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 La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca

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yanis la chouette




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MessageSujet: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyLun 19 Déc à 10:03

La Vache-Noire

La Vache-Noire est le nom d'un carrefour d'Arcueil, au sud de Paris en Île-de-France sur la D920 (anciennement RN 20). Ce carrefour est éponyme du quartier qui l'entoure et du récent centre commercial ouvert en 2007.

La Vache-Noire est aussi un carrefour de Trappes dans les Yvelines1.

Sommaire

1 Le carrefour de la Vache-Noire
1.1 Origine du nom
1.2 Un des plus importants projets d'aménagement en Île-de-France des années 2000
2 La représentation de la vache noire (en bois)
3 Les deux ZAC
3.1 La ZAC de la Vache-Noire
3.1.1 Objectif
3.1.2 Fin des barres HLM
3.2 La ZAC des portes d'Arcueil
3.2.1 Objectif
3.2.2 Le centre commercial
4 Le jardin du centre commercial
5 Le quartier de la Vache-Noire, chanté par Renaud
6 Compléments
6.1 Liens internes
7 Voir aussi
7.1 Liens externes
8 Notes et références

Le carrefour de la Vache-Noire
Origine du nom

L'origine du nom de ce carrefour a donné lieu à plusieurs interprétations. On l'a longtemps attribuée au train qui faisait halte dans ce carrefour : l'Arpajonnais. Sa locomotive, la « Tubize » fumait et crachotait. Les usagers l’avaient surnommée « La Vache-Noire » de par son bruit, sa forme et sa couleur. Ce nom aurait ainsi été donné au carrefour où s’arrêtait l’Arpajonnais, à l’entrée de Montrouge. Cette explication est encore donnée dans quelques documents officiels2,3.

L'origine de ce nom est de fait plus lointaine car on le retrouve sur le plan du cadastre de 1812. Une « auberge de la Vache noire » située en bordure de la « route royale no 20 » est mentionnée dans une ordonnance royale de 1837 portant sur la création d’une nouvelle route « à la sortie d’Arcueil ». Sur les plans de 1812 et de 1859, la mention ne désigne pas l'ensemble du carrefour, mais la bâtisse comprenant trois ailes et une cour, située du côté de la route d'Orléans. Elle désigne en revanche tout le carrefour à partir du plan de 1901. C'est donc bien l’auberge de la Vache noire qui a transmis son nom au carrefour4.
Un des plus importants projets d'aménagement en Île-de-France des années 2000

Le projet d'aménagement du quartier prend sa source en 1995 lorsque le groupe Thomson-CSF décide de vendre les terrains qu'il y occupe depuis de nombreuses années. Il s'agit de l'usine de la société Sintra (Société Industrielle des Nouvelles Techniques RAdioélectriques), devenue Sintra-Alcatel en 1982 et rachetée par Thomson-CSF en 19855, puis rebaptisée Thomson-Sintra Activités sous-marines. À la fin des années 1980, ce site regroupait 3 000 employés6. En 1995, il ne reste plus que 300 employés, le groupe Thomson-CSF décide de transférer l'activité dans son site de Sophia-Antipolis et de fermer le site d'Arcueil7,8.

Sur les terrains laissés vacants par Thomson-CSF, la ville d’Arcueil entreprend alors une démarche volontariste pour aménager tout un nouveau quartier au carrefour de la Vache-Noire. La ville attend de cette opération des retombées considérables : création d’emplois, dynamisme économique, urbanisme et architecture de qualité, animation du quartier et création d’une véritable porte d’entrée de la ville, de l’agglomération et du département ; « Le choix d’un concept architectural ambitieux et innovant permettra d’avoir l’essentiel des galeries du centre commercial enterrées, et c’est le toit en pente inclinée de celui-ci qui servira de socle au parc planté »9.

L'opération est confiée à la société d'économie mixte dédiée à l'aménagement et au développement du Val-de-Marne (SADEV94) ; elle comprend deux zones d'aménagement concerté : la « ZAC de la Vache-Noire » et la « ZAC des Portes d’Arcueil »10.
La représentation de la vache noire (en bois)

Avant les travaux de rénovation du quartier, une vache peinte sur une planche de bois était visible dans le petit square attenant au carrefour11. Cette vache noire est toujours visible sur la page d'accueil du site officiel de la ville d'Arcueil12.
Les deux ZAC
La ZAC de la Vache-Noire
Objectif
Le dinosaure ferme ses paupières

L'objectif de cette ZAC est de transformer un quartier hébergeant des friches industrielles, une barre HLM et un carrefour à fort trafic en un lieu de vie de qualité. Après quelques années de travaux, le carrefour s’est transformé en place, avec en son cœur, une quarantaine de séquoias formant une forêt urbaine. Autour, de nouveaux immeubles ont vu le jour, notamment 350 nouveaux logements, une cité paysagère et des immeubles de bureaux. La barre HLM de la Vache-Noire a été démolie et va laisser la place à de nouveaux logements13.
Fin des barres HLM
Le grignotage de la barre HLM
La ZAC des portes d'Arcueil
Objectif
Le siège social d'Orange
Vue du centre du carrefour
Vue vers la province

Après une phase de démolition en 2003, les travaux ont démarré début 2004 par l'important chantier de terrassement de 18 mètres de profondeur destiné à la construction des futurs parkings. Dès juillet 2004 a débuté la construction de trois immeubles de 45 000 m2 de bureaux occupés par le siège d’Orange France au deuxième semestre 2006. Les travaux de construction des logements ont alors démarré pour se terminer en 200714,9.

La ZAC des Portes d’Arcueil regroupe ainsi des fonctions mixtes sur 7 hectares9 :

un centre commercial d'une superficie de 49 263 m2
90 commerces aux pieds des bureaux (595 m2) et aux pieds des logements (104 m2)
62 607 m2 de bureaux
260 logements, dont 100 en accession privée sur la voie nouvelle est, 80 en accession privée au-dessus du centre commercial, et 80 logements sociaux
une crèche/garderie (288 m2) de 20 berceaux
des espaces verts avec la réalisation d’un parc d’1,5 hectare, et une centaine d’arbres plantés sur le site
2 768 places de stationnement
des équipements publics : extension du groupe scolaire Laplace et restructuration du centre culturel et de loisirs Jean Jaurès, rénovation des bâtiments d’Anis Gras.

Le centre commercial
Le centre commercial

En 2004, le Groupe ING lance un projet : ouvrir un nouveau centre commercial aux portes d'Arcueil, intégré dans ce nouveau quartier rénové. Les travaux commencent en 2005 avec AM Développement France. Le groupe ING installe quelques aménagements pour l'accès en bus ou en voiture, déjà en 2006-2007 avant l'ouverture. La ligne de bus RATP qui a eu le plus d'aménagements est la ligne 323. Une piste cyclable est également aménagée aux abords.

Le promoteur étant néerlandais, le centre commercial a été conçu « à la néerlandaise », c'est-à-dire aux antipodes de l'hypermarché tel que nos enseignes nationales en célèbrent le modèle15.

Le centre commercial a été ouvert au public le 7 septembre 200716. Il comprend 90 boutiques17. et de nombreux restaurants sur quatre niveaux, avec 1 800 places de parking disponibles et ouvertes à tous 24h/24h.
Le jardin du centre commercial
Le jardin attenant au centre commercial

En raison de la topographie du lieu, la toiture du centre commercial propose un jardin ouvert aux mêmes horaires que le centre commercial18.
Le quartier de la Vache-Noire, chanté par Renaud

En 1975, dans la chanson Gueule d’Aminche de son premier album Amoureux de Paname, le chanteur Renaud évoque le quartier de la Vache-Noire :

C'est l'histoire triste et sordide
d'un gigolo d'la Vache-Noire
qu'aimait d'un amour stupide
une bourgeoise des boul'vards.

Compléments
Liens internes
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Voir aussi

Liste des centres commerciaux en Île-de-France

Liens externes

Photos de la ZAC de la Vache-Noire [archive] sur le site de la SADEV94
Photos de la ZAC des Portes d'Arcueil [archive] sur le site de la SADEV94
Photos de la ZAC de la Vache-Noire [archive] sur le site de MADfotos
Centre commercial La Vache Noire [archive] (site officiel)

Notes et références

↑ « Carte postale représentant le carrefour de la vache noire de Trappes » [archive], sur www.communes.com (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Bagneux patrimoine » [archive], sur site de la ville de Bagneux,‎ janvier 2007 (consulté le 2 mars 2010)
↑ Pierrette Cour, Lucie Geeraerts et Armand Thomas, Montrouge et son histoire , 1988, [lire en ligne [archive]]
↑ « La Vache-Noire » [archive], sur site de la ville d'Arcueil,‎ février 2009 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Mémoire d'une aventure industrielle » [archive], sur www.thalespons.com,‎ janvier 2006 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « J'accompagne les entreprises et leurs salariés dans leurs processus de transformation » [archive], sur www.experts.enligne-fr.com,‎ 14 mai 2008 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Menaces de délocalisation de l'entreprise Thomson-Sintra (Arcueil) » [archive], sur site du JORF,‎ 8 mai 1995 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « L’usine Thomson doit rester à Arcueil » [archive], sur site du quotidien L'Humanité,‎ 10 octobre 1995 (consulté le 2 mars 2010)
↑ a, b et c « ZAC LES PORTES D’ARCUEIL : Un des plus importants projet d'aménagement en Ile-de-France » [archive], sur site de la communauté d'agglomération du Val-de-Bièvre (consulté le 2 mars 2010)
↑ « L'Opération des Portes d'Arcueil » [archive], sur site de la SADEV94,‎ 2003 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « La Vache-Noire dans tous ses états » [archive], sur montbouge.info,‎ 29 juin 2005 (consulté le 2 mars 2010)
↑ Page d'accueil du site de la ville d'Arcueil [archive]
↑ « LA ZAC DE LA VACHE NOIRE » [archive], sur site de la SADEV94,‎ 2003 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Les portes d'Arcueil : panorama n°3 » [archive], sur Journal de la SADV94,‎ avril 2005 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Le centre commercial de la Vache-Noire d’Arcueil ouvre ses portes. » [archive],‎ 7 septembre 2007 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « La Vache-Noire : sous le pré, les commerces » [archive], sur site du quotidien Les Échos,‎ 29 mars 2005 (consulté le 2 mars 2010)
↑ « Les boutiques du centre commercial de la Vache-Noire d’Arcueil. » [archive],‎ 9 septembre 2014
↑ « Centre commercial de la Vache-Noire, un cadre exceptionnel. » [archive],‎ 9 septembre 2014

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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyLun 19 Déc à 10:08

LE LAÏC et YAHVÉ DANS LA CONJONCTURE DU CONTEXTE MATÉRIEL
THE INSIDE MAN DANS L’ANNÉE DU DRAGON ET DU TIGRE ou Conjonction de L’ECLIPSE TEMPOREL SUR LE SPIRITUEL et LE MÉTAPHYSIQUE
CHAIYYA CHAIYYA...
https://www.youtube.com/watch?v=GZFrOp5rL_I

La Réception et la Réceptivité...
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/f1-la-cinquieme-republique
http://leclandesmouettes.bbflash.net/f1-le-clans-des-mouettes
Appréciez, c'est comprendre...
Se défoncer à l'oeuvre, c'est travailler !

