout Israélite de se présenter trois fois par an devant son Dieu et de lui apporter un présent (Ex 23, 15b.17 // 34, 20b.23-24). Minchah, au sens étroit, désigne l’offrande végétale.

6
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d’un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l’honorer, minchah.

7
Cette définition du sacrifice comme repas est corroborée par les indications relatives à sa matière, laquelle consiste exclusivement en des produits qui peuvent être consommés. On peut, certes, offrir à Dieu de l’or, de l’argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69). Mais on ne peut lui sacrifier que des animaux et des végétaux. Et, plus précisément, des animaux d’élevage, bovins, ovins ou caprins, généralement mâles (à quoi le Lévitique ajoute des colombes) et, pour ce qui est des végétaux, uniquement ceux issus des trois principales productions agricoles, à savoir céréales, olives et raisins. Ces produits, au demeurant, lui sont apportés, non dans leur état brut, mais seulement après avoir été préparés. Les animaux sont tués et dépecés, les céréales sont transformées en farine ou en pains, les olives en huile d’olive, les raisins en vin, et sont ainsi présentés sous une forme qui rende possible une élaboration culinaire. Ces mêmes produits constituent d’ailleurs aussi la nourriture habituelle (les pains) ou festive (la viande, l’huile, le vin) des Israélites. Et ils sont également représentatifs des richesses du pays. Dans cette logique, les sacrifices humains n’ont évidemment aucune place. Lorsque la Bible évoque ces derniers, c’est pour les rejeter de la manière la plus vigoureuse [3]
[3]Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
.

8
Les sacrifices ne sont pas, pour autant, destinés à nourrir Dieu. Jamais, en effet, la Bible ne considère que le sacrifice a pour fonction d’assurer sa subsistance. Le psalmiste le dit clairement : Dieu n’a nul besoin de sacrifices, lui à qui appartiennent tous les animaux (Ps 50, 10-13). Et le prophète renchérit : tous les arbres du Liban et tous ses animaux n’y suffiraient pas (Is 40, 16). Le repas auquel on invite Dieu ne sert pas à son alimentation, il est essentiellement un geste de vénération. Et il est l’expression d’un désir de convivialité et donc, d’une relation plus forte, plus profonde, plus personnelle que celle qui pourrait résulter de l’offrande d’un simple présent.

9
Ce repas festif peut prendre deux formes.

10
L’une, qui nous est familière, est celle du repas convivial où les différents commensaux, assis autour d’une même table, partagent les mets, avec, à la place d’honneur, l’hôte de marque, servi en premier et régalé des meilleurs morceaux (voir par ex. 1 Sm 9, 22-24). À cette forme d’hospitalité correspond, au plan sacrificiel, le sacrifice de communion. La part attribuée à Dieu est la graisse – dont Lv 3, 3-4 définit scrupuleusement la nature. La graisse est considérée comme le meilleur de l’animal et concentre en elle comme la quintessence de la viande. Elle représente aussi la nourriture sous sa forme la plus raffinée, celle que l’on n’a pas besoin de mastiquer, mais que l’on peut sucer, et qui fond sur la langue. Le Lévitique réserve strictement cette part à Dieu (Lv 7, 23-25). Les autres parts, en l’occurrence la viande, servent à régaler le sacrifiant et ses invités.

11
Et puis, il y a une autre forme d’hospitalité, que nous ne pratiquons guère, mais qui est encore attestée dans d’autres sociétés, où le repas est préparé à l’intention exclusive de celui que l’on reçoit, et où l’hôte se tient à l’écart, à l’entière disposition de son invité, prêt à répondre à sa demande, comme on voit Abraham le faire lorsque arrivent chez lui trois inconnus (Gn 18, 1-Cool ou encore la nécromancienne d’Eïn-Dôr à l’endroit de Saül et de ses compagnons (1 Sm 28, 21-25). À cette seconde forme d’hospitalité, plus déférente, correspond l’holocauste, où l’intégralité de la victime (sauf la peau) est servie à Dieu.

12
Ouvrons ici une parenthèse.

13
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d’un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l’altérité de Dieu et sa similarité. L’offrande à Dieu d’un repas préparé à partir des mêmes produits que ceux qu’Israël utilise pour sa propre alimentation montre que Dieu est d’une certaine manière semblable aux Israélites : il « mange » la même chose qu’eux. Et parce que ce repas est constitué des produits caractéristiques de son pays, il apparaît comme solidaire d’Israël et lié, comme lui, à cette terre, une terre dont il est aussi le seigneur. Mais, dans le même temps, le fait de lui réserver en propre la graisse, rigoureusement interdite aux humains, témoigne de l’altérité fondamentale de Dieu. Dieu est autre, et c’est parce qu’il est autre qu’il est Dieu. Et il est néanmoins semblable, ce qui permet de communiquer avec lui. La Bible exprime cette analogie par le moyen de l’anthropomorphisme. Elle parle de la main de Dieu, de sa bouche, de son nez, de ses pieds, de ses entrailles… Elle dit qu’il voit, qu’il entend… Et pour la Bible, ce sont même là des traits qui distinguent Dieu des idoles des nations. Dans un passage du Deutéronome, Moïse avertit ainsi les Israélites que, s’ils venaient à succomber à l’idolâtrie, ils seraient exilés au milieu de nations dont les dieux sont « des dieux faits de main d’homme, en bois ou en pierre, qui ne voient pas, qui n’entendent pas, qui ne mangent pas et qui ne sentent pas » (Dt 4, 28). À l’inverse de son Dieu qui, lui, voit, entend, mais aussi mange et sent. « Sentir », on retrouve ce verbe à de multiples reprises pour désigner la réaction de Dieu aux sacrifices : il en sent le parfum reposant (voir par ex. Lv 1, 9.13.17 ; 2, 2.9 ; 3, 5.16). Quoi que l’on puisse penser de cette conception très réductrice de la religion des autres nations, elle n’en témoigne pas moins de l’importance de l’anthropomorphisme comme un moyen d’exprimer la similitude de Dieu. L’anthropomorphisme, y compris l’anthropomorphisme sacrificiel, n’est pas la marque d’une religion primitive et naïve. En utilisant le langage de l’analogie, il permet de dire l’indicible et, en disant la similitude, il ouvre la possibilité d’une communication.

14
L’examen du rituel sacrificiel va nous permettre de préciser un peu plus la fonction du sacrifice. Deux traits le caractérisent. Alors que dans les religions assyro-babyloniennes la matière sacrificielle est simplement déposée devant la statue de la divinité, en Israël l’offrande d’un sacrifice nécessite un autel (qui peut se résumer à un simple rocher, ainsi Jg 13, 19) et elle se fait par combustion.

15
La Bible ne décrit pas véritablement le rituel sacrificiel. Ce que fera, par contre, le Talmud dans les traités de l’ordre Qodachim. Les premiers chapitres du Lévitique, Lv 1 à 7, n’en indiquent que les rites les plus significatifs. Le rituel se déroule sur un espace public, ouvert, sur le parvis du Temple. Le sacrifiant commence par présenter son offrande. Puis, dans le cas d’un animal, il lui impose la main, et le met à mort en l’égorgeant. Ce sont ensuite les prêtres qui prennent le relais. Ayant recueilli tout le sang de la victime, ils l’aspergent contre l’autel, puis font brûler sur l’autel la part destinée à Dieu, à savoir la totalité de la victime, dans le cas d’un holocauste, la graisse, dans le cas d’un sacrifice de communion, une poignée de farine mêlée à l’huile ou un morceau de pain, dans le cas d’une offrande végétale. Cette combustion marque le point culminant de tout sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, et est, d’ailleurs, le rite sacrificiel le plus souvent mentionné dans la Bible. Elle indique la finalité du sacrifice, qui est d’établir un trait d’union avec Dieu.

