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 FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE.

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yanis la chouette




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FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. Empty
MessageSujet: FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE.   FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. EmptyVen 9 Aoû à 8:25

Signes est une commune française située dans le département du Var dont elle est la plus étendue, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur : Jean-Mathieu Michel, DVD, Directeur technique retraité.
6e vice-président de la CA Sud Sainte Baume, tué probablement accidentellement alors qu'il exerçait ses fonctions de maire, fait chevalier de la Légion d'honneur (à titre posthume, remis par Jacqueline Gourault, lors des obsèques célébrées le 9 août 2019).

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 17s
La France et ses droits.
Compatriotes...
Le savoyard (savoyâ ou savoyârd [sa.vɔ.ˈjaː]) est le nom donné aux dialectes
de la langue francoprovençale (ou arpitane) parlés en Savoie (Savouè).
Il s'agit de la variante francoprovençale la plus parlée en France : Vaucluso La Font.
TAY

Le savoyard est compris dans la charte européenne des langues minoritaires en tant que
dialecte du francoprovençal. Car, le savoyard est lui-même subdivisé
en de nombreux sous-dialectes unifié dans le droit laïc français.
Pierre Gabert, le maire de Pernes Les Fontaines.
TAY


Le 9 août 2019 à 06h41 Par Marc Leras....
La lettre du conseil départemental de Vaucluse adressée l'an dernier aux maires leur demandant de retirer les panneaux d'entrée de ville portant autre chose que le nom de la commune en français fait aujourd'hui polémique. Les noms des villes et villages en langue provençale sont en effet visés au premier chef.

http://www.leparisien.fr/societe/dans-le-vaucluse-le-conseil-departemental-ne-veut-plus-des-panneaux-en-provencal-09-08-2019-8130996.php

« Je n'ai aucun souvenir de ce courrier et il est hors de question que j'enlève le panneau Vaucluso La Font ou celui de notre commune jumelle italienne d'Arquà Petrarqua », prévient Roland Pastor, le maire de Fontaine-de-Vaucluse. « Le nom provençal fait partie de notre identité, de notre patrimoine et de notre culture. Je comprends que l'on puisse vérifier si les panneaux du Code de la route sont visibles et en bon état, mais là il n'y a vraiment aucun risque. »
Le conseil départemental explique qu'il ne fait qu'appliquer un arrêté du 24 novembre 1967 et que les autres panneaux peuvent être installés plus loin. « La double appellation des communes est destinée aux vacanciers pour leur rappeler qu'il existe une langue régionale et que la Provence est un pays de traditions », insiste Jean-Pierre Richard, président du Collectif Prouvenço, qui prépare une mobilisation pacifique pour la rentrée, notamment sur cette question des panneaux. « Cette mesure est sans doute la bêtise d'un administratif, mais elle est prise dans un contexte d'attaques contre la langue provençale comme la réforme du lycée qui lui laisse moins d'importance. »

Ce dialecte du francoprovençal a vu son nombre de locuteurs fortement diminuer depuis l'Annexion de la Savoie à la France en 1860, notamment à cause de l'interdiction de le parler à l'école, le service militaire, ainsi que les deux conflits mondiaux. Le xxe siècle a vu le nombre de locuteurs passer de la quasi-totalité de la population des campagnes savoyardes à quelques dizaines de milliers.

Cependant au cours des années 1980, un regain d’intérêt a existé avec l'organisation de nombreuses fêtes internationales du francoprovençal, la création de plusieurs associations ayant pour but de sauvegarder cette langue, notamment, le Groupe de Conflans, et l'Institut de la langue savoyarde, la publication de nombreux ouvrages (monographies, livres, romans), ainsi que l'enseignement — quoique difficile, du fait du refus de l'absence de reconnaissance comme langue régionale — présent dans plusieurs écoles, collèges, et lycées savoyards. De nombreux échanges entre élèves ayant pris cette option sont organisés chaque année, surtout lors du Concours Constantin-Désormeaux visant à récompenser les meilleurs travaux des élèves dans cette langue. La signalisation bilingue commence elle aussi à être présente en Savoie à l'entrée des agglomérations.

La manière dont doit évoluer le savoyard, quant à une possible pseudo-uniformisation, une orthographe commune à l'ensemble de l'aire francoprovençale, est cependant sujette à de nombreuses controverses entre plusieurs courants. Ces courants sont le plus souvent divisés en deux groupes. Les patoisants, groupe majoritairement formé de retraités, qui, pour la plupart, sont des locuteurs natifs, ayant inconsciemment appris la langue dès leur plus jeune âge avec leurs parents, souvent en ce qui concerne la vie rurale, mais qui, pour une partie d'entre eux, ne se sont « réintéressés » au savoyard qu'à un âge assez tardif : pour la majorité, ils sont pour une conservation de la langue telle qu'elle est, avec ses variantes, préférant utiliser la graphie de Conflans (ou de type semi-phonétique). L'autre groupe, informel, est composé des néo-locuteurs, dont le groupe le plus représenté est celui dit des arpitans. La plupart de ceux-ci exerce un métier intellectuel et n'a appris la langue que tardivement, de manière volontaire. À la différence des patoisants, ils n'utilisent le terme patois qu'avec les locuteurs natifs, car ils estiment que pour le grand public, le terme patois a une connotation péjorative (ce serait une sous-langue), et n'utilisent que modérément le mot francoprovençal qui est de nature confuse. Ils préfèrent le néologisme arpitan et promeuvent la diffusion d'une orthographe normalisée supra dialectale (ORB), sans rejeter les graphies phonétiques, qui « seront toujours utiles pour l’apprentissage de la langue orale, car elles remplissent le rôle de l’alphabet phonétique international habituellement utilisé dans l’apprentissage des langues »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Savoyard_(langue)

Article premier de la Déclaration des Droits de l'Homme (voir le texte en français [archive])
Savoyard (dialecte du pays de l'Albanais), et dialectes (dialecte du Val d'Arly,beaufortin) :

Artiklyo prômi

Graphie de Conflans : Artiklyo prômi
Albanais : Tô lô étre umin naisson libro è égalo ê dinyitâ è ê drè. É san fé dè rèzon è dè konchèssa è dèvan aji loz on avoué loz âtro djê on èspri dè fratarnitâ.
Val d'Arly, Beaufortin : To louz omou néchan abada é égale in dinyitâ é in drè. I san fé de rézon é de konchansa é dèvan aji louz yon aoué louz âtre dyan/dyin on èsprè de fratérnitâ.
Haute tarentaise : Tu luz omo nèsson libro è égalo in dinyita è in drèy. I son' fèy dè rèyjoun è dè konchènsi è dèyvon ajèy luz oun avoèy luz atrè dè oun èspri dè fraternita.
Graphie ORB : Articllo premiér
Tôs los étres humens nèssont libros et égala en dignitât et en drêt. Els sant fét de rêson et de conscience et dêvant agir los on avouéc los ôtros diens un èsprit de fratèrnitât.

Vie publique
Radio

Radiô Arpitania est la première radio entièrement en arpitan (chansons, reportages, émissions), diffusant toutes les variantes de la langue, savoyard inclus.
Le savoyard est présent à la radio, notamment avec l'émission Et si l'on parlait patois présentée tous les dimanches à 12h45 par la bèda a renée sur la radio chrétienne d'Annecy RCF. On peut l'entendre également, aux côtés d'autres dialectes arpitans, sur Radiô Arpitania.

Presse
Le savoyard est présent occasionnellement dans des rubriques patois de certains journaux et bulletins, comme la rubrique kâke fanfiourne (quelques histoires) dans chaque édition du bulletin du Val d'arly. Le journal patoisant Dàva-rossan-na était un quotidien publié dans les années 1990 entièrement en savoyard, rédigé par divers patoisants de Savoie. La Voix des Allobroges, journal savoyard, tient aussi une rubrique savoyard intitulée La Voué75, avec des articles sur ou en arpitan savoyard. Ce journal a lancé un site spécialement consacré à une série de reportages nommée A l'espéraz76 sur la langue savoyarde, et ce dans toute la Savoie. Six vidéos furent réalisées en 2014 et 2015.

Internet
Sur internet, le savoyard est présent sur nombre de sites consacrés à cette langue, ainsi que sur des blogues, et pages facebook [archive]. De plus, il y a possibilité d'écrire en savoyard dans le wikipédia en arpitan, Vouiquipèdia.

Enseignement du Savoyard dans les écoles
Le savoyard est enseigné dans certaines écoles savoyarde par l'Association des Enseignants de savoyard (AES). Cette association fut créée à la fin des années 1990 par Marc Bron, actuel président de l'association, en ayant pour but de conserver et surtout de transmettre cette langue aux générations futures.


Panneaux d'entrée d'agglomération. Le nom en savoyard a été ajouté en 2015.
Mais aussi d'autres objectifs sont présents, comme la reconnaissance de cette dialecte ou encore la possibilité pour les élèves bilingues qui le souhaitent de pouvoir passer le baccalauréat en arpitan Savoyard. En tout plusieurs centaines d’élèves étudient cette langue. Pour pouvoir échanger entre écoles, divers concours de théâtre en savoyard et autres sont organisés

OpinExemmpleion
Selon une enquête qui avait été réalisé pour le compte d'un journal régionaliste en février 200178 par les étudiants de l'IUT d'Annecy-le-Vieux sous la direction de Marc Bron, président de l'Association des Enseignants de savoyard et :

71 % des personnes interrogées souhaitent conserver le savoyard ;
37 %, l'apprentissage par l'école ;
31 %, les cours du soir ;
40 %, la mise en place de menus bilingues dans les restaurants, des panneaux à l'entrée des agglomérations écrits dans les deux langues et la possibilité de choisir la savoyard comme langue en option au baccalauréat ;
4 personnes sur 5 déclarent l'avoir déjà entendu utiliser dans une conversation ;
7 % seulement disent le parler ;
une personne sur deux pense que le savoyard doit être transmis aux générations futures et qu'il faut mettre en place des écoles bilingues pour les familles qui le souhaitent.

