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 Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive

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Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive Empty
MessageSujet: Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive   Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive EmptyVen 29 Sep à 8:04

Le martyre des lévriers Galgo en Espagne

Les courses de lévriers sont vivement dénoncés notamment dans un documentaire d'Irene Blanquez diffusé en 20142 et par certaines associations (Solidarité Lévrier)[Lesquelles ?]. Les perdants sont systématiquement éliminés2, proportionnellement à leurs performances, pendus (appelée « technique du pianiste » : le chien est pendu long ou court selon ses performances pour résister plus ou moins longtemps à l'étranglement, prenant appui sur ses pattes arrières), jetés au fond d'un puits, empoisonnés, abandonnés sans pouvoir s'échapper (retenus), affamés, amputés, traînés derrière une voiture jusqu'à ce que mort s'ensuive, vendus comme appâts de pêche, utilisés comme cibles vivantes pour le tir, comme proie pour des combats de chiens type pitbulls7,8. Plusieurs dizaines de milliers d'entre eux sont ainsi sacrifiés tous les ans. En Espagne, le galgo est traditionnellement élevé pour la chasse dans le milieu rural (galgueros). Chaque année, des concours de chasse au lièvre (« carreras el campos ») sont organisées dans différentes régions. Les lévriers sont lâchés en couples, le vainqueur est celui qui attrape le lièvre. Le vainqueur final est fêté fièrement avec ses maîtres, de stades en stades.

La législation sur le droit des animaux en vigueur dans ce pays sont très rarement appliquées2 (il a fallu attendre 2013 pour qu'une première condamnation soit prononcée2) envers les propriétaires. La fierté du chasseur dont le(s) chiens n'a/n'ont pas chassé à hauteur des exigences du propriétaires autoriserait ce dernier à punir son chien ou ses chiens en le(s) torturant et en lui/leur imposant la mort qu'il choisit2.

La protection du galgo

De plus, le statut de ce chien est quasi nul en Espagne. Ce chien est considéré comme une sorte d'outil pour les chasseurs et ne dispose pas d'un statut le protégeant comme les autres animaux de compagnie. Il en résulte que, chaque année, des milliers de ces chiens sont non seulement abandonnés, mais souvent suppliciés, mutilés et tués par leurs maîtres en toute impunité. De nombreuses associations françaises (ex: soligalgos, la voix des lévriers ou lévriers sans frontières) luttent contre ce qu'elles considèrent comme une barbarie en menant des campagnes de sensibilisation, en influant pour faire changer la législation et surtout en proposant à l'adoption des galgos de tous âges9.

De plus en plus d'Espagnols s'insurgent contre ces pratiques cruelles et souhaitent que les galgueros soient sanctionnés quand ils maltraitent leurs chiens[réf. nécessaire]. En 2014, un article du Monde consacré à ces pratiques citait la réalisatrice Irene Blanquez selon qui « Il semble que dans les cercles people avoir un lévrier devienne à la mode. Les médias commencent à s'intéresser un peu au sujet, et, en voyant le succès de mon documentaire, je crois que la société est surtout prête à changer cette situation. »2

Le sort des lévriers des Canaries, appelés podencos canario, est identique.

Etymology

Borrowed from Latin lapsus.
Pronunciation

IPA(key): /ˈlæpsəs/

Le lévrier espagnol, ou galgo espagnol (« galgo español ») est un lévrier communément utilisé pour la chasse, en particulier la chasse au lièvre en terrain découvert, mais aussi le lapin, le renard et même le sanglier1. La Fédération cynologique internationale l'a répertorié dans le groupe 10, lévriers, section 3, standard no 285.

Bien que le galgo compte peu de naissances en France et d'inscriptions au LOF (16 en 2005), plusieurs centaines de ces lévriers venant d'Espagne sont adoptés chaque année dans ce pays, ainsi qu'en Belgique et en Suisse2.

Description

Le galgo a une belle musculature et une silhouette élégante, soulignée par une tête fine et allongée, un poitrail profond, un ventre bien levretté et un long fouet tombant en faucille au repos.

Son allure typique est, par nature, le galop. Le trot doit être allongé, rasant, élastique et puissant.

Il existe deux variétés de galgos :

l'une à poil serré, très fin, court, lisse, réparti sur toute la surface du corps, jusqu'aux espaces interdigitaux. Légèrement plus long à la partie postérieure des cuisses ;
l'autre, appelée « barbudo », à poil dur mi-long - mais cette longueur peut varier - toujours réparti uniformément sur tout le corps. Le galgo barbudo porte souvent barbe et moustaches, il a des sourcils très fournis et un toupet sur la tête.

Toutes les couleurs sont admises mais les nuances suivantes sont considérées comme les plus typiques, par ordre de préférence :

fauve et bringé (couleur claire, avec des rayures noires et parfois des taches blanches) plus ou moins foncé ;
noir ;
tacheté noir, foncé et clair ;
alezan brûlé :
cannelle ;
jaune ;
rouge ;
blanc ;
avec marques blanches et pie.

Le chiot galgo est comme tous les chiots débordant d'énergie. Cependant, avec la maturité, il devient un chien réservé, à l'attention tournée vers ses maîtres, sérieux, joueur sans s'imposer, affectueux. Il sait se montrer protecteur et dissuasif sans tomber dans l'agressivité. Il s'attache à son maître pour mieux se calquer sur son activité. Il voyage très bien en voiture.

Le galgo a été élevé pour la chasse et part au moindre gibier aperçu. Lorsque le lien au maître a eu lieu, il revient sans problème après une course effrénée. Il a besoin chaque jour de promenade et de cavalcade pour revenir au calme de la maison. Il dévoile un caractère double : posé à la maison et explosif à l'exercice.
Soins et santé
Galgos sur une fresque à l'ermitage mozárabe de San Baudilio.

À ce jour aucune maladie génétique n'a été répertoriée chez le galgo. Il est robuste et rustique.

Le galgo à poil ras doit être brossé une fois par semaine, les sujets de la variété à poil dur doivent l'être plus souvent. Les bains ne doivent pas être trop fréquents3.

Le galgo, apte à poursuivre du gibier sur de longues distances, a un important besoin d'exercice. Il doit pouvoir sortir régulièrement et courir à sa guise, suffisamment longtemps dans des lieux ne comportant aucun gibier.