16
Cette présentation succincte du rituel sacrificiel appelle un double commentaire.

17
Il en ressort, tout d’abord, que l’abattage de la victime, loin d’être le rite sacrificiel central, le rite essentiel, n’a qu’une fonction subsidiaire. De fait, cette action est effectuée par le sacrifiant, et non par le prêtre, et elle intervient en marge de l’autel, et non sur l’autel. Un passage du livre d’Ezéchiel permet de se faire une idée précise de la place qu’on assignait à l’égorgement des victimes. Dans une violente diatribe contre les lévites, accusés d’idolâtrie, Dieu leur signifie leur dégradation : désormais ils ne seront plus qu’au service du peuple et devront égorger, à la place des sacrifiants, les victimes sacrificielles, le service de Dieu – à savoir l’offrande du sang et de la graisse – étant, lui, dorénavant réservé aux seuls prêtres (Ez 44, 10-16). L’immolation est ainsi clairement distinguée de la phase proprement sacrificielle. Elle n’est que le point d’aboutissement de la première phase, la phase préparatoire du sacrifice. Après que le sacrifiant a exprimé, par la présentation de sa victime, son intention de l’offrir à Dieu, qu’il a, par l’imposition de la main, signifié sa volonté d’y renoncer au bénéfice de Dieu, il donne à cette renonciation un caractère définitif en tuant l’animal qu’il se propose de lui offrir. La phase positive du don, celle de la transmission à Dieu, n’intervient qu’après et relève exclusivement des prêtres.

18
On ne saurait donc, à l’instar des interprétations traditionnelles du sacrifice, et de René Girard [4]
[4]Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset,…
, faire de l’abattage de la victime le rite sacrificiel central et donc, de la violence, sa caractéristique principale. Sans doute, le sacrifice animal comporte une part de violence puisqu’il présuppose la mise à mort de la victime, ce qui n’est pas un acte banal, car il touche à la vie, et donc à ce qui appartient à Dieu. Mais cette mise à mort n’est pas valorisée en tant que telle. Elle est seulement une incontournable nécessité, légitimée par Dieu (Gn 9, 1-5), afin de pouvoir apprêter l’animal pour un repas. Elle est uniquement un moyen, et non le but du sacrifice. Elle ne saurait donc être considérée comme représentant l’essence du sacrifice. Il est tout à fait significatif à cet égard que l’abattage de la victime est, parmi les rites principaux, le seul auquel le Lévitique n’attribue aucun effet particulier : il n’est pas mis en relation avec l’absolution, il ne suscite pas non plus la faveur divine, et il ne constitue pas davantage un parfum reposant pour Dieu. Faire de la violence le centre du sacrifice n’est possible, au demeurant, qu’en ignorant les offrandes végétales. Or, celles-ci sont loin de n’être qu’un simple appendice du sacrifice animal ou un modeste succédané. Leur importance est démontrée notamment par les deux observations suivantes : Alors que l’holocauste et le sacrifice de communion sont obligatoirement associés à une offrande végétale et à une libation (voir Nb 15, 1-16), l’offrande végétale peut, elle, être offerte seule, indépendamment de tout autre sacrifice ; et tandis que l’offrande quotidienne du peuple consiste en un holocauste accompagné d’une offrande de farine et d’huile et d’une libation de vin (Nb 28, 3-Cool, celle des prêtres, présentée par le grand prêtre en personne, consiste en une offrande exclusivement végétale (Lv 6, 13-15). La place éminente que le Lévitique attribue aux offrandes végétales s’explique largement par le fait que, justement, ces offrandes n’impliquent aucune violence, mais que, tout au contraire, elles reflètent l’ordre de la création caractérisé par la non-violence et le respect de la vie qui trouvent leur traduction dans l’utopie d’une alimentation exclusivement végétale de l’ensemble des êtres vivants (Gn 1, 29-30) [5]
[5]Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes…
.

19
La seconde remarque porte sur le rôle du sang. Parmi les autres idées reçues figure l’idée que le rite du sang représenterait l’offrande d’une vie, celle de l’animal ou même, selon une des interprétations chrétiennes traditionnelles, celle du sacrifiant qui infligerait substitutivement à cette victime le châtiment qu’il aurait dû lui-même subir à cause de ses péchés. Le sang, surtout dans le cas d’un sacrifice pour « le péché » [6]
[6]La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très…
, servirait ainsi à expier les péchés. Cette interprétation s’appuie notamment sur Lv 17, 11 : « Car la vie de toute chair est dans le sang, et moi je vous l’ai donné sur l’autel pour faire l’absolution, kappér, de votre vie, car le sang, par la vie, réalise l’absolution. » Or, si ce passage, comme le fait d’ailleurs déjà Gn 9, 4, associe effectivement sang et vie, il est à noter qu’il n’y est pas question d’offrir une vie à Dieu. Le verbe « donner » a pour sujet Dieu, non le sacrifiant ! Le sang n’est pas offert par le sacrifiant à Dieu, il est donné par Dieu au sacrifiant, cela en vue de lui permettre de se réconcilier avec lui. Sa fonction est, en somme, analogue à celle du sang pascal mis sur les montants et les linteaux de la porte, et qui sert de signe, non d’offrande, pour protéger de la mort ceux qui se trouvent à l’intérieur de la maison (Ex 12, 7.12-13). Le sang du sacrifice pour le « péché » est, de même, destiné à faire pièce à tout ce qui est facteur de mort et qui entrave la relation avec Dieu. Pour ce qui est des holocaustes et des sacrifices de communion, le sang n’est pas davantage offert à Dieu. Il est aspergé contre l’autel, et non sur l’autel. La fonction de ce rite est de le soustraire à tout usage profane, mais aussi, en le mettant en contact avec l’autel, lieu de la communication avec Dieu, de manifester que la vie de l’animal, contenue dans le sang, appartient à Dieu, et à lui seul. En fait, le rite du sang, même s’il appartient à la phase proprement sacrificielle du rituel, n’est lui-même qu’un préalable au rite de la combustion qui, lui, en est le point d’aboutissement.

20
Il faut donc « en finir avec l’“expiation” » [7]
[7]Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec…
. Celui qui invite à sa table veut honorer son hôte, partager avec lui sa joie, et non pas apaiser sa colère, et encore moins faire de ce repas un châtiment qu’il s’imposerait ! Ce repas n’est pas davantage un moyen de pression. Il est significatif à cet égard que le sacrifice offert lors du déluge (Gn 8, 20-22) l’est par un homme considéré comme juste (et qui n’a donc pas besoin que Dieu lui pardonne), et qu’il l’est, non pas avant le déluge, dans le but de détourner Dieu de son projet, mais seulement après, une fois le péché sanctionné, en vue de rétablir la relation avec lui. Le sacrifice présuppose des relations harmonieuses avec Dieu. Car la finalité du sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, est toujours l’instauration ou plutôt le renforcement de relations sereines avec Dieu, ce qu’exprime la combustion de la matière sacrificielle sur l’autel en un parfum reposant.

21
Un texte capital, qui peut être véritablement considéré comme le récit étiologique du sacrifice israélite, vient confirmer les observations faites sur la base des désignations du sacrifice et de l’examen du rituel. Il s’agit d’un passage du livre de l’Exode situé aussitôt après la proclamation solennelle du décalogue. S’adressant à Israël par l’intermédiaire de Moïse, Dieu lui donne une série d’instructions portant sur le sacrifice (Ex 20, 23-26) :

22

« Vous ne ferez pas à côté de moi des dieux d’argent et des dieux d’or.
Un autel de terre tu feras pour moi et tu sacrifieras sur lui tes holocaustes et tes sacrifices d’alliance, ton menu bétail et ton gros bétail.
Dans tout lieu où je ferai souvenir mon nom, je viendrai vers toi et je te bénirai.
Si tu fais pour moi un autel de pierre, tu ne le construiras pas en pierres taillées car ton ciseau que tu agiterais sur elles le profanerait.
Et tu ne monteras pas par des marches sur mon autel, afin que ta nudité ne soit pas révélée sur lui »

23
À première vue, ce passage semble se réduire à un fourre-tout de prescriptions relatives à la construction d’un autel, entremêlées d’informations sur la matière sacrificielle, les types de sacrifices et d’interdits divers. Or, un curieux procédé cryptographique conduit à considérer ce texte avec plus d’attention. En effet, si on s’applique à son étude – en hébreu ! – et que l’on fasse le décompte du nombre de mots du texte, on s’aperçoit que le total obtenu – cinquante-sept – correspond très exactement à la valeur numérique – autrement dit, à l’addition de la valeur de chaque consonne – du substantif mizbéach, autel. Le texte est donc loin d’être banal et mérite que l’on s’y arrête. En l’étudiant attentivement, on se rend aussi compte que l’impression d’incohérence qui s’en dégage n’est que superficielle. Car, en réalité, le texte est construit avec un soin tout particulier. On constate, en effet, que ses différentes prescriptions sont agencées deux par deux selon une structure concentrique, de manière à se correspondre. Aux deux extrémités, en deux vers de deux hémistiches de cinq mots chacun, sont énoncés des interdits : l’interdiction de fabriquer des images cultuelles et l’interdiction de faire des marches sur l’autel. Puis, au deuxième et à l’avant-dernier vers, de quatorze mots chacun, on trouve des instructions relatives à la nature de l’autel : il doit être construit en terre ou en pierres brutes. Enfin, exactement au centre du texte, encadré par cette double série de vers et ainsi mis en valeur, le verset qui en constitue le cœur. Ce verset se distingue à la fois par sa forme et par son contenu. Rédigé à la première personne, et non plus à la troisième, il se présente, non sous la forme d’un règlement, mais comme une promesse que Dieu fait à Israël. Une promesse double : chaque fois qu’Israël offre un sacrifice à Dieu, Dieu viendra vers lui, et il le bénira. Cette promesse récapitule toutes les attentes liées au sacrifice.