Roger Viret, écrivain et collecteur savoyard arpitanophone, présente ses travaux lors de la 37e fête internationale du francoprovençal en 2016.
Ouvrages en savoyard
Ces dernières années, des bandes dessinées ont été traduites dans la variété savoyarde de l'arpitan. C'est le cas, notamment, avec Fanfoué des Pnottas, une production chablaisienne, traduite par Marc Bron, président de l'Association des Enseignants de savoyard (AES). Ce dernier a également adapté un album de Gaston Lagaffe, devenu Gust Leniolu80.

On peut aussi noter la publication de plusieurs ouvrages de M. Viret, et notamment la traduction du Petit Prince, Lè ptyou prince, d'Antoine de Saint Exupéry en langue savoyarde.

En 2007, l'Aliance Culturèla Arpitana a lancé à Cervens (Chablais) l'album L'afére Pecârd, traduction de L'affaire Tournesol en francoprovençal. Dans cette aventure de Tintin, le héros parle la variété savoyarde de l'arpitan, avec des tournures empruntés en particulier à la région de Thônes. L'album utilise l'orthographe de référence B, écriture unifiée pour le francoprovençal.

Il existe de nombreux dictionnaire dont plusieurs relativement complets comme : La Giettaz: le patois du haut Val d'Arly, fait par les derniers patoisants de La Giettaz ainsi que Gaston Tuaillon pour la préface, ou encore Le patois de Tignes, Savoie, publié en 1998.

Une ethnie ou un groupe ethnique est une population humaine qui considère avoir en commun une ascendance, une histoire (historique, mythologique) une culture, une langue ou un dialecte, un mode de vie ; bien souvent plusieurs de ces éléments à la fois. L'appartenance à une ethnie ou ethnicité est liée à un patrimoine culturel commun, que ce soit la tradition, les coutumes, le rôle social, l'origine géographique, l'idéologie, la philosophie, la religion, la cuisine, l'habillement, la musique…

Les plus grands groupes ethniques actuels peuvent comprendre plusieurs centaines de millions de personnes (Hans, Arabes, Russes, Bengalis, Latino-Américains…) et être présents dans plusieurs pays, alors que les plus petits peuvent être limités à quelques centaines, voire dizaines d'individus, et de nombreux pays abritent des groupes ethniques différents. Les plus grandes ethnies ont tendance à former des sous-groupes (historiquement nommés « tribus »), qui avec le temps peuvent à leur tour se séparer en groupes ethniques distincts à travers l'ethnogenèse, mais ce processus est culturel1 et non pas « naturel » (comme le postule la sociobiologie). Les ethnies issues d'un même groupe initial continuent à parler des langues apparentées et sont groupées en tant que « phylum ethno-linguistique » (Bantous, Latins, Germains, Slaves, peuples iraniens, peuples turcs, Austronésiens…). Le processus inverse, par lequel deux ou plusieurs groupes ethniques s'influencent mutuellement (métissage, syncrétisme, melting-pot…) ou bien dissymétriquement (acculturation, assimilation, intégration…) existe aussi.

Toujours discutée en raison des critères de définition qui varient selon les auteurs, les législations et les pays, la notion n'est pas définie clairement, mais est néanmoins largement utilisée (classifications officielles des individus aux droits différenciés, motivations de revendications…).

Associations de référence

Logo de l'Institut de la Langue Savoyarde.
Afin de coordonner les travaux et initiatives concernant le savoyard, un certain nombre d'associations de référence existent :

Institut de la Langue Savoyarde (ILS) : Institut de référence actant pour la préservation et la diffusion de la langue savoyarde en Savoie.
Lou Rbiolon, Fédération des Groupes de Langue Savoyarde : rassemble d'une vingtaine d'associations patoisantes.
Alliance Culturelle Arpitane (ACA) : tout ce qui concerne l'arpitan et le dialecte savoyard ;
Office Géographique Arpitan (GeoArp) : tout ce qui concerne la toponymie et la géographie de la langue.

TÉMOIGNAGE DU
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MessageSujet: Re: FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE.   FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. EmptyVen 9 Aoû à 8:32

Politique environnementale
La commune fait partie du nouveau parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du 20 décembre 201724.

Signes dispose de deux stations d'épuration :

l'une, pour le village, d'une capacité de 3 000 équivalent-habitants,
l'autre pour le parc d'activités, d'une capacité de 4 000 équivalent-habitants.

Toponymie
Signes s'écrit Sinha en provençal selon la graphie classique et Signo en provençal selon la graphie mistralienne6. La prononciation locale est /ˈsiɲɔ/.

Les habitants de Signes sont les Signois7.

Histoire
Préhistoire et Antiquité
Les vestiges de fréquentation du territoire signois sont très anciens : chevaux paléolithiques trouvés dans la grotte de Mounoï ; fréquentation humaine remontant au néolithique (poterie, foyers, etc.) dans cette même grotte de Mounoï ; sites datant de l’âge du bronze ou de l’âge du fer (divers « oppida », dont Château-Panier, la Vaucrette ; grotte gravée de la Bergerie des Maigres, etc.). Les vestiges romains sont aussi très nombreux (monument mouluré des Maulnes, tombes et villa à l'emplacement de l'actuel village, etc.).

Moyen Âge
La première mention du village de « Signa » date de 984 (cartulaire de Saint-Victor à Marseille) dans une donation faite par Pons, évêque de Marseille et fils de Guillaume, vicomte de la même ville, aux moines de Saint Victor8. Trois villages existaient au Moyen Âge : Château-Vieux, Signe-la-Blanche et Signes-Barrarenques (« Castrum Vetus», « Signa Blancqua », « Signa de Barrarenquis »). Le village fut une seigneurie des vicomtes de Marseille, de la famille de Signes, puis des évêques de Marseille grâce à Aymard Amiel qui acheta à Bertrand de Porcelet tout ce que ce dernier possédait à Signes. Les frères Geoffroy et Guigo de Signes rapportèrent de la Croisade des reliques de saint Jean Baptiste qui donnèrent au village et aux seigneurs de Signes un grand prestige au Moyen Âge. Sainte Delphine de Signes (Delphine de Sabran) aurait résidé dans le village, au no 28 de l'actuelle rue Louis-Lumière.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté de Signes avait choisi elle aussi le camp carliste, mais en 1383, le seigneur d’Ollioules et Évenos fait la conquête du village, qui se trouve de force dans le camp des Angevins9.

Temps modernes
En 1590, le château fut occupé par les troupes du duc d’Épernon, il fut rasé ensuite par les habitants. En 1603, Frédéric Ragueneau, évêque de Marseille et seigneur de Signes, fut assassiné à coups de fusil dans sa résidence de la rue Saint-Jean (les habitants furent longtemps surnommés les « Estrangle évesque »).

En 1707, un bataillon de soldats austro-savoyards envoyé par le duc de Savoie essuya une cuisante défaite infligée par les habitants eux-mêmes qui firent alors preuve d'un courage « patriotique » remarquable[réf. non conforme]10.

Période contemporaine
Signes fut un haut-lieu de la Résistance en Provence pendant l'occupation11 comme en témoignent les stèles, plaques et tombes que l'on peut trouver alentour :

stèle de la ferme de la Limate rappelant les noms des neuf combattants du détachement Guy Môquet (1re compagnie FTPF de Provence) et d'un berger (qui se trouvait là par hasard) fusillés par les troupes allemandes le 2 janvier 1944 ;
stèle du monument du Siou Blanc indiquant les noms des dix maquisards toulonnais fusillés le 6 juin 1944 ;
nécropole nationale du Charnier de Signes dont le chemin est indiqué sur la route départementale 2 par un monolithe revêtu d'une plaque commémorative sur laquelle on peut lire « Aux héros et martyrs de la Résistance, tombés pour la libération dans ce vallon en juillet-août 1944 ». La nécropole se trouve dans le Vallon des Martyrs à l'endroit où 38 résistants de Marseille, les membres du CDL des Basses-Alpes et du Var, la plupart responsables régionaux, furent fusillés par les troupes allemandes en 1944 (29 d'entre eux le 18 juillet, 9 autres le 12 août). Dans le vallon, on a érigé une croix de Lorraine et un autel sur lequel est apposée une plaque indiquant que sous l'autel « un coffre renferme les ossements des fusillés ».
Un bombardier américain, de type B26, s'écrase dans les collines. Des Signois, des gendarmes et un médecin cachent alors les membres de l'équipage. Le pilote décède lors du crash, dans le but de maîtriser l'appareil jusqu'au dernier moment et de laisser le temps à ses camarades de pouvoir sauter en parachute, le 13 août 194414.
L'ancien terrain militaire de Chibron accueillit un camp d'internement sous le régime de Vichy où furent enfermés des prisonniers politiques de juin 1940 à février 1941.

Aujourd'hui Signes est un bourg en pleine expansion démographique et économique. Une vaste « zone d'entreprise » a été créée aux abords du circuit Paul-Ricard, mais sur le territoire de la commune (voir chapitre #Économie).