La douleur est spirituelle, parentale et fraternelle...
La brûlure est corporelle ... C'est ainsi aucune raison, ta chair est sensible et les plantes sont découvertes ou inconnues... Le cerveau a deux aspects : son corps est Homme et son esprit est Herboriste.

Un Cri Court Dans la Nuit, I'am donc Je suis...!

Le plaisir de découvrir et de la science: L'herboriste tout comme l'Homme peuvent sombrer dans le coté obscur de la Science...

Jedis ou Siths ... Engendre et lutte contre la Torture, contre les massacres pour un intérêt, contre l'Esclavage... Sache voir par tes yeux et construit l’architecte qui recevra les "enfants sorciers" telle les Sœurs Emmanuelle et Théresa...

L’Hygiène empêchera les superstitions de naître et Être prudent sans sombrer dans la calomnie.
Percevoir les qualités tout comme les défauts des uns et des autres ! le Caméléon et la mouche
ont des difficultés d'être dans une même pièce alors si la jalousie se remplace par le dédain : méfiance...

Le Grandir... Une vaste expérience de l'age ! Élèves et instituteurs !
La population et les parents !
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Le Revenant

Comme les anges à l’œil fauve,
Je reviendrai dans ton alcôve
Et vers toi glisserai sans bruit
Avec les ombres de la nuit ;

Et je te donnerai, ma brune,
Des baisers froids comme la lune
Et des caresses de serpent
Autour d’une fosse rampant.

Quand viendra le matin livide,
Tu trouveras ma place vide,
Où jusqu’au soir il fera froid.

Comme d’autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l’effroi.

Charles Baudelaire
Les Fleurs du Mal
-----------------------------------------------------------------------------------
Parfum exotique

Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne,
Je respire l’odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ;

Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux ;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne.

Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encor tout fatigués par la vague marine,

Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l’air et m’enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.

Charles Baudelaire
Les Fleurs du Mal
---------------------------------------------------

La paléontologie des atomes peut elles d'étudier dans l'espace !(?). Eh bien oui, par le reflet de la masse, par des variations chimiques et de volumes de l'environnement. Le temps d'une ombre magnétique laisse une empreinte dans la matière et le volume ! Il demeure une empreinte invisible en luminosité mais repérable par une variation chimique ou par une anomalie quelquonque crée par un phénomène antérieure à la composition chimique présente: J'appelle cela une odeur chaotique ou un reflet temporelle.

écrit de
TAY la chouette effraie


Dernière édition par yanis la chouette le Ven 20 Mai à 14:35, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyLun 19 Déc à 10:11

In science, a formula is a concise way of expressing information symbolically as in a mathematical or chemical formula. The informal use of the term formula in science refers to the general construct of a relationship between given quantities. The plural of formula can be spelled either as formulas or formulae (from the original Latin).[1]

In mathematics, a formula is an entity constructed using the symbols and formation rules of a given logical language.[2] For example, determining the volume of a sphere requires a significant amount of integral calculus or its geometrical analogue, the method of exhaustion;[3] but, having done this once in terms of some parameter (the radius for example), mathematicians have produced a formula to describe the volume: This particular formula is:
V = 4/3 π r3

Having obtained this result, and knowing the radius of any sphere in question, we can quickly and easily determine its volume. Note that the volume V and the radius r are expressed as single letters instead of words or phrases. This convention, while less important in a relatively simple formula, means that mathematicians can more quickly manipulate larger and more complex formulas.[4] Mathematical formulas are often algebraic, closed form, and/or analytical.

In modern chemistry, a chemical formula is a way of expressing information about the proportions of atoms that constitute a particular chemical compound, using a single line of chemical element symbols, numbers, and sometimes other symbols, such as parentheses, brackets, and plus (+) and minus (−) signs.[5] For example, H2O is the chemical formula for water, specifying that each molecule consists of two hydrogen (H) atoms and one oxygen (O) atom. Similarly, O−
3 denotes an ozone molecule consisting of three oxygen atoms and having a net negative charge.

In a general context, formulas are applied to provide a mathematical solution for real world problems. Some may be general: F = ma, which is one expression of Newton's second law, is applicable to a wide range of physical situations. Other formulas may be specially created to solve a particular problem; for example, using the equation of a sine curve to model the movement of the tides in a bay. In all cases, however, formulas form the basis for calculations.

Expressions are distinct from formulas in that they cannot contain an equals sign (=).[6] Whereas formulas are comparable to sentences, expressions are more like phrases.

Contents

1 Chemical formulas
2 In computing
3 Formulas with prescribed units
3.1 In science
4 See also
5 References
6 External links

Chemical formulas
H − C | H H | − C | H H | − C | H H | − C | H H | − H {\displaystyle {\ce {H-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-H}}} {\displaystyle {\ce {H-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-{\overset {\displaystyle H \atop |}{\underset {| \atop \displaystyle H}{C}}}-H}}}
The structural formula for butane. There are three common non-pictorial types of chemical formulas for this molecule:

the empirical formula C2H5
the molecular formula C4H10 and
the condensed formula (or semi-structural formula) CH3CH2CH2CH3.

A chemical formula identifies each constituent element by its chemical symbol and indicates the proportionate number of atoms of each element.

In empirical formulas, these proportions begin with a key element and then assign numbers of atoms of the other elements in the compound, as ratios to the key element. For molecular compounds, these ratio numbers can all be expressed as whole numbers. For example, the empirical formula of ethanol may be written C2H6O because the molecules of ethanol all contain two carbon atoms, six hydrogen atoms, and one oxygen atom. Some types of ionic compounds, however, cannot be written with entirely whole-number empirical formulas. An example is boron carbide, whose formula of CBn is a variable non-whole number ratio with n ranging from over 4 to more than 6.5.

When the chemical compound of the formula consists of simple molecules, chemical formulas often employ ways to suggest the structure of the molecule. There are several types of these formulas, including molecular formulas and condensed formulas. A molecular formula enumerates the number of atoms to reflect those in the molecule, so that the molecular formula for glucose is C6H12O6 rather than the glucose empirical formula, which is CH2O. Except for very simple substances, molecular chemical formulas lack needed structural information, and are ambiguous.

A structural formula is a drawing that shows the location of each atom, and which atoms it binds to.
In computing

In computing, a formula typically describes a calculation, such as addition, to be performed on one or more variables. A formula is often implicitly provided in the form of a computer instruction such as.

Degrees Celsius = (5/9)*(Degrees Fahrenheit - 32)

In computer spreadsheet software, a formula indicating how to compute the value of a cell, say A3, is written such as

=A1+A2

where A1 and A2 refer to other cells (column A, row 1 or 2) within the spreadsheet. This is a shortcut for the "paper" form A3 = A1+A2 where A3 is, by convention, omitted because the result is always stored in the cell itself and stating its name would be redundant.
Formulas with prescribed units

A physical quantity can be expressed as the product of a number and a physical unit. A formula expresses a relationship between physical quantities. A necessary condition for a formula to be valid is that all terms have the same dimension, meaning every term in the formula could be potentially converted to contain the identical unit (or product of identical units).[7]

In the example above, for the volume of a sphere, we may wish to compute with r = 2.0 cm, which yields

V = 4 3 π ( 2.0 cm ) 3 ≈ 33.51 cm 3 . {\displaystyle V={\frac {4}{3}}\pi (2.0{\mbox{ cm}})^{3}\approx 33.51{\mbox{ cm}}^{3}.} V={\frac {4}{3}}\pi (2.0{\mbox{ cm}})^{3}\approx 33.51{\mbox{ cm}}^{3}.[8]

There is vast educational training about retaining units in computations, and converting units to a desirable form, such as in units conversion by factor-label.

The vast majority of computations with measurements are done in computer programs with no facility for retaining a symbolic computation of the units. Only the numerical quantity is used in the computation. This requires that the universal formula be converted to a formula that is intended to be used only with prescribed units, meaning the numerical quantity is implicitly assumed to be multiplying a particular unit. The requirements about the prescribed units must be given to users of the input and the output of the formula.

For example, suppose the formula is to require that V ≡ V O L t b s p {\displaystyle V\equiv \mathrm {VOL} ~{\mathbf {tbsp}}} V\equiv \mathrm {VOL} ~{\mathbf {tbsp}}, where tbsp is the U.S. tablespoon (as seen in conversion of units) and VOL is the name for the number used by the computer. Similarly, the formula is to require r ≡ R A D c m {\displaystyle r\equiv \mathrm {RAD} ~{\mathbf {cm}}} r\equiv \mathrm {RAD} ~{\mathbf {cm}}. The derivation of the formula proceeds as:

V O L t b s p = 4 3 π R A D 3 c m 3 . {\displaystyle \mathrm {VOL} ~{\mathbf {tbsp}}={\frac {4}{3}}\pi \mathrm {RAD} ^{3}~{\mathbf {cm}}^{3}.} \mathrm {VOL} ~{\mathbf {tbsp}}={\frac {4}{3}}\pi \mathrm {RAD} ^{3}~{\mathbf {cm}}^{3}.

Given that 1 t b s p = 14.787 c m 3 {\displaystyle 1~{\mathbf {tbsp}}=14.787~{\mathbf {cm}}^{3}} 1~{\mathbf {tbsp}}=14.787~{\mathbf {cm}}^{3}, the formula with prescribed units is

V O L ≈ 0.2833 R A D 3 . {\displaystyle \mathrm {VOL} \approx 0.2833~\mathrm {RAD} ^{3}.} \mathrm {VOL} \approx 0.2833~\mathrm {RAD} ^{3}.[9]

The formula is not complete without words such as: "VOL is volume in tbsp and RAD is radius in cm". Other possible words are "VOL is the ratio of V {\displaystyle V} V to tbsp and RAD is the ratio of r {\displaystyle r} r to cm."

The formula with prescribed units could also appear with simple symbols, perhaps even the identical symbols as in the original dimensional formula:

V = 0.2833 r 3 . {\displaystyle V=0.2833~r^{3}.} V=0.2833~r^{3}.

and the accompanying words could be: "where V is volume (tbsp) and r is radius (cm)".

If the physical formula is not dimensionally homogeneous, and therefore erroneous, the falsehood becomes apparent in the impossibility to derive a formula with prescribed units. It would not be possible to derive a formula consisting only of numbers and dimensionless ratios.
In science

Formulas used in science almost always require a choice of units.[10] Formulas are used to express relationships between various quantities, such as temperature, mass, or charge in physics; supply, profit, or demand in economics; or a wide range of other quantities in other disciplines.