24
La première est la venue de Dieu auprès du sacrifiant. Comme le montre la comparaison avec Ex 19, 3-4, où l’annonce de la venue de Dieu au Sinaï est introduite dans les mêmes termes qu’en Ex 20, 22, la référence à la venue de Dieu est à comprendre littéralement. Dieu vient, cela signifie qu’il « descend » sur terre pour se rapprocher de son peuple, et même pour être présent en son sein (Ex 29, 46). Mais à la différence de la théophanie du Sinaï, qui est spectaculaire et terrifiante, accompagnée de coups de tonnerre, d’éclairs, de tremblements de terre (Ex 19, 16. 18-19 ; 20, 18-19), la venue de Dieu à l’occasion d’un sacrifice se fait de manière discrète, invisible. Et elle intervient chaque fois qu’Israël lui offre des sacrifices. Pour reprendre une image de l’exégète Benno Jacob, l’autel est un « Sinaï mobile » [8]
[8]B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos…
. Ou, comme le dit le psaume 68, 18, « le Seigneur est parmi eux, et le Sinaï est dans le sanctuaire ». L’autel représente le Sinaï, un Sinaï en quelque sorte reconstitué par Israël, et qui, parce qu’il en est comme un modèle réduit, doit, à l’instar d’une montagne, être fait de terre ou de pierres brutes.

25
Ce que le sacrifiant attend plus précisément de cette venue est exprimé par le second élément de la promesse : la bénédiction. Tout notre texte est tendu vers cette promesse. Si on se le représente, à la manière du Sinaï, sous la forme d’un cône, on trouve à sa base des interdits, puis, au milieu, des instructions, et au sommet, une promesse. Et, tout au sommet, à la pointe, cette promesse formulée en un seul mot : béraktika, je te bénirai. La principale fonction du culte sacrificiel se concentre dans ce seul verbe « bénir ». Ce « bénir » rejoint la toute première parole que Dieu, au moment où il les a créés, a adressée aux êtres humains, à tous les êtres humains, sans distinction de sexe, de « race » – un terme, au demeurant, jamais utilisé dans la Bible –, de peuple et même de religion : « fructifiez, devenez nombreux et remplissez la terre » (Gn 1, 28) et qu’il va réitérer à l’issue du déluge (Gn 9, 1). Car « bénir », ce n’est pas simplement formuler un vague souhait de bonheur. L’enjeu de la bénédiction, c’est la vie, au plein sens du terme. La vie physique et ce qui lui est nécessaire, la nourriture, et donc aussi tout ce qui est indispensable à la production de cette nourriture, la fertilité du sol, la pluie en son temps, la fécondité du troupeau, l’absence de fléaux. Mais aussi tout ce que l’hébreu désigne par le terme shalôm, à savoir la paix, la sécurité, la prospérité, le bien-être. Le sacrifice, constitué des produits représentatifs de l’agriculture et de l’élevage apprêtés en un succulent repas, est comme une illustration de cette bénédiction. Il est l’expression même de la bénédiction divine grâce à laquelle ces produits ont pu être obtenus. Offert à Dieu, en réponse à sa bénédiction, il suscite, en retour, la bénédiction divine et réalise ainsi ce qu’il représente.

26
Une image empruntée au livre d’Ezéchiel résume parfaitement les attentes qu’Israël rattache au sacrifice. Au cours d’une vision, le prophète Ezéchiel voit s’écouler du Temple un mince filet d’eau qui grossit très rapidement jusqu’à devenir un torrent infranchissable. Et l’ange qui accompagne Ezéchiel lui explique : « Cette eau s’en va vers le district oriental, descend vers la Arava et coule vers la mer… Et tout être vivant qui y pullule vivra là où passe ce fleuve et le poisson sera très nombreux… Au bord du fleuve, sur ses deux rives, pousseront toutes sortes d’arbres fruitiers ; leur feuillage ne se flétrira pas, leurs fruits ne s’épuiseront pas. Ils donneront chaque mois de nouveaux fruits, car l’eau sort du sanctuaire : les fruits serviront de nourriture, et le feuillage, de remède » (Ez 47, 1-12). Par l’effet de cette eau qui sort du Temple, la terre est transformée en jardin d’Éden. Le sacrifice a, en définitive, pour fonction de permettre que cette vie continue à s’en écouler en faisant obstacle à tout ce qui l’entrave et en s’efforçant de faire en sorte que Dieu reste présent au milieu de son peuple.

27
Car, au fond, pour la Bible, le sacrifice est essentiellement l’expression d’un intense élan vers Dieu et d’une profonde aspiration à vivre dans sa proximité.
Notes

[1]
Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice dans les religions (Paris, Beauchesne, 1994). Pour le sacrifice dans la Bible, voir Dictionnaire encyclopédique du Judaïsme (Paris, Robert Laffont, 1996), art. « Sacrifices et offrandes » ou encore A. Marx, Les sacrifices de l’Ancien Testament (Cahiers Évangile 111 ; Paris, Cerf, 2000). Pour une étude plus technique, qui intègre les commentaires rabbiniques, voir le monumental commentaire de J. Milgrom, Leviticus 1-16 (The Anchor Bible 3 ; New York, Doubleday, 1991).
[2]
Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34, 3.
[3]
Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
[4]
Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset, 1981).
[5]
Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes végétales dans l’Ancien Testament. Du tribut d’hommage au repas eschatologique (Leiden, Brill, 1994).

[6]
La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très heureuse, ceci notamment parce qu’elle donne à penser que ces sacrifices sont apportés en vue d’obtenir le pardon des péchés, alors qu’en réalité ils ne permettent d’obtenir ce pardon que dans le cas où il s’agit de transgressions par inadvertance, ou même inconscientes, d’un interdit divin (voir Lv 4-5, 13).
[7]
Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec l’“expiation” », in « La Bible et l’Autre », Pardès 32-33, 2002, p. 117-127.
[8]
B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos d’Ex 40, 34).



Le sacrifice dans la Torah, dans le nouveau Testament et Le Coran...
Sa fonction théologique
Alfred Marx
Dans Pardès 2005/2 (N° 39), pages 161 à 171

https://www.cairn.info/revue-pardes-2005-2-page-161.htm#

--------------------------

Mais, À l'origine, le terme de sacrifice s'emploie pour une grande variété d'actes. Habituellement, il est surtout utilisé pour les sacrifices sanglants. Dans le cas d'offrandes de nourriture ou de liquide, on parle de sacrifice non sanglant ou libation, et, dans le cas d'une portion du sol, d'inauguration. Le terme est également passé dans le langage courant pour désigner le fait de détruire ou laisser détruire stratégiquement une partie d'un ensemble en vue d'un objectif global jugé plus important : le sacrifice aux échecs, qui consiste à donner un pion, une pièce ou une qualité pour obtenir l'avantage, sacrifier une escouade afin de gagner notamment une bataille ou une guerre, ou au travail, et aux études. Le sacrifice est une recherche du soi pour se faire pardonner de ses fautes au lieu d’honorer l'entité...