Le galgo comme tous les lévriers a développé des aptitudes particulières et possède une physiologie différente des autres races de chien. Sa masse graisseuse plus réduite influe sur l'absorption, le stockage et l'élimination des produits anesthésiants. Certains produits tels que le pentotal ou les thiobarbituriques ne doivent pas être administrésLien 1. Il est recommandé de suivre des protocoles anesthésiques spécifiques aux lévriers.

Histoire

Le galgo est un lévrier très ancien. L'étymologie de son nom prouve ses origines celtes. Le mot galgo provient du nom canis gallicus donné par les Romains au vertragus (ou ouertragoï), compagnon des Celtes qui avaient colonisé la partie occidentale de la péninsule Ibérique. Canis gallicus deviendra gallicus puis galgo. Selon Xavier Przezdjiecki4, « galgo et vertragus sont le prolongement du lévrier d'Asie introduit en Occident par les Celtes ». Le podenco, descendant du tesem égyptien, a sans doute aussi participé à l'évolution du galgo espagnol.

Au Moyen Âge espagnol et contrairement à la France ou à l'Angleterre, le galgo appartenait aussi bien aux paysans, qu'aux bourgeois et aux nobles. Il était toutefois le favori des grands d'Espagne5.
Galgos chassant près des chevaux - La Partie de chasse, Goya.
Les Chasseurs dans la neige, Pieter Brueghel l'Ancien.

François Ier, qui fut emprisonné en Espagne à la suite de sa défaite lors de la bataille de Pavie, reçut de la part de Charles Quint comme compagnon d'isolement un galgo.

Aux XIXe siècle et XXe siècle, les Espagnols ont croisé le galgo avec le greyhound aux fins d'accroître sa rapidité à la course. Mais par la suite, les éleveurs ont orienté leur sélection de manière à revenir au plus près du type originel.
Art

Plusieurs artistes ont peint le galgo, notamment :

Velázquez ;
Pieter Brueghel l'Ancien - Chasseurs dans la neige (1565) ;
Francisco de Goya - La partie de chasse (1775).

Sport

En Espagne, le galgo est utilisé pour :

la chasse sans fusil, qui est autorisée et encore pratiquée de nos jours (contrairement à la France, où cette technique est interdite depuis la loi du 3 mai 1844) ;
des épreuves sportives :
el Campo - deux galgos sont jugés sur la poursuite d'un lièvre vivant,
la Lievre mecanica - course derrière un leurre mécanique,
en Canadromo - course en cynodrome (tombé en désuétude).

En France, il peut participer :

aux épreuves de courses sur cynodromes ou racing ;
aux poursuites à vue sur leurre (PVL) ou coursing, compte tenu de son passé de chasseur, ces épreuves sont très bien adaptées pour le galgo. Légèrement plus lent mais de constitution plus robuste que le Greyhound3, il est nettement plus agile et plus persistant pour ce type d'épreuve6.

Les courses de lévriers galgos
Galgo (mâle) bringé

https://www.infoplease.com/dictionary/lapsus

Notre association a pour mission le sauvetage et l'adoption des lévriers-galgos espagnols, mais aussi des croisés, principalement chiens de chasse, qui subissent les mêmes maltraitances (pendaisons, mutilation, coups) sans bénéficier de la même notoriété.

(Association loi 1901,déclarée le 19/05/07, R.N.A W471000414)

Perdu dans la campagne à plusieurs kilomètres de la ville, au milieu des pins et des champs de blé, Cuencanimal est un vaste refuge qui recueille, soigne et protège une centaine de chiens. Des chiens perdus ou abandonnés par des maîtres sans scrupule; des chiens rescapés des sévices et de la cruauté d’humains inhumains. Tous naufragés de la vie, tous des miraculés…

Des Galgos bien sûr, ces magnifiques lévriers espagnols utilisés pour la chasse aux lièvres et concours de chasse où les faibles et les perdants sont systématiquement tués et suppliciés : pendus long ou court pour résister plus ou moins à l’étranglement, jetés au fond d’un puits, empoisonnés, affamés jusqu’à la mort, amputés, "oubliés" dans un terrain vague museau et pattes ficelés, traînés derrière une voiture, vendus comme appâts de pêche ou comme cibles vivantes pour le tir. Leur agonie, la plus lente possible, doit laver le déshonneur de leur Galguero. Parfois, ils sont lâchement abandonnés dans la nature où ils tenteront alors de survivre sans eau ni nourriture. Ils meurent la plupart du temps après des jours ou des semaines d’errance. Les plus chanceux seront peut-être repérés par des âmes charitables : ce ne sont alors que des ombres faméliques, sauvages et apeurées.

Des Podencos aussi, au sort guère plus enviable : simples instruments utilisés pour la chasse, ils ne bénéficient pas non plus comme les Galgos du statut d’animal domestique. Ce sont donc des centaines de chiots qui naissent chaque année pour approvisionner « les stocks » avant la saison de chasse et presque autant d’adultes qui seront éliminés lorsque cette dernière est terminée.

Enfin, il y a tous ces autres que l'on nomme Croisés, plus ou moins racés, plus ou moins grands, plus ou moins vieux, plus ou moins beaux, plus ou moins « mal fichus », aucun ne se ressemble mais tous ont la même histoire: trouvés errants dans un village à la recherche de nourriture ou attachés sur le bord d'une route ...

Ce qui frappe d’abord quand on arrive à Cuencanimal, c’est la vitalité des pensionnaires ! Dans le grand patio d’entrée, nous sommes accueillis et littéralement assaillis par une horde de chiens fougueux et très curieux de faire notre connaissance, des amours de chiens qui se donnent à nous sans méfiance, quémandant caresses et contacts dans un concert d’aboiements joyeux. Un pur moment de bonheur 😉 Et puis l’on découvre des dizaines de regards doux, parfois encore un peu farouches ou distants mais pour la plupart apaisés ; car quand on n’a connu que la misère de la rue et la méchanceté de l' Homme, les conditions de vie ici sont merveilleuses : de grands espaces pour de longues récréations, des chenils couverts pour des siestes à l’abri, des niches bien étanches, des paniers et des couvertures pour des nuits chaudes, une gamelle remplie à heures régulières et de l’eau renouvelée tous les jours . Et surtout les gestes calmes, les caresses, les paroles douces, l’amour, la patience et le dévouement de Marie Josée, responsable du refuge et de Gonzalo, fidèle bénévole régulier. Véronica est l’autre responsable mais elle n’a pu aider le temps de notre séjour à cause d’une tendinite à l’épaule. Car il en faut de la patience et de la volonté pour rendre ces chiens traumatisés à nouveau confiants. Après le signalement d’un chien errant, il faut parfois plusieurs semaines pour approcher l’animal apeuré et réussir à le capturer. Marie Josée m’a raconté avoir passé une fois toute une nuit à attendre la venue d’un chien, nourri à heures régulières sur le même site pendant plusieurs semaines, et finalement « pris » par ruse au petit matin. Elle l’a baptisé Nocha en souvenir de cette nuit interminable à guetter dans le froid et l’obscurité…