An example of a formula used in science is Boltzmann's entropy formula. In statistical thermodynamics, it is a probability equation relating the entropy S of an ideal gas to the quantity W, which is the number of microstates corresponding to a given macrostate:

S = k ⋅ log ⁡ W {\displaystyle S=k\cdot \log W\!} S=k\cdot \log W\! (1) S= k ln W

where k is Boltzmann's constant equal to 1.38062 x 10−23 joule/kelvin and W is the number of microstates consistent with the given macrostate.
See also

Formula editor
Formula (mathematical logic)
Formula unit
Formulae of shapes
Mathematical notation
Symbol (chemical element)

References
Oxford Dictionaries: formula.
Rautenberg, Wolfgang (2010), A Concise Introduction to Mathematical Logic (3rd ed.), New York, NY: Springer Science+Business Media, doi:10.1007/978-1-4419-1221-3, ISBN 978-1-4419-1220-6
Smith, David E (1958). History of Mathematics. New York: Dover Publications. ISBN 0-486-20430-8.
"Why do mathematicians use single letter variables?". math.stackexchange.com. 28 February 2011. Retrieved 31 December 2013.
Atkins, P.W., Overton, T., Rourke, J., Weller, M. and Armstrong, F. Shriver and Atkins inorganic chemistry (4th edition) 2006 (Oxford University Press) ISBN 0-19-926463-5
Hamilton, A.G. (1988), Logic for Mathematicians (2nd ed.), Cambridge: Cambridge University Press, ISBN 978-0-521-36865-0
Lindeburg, Michael R. (1998). Engineering Unit Conversions, Fourth Edition. Professional Publications. ISBN 159126099X.
To derive V ~= 33.51 cm3 (2.045 cu in), then calculate the formula for volume: 4/3 × 3.1415926535897 × 2.03 or ~= 33.51032163829 and round to 2 decimal digits.
To derive VOL ~= 0.2833 RAD3, the tbsp is divided out as: 4/3 × 3.1415926535897 / 14.787 ~= 0.2832751879885 and rounded to 4 decimal digits.

Haynes, William M., ed. (2013) [1914]. CRC Handbook of Chemistry and Physics, 94th Edition. Boca Raton: CRC Press. ISBN 1466571144.

External links
Look up formula in Wiktionary, the free dictionary.

fxSolver: Online formula database and graphing calculator for mathematics,natural science and engineering.
vCalc: A webpage with a user-modifiable equation and formula library.
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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyLun 19 Déc à 10:14

L'enculturation est un terme proposé par Margaret Mead pour définir le processus par lequel le groupe va transmettre à l'enfant, dès sa naissance, des éléments culturels, normes et valeurs partagés. L'enculturation traduit le processus de transmission de la culture du groupe à l'enfant1.

Melville Herskovits définit l'enculturation, en la situant comme processus: "... par lequel l'individu assimile durant toute sa vie les traditions de son groupe et agit en fonction de ces traditions. Quoiqu'elle comprenne en principe le processus d'éducation, l'enculturation procède sur deux plans, le début de la vie et l'âge adulte. Dans les premières années l'individu est conditionné à la forme fondamentale de la culture où il va vivre. Il apprend à manier les symboles verbaux qui forment sa langue, il maîtrise les formes acceptées de l'étiquette, assimile les buts de vie reconnus par ses emballages, s'adapte aux institutions établies. En tout cela il n'a presque rien à dire il est plutôt instrument qu'acteur".
Références

↑ Dasen PR. « Développement humain et éducation informelle.» In: Dasen PR, Perregaux C, (Eds.). Pourquoi des approches interculturelles en sciences de l'éducation ? Bruxelles: DeBoeck Université (Collection « Raisons éducatives » vol. 3);2000.p.107-123. [1] [archive]

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L'enculturation est un terme proposé par Margaret Mead pour définir le processus par lequel le groupe va transmettre à l'enfant, dès sa naissance, des éléments culturels, normes et valeurs partagés. L'enculturation traduit le processus de transmission de la culture du groupe à l'enfant1.

Melville Herskovits définit l'enculturation, en la situant comme processus: "... par lequel l'individu assimile durant toute sa vie les traditions de son groupe et agit en fonction de ces traditions. Quoiqu'elle comprenne en principe le processus d'éducation, l'enculturation procède sur deux plans, le début de la vie et l'âge adulte. Dans les premières années l'individu est conditionné à la forme fondamentale de la culture où il va vivre. Il apprend à manier les symboles verbaux qui forment sa langue, il maîtrise les formes acceptées de l'étiquette, assimile les buts de vie reconnus par ses emballages, s'adapte aux institutions établies. En tout cela il n'a presque rien à dire il est plutôt instrument qu'acteur".
Références

↑ Dasen PR. « Développement humain et éducation informelle.» In: Dasen PR, Perregaux C, (Eds.). Pourquoi des approches interculturelles en sciences de l'éducation ? Bruxelles: DeBoeck Université (Collection « Raisons éducatives » vol. 3);2000.p.107-123. [1] [archive]

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Histoire du béhaviorisme
Le béhaviorisme Stimulus-Réponse de Watson

Historiquement, le béhaviorisme est apparu au début du 20e siècle en réaction aux approches dites « mentalistes » qui, voyant dans le mental la cause de toute action, défendaient l'introspection en tant que méthode d'accès à la compréhension de l'esprit. Suivant l'impact de Sigmund Freud et ses théories structuralistes, la psychologie s'est partagée entre les Européens et les Américains, qui ont poursuivi la perception, et le béhaviorisme respectivement (Carlson et Heth, 2010).

En 1913, John Broadus Watson établit les principes de base du béhaviorisme (dont il invente le nom) en affirmant, dans un article intitulé La psychologie telle que le béhavioriste la voit6 :

La psychologie telle que le behavioriste la voit est une branche purement objective de la science naturelle. Son but théorique est la prédiction et le contrôle du comportement. L'introspection constitue une partie non essentielle de ses méthodes, pas plus que la validité scientifique de ses données n'est dépendante de la facilité avec laquelle elles se prêtent à l'interprétation à la conscience.6

Watson considérait que la psychologie devait faire des comportements son sujet d'étude et non pas les états mentaux. Si la psychologie veut être perçue comme une science naturelle, elle doit se limiter aux événements observables et mesurables en se débarrassant, sur le plan théorique, de toutes les interprétations qui font appel à des notions telles que la conscience et en condamnant, sur le plan méthodologique, l'usage de l'introspection « aussi peu utile à la psychologie qu'elle l'est à la chimie ou la physique ».

L'objectif de la science du comportement est pour Watson d'étudier les relations entre les Stimuli (S) de l'environnement et les comportements réponses (R) qu'ils provoquent. Cette position de principe défendue par Watson correspond à ce qu'on a appelé par la suite le « béhaviorisme méthodologique » pour le différencier des autres courants auxquels il donnera naissance.

Il fait de l'apprentissage un objet central pour l'étude du comportement, qui doit être approché uniquement sous l'angle des comportements mesurables produits en réponse à des stimuli de l'environnement. Watson était persuadé que son nouveau béhaviorisme permettrait à terme la prédiction et le contrôle du comportement. Certaines de ses affirmations extrêmes en la matière7 ont été utilisées pour discréditer Watson et le béhaviorisme moderne par extension, même si ce dernier est fondamentalement différent du paradigme S-R de Watson.
Le modèle Stimulus-Réponse-Conséquence ou comportement opérant

La branche expérimentale du behaviorisme naît formellement en 1938 avec la publication de l'ouvrage de Burrhus F. Skinner : "The behavior of organisms"8 (Le comportement des organismes). L'ouvrage résume les travaux menés en laboratoire entre 1930 et 1937. Il met en perspective deux types de comportements : le comportement répondant et le comportement opérant ou conditionnement opérant sur la base des observations qu'il effectue sur les animaux placés dans des paradigmes opérationnels au cours desquels ils apprennent par essai-erreur les actions à effectuer pour obtenir le résultat souhaité.

Le premier ensemble de données présentées par Skinner dans "Le comportement des organismes"8 était un graphe qui présentait la mesure d'un changement de comportement lorsque de la nourriture était donnée à un rat lorsqu'il pressait un levier. Skinner nota que les 3 premières fois que la nourriture suivait le comportement, aucun effet ne fut observé, mais que la quatrième fut suivi d'une augmentation appréciable du taux d'actionnement du levier jusqu'à atteindre un maximum9.

Ivan Pavlov avait mis en évidence les comportements répondants qui sont suscités par le stimulus qui les précèdent immédiatement. Le stimulus antécédent (la lumière vive par exemple) et le comportement qu'ils suscitent (la contraction de la pupille) forment un une unité fonctionnelle appelée réflexe. Les comportements répondants sont essentiellement involontaires et apparaissent dès que le stimulus de déclenchement est présenté.

Comme beaucoup d'autres psychologues de l'époque, Skinner considérait que ni le comportement répondant de Pavlov, ni le paradigme S-R de Watson ne permettaient d'expliquer la majorité des comportements, en particulier les comportements pour lesquels il n'y avait pas de causes antérieures apparentes dans l'environnement. En comparaison du comportement réflexe, la plupart des comportements des organismes apparaissaient spontanés ou volontaires. Skinner chercha dans l'environnement plus large les déterminants de comportements qui n'avaient pas de causes antérieures apparentes. Au travers d'expériences avec des animaux, il accumula la preuve, contre-intuitive, que le comportement est moins changé par ce qui le précède que par ce qui le suit. La formulation de ce modèle est S-R-C (Stimulus - Réponse - Conséquence), aujourd'hui plus connu sous le terme de comportement opérant tandis que le modèle S-R de Pavlov et Watson est généralement appelé comportement répondant.

Alors que Watson la rejetait, Skinner s'appuie sur la loi de l'effet de Thorndike qui établit que le comportement est fonction de ses conséquences, pour développer les notions de renforcement, de façonnement, d'apprentissage programmé. Ces principes marquent une divergence profonde avec le béhaviorisme méthodologique de Watson en acceptant l'idée que des variables internes à l'individu puissent intervenir dans l'analyse du comportement.

Ce modèle de comportement opérant ne remplace pas le modèle du comportement répondant puisque le réflexe est une réalité physiologique. Il permet de mieux rendre compte de la façon dont l'environnement influe sur le comportement.
Le behaviorisme radical de Skinner

En parallèle de ses travaux expérimentaux, Skinner écrivit de nombreux ouvrages sur la philosophie et l'épistémologie du behaviorisme. En 1948, Skinner publia "Walden 210", une fiction explorant un monde utopique appliquant les principes du behaviorisme. Cet ouvrage fut suivi de "Science et comportement humain11" (1953) considéré comme l'un des textes principaux de Skinner, dans lequel il réfléchit sur une possible application des principes du comportement à des domaines complexes tels que l'éducation, la psychothérapie. Pour Skinner, le behaviorisme n'était pas la science du comportement humaine mais sa philosophie

Les questions théoriques sous jacentes de la pensée de Skinner sont12 :

Une science du comportement est elle possible ?
Peut elle rendre compte de tous les aspects du comportement humaine ?
Quelles peuvent être ses méthodes ?
Ses lois sont elles aussi valides que les lois de la physique et la biologie ?
Sur quelles techniques peut elle déboucher?

En incorporant les processus internes, comme les pensées ou les émotions, sous la qualification d'« événements privés ». Skinner fait trois hypothèses concernant les événements privés :

les pensées et sentiments sont des comportements
le comportement qui a lieu sous la peau d'un organisme se distingue d'un événément public uniquement par son inaccessibilité
l'événement privé est influencé les mêmes types de variables que les événements publics

Dans cette conception du behaviorisme, les principes de la psychologie opérante peuvent s'appliquer à tout ce qui concerne l'humain, ce qui revient à dire « tout est du comportement », y compris les événements mentaux, d'où le terme de "béhaviorisme radical"13.
Behaviorisme verbal ou Comportement Verbal
Article détaillé : Verbal Behavior.

En 1957 Skinner publie Verbal Behaviour dans lequel il analyse le langage comme un comportement14. Celui-ci obéit aux mêmes règles que les autres comportements mais s'en distingue cependant par le fait qu'il ne peut être renforcé par l'environnement physique, mais seulement indirectement par le comportement des autres personnes.