Pour moi, la prière est le plus beau des dons vers l'origine : dans ces termes, je ne cherche pas le repos et je percois la fragilité de ma conscience devant l'adversité des destins... Mon abnégation repose sur le terme et ne cherche pas à interpeller le verbe par des offrandes... Je cherche à développer sans violer sa création : La poussière devenue la nature et malgré ses jalousies et ses erreurs, il a le mérite de percevoir ses doutes et ses erreurs... Dans sa fierté, il a soumis des hommes dans des épreuves comme Abraham, Job et autres mais à su percevoir le bien et le mal créer dans les circonstances... Sa justice a eu le mérite de porter vers une connaissance où nous avions le libre arbitre du savoir : la justice, la sagesse et le châtiment... Construire n'est pas aisé et s'affirmer peut nous détourner de l'humilité...

Je ne cherche à écarter le mystère par la raison car le propre de l'univer est de percevoir un infini auquel le mirage et l'illusion côtoie la réalité et le temps... La terre est un océan peuplée d'iles plus au moins grandes... La poussiére engendre l'eau : étrange sensation des domaines sur la masse... Le sacrifice n'a pas de lieu si il veut modifier le destin car la vie engendre le destin, le chaos pour donner à su engendrer par son désir de vivre : Yahvé n'est pas un sacrifice car il est l'origine de la prière et de l'éthique de Vie...

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 12h
JEAN-PIERRE MOCKY REPOSE EN PAIX AVEC SES SENTIMENTS : J'AI EU UNE PENSÉE POUR ALAIN DELON CAR JE CROIS QUE CE RÉALISATEUR ÉTAIT UN GRAND AMI À MADAME MIREILLE DARC. HEUREUSEMENT, LE SICILIEN A ENCORE SON ÉTERNEL RIVAL À SES CÔTÉS : MONSIEUR JEAN PAUL BELMONDO.
TAY

IL Y A TOUJOURS EU LA COOPÉRATION ENTRE LA JUSTICE AMÉRICAINE ET LA JUSTICE FRANÇAISE AU SUJET DE JEFFREY EPSTEIN : C'EST LE DOSSIER JONATHAN. CETTE COOPÉRATION DEVAIT ÊTRE DISCRÈTE ET CONCRÈTE DANS LE DÉROULEMENT DES SOUVENIRS ET DES ÉVÉNEMENTS : LES CICATRICES DES VICTIMES.
TAY

NOMBREUX INCENDIES FRAPPENT LA GRANDE CANARI, LA GRÈCE ET LE PORTUGAL : LA FRANCE A ELLE AUSSI ÉTÉ FRAGILISÉE PAR LA SÉCHERESSE. L'EAU DOIT ÊTRE UN ÉQUILIBRE ET NOUS DEVONS NOUS INVESTIR DANS DES COORDINATIONS ENCORE PLUS ADAPTÉES TOUT EN RESPECTANT L'ABNÉGATION SECOURISTE.
TAY

HARVEY WEISTEIN ET JEFFREY EPSTEIN ONT ÉTÉ GLORIFIÉS ET HONORÉS PAR LEURS PÈRES ET LEURS PROFESSIONS : DANS L'ASPECT DE PRÉSOMPTION D'INNOCENCE, NOUS DEVONS APERCEVOIR QUE SI UNE ORMETA A ÉTÉ RÉVÉLÉE POUR L'UN, LA TRISTE RÉALITÉ EST QU'ELLE A SON ÉQUIVALENCE POUR L'AUTRE.
TAY

J'ENTENDS LES CRIS DE HONG KONG OÙ LE PEUPLE RÉCLAME UNE AUTONOMIE RÉGIONALE POUR SA STRUCTURE. PÉKIN A INDIQUÉ QU'ELLE CONSIDÉRAIT SES ÉTUDIANTS COMME DES TERRORISTES. PÉKIN AURAIT ELLE OUBLIER LE PRINCIPE COMMUNAUTAIRE : ÊTRE DANS LE PARTAGE, C'EST MONTRÉ SA PERSÉVÉRANCE.
TAY

CHER PÉKIN, DANS LE PRINCIPE DU SOULÈVEMENT, L'HISTOIRE DE LA CHINE S'EST CONSTRUITE PAR CEUX QUI ONT REFUSÉ DE SE SOUMETTRE : HONG KONG NE CHERCHE PAS À RENVERSER LA CHINE MAIS SON PEUPLE VEUT ÊTRE RESPECTER DANS SA RESPONSABILITÉ CIVILE ET HISTORIQUE : LE GRAND PACIFIQUE.
TAY

PÉKIN, DES FEMMES DONNENT NAISSANCE À DES ENFANTS QUI NE REÇOIVENT PAS LA CITOYENNETÉ : CAR, ILS SONT CONSIDÉRÉS COMME ILLÉGITIMES CAR ISSUS DE MAÎTRESSES HORS MARIAGE. CELA EST INADMISSIBLE DANS LES PRINCIPES DE LA SOIE ET DE L'ÉTHIQUE : L'ÉDUCATION, LA NATION ET LA LIBERTÉ.
TAY

PÉKIN, PENDANT DE NOMBREUSES ANNÉES, DES OGRES SONT VENUS SE NOURRIR DE JEUNES MINEUR'E'S AU SEIN DES TRIANGLES D'OR : CELA EST AUSSI FUNESTE QUE LA DROGUE. VOLÉ LA CHAIR ET L'ESPRIT POUR ASSOUVIR CES MONSTRES EST UN GRAND PÊCHER AU YEUX DES DRAGONS, DU LOUP ET DE L'ÉCLIPSE.
TAY

DOSSIER JONATHAN EST PLUSIEURS ENQUÊTES DES JUSTICES FRANCO-AMÉRICAINES SUR DES TRAITES DE MINEUR'E'S ET DES ACTIONS JURIDIQUES À MENER AU STADE CONTINENTAL PUIS INTERNATIONAL : COMPLEXE SONT LES DROITS MAIS LES PROCUREURS ONT UNE ÉTHIQUE VERS LES VICTIMES ET LES MORT'E'S.
TAY

J'ENTENDS TES CRIS, HONG KONG ET JE SAIS QUE TU N'ES PAS UNE TERRORISTE : TU ES L'EFFRONTÉE ET JE SAIS QUE TU IRRITES SHANGHAI. TU VEUX GARDER TON VISAGE ET TES ESPOIRS : EN CELA, CE MYSTÈRE FAIT DE TOI, UN SOUFFLE DE L'ÉCLIPSE CAR PÉKIN N'EST PAS LA CHINE : C'EST LE PEUPLE.
TAY

LE DRAGON VOIT LA ROUTE DE LA SOIE ET LA CHOUETTE HULULE : " PENDANT DES SIÈCLES, TU AS ACCUSÉ LE LOUP CÉLESTE DE VOULOIR DÉVORER LA LUNE ET MAINTENANT, TU REPROCHES À CETTE DERNIÈRE DE NE PAS ÊTRE ASSEZ ÉTINCELANTE. TON ORGUEIL OUTRAGE LA FIERTÉ MORALE, ORGUEILLEUSE PÉKIN ".
TAY

LE BIG BANG. L'ÉCUME EST L'ÉVIDENCE OÙ LA MATIÈRE INTERPELLE LA MANIÈRE : LA CHAIR EST DEVENUE L'ESPRIT. BEAUCOUP ME DIRONT : " JE SAIS MAIS AUCUN NE POURRA DIRE POURQUOI " ! DANS MA PHRASE, LE VERBE EST UN ÉCHO OÙ LE VERTIGE INTERPELLE L'ÉQUILIBRE : L'EXISTENCE ET LA NATURE.
TAY

L'ÉVIDENCE INTERPELLE LA NATURE, LE CARACTÈRE VEUT PARLER AU VERBE : ON POINTE L'HORIZON ET ON DÉTERMINE UN BUT OU UN PRÉSAGE. CES PRINCIPES FONCTIONNENT CAR ILS SONT LES FONDEMENTS D'UNE ÉVOLUTION BASÉE. LA SAGESSE EST UN CROIRE ET PHILOSOPHER EST UN SENTIMENT : LA RÉALITÉ.
TAY

LES BUILDINGS SONT LES NOUVEAUX MENHIRS : NOUS SOMMES TOUJOURS DES SOCIÉTÉS ÉTABLIES DANS LA CONSTRUCTION DE MÉGALITHES. CES PHÉNOMÈNES SONT INSPIRÉS DES ANCIENNES CIVILISATIONS INSPIRÉES PAR DES ROCHES TAILLÉES PAR LE TEMPS ET LA NATURE : LA NAISSANCE ET LE TÉMOIGNAGE.
TAY