Une fois au refuge, viennent les premiers soins chez le vétérinaire, puis le long travail de réadaptation et sociabilisation : il faut apprendre à s’approcher sans crainte de la main des soigneurs, apprendre à rentrer seul dans son chenil, apprendre à se détendre, apprendre à jouer, et un peu plus tard apprendre à marcher en laisse. Cela nécessite du temps et exige de la régularité et de la constance dans les soins, des encouragements à répétition, un climat serein, de la douceur et de la bienveillance…

La journée au refuge commence à 9 heures et elle est réglée comme du papier à musique. D'abord les soins et traitements médicamenteux, puis Marie Josée s’occupe des enclos particuliers : l’infirmerie où séjournent blessés, convalescents et nouveaux venus "en quarantaine", et les grands enclos des chiens isolés car encore peu sociables ou agressifs envers leurs congénères. Puis, les portes des chenils sont ouvertes et les chiens sont libres de se défouler dans trois grands patios de récréation. C’est alors pour Marie Josée et Gonzalo l’éternel recommencement du fastidieux travail de nettoyage. Été comme hivers, sept jours sur sept, il faut racler et ramasser les excréments, balayer les poils, la terre, et « lessiver » une cinquantaine de grands chenils en ciment dont certains ont un sol très rugueux, une centaine de niches et autant de gamelles et seaux d’eau. Secouer et plier les couvertures; remplir à nouveau les seaux d’eau. Il n’y a pas l’électricité, ici au milieu des pins ; l’eau est puisée dans un puits grâce à un générateur, il faut donc l’économiser. Depuis que Véronica est absente, Marie Josée et Gonzalo assurent seuls ces tâches ingrates. Parfois ils sont aidés de bénévoles irréguliers. Parfois Marie Josée est seule…Mais l’ambiance est toujours bonne. Malgré les aboiements, le climat est serein, agréable. Marie Josée et Gonzalo ne crient jamais. Ils ne font jamais non plus de mouvement brusque. Dans leurs allers et venues, ils n’oublient pas de caresser le chien qui les suit pas à pas, d’encourager celui qui s’approche tous les jours un petit peu plus d'eux, ou de lancer la "bellota" à cet autre qui ne pense qu’à jouer. Bien sûr, il manque du temps pour prolonger ces petits moments de bonheur ; aussi quand le travail s’accomplit plus vite grâce à de l’aide extérieure, alors ils prennent le temps de brosser, câliner et caresser davantage. Vers 14 heures, tous les chenils sont enfin propres. Marie Josée et Gonzalo appellent chaque chien. Presque tous rentrent d’eux même, chacun connait son « chez soi » et son colocataire de chenil. Le rituel est tous les jours le même. Certains Galgos se tiennent encore un peu à distance, alors Marie Josée s’approche et leur passe une laisse tout en douceur pour les accompagner. Elle les encourage systématiquement et les félicite : « Muy bien ! »... Il me semble encore l’entendre 😉. Puis vient la distribution de croquettes et elle est, encore une fois, très méthodique : toujours dans le même ordre, ration adaptée à chaque corpulence, gamelle posée à l’intérieur de chaque niche. Je n’ai jamais vu deux chiens se disputer la nourriture.

Il fait très chaud… Il reste encore un peu de rangement, et à charger les sacs d’excréments dans la voiture pour les emmener à la décharge. Les aboiements s’estompent, les chiens observent les derniers mouvements, s’installent sur les toits plats et inclinés des niches. Ils savent que Marie-Josée, Gonzalo et les bénévoles vont bientôt partir et ne reviendront que le lendemain matin.

Alors, chacun peut s’endormir paisiblement et rêver, qui sait, à un nouveau foyer.

Rêver à une nouvelle vie dans une vraie famille et une vraie maison. Peut-être…

Rêver aux nouveaux maîtres qui offriront la vie choyée tant méritée…Enfin !

Nous souhaitons remercier vivement Marie José et Gonzalo pour leur accueil chaleureux. Ce sont vraiment des gens formidables. Marie Josée est une fille épatante, naturelle, dévouée, passionnée, travailleuse, efficace… qui aime les animaux et « ses » chiens par-dessus tout. Nous avons partagé avec beaucoup de plaisir leur quotidien au sein de ce premier refuge et aidé du mieux que nous avons pu: Gioacchino et Andrea à quelques travaux de bricolage, Lucien et Ève aux caresses, papouilles et lancers de balles, moi au nettoyage des chenils et remplissage des gamelles 😉. Nous avons énormément appris...Des vacances différentes, certes, mais une très belle expérience humaine.

Merci également à Isabelle qui nous a orientés vers Cuencanimal, et à l’association Galgos France qui aide le refuge et œuvre pour l’adoption des chiens.

LA VIERGE ARTÉMIS ÉVOLUA DANS SA TEMPÉRANCE: ARCAS ET ORION SONT DEUX GRANDS AMOURS DE LA
DÉESSE-FEMME et TAY La chouette effraie EST UN VEILLEUR-AMANT DE SA RÉPUBLIQUE...

La légende de la Grande Ourse se confond avec le triste destin de la nymphe Callisto.

Dans la mythologie grecque, Callisto (en grec ancien « la plus belle ») est une nymphe d'une très grande beauté. Son ascendance est incertaine, et certaines versions en font la fille de Lycaon (roi d'Arcadie) ou de Nyctée (fils de Poséidon). Elle était l'une des suivantes d'Artémis (déesse de la chasse), qui avait exigé d'elle qu'elle fasse vœu de chasteté.