Les théories développées dans cet ouvrage ont été largement incorporées aux techniques ABA pour aider les personnes atteintes de TED à substituer le langage à des comportements non verbaux pour interagir avec les autres personnes15,16.
Applied Behavioural Analysis (ABA)

L' ABA [archive] (ou Analyse du Comportement Appliquée) a relancé l'intérêt et la recherche dans le domaine du behaviorisme. Elle en est la continuation contemporaine.

Durant les années 1950, et au début des années 1960 les chercheurs béhavioristes appliquèrent à des humains leurs méthodes d'analyse expérimentale du comportement, testées en laboratoir sur des animaux (essentiellement pigeons et rongeurs). L'objectif était de déterminer si les principes du béhaviorisme s'appliquaient17 également aux êtres humains. Sid Bijou étudia les renforcements chez des jeunes enfants18,19 et Ogden Lindsley chez des patients d’hôpitaux psychiatriques20.

En 1968 fut créé le Journal of Applied Behavior Analysis21.Dans le premier numéro de la revue, fut publié un article fondateur de la discipline de Baer, Wolf et Risley : "Some current dimensions of Applied Behavior Analysis"22.

L'ABA se définit comme la science dans laquelle les techniques dérivées des principes du comportement sont appliquées systématiquement afin d'améliorer des comportements socialement significatifs et dans laquelle l'expérimentation est utilisée pour identifier les variables explicatives du comportement23.

Ces méthodes d'analyse du comportement ont montré leur efficacité dans de nombreux domaines : l'aide aux enfants atteints de Troubles Envahissant du Développement (TED) dont l'autisme en particulier3,24, prévention du SIDA25, l'éducation26,27, l'acquisition du langage15 et la gestion des salles de classe pour favoriser les comportements collaboratifs et l'implication scolaire des élèves28.
Thérapies Comportementales et Cognitives

À partir des années 1970, le behaviorisme radical défendu par Skinner a perdu de son influence. Le cognitivisme est né dans les années 1950 en réponse au behaviorisme qui ne prenait pas en compte et ne fournissait pas un cadre théorique explicatif des cognitions.

Des auteurs comme Ellis, Seligman, Wolpe ou Beck ont développé les thérapies comportementales (ou cognitivo-comportementales) en psychothérapie qui intègre des éléments behavioristes. Même si et à la différence du cognitivisme, le behaviorisme ne rend pas compte ou très peu des cognitions ni du traitement de l'information, le behaviorisme offre un éventail de techniques et outils qui permettent à une personne de volontairement modifier un comportement problématique et agir indirectement sur les cognitions sous jacentes. Ces techniques ont été intégrées aux thérapies comportementales et en constituent une des dimensions fondamentales.

Cette approche a permis à la psychologie contemporaine de traiter un large éventail de problèmes tels les troubles anxieux, les Troubles Obsessionels Compulsifs, le stress post traumatiques et la dépression29.
Base de la théorie béhavioriste
Comportement répondant

La théorie behavioriste distingue 3 phases dans le processus qui met en œuvre le comportement : l'environnement qui stimule, l'individu qui est stimulé et le comportement ou la réponse de l'individu par suite de la stimulation.

Le schéma classique est donc :

S → I → R {\displaystyle S\rightarrow I\rightarrow R} {\displaystyle S\rightarrow I\rightarrow R}

S = le stimulus provenant de l'environnement (des stimuli)

I = l'individu

R = le comportement ou réponse de l'individu par suite de la stimulation

Sans nier la réalité de l'individu (I) et de son fonctionnement interne, les behavioristes classiques ne s'en occupent pas directement. En effet, leur objectif est de spécifier les conditions et les processus par lesquels l'environnement (S) contrôle le comportement (R), sans faire référence à des variables internes considérées comme non observables et hypothétiques. Le schéma selon lequel ils travaillent met ainsi entre parenthèses l'individu (I) qu'ils considèrent comme une « boîte noire ». Toutes les questions relatives à la conscience sont ainsi écartées de leurs champs d'étude.

D'où le schéma :

S → R {\displaystyle S\rightarrow R} {\displaystyle S\rightarrow R}

considéré comme le schéma linéaire classique behavioriste.

Ce schéma, pouvant être assimilé au schéma du conditionnement classique pavlovien, a été modifié par B.F. Skinner, car le conditionnement pavlovien n'explique que les apprentissages liés à des stimulis dits inconditionnels c'est-à-dire des stimulis provoquant des réponses inconditionnelles liées à la phylogénèse de l'espèce.
Comportement opérant
La conséquence du comportement comme élément explicatif

Le deuxième schéma classique est celui du conditionnement opérant. Le terme ""comportement opérant" est aujourd'hui de plus en plus préféré à celui de de" conditionnement opérant" dans la littérature scientifique. Ce schéma introduit une nouvelle étape dans le processus : les conséquences sur l'organisme pouvant être positives ou négatives.

D'où le schéma :

S → R → C {\displaystyle S\rightarrow R\rightarrow C} {\displaystyle S\rightarrow R\rightarrow C}

S = le stimulus provenant de l'environnement (des stimuli)

R = la réponse de l'individu au stimulus

C= les conséquences pour l'individu de son comportement

Ce schéma n'est plus linéaire car ce n'est pas un stimulus qui déclenche une réponse, c'est un stimulus qui l'évoque. La réponse ou comportement étant sélectionné par les conséquences sur l'organisme et sur l'environnement, conséquences qui sont propres à chaque organisme, c'est pour cela que l'étude et la classification des stimuli et des réponses ne peut s'effectuer qu'a posteriori.

La différence fondamentale entre le conditionnement répondant et le conditionnement opérant est que le conditionnement opérant présuppose un être actif dans son environnement. L'individu anticipe les conséquences de son comportement suite au stimulus. L'individu peut modifier son comportement et l'adapter afin d'obtenir ou d'éviter les conséquences à son comportement. Il y a une boucle de rétro action, dans laquelle la réponse de l'individu va se modifier à mesure qu'il identifie, même inconsciemment, le processus S-R-C. Pour cette raison. Le conditionnement opérant est à la base des apprentissages et explique les comportements appris lors de l'ontogénèse de l'organisme.
Renforcement et punition

Les conséquences sont classées selon leur effet sur la fréquence d'apparition du comportement. Une conséquence est un renforcement si elle augmente la probabilité d’occurrence du comportement qui le précède, ou est une punition si elle diminue la probabilité d'occurrence des comportements qui le précèdent. Par ailleurs, les conséquences peuvent être positives s'il y a un ajout ou augmentation d'un élément dans l'environnement ou négative s'il y a retrait ou diminution d'un élément dans l'environnement.

Ainsi par exemple :

Renforcement positif :

Stimulus « Le rat est dans la cage »
Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier »
Renforcement positif « Il obtient de la nourriture » (= ajout)

Augmentation de la probabilité d'apparition du comportement : "appuyer sur le levier"

Renforcement négatif :

Stimulus « Le rat est dans la cage, il reçoit des chocs électriques (plancher)
Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier »
Renforcement négatif « Les chocs électriques s'arrêtent » (= retrait)

Augmentation de la probabilité d'apparition du comportement : "appuyer sur le levier"

Punition positive :

Stimulus « Le rat est dans la cage »
Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier »
Punition positive « Il reçoit une décharge électrique » (= ajout)

Diminution de la probabilité d'apparition du comportement : "appuyer sur le levier"

Punition négative :

Stimulus « Le rat est dans la cage, il a de la nourriture »
Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier »
Punition négative « La nourriture disparait » (= retrait)

Diminution de la probabilité d'apparition du comportement : "appuyer sur le levier"

Principes du béhaviorisme et apprentissage

Selon Carol Tavris et Carole Wade, les auteurs du livre collégial Introduction à la psychologie - Les grandes perspectives, les principes élémentaires se trouvent au centre de l'apprentissage des réponses acquises par le conditionnement opérant. Tavris et Wade ajoutent que ces principes élémentaires « sont les mêmes pour toutes les espèces, que ce soit le ver de terre ou l'Homo sapiens ». De plus, les auteurs du livre collégial Introduction à la psychologie - Les grandes perspectives ajoutent que parmi les principes les plus importants, il y a l'extinction, la récupération spontanée, la généralisation et la discrimination du stimulus ainsi que le conditionnement d'ordre supérieur.
L'extinction

Les réponses conditionnelles peuvent ne durer que pendant un certain temps. Si, à la suite d'un conditionnement, on présente à plusieurs reprises le stimulus conditionnel sans le faire suivre du stimulus inconditionnel, la réponse conditionnelle finit par s'estomper. En gros, cela nous amène à dire que l'extinction illustre une diminution puis la disparition d'une réponse apprise ; dans le conditionnement répondant, l'extinction se produit lorsque le stimulus conditionnel cesse d'être mis en association avec le stimulus inconditionnel.

Exemple
[…] Marc a reçu un ballon en pleine figure (stimulus inconditionnel) à sa première journée à la garderie, et il a ainsi appris à craindre (réponse conditionnelle) l'enfant (stimulus conditionnel) qui l'a lancé. Marc en viendra progressivement à ne plus craindre son compagnon de jeu si, en le voyant, il ne l'associe plus au [stimulus inconditionnel] (le ballon). La réaction de crainte (réponse conditionnelle) aura alors été éteinte30.

La récupération spontanée

La réapparition de la réponse conditionnelle après la mise en place d'une procédure d'extinction réussie est une récupération spontanée. En gros, nous pouvons affirmer, dans certains cas, qu'une habitude pourra faire une nouvelle apparition après son extinction apparente.

Exemple
Par exemple, si Marc devait s'absenter de la garderie quelques jours, il est possible qu'à son retour il réagisse de nouveau par une réponse de peur en voyant son compagnon de jeu. C'est pourquoi il faut habituellement plusieurs séances d'extinction pour supprimer une réponse conditionnelle30.

La généralisation du stimulus

Lorsqu'un stimulus est devenu un stimulus conditionnel, entraînant une réponse conditionnelle donnée, on observe que des stimuli du même type sont susceptibles de déclencher eux aussi la même réponse conditionnelle; nous donnons à ce processus le nom de généralisation du stimulus. En d'autres termes, une personne appliquant le principe de la généralisation du stimulus déploie un comportement spécifique sur des stimuli qui ont une similarité très proche avec un stimulus très spécifique.

Exemple
Par exemple, Marc pourra déployer la même réponse conditionnelle de peur en présence d'autres enfants qui ressemblent physiquement à son compagnon de jeu. Le proverbe « Chat échaudé craint l'eau froide » décrit bien le processus de généralisation du stimulus30.

Discrimination du stimulus

Contrairement au principe de généralisation d'un stimulus qui consiste à déployer un comportement spécifique sur des stimuli qui ont une similarité très proche avec un stimulus spécifique qui se trouve à la source d'un comportement, la discrimination du stimulus, qui est l'image inversée de la généralisation d'un stimulus, consiste à réagir de façon différente à des stimuli ressemblant par certains aspects au stimulus conditionnel. La discrimination du stimulus survient lorsque des stimuli qui s'apparentent au stimulus conditionnel ne sont pas associés au stimulus inconditionnel à l'origine de la réponse conditionnelle.

Exemple
Ainsi, si Marc apprend à ne déployer la réponse conditionnelle de peur qu'en présence de l'enfant qui lui a lancé le ballon en plein visage, c'est qu'il a appris à discriminer le stimulus30.