Le 6 août 2019, le maire de la commune depuis 1983, Jean-Mathieu Michel, surprend deux employés du BTP en train de décharger illégalement des gravats. Il leur demande de les recharger dans leur camion, ce qu'ils font. Mais quand le maire leur demande d'attendre la police municipale afin d'être verbalisé, le conducteur fait ensuite une manœuvre et percute ce dernier, qui mourra peu après. L'affaire est médiatisée nationalement et fait réagir jusque dans les plus hautes sphères de l’État. Les drapeaux tricolores de 134 communes du Var sont mis en berne. La commission des lois du Sénat lance une consultation des maires sur les violences auxquelles ils peuvent faire face. Le président de la république, Emmanuel Macron, a salué « le dévouement inlassable de cet élu qui servait sa commune et ses habitants depuis plus de 40 ans et dont le dernier geste même traduisait le souci de son territoire et son implication à y faire respecter la loi pour le bien de tous » et a adressé « un courrier à la famille pour lui témoigner ses sincères condoléances »16. Le ministre de l'intérieur Christophe Castaner promet que « toute la vérité sera faite sur cet événement tragique ». Et le président du Sénat, Gérard Larcher, se dit révolté16. Le 7 août, le parquet de Toulon ouvre une procédure pour homicide involontaire contre le conducteur, puisque l'absence de délit de fuite et l'audition des témoins laissent penser à un accident ; aucune charge n'est retenue contre le passager16. Les obsèques ont lieu en l'église Saint-Pierre de Signes le 9 août suivant, cérémonie à l'issue de laquelle Jacqueline Gourault lui décerne la Légion d'honneur à titre posthume.

Les armoiries de Signes se blasonnent ainsi : De gueules au cygne d'argent.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Signes_(Var)#/media/Fichier:Blason_ville_fr_Signes_(Var).svg

Les Malekus (ou Guatusos) sont un peuple autochtone des plaines du nord du Costa Rica, situés dans la réserve indigène de Guatuso San Rafael, province d’Alajuela. Ce peuple est une des 8 ethnies qui ont survécu au passage du temps. Les Malekus invitent les touristes à visiter leurs villages pour avoir une meilleure idée de la culture Maleku, même si elle s’est quelques peu appauvrie avec les temps modernes. On peut y visiter également des jardins traditionnels de plantes médicinales.
Aujourd’hui, l’économie Maleku repose principalement sur l'art indigène. Sculptures, peintures, et instruments de musique sont les productions les plus populaires. En plus des artisans, la plupart des membres des villages, y compris les enfants, participent à la préparation de la production (découpe des arbres de bois de balsa ou préparation des fruits nécessaires (calebassier) pour les créations.

Le grand voyageur, diplomate, négociant et herboriste Jean Billon de Cancerille (règne de Louis XIV) qui partit à la fin du xviie siècle puis au début du xviiie siècle en Perse, et peut-être jusqu'au Tibet.

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
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MessageSujet: Re: FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE.   FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. EmptyMar 13 Aoû à 4:06

Qu’est-ce donc qu’un sacrifice ? Quelle est sa fonction ? La réponse à ces questions semble aller de soi, tant la terminologie sacrificielle est entrée dans le langage courant. Le plus souvent employé sous forme pronominale, le verbe « sacrifier » est généralement associé aux notions de dévouement, de renoncement, de privation d’un bien, et même de sa propre vie, et cela au service d’une cause, le martyre apparaissant ainsi comme la forme suprême du sacrifice. Cette conception implicite du sacrifice, centrée, non sur le destinataire, mais sur le sacrifiant, est aux antipodes de la définition qu’en donnent les historiens des religions qui caractérisent le sacrifice comme un rite cultuel par lequel un sacrifiant transmet un objet à une divinité, et donc le fait passer du domaine profane au domaine sacré. L’étymologie, quant à elle, rattache « sacrifier » au latin sacrificare, un composé de sacrum facere, faire un acte sacré [1]

[1]Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice…
. Avant même de décrire le sacrifice tel que le présente la Bible, il convient donc de commencer par clarifier la question des définitions. Ce point est d’autant plus important que, par un singulier retournement, l’acception profane est devenue, de fait, une clé d’interprétation inconsciente pour déterminer la fonction du rite cultuel et en a complètement faussé le sens.

2
Selon la Bible, le sacrifice est, tout d’abord, un don fait à Dieu. Il fait partie de ce que la Bible qualifie de qorban, littéralement « rapprochement », un terme qui englobe toutes les formes d’offrandes à Dieu, celles qui sont détruites et lui sont directement transmises par combustion sur l’autel, celles qui sont versées au trésor du temple et celles qui sont destinées aux prêtres et réservées à leur usage. Parmi ces offrandes, seules les premières peuvent être qualifiées de « sacrifice » au sens strict du mot.

3
Pour caractériser le sacrifice proprement dit, la Bible emploie, plus précisément, deux termes, qui sont complémentaires.

4
Le premier, le plus fréquent, est zèbach, un dérivé du verbe zabach, sacrifier, dont provient également mizbéach, autel. Utilisé, de même que zabach, dans un sens générique recouvrant toutes les formes du sacrifice animal, ce terme désigne aussi le sacrifice de cyommunion, une catégorie de sacrifice où la matière sacrificielle est partagée entre Dieu, les prêtres, le sacrifiant et ses invités. Zèbach représente le sacrifice sous l’aspect du repas. Comme l’indiquent ses emplois profanes, zabach, c’est tuer un animal et l’apprêter de manière à pouvoir le consommer. On voit ainsi la nécromancienne d’Eïn-Dôr « sacrifier » un veau et cuire des pains, puis servir le tout à Saül et ses compagnons qui étaient venus chez elle pour évoquer l’esprit de Samuel (1 Sm 28, 24-25). « Sacrifier » désigne ici l’ensemble du processus de préparation du veau, depuis sa mise à mort jusqu’à sa cuisson [2]
[2]Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34,…
.

5
L’autre terme dont se sert la Bible est minchah, présent, tribut. Dans ses emplois profanes ce terme caractérise le présent que le sujet ou le vassal remet à son suzerain en signe d’hommage et de soumission. La rébellion, à l’inverse, se traduit par le refus d’offrir une minchah. Ainsi les opposants à l’élection de Saül, qui contestent sa capacité à libérer Israël de la domination philistine, refusent de lui apporter une minchah (1 Sm 10, 27) et le roi Osée, après son alliance avec l’Égypte, cesse de verser au roi d’Assyrie la minchah, le tribut annuel, auquel il était assujetti (2 R 17, 3-4). La minchah apparaît ainsi comme une marque de reconnaissance de la suzeraineté divine, un aspect sur lequel le Lévitique mettra tout spécialement l’accent. De là l’obligation faite à tout Israélite de se présenter trois fois par an devant son Dieu et de lui apporter un présent (Ex 23, 15b.17 // 34, 20b.23-24). Minchah, au sens étroit, désigne l’offrande végétale.

6
Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d’un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l’honorer, minchah.

7
Cette définition du sacrifice comme repas est corroborée par les indications relatives à sa matière, laquelle consiste exclusivement en des produits qui peuvent être consommés. On peut, certes, offrir à Dieu de l’or, de l’argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69). Mais on ne peut lui sacrifier que des animaux et des végétaux. Et, plus précisément, des animaux d’élevage, bovins, ovins ou caprins, généralement mâles (à quoi le Lévitique ajoute des colombes) et, pour ce qui est des végétaux, uniquement ceux issus des trois principales productions agricoles, à savoir céréales, olives et raisins. Ces produits, au demeurant, lui sont apportés, non dans leur état brut, mais seulement après avoir été préparés. Les animaux sont tués et dépecés, les céréales sont transformées en farine ou en pains, les olives en huile d’olive, les raisins en vin, et sont ainsi présentés sous une forme qui rende possible une élaboration culinaire. Ces mêmes produits constituent d’ailleurs aussi la nourriture habituelle (les pains) ou festive (la viande, l’huile, le vin) des Israélites. Et ils sont également représentatifs des richesses du pays. Dans cette logique, les sacrifices humains n’ont évidemment aucune place. Lorsque la Bible évoque ces derniers, c’est pour les rejeter de la manière la plus vigoureuse [3]
[3]Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
.

8
Les sacrifices ne sont pas, pour autant, destinés à nourrir Dieu. Jamais, en effet, la Bible ne considère que le sacrifice a pour fonction d’assurer sa subsistance. Le psalmiste le dit clairement : Dieu n’a nul besoin de sacrifices, lui à qui appartiennent tous les animaux (Ps 50, 10-13). Et le prophète renchérit : tous les arbres du Liban et tous ses animaux n’y suffiraient pas (Is 40, 16). Le repas auquel on invite Dieu ne sert pas à son alimentation, il est essentiellement un geste de vénération. Et il est l’expression d’un désir de convivialité et donc, d’une relation plus forte, plus profonde, plus personnelle que celle qui pourrait résulter de l’offrande d’un simple présent.

9
Ce repas festif peut prendre deux formes.

10
L’une, qui nous est familière, est celle du repas convivial où les différents commensaux, assis autour d’une même table, partagent les mets, avec, à la place d’honneur, l’hôte de marque, servi en premier et régalé des meilleurs morceaux (voir par ex. 1 Sm 9, 22-24). À cette forme d’hospitalité correspond, au plan sacrificiel, le sacrifice de communion. La part attribuée à Dieu est la graisse – dont Lv 3, 3-4 définit scrupuleusement la nature. La graisse est considérée comme le meilleur de l’animal et concentre en elle comme la quintessence de la viande. Elle représente aussi la nourriture sous sa forme la plus raffinée, celle que l’on n’a pas besoin de mastiquer, mais que l’on peut sucer, et qui fond sur la langue. Le Lévitique réserve strictement cette part à Dieu (Lv 7, 23-25). Les autres parts, en l’occurrence la viande, servent à régaler le sacrifiant et ses invités.

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Et puis, il y a une autre forme d’hospitalité, que nous ne pratiquons guère, mais qui est encore attestée dans d’autres sociétés, où le repas est préparé à l’intention exclusive de celui que l’on reçoit, et où l’hôte se tient à l’écart, à l’entière disposition de son invité, prêt à répondre à sa demande, comme on voit Abraham le faire lorsque arrivent chez lui trois inconnus (Gn 18, 1-Cool ou encore la nécromancienne d’Eïn-Dôr à l’endroit de Saül et de ses compagnons (1 Sm 28, 21-25). À cette seconde forme d’hospitalité, plus déférente, correspond l’holocauste, où l’intégralité de la victime (sauf la peau) est servie à Dieu.