Zeus, maître des dieux et père d'Artémis, s'éprit d'elle et, comme il le faisait souvent pour mener à bien ses conquêtes féminines, il inventa une ruse pour la séduire. Un jour que la jeune nymphe était étendue sous un arbre, il s'approcha d'elle déguisé en Artémis. Callisto ne se méfia pas et...se retrouva enceinte !
Elle chercha à cacher son état à Artémis, qui ne supporterait pas, de la part d'une de ses suivantes, cette infraction aux règles de la chasteté. Mais un jour que Callisto se baignait dans la rivière, la déesse la surprit et découvrit la vérité.
Artémis entra alors dans une violente colère et la menaça de ses flèches redoutables, insensible au fait que Zeus pût être le principal coupable.
Celui-ci, inquiet pour la nymphe et l'enfant qu'elle portait, la transforma en ourse et la cacha dans la montagne.
Plus tard, Artémis, lors d'une de ses longues courses, aperçut l'ourse et lui décocha une flèche. Callisto mourut et Hermès, dépêché par Zeus, recueillit son enfant, un garçon nommé Arcas.
Zeus, ému par le sort de la nymphe, la transforma en la constellation de la Grande Ourse. selon certains
Arcas rejoignit plus tard sa mère sous les traits de la Petite Ourse.
Diane et Callisto, par Titien (v. 1488-1490)
Héra, femme de Zeus et jalouse de toutes les conquêtes de son divin mari, alla persuader le dieu de la mer, Poséidon, de ne pas recevoir en son sein l'Ourse Callisto.

Depuis, la Grande Ourse tourne autour du pôle sans jamais pouvoir se coucher dans les eaux de l'océan...

mais Arcas grandit dans l'art de la chasse et un jour, dans une nuit chassant dans la foret, il aperçoit une silhouette
d'un animal terrifiant. Une ourse qui n'est que sa mère transformait par Héra. Il va la tuer mais Zeus apercevant que arcas
puisse commettre irréparable le foudroie pour ainsi porter sa malédiction. Zeus le transporte alors dans les cieux et pour
échapper au regard de Héra les transporte au Superamas Local. Le Superamas Local contient des douzaines de petits amas de galaxies comme le Groupe Local. Tout le Superamas Local est centré sur l’amas de galaxies géant de la Vierge, situé à 50 millions d’années-lumière de la Voie Lactée dans L’amas de la Vierge possède en son centre une super galaxie « cannibale », appelée M87, qui attire et absorbe ses galaxies voisines.

Un jour, Héra le découvrit et plaida auprès du Destin pour qu'ils puissent l'attrait des rêveries humaines et des poètes

ainsi

la Grande Ourse (Ursa Major) qui est une des constellations les plus connues du ciel boréal, comprend dix-neuf étoiles plus brillantes que la magnitude 4 (voir explication ici). Les sept étoiles principales, connues sous le nom de la Grande Casserole ou encore du Chariot de David, forment, ce qu'on appelle, un astérisme.
Au Royaume-Uni, on l'appelle the Plough (la charrue), aux États-Unis d'Amérique, the Big Dipper (la grande cuillère), en Scandinavie, Karlavagen (le wagon de Charles, probablement Charlemagne) et dans l'astronomie hindoue, Sapta Rishi (les sept sages).

Orion et Les lévriers Galpos: 2018, années des Chiens.

Ecrit du
Citoyen Tignard Yanis
Alias
TAY
La chouette effraie



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MessageSujet: Re: Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive   Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive EmptyVen 29 Sep à 8:16

α2 Canum Venaticorum (Cor Caroli) et Ursa Major

La Grande Ourse est circumpolaire à nos latitudes : de la France, elle est visible tout au long de l'année, quelle que soit l'heure ou la saison, tout comme la constellation de Cassiopée, de Céphée, du Dragon ou de la Petite Ourse, bien sûr.
Toutes ces constellations semblent tourner autour d'une étoile centrale, Polaris ou l'Étoile Polaire...

Les deux étoiles, Merak et Dubhe, se trouvant dans la Casserole sont appelées les "Pointeurs", car la ligne qui les relie pointe vers Polaris.

Noms des étoiles principales de la Grande Ourse


La bien nommée Grande Ourse


L'étoile du milieu de "la queue" de l'Ourse est particulière. Regardez-la attentivement... Vous allez bientôt discerner, non pas une, mais deux étoiles !
Il s'agit de Mizar, la plus brillante, et de son compagnon Alcor. Les distinguer à l'œil nu était d'ailleurs un défi traditionnel d'acuité de vision dans plusieurs cultures.
Mais il ne s'agit que d'un double visuelle, et non d'un vrai système d'étoiles doubles tournant l'une autour de l'autre, comme il en existe des quantités dans l'univers. Non, ces deux étoiles sont très éloignées l'une de l'autre mais situées presque dans le même axe, d'où l'illusion d'optique...
Mizar (sans Alcor) est, elle, un système stellaire complexe de quatre étoiles : deux couples d'étoiles (l'un orbitant en 20,5 jours, l'autre en 180 jours) tournent l'un autour de l'autre. Elle tient une place de tout premier rang dans l'histoire des étoiles doubles : Mizar avec son cavalier Alcor est une étoile double visuelle connue depuis des temps immémoriaux, c'est la première double télescopique (Mizar A et B, découverte par Giovanni Riccioli en 1650), la première double photographiée (par G. P. Bond en 1857).

Remarquez aussi, à la base des trois pattes de l'Ourse, ses trois griffes, chacune formée de deux étoiles...
En automne, ces trois "griffes" se trouvent juste à l'horizon. On dit qu'elles griffent la terre et la font saigner.
Ce qui explique...la couleur rouge que prennent les feuilles en cette saison !

AINSI, ARCAS ET ORION DISENT :


What is a Galgo?

The Spanish greyhound, or galgo, is one of the most persecuted dog breeds. Galgos are used to hunt hares in the Spanish countryside. They spend their lives in damp, tiny, dirty holes or windowless shacks deprived of daylight, exercise and affection. They are typically fed only water and stale bread. At the end of the hunting season, countless are disposed of or abandoned.

Sadly, the galgo's native land still views it as a second-class animal and few Spaniards will own them as pets. They are bred carelessly and used for hunting by galgueros (galgo handlers). At the end of the hunting season in Spain, the galgos deemed worthless or too costly to maintain are destroyed in a variety of inhumane ways — including being hanged, dumped into abandoned wells, shot, and even burned to death.

The lucky ones are rescued by a handful of shelters in Spain, operated by dedicated individuals. Almost all of the resources to help the dogs come from outside of Spain, namely the US, UK, Belgium, Denmark, France, Holland and Germany.