Critiques du behaviorisme
Critique de la théorie behavioriste

Dès ses débuts, le parti-pris anti-psychique, et donc anti-constructiviste de la psychologie behavioriste a été critiqué. Jean Piaget a démontré qu'on ne pouvait pas résumer l'intelligence à des phénomènes d'apprentissage et d'imitation sur le modèle de l'éthologie animale sans tenir compte de la manière dont la connaissance se construit chez un sujet et un groupe. Or par définition, la connaissance n'étant pas un phénomène observable, le behaviorisme ne s'est pas engagé dans la problématique de l'épistémologie.

La boîte-noire d'autre part, est vue par les psychanalystes comme un argument rhétorique pour évacuer la question de l'inconscient et celle du sujet. L'adaptation au sens étroit est postulée comme le seul moteur, l'alpha et l'omega, de toutes les conduites humaines. Par ailleurs, pour la théorie behavioriste, ne peut être objet de science que ce qui est observable par un individu extérieur sans référence au contenu psychique d'un sujet pensant, en contradiction évidente avec la perspective analytique. Les critiques de l'approche behavioriste ont ainsi utilisé la métaphore de l'iceberg : selon eux, les behavioristes ne s'intéressent qu'à la partie émergée (le comportement observable, i.e., le symptôme) délaissant la partie immergée (le psychisme). La théorie freudienne repose en effet sur le fait que le symptôme n'est que l'expression de la partie inconsciente de la vie mentale (et notamment de conflits internes au sujet, comme dans la conversion hystérique) ce qui, en soi, n'est pas incompatible avec la position théorique behavioriste qui n'émet simplement pas d'hypothèse sur le contenu du psychisme. Par contre, les divergences entre ces deux approches peuvent paraître cruciales s'agissant de la thérapeutique : une psychothérapie d'inspiration behavioriste cherchera à faire disparaître le symptôme sans se préoccuper de sa signification, tandis que la cure psychanalytique visera une modification des processus psychiques s'exprimant dans la symptomatologie clinique.

Le cognitivisme est un courant en psychologie qui est né en prolongation du behaviorisme. La thématique du langage a joué un rôle important en canalisant la critique sur la conception behavioriste du langage comme un ensemble d'« habitudes » apprises par observation et conditionnement. Au contraire, la linguistique cognitive défendue par Noam Chomsky se fonde sur l'hypothèse d'une grammaire mentale constituée de règles que l'on peut décrire formellement et qui serait contenue dans l'héritage phylogénétique de chacun des êtres humains. La critique chomskyenne repose notamment sur l'argument de la pauvreté du stimulus qui considère qu'une telle grammaire universelle est indispensable aux enfants pour acquérir une telle compétence langagière alors qu'ils sont loin d'avoir été confrontés à toutes les structures grammaticales possibles. Plus généralement, la psychologie cognitive se fonde sur l'idée que la pensée est décomposable en processus mentaux distincts qu'il convient de modéliser comme des entités relativement autonomes. Les caractéristiques de ces processus mentaux sont alors indirectement accessibles au moyen d'expériences dans lesquelles le comportement reste la principale variable expérimentale.
Critique de l'épistémologie béhavioriste

Le parti pris anti-mentaliste des béhavioristes a aussi une prétention épistémologique puisqu'en refusant de faire appel à des éléments internes à la vie mentale et donc indémontrables aux yeux d'un observateur extérieur, la théorie behavioriste se veut plus scientifique car fondée sur l'objectivité des phénomènes qu'elle cherche à expliquer. La critique que l'on peut alors faire tient à la nature des explications proposées dans ce cadre. En effet, des phénomènes comme la dépression ou l'anxiété peuvent effectivement se définir par un certain nombre de symptômes mais les réduire à cela peut sembler insatisfaisant.

Néanmoins les béhavioristes ne nient pas que des structures internes à la vie mentale puissent exister seulement elles sont indémontrables, et de plus même si elles existent elles subissent les mêmes lois que les comportements observables. Par exemple, la pensée est un comportement qui est aussi dépendant de ses conséquences, l'action ne naît pas de la pensée, la pensée est de l'action.
Les behavioristes célèbres

Ivan Pavlov (1849-1936)
John Watson (1878-1958)
Burrhus F. Skinner (1904-1990)
Clark Hull (1884-1952)
Edward Tolman (1886-1959)
Ivar Lovaas (1927-2010)

Notes et références

↑ «Béhaviorisme : Approche qui met l'accent sur l'étude du comportement observable et du rôle de l'environnement en tant que déterminant du comportement. » Carol Tavris et Carole Wade. Introduction à la psychologie - Les grandes perspectives, Saint-Laurent, Erpi, 1999, p. 182.
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Informations complémentaires
Bibliographie
Livres

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Journal of Applied Behavior Analysis
Journal of the Experimental Analysis of Behavior

Autres articles

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Psychothérapie cognitivo-comportementale
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Liens externes

(en) APA Behaviour Analysis [archive]
(en) B.F. Skinner site [archive]
(en) Society for the Experimental Analysis of Behavior [archive]
(en) Behaviour.org [archive]
(fr) Présentation du Comportementalisme : auteurs, concepts et applications [archive]

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Alfred Adler Gordon Allport Albert Bandura Raymond Cattell Article de qualité John Dewey Paul Ekman Erik Erikson Article de qualité Milton H. Erickson Hans Eysenck Leon Festinger Article de qualité Sigmund Freud Howard Gardner Daniel Goleman Frederick Herzberg Clark L. Hull William James Article de qualité Carl Gustav Jung Jerome Kagan Kurt Lewin Abraham Maslow David McClelland Stanley Milgram George A. Miller Ivan Pavlov Jean Piaget Robert Plutchik Elias Porter Carl Rogers Julian Rotter Martin Seligman Burrhus Frederic Skinner Edward Thorndike John B. Watson

Le béhaviorisme, behaviorisme ou comportementalisme est une théorie psychologique qui étudie le comportement observable1 et l'analyse comme un processus au sein de l'environnement et comme l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu2. Le behaviorisme s'appuie sur l'expérimentation et la mesure scientifique. Il vise à établir une relation statistiquement significative entre des variables de l'environnement et le comportement étudié.

Il trouve son application aujourd'hui dans le béhaviorisme appliqué et l'ABA (Applied Behavioral Analysis) principalement. Ces applications s'étendent de l'aide aux personnes atteintes de Troubles Envahissant du Développement (TED)3 dont l'autisme, la sécurité industrielle4 entre autres. En octobre 2015, la Société Américaine de Pédiatrie (American Academy of Pediatrics, AAP) a recommandé des approches dont l'efficacité a été démontrée pour les interventions précoces dans les TED des enfants de moins de 3 ans5. Ces recommandations mettent l'accent à la fois sur la nécessaire implication de l'entourage dans le développement et sur l'importance des méthodes béhavioristes à mettre en œuvre.

Les Thérapies Cognitives et Comportementales (TCC) ont intégré des éléments opérationnels béhavioristes malgré des fondements théoriques différents.
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Hope is an optimistic attitude of mind that is based on an expectation of positive outcomes related to events and circumstances in one's life or the world at large.[1] As a verb, its definitions include: "expect with confidence" and "to cherish a desire with anticipation".[2]

Among its opposites are dejection, hopelessness and despair.[3]

In psychology
Hope, which lay at the bottom of the box, remained. Allegorical painting by George Frederic Watts, 1886.

Dr. Barbara L. Fredrickson argues that hope comes into its own when crisis looms, opening us to new creative possibilities.[4] Frederickson argues that with great need comes an unusually wide range of ideas, as well as such positive emotions as happiness and joy, courage, and empowerment, drawn from four different areas of one’s self: from a cognitive, psychological, social, or physical perspective.[5] Hopeful people are "like the little engine that could, [because] they keep telling themselves "I think I can, I think I can".[6] Such positive thinking bears fruit when based on a realistic sense of optimism, not on a naive "false hope".[7]

The psychologist C.R. Snyder linked hope to the existence of a goal, combined with a determined plan for reaching that goal:[8] Alfred Adler had similarly argued for the centrality of goal-seeking in human psychology,[9] as too had philosophical anthropologists like Ernst Bloch.[10] Snyder also stressed the link between hope and mental willpower, as well as the need for realistic perception of goals,[11] arguing that the difference between hope and optimism was that the former included practical pathways to an improved future.[12] D. W. Winnicott saw a child's antisocial behavior as expressing an unconscious hope[further explanation needed] for management by the wider society, when containment within the immediate family had failed.[13] Object relations theory similarly sees the analytic transference as motivated in part by an unconscious hope that past conflicts and traumas can be dealt with anew.[14]
Snyder's Hope Theory

Positive psychologist Charles Richard Snyder's area of work was on hope and forgiveness and the impact that hope can have on aspects of life such as health, work, education, and personal meaning.

Hope Theory postulates that there are three main things that make up hopeful thinking:[15]

Goals – Approaching life in a goal-oriented way.
Pathways – Finding different ways to achieve your goals.
Agency – Believing that you can instigate change and achieve these goals.

Auschwitz, a rose expressing hope
A Syrian refugee girl with a hopeful expression

In other words, hope was defined as the perceived capability to derive pathways to desired goals, and motivate oneself via agency thinking to use those pathways. Snyder argues that individual’s who able to realize these 3 components and develop a belief in their ability are hopeful people who can establish clear goals, imagine multiple workable pathways toward those goals, and persevere, even when obstacles get in their way.

Snyder proposed "Hope Scale" which considered that a person's determination to achieve their goal is their measured hope. Snyder differentiates between adult-measured hope and child-measured hope. The adult Hope Scale by Snyder contains 12 questions; 4 measuring ‘pathways thinking’, 4 measuring ‘agency thinking’, and 4 that are simply fillers. Each subject responds to each question using an 8-point scale.[16] Fibel and Hale measure hope by combining Snyder's Hope Scale with their own Generalized Expectancy for Success Scale (GESS) to empirically measure hope.[17] Snyder regarded that psychotherapy can help focus attention on one's goals, drawing on tacit knowledge of how to reach them.[18]
In healthcare
Background

Hope has the ability to help people heal faster and easier. Individuals who maintain hope, especially when battling illness, significantly enhance their chances of recovery.[19] This is important because numerous people with chronic, physical, or mental illness believe that their condition is stable and that they have little chance of recovery. If health care providers begin to recognize the importance of hope in the recovery process, then they can learn to instill hope within their patients; this would enable patients to develop healthy coping strategies and therefore improve their physical and emotional well being. Shaping people’s beliefs and expectations to be more hopeful and optimistic is an essential component of positive psychology. In general, people who possess hope and think optimistically have a greater sense of well being in addition to the improved health outcomes outlined above. Positive psychologists teach strategies to help boost people’s hope and optimism, which would benefit individuals coping with illness by improving their life satisfaction and recovery process.
Major Theories

Of the countless models that examine the importance of hope in an individual’s life, there are two major theories that have gained a significant amount of recognition in the field of Psychology. One of these theories, developed by Charles R. Snyder, argues that hope should be viewed as a cognitive skill that demonstrates an individual’s ability to maintain drive in the pursuit of a particular goal.[20] This model reasons that an individual’s ability to be hopeful depends on two types of thinking: agency thinking and pathway thinking. Agency thinking refers to an individual’s determination to achieve their goals despite possible obstacles, while pathway thinking refers to the ways in which an individual believes they can achieve these personal goals.