12
Ouvrons ici une parenthèse.

13
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d’un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l’altérité de Dieu et sa similarité. L’offrande à Dieu d’un repas préparé à partir des mêmes produits que ceux qu’Israël utilise pour sa propre alimentation montre que Dieu est d’une certaine manière semblable aux Israélites : il « mange » la même chose qu’eux. Et parce que ce repas est constitué des produits caractéristiques de son pays, il apparaît comme solidaire d’Israël et lié, comme lui, à cette terre, une terre dont il est aussi le seigneur. Mais, dans le même temps, le fait de lui réserver en propre la graisse, rigoureusement interdite aux humains, témoigne de l’altérité fondamentale de Dieu. Dieu est autre, et c’est parce qu’il est autre qu’il est Dieu. Et il est néanmoins semblable, ce qui permet de communiquer avec lui. La Bible exprime cette analogie par le moyen de l’anthropomorphisme. Elle parle de la main de Dieu, de sa bouche, de son nez, de ses pieds, de ses entrailles… Elle dit qu’il voit, qu’il entend… Et pour la Bible, ce sont même là des traits qui distinguent Dieu des idoles des nations. Dans un passage du Deutéronome, Moïse avertit ainsi les Israélites que, s’ils venaient à succomber à l’idolâtrie, ils seraient exilés au milieu de nations dont les dieux sont « des dieux faits de main d’homme, en bois ou en pierre, qui ne voient pas, qui n’entendent pas, qui ne mangent pas et qui ne sentent pas » (Dt 4, 28). À l’inverse de son Dieu qui, lui, voit, entend, mais aussi mange et sent. « Sentir », on retrouve ce verbe à de multiples reprises pour désigner la réaction de Dieu aux sacrifices : il en sent le parfum reposant (voir par ex. Lv 1, 9.13.17 ; 2, 2.9 ; 3, 5.16). Quoi que l’on puisse penser de cette conception très réductrice de la religion des autres nations, elle n’en témoigne pas moins de l’importance de l’anthropomorphisme comme un moyen d’exprimer la similitude de Dieu. L’anthropomorphisme, y compris l’anthropomorphisme sacrificiel, n’est pas la marque d’une religion primitive et naïve. En utilisant le langage de l’analogie, il permet de dire l’indicible et, en disant la similitude, il ouvre la possibilité d’une communication.

14
L’examen du rituel sacrificiel va nous permettre de préciser un peu plus la fonction du sacrifice. Deux traits le caractérisent. Alors que dans les religions assyro-babyloniennes la matière sacrificielle est simplement déposée devant la statue de la divinité, en Israël l’offrande d’un sacrifice nécessite un autel (qui peut se résumer à un simple rocher, ainsi Jg 13, 19) et elle se fait par combustion.

15
La Bible ne décrit pas véritablement le rituel sacrificiel. Ce que fera, par contre, le Talmud dans les traités de l’ordre Qodachim. Les premiers chapitres du Lévitique, Lv 1 à 7, n’en indiquent que les rites les plus significatifs. Le rituel se déroule sur un espace public, ouvert, sur le parvis du Temple. Le sacrifiant commence par présenter son offrande. Puis, dans le cas d’un animal, il lui impose la main, et le met à mort en l’égorgeant. Ce sont ensuite les prêtres qui prennent le relais. Ayant recueilli tout le sang de la victime, ils l’aspergent contre l’autel, puis font brûler sur l’autel la part destinée à Dieu, à savoir la totalité de la victime, dans le cas d’un holocauste, la graisse, dans le cas d’un sacrifice de communion, une poignée de farine mêlée à l’huile ou un morceau de pain, dans le cas d’une offrande végétale. Cette combustion marque le point culminant de tout sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, et est, d’ailleurs, le rite sacrificiel le plus souvent mentionné dans la Bible. Elle indique la finalité du sacrifice, qui est d’établir un trait d’union avec Dieu.

16
Cette présentation succincte du rituel sacrificiel appelle un double commentaire.

17
Il en ressort, tout d’abord, que l’abattage de la victime, loin d’être le rite sacrificiel central, le rite essentiel, n’a qu’une fonction subsidiaire. De fait, cette action est effectuée par le sacrifiant, et non par le prêtre, et elle intervient en marge de l’autel, et non sur l’autel. Un passage du livre d’Ezéchiel permet de se faire une idée précise de la place qu’on assignait à l’égorgement des victimes. Dans une violente diatribe contre les lévites, accusés d’idolâtrie, Dieu leur signifie leur dégradation : désormais ils ne seront plus qu’au service du peuple et devront égorger, à la place des sacrifiants, les victimes sacrificielles, le service de Dieu – à savoir l’offrande du sang et de la graisse – étant, lui, dorénavant réservé aux seuls prêtres (Ez 44, 10-16). L’immolation est ainsi clairement distinguée de la phase proprement sacrificielle. Elle n’est que le point d’aboutissement de la première phase, la phase préparatoire du sacrifice. Après que le sacrifiant a exprimé, par la présentation de sa victime, son intention de l’offrir à Dieu, qu’il a, par l’imposition de la main, signifié sa volonté d’y renoncer au bénéfice de Dieu, il donne à cette renonciation un caractère définitif en tuant l’animal qu’il se propose de lui offrir. La phase positive du don, celle de la transmission à Dieu, n’intervient qu’après et relève exclusivement des prêtres.

18
On ne saurait donc, à l’instar des interprétations traditionnelles du sacrifice, et de René Girard [4]
[4]Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset,…
, faire de l’abattage de la victime le rite sacrificiel central et donc, de la violence, sa caractéristique principale. Sans doute, le sacrifice animal comporte une part de violence puisqu’il présuppose la mise à mort de la victime, ce qui n’est pas un acte banal, car il touche à la vie, et donc à ce qui appartient à Dieu. Mais cette mise à mort n’est pas valorisée en tant que telle. Elle est seulement une incontournable nécessité, légitimée par Dieu (Gn 9, 1-5), afin de pouvoir apprêter l’animal pour un repas. Elle est uniquement un moyen, et non le but du sacrifice. Elle ne saurait donc être considérée comme représentant l’essence du sacrifice. Il est tout à fait significatif à cet égard que l’abattage de la victime est, parmi les rites principaux, le seul auquel le Lévitique n’attribue aucun effet particulier : il n’est pas mis en relation avec l’absolution, il ne suscite pas non plus la faveur divine, et il ne constitue pas davantage un parfum reposant pour Dieu. Faire de la violence le centre du sacrifice n’est possible, au demeurant, qu’en ignorant les offrandes végétales. Or, celles-ci sont loin de n’être qu’un simple appendice du sacrifice animal ou un modeste succédané. Leur importance est démontrée notamment par les deux observations suivantes : Alors que l’holocauste et le sacrifice de communion sont obligatoirement associés à une offrande végétale et à une libation (voir Nb 15, 1-16), l’offrande végétale peut, elle, être offerte seule, indépendamment de tout autre sacrifice ; et tandis que l’offrande quotidienne du peuple consiste en un holocauste accompagné d’une offrande de farine et d’huile et d’une libation de vin (Nb 28, 3-Cool, celle des prêtres, présentée par le grand prêtre en personne, consiste en une offrande exclusivement végétale (Lv 6, 13-15). La place éminente que le Lévitique attribue aux offrandes végétales s’explique largement par le fait que, justement, ces offrandes n’impliquent aucune violence, mais que, tout au contraire, elles reflètent l’ordre de la création caractérisé par la non-violence et le respect de la vie qui trouvent leur traduction dans l’utopie d’une alimentation exclusivement végétale de l’ensemble des êtres vivants (Gn 1, 29-30) [5]
[5]Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes…
.

19
La seconde remarque porte sur le rôle du sang. Parmi les autres idées reçues figure l’idée que le rite du sang représenterait l’offrande d’une vie, celle de l’animal ou même, selon une des interprétations chrétiennes traditionnelles, celle du sacrifiant qui infligerait substitutivement à cette victime le châtiment qu’il aurait dû lui-même subir à cause de ses péchés. Le sang, surtout dans le cas d’un sacrifice pour « le péché » [6]
[6]La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très…
, servirait ainsi à expier les péchés. Cette interprétation s’appuie notamment sur Lv 17, 11 : « Car la vie de toute chair est dans le sang, et moi je vous l’ai donné sur l’autel pour faire l’absolution, kappér, de votre vie, car le sang, par la vie, réalise l’absolution. » Or, si ce passage, comme le fait d’ailleurs déjà Gn 9, 4, associe effectivement sang et vie, il est à noter qu’il n’y est pas question d’offrir une vie à Dieu. Le verbe « donner » a pour sujet Dieu, non le sacrifiant ! Le sang n’est pas offert par le sacrifiant à Dieu, il est donné par Dieu au sacrifiant, cela en vue de lui permettre de se réconcilier avec lui. Sa fonction est, en somme, analogue à celle du sang pascal mis sur les montants et les linteaux de la porte, et qui sert de signe, non d’offrande, pour protéger de la mort ceux qui se trouvent à l’intérieur de la maison (Ex 12, 7.12-13). Le sang du sacrifice pour le « péché » est, de même, destiné à faire pièce à tout ce qui est facteur de mort et qui entrave la relation avec Dieu. Pour ce qui est des holocaustes et des sacrifices de communion, le sang n’est pas davantage offert à Dieu. Il est aspergé contre l’autel, et non sur l’autel. La fonction de ce rite est de le soustraire à tout usage profane, mais aussi, en le mettant en contact avec l’autel, lieu de la communication avec Dieu, de manifester que la vie de l’animal, contenue dans le sang, appartient à Dieu, et à lui seul. En fait, le rite du sang, même s’il appartient à la phase proprement sacrificielle du rituel, n’est lui-même qu’un préalable au rite de la combustion qui, lui, en est le point d’aboutissement.