There are a handful of Spanish shelters dedicated to saving the galgos and other unwanted animals of Spain. Although more and more galgueros are willing to give their unwanted dogs to the shelters, the abuse and torture of galgos continues. Organizations like GRIN are dedicated to the welfare of the Spanish galgo and sighthounds worldwide, and assist the Spanish shelters with adoption, veterinary care, and fundraising.
The History of the Galgo

Many theories exist as to the lineage of the Spanish galgo — it is a sighthound mix, possibly Irish greyhound and sloughi or deerhound. The galgo is an ancient breed, named for the Gauls, a Celtic tribe that lived in the Iberian Peninsula the sixth century BC. It is thought that the Celts, who appreciated fine hunting dogs, acquired sighthounds from the Phoenician merchants who plied the Spanish coasts. The Moors, who conquered Spain in the eighth century, may have bred African sighthounds with Spanish galgos. Most of the galgos used for hunting today are mixed with Irish racing greyhounds or other breeds to produce a fast coursing dog.

Originally brought to Spain by noblepersons, the galgo was held in high esteem. After decades of theft and indiscriminate breeding by the lower classes, the galgo lost its favor and was — and still is — viewed as a "trash dog," owned only by the lower classes. The galgo was bred for hunting and coursing and is an elegant sighthound. The unscrupulous breeding brought with it beautiful variations in color, coat and size. The coats range from short hair (like that of a greyhound), to varying degrees of long and wirehair coats, as seen in the Scottish deerhound and other sighthounds. The galgo is a sighthound similar to the racing greyhound, although they are generally smaller. The purebred Galgo Español is 44-70 pounds and stands 23-29 inches at the shoulder.

Like all sighthounds, the galgo is fast and agile. They tend to be very playful and have more energy than their racing counterparts. Although some have a high prey drive, many live peacefully with cats. Galgos generally do best living with others dogs as they are used to living in close quarters with others of their breed. They are capable of jumping fences and must always be leashed when outside an enclosed area. Due to lack of socializing and positive experiences with people when young, galgos can be leery of people at first. However, they bond strongly with their adoptive families and the emergence of their comical personalities is a wonderful experience!
What Happens to the Galgos?

Sadly, the life of the galgo is far from glorious. Galgos who have outlived their usefulness are often hung from trees, shot and dumped into garbage heaps, or thrown alive into deep abandoned wells. The fortunate ones are the dogs whom the hunters, or galgueros, take to one of the country's few sanctuaries.

Fortunately for the galgos and other animals of Spain, these shelters take in the unwanted, abused, used-up animals and provide them with shelter, food, and the hope of a forever home. These refuges are few and far between and most of them rely entirely upon donations — typically from persons and organizations outside of Spain.

CELUI QUI LES CONSEILLE DANS LA NUIT ET QUI FAIT PEUR AUX BRACONNIERS:

M97 (parfois appelée nébuleuse du Hibou) est une nébuleuse planétaire située dans la constellation de la Grande Ourse, découverte, elle aussi en 1781.
La distance entre cette nébuleuse et le système solaire est relativement incertaine, les estimations variant entre 1300 et 8000 années-lumière.
La masse totale de la nébuleuse est d'environ 0,15 masse solaire, tandis que l'étoile centrale (de magnitude apparente +16) aurait une masse de 0,7 masse solaire.
Son âge est estimé à 6000 ans.
L'apparence visuelle de M97 est très complexe, et donc difficile à analyser. On pense généralement que la nébuleuse dans son ensemble aurait une forme de « tore cylindrique » (un peu comme un globe auquel on aurait retiré les pôles), et qui serait vue depuis la Terre de façon oblique : de cette façon, les deux « trous » des extrémités, qui sont en fait des régions beaucoup plus pauvres en matière, formeraient les « yeux » du hibou, par transparence.

CELUI QUI A SURVÉCU AUX PROJECTS BLAIRS WITCHES.

MESSAGE DE
TAY LA CHOUETTE EFFRAIE
ET DONT L’IDENTITÉ EST:
MONSIEUR TIGNARD YANIS
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MessageSujet: Re: Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive   Le martyr des lévriers Galgo, Orion d'Artémis et Radioactive EmptyVen 29 Sep à 8:28

LES LIENS D’AMITIÉS ENTRE LE SCORPION ET ORION
SOUS LE REGARD DE TAY LA CHOUETTE EFFRAIE

La Grande Ourse est la troisième constellation du ciel par son étendue. Elle contient la « grande casserole » (ou « grand chariot »), l'un des astérismes les plus connus de l'hémisphère nord. Faisant partie des 48 constellations identifiées par Ptolémée, elle est très facilement reconnaissable par la forme de casserole que composent ses sept plus brillantes étoiles. La Grande Ourse est une constellation circumpolaire pour les observateurs situés au-dessus de 41° de latitude Nord et elle ne semble jamais se coucher. En grec, le mot ours se dit arktos, qui a donné le nom d'Arctique.

la QUEUE DE L'OURSE

ALKAID ( benetnash)
MIZAR ET ALCOR
ALIOTH

ET SA GUEULLE

MEGREZ      -      DUBHE

PHEKDA       -      MERAK

Repérages à partir de la constellation

Ces étoiles particulièrement visibles sont utiles pour trouver d'autres étoiles importantes, la grande casserole jouant le rôle d'un véritable poteau indicateur céleste.