POUSSIÈRES. CES SENTIMENTS ME POUSSENT À DES GRANDES INTERROGATIONS ET CETTE BAIGNADE DANS LA GARONNE M'A DÉMONTRÉ DES ÉVÉNEMENTS ET DES ACTES DANS MES CAPACITÉS ET DANS MES APTITUDES : LA SAGESSE EST UN CROIRE ET LA PRUDENCE EST UN APPRENTISSAGE.
TAY

LA NATURE EST LA POUSSIÈRE QUI ENGENDRE LES MOUVEMENTS, LES CIRCONSTANCES ET LES CYCLES : NOUS SOMMES ET NOUS FÛMES CAR CE PRINCIPE EST POUR UN NUAGE. CE QUI S'ÉVAPORE, CE REVIVIFIE : CELA EST LE VENT ET, LE VERBE SCIENCE LE TEMPS : L'UNIVERS ET L'INFINI EN LA MATIÈRE.
TAY

LES MÉTAMORPHOSES ONT ENGENDRÉE LA NATURE EN DES ÊTRES. LA POUSSIÈRE EST DEVENUE CHAIR QUI A REÇU CE SOUFFLE DE VIE. TOUT CES ATOMES SONT DES ARÔMES MAIS LA NATURE A CRÉÉ UNE ESSENCE PRÉNOMMÉE L'ÉVOLUTION, L'ESPRIT ET LA CONSCIENCE : CE SENTIMENT QUE JE PRÉNOMME LE MYSTÈRE.
TAY

YAHVÉ EST UNE ÉTINCELLE CAR, DIEU EST CE GRAIN DE SABLE QUI PROVOQUE LES MÉTAMORPHOSES POUSSIÉREUSES : LA NATURE DANS SA SCIENCE A BESOIN DE CE GRAIN DE SABLE. L'ESSENCE ET L'ESPRIT ONT BESOIN DE CET INGRÉDIENT QUI PROVOQUE LA RÉALITÉ ET LE TEMPS : LE MYSTÈRE ET SON ÉNIGME.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie




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LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS. Empty
MessageSujet: Re: LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS.   LES GUATUSOS, L'ILE DE SKYE ET LE LINYANTI OU LES LÉOPARDS. EmptyLun 9 Mar à 10:23

Une confidence pour Amandine, juriste de 37 ans à Toulouse en Occitanie...

Le fait que vous soyez juriste à fait que j'interpelle votre profil : j'ai un profond respect de la justice mais je trouve que la plupart des gens qui la contournent agissent par narcissisme et pour leurs avantages.

bienveillance, sollicitude, curiosité, attention ne sont plus du domaine de la poésie mais de l'arnaque et de contrariété, du dédain, de la vigilance, de la préoccupation, du désagrément et chagrin, malheureusement.

Bref, je n'ai pas eu d'enfant par le fait que j'ai été confronté à toutes ces malheureuses circonstance de vies. Bienveillance, sollicitude, curiosité, attention n'ont pas eu d'échos dans mes circonstances de vies...

Chère Amandine, je suis plutôt à la recherche d'un avocat pour faire entendre une réalité présente sur mon existence que les fantasmes narcissiques de bacchantes et les illusions des adeptes de l'orphisme. J'avais besoin de me confier à une inconnue et je vous prie de recevoir mes salutations distinguées... Compliments et au revoir...

Citoyen Tignard Yanis...

Légendes antiques !!!

Intriguée par la grande réputation d’Arachné, Athéna se déguisa en vieille femme pour rendre visite a la jeune tisseuse et observer son magnifique travail. Arachné, n'ayant point reconnu la déesse, prétendit devant celle-ci qu'elle était la meilleure tisseuse du monde, meilleure qu'Athéna elle-même. La déesse entra alors dans une grande colère en constatant qu'un simple mortelle pouvait prétendre être aussi adroite qu'elle. Elle révèla à Arachné sa véritable identité et organisa un concours avec la jeune femme.

La déesse illustra sur sa broderie les divers dieux de l'Olympe (et dans les quatre coins, des mortels présomptueux) tandis qu'Arachné préféra illustrer les comportements honteux des dieux (dont Zeus avec ses nombreuses amantes). Athéna ne découvrit dans cette broderie aucun défaut mais jalouse et furieuse, elle frappa Arachné de sa navette et déchira son ouvrage. Ainsi humiliée, Arachné décida de se pendre. La déesse décida d'offrir une seconde vie à Arachné, mais cette fois-ci en araignée suspendue à son fil, pour qu'elle puisse tisser pour l’éternité.

Dans le chant XII (vers 43-45) du Purgatoire de la Divine Comédie de Dante Alighieri.
« O folle Aragne, sì vedea io te
già mezza ragna, trista in su li stracci
de l'opera che mal per te si fé. "
« O folle Arachné, je te voyais déjà à moitié araignée, et triste, sur les débris de la toile que par malheur tu ouvris ! »

La Légende d'Arachné, populairement connue sous le nom Les Fileuses (las Hilanderas) est le nom d'un tableau peint par Diego Vélasquez vers 1657 et fait partie du mouvement artistique : le baroque. Il est visible au Musée du Prado de Madrid...

LOIN D'ÊTRE DES VAISSEAUX FANTÔMES CAR PEUPLANT LES RIVAGES DE LA NATURE ET DES RÉALITÉS, DANS LA SOLITUDE ET LA FOLIE AVEC SÉRÉNITÉ ET EN CE PERCEVOIR DU MYSTÈRE DE DIEU DANS LEURS VIVANT,
LE SABLE DISLOQUE L'EAU QUI RONGE LA TERRE QUAND UNE ÉTOILE EXPLOSE DANS L'UNIVERS.
TAY

Apollon lui accorda le don de prophétie en échange de leurs futurs ébats. Cassandre accepta le don mais se refusa au dieu. Apollon lui cracha à la bouche, ce qui l'empêcherait à jamais de se faire comprendre ou d'être crue, même par sa propre famille :

Une larme
Poète : René-François Sully Prudhomme (1839-1907)
Recueil : Les vaines tendresses (1875).

En tes yeux nage une factice opale,
Et le charbon t'allonge les sourcils,
Mais ton regard sans douceur n'est que pâle
Sous tes gros cils de sépia noircis.

Ah ! Pauvre femme, il règne un froid de pierre
Dans la langueur menteuse de ce fard ;
Quand tu mettrais l'azur sous ta paupière,
Tu ne pourrais embellir ton regard !

Oui, porte envie aux yeux vrais qui nous laissent,
En se voilant, captivés d'autant mieux ;
Ceux-là sont beaux, même quand ils se baissent :
C'est le regard qui fait le prix des yeux.

Qui sait pourtant s'il faut qu'on te dédaigne,
S'il n'est plus rien, dans ton âme, à cueillir ?
Pour la sauver il suffit qu'on la plaigne,
Un dernier lis y pourra tressaillir.

Est-il si vain, ce rêve de jeunesse
Dont nous rions et que nous fîmes tous :
Guérir une âme où la vertu renaisse !
Si généreux, étions-nous donc si fous ?

Qui sait pourtant si tout ton maquillage
N'endigue pas des pleurs accumulés,
Qui brusquement y feraient leur sillage,
Pareils aux pleurs des yeux immaculés ?

Car tous les pleurs, de pécheresse ou d'ange,
Dans tous les yeux sont d'eau vive et de sel ;
L'onde en est pure, et rien de ce mélange,
S'il vient du cœur, n'est indigne du ciel ;

Vois Madeleine : elle y trône ravie
Pour une larme où Dieu se put mirer :
S'il t'en reste une, une ancienne, à pleurer,
Tu peux laver ta paupière et ta vie.

L'hirondelle de Jean de la Fontaine, dans sa fable "L'Hirondelle et les petits oiseaux",
est une transposition de Cassandre (d'ailleurs nommée en fin de fable) par
ses avertissements non écoutés des oiseaux sur le danger pour eux représenté
par le chanvre que sèment sous leurs yeux les paysans.
TAY

------------------------------

Axe_OW @Axe75541 · 7 mars
En réponse à @Yanis_Tignard et @washingtonpost
Calme toi il ont juste fait une carte des Etats Unis avec les zone infecter et toi tu part
dans un délire a moitié apocalyptique.