20
Il faut donc « en finir avec l’“expiation” » [7]
[7]Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec…
. Celui qui invite à sa table veut honorer son hôte, partager avec lui sa joie, et non pas apaiser sa colère, et encore moins faire de ce repas un châtiment qu’il s’imposerait ! Ce repas n’est pas davantage un moyen de pression. Il est significatif à cet égard que le sacrifice offert lors du déluge (Gn 8, 20-22) l’est par un homme considéré comme juste (et qui n’a donc pas besoin que Dieu lui pardonne), et qu’il l’est, non pas avant le déluge, dans le but de détourner Dieu de son projet, mais seulement après, une fois le péché sanctionné, en vue de rétablir la relation avec lui. Le sacrifice présuppose des relations harmonieuses avec Dieu. Car la finalité du sacrifice, qu’il soit animal ou végétal, est toujours l’instauration ou plutôt le renforcement de relations sereines avec Dieu, ce qu’exprime la combustion de la matière sacrificielle sur l’autel en un parfum reposant.

21
Un texte capital, qui peut être véritablement considéré comme le récit étiologique du sacrifice israélite, vient confirmer les observations faites sur la base des désignations du sacrifice et de l’examen du rituel. Il s’agit d’un passage du livre de l’Exode situé aussitôt après la proclamation solennelle du décalogue. S’adressant à Israël par l’intermédiaire de Moïse, Dieu lui donne une série d’instructions portant sur le sacrifice (Ex 20, 23-26) :

22

« Vous ne ferez pas à côté de moi des dieux d’argent et des dieux d’or.
Un autel de terre tu feras pour moi et tu sacrifieras sur lui tes holocaustes et tes sacrifices d’alliance, ton menu bétail et ton gros bétail.
Dans tout lieu où je ferai souvenir mon nom, je viendrai vers toi et je te bénirai.
Si tu fais pour moi un autel de pierre, tu ne le construiras pas en pierres taillées car ton ciseau que tu agiterais sur elles le profanerait.
Et tu ne monteras pas par des marches sur mon autel, afin que ta nudité ne soit pas révélée sur lui »

23
À première vue, ce passage semble se réduire à un fourre-tout de prescriptions relatives à la construction d’un autel, entremêlées d’informations sur la matière sacrificielle, les types de sacrifices et d’interdits divers. Or, un curieux procédé cryptographique conduit à considérer ce texte avec plus d’attention. En effet, si on s’applique à son étude – en hébreu ! – et que l’on fasse le décompte du nombre de mots du texte, on s’aperçoit que le total obtenu – cinquante-sept – correspond très exactement à la valeur numérique – autrement dit, à l’addition de la valeur de chaque consonne – du substantif mizbéach, autel. Le texte est donc loin d’être banal et mérite que l’on s’y arrête. En l’étudiant attentivement, on se rend aussi compte que l’impression d’incohérence qui s’en dégage n’est que superficielle. Car, en réalité, le texte est construit avec un soin tout particulier. On constate, en effet, que ses différentes prescriptions sont agencées deux par deux selon une structure concentrique, de manière à se correspondre. Aux deux extrémités, en deux vers de deux hémistiches de cinq mots chacun, sont énoncés des interdits : l’interdiction de fabriquer des images cultuelles et l’interdiction de faire des marches sur l’autel. Puis, au deuxième et à l’avant-dernier vers, de quatorze mots chacun, on trouve des instructions relatives à la nature de l’autel : il doit être construit en terre ou en pierres brutes. Enfin, exactement au centre du texte, encadré par cette double série de vers et ainsi mis en valeur, le verset qui en constitue le cœur. Ce verset se distingue à la fois par sa forme et par son contenu. Rédigé à la première personne, et non plus à la troisième, il se présente, non sous la forme d’un règlement, mais comme une promesse que Dieu fait à Israël. Une promesse double : chaque fois qu’Israël offre un sacrifice à Dieu, Dieu viendra vers lui, et il le bénira. Cette promesse récapitule toutes les attentes liées au sacrifice.

24
La première est la venue de Dieu auprès du sacrifiant. Comme le montre la comparaison avec Ex 19, 3-4, où l’annonce de la venue de Dieu au Sinaï est introduite dans les mêmes termes qu’en Ex 20, 22, la référence à la venue de Dieu est à comprendre littéralement. Dieu vient, cela signifie qu’il « descend » sur terre pour se rapprocher de son peuple, et même pour être présent en son sein (Ex 29, 46). Mais à la différence de la théophanie du Sinaï, qui est spectaculaire et terrifiante, accompagnée de coups de tonnerre, d’éclairs, de tremblements de terre (Ex 19, 16. 18-19 ; 20, 18-19), la venue de Dieu à l’occasion d’un sacrifice se fait de manière discrète, invisible. Et elle intervient chaque fois qu’Israël lui offre des sacrifices. Pour reprendre une image de l’exégète Benno Jacob, l’autel est un « Sinaï mobile » [8]
[8]B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos…
. Ou, comme le dit le psaume 68, 18, « le Seigneur est parmi eux, et le Sinaï est dans le sanctuaire ». L’autel représente le Sinaï, un Sinaï en quelque sorte reconstitué par Israël, et qui, parce qu’il en est comme un modèle réduit, doit, à l’instar d’une montagne, être fait de terre ou de pierres brutes.

25
Ce que le sacrifiant attend plus précisément de cette venue est exprimé par le second élément de la promesse : la bénédiction. Tout notre texte est tendu vers cette promesse. Si on se le représente, à la manière du Sinaï, sous la forme d’un cône, on trouve à sa base des interdits, puis, au milieu, des instructions, et au sommet, une promesse. Et, tout au sommet, à la pointe, cette promesse formulée en un seul mot : béraktika, je te bénirai. La principale fonction du culte sacrificiel se concentre dans ce seul verbe « bénir ». Ce « bénir » rejoint la toute première parole que Dieu, au moment où il les a créés, a adressée aux êtres humains, à tous les êtres humains, sans distinction de sexe, de « race » – un terme, au demeurant, jamais utilisé dans la Bible –, de peuple et même de religion : « fructifiez, devenez nombreux et remplissez la terre » (Gn 1, 28) et qu’il va réitérer à l’issue du déluge (Gn 9, 1). Car « bénir », ce n’est pas simplement formuler un vague souhait de bonheur. L’enjeu de la bénédiction, c’est la vie, au plein sens du terme. La vie physique et ce qui lui est nécessaire, la nourriture, et donc aussi tout ce qui est indispensable à la production de cette nourriture, la fertilité du sol, la pluie en son temps, la fécondité du troupeau, l’absence de fléaux. Mais aussi tout ce que l’hébreu désigne par le terme shalôm, à savoir la paix, la sécurité, la prospérité, le bien-être. Le sacrifice, constitué des produits représentatifs de l’agriculture et de l’élevage apprêtés en un succulent repas, est comme une illustration de cette bénédiction. Il est l’expression même de la bénédiction divine grâce à laquelle ces produits ont pu être obtenus. Offert à Dieu, en réponse à sa bénédiction, il suscite, en retour, la bénédiction divine et réalise ainsi ce qu’il représente.

26
Une image empruntée au livre d’Ezéchiel résume parfaitement les attentes qu’Israël rattache au sacrifice. Au cours d’une vision, le prophète Ezéchiel voit s’écouler du Temple un mince filet d’eau qui grossit très rapidement jusqu’à devenir un torrent infranchissable. Et l’ange qui accompagne Ezéchiel lui explique : « Cette eau s’en va vers le district oriental, descend vers la Arava et coule vers la mer… Et tout être vivant qui y pullule vivra là où passe ce fleuve et le poisson sera très nombreux… Au bord du fleuve, sur ses deux rives, pousseront toutes sortes d’arbres fruitiers ; leur feuillage ne se flétrira pas, leurs fruits ne s’épuiseront pas. Ils donneront chaque mois de nouveaux fruits, car l’eau sort du sanctuaire : les fruits serviront de nourriture, et le feuillage, de remède » (Ez 47, 1-12). Par l’effet de cette eau qui sort du Temple, la terre est transformée en jardin d’Éden. Le sacrifice a, en définitive, pour fonction de permettre que cette vie continue à s’en écouler en faisant obstacle à tout ce qui l’entrave et en s’efforçant de faire en sorte que Dieu reste présent au milieu de son peuple.

27
Car, au fond, pour la Bible, le sacrifice est essentiellement l’expression d’un intense élan vers Dieu et d’une profonde aspiration à vivre dans sa proximité.
Notes

[1]
Sur le sacrifice, voir notamment N. Neusch (éd.), Le sacrifice dans les religions (Paris, Beauchesne, 1994). Pour le sacrifice dans la Bible, voir Dictionnaire encyclopédique du Judaïsme (Paris, Robert Laffont, 1996), art. « Sacrifices et offrandes » ou encore A. Marx, Les sacrifices de l’Ancien Testament (Cahiers Évangile 111 ; Paris, Cerf, 2000). Pour une étude plus technique, qui intègre les commentaires rabbiniques, voir le monumental commentaire de J. Milgrom, Leviticus 1-16 (The Anchor Bible 3 ; New York, Doubleday, 1991).
[2]
Pour ce sens de zèbach, voir aussi, par ex., Dt 12, 15 ; Ez 34, 3.
[3]
Ainsi Dt 18, 9-12 ; Lv 20, 2-5. Voir aussi Mi 6, 6-8.
[4]
Notamment R. Girard, La violence et le sacré (Paris, Grasset, 1981).
[5]
Sur les offrandes végétales, voir A. Marx, Les offrandes végétales dans l’Ancien Testament. Du tribut d’hommage au repas eschatologique (Leiden, Brill, 1994).