   Une méthode très connue permet de déterminer l'emplacement de l'étoile polaire (α Ursae Minoris) : en traçant la ligne des Gardes de la Grande Ourse, prolongée dans le sens Merak-Dubhe d'une distance égale environ à cinq fois la distance entre ces deux étoiles, on tombe sur l'Étoile polaire après une trentaine de degrés.
   Dans l'autre sens, en prolongeant la ligne de Dubhe à Merac, cet alignement passe d'abord par ψ UMa après ~10°, puis par ν UMa (premier saut de la Gazelle, et patte avant de l'Ourse) après encore ~10°, et après un dernier saut de ~10° on tombe sur Zosma (δ Leo) (visible sur l'illustration). La paire d'étoiles qui forme la patte avant est pratiquement dans cet alignement, ce qui permet de confirmer son identification.
   Si l'on part du bord intérieur de la casserole, on peut suivre l'alignement Megrez (δ UMa) Phecda (γ UMa). Cet alignement passe également par ψ UMa après ~10°, puis après ~15° sur une étoile plus faible entre les deux premiers sauts de gazelle, qui est Praecipua (46 Leonis Minoris). En continuant cet alignement on tombe dans le Lion), d'abord sur γ Leo (visible sur l'illustration) et dans son prolongement sur Régulus, après un parcours total de ~45°.
   Dans l'autre sens, le même alignement Phecda (γ UMa) Megrez (δ UMa) traverse les gardiennes de la Petite Ourse, puis les pieds du Dragon, et arrive finalement dans l'axe des ailes du Cygne.
   Une autre méthode de repérage très connue consiste à suivre la courbe de la queue de la casserole en tournant à gauche suivant un arc de cercle vers α Bootis (Arcturus), puis de continuer sur la même distance et avec la même courbure jusqu'à α Virginis (Spica).
   Dans l'autre sens, la diagonale de la casserole qui passe par Megrez (δ UMa) et Merak (β UMa) se prolonge à travers θ UMa et la paire d'étoiles qui marque le troisième « saut de la Gazelle » (ι et κ UMa), et l'extrémité de la constellation. Au-delà, dans le même alignement, on tombe sur une petite étoile du Lynx (sans intérêt particulier), et après ~30° dans le même prolongement on tombe sur Castor et Pollux (un peu à droite de l'axe), des Gémeaux, et toujours dans le même alignement Rigel puis Bételgeuse de la constellation d'Orion.
   Le « dos » de la Grande Ourse forme un alignement entre Megrez (δ UMa) et Dubhe (α UMa), qui se prolonge à travers 23 UMa et ο UMa (extrémité de la constellation, sur la « fesse » de l'Ourse). Cet alignement se prolonge à travers le Lynx sur une trentaine de degrés pour tomber sur Capella du Cocher.
   Dans l'autre sens, l'alignement du « dos » de Dubhe (α UMa) à Megrez (δ UMa) passe par Alkaid (η UMa), le « nez » de l'Ourse, traverse la tête du Bouvier et permet de repérer Gemma dans la Couronne boréale.
   Si l'on prolonge l'axe Phecda-Dubhe en reportant la même distance, on tombe juste en dessous des deux galaxies M81 et M82 (pas toujours facile à trouver autrement).



Moyen-Orient

Une version arabe raconte que la constellation représente le cercueil d'un père tiré par ses trois filles (le rectangle que forment les quatre étoiles représente son cercueil). Elles le portent depuis la nuit des temps et essaient de rattraper son assassin (La Petite Ourse). Le jour où elles attraperont l'assassin, ce sera la fin du ikhan.
Extrême-Orient (Inde, Chine, Japon)

Dans l'astronomie hindoue, on l'appelle aussi Sapta Rishi (les sept sages), et en persan, Haft Awrang (les sept trônes).

En Chine, les Prêtres taoïstes avaient pour habitude de prier les esprits et les divinités représentés par les constellations et les étoiles comme la Grande Ourse, et en astronomie chinoise, ses sept étoiles principales correspondent à l'astérisme Beidou, un des plus anciens astérismes utilisés (hormis les loges lunaires, dont l'orientation était utilisée pour suivre le cycle des saisons.

Au Japon, la Grande Ourse est nommée « Louche du Nord » 北斗 (hokutô), et dans le Japon médiéval, chacune des sept étoiles de la grande Ourse portait un nom traditionnel, noms souvent hérités eux-mêmes de la Chine ancienne :

   « Pivot » 樞 (sû) désigne Dubhe (Alpha Ursae Majoris)
   « Superbe jade » 璇 (sen) désigne Merak (Beta Ursae Majoris)
   « Perle » 璣 (ki) désigne Phecda (Gamma Ursae Majoris)
   « Autorité » 權 (ken) désigne Megrez (Delta Ursae Majoris)
   « Baguette de mesure en jade » 玉衡 (gyokkô) désigne Alioth (Epsilon Ursae Majoris)
   « Ouverture du yang » 開陽 (kaiyô) désigne Mizar (Zeta Ursae Majoris)

Enfin, Alkaid (Eta Ursae Majoris) porte à elle seule plusieurs noms traditionnels : « Sabre » 劍 (ken) (forme abrégée de « Extrémité du sabre » 劍先 (ken saki) ), « Lumière scintillante » 搖光 (yôkô), ou encore « Étoile de la défaite militaire » 破軍星 (hagun sei), car se diriger en direction de cette étoile était censé être de mauvais augure pour une armée3.
Amérique du Nord

Certains Amérindiens d'Amérique du Nord (Algonquins, Micmacs, Narragansetts, Cherokees) considèrent aussi ce groupe d'étoiles comme une ourse poursuivie par trois chasseurs. Il semblerait que la Grande Ourse ait été liée au mythe d'une chasse cosmique depuis le Paléolithique supérieur au moins, ce qui expliquerait la présence de cette croyance à la fois en Eurasie et en Amérique du Nord. Le proto-récit aurait pris la forme d'un cervidé poursuivi jusqu'au ciel par un chasseur, et s'y transformant en constellation4 .

Aux États-Unis, son surnom actuel est the Big Dipper (la grande cuillère).

Europe

La Grande Ourse est à l'origine du terme « septentrional » : les Romains appelaient cette constellation septem triones c'est-à-dire « les sept bœufs de labour » qui tournent toujours autour du nord. Au Royaume-Uni, on l'appelle the Plough (la charrue), en Scandinavie, Karlavagen (le wagon de Charles, probablement Charlemagne), en Bretagne Karr kamm (chariot tordu), Karr Arzhur (le chariot du roi Arthur) ou Lost-arar (le bout de la charrue).

L'ours se dit arctos en grec, d'où le nom de cercle arctique qu'on donnait au cercle des étoiles circumpolaires toujours visibles (l'astronome Geminos assignait comme limite à ce cercle, « le pied de devant de la Grande Ourse »), et le terme Arctique qui désigne la région entourant le pôle Nord de la Terre2.

Observation des étoiles
Constellation de la Grande Ourse.
Visibilité nocturne de la constellation.

La Grande Ourse est une des constellations les plus connues, une de celles que l'on apprend généralement à reconnaître en premier dans l'hémisphère nord. Sept étoiles ressortent nettement parmi les autres et forment la Casserole(ou le Chariot). Cette formation en casserole est visible toute l'année dans les villes situées au-dessus de 40° de latitude nord ; à titre indicatif New York, Rome et Pékin sont très proches de cette latitude. Pour les villes situées plus au sud, la Casserole disparaît sous l'horizon pendant l'automne.
Repérage de la constellation
Guide pour déterminer l'étoile polaire et α Bootis (Arcturus) à partir de la Grande Ourse.