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 7 mars
En réponse à @Axe75541 et @washingtonpost
Pas du tout... J'ai juste dénoncé l'utilisation de serpent pour des alcools qui sont un fléau
dans le quotidien. De plus, il y a aussi la disparition d'espèces qui sont un ensemble
dans l'environnement.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 7 mars
LES PERSONNES QUI SONT DANS UN PRINCIPE D'APOCALYPSE SONT DANS
LE FATALISME DE CROIRE QUE LE DESTIN EST ÉCRIT EN CETTE DIMENSION ET EN CET UNIVERS.
TAY

CROYEZ-VOUS VRAIMENT QUE CELUI QUI VOUS DIT QUE L'IMPROBABLE N'EST PAS L'IMPOSSIBLE
SOIT DANS LE QUOTIDIEN D'UNE APOCALYPSE À VENIR !
TAY

QUAND UN TYPE ME PRENDS POUR UN CON, IL EST INTERPELLÉ QUE JE SOIS CAPABLE D'ÊTRE
DE LUI DIRE EN FACE QU'IL ME PRENDS POUR UN CON : C'EST LE THÉORIE DU CHAOS.
TAY

UN CON EST TOUJOURS INTERPELLÉ QUAND ON LUI DIT : TU SAIS QUE TU ME PRENDS POUR UN CON
PARCE QUE RÉELLEMENT, TU SAIS QUE JE PEUX DEVENIR AUSSI CON QUE TU ES !
TAY

RECEVOIR UNE PERSONNE DANS LE PLAISIR DE SON HOSPITALITÉ EST LA PLUS IMPORTANTE
DES IMPORTANCES ET DES INDÉPENDANCES DANS LA LIBERTÉ DU QUOTIDIEN.
TAY

JE RÉITÈRE QUE CERTAINS DISENT AVOIR ACQUIS L'AUTONOMIE PAR LEURS TRAVAUX ET LEURS AUDACES :
ILS OUBLIENT TRÈS FACILEMENT LES CAUTIONS PARENTALES.
TAY

LE PLAISIR EST CELUI DE RECEVOIR DANS SA PROPRE PERSONNALITÉ ET EN CETTE FACULTÉ
QUI VOUS PERMET D'AVOIR UNE INDÉPENDANCE TEMPORELLE.
TAY

CERTAINS ME DISENT QU'ILS NE SERONT QUE PROPRIÉTAIRE QUE DE LEURS PROPRES TOMBES :
JE LEUR RÉPOND QU'IL ONT LA CHANCE D'ÊTRE LOCATAIRE ET D'AVOIR EU DES CAUTIONS PHYSIQUES.
TAY

DES FILS DE BOURGEOIS CONFONDENT LA RANCŒUR ET LA JALOUSIE : CETTE PAUVRETÉ PSYCHIQUE
DÉSESPÈRE LEURS PARENTS À JUSTE TITRE.
TAY

LES FILS DE BOURGEOIS CROIENT S'APPROPRIER MES SENTIMENTS COMME ILS S'ATTRIBUENT LES MÉRITES DE LEURS PARENTS : JE PENSE QU'IL VA FALLOIR LEUR SUPPRIMER LES VIVRES ET LES CAUTIONS.
TAY

Il est beau le paraître sur la blogosphère où le devenir veut dominer sur le marché : sur le parking, où est la blague ?...
TAY

AVEC PLAISIR, LE VENTRICULE S'AFFIRME DANS LE PASTICHE : C'EST UN PLÉONASME QUE DE DISTINGUER
LE SENTIMENT ET UN SENTIMENT.
TAY

JE SOUFFLE CAR JE SOUFFRE : JE SUIS DANS UN SENTIMENT DE GUERRE CAR C'EST CE SENTIMENT QUI ANIME L'AMOUR QUAND IL RENCONTRE LA PASSION.
TAY

NUIT DANS UNE SOBRIÉTÉ OÙ UNE ENVIE SOUDAINE DE ME PROMENER DANS LA NUIT M'ENVAHIT :
HÉLAS, IL FAUT ÊTRE DANS LA PRUDENCE.
TAY

LE FROID S'EST INSTALLÉ ET J'AIME ME PROMENER LA NUIT CAR J'Y TROUVE UNE QUIÉTUDE ET UNE PLÉNITUDE.
TAY

LE DOUX SENTIMENT SOUFFLE DANS LA NATURE LORSQUE LA NUIT PORTE SES CONSEILS SUR LA JUSTICE.
TAY

LE JOUR EST DANS LA VIVACITÉ ET LA NUIT EST DANS LA PRÉCIPITATION : LES DEUX NATURES SONT AGRÉABLE DANS LE QUOTIDIEN DU TRAVAIL ET DU TEMPS.
TAY

LE JOUR SERAIT ABSENT SI LA NUIT N'ÉTAIT PAS TANDIS QUE LA NUIT SERAIT SANS GOÛT SI
LE JOUR NE LA METTAIT PAS EN LUMIÈRE.
TAY

Élysée @Elysee · 8 mars
Notre génération sera celle de l’égalité femmes-hommes. Rendez-vous le 7 juillet, à Paris,
au Forum #GénérationÉgalité pour défendre par les actes les droits des femmes partout dans le monde.
#8mars

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 8 mars
En réponse à @Elysee
LA TRISTESSE DES ABUS DE VIOLENCES VIENNENT AUTANT DES VOISINES QUE DES VOISINS :
L'INÉGALITÉ FÉMININE VIENT AUSSI D'UN IMPITOYABLE FÉMININ SUR LA FÉMINITÉ.
TAY

POURQUOI SÉGOLÈNE ROYAL A T'ELLE PRÉFÉRÉ FRANÇOIS HOLLANDE À MARTINE AUBRY :
CE N'EST PAS UNIQUEMENT PAR AMBITION POLITIQUE, C'EST JUSTE EN SON ÂME ET CONSCIENCE SELON LA LÉGENDE.
TAY

Emmanuel Macron @EmmanuelMacron · 8 mars
Notre génération sera celle de l’égalité femmes-hommes. Rendez-vous le 7 juillet, à Paris, au Forum
#GénérationÉgalité pour défendre par les actes les droits des femmes partout dans le monde.
#8mars

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 8 mars
En réponse à @EmmanuelMacron
LES HOMMES SONT IMPITOYABLE PAR NARCISSISME INTELLECTUEL ET PHYSIQUE SELON LE CARACTÈRE :
MALGRÉ TOUT, CERTAINS HOMMES ONT VOULU FAIRE DE L'ÉGALITÉ UNE FRATERNITÉ.
TAY

LES FEMMES SONT DANS UN ÉTAT D'ESPRIT ET D'ÂME OÙ LA CONDITION NE PEUT MASQUER UNE RÉALITÉ :
DANS LE VOULOIR DE L'ÉGALITÉ, IL EST DES FEMMES ET DES HOMMES QUI REJETTENT LA CONSCIENCE
DE CONCURRENCE D'UN AUTRUI.
TAY

LA TRISTESSE EST DE PERCEVOIR L'INSTANT OÙ CERTAINES PERSONNES DONT DES FEMMES DISENT QU'ELLES LE MÉRITAIENT : IL EST BIEN D'INTERPELLER LE MASCULIN MAIS IL FAUT AUSSI PERCEVOIR LES FÉMININS
SUR LA FÉMINITÉ.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 8 mars
DANS CETTE PÉRIODE ÉPIDÉMIQUE, À QUELS MOMENTS RÉELS SONT APPARUS LES PREMIERS CAS
DE CORONAVIRUS DANS LA FRANCE MÉTROPOLITAINE ET DANS LES TERRITOIRES D'OUTRE-MERS.
TAY

LE SOUFFLE EST D'ÊTRE DANS UNE HYGIÈNE QUOTIDIENNE DANS LA CIRCONSTANCE DU CORONAVIRUS :
ÊTRE DANS LA PRÉVENTION ET LA PRÉVOYANCE EN TERMES DE CONTACTS ET DE SANITAIRES.
TAY