Snyder’s theory uses hope as a mechanism that is most often seen in Psychotherapy. In these instances, the therapist helps their client overcome barriers that have prevented them from achieving goals. The therapist would then help the client set realistic and relevant personal goals (i.e. "I am going to find something I am passionate about and that makes me feel good about myself"), and would help them remain hopeful of their ability to achieve these goals, and suggest the correct pathways to do so.

Whereas Snyder’s theory focuses on hope as a mechanism to overcome an individual’s lack of motivation to achieve goals, the other major theory developed by K.A Herth deals more specifically with an individual’s future goals as they relate to coping with illnesses.[21] Herth views hope as "a motivational and cognitive attribute that is theoretically necessary to initiate and sustain action toward goal attainment".[22] Establishing realistic and attainable goals in this situation is more difficult, as the individual most likely does not have direct control over the future of their health. Instead, Herth suggests that the goals should be concerned with how the individual is going to personally deal with the illness—"Instead of drinking to ease the pain of my illness, I am going to surround myself with friends and family."[22]

While the nature of the goals in Snyder’s model differ with those in Herth’s model, they both view hope as a way to maintain personal motivation, which ultimately will result in a greater sense of optimism
Major Empirical Findings

Hope, and more specifically, particularized hope, has been shown to be an important part of the recovery process from illness; it has strong psychological benefits for patients, helping them to cope more effectively with their disease.[23] For example, hope motivates people to pursue healthy behaviors for recovery, such as eating fruits and vegetables, quitting smoking, and engaging in regular physical activity. This not only helps to enhance people’s recovery from illnesses, but also helps prevent illness from developing in the first place.[19] Patients who maintain high levels of hope have an improved prognosis for life-threatening illness and an enhanced quality of life.[24] Belief and expectation, which are key elements of hope, block pain in patients suffering from chronic illness by releasing endorphins and mimicking the effects of morphine. Consequently, through this process, belief and expectation can set off a chain reaction in the body that can make recovery from chronic illness more likely. This chain reaction is especially evident with studies demonstrating the placebo effect, a situation when hope is the only variable aiding in these patients’ recovery.[19]

Overall, studies have demonstrated that maintaining a sense of hope during a period of recovery from illness is beneficial. A sense of hopelessness during the recovery period has, in many instances, resulted in adverse health conditions for the patient (i.e. depression and anxiety following the recovery process).[25] Additionally, having a greater amount of hope before and during cognitive therapy has led to decreased PTSD-related depression symptoms in war veterans.[26] Hope has also been found to be associated with more positive perceptions of subjective health. However, reviews of research literature have noted that the connections between hope and symptom severity in other mental health disorders are less clear, such as in cases of individuals with schizophrenia.[27]
Applications

The inclusion of hope in treatment programs has potential in both physical and mental health settings. Hope as a mechanism for improved treatment has been studied in the contexts of PTSD, chronic physical illness, and terminal illness, among other disorders and ailments.[26][27] Within mental health practice, clinicians have suggested using hope interventions as a supplement to more traditional cognitive behavioral therapies.[27] In terms of support for physical illness, research suggests that hope can encourage the release of endorphins and enkephalins, which help to block pain.[19]
Impediments

There are two main arguments based on judgement against those whom are advocates of using hope to help treat severe illnesses. The first of which is that if physicians have too much hope, they may aggressively treat the patient. The physician will hold on to a small shred of hope that the patient may get better. Thus, this causes them to try methods that are costly and may have many side effects. One physician noted[28] that she regretted having hope for her patient; it resulted in her patient suffering through three more years of pain that the patient would not have endured if the physician had realized recovery was infeasible.

The second argument is the division between hope and wishing. Those that are hopeful are actively trying to investigate the best path of action while taking into consideration the obstacles. Research [19] has shown though that many of those who have "hope" are wishfully thinking and passively going through the motions, as if they are in denial about their actual circumstances. Being in denial and having too much hope may negatively impact both the patient and the physician.
Benefits

The impact that hope can have on a patient’s recovery process is strongly supported through both empirical research and theoretical approaches. However, reviews of literature also maintain that more longitudinal and methodologically-sound research is needed to establish which hope interventions are actually the most effective, and in what setting (i.e. chronic illness vs. terminal illness)[27]
In management

Robert Mattox, a social activist and futurist,[citation needed] proposed in 2012 a social-change theory based on the hope phenomenon in relation to leadership.[29] Larry Stout postulated in 2006 that certain conditions must exist before even the most talented leaders can lead change.[30] Given such conditions, Mattox proposes a change-management theory around hope, suggesting that a leader can lead change and shape culture within a community or organization by creating a "hopescape" and by harnessing the hope system.[citation needed]
Hope diamond system – A coal to diamond process
In culture

In the matter of globalization, hope is focused on economic and social empowerment.

Focusing on parts of Asia hope has taken on a secular or materialistic form in relation to a pursuit of economic growth. Primary examples are the rise of the Economy of China and the Economy of India correlating with rapid economic rise and the notion of Chindia. Secondary examples in relation is the increased use of contemporary architecture in rising economies such as the building of the Shanghai World Financial Center, Burj Khalifa and Taipei 101 which has given rise to a prevailing hope within the countries related. The list is long but to name a few acupuncture, bollywood and global cuisine are also integrated throughout the world giving rise to hope. [31]
In literature
Engraving of Pandora trying to close the box that she had opened out of curiosity. At left, the evils of the world taunt her as they escape. The engraving is based on a painting by F. S. Church.
“ Hope is the thing with feathers that perches in the soul and sings the tune without the words and never stops at all. ”
— Emily Dickinson, [32]

A classic reference to hope which has entered modern language is the concept that "Hope springs eternal" taken from Alexander Pope's Essay on Man, the phrase reading "Hope springs eternal in the human breast, Man never is, but always to be blest:"[33] Another popular reference, "Hope is the thing with feathers," is from a poem by Emily Dickinson.[34]

Hope can be used as an artistic plot device and is often a motivating force for change in dynamic characters. A commonly understood reference from western popular culture is the subtitle "A New Hope" from the original first installment (now considered Episode IV) in the Star Wars science fiction space opera.[35] The subtitle refers to one of the lead characters, Luke Skywalker, who is expected in the future to allow good to triumph over evil within the plot of the films.

Contemporary philosopher Richard Rorty understands hope as more than goal setting, rather as a metanarrative, a story that serves as a promise or reason for expecting a better future. Rorty as postmodernist believes past meta–narratives, including the Christian story, utilitarianism, and Marxism have proved false hopes; that theory cannot offer social hope; and that liberal man must learn to live without a consensual theory of social hope.[36] Rorty says a new document of promise is needed for social hope to exist again.[37]
Symbolism

The swallow has been a symbol of hope, in Aesop's fables and numerous other historic literature.[38] It symbolizes hope, in part because it is among the first birds to appear at the end of winter and the start of spring.[39]

Other symbols of hope include the anchor,[40] and the dove.[41]
In mythology

Hope appears in ancient Greek mythology with the story of Zeus and Prometheus. Prometheus stole fire from the god Zeus, which infuriated the supreme god. In turn, Zeus created a box that contained all manners of evil, unbeknownst to the receiver of the box. Pandora opened the box after being warned not to, and unleashed a multitude of harmful spirits that inflicted plagues, diseases, and illnesses on mankind. Spirits of greed, envy, hatred, mistrust, sorrow, anger, revenge, lust, and despair scattered far and wide looking for humans to torment. Inside the box, however, Pandora also discovered and released a healing spirit named Hope. From ancient times, people have recognized that a spirit of hope had the power to heal afflictions and helps them bear times of great suffering, illnesses, disasters, loss, and pain caused by the malevolent spirits and events.[42] In Hesiod's Works and Days, the personification of hope is a spirit named Elpis.

Norse mythology however considered Hope (Vön) to be the slobber dripping from the mouth of Fenris Wolf:[43] their concept of courage rated most highly a cheerful bravery in the absence of hope.[44]
In religion

Hope is a key concept in most major world religions, often signifying the "hoper" believes an individual or a collective group will reach a concept of heaven. Depending on the religion, hope can be seen as a prerequisite for and/or byproduct of spiritual attainment, among other things.
Christianity
Main article: Hope (virtue)
People collecting the miraculous water in Lourde, France

Hope is one of the three theological virtues of the Christian religion,[45] alongside faith and love.[46] "Hope" in the Holy Bible means "a strong and confident expectation" of future reward. Titus 1:2 In modern terms, hope is akin to trust and a confident expectation".[47] Paul the Apostle argued that hope was a source of salvation for Christians: "For in hope we have been saved...if we hope for what we do not see, with perseverance we wait eagerly for it".[47]

According to the Holman Bible Dictionary, hope is a "[t]rustful expectation...the anticipation of a favorable outcome under God's guidance.[48] In the Pilgrim's Progress, it was Hopeful who comforted Christian in Doubting Castle; while conversely at the entrance to Dante's Hell were the words, "Lay down all hope, you that go in by me".[49]
Hinduism

In historic literature of Hinduism, hope is referred to with Pratidhi (Sanskrit: प्रतिधी),[50] or Apêksh (Sanskrit: अपेक्ष).[51][52] It is discussed with the concepts of desire and wish. In Vedic philosophy, karma was linked to ritual sacrifices (yajna), hope and success linked to correct performance of these rituals.[53][54] In Vishnu Smriti, the image of hope, morals and work is represented as the virtuous man who rides in a chariot directed by his hopeful mind to his desired wishes, drawn by his five senses, who keeps the chariot on the path of the virtuous, and thus is not distracted by the wrongs such as wrath, greed, and other vices.[55]

In the centuries that followed, the concept of karma changed from sacramental rituals to actual human action that builds and serves society and human existence[53][54] – a philosophy epitomized in the Bhagavad Gita. Hope, in the structure of beliefs and motivations, is a long-term karmic concept. In Hindu belief, actions have consequences, and while one’s effort and work may or may not bear near term fruits, it will serve the good, that the journey of one’s diligent efforts (karma) and how one pursues the journey,[56] sooner or later leads to bliss and moksha.[53][57][58]
See also

Defeatism
Disappointment
El Dorado
Micawberism
Optimism
Self-Reliance
The Principle of Hope
Utopianism

References

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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyMar 20 Déc à 3:20

Benjamin l’Âne est pour le clans des éléphants ce que TAY La chouette effraie est pour le clans des mouettes. Devant Berlin, un silence doit s'entendre. Devant l'assassinat, un silence doit s'imposer. Les mots n'éteignent pas la rancœur idéologue...

Elephants are large mammals of the family Elephantidae and the order Proboscidea. Two species are traditionally recognised, the African elephant (Loxodonta africana) and the Asian elephant (Elephas maximus), although some evidence suggests that African bush elephants and African forest elephants are separate species (L. africana and L. cyclotis respectively). Elephants are scattered throughout sub-Saharan Africa, South Asia, and Southeast Asia. Elephantidae is the only surviving family of the order Proboscidea; other, now extinct, members of the order include deinotheres, gomphotheres, mammoths, and mastodons. Male African elephants are the largest extant terrestrial animals and can reach a height of 4 m (13 ft) and weigh 7,000 kg (15,000 lb). All elephants have several distinctive features, the most notable of which is a long trunk or proboscis, used for many purposes, particularly breathing, lifting water and grasping objects. Their incisors grow into tusks, which can serve as weapons and as tools for moving objects and digging. Elephants' large ear flaps help to control their body temperature. Their pillar-like legs can carry their great weight. African elephants have larger ears and concave backs while Asian elephants have smaller ears and convex or level backs.