La « grande casserole » se repère par observation directe. Dubhe (α UMa), Merak (β UMa), Phecda (γ UMa), Megrez (δ UMa), Alioth (ε UMa), Mizar (ζ UMa) et Alkaid (η UMa) forment l'un des astérismes les plus connus : la « Casserole » (ou parfois, le « Chariot », ou encore la « Cuillère ») de la Grande Ourse. Cet astérisme est tellement caractéristique et brillant que Johann Bayer partit du bout (Dubhe) et le remonta (Alkaid) pour désigner les étoiles de la constellation, au lieu de les classer par magnitude comme il avait l'usage de le faire.
Forme de la constellation

Un autre astérisme provient de la culture arabe. Il s'agit des « sauts de la gazelle », une série de trois paires d'étoiles :

   Alula Borealis (ν UMa) et Alula Australis (ξ UMa), le « premier saut » ;
   Tania Borealis (λ UMa) et Tania Australis (μ UMa), le « deuxième saut » ;
   Talitha Borealis (ι UMa) et Talitha Australis (κ UMa), le « troisième saut ».

Ces étoiles se trouvent le long de la frontière sud-ouest de la constellation, les « orteils » de l'Ourse.
Mizar et Alcor

Mizar (ζ UMa) est l'étoile du milieu dans la série des trois qui forment le « manche » de la casserole. Elle est connue pour posséder un compagnon — Alcor (80 UMa) — qui est discernable à l'œil nu (on peut le deviner sur l'illustration). Pouvoir les distinguer était d'ailleurs un défi traditionnel d'acuité de vision dans plusieurs cultures, Gengis Khan en aurait fait l'un des critères de sélection de ses archers5.

Alioth (ε Ursae Majoris)
Article détaillé : Alioth.

Alioth (ε UMa), vers le milieu de la queue de la « casserole », est l'étoile la plus brillante de la constellation de la Grande Ourse et la 34e de la voute céleste.

Alioth est une étoile blanche distante de 81 années-lumière, environ quatre fois plus grande que le Soleil et trois fois plus massive. Son type spectral indique qu'il s'agit d'une étoile particulière (A0p) : elle présente certaines régions de son atmosphère enrichies en certains éléments (oxygène, europium, chrome, etc.) tandis qu'ils sont en déficit dans d'autres zones. Alioth est classée dans la catégorie des étoiles variables de type α2 Canum Venaticorun, dont α2 Canum Venaticorum, ou Cor Caroli, en est en effet le prototype).
Dubhé (α Ursae Majoris)
Article détaillé : Dubhé.

Dubhé (α UMa), la deuxième étoile de la constellation, est une supergéante orange, environ 30 fois plus grande que le Soleil. C'est également une étoile double car elle possède un compagnon distant de vingt-trois ua qui orbite autour d'elle en quarante-quatre ans. Plus loin, à 9 000 ua, se trouve un autre système binaire.
Mizar (ζ Ursae Majoris)
Article détaillé : Mizar.

Mizar (sans Alcor) est un système stellaire complexe de quatre étoiles : deux couples d'étoiles (l'un orbitant en vingt jours et demi, l'autre en cent-quatre-vingt jours) tournent l'un autour de l'autre. Elle tient une place de tout premier rang dans l'histoire des étoiles doubles : Mizar avec son cavalier Alcor est une binaire visuelle connue depuis extrêmement longtemps [réf. nécessaire]. C'est aussi la première étoile double télescopique découverte, (Mizar A et B, découverte par Giovanni Riccioli en 1650), et la première double photographiée (par G. P. Bond en 1857), et Mizar Aa et Ab, la première binaire spectroscopique (annonce faite par Edward Charles Pickering en 1889).
Autres étoiles

Merak, Phecda, Megrez, Alioth et Mizar, toutes les cinq des étoiles chaudes de classe A, font partie d'un groupe d'étoiles distant d'environ quatre-vingt années-lumière et se déplacent de concert dans l'espace. Ce groupe d'étoiles s'appelle le courant d'étoiles de la Grande Ourse
Objets célestes

Plusieurs galaxies se trouvent dans la Grande Ourse, dont la paire M81 (l'une des plus brillantes galaxies du ciel) et M82 au-dessus de la « tête » de l'Ourse, M101, une belle galaxie spirale au nord-ouest d'Alkaid (η UMa) et les galaxies spirales M108 et M109. La constellation contient environ cinquante galaxies, dont la plupart ont une magnitude supérieure à 10, et ne sont donc pas visibles sans instrument.

On y trouve également la nébuleuse planétaire M97.
Notes et références

   ↑ Ovide, Métamorphoses, II, 409-530. [archive]
   ↑ Béatrice Bakhouche, Les textes latins d'astronomie: un maillon dans la chaîne du savoir, Éditions Peeters, 1996, p. 129
   ↑ Le « Bansenshūkai », écrit en 1676 par le maître ninja Fujibayashi Yasutake, consacre plusieurs passages à ces étoiles, et montre une représentation traditionnelle de la Grande Ourse au centre de la voûte céleste, dans son cahier 8, volume 17, consacré à l’astronomie et à la météorologie (Traduction d’Axel Mazuer)
   ↑ d'Huy Julien, Un ours dans les étoiles: recherche phylogénétique sur un mythe préhistorique [archive], Préhistoire du sud-ouest, 20 (1), 2012: 91-106; A Cosmic Hunt in the Berber sky : a phylogenetic reconstruction of Palaeolithic mythology [archive], Les Cahiers de l'AARS, 15, 2012.
   ↑ Astrodéfis, Éditions Publibook, 2008, p. 113

Désignation
Nom latin Ursa Major
Génitif Ursae Majoris
Abréviation UMa
Observation
(Époque J2000.0)
Ascension droite Entre 119,5° et 216,25°
Déclinaison Entre 29° et 73,5°
Taille observable 1 280 deg2 (3e)
Visibilité Entre 90° N et 30° S
Méridien 20 avril, 21h00
Étoiles
Brillantes (m≤3,0) 6 (ε, α, η, ζ, β, γ)
À l’œil nu 216
Bayer / Flamsteed 92
Proches (d≤16 al) 3
La plus brillante Alioth (1,76)
La plus proche Lalande 21185 (8,29 al)
Objets
Objets de Messier 7 (M40, M81, M82, M97, M101, M108, M109)
Essaims météoritiques Alpha ursa majorides
Léonides-ursides
Constellations limitrophes Bouvier
Chevelure de Bérénice
Chiens de chasse
Dragon
Girafe
Lion
Lynx
Petit Lion


ELLE OBSERVE AVEC CHALEURS LES GALGOS OU Chiens de chasse.