LA FEMME, LA TRAVAILLEUSE, LA MÈRE ET LA SOEUR NE DOIVENT JAMAIS ÊTRE L'ESCLAVE D'UN FÉMININ,
D'UN MASCULIN ET D'UN TRADITIONNEL : EN CE HUIT MARS, LA GRANDE MOBILISATION EST
DANS LA LIBERTÉ, L'ÉGALITÉ ET FRATERNITÉ EN L'ESPÉRANCE ET LE DEVENIR.
TAY

NASA Sun & Space @NASASun · 23h
Today is #InternationalWomensDay, and we're celebrating a few of the women who study
heliophysics at NASA, covering the Sun itself and its effects throughout space.
http://nasa.gov/women

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 22h
Un 8 Mars, intriguée par la réputation d’Arachné, Athéna se déguisa en vieille femme pour rendre visite à
la jeune tisseuse et observer son magnifique travail.
Arachné, n'ayant point reconnu la déesse, prétendit devant celle-ci qu'elle était la meilleure tisseuse du monde.
TAY

La légende d'Arachné, musée du Prado.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Fileuses
L’épisode mythologique de l’affrontement entre Arachné, brillante tisseuse, et la déesse Pallas (Athéna),
blessée dans son orgueil par le talent de la mortelle, au livre VI des Métamorphoses d’Ovide.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 22h
LOIN D'ÊTRE DES VAISSEAUX FANTÔMES CAR PEUPLANT LES RIVAGES DE LA NATURE ET DES RÉALITÉS : DANS LA SOLITUDE ET LA FOLIE AVEC SÉRÉNITÉ ET EN CE PERCEVOIR DU MYSTÈRE DE DIEU DANS LEURS VIVANT,
LE SABLE DISLOQUE L'EAU QUI RONGE LA TERRE QUAND UNE ÉTOILE EXPLOSE DANS L'UNIVERS.
TAY

UN COUPLE DE MOUETTES RIEUSES, DANS LE COURS DE LA GARONNE, S'AMUSANT DANS UN BAL NUPTIAL !
LA MIGRATION EST PROCHE ET CHACUN'E'S SONT DANS L’INTERPRÉTATION DES PÉRIPLES ET DES CIRCONSTANCES
DANS L'ODYSSÉE DE LEUR ÉPOPÉE.
TAY

LA NATURE VIENT DE LA SOURCE D'UN SOUFFLE : LES INTEMPÉRIES, DES INTERVENTIONS ET DES ACTES.
DANS LE DÉSERT QUAND L'HORIZON EST LIÉ DANS LE MIRAGE :
LE MIRACLE NOUS POUSSE À UNE PRIÈRE DEVANT LE MIROIR DU CIEL CAR SENSIBILITÉ DES SENTIMENTS DONNE DES ILLUSTRATIONS AUX IDÉES.
TAY

DANS LA RÉVOLUTION DES ÂMES, L'INSOMNIE S'ÉVAPORE ET LA RÉALITÉ PRENDS.
LE CARACTÈRE CADRE LE CONTEXTE ET LE CONCEPT
SENSIBILISE LE CONTRASTE.
UNE NOUVELLE NOTION ÉMERGE DANS LA SITUATION ET LA SOCIÉTÉ LA DÉVORE EN UN DIALOGUE POUR LA MÉTAMORPHOSER EN UNE MAXIME : TRIOMPHES.
TAY

CE SENTIMENT D'ÊTRE LIBRE DE SON ÉMOTION EST DE DIRE UN CONSTAT À UN HOMME :
UNE CERTITUDE QUE LA MAUVAISE HERBE N'EST PAS LA QUIÉTUDE.
SANS ÊTRE FATALISTE, COMPRENDRE LA NATURE ET SES ENVIRONNEMENT : SAUVER LA PLANÈTE EST UNE ÉTAPE IMPORTANTE SUR LE DÉVELOPPEMENT EUROPÉEN.
TAY

LA NATURE PEUT SURVIVRE SANS L'HUMANITÉ, L'UNIVERS N'A PAS BESOIN
DE NOTRE DÉMOCRATIE ET DE NOS JUGEMENTS : CE DÉSIR DE SURVIVRE DANS LE DOMAINE DU POSSIBLE.
NOTRE INSTINCT SE PORTE VERS LE VIVRE CAR LE VIVANT IMPLIQUE CETTE EXPANSION : LA COHÉRENCE SOCIALE VERS LE PEUPLE.
TAY

NOTRE CRUAUTÉ EST INACCEPTABLE : DES RÉFLEXIONS SUR LE DEVENIR OÙ CHAQUE INTERPRÉTATION SE BASE SUR LES TERMES PLUS QUE SUR LES SENTIMENTS ET LES TEMPÊTES.
LA CERTITUDE DE LA TERRE TRANSPIRE SES TRADITIONS ALORS QUE L'ÉCLAIR TRANSFIGURE LA MÉTAMORPHOSE DU FRUIT : BOUILLONNER.
TAY

LA CLÉ DE LA VICTOIRE SERA LA PATIENCE.
LE PONT EST COUVERT D'UN IDE.
CET ÊTRE A PUISE UN PUIT.
LA ROUTE EST DEVANT LUI.
DANS LA LUEUR PRÉSENT, IL EST.
PRÉSENT D’ÊTRE DEVENU OÙ.
SÉPARÉ D'UN CRI DU LOUP.
COUVERT DE FEUILLE D'HÊTRES.
L'ESPACE N'EST PAS NOTRE COLONIALISME.
TAY

Emmanuel Macron @EmmanuelMacron · 2h
Pour faire face au Covid-19, l’union fait la force. J’appelle nos partenaires européens à une action urgente
pour coordonner les mesures sanitaires, les efforts de recherche et notre réponse économique.
Agissons ensemble dès maintenant.

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 31 min
En réponse à @EmmanuelMacron
Une peinture de Polygnote, dans la Lesché des Cnidiens, un édifice à Delphes, aujourd'hui disparue, mettait en scène Cassandre. Ajax, fils d'Oïlée, bouclier à la main, s'approche de l'autel comme pour justifier par son serment de l'attentat qu'il allait commettre contre elle.
TAY

Cassandre embrasse Pallas, et donne l'impression de vouloir l'emporter alors qu'elle l'a déjà ôtée de dessus son piédestal ; mais Ajax l'arrache de l'autel sous le regard des fils d'Atrée, casqués : Agamemnon et Ménélas,
ce dernier portant un bouclier orné d'un dragon.
TAY

Vous qui déclarait être Jupiter, Monsieur, vous qui avez porté la voix des 8 Mars : Comment oublier le martyr de Cassandre.
Je peux comprendre votre vanité qu'on ne peut attribuer à une ignorance provoquée à un orgueil similaire
aux Odieux Ajax et Apollon : s'écrit Minerve.
TAY

Il est tard pour le clamer. Vous qui avez l'habitude de tirer le taureau par les cornes, je vous ai trouvé réservé et prudent : c'est inhabituel que chez vous, ces sentiments sur le quotidien et la vivacité. Les gens sont surpris par ce manque de précaution depuis cent jours.
TAY

MOSAÏQUE DE SENTIMENTS DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
POUR MA DOUCE AMANDINE ET LES PEUPLES
SOUS
LES REGARDS DE
AMANDINE NIETZSCHE, JESSICA KANT, SALOMÉ PASCAL ET SOLÈNE PI...