[6]
La désignation « sacrifice pour le péché » n’est pas très heureuse, ceci notamment parce qu’elle donne à penser que ces sacrifices sont apportés en vue d’obtenir le pardon des péchés, alors qu’en réalité ils ne permettent d’obtenir ce pardon que dans le cas où il s’agit de transgressions par inadvertance, ou même inconscientes, d’un interdit divin (voir Lv 4-5, 13).
[7]
Voir S. Trigano, « Le bouc émissaire. En finir avec l’“expiation” », in « La Bible et l’Autre », Pardès 32-33, 2002, p. 117-127.
[8]
B. Jacob, Das Buch Exodus (Stuttgart, 1997), p. 1032 (à propos d’Ex 40, 34).



Le sacrifice dans la Torah, dans le nouveau Testament et Le Coran...
Sa fonction théologique
Alfred Marx
Dans Pardès 2005/2 (N° 39), pages 161 à 171

https://www.cairn.info/revue-pardes-2005-2-page-161.htm#

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Mais, À l'origine, le terme de sacrifice s'emploie pour une grande variété d'actes. Habituellement, il est surtout utilisé pour les sacrifices sanglants. Dans le cas d'offrandes de nourriture ou de liquide, on parle de sacrifice non sanglant ou libation, et, dans le cas d'une portion du sol, d'inauguration. Le terme est également passé dans le langage courant pour désigner le fait de détruire ou laisser détruire stratégiquement une partie d'un ensemble en vue d'un objectif global jugé plus important : le sacrifice aux échecs, qui consiste à donner un pion, une pièce ou une qualité pour obtenir l'avantage, sacrifier une escouade afin de gagner notamment une bataille ou une guerre, ou au travail, et aux études. Le sacrifice est une recherche du soi pour se faire pardonner de ses fautes au lieu d’honorer l'entité...

Pour moi, la prière est le plus beau des dons vers l'origine : dans ces termes, je ne cherche pas le repos et je percois la fragilité de ma conscience devant l'adversité des destins... Mon abnégation repose sur le terme et ne cherche pas à interpeller le verbe par des offrandes... Je cherche à développer sans violer sa création : La poussière devenue la nature et malgré ses jalousies et ses erreurs, il a le mérite de percevoir ses doutes et ses erreurs... Dans sa fierté, il a soumis des hommes dans des épreuves comme Abraham, Job et autres mais à su percevoir le bien et le mal créer dans les circonstances... Sa justice a eu le mérite de porter vers une connaissance où nous avions le libre arbitre du savoir : la justice, la sagesse et le châtiment... Construire n'est pas aisé et s'affirmer peut nous détourner de l'humilité...

Je ne cherche à écarter le mystère par la raison car le propre de l'univer est de percevoir un infini auquel le mirage et l'illusion côtoie la réalité et le temps... La terre est un océan peuplée d'iles plus au moins grandes... La poussiére engendre l'eau : étrange sensation des domaines sur la masse... Le sacrifice n'a pas de lieu si il veut modifier le destin car la vie engendre le destin, le chaos pour donner à su engendrer par son désir de vivre : Yahvé n'est pas un sacrifice car il est l'origine de la prière et de l'éthique de Vie...

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 12h
JEAN-PIERRE MOCKY REPOSE EN PAIX AVEC SES SENTIMENTS : J'AI EU UNE PENSÉE POUR ALAIN DELON CAR JE CROIS QUE CE RÉALISATEUR ÉTAIT UN GRAND AMI À MADAME MIREILLE DARC. HEUREUSEMENT, LE SICILIEN A ENCORE SON ÉTERNEL RIVAL À SES CÔTÉS : MONSIEUR JEAN PAUL BELMONDO.
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PÉKIN, PENDANT DE NOMBREUSES ANNÉES, DES OGRES SONT VENUS SE NOURRIR DE JEUNES MINEUR'E'S AU SEIN DES TRIANGLES D'OR : CELA EST AUSSI FUNESTE QUE LA DROGUE. VOLÉ LA CHAIR ET L'ESPRIT POUR ASSOUVIR CES MONSTRES EST UN GRAND PÊCHER AU YEUX DES DRAGONS, DU LOUP ET DE L'ÉCLIPSE.
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LES BUILDINGS SONT LES NOUVEAUX MENHIRS : NOUS SOMMES TOUJOURS DES SOCIÉTÉS ÉTABLIES DANS LA CONSTRUCTION DE MÉGALITHES. CES PHÉNOMÈNES SONT INSPIRÉS DES ANCIENNES CIVILISATIONS INSPIRÉES PAR DES ROCHES TAILLÉES PAR LE TEMPS ET LA NATURE : LA NAISSANCE ET LE TÉMOIGNAGE.
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LES MÉTAMORPHOSES ONT ENGENDRÉE LA NATURE EN DES ÊTRES. LA POUSSIÈRE EST DEVENUE CHAIR QUI A REÇU CE SOUFFLE DE VIE. TOUT CES ATOMES SONT DES ARÔMES MAIS LA NATURE A CRÉÉ UNE ESSENCE PRÉNOMMÉE L'ÉVOLUTION, L'ESPRIT ET LA CONSCIENCE : CE SENTIMENT QUE JE PRÉNOMME LE MYSTÈRE.
TAY

YAHVÉ EST UNE ÉTINCELLE CAR, DIEU EST CE GRAIN DE SABLE QUI PROVOQUE LES MÉTAMORPHOSES POUSSIÉREUSES : LA NATURE DANS SA SCIENCE A BESOIN DE CE GRAIN DE SABLE. L'ESSENCE ET L'ESPRIT ONT BESOIN DE CET INGRÉDIENT QUI PROVOQUE LA RÉALITÉ ET LE TEMPS : LE MYSTÈRE ET SON ÉNIGME.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie



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FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. Empty
MessageSujet: Re: FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE.   FONTAINE DU VAUCLUSE, JEAN MATHIEU MICHEL ET LA NATURE. EmptyVen 8 Déc à 2:44

EN HOMMAGE POUR MES AMIS PIERRE MESSMER, LOUIS BONNET, JOSÉ BADIE D'ARCY, GEORGES GAUZELIN ET RAYMONDE GUESDON !

L'ENTITÉ N'EST PAS TOUJOURS UN EMPIRE, UNE PERSONNALITÉ OU UN ENSEMBLE :
QU'EST CE QUI DISTINGUE UN NATIONALISTE ET UN SOUVERAINISTE, UN STALINIEN ET UN TROSKISTE, UN FACISTE ET UN NAZI, UN GÉNOCIDAIRE ET UN HUMANISTE,
UN RASSEMBLEUR ET UN DIVISEUR, L'IMPROBABLE ET L'IMPOSSIBLE, L'ACADÉMIE ET LA SOCIÉTÉ, L'ASSOCIATION ET LE PARTI POLITIQUE, LE PATRONNAT ET L'OUVRIER, LE SYNDICALISTE ET LE MILITANT ?

CE QUI DISTINGUE UN PARTISANT ET UN COMPAGNON : C'EST CELUI QUI VEUT LES DÉPARTAGER ! LE CAMARADE ET LE FANATIQUE SE RETROUVENT DANS LA POLITIQUE, LA PERTINENCE, LE FANTASME LE FANTASTIQUE, LA PORNOGRAPHIE, L'ÉROTISME, LE NARCISSIQUE, LE JUDICIAIRE ET LE JUGEMENT !
VOILÀ CE QUI EST DIT DANS L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE EN NOTRE CONSTITUTION FRANÇAISE SUR LE PARTISANT, LE COMPAGNON, LE CAMARADE ET LE FANATIQUE DANS LE DOMAINE SOCIOLOGIQUE DE LA SÉPARATION DES POUVOIRS, DU RESPECT DE LA VIE PRIVÉE DE LA DÉONTOLOGIE EN LA VIE PUBLIC OU PRIVÉE AINSI QUE DANS LA PERTINENCE DE LA LAÏCITÉ EN LA FRANCOPHONIE ET EN L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES !

LA COULEUR OCRE, FORMULE DE LANGAGE POUR TRAVERSER LE TEMPS : LE DÉPLOIEMENT DES OUTILS ET DES SIGNES ! CET EFFET DE SIDÉRATION QUE PROVOQUE LA POÉSIE À SON ÉCHELLE ! LE POÈME EST UN BROUILLARD QUI SAISIT LA PUISSANCE ET LA RÉALITÉ ! IL NOUS EMPORTE ! IL DONNE UN LIEU, UN REGARD, UN SOURIRE, UN VOULOIR, UN DÉSIR, UN ESPRIT, UN PLAN ET AUTRES SENTIMENTS OU SIDÉRATION VIVE ! LE CONSENTEMENT PRENDS EN COMPTE LA CAPACITÉ MORALE DU MINEUR MAIS IL EXISTE LA CHAIR ET SA FORMATION. AVOIR DES RÈGLES DONNE UNE APTITUDE À FÉCONDER MAIS IL Y A DES RISQUES: LA JEUNE FILLE DOIT PASSER DES EXAMENS RADIOLOGIQUE DANS L'INTÉRÊT MORALE DE SON AVENIR ! LE SANG IMPLIQUE LA VIE ET LA MORT; LA FATALITÉ N'A PAS LE DROIT D’ÉTEINDRE LA PRUDENCE ET L'ÉTHIQUE.