Les Chiens de chasse sont une petite constellation boréale sans étoile particulièrement brillante.

Histoire
Les Chiens de chasse dans l'Uranographia de Johannes Hevelius.

Cette constellation a été introduite par Johannes Hevelius en 1687 pour combler un vide à l'ouest de la Grande Ourse. D'après lui, ils représentent les chiens du Bouvier « Chara » et « Astérion ».
Étoiles
Constellation Chiens de chasse
Visibilité nocturne de la constellation.

Située « sous le nez » de la Grande Ourse, la constellation est réduite à deux étoiles de magnitude inférieure à 4,5 et n'a rien de très spectaculaire à l'œil nu. Alpha2 Canum Venaticorum (α2 Canum Venaticorum / Cor Caroli) est facilement identifiable, c'est l'étoile brillante (MV=2,89) isolée située à 15° plein Sud du « manche » de la Grande Casserole. On repère assez facilement Beta Canum Venaticorum (β CVn) (MV=4,24), située à environ 5° au nord-ouest de α2 CVn.
Étoiles principales

Article détaillé : Liste d'étoiles des Chiens de chasse.

α2 Canum Venaticorum (Cor Caroli)

L'étoile la plus lumineuse de la constellation des Chiens de chasse est α2 Canum Venaticorum, qui porte le nom traditionnel de « Cor Caroli », elle n'est que de troisième magnitude apparente (MV=2,89). Son nom signifie « le Cœur de Charles » en latin en l'honneur du roi Charles II d'Angleterre. L'étoile α de la constellation est une étoile binaire regroupant en fait deux composantes séparables à la jumelle (19"): α1 et α2. Alpha 1 est de loin la moins lumineuse (MV=5,61). Les deux étoiles sont distantes de plus de 30 années-lumière.

α2 CVn est une étoile blanche et variable qui possède un champ magnétique très intense (1 500 fois celui du Soleil) et son spectre montre des raies riches en silicium, en mercure et en europium. Elle est le modèle des variables du type « Variable de type Alpha2 Canum Venaticorum ».
β Canum Venaticorum (Chara)

Beta Canum Venaticorum est également nommée « Chara », du grec ancien χαρά qui signifie « la joie ». Avant que α2 CVn ne soit baptisée « Cor Caroli », c'est elle qui portait le nom de « Chara » et β CVn s'appelait « Astérion ».

Y CVn, également nommée « La Superba », est une étoile variable qui passe de MV=4,8 à MV=6,3 en 160 jours principalement, car d'autres périodes s'y superposent, ce qui en fait une variable semi-régulière. Il s'agit d'une supergéante rouge, dont le diamètre contiendrait l'orbite de Mars.

RS CVn est une binaire à éclipses paradigme d'une classe d'étoiles variables binaires à chromosphères actives, les variables de type RS Canum Venaticorum.
Objets remarquables

La constellation contient cinq objets du catalogue Messier : quatre galaxies (M51, M63, M94 et M106) et un amas globulaire (M3).

L'objet le plus lumineux de la constellation des Chiens de chasse est l'amas globulaire M3 qui est d'ailleurs parmi les plus brillants du ciel avec une magnitude de 6,3.

La constellation contient également plusieurs galaxies, dont la Galaxie du Tourbillon (M51), une galaxie spirale qui est visible par le dessus, c'est la première dont on ait reconnu la structure spirale (Lord Rosse, 1845), la Galaxie du Tournesol (M63), M94 et M106.

Désignation
Nom latin Canes Venatici
Génitif Canum Venaticorum
Abréviation CVn
Observation
(Époque J2000.0)
Ascension droite Entre 180,0° et 210,5°
Déclinaison Entre 28,5° et 53,0°
Taille observable 465 deg2 (38e)
Visibilité Entre 90° N et 40° S
Méridien 20 mai, 21h00
Étoiles
Brillantes (m≤3,0) 1 (α2 CVn)
À l’œil nu 63
Bayer / Flamsteed 21
Proches (d≤16 al) 0
La plus brillante α2 CVn / Cor Caroli (2,89)
La plus proche ? (? al)
Objets
Objets de Messier 5 (M3, M51, M63, M94, M106)
Essaims météoritiques Canes vénaticides
Constellations limitrophes Bouvier
Chevelure de Bérénice
Grande Ourse

Constellations
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Les Fables de Nagalïéw et L'Univers de Minouska...


La Légende du rossignol du Japon et des poignards Volants de TAY La chouette effraie.
pour Xiao Mei et Vent.

Le rossignol du Japon résonne à travers tous les continents du monde
depuis que son lien d'amitié est établis avec Merlin, le rouge-gorge du Népal.
Son chant est si mélodieux qu'il peut briser le cristal...

L'oiseau dans le Japon, réveillez l’âme de la nature...;
il était seul, ce rossignol du Japon...
Il a exprimé un chant de renouveau et d'espoir sur les différents triangles...

L'oiseau tout comme les dragons a su traversé par lui même les mers
mais sans la force de l'hirondelle, ne put traverser l'Océan.
Alors, des marins de L'île Yagishiri les aidèrent à traverser les rives du grand bleu.

Rossignols du Japon, au coeur des marins, se chagrinaient de l'Ile et de ses Iles...
Pourtant. ils traversaient avec ses ailes propageant le monde
de son chant mélodieux car le rossignol était devenu pluriel par ses traversées.

Et puis, les cages apparurent dans l'île de sakhaline où les samouraïs
recherchaient leurs vertus thérapeutiques: Le chants du Soleil Levant ou Le pays.
Ces oiseaux furent attrapés et entreposaient dans des prisons de métaux.

La légende TAY La chouette effraie raconte que les Rossignols du Japon,
ces oiseaux aux chants de mélodies et de berceuses, ont séduit l'oreille des civilisations:
Et, Cela n'a pas été au gout de Tous car étant enfermés dans des cages..

ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
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