Elephants are herbivorous and can be found in different habitats including savannahs, forests, deserts and marshes. They prefer to stay near water. They are considered to be keystone species due to their impact on their environments. Other animals tend to keep their distance from elephants, while predators such as lions, tigers, hyenas, and wild dogs usually target only young elephants (or "calves"). Females ("cows") tend to live in family groups, which can consist of one female with her calves or several related females with offspring. The groups are led by an individual known as the matriarch, often the oldest cow. Elephants have a fission–fusion society in which multiple family groups come together to socialise. Males ("bulls") leave their family groups when they reach puberty, and may live alone or with other males. Adult bulls mostly interact with family groups when looking for a mate and enter a state of increased testosterone and aggression known as musth, which helps them gain dominance and reproductive success. Calves are the centre of attention in their family groups and rely on their mothers for as long as three years. Elephants can live up to 70 years in the wild. They communicate by touch, sight, smell and sound; elephants use infrasound,[1] and seismic communication over long distances. Elephant intelligence has been compared with that of primates and cetaceans. They appear to have self-awareness and show empathy for dying or dead individuals of their kind.

African elephants are listed as vulnerable by the International Union for Conservation of Nature (IUCN), while the Asian elephant is classed as endangered. One of the biggest threats to elephant populations is the ivory trade, as the animals are poached for their ivory tusks. Other threats to wild elephants include habitat destruction and conflicts with local people. Elephants are used as working animals in Asia. In the past they were used in war; today, they are often controversially put on display in zoos, or exploited for entertainment in circuses. Elephants are highly recognisable and have been featured in art, folklore, religion, literature and popular culture.

Social organisation
A family of African elephants: note the protected position of the calves in the middle of the group
A family of elephants bathing, a behaviour which reinforces social bonding

Female elephants spend their entire lives in tight-knit matrilineal family groups, some of which are made up of more than ten members, including three pairs of mothers with offspring, and are led by the matriarch which is often the eldest female.[104] She remains leader of the group until death[13] or if she no longer has the energy for the role;[105] a study on zoo elephants showed that when the matriarch died, the levels of faecal corticosterone ('stress hormone') dramatically increased in the surviving elephants.[106] When her tenure is over, the matriarch's eldest daughter takes her place; this occurs even if her sister is present.[13] The older matriarchs tend to be more effective decision-makers.[107]

The social circle of the female elephant does not necessarily end with the small family unit. In the case of elephants in Amboseli National Park, Kenya, a female's life involves interaction with other families, clans, and subpopulations. Families may associate and bond with each other, forming what are known as bond groups. These are typically made of two family groups. During the dry season, elephant families may cluster together and form another level of social organisation known as the clan. Groups within these clans do not form strong bonds, but they defend their dry-season ranges against other clans. There are typically nine groups in a clan. The Amboseli elephant population is further divided into the "central" and "peripheral" subpopulations.[104]

Some elephant populations in India and Sri Lanka have similar basic social organisations. There appear to be cohesive family units and loose aggregations. They have been observed to have "nursing units" and "juvenile-care units". In southern India, elephant populations may contain family groups, bond groups and possibly clans. Family groups tend to be small, consisting of one or two adult females and their offspring. A group containing more than two adult females plus offspring is known as a "joint family". Malay elephant populations have even smaller family units, and do not have any social organisation higher than a family or bond group. Groups of African forest elephants typically consist of one adult female with one to three offspring. These groups appear to interact with each other, especially at forest clearings.[104]
Lone bull: Adult male elephants spend much of their time alone or in single-sex groups

The social life of the adult male is very different. As he matures, a male spends more time at the edge of his group and associates with outside males or even other families. At Amboseli, young males spend over 80% of their time away from their families when they are 14–15. The adult females of the group start to show aggression towards the male, which encourages him to permanently leave. When males do leave, they either live alone or with other males. The former is typical of bulls in dense forests. Asian males are usually solitary, but occasionally form groups of two or more individuals; the largest consisted of seven bulls. Larger bull groups consisting of over 10 members occur only among African bush elephants, the largest of which numbered up to 144 individuals.[108] A dominance hierarchy exists among males, whether they range socially or solitarily. Dominance depends on the age, size and sexual condition.[108] Old bulls appear to control the aggression of younger ones and prevent them from forming "gangs".[109] Adult males and females come together for reproduction. Bulls appear to associate with family groups if an oestrous cow is present.[108]
Male elephants sparring
Sexual behaviour
Musth
Main article: Musth
Bull in musth

Adult males enter a state of increased testosterone known as musth. In a population in southern India, males first enter musth at the age of 15, but it is not very intense until they are older than 25. At Amboseli, bulls under 24 do not go into musth, while half of those aged 25–35 and all those over 35 do. Young bulls appear to enter musth during the dry season (January–May), while older bulls go through it during the wet season (June–December). The main characteristic of a bull's musth is a fluid secreted from the temporal gland that runs down the side of his face. He may urinate with his penis still in his sheath, which causes the urine to spray on his hind legs. Behaviours associated with musth include walking with the head held high and swinging, picking at the ground with the tusks, marking, rumbling and waving only one ear at a time. This can last from a day to four months.[110]

Males become extremely aggressive during musth. Size is the determining factor in agonistic encounters when the individuals have the same condition. In contests between musth and non-musth individuals, musth bulls win the majority of the time, even when the non-musth bull is larger. A male may stop showing signs of musth when he encounters a musth male of higher rank. Those of equal rank tend to avoid each other. Agonistic encounters typically consist of threat displays, chases and minor sparring with the tusks. Serious fights are rare.[110]
Mating
Wikimedia Commons has media related to Elephants mating.
Bull mating with a member of a female group

Elephants are polygynous breeders,[111] and copulations are most frequent during the peak of the wet season.[112] A cow in oestrus releases chemical signals (pheromones) in her urine and vaginal secretions to signal her readiness to mate. A bull will follow a potential mate and assess her condition with the flehmen response, which requires the male to collect a chemical sample with his trunk and bring it to the vomeronasal organ.[113] The oestrous cycle of a cow lasts 14–16 weeks with a 4–6-week follicular phase and an 8–10-week luteal phase. While most mammals have one surge of luteinizing hormone during the follicular phase, elephants have two. The first (or anovulatory) surge, could signal to males that the female is in oestrus by changing her scent, but ovulation does not occur until the second (or ovulatory) surge.[114] Fertility rates in cows decline around 45–50 years of age.[105]

Bulls engage in a behaviour known as mate-guarding, where they follow oestrous females and defend them from other males. Most mate-guarding is done by musth males, and females actively seek to be guarded by them, particularly older ones.[115] Thus these bulls have more reproductive success.[108] Musth appears to signal to females the condition of the male, as weak or injured males do not have normal musths.[116] For young females, the approach of an older bull can be intimidating, so her relatives stay nearby to provide support and reassurance.[117] During copulation, the male lays his trunk over the female's back.[118] The penis is very mobile, being able to move independently of the pelvis.[119] Prior to mounting, it curves forward and upward. Copulation lasts about 45 seconds and does not involve pelvic thrusting or ejaculatory pause.[120]

Homosexual behaviour is frequent in both sexes. As in heterosexual interactions, this involves mounting. Male elephants sometimes stimulate each other by playfighting and "championships" may form between old bulls and younger males. Female same-sex behaviours have been documented only in captivity where they are known to masturbate one another with their trunks.[121]
Birthing and calves
An African elephant mother bathing with her calf

Gestation in elephants typically lasts around two years with interbirth intervals usually lasting four to five years. Births tend to take place during the wet season.[122] Calves are born 85 cm (33 in) tall and weigh around 120 kg (260 lb).[117] Typically, only a single young is born, but twins sometimes occur.[123][124] The relatively long pregnancy is maintained by five corpus luteums (as opposed to one in most mammals) and gives the foetus more time to develop, particularly the brain and trunk.[123] As such, newborn elephants are precocial and quickly stand and walk to follow their mother and family herd.[125] A new calf is usually the centre of attention for herd members. Adults and most of the other young will gather around the newborn, touching and caressing it with their trunks. For the first few days, the mother is intolerant of other herd members near her young. Alloparenting – where a calf is cared for by someone other than its mother – takes place in some family groups. Allomothers are typically two to twelve years old.[117] When a predator is near, the family group gathers together with the calves in the centre.[126]

For the first few days, the newborn is unsteady on its feet, and needs the support of its mother. It relies on touch, smell and hearing, as its eyesight is poor. It has little precise control over its trunk, which wiggles around and may cause it to trip. By its second week of life, the calf can walk more firmly and has more control over its trunk. After its first month, a calf can pick up, hold and put objects in its mouth, but cannot suck water through the trunk and must drink directly through the mouth. It is still dependent on its mother and keeps close to her.[125]

For its first three months, a calf relies entirely on milk from its mother for nutrition after which it begins to forage for vegetation and can use its trunk to collect water. At the same time, improvements in lip and leg coordination occur. Calves continue to suckle at the same rate as before until their sixth month, after which they become more independent when feeding. By nine months, mouth, trunk and foot coordination is perfected. After a year, a calf's abilities to groom, drink, and feed itself are fully developed. It still needs its mother for nutrition and protection from predators for at least another year. Suckling bouts tend to last 2–4 min/hr for a calf younger than a year and it continues to suckle until it reaches three years of age or older. Suckling after two years may serve to maintain growth rate, body condition and reproductive ability.[125] Play behaviour in calves differs between the sexes; females run or chase each other, while males play-fight. The former are sexually mature by the age of nine years[117] while the latter become mature around 14–15 years.[108] Adulthood starts at about 18 years of age in both sexes.[127][128] Elephants have long lifespans, reaching 60–70 years of age.[68] Lin Wang, a captive male Asian elephant, lived for 86 years.[129]
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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptyJeu 29 Déc à 4:06

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MessageSujet: Re: La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca   La Vache-Noire, la ZAC, Police La Coatie et Y'becca EmptySam 7 Jan à 3:02

Les orphelins de Duplessis est le nom donné à des milliers d'enfants orphelins qui ont faussement été déclarés malades mentaux par le gouvernement du Québec et confinés dans des institutions psychiatriques entre 1940 et 1970. On considère que c'est le cas le plus important de maltraitance d'enfants dans l'histoire du Canada. Tous ces orphelins seront baptisés orphelins de Duplessis car cela coïncide avec l'époque où Maurice Duplessis était premier ministre du Québec. À plusieurs reprises, des enfants, qui ont été enlevés de leur mère célibataire, ont été battus, agressés sexuellement et même tués, à la suite d'un massacre.

Description

Les orphelinats et les écoles étaient sous la responsabilité du gouvernement provincial. Dans les années 1940, alors que le Premier ministre du Québec était Maurice Duplessis et jusque dans les années 1960, le gouvernement du Québec, en coopération avec l'Église catholique romaine qui gérait les orphelinats, a développé une stratégie pour obtenir des subventions fédérales pour des milliers d'enfants, dont la plupart étaient devenus orphelins en étant abandonnés de leurs mères célibataires. Dans certains cas, les orphelinats catholiques ont été reclassifiés comme des institutions de soins de santé ; dans d'autres, les enfants ont été déplacés vers des asiles existants. Parmi les institutions visées, mentionnons Mont-Providence (Hôpital Rivière-des-Prairies)1, Baie-Saint-Paul2, Huberdeau3, Saint-Jean-de-Dieu (Hôpital Louis-H.-Lafontaine)4, Saint-Michel-Archange (Centre hospitalier Robert-Giffard, puis l'Institut universitaire en santé mentale de Québec)5, Saint-Julien de Saint-Ferdinand-d'Halifax6,7 et l'Institut Doréa.

