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 Le communisme dans les gouvernements.

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yanis la chouette




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MessageSujet: Le communisme dans les gouvernements.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyDim 13 Nov à 4:46

Le communisme français n'est ni aimé du socialisme, de la droite et de l'extréme gauche.

Les radicaux de Gauche qui sont une formation moins puissante que le P.C.F
se voit attribuer le role de grand allié par les socialiste dans les gouvernement de la gauche plurielle que les communistes français.

Et pourtant, nombreux de communistes auraient pu être ministre de la ville,
ministre des affaires étrangéres, voir garde des sceaux et de la justice.

Mais le socialisme a peur des communistes d'où ces retournement de situation dans les alliances dans la période Mittérandienne et sous le gouvernement Jospin.

A part feu le General De Gaulles aucun homme de droite inclua des communistes dans ces gouvernements: Voilà la réalité de ce parti depuis la quatrième République.
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MessageSujet: réponse.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyDim 13 Nov à 4:55

Je pense que pour 2007; aucun socialiste n'est crédible pour une alliance
regroupant la gauche plurielle et pourtant la gauche devra vivre: Cela n'implique aux communistes français de sacrifier le PCF...

Moi en ce qui me concerne pour la Droite; je crois que beaucoup ne peuvent accepter que Chirac est certainement le meilleur canditat: Plus crédible que l'UMP, que l'UDF, que le FN, que le PS...

Mais d'aprés moi en 2007 en ce qui concerne les législatifs, le seul adversaire crédible contre la droite s'est le P.C.F de Marie georges Buffet
mais une fois de plus le véritable adversaire du communisme n'est pas la droite: Ce sont les Enarques.

Citoyennes, citoyens...
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MessageSujet: 2007.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyJeu 21 Juin à 8:06

Il y a du rouge dans les gouvernements de droite et Nicolas Sarkozy a conforté mes théses et théories.
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MessageSujet: L'Homme invisible.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyMar 20 Jan à 7:22

Il n'est pas le vent,
il n'est pas le temps,
mais il se croise: demande le Sphinx.

L'homme qui coure et qui marche;
celui qui rêve en se rasant et qui se fait
entendre de jour comme de nuit: réponds la chouette effraie.

Yanis la chouette.

Ps: Qui est donc cet Homme invisible:1 Hamlet ou Romeo
2 Juppé ou Sarkozy
3 Hollande ou Jospin
4 Personne ou Ulysse

A vous d'y pensez et d'y réfléchir pour ces années à venir.

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MessageSujet: Re: Le communisme dans les gouvernements.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyVen 1 Juil à 8:48

La bataille de la Somme désigne une confrontation opposant les Britanniques et les Français aux Allemands en 1916, dans le nord de la France, lors de la Première Guerre mondiale, dont ce fut l'une des batailles les plus sanglantes.

Conçue en décembre 1915, par Joffre, commandant en chef des armées françaises, l'offensive de la Somme dut être amendée du fait du déclenchement de la bataille de Verdun, le 21 février 1916. Foch fut chargé par Joffre de sa mise en œuvre. Les Français, qui devaient fournir l'effort principal, durent, en fin de compte, le confier aux Britanniques.

Ce fut la première offensive conjointe franco-anglaise de la Grande Guerre. Les forces britanniques lancèrent là leur première opération d’envergure, et tentèrent avec les troupes françaises de percer à travers les lignes allemandes fortifiées sur une ligne nord-sud de 45 km proche de la Somme, dans un triangle entre les villes d'Albert du côté britannique, Péronne et Bapaume du côté allemand.

Il s'agit de l'une des batailles les plus meurtrières de l'histoire (hors victimes civiles), avec parmi les belligérants environ 1 060 000 victimes, dont environ 442 000 morts ou disparus. La première journée de cette bataille, le 1er juillet 1916, fut, pour l'armée britannique, une véritable catastrophe, avec 58 000 soldats mis hors de combat dont 19 240 morts.

La bataille prit fin le 18 novembre 19163. Le bilan fut, sur le plan militaire, peu convaincant. Les gains de territoires pour les Alliés furent modestes, une douzaine de kilomètres vers l'est tout au plus, le front ne fut pas percé. Les combats usèrent les adversaires, sans vainqueurs ni vaincus.

La bataille de la Somme se singularise, cependant, par deux innovations :

sur le plan militaire, par l'utilisation, pour la première fois sur un champ de bataille, d'une arme nouvelle, le char d'assaut ;
par l'utilisation du cinéma à des fins de propagande. Pour la première fois, un film, La Bataille de la Somme, saisit une grande partie des horreurs de la guerre moderne en incluant des images tournées lors des premiers jours de la bataille.

Ces événements furent également couverts par des photographes et peintres, comme François Flameng, peintre officiel des armées françaises, dont les nombreux croquis et dessins de ces événements parurent dans la revue L'Illustration.