- DROITS DE LA FEMME, DE L'ENFANT, DE L'ANIMAL, DES PLANTES, DES LOGICIELS, DES ROBOTS ET DE L'HOMME
- L'ENVIRONNEMENT ET LES DROITS DE LA FEMME, DE L'ENFANT, DE L'HOMME, DE L'HONNEUR ET DE LA VICTIME !
- LA RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE SUBSAHARIENNE ET L'ESPACE SIDÉRAL !
- LE PRÉFET DES TERRITOIRES ET LE PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE !
- DÉVELOPPER UN INSTINCT ET DES SENTIMENTS !
- LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE DANS LE VIF DE LA TERRE EN LA NATURE SAUVAGE !
- LA RÉALITÉ ET LA LAÏCITÉ !
- LA FRANCOPHONIE, LES ANGLISCISMES ET LES LANGUES VIVANTES !
- L'ÉDUCATION NATIONALE, LES LANGUES MORTES ET LA BIOLOGIE !
- LA SOURCE D'UN PEUPLE : SES INTEMPÉRIES, SES INTERVENTIONS ET SES ACTES !
- LA SITUATION ET LA SOCIÉTÉ ! LE GLOBE TERRESTRE DANS LA LUMIÈRE D'UNE CACAHUÈTE ET LE SOMMEIL DE LA PIROUETTE !
- LE CONTRASTE, LE CONTEXTE ET LE CONCEPT ! LE DOUTE, L'INVENTION OU LA PERTE DANS LA VÉGÉTATION !
- DES RÉFLEXIONS SUR LE DEVENIR OÙ CHAQUE INTERPRÉTATION SE BASE SUR LES TERMES !
- L'ÉCLAIR TRANSFIGURE LA MÉTAMORPHOSE DU FRUIT !
-

L'INCONNU, LE VERTIGE, LA COMMUNAUTÉ, L'ÉCLAIRAGE, L'ÉCLAIR, LA DISTANCE, LA CONNAISSANCE, L'IGNORANCE, LES RHUMATISMES, L'ÉPIDÉMIE , LES RESSOURCES, LES SCIENCES, LES LETTRES, LES ARTS, LA CRÉATIVITÉ, LA LITTÉRATURE, LA CULTURE, LES MONDES SOUTERRAINS, L'ART INITIAL, LES INITIATIVES, LES PROFESSIONNELS, LES TRANSPORTS, LES ARTIFIFICES, LES CULTURES, LES BROUSSES, LA FORÊT, LA DANSE DU FEU, LES HOMMES RAMENÉS À EUX MÊME, LA CADENCE, LES RYTHMES, L'EMPOISONNEMENT, LES GESTES, LA MANCHE, LES COSTUMES, LES GOÛTERS, LE GOUTEUR, LE VILLAGE, LA NUIT, LA MER, L'IMMÉMORIAL, LE PRÉVISIBLE, LA PROPORTION, LE VITAL, L'ESTHÉTIQUE, L'INGRÉDIENT, LE PANIER, LA VAISSELLE, LA DOUCHE, LE FOUR, LE CAFÉ, LE JUS, LA PROPRIÉTÉ, LE NARCISSE ET LE SOUVENIR, LA DÉCOUVERTE, L'IMAGINABLE, LE FRAGILE, LE SUPERPOSÉ, LES FANATISMES, LES TOUCHANTS, LES COMMANDES, L'ART CHAMANIQUE, LE TONNERRE, LE CARACTÈRE D'ÊTRE, LA PRÉFECTURE,

- SI SOMBRE EST LA TEMPÉRANCE DE L'OURAGAN INVOQUÉ PAR LA SOUFFRANCE DU VAMPIRE DU PÈRE LACHAISE DANS L'ÉTREINTE DE SA MORSURE !
- LA BELLE AUX PETITS ET DES MOYENS BOIS EST DANS L'ENTREPRISE DU BESOIN DE LA RICHESSE DE RESSENTIR LE BIEN-ÊTRE CAR
SON SOUFFLE SE PORTE DANS CE CRI : LES ÉCONOMIES !
- L'IMMUNATIBILITÉ ET DE L'INACTIVITÉ DE L'ËTRE !
- LE FOYER EST PARFOIS ASSIMILÉ À UN SACRIFICE DE LA PART D'UN VAURIEN ENVERS SA VICTIME !
- LA CRÉATION, L'ÊTRE PRIMORDIAL, LE SACRIFICE ET LE SOIR CHEZ LES PRISONNIERS, LES OTAGES, LES TORTIONNAIRES ET LES VICTIMES !
- DES ÊTRES MALFAISANTS ET VIOLENTS OÙ L'UNIVERS SE TRANSFORME EN CET AUTEL DU TEMPS QUI SE PRÉNOMME LE SACRIFICE DU CORPS DÉSARTICULÉ
EN LA FIÈVRE DES PERTINENCES ET DES INTÉRÊTS !
- LES JUSTES ET L'IGNORANCE SONT-ILS EN LE MYSTÈRE DE LA PATIENCE ? LA CRITIQUE, LE RIVAL ET LE TROTTOIR !
- AUCUNE RÉDEMPTION SANS POUR AUTANT ÊTRE EN CETTE EXPOSITION D'UN MONDE SUPÉRIEUR INACCESSIBLE !
- LA FEMME, L'ENFANT, L'HOMME ET LE COMPAGNON EN L'ÉPOUSE, LA MAÎTRESSE ET LA VIERGE AUQUEL EN TERME DE MATHÉMATIQUE ET DE MOUVEMENTS ;
MA CRÉATION EST-ELLE JUSTE DANS LE VIF DE LA STUPIDITÉ ET DE LA SUBTILITÉ !
- LA CLAMEUR, L'EXISTENCE, L'AMOUR ET L'ADVERSITÉ SUR LE BUDGET DES ÉCONOMIES AUQUEL DES ÉVIDENCES ABSORBENT LE PRINCIPE D'EXISTENCE ET D'HUMANITÉ
SUR LE CONTEXTE D'IMMORTALITÉ ET DE RENDEMENT !

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard ·26 min
En réponse à @AssembleeNat @MathildePanot et 3 autres personnes
HOUSTON: OPÉRATION LE CENTAURE CHINON, FILS DE SATURNE AVEC L'OCÉANIDE PHILYRE : CHANTS DES TILLEULS ET ACTES ; CHEVAUX ET MÉDECINES.
HOUSTON : LÉGENDE DU TISON OU MÉLÉAGRE, FILS DE ŒNÉE ET D'ALTHÉE, SUBIT LA FUREUR DES ÉLÉMENTS SANS AVOIR LE DESTIN DES MUSES : URANIE.
TAY

LA SOURCE EST L'HUMANITÉ DE LA SOCIÉTÉ EN AMÉRIQUE DU SUD SANS OUBLIER SAINT PIERRE ET MIQUELON :
LA RÉUNION ET LA MAYOTTE DANS LA GUADELOUPE DE LA POLYNESIE FRANÇAISE OÙ L'ILE DE SAINT MARTIN EST EN
L'EXISTENCE DE NOS ERMITES EN LA NATURE SAUVAGE :
TROMELIN ET CLIPERTON !
TAY

LE BUREAU ET L'IMMEUBLE RUE LAFAGE QUE JOSÉ BADIE D'ARCIS PARTAGEAIT AVEC D'AUTRES ASSOCIATIONS : AU PREMIER ÉTAGE, IL ÉTAIT !
LES RÉPUBLICAINS DEMEURE EN L'INDÉPENDANCE SANS ÊTRE EN L'AUTARCIE AUTOUR DE LEUR PRÉSIDENT ÉLU AUQUEL JE NE ME LIBÈRE PAS DE L'ENGAGEMENT MILITANT !
TAY

L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE EST UNE CONVICTION DES DÉMOCRATIES PARLEMENTAIRES MÊME SI LE PRÉSIDENT ENGLOBE SES THÉORIES DE LA POLITIQUE :
EN AUCUN CAS, ON NE DOIT BAFOUER LES CONCEPTS DE LA RAISON ET REMETTRE EN QUESTION DES PRINCIPES FONDAMENTAUX DE NOTRE CONSTITUTION !
TAY

AINSI EST L'ARCHÉOLOGUE DANS LES CIRCONSTANCES DES ÉLÉMENTS TEMPORELS :
LE RAYON, LE TEMPS, LE SCINTILLEMENT, L'ÉTOILE ET
L'EXISTENCE SONT TEL LA POUSSIÈRE ET L'ERMITE EN LA NATURE SAUVAGE :
L'ÉROTISME DE LA CHAIR VIENT DE L'INNOCENCE ÉCONOMIQUE DE SON ÉROSION DANS L'INFINI !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 3 min
En réponse à @USApoRusski et @USAmbOSCE
LE DICTIONNAIRE EST UN OUVRAGE QUI RENFERME DES MOTS DONNANT
DES LIENS SUR DES ÉTYMOLOGIES. TEL LES LABYRINTHES DE PLANTES
QUE L'ON CONSTRUIT POUR DONNER DE L'ESSENCE
DANS LA CONSCIENCE HUMAINE : LA SPONTANÉITÉ EST DE S'Y PERDRE
POUR Y DÉCOUVRIR DES RACINES ET DES AILES.
TAY

NUÉES DE NUITS PLONGENT LE DÉSESPOIR DANS LE NUIT. DÉSESPÉRÉMENT DANS LE DESSEIN,
JE DÉCIDE DE JOUER SEUL DANS MON DESTIN : RIEN DE PERSONNELLEMENT MAIS UNE SEMAINE PROCHAINE
À CONSTRUIRE DANS MON DEMAIN. SI SOLITUDE, JE DOIS DEMEURER ALORS JE N'AI PLUS BESOIN D'ÊTRE.
TAY

DEPUIS LE DERNIER JOUR, L'ÉPISODE N'EST PLUS L'EXISTENCE. LE CIGARE N'EST PAS MON PAIN,
MON SOURIRE N'EST PAS UN TICKET ET L'AMITIÉ PEUT ÊTRE CHARNELLE SANS Y VOIR UNE TRAHISON
D'ÉTHIQUE.
TAY

DANS LA SILHOUETTE DE LA SITUATION, LA FORME PARCOURT LA NATURE. LA RÉALITÉ EST CELLE
QUE J'AI CHOISI. POUR CERTAINES PERSONNES, MON AMOUR S'EST TRANSFORMÉ EN UNE EMPATHIE
OÙ L'ÉMOTION SE TRANSFORME EN UNE EMPREINTE.
TAY