Echos de Keny Arkana...
Route longue et tortueuse, au bord du risque et torturée
Souvent en pente faite de hors piste ou de chemins cloturés
Le livre de ma vie déjà plein de chapitres
On m'a volé des parties car ici bas, partiel est l'arbitre
J'aurai du crever à chaque virage
Tous 1 degré 618, boum dans la tete la vie est un mirage, couz'
On perd, on gagne on tombe et on s'relève
On grandi entre l'envie de s'en sortir et celle de zigouiller leur règne
Rien n'est facile, trop de haine dans l'inconscient collectif
T'étonnes pas si c'est le bordel que mes collègues kiffent
Secouer l'ordre établi pour oublier nos peines on coupe la mélancolie à l'adrénaline,
Tenir le cap malgrès les tas d'crise, certains finissent épave triste,
Quand la vie ressemble à un pavé qui s'éclate sur ton pare-brise
On repart brisés, mais trop sont restés à terre
Ont baissé la tete, tu t'demandes pourquoi on est contestataire??
Parce qu'on a cru en vos valeurs et puis qu'on est tombé de haut
Vu que les plus tristes de nos malheurs vous touchent moins que vos billets d'euros
Parce que notre sourire est tombé comme nos frères un par un
Parce qu'on crie a l'aide et que personne ne fera rien
Parce qu'on est pas né avec la haine livré a soi meme
Parce que l'état est sourd et qu'il nous enferme quand on fait la meme
Parce que le vase déborde et parce qu'on boit la tasse
Parce qu'on est triste et qu'on crève en silence derrière nos carapaces
Routes longues et tortueuses, au bord du risque et torturée
Souvent en pente faites de hors piste ou de chemins clôturés
Sur leurs banquises, nous, on subit les nouvelles grelles
On nous appelle mauvaise graine, wesh en bref la jeunesse crève !!
Dans l'indifférence total, à 200 sur les dos d'âne
Malgré le mur qui nous attend car pour freiner j'crois que c'est trop tard
Babylone y'a que les puissants qui le vante
Pendant qu'on crève de cette douleur navrante
Qui donne envie de s'ouvrir le ventre
Donc on s'anesthésie tout seul, la défonce nous apaise
Bien sur qu'on aimerait s'élever mais votre monde nous rabaisse
Bienvenu au coeur du malaise, créé par votre manège
Glacée, la paix est morte, son cadavre retrouvé sous la neige
Ici la rage est solennelle, elle nous maintient en vie
Génocide social dans nos pays et dans nos villes ici
Des nœuds a l'estomac, on respire en suffoquant,
On aimerait sortir du coma, comprenez pourquoi on souffre autant !!
Parce qu'on a cru en vos valeurs et puis qu'on est tombé de haut
Vu que les plus tristes de nos malheurs vous touchent moins que vos billets d'euros
Parce que notre sourire est tombé comme nos frères un par un
Parce qu'on crie a l'aide et que personne ne fera rien
Parce qu'on est pas né avec la haine livré a soi meme
Parce que l'état est sourd et qu'il nous enferme quand on fait la meme
Parce que le vase déborde et parce qu'on boit la tasse
Parce qu'on est triste et qu'on crève en silence derrière nos carapaces
Route longue et tortueuse, torturée et au bord du risque
Parfois anéanti sous l'avalanche des opportunistes,
Pris dans cette course où tout le monde est bien dopé
Moi j'en ai rien a foutre je contemple le monde assise sur le bas coté
Un verre a la main prenant des notes
A la bien! Trinquant a la santé des potes
Et des vaillants qui court au nom des nôtres
L'idée qu'tout puisse changer, on peut pas en démordre
Le combat continue, depuis des siècles, pour nous et au nom des morts
Soldats précoces, on prend des bosses depuis qu'on est gosse
Dévalorisés car ils aiment bien juger de la sève à l'écorce
Ecorchée vive, trop de faya, enfant du brazier
N'oublie pas que l'présent n'est que le résultat du passé
Ils voudraient nous rendre amnésique, de mensonges nous catapultent !
Eh toi qui nous catalogue de petits énervés incultes,
Crois-tu comprendre les monde juste en matant le 20heures
Ou connaitre l'histoire en ayant lu que l'angle des vainqueurs?
La jeunesse crève, en silence, sous vos yeux...
La jeunesse crève, en silence, sous vos yeux...
La jeunesse crève, en silence, sous vos yeux...
La jeunesse crève, en silence, sous vos yeux...

Source : LyricFind....

Echoes
Pink Floyd
Au-dessus de l'albatros
Overhead the albatross

Pend immobile dans l'air
Hangs motionless upon the air

Et au fond des vagues
And deep beneath the rolling waves

Dans des labyrinthes de grottes coralliennes
In labyrinths of coral caves

Un écho d'un temps lointain
An echo of a distant time

Vient à travers le sable
Comes willowing across the sand

Et tout est vert et sous-marin
And everything is green and submarine
Et personne ne nous a appelés au pays
And no one called us to the land

Et personne ne sait où et pourquoi
And no one knows the where's or why's

Quelque chose remue et quelque chose essaie
Something stirs and something tries

Commence à grimper vers la lumière
Starts to climb toward the light
Des étrangers passant dans la rue
Strangers passing in the street

Par hasard, deux regards distincts se rencontrent
By chance two separate glances meet

Et je suis toi et ce que je vois c'est moi
And I am you and what I see is me

Et je te prends par la main
And do I take you by the hand

Et te guider à travers le pays
And lead you through the land

Et aide-moi à comprendre
And help me understand

Du mieux que je peux
The best I can
Et personne ne nous a appelés au pays
And no one called us to the land

Et personne n'y traverse vivant
And no one crosses there alive

Personne ne parle et personne n'essaye
No one speaks and no one tries

Personne ne vole autour du soleil
No one flies around the sun
Presque tous les jours tu tombes
Almost everyday you fall

Sur mes yeux éveillés
Upon my waking eyes

M'inviter et m'inciter
Inviting and inciting me

Se lever
To rise

Et à travers la fenêtre du mur
And through the window in the wall

Venez ruisseler sur les ailes du soleil
Come streaming in on sunlight wings

Un million d'ambassadeurs brillants du matin
A million bright ambassadors of morning
Et personne ne me chante des berceuses
And no one sings me lullabys

Et personne ne me fait fermer les yeux
And no one makes me close my eyes

Alors je jette les fenêtres larges
So I throw the windows wide

Et t'appelle à travers le ciel
And call to you across the sky

Source : LyricFind
Paroliers : David Gilmour / George Waters / Nicholas Mason / Richard Wright
Paroles de Echoes © Warner Chappell Music, Inc, BMG Rights Management

Sénat @Senat · 1h
Jeu. 5 mars, la délégation #CollterrSénat organisait une table ronde sur les moyens de réguler l'inflation des prix de l'immobilier. Spéculation, coût du logement, pénurie de l'offre : la sénatrice @SoniadlpCaen
et l'économiste Michel Mouillart nous expliquent tout en vidéo ⤵
https://twitter.com/i/status/1237018712647110656
Sénat @Senat · 4h
Double barre verticale Durant 2 semaines, le #Sénat suspend ses travaux en séance plénière.
Index pointant vers la droite Reprise de la séance mardi 24 mars 2020.
Tout l'ordre du jour de la séance publique est à retrouver ici Flèche vers la droite !
http://senat.fr/ordre-du-jour/ordre-du-jour.html

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 26 min
En réponse à @Senat
Même dans le silence des séances plénières, Le sénat résonnera de cette musique :
Echoes - Pink Floyd,
https://www.youtube.com/watch?v=jxonnAmsAE8
Cassandre et Antigone sont là pour veiller sur ce pilier de la République contre le narcissisme orgueilleux
de Apollon-Jupiter et de ses Atrées-Ajax.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 18 min
En réponse à @Senat
En la méditerranée, Hélène fût la plus belle femme du monde, surpassée à ce titre par la seule déesse Aphrodite :
jouons sur les nuances de Zeus sur Jupiter et Apollon sur Apollon dans le droit divin mythologique :
tel Hélios chez Hypérion et Aurora dans Éos.
Antigone.
TAY

Cassandre dit : Chaque matin cette déesse ouvrait les portes du jour, une racine qui a donné naissance
au proto-germanique la douce aube.
Ses légendes conservent les traits essentiels de l'Aurore indo-européenne, notamment
l'amant ou le mari qui vieillit et qu'elle abandonne.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 11 min
En réponse à @Senat et @SoniadlpCaen
Dans l’Océan occidental, elle tient un flambeau dans sa main gauche et elle lance des roses avec sa main droite !
Elle a sa descendance : son union avec Astraeos, le Vent du crépuscule, dont naquirent l’Étoile du matin, les Vents du Nord, de l’Ouest et du Sud, et les Astres.
TAY

Aux Enfers est le monde ! habitant aux bords d'Océan, qui enserre le monde habité, elle quitte la couche du temps
à la fin de la nuit et, avec âme, elle s'élance vers le ciel et « l'aube » : je pense que si nous percevons ces poésies
vers le bien, solutions nous trouverons !.
TAY

MOSAÏQUE DE SENTIMENTS DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
POUR MA DOUCE AMANDINE ET LES PEUPLES
SOUS
LES REGARDS DE
AMANDINE NIETZSCHE, JESSICA KANT, SALOMÉ PASCAL ET SOLÈNE PI...
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