Dans les années qui suivirent, longtemps après la fermeture de ces institutions, les enfants devenus adultes commencèrent à dénoncer les mauvais traitements et les abus sexuels qu'ils enduraient aux mains des prêtres, des sœurs et des administrateurs catholiques. Rappelant les abus par les Couvents de la Madeleine, les orphelins de Duplessis affirment qu'ils étaient réduits à l'esclavage et assujettis à des abus physiques extrêmes pour des écarts de comportement.

Dans les années 1990, il restait environ 3 000 survivants et un groupe important s'est formé, lançant une campagne pour obtenir justice. Ils se sont donné le nom d'Orphelins de Duplessis. En plus de la responsabilité du gouvernement et de l'Église, le Collège des médecins du Québec est ciblé après que certains des orphelins eurent trouvé des copies de leurs dossiers médicaux qui avaient été falsifiés8. Classifiés mentalement déficients, plusieurs de ces enfants furent assujettis à une variété de tests de médicaments et utilisés dans d'autres expériences médicales. Relâchés seulement lorsqu'ils eurent atteint la majorité, ils étaient sans éducation et mal préparés à la vie d'adulte. Le suicide n'était pas rare. Tourmentés par leur traitement, le crime et d'autres comportements dysfonctionnels étaient répandus parmi le groupe.

L'un des porte-parole du groupe auprès du Gouvernement du Québec fut l'écrivain et poète Bruno Roy. Au début, le gouvernement du Québec refusa leurs nombreuses demandes de justice, mais après qu'ils eurent commencé à s'attirer une large publicité, en mars 1999, le gouvernement péquiste, après cinq ans au pouvoir, fit des excuses publiques9 et une offre symbolique d'environ 1 000 $CAD en guise de compensation pour chacune des victimes. L'offre fut rejetée, et le gouvernement sévèrement critiqué par le public. Le protecteur du citoyen, Daniel Jacoby, déclara que le gouvernement avait banalisé les abus allégués par les victimes dans sa façon de gérer le dossier. Néanmoins, le gouvernement québécois de Lucien Bouchard refusa toujours de tenir une enquête et faire toute la lumière sur le scandale.

En 2001, les Orphelins reçoivent une offre de la part du gouvernement de Bernard Landry (Parti québécois) pour une compensation fixe de 10 000 $CAD par personne, plus 1 000 $CAD pour chaque année d'incarcération injuste dans une institution psychiatrique. L'offre montait donc à environ 23 000 $CAD par orphelin; elle était toutefois limitée aux 1 100 orphelins survivants que le gouvernement avait déclarés déficients mentaux, n'incluant pas de compensation pour les victimes d'abus sexuels ou d'autres formes d'abus. Ayant peu de choix, l'offre fut acceptée par ceux auxquels elle s'appliquait, tandis que les autres ne reçurent rien10. Bien des gens soutiennent toujours que justice n'a pas été faite et qu'une infraction criminelle est restée impunie.

En 1942, l'Assemblée législative du Québec adoptait une loi permettant à l'Église catholique romaine de vendre la dépouille non revendiquée de tout orphelin à une école médicale. Cette pratique de vente des cadavres d'orphelins a perduré jusque dans les années 1960. En 2004, des membres des Orphelins de Duplessis demandèrent au gouvernement du Québec d'exhumer un cimetière à l'abandon dans l'est de Montréal, où ils croyaient trouver les dépouilles d'orphelins qui auraient pu être les objets d'expériences médicales. Selon des témoignages d'individus qui étaient à l'institution psychiatrique Cité de Saint-Jean de Dieu (aujourd'hui l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal), les orphelins servaient souvent de cobayes aux expériences, et plusieurs en moururent. Le groupe souhaite que le gouvernement exhume les cadavres aux fins d'autopsie11.

L'espérance de vie des orphelins de Duplessis se situe bien en dessous de la moyenne nationale. En 2010, La Presse Canadienne estime qu'uniquement 300 à 400 des orphelins de Duplessis sont toujours vivants12.
Liens externes

Le site officiel des Orphelins de Duplessis [archive]
Orphelins de Duplessis, enfants d'asile [archive], Radio-Canada. Date de diffusion : 24 janvier 1993
Orphelins de Duplessis: Bruno Roy dénonce la conspiration de l'Église et de l'État [archive]. Date de diffusion : 27 avril 1994
Le Comité des orphelins et des orphelines institutionnalisés de Duplessis (COOID) [archive]
Le Mouvement Retrouvailles [archive]

Bibliographie et autres médias
Livres

Baugé-Prévost, Jacques, Plaidoyer d'un ex-orphelin réprouvé de Duplessis, Éditions Québecor, Outremont, 1999, 219 pages.
Dufour, Rose, en collaboration avec Brigitte Garneau, Naître rien: des orphelins de Duplessis, de la crèche à l'asile, Éditions MultiMondes, Sainte-Foy, 2002, 324 pages.
Labrosse, Jean-Guy, Ma chienne de vie, Les Éditions du Jour, Montréal, 1964, 141 pages.
Labrosse, Jean-Guy, L'holocauste des orphelins: sous le régime Duplessis, Édition J.-G. Labrosse, Québec, 1983, 198 pages.
Jean-Charles Pagé, “Les fous crient au secours” 1961
Pauline Gill, Les Enfants de Duplessis: l'histoire vraie d'Alice Quinton, orpheline enfermée dans un asile à l'âge de 7 ans, Libre Expressions, Montréal, 1991, 271 pages (réédité en 2004, 385 pages).
Le Protecteur du citoyen, Les “Enfants de Duplessis” : à l'heure de la solidarité : document de réflexion et de consultation pour fins de décision, Le Protecteur du citoyen, Assemblée nationale, Sainte-Foy, 1997, 64 pages.
Roy, Bruno, Les calepins de Julien, XYZ éditeur, Montréal, 1998, 355 pages.
Roy, Bruno, Les heures sauvage, XYZ éditeur, Montréal, 2001, 177 pages.
Vienneau, Rod, Les enfants de la grande noirceur: les orphelins de Duplessis: révélations chocs par la Commission pour les victimes de crimes contre l'humanité dans le dossier des orphelins de Duplessis, Édition R. Vienneau, Joliette, 2008, 251 pages.

Ressource électronique

Emploi et Solidarité sociale (gouvernement du Québec), Le programme national de réconciliation avec les orphelins de Duplessis ayant fréquenté certaines institutions [archive], 2007.

Films et téléséries

Les orphelins de Duplessis, télésérie en quatre épisodes, Production Télé-Action, Diffusion Société Radio-Canada, 1997.
Nestor et les oubliés/Nestor and Forgotten, réalisation Benoît Pilon, Films Seville, 2007, 75 minutes.

Musique

O douce Providence [archive], une composition d'Alyssa Ryvers [archive] avec Hervé Bertrand, orphelin de Duplessis. 2016.

Romans

Le Syndrome E de Franck Thilliez (2010)

Notes et références

↑ Le Mont-Providence était dirigé par la communauté des Sœurs de la Charité de la Providence et était situé au 7200, boulevard Gouin est à Montréal. Vendu au gouvernement du Québec en 1969, l'immeuble est devenu l'Hôpital Rivière-des-Prairies.
↑ L'Hôpital Saint-Anne de Baie-Saint-Paul.
↑ l’Orphelinat Notre-Dame de la Merci d’Huberdeau était situé dans la municipalité d'Huberdeau dans les Laurentides.
↑ L'Hôpital Saint-Jean-de-Dieu est devenu l'Hôpital Louis-H.-Lafontaine et il est situé à Montréal.
↑ L'Hôpital St-Michel-Archange est devenue le Centre hospitalier Robert-Giffard et il est situé dans la ville de Québec.
↑ L'Hôpital Saint-Julien est situé dans la municipalité de Saint-Ferdinand.
↑ Source: Le Protecteur du Citoyen (Daniel Jacoby), document Les « enfants de Duplessis » : à l'heure de la solidarité, Sainte-Foy, 22 janvier 1997.
↑ Encore à ce jour, plusieurs orphelins de Duplessis n'ont pas réussi à obtenir copie de leurs dossiers médicaux conservés chez des communautés religieuses.
↑ le Premier ministre du Québec s’est excusé auprès des Orphelins de Duplessis mais en s’excusant M. Bouchard réduisait toute la tragédie des orphelins de Duplessis à de simples "gestes et attitudes inadmissibles".
↑ C'est uniquement les orphelins ayant été internés dans certaines institutions couvrant une certaine période qui reçurent une compensation. Les autres orphelins, par exemple ceux qui furent exploités comme main-d'œuvre agricole toute leur enfance sans recevoir d'instruction, n'ont reçu aucune compensation.
↑ Tiré du site L'adoption au Québec: le droit de savoir [archive] : extrait de la lettre au ministère de la Justice datée du 4 juin 1999 [archive]: Le drame des Orphelins de Duplessis a pris un tournant des plus sombres avec la découverte récente d’un charnier sur un terrain appartenant à la Société des Alcools du Québec situé à proximité de l’ancien hôpital St-Jean-de-Dieu. Le Journal de Montréal dans son édition du 11 mai 1999 écrit que certains corps seraient ceux de mineurs victimes de sévices, et parmi ceux-ci il y aurait des Orphelins de Duplessis. Ces corps auraient été enterrés sans tombe les uns sur les autres et, ce qui est plus grave, sans enquête indépendante sur les causes du décès. En effet, il faut savoir que le service de police des Sœurs de la Providence était le seul service à enquêter sur les décès survenus sur les terrains de St-Jean-de-Dieu car ce territoire constituait à l’époque une municipalité distincte de Montréal. La vente de ces terrains à la S.A.Q. aurait enrichi les Sœurs de la Providence de 4,9 millions de dollars dans les années 1970. Dans l’acte de vente, signale le journaliste Laurent Soumis, les Sœurs de la Providence "ont pris soin de se dégager de toute responsabilité quant au contenu du sous-sol". Le même journaliste, dans l’édition du lendemain, rapporte que: "En fin d’après-midi, la S.A.Q. soutenait encore n’avoir jamais trouvé de restes sur son terrain. Mais confrontée aux faits, la société d’État a modifié sa version". De plus un procès datant de 1975 soulève des incohérences entre la taille réelle de ce qui était connu à l’époque comme le cimetière de la "soue à cochons", le nombre de cadavres déterrés lors de la fermeture du cimetière en 1967 et les documents officiels des Sœurs de la Providence. Je trouve inquiétant que le gouvernement n’ait pas encore réagi officiellement à toutes ces allégations. Je tiens à vous signaler que Monsieur Bouchard lui-même nous apprend dans son autobiographie qu’il a représenté certaines communautés religieuses lors de la vente de leurs terrains et immeubles dans les années ’70 ce qui soulève un doute raisonnable quant à son impartialité dans ce dossier. M. Soumis relève de nombreux autres faits troublants dans une série d’articles qui ont suivi son article initial du 11 mai.
↑ Scandale sexuel - Les orphelins de Duplessis dénoncent l'inertie de l'Église et exigent ses excuses publiques [archive] Le Devoir, 3 avril 2010.
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