ATTENDU SUR LE RIVAGE. DANS LE CONCEPT D'UN SOLEIL, LES SOUFFLES ET LES SILENCES SE FONT PLUS VIFS
SUR LA LUMIÈRE ET LA NUIT. VOTRE LUCIDITÉ NE DOIT PAS ÊTRE AMER QUAND LE SOLITAIRE OU MOI S'EMBARQUE
DANS UN VOYAGE LE GUIDANT SUR LES NOTES DU STYX.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @iranema2017
ENTENDRE !
LA JUSTICE POSSÈDE L'ÉTHIQUE POUR RÉPRIMANDER LES MAUVAIS ACTES CE QUI EST ÉTHIQUE NE VOUS PERMET PAS DE DIRE QUE
VOUS N'ENGENDREZ PAS LE MAL :
L'ESPÉRANCE EST LA NOTION DE L'INFINI ET DES CONSCIENCES. CE NÉANMOINS QUI FÉCONDE LES RÉCONFORTS ET TOURMENTE LES IDÉES.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @USApoRusski
LA FRANCE EST UNE POLYNÉSIE MULTICONTINENTALE : IL FAUT RÉTABLIR DES DESTINATIONS PERTINENTES
ET INTELLIGENTES !
ÊTRE EN NOS PRINCIPES DE SECOURISMES POUR RÉTABLIR L'EAU POTABLE ET
EN RÉNOVANT LES HOPITAUX : ÊTRE DANS LA VIGILANCE ENVIRONNEMENTALE ET EN L'ÉTHIQUE MÉDICALE !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @iranema2017
UNE BARRIÈRE DANS LA RUE OU LES AYANTS DROITS SE DÉVOILENT PAR DES CERTITUDES SUR LE TEMPS !
ON CROIT ÊTRE DANS UNE AFFIRMATION DE LOGIQUE DEVANT UNE DÉCISION QUI FRAPPE UN ASPECT DE L'HEURE SANS PERCEVOIR LE CONCEPT DE PARTAGE DE L'AMÉNAGEMENT DE CETTE RUE DU TCHAD !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @PDChina
L'ADAGIO DE PARTAGE DE LA PIÉTONNISATION DE LA RUE RÉCLUSANE POUR LES ENFANTS ET LES FAMILLES :
CELA EST UNE COHABITATION RÉELLE DES RIVERAINS, DES AMBULANCIERS, DES OUVRIERS ET DES LIVRAISONS EN LA PÉRIODE SCOLAIRE :
L'EMPLOI DU TEMPS, L'URGENCE ET L'ÉTHIQUE SCOLAIRE !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @Forsan_UAE et @MohamedBinZayed
L'ASCENSION ...?
CELUI QUI NE CHERCHE PAS, FINIT PAR TROUVER PAR MÉGARDE !
L'INSTINCT EST EN L'INSTANT ET L'ESPACE D'UNE SOURIS A L'INFINI D'UN IMAGINAIRE :
LA SOURCE EST LA SITUATION ET LE SOUFFLE DU
COMPORTEMENT FINIRA PAR DÉVOILER, EN LE TEMPS, SA FACULTÉ DE PERCEPTION !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @LCI et @agindre
TRIOMPHE ÉVANOUI FAIT PLACE AUX ORGUEILS DE LA GLOIRE EN DES TERMES DU PRINCIPE :
LE SIGNIFIANT NE SE PRÉNOMME PLUS, IL SE CONSOMME EN L'ENCENS BÉNI CAR
LA VOLUPTÉ DE SON ÉPHÉMÈRE SE CONSTRUIT EN LA RICHESSE ÉTABLIE SUR SES MENSONGE SUR LES PRINCIPES ET LES RAISONS :
NAVIRES.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @WhiteHouse
CAMARADES ET COMPAGNONS !
LA PRÉHISTOIRE AUX LUEUR DES ESPÉRANCES, LES PEUPLES SE COMBATTIRENT COMME LES CONQUÉRANTS ET LES DYNASTIES, LES COLONS ET LES AMERINDIENS :
CHACUN AYANT FOI DE LEURS LIBERTÉS EN OUBLIANT L'ESPÉRANCE DE L'AUTRUI EN DES CONQUÊTES ET DES CONVERSIONS ?
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @YaelBRAUNPIVET @baerbelbas et 2 autres personnes
PRIMORDIALE ET FONDAMENTALE SONT LA CIRCONSTANCE QUI EST LA RAISON ET LE LIEU QUI SE TROUVE ÊTRE LA SITUATION !
LE TERME SE RETROUVE DANS L’ÉLÉMENT PRIMORDIAL ET LE FONDAMENTAL UNIVERS.
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE DEMEURE DANS LE DROIT ET L’ÊTRE D'OÙ LE GLAIVE ET LA BALANCE.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @vpecresse @FdeMazieres et 8 autres personnes
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE QUI SOIGNE LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES :
LES ORPHELINES, LES TRANSPORTS ET LE PHARE !
SES LUMIÈRES ONT BESOIN D'UNE BOUGIE ET D'UNE BOUTEILLE D'EAU POUR RÉCHAUFFER LA SOLITUDE ET LE VIF SANS SOUILLÉ L'ÉTHIQUE
DE L'EXISTENCE ET DES ÉVOLUTIONS !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @RussiaUN
LES FEMMES ET LES HOMMES NE VEULENT NI LA SUPÉRIORITÉ ET NI LES ÉLOGES : LEURS PAROLES DÉSIRANT L'ÉGALITÉ DES LOIS DANS LES MARIAGES, LA LOI, LA CROYANCE ET LA NATION !
EN L'ÉCRIN DU SOUFFLE, L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE EST LA CONSCIENCE : LA NATURE SAUVAGE ET L’ÉTHIQUE.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @lesRepublicains @philippejuvin et @franceinfo
CAMARADES ET COMPAGNONS,
ON OUBLIE LA CONDITION PAYSANNE EUROPÉENNE QUI FUT MISE EN ESCLAVAGE PAR
LES IMPÔTS ET LES ESPRITS :
UN PASSAGE PIÉTON N'EST PAS UN ROND POINT.
CE GENRE DE MESSAGE SE RETROUVE SUR LES MURS, DANS LES MUSÉES, DANS LES EXPRESSIONS
ET EN LES RONDS POINTS.
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
En réponse à @pmofa
LA RÉACTIVITÉ EST DU DOMAINE DE LA JUSTICE :
NON À L'ESCLAVAGE,
OUI À LA GRÉVE,
NON À LA TORTURE MORALE ET PHYSIQUE,
OUI À L’HYGIÈNE,
NON À LA PAUVRETÉ,
OUI À LA PRESSE,
NON AU VIOLS,
OUI À L'AUTONOMIE,
NON À L'INSULTE ET AUX PARJURES,
NON AUX OUTRANCES, OUI AUX TÉMOIGNAGES.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 28 min
En réponse à @AssembleeNat @yannickneuder et 2 autres personnes
DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET LA CASERNE JACQUES VION
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t959-dame-amandine-nietzsche-rimbaud-et-la-caserne-jacques-vion
CE QUI DISTINGUE PIERRE MESSMER DE FRANÇOIS ASSELINEAU
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1459-ce-qui-distingue-pierre-messmer-de-francois-asselineau
LA RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE SUBSAHARIENNE ET L'ESPACE SIDÉRAL
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1455-la-republique-algerienne-subsaharienne-et-l-espace-sideral
COMPAGNON TIGNARD YANIS !
TAY

DÉFENDS-TOI, BEAUTÉ VIOLENTE DE JEAN-PAUL MICHEL
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1457-defends-toi-beaute-violente-du-compagnon-jean-paul-michel
LA NASA ET LA VILLE DE SENS
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1456-la-mission-de-la-nasa-au-groenland-et-la-ville-de-sens
RÉINDUSTRILISATION : COMMENT BATIR DES USINES SANS BÉTONNER
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1458-reindustrilisation-comment-batir-des-usines-sans-betonner
DE PIERRE MESSMER, MEMBRE POSTHUME PERPÉTUEL DES RÉPUBLICAINS !
TAY

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 17 min
En réponse à @kryeministriaal @ediramaal et 2 autres personnes
DÉFENDS-TOI, BEAUTÉ VIOLENTE DU COMPAGNON JEAN-PAUL MICHEL QUAND L'INVITATION RENCONTRE LA CURIOSITÉ !
EN LA RÉALITÉ SAUVAGE AUQUEL L'IMAGINABLE ET LE FRAGILE SE RENCONTRENT EN LES TROIS CORNEILLES DANS LE SERMENT DES GOÉLANDS :
LES TENTES ET LES SECOURISMES EN MA MÉTROPOLE.
TAY

DÉFENDS-TOI, BEAUTÉ VIOLENTE DANS LES RURALITÉS ET LES URBAINS TOUT COMME TE L'ONT APPRIS LOUIS BONNET, JOSÉ BADIE D'ARCY,
GEORGES GAUZELIN ET RAYMONDE GUESDON :
DE LA RUE JUSQU'EN LA RÉALITÉ DISTINGUE EN LE PRÉFET DES TERRITOIRES ET DANS LE PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE !
TAY

L'ÂME ET LE TÉMOIGNAGE EN AINSI EST LA NATURE FACE AUX TEMPS ET LA NAISSANCE FACE AUX RÉALITÉS :
LE SOUFFLE ET LE VIF SAUVAGE EN LE CHAOS ?
UNE AGONIE EN L'INSOMNIE DE LA TERREUR OÙ LA SOLIDARITÉ INDIQUE LA SOURCE :
LIBÉREZ VOUS DES PROTECTEURS ET DES MAFIAS !
TAY

LE PHARE VOIT LES NUANCES ET GARDE SES SENTIMENTS SUR DIEU OÙ TELLE UNE PRIÈRE, JE DEMEURE L'INCONNU ET LE VERTIGE CAR CETTE LUEUR VERS LE CYCLONE OÙ UN SILLAGE DE GRAIN DONNE LE RÉVÉLATEUR D'UNE TERRE FERTILE :
L'ATTRIBUT ET L'EXISTENCE DES NOTES RYTHMIQUES QU'EST L'INFINI !
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
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