La mémoire collective des Français n'a pas gardé trace de la bataille de la Somme tandis que celle-ci tient une large place dans la mémoire collective des Britanniques, des Canadiens, des Australiens et des Néo-Zélandais. Le 1er Juillet est une journée de commémoration sur les principaux lieux de mémoire du Commonwealth dans le département de la Somme de même que l'ANZAC Day, le 25 avril.
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MessageSujet: Re: Le communisme dans les gouvernements.   Le communisme dans les gouvernements. EmptyMer 6 Juil à 3:01

La métaphysique est pour Descartes le fondement de toutes les sciences. Il illustre sa conception du rapport entre les connaissances humaines par cette image :
« Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale, j'entends la plus haute et la plus parfaite morale, qui, présupposant une entière connaissance des autres sciences, est le dernier degré de la sagesse. Or comme ce n'est pas des racines, ni du tronc des arbres, qu'on cueille les fruits, mais seulement des extrémités de leurs branches, ainsi la principale utilité de la philosophie dépend de celles de ses parties qu'on ne peut apprendre que les dernières. »
Le mécanisme des tourbillons
En ce qui concerne le mouvement des planètes, Descartes exclut une action à distance du Soleil, cette idée ne reposant à l'époque sur aucun fondement rationnel. Par ailleurs, comme nous l'avons vu ci-dessus, il s'oppose à l'existence du vide. Il énonce donc que le mouvement des planètes est dû à de grands tourbillons d'éther remplissant l'espace et qui les emportent et les maintiennent sur leurs trajectoires. Cette théorie ne permettait cependant pas de faire des calculs prévisionnels. Elle influença néanmoins les scientifiques français de la fin du xviie au début du xviiie siècle15. Incompatible avec la théorie de la gravitation newtonienne qui se développe dans la deuxième moitié du xviie siècle, elle contribua à ralentir l'introduction de la mécanique newtonienne en France. Les cartésiens voyaient en effet dans l'attraction universelle de Newton une tentative d'introduction de force occulte dans une science qu'ils voulaient purement mécaniste. La publication en 1687 des Philosophiae Naturalis Principia Mathematica de Newton amena certes Huygens, en grande partie cartésien et qui voyait dans les anneaux de Saturne une preuve de l'existence des tourbillons, à changer d'opinion. Il écrivait ainsi en 1690 : Je n'avais point étendu l'action de la pesanteur à des si grandes distances, comme du Soleil aux planètes, ni de la Terre à la Lune, parce que les tourbillons de Monsieur Descartes qui m'avaient autrefois paru fort vraisemblables, et que j'avais encore dans l'esprit, venaient à la traverse. Mais c'est seulement dans les années 1730-1760 que des personnalités comme Maupertuis, Clairaut ou Émilie du Châtelet, contribuèrent à faire définitivement adopter la mécanique newtonienne en France, malgré une ultime tentative de Fontenelle, qui publiait en 1752 une Théorie des tourbillons cartésiens avec des réflexions sur l'attraction.
La physique
La physique de Descartes est exposée dans le Monde (1633). Il ne publia pas cet ouvrage à cause de la condamnation de Galilée. Cette partie de sa pensée sera publiée dans les Principes de la philosophie (1644). Il présente ainsi ses intentions au début du Monde :
« Et mon dessein n'est pas d'expliquer […] les choses qui sont en effet dans le vrai monde ; mais seulement d'en feindre un à plaisir, dans lequel il n'y ait rien que les plus grossiers esprits ne soient capables de concevoir, et qui puisse toutefois être créé tout de même que je l'aurai feint." (Le Monde, AT, XI, 36).
Le Monde a donc un aspect fictif et se présente comme des hypothèses :
« [...] bien que le monde n'ait pas été fait au commencement en cette façon, et qu'il ait été immédiatement créé de Dieu, toutes les choses qu'il contient ne laissent pas d'être maintenant de même nature, que si elles avaient été ainsi produites […] »
La physique cartésienne est fondée sur l'identification de la matière avec la quantité géométrique (materia vel quantitas). Il évacue ainsi du monde physique les formes substantielles et les qualités de la scolastique : la pesanteur et le mouvement sont ramenés à une explication mécaniste. La notion de force, et a fortiori d'action à distance, n'apparaît pas chez Descartes. Sa description du monde est essentiellement cinématique, le mouvement se transmettant de proche en proche par contact. L'Univers, dans lequel le vide n'existe pas, est donc rempli de substance animée et de tourbillons. Toute action occulte étant exclue dans ce mouvement, celui-ci doit être conservé dans sa totalité, par le pouvoir conservateur de Dieu. Si un corps perd du mouvement, il le transmet à un autre. En l'absence d'interaction, un corps poursuivra indéfiniment son mouvement. Il s'agit du principe d'inertie, déjà présent chez Galilée, mais clairement affirmé par Descartes. Au sein de ce système, la théorie des chocs joue un rôle particulier. C'est elle qui est en effet susceptible de permettre des calculs prévisionnels de mouvement. Elle se révélera malheureusement fausse, et la physique cartésienne se heurtera violemment à la physique newtonienne dans la deuxième moitié du xviie et le début du xviiie siècle. Si la première se base sur des principes métaphysiques, mais ne permet pas d'effectuer des calculs prédictifs, la seconde donne un accord remarquable entre calculs et résultats expérimentaux, mais les cartésiens lui reprochent de ne fournir aucune explication sur la nature des forces introduites. Au cours du xviiie siècle, les savants continentaux se rallieront à la physique newtonienne.
Pourtant, dans un monde non établis et en formation, l'aspect de Tourbillon peuvent être imaginer mais par la force de la matiére et de son évolution, elle conduit au mécanisme de Newton: Un Tourbillon autre que celui de Descartes mais en observant les climatismes, la matière engendre des Tourbillons. Exemple, la tache rouge de Jupiter
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