Martha Desrumaux, née le 18 octobre 1897 à Comines (Nord) et morte le 30 novembre 1982 à Évenos (Var), est une figure emblématique du mouvement ouvrier et de la résistance intérieure française, où elle fut l'une des femmes résistantes les plus remarquées. Ouvrière, militante syndicale de la Confédération générale du travail (CGT) et cadre du Parti communiste français (PCF), elle s'investit durant la première moitié du siècle dans de nombreuses luttes sociales afin d'améliorer les conditions de travail et de rémunération des ouvriers, en particulier dans le Nord. Durant la Seconde Guerre mondiale, entrée en Résistance, elle est déportée au camp de concentration de Ravensbrück pendant plus de trois ans. En 1945, elle est nommée déléguée représentante des déportés dans l'Assemblée consultative réunie par le général de Gaulle, devenant l'une des seize premières représentantes parlementaires en France1. Elle est également connue pour son engagement dans la défense des droits des femmes, leur reconnaissance et leur émancipation dans la société. Martha Desrumaux devient membre du Parti communiste français dès 1921, juste après sa création (à l'issue du congrès de Tours). Elle s'implique dans les combats des communistes de cette époque, antimilitarisme, anticolonialisme, antifascisme, etc. Lors d'une réunion à Lille, à la demande de Maurice Thorez, elle rédige un télégramme à l'attention du président de la République Gaston Doumergue, dénonçant la guerre coloniale au Maroc ! À son retour, elle continue à s'investir syndicalement pour aider les ouvrières du textile à s'organiser dans les usines et les ateliers, pour obtenir de meilleures conditions de travail et de meilleurs salaires. Elle crée le journal L'Ouvrière, qui permet l'information pour une meilleure défense des droits des femmes au travail. Pendant près de quinze ans, elle va être le fer de lance de grèves dans toute la région Nord-Pas-de-Calais, de Bailleul à Halluin, d'Armentières à Watten et à Lille, dans une région où le Consortium textile tente de réduire la main-d'œuvre féminine à une simple variable d'ajustement. En 1928, elle est arrêtée pour complot contre la sûreté intérieure et extérieure de l'État et inculpée pour « violences et voies de fait », après avoir organisé des collectes pour la « grève des dix sous », lancée par la CGTU afin de demander une augmentation des salaires de 50 centimes de l'heure. En 1931, elle part pour un an et demi à Moscou étudier à l'École internationale Lénine ; les rapports soviétiques notent son « intelligence », son « enthousiasme » et son « dévouement illimité pour le parti ». C'est dans ce cadre qu'elle rencontre son futur mari, Louis Manguine, de huit ans son cadet ; ils ont un fils, Louis, né en 1937, et se marient officiellement en 1938. À son retour en France, elle intègre le bureau politique du PCF ! Son combat continue avec l'âpreté du chômage liée à la crise économique des années 1930. Dans le cadre de la CGTU, des comités de sans-travail naissent. Pour une meilleure protection des chômeurs et l'instauration d'une assurance-chômage, Martha Desrumaux va accompagner la Marche de la faim de décembre 1933, composée de chômeurs, qui reçoit un soutien populaire sur tout son parcours de Lille à Saint-Denis. Jusqu'en 1935, d'autres marches convergent vers les centres urbains. « Le mouvement des chômeurs fut un embryon des conditions d'union de la classe ouvrière », analyse-t-elle dans un entretien enregistré. Lors de la scission entre la Confédération générale du travail (CGT) et la Confédération générale du travail unitaire (CGTU), en 1922, Martha Desrumaux avait en effet choisi d'aller vers le courant minoritaire. En 1924, elle crée la section CGTU de Comines. À la suite de luttes communes et sous la pression des ouvriers, les deux syndicats refusionnent. Martha Desrumaux est reconnue comme militante syndicale de confiance. Elle est amenée à prendre de plus en plus de responsabilités. En 1935, c'est elle qui représente la CGTU au comité de fusion avec la CGT et qui est chargée de leur réunification dans le Nord. En 1936, dans le sillage de Léon Jouhaux et Léon Blum, elle devient l'une des grandes animatrices de la stratégie de Front populaire dans le Nord. Jean Renoir la repère pour jouer son propre rôle dans le film La vie est à nous, consacré à cette campagne électorale. Elle est la seule femme membre de la délégation ouvrière aux accords Matignon. Benoît Frachon s'appuie sur elle pour négocier des augmentations de salaires importantes face au patronat, qui refusait jusque-là le moindre geste. Cette même année 1936, elle est aux côtés de Danielle Casanova lors de la création de l'Union des jeunes filles de France, dont Martha Desrumaux prend la direction pour le Nord. C'est le pendant féminin des Jeunesses communistes, qui milite pour l'émancipation des jeunes femmes et l'égalité entre les sexes. L'année suivante, elle s'implique aussi pour aider les Républicains espagnols et faire partir les volontaires des Brigades internationales.
Au sujet du Pacte germano-soviétique (1939), elle déclare a posteriori : « Il fallait le faire » et ne critique pas Joseph Staline !Menacée par la répression anti-communiste en septembre 1939, elle se réfugie en Belgique auprès du dirigeant de l'Internationale communiste Eugen Fried. Dès le mois de mai 1940, le Nord-Pas-de-Calais est occupé par la Wehrmacht. Martha Desrumaux revient à Lille et réorganise le Parti communiste clandestinement. Son mari est mobilisé puis prisonnier de guerre et elle n'a plus de domicile depuis une perquisition de 1939. Fin mai 1940, elle réunit à Dechy, dans le Douaisis, une dizaine de mineurs qui élaborent un cahier de revendications imprimé par un petit imprimeur, diffusé à cinq mille exemplaires. Selon Auguste Lecoeur, Martha Desrumaux donnait des consignes légalistes quasiment pro-allemandes et envoyait des délégations de grévistes directement à la Kommandantur défendre les revendications des mineurs, ce qu'elle a démenti, tout comme les divergences au sein du Parti communiste français entre les directions du Nord et du Pas-de-Calais.
En juin 1940 dans la région de Lille, le groupe auquel elle appartient distribue des tracts en langue allemande et, en juillet 1940, elle évoque le projet d'une grève des mineurs. À partir de l'automne 1940, Auguste Lecœur et Julien Hapiot développent l'action dans le Pas-de-Calais. De septembre 1940 à mai 1941, plusieurs arrêts de travail et des manifestations de femmes mobilisent les familles de mineurs du bassin minier. Du 27 mai au 9 juin 1941, cent mille mineurs sont en grève et la production est totalement arrêtée. Elle devient une figure de la résistance intérieure française ou sera présentée comme telle par le PCF après la guerre. Ses faits de résistance seront évoqués par Maurice Thorez le 12 mars 1943, qui rédige depuis l'Union soviétique une évaluation positive de son activité. Dénoncée par le préfet du Nord, Fernand Carles (1886-1945), elle est arrêtée par la Gestapo le 26 août 1941 à Lille. Mise au secret à la prison de Loos, elle est transférée dans les prisons allemandes puis déportée en mars 1942 au camp de Ravensbrück. Elle y organise le soutien des plus faibles avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Marie-Claude Vaillant-Couturier. Malgré les conditions de vie extrêmes, les maltraitances, les privations, les maladies, les femmes trouvent des moyens de résister à leurs geôliers en sabotant leurs outils de travail ou encore en donnant un peu d'humanité aux nouvelles arrivantes. Martha Desrumaux est atteinte du typhus. Elle est libérée de Ravensbrück et rapatriée par la Croix-Rouge en avril 1945. Dès son retour, elle tient à participer à un meeting pour expliquer les horreurs du système concentrationnaire. Le droit de vote et d'éligibilité est accordé aux femmes en 1944. Martha Desrumaux est élue aux élections de 1945 au conseil municipal de Lille. Celle qui était surnommée « la pasionaria du Nord » reprend ses responsabilités à l'Union des syndicats CGT du département. Elle en est co-secrétaire avec Marcel Tourbier. Nommée déléguée à l'Assemblée consultative en 1945, au titre des représentants des prisonniers et déportés, elle n'a pu y siéger bien longtemps, étant malade7. En 1950, elle est contrainte de se démettre de ses fonctions à l'Union départementale des syndicats CGT. Après 1950, elle s'occupe de la Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes pour défendre les droits des anciens déportés résistants et faire connaître leurs valeurs. Ouvrière et féministe, elle a toujours milité afin que les jeunes filles et les femmes puissent prendre des responsabilités au sein du mouvement syndical et des organisations politiques. Durant les Trente Glorieuses, la société ne semble pas évoluer assez vite pour elle. Elle va donc continuer à militer pour l'émancipation des femmes, au sein de l'Union des femmes françaises, née en 1945, association qui évoluera sous le nom de Femmes solidaires. Martha Desrumaux meurt le 30 novembre 1982, le même jour que son mari Louis Manguine, lui-même ancien métallurgiste et syndicaliste. Ils sont enterrés à Évenos (Var), où ils s'étaient retirés à la fin de leur vie.
Titre : De profundis clamavi
Poète : Charles Baudelaire (1821-1867)
Recueil : Les fleurs du mal (1857).
Sonnet.
J'implore ta pitié, Toi, l'unique que j'aime,
Du fond du gouffre obscur où mon coeur est tombé.
C'est un univers morne à l'horizon plombé,
Où nagent dans la nuit l'horreur et le blasphème ;
Un soleil sans chaleur plane au-dessus six mois,
Et les six autres mois la nuit couvre la terre ;
C'est un pays plus nu que la terre polaire ;
- Ni bêtes, ni ruisseaux, ni verdure, ni bois !
Or il n'est pas d'horreur au monde qui surpasse
La froide cruauté de ce soleil de glace
Et cette immense nuit semblable au vieux Chaos ;
Je jalouse le sort des plus vils animaux
Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide.
Tant l'écheveau du temps lentement se dévide !
Charles Baudelaire.
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 5 min
À une heure du matin !
Ambroise Croizat, né le 28 janvier 1901 à Notre-Dame-de-Briançon (Savoie) et mort le 11 février 1951 à Suresnes (Hauts-de-Seine), est un syndicaliste et homme politique français, membre du Parti communiste français et fondateur de la Sécurité sociale.
TAY
Ainsi, Ia deuxième circonscription de la Savoie à d'abord été délimitée par le découpage électoral de la loi no 86-1197 du 24 novembre 1986 mais depuis l'ordonnance no 2009-935 du 29 juillet 2009 ratifiée le 21 janvier 2010 : dit le 23 juin 1988 jusqu'au 1er mai 1993 !
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Pierre Laroque a été directeur général des assurances sociales, puis de la Sécurité sociale d'octobre 1944 à octobre 1951. De concert avec Alexandre Parodi, puis avec Ambroise Croizat, il contribue de manière importante à mettre en œuvre la Sécurité sociale en France !
TAY
Alexandre Parodi, né le 1er juin 1901 à Paris, est un haut fonctionnaire, résistant et homme politique français, compagnon de la Libération : le Spleen de Paris ! il m'est donc permis de me délasser dans un bain de ténèbres de Charles Baudelaire !
TAY
Alexandre Parodi, né le 1er juin 1901 à Paris, est un haut fonctionnaire, résistant et homme politique français, compagnon de la Libération : le Spleen de Paris ! il m'est donc permis de me délasser dans un bain de ténèbres de Charles Baudelaire !
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L'Assemblée consultative provisoire est une assemblée française représentant les mouvements résistants, les partis politiques et les territoires engagés dans la guerre aux côtés des Alliés sous la direction du Comité français de libération nationale (CFLN). Réunie en application de l’ordonnance du Comité français de libération nationale du 17 septembre 1943, elle tint d'abord ses séances à Alger, au palais Carnot (ancien siège des Délégations financières), entre le 3 novembre 1943 et le 25 juillet 1944. Le 3 juin 1944 elle est placée sous l'autorité du Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) qui succède au CFLN. Après la Libération, renouvelée et élargie, elle tint ses sessions à Paris, au palais du Luxembourg, entre le 7 novembre 1944 et le 3 août 1945. La proposition de créer, auprès de la future autorité française unifiée, un « Conseil consultatif de la Résistance française » avait ensuite figuré dans le mémorandum du 26 février 1943 adressé par le Comité national de Londres au général Giraud. Pour assurer le moins imparfaitement possible la représentation de la véritable majorité des Français, quatre catégories de membre furent délégués à l'Assemblée consultative : les représentants de la Résistance en métropole, ceux de la Résistance extra-métropolitaine, les représentants du Sénat et de la Chambre des députés, les représentants des conseils généraux des territoires de la France libre (Algérie et territoires d'outre-mer). Leur nombre fut modifié au fil des sessions. L'ordonnance du 6 décembre 1943 le porta de 84 à 102 délégués. Les listes et répertoires dressés selon les procès-verbaux de cette Assemblée1 enregistrent des décès, des validations, des invalidations, qui rendent aléatoires un chiffrage des délégués présents à Alger jusqu'en juillet 1944. Après le transfert à Paris du Gouvernement provisoire de la République française, le nombre des délégués et la composition de l'Assemblée consultative furent profondément modifiés. Par ordonnance du 11 octobre 1944, le nombre des délégués passa à 248 ; ils siégèrent à partir du 7 novembre 1944. L'ordonnance du 22 juin 1945 ajouta une cinquième catégorie de membres, réservée aux prisonniers et déportés de retour d'Allemagne : 47 membres sont nommés en juillet. Ils ne siègent que peu de temps, l'assemblée provisoire se séparant au soir du 3 août 1945, pour faire place au processus institutionnel des élections de députés constituants. L'assemblée comptait alors 295 membres. En novembre 1943, 40 représentants des différents mouvements de résistance de métropole furent délégués par le Conseil national de la Résistance (CNR), y compris parmi les partis politiques qui en étaient membres, et envoyés à Alger. À ce titre, cinq délégués représentaient la CGT et deux délégués représentaient la CFTC. L'ordonnance de décembre 1943 fit passer les représentants de la Résistance métropolitaine à 49. En novembre 1944, délégués directement par les mouvements et organismes de la Résistance, les partis politiques et les syndicats, 148 hommes et femmes siègent à ce titre. Les dix-neuf délégués du Conseil national de la Résistance étaient membres de droit : ils représentaient eux-mêmes la pluralité du CNR. À Alger puis à Paris, ces organisations et leurs délégués sont les suivants :
La Résistance métropolitaine à Alger
Ceux de la Libération : 3 ; Hyacinthe Azaïs, Gilbert Médéric-Védy (remplacé par Marcel Lévêque), René Vivier dit Pierre Ribière.
Ceux de la Résistance : 2 ; Jacques Lecompte-Boinet dit Jacques Mathieu-Fréville, Jean-Jacques Mayoux.
Combat : 3 ; René Cerf-Ferrière, Henri Frenay (remplacé par Charles Giron puis par Émile Andrieu), André Hauriou.
CFTC : 2 ; Max Francke, Marcel Poimbœuf.
CGT : 5 ; Albert Bouzanquet, Georges Buisson, Ambroise Croizat, Pierre Fayet, Albert Gazier.
Corse : 2 ; Arthur Giovoni, Henri Maillot.
Forces unies de la jeunesse patriotique : 1 ; Pierre Gauthier
France au combat : 1 ; Pierre Malafosse dit Pierre Maurrier
Franc-tireur : 3 ; Eugène Claudius-Petit, Noël Clavier, Jean-Jacques Soudeille.
Libération-Nord : 3 ; Jacques Brunschwig-Bordier, Albert Van Wolput dit Albert Bosman, Charles Laurent.
Libération-Sud5 : 4 ; Raymond Aubrac, Michel Dumesnil de Gramont, Yvon Morandat, Louis Vallon.
Organisation civile et militaire : 4 ; André Basse, André Postel-Vinay, Roger Farjon, Robert Prigent.
Parti communiste français : 3 ; Fernand Grenier (puis Joanny Berlioz), André Mercier, Henri Pourtalet.
Parti démocrate populaire: 1 ; Paul Viard
Parti radical-socialiste : 2 ; Marcel Astier (puis Paul Anxionnaz), Marc Rucart.
Parti socialiste : 3 ; Just Évrard, Édouard Froment, André Le Troquer (puis Roger Mistral).
Parmi ces délégués, Gilbert Védy rentra en Métropole pour assurer la direction de son mouvement Ceux de la Libération, décimé par les arrestations. Arrêté par la police française le 21 mars 1944, il se suicida pour ne pas parle !
Mouvements de la Résistance
Conseil national de la Résistance : 19 ; Emmanuel d'Astier de la Vigerie, Antoine Avinin, Paul Bastid, Maxime Blocq-Mascart, Robert Chambeiron, André Colin, Jacques Debu-Bridel, Marcel Degliame, Benoît Frachon, Auguste Gillot, Joseph Laniel, Jacques Lecompte-Boinet, Daniel Mayer, Pierre Meunier, André Mutter, Henri Ribière, Louis Saillant, Gaston Tessier, Pierre Villon.
Ceux de la Libération : 6 ; Jean Ginas, Marcel Lévêque, Étienne Nouveau, Pierre Rulhmann, Marianne Verger, René Vivier.
Ceux de la Résistance : 6 ; Jean Dulac, Léo Hamon, Jean-Jacques Mayoux, Jean Prouvé, Pierre Stibbe, Jean de Vogüé.
Combat : 6 ; Jacques Baumel, Maurice Chevance, André Hauriou, Jean-Daniel Jurgensen, Max Juvénal, Lucien Roubaud.
Défense de la France : 2 ; Robert Salmon, Philippe Viannay.
Forces unies de la jeunesse patriotique : 6 ; Guy de Boysson, Léopold Figuères, Pierre Gauthier, René-Georges Laurin, Jean Pronteau, René Thuillier.
France au Combat : 3 ; Aristide Blank, Andrée Defferre, Pierre Malafosse
Franc-tireur : 6 ; Albert Bayet, Pierre Degon, Alice Delaunay, Étienne Laboureur, Jean Lépine, Eugène Claudius-Petit.
Front national7 : 12 ; Madeleine Braun, Laurent Casanova, Henri Choisnel, Henri Eberhard8 (puis Louis Bergeron), Justin Godart, Frédéric Joliot-Curie (puis Henri Wallon), Georges Marrane, Ernest Perney9, R.P. Philippe10, Roger Roucaute, André Tollet, Michel Zunino.
Libération-Nord : 6 ; Albert Van Wolput dit Albert Bosman, Roger Deniau, Charles Laurent, Pierre Neumeyer, Jean Texcier, Paul Verneyras (puis Jacques Brunschwig-Bordier).
Libération-Sud : 6 ; Lucie Aubrac, Robert Bine, Pascal Copeau, Jean Worms-Germinal, Pierre Hervé, Maurice Kriegel-Valrimont.
Libérer et fédérer : 1 ; Gilbert Zaksas.
Lorraine : 1 ; René Fallas.
Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés : 4 ; Jacques Bénet, Pierre Bugeaud, Philippe Dechartre, Étienne Gagnaire.
Organisation civile et militaire : 6 ; Robert Kaskoreff, dit Jean Birien (puis Charles Verny), Jean Dordain, Georges Izard, Marie-Hélène Lefaucheux, Robert Prigent, Jacques Rebeyrol.
Patriam Recuperare : 1 ; Gustave Eychène (puis Albert Kirchmeyer).
Résistance : 2 ; Jean Fauconnet, Robert Lecourt.
Union des femmes françaises : 2 ; Mathilde Gabriel-Péri, Pauline Ramart.
Voix du Nord : 2 ; Gaston Dassonville, Georges Vankemmel
Confédérations syndicales et professionnelles
Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) : 4 ; Jules Catoire, Maurice Guérin, André Paillieux, Marcel Poimbœuf.
Confédération générale du travail (CGT) : 12 ; Albert Bouzanquet, Georges Buisson, Marie Couette, Ambroise Croizat, Marc Dupuy, Pierre Fayet, Julien Forgues, Albert Gazier, Henri Martel, Gérard Ouradou, René Peeters, Raymond Perrier.
Confédération générale de l'agriculture (CGA) : 2 ; Marcel Desmeroux, René Louis.
Confédération générale des paysans travailleurs (CGPT) : 2 ; Bernard Paumier, Waldeck Rochet.
Confédération des travailleurs intellectuels : 1 ; André Sainte-Lagüe.
Union des cadres industriels français : 2 ; Pierre Le Brun, Roger Schwob
Partis politiques
Alliance démocratique : 3 ; Robert Bruyneel, Robert Nisse, Georges Oudard.
Démocrates populaires : 4 ; Paul Bacon, Francisque Gay, Alphonse Juge, Pierre Tremintin.
Fédération républicaine : 3 ; Jean Guiter, Alfred Oberkirch (remplacé par Robert Pimienta), Jacques Poitou-Duplessy (remplacé par Pierre Lebon).
Parti communiste français : 6 ; Marcel Cachin, Georges Cogniot, Jacques Duclos, Fernand Grenier, André Mercier, Maurice Thorez.
Parti radical-socialiste : 6 ; Paul Anxionnaz, Pierre Cot, Pierre Mazé, Gaston Monnerville, Marc Rucart, Théodore Steeg.
Parti socialiste (SFIO) : 6 ; Gaston Defferre, Édouard Depreux, Just Évrard, Marcel-Edmond Naegelen, Robert Verdier, Andrée Viénot.
Représentants de la Résistance extra-métropolitaine
12 délégués représentent la résistance extra-métropolitaine. Leur nombre passe à 21 en décembre 1943. Cinq de ces représentants proviennent des 800 Comités de la France libre dans le monde11: en Grande-Bretagne, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud, aux États-Unis, au Canada. Six représentent la Résistance en Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie), sept sont délégués au titre du ralliement des colonies (AOF, Indochine, Nouvelle-Calédonie, Madagascar, Cameroun, AEF, AEF Gabon). Le nombre des délégués de cette catégorie passe à 28 en novembre 1944. Deux y représentent la Corse.
À Alger
Algérie : Henri d'Astier de la Vigerie, René Capitant (puis Paul Tubert).
Maroc : Paul Aurange, Pierre Parent.
Tunisie : Joseph Costa, Jean Debiesse.
Comités français à l'étranger : Félix Boillot (Grande-Bretagne), R.P. Anselme Carrière (Moyen-Orient), Albert Guérin (Amérique du Sud), Francis Perrin (États-Unis), Marthe Simard (Canada).
France combattante : Guy Baucheron de Boissoudy, René Cassin (Londres).
Ralliement des colonies : Antoine Bissagnet (AOF), Jean Bourgoin (Indochine), Roger Gervolino (Nouvelle-Calédonie), Joseph Girot (Madagascar), Pierre Guillery (Cameroun), René Malbrant (AEF), Henri Seignon (Gabon).
Parmi ces délégués, Antoine Bissagnet, qui avait rejoint la France libre à Dakar dès septembre 1940, quittait Alger en juin 1944 pour s'engager dans les combattants du front. Il mourrait au combat face aux allemands le 10 août 1944, à Doucelles (Sarthe).
À Paris
Algérie : José Aboulker, Paul Tubert.
Maroc : Paul Aurange, Pierre Parent.
Tunisie : Joseph Costa, Jean Debiesse.
Comités français à l'étranger : René Cassin (puis Félix Boillot) (Grande-Bretagne), R.P. Anselme Carrière (Moyen-Orient), Albert Guérin (Amérique du Sud), Francis Perrin (États-Unis), Marthe Simard (Canada).
Corse : Arthur Giovoni, Henri Maillot.
France combattante : Guy Baucheron de Boissoudy, Gilberte Brossolette, Henri Debidour, Georges Gorse, Claude Hettier de Boislambert, Alain Savary (puis Philippe Kieffer), Maurice Schumann.
Ralliement des colonies : Jean Bourgoin (Indochine), Roger Gervolino (Nouvelle-Calédonie), Joseph Girot (Madagascar), Pierre Guillery (Cameroun), Maurice Kaouza (AOF), René Malbrant (AEF), Henri Seignon (AEF Gabon), Alexandre Varenne (Océanie).
Représentation du Sénat et de la Chambre des députés
À Alger
En novembre 1943, 20 représentants des parlementaires, n'ayant pas voté les pleins pouvoirs à Pétain, furent choisis dans les diverses familles politiques, mais certains des parlementaires souhaités par de Gaulle ne purent se rendre à Alger :
5 socialistes dont 4 siégèrent : Vincent Auriol, Félix Gouin, Jules Moch, Jean Pierre-Bloch
5 Radicaux et USR, dont 4 siégèrent : Pierre Cot, Paul Giacobbi, Pierre-Olivier Lapie, Henri Queuille17, puis Marcel Astier
3 communistes : François Billoux, Florimond Bonte, André Marty. Nommé au CFLN le 4 avril 1944, Billoux est remplacé par Étienne Fajon
7 des groupes du centre et de la Droite, dont 3 purent siéger dès novembre 1943 : Paul Antier, Louis Jacquinot, Joseph Serda. Louis Marin qui ne put rejoindre Londres qu'en avril 1944 siégea peut-être après cette date !
Plusieurs autres parlementaires siégèrent à l'Assemblée consultative d'Alger, mais au titre de délégués de la Résistance métropolitaine, des conseils généraux ou territoriaux : Ambroise Croizat (CGT), Roger Farjon (OCM), Fernand Grenier puis en avril 1944 Joanny Berlioz (PCF), Édouard Froment (SFIO), André Le Troquer21 (SFIO), André Mercier (PCF), Henri Pourtalet (PCF), Marc Rucart (Parti radical), Paul Cuttoli (Constantine), Victor Sévère (Martinique).
Les parlementaires ayant voté les pleins pouvoirs au maréchal Pétain y étaient en principe inéligibles. Toutefois, cette inéligibilité était susceptible d’être levée par le CNR ou par le CFLN.
À Paris
En novembre 1944, le nombre de délégués anciens parlementaires de la Troisième République passa à 60 membres. Ils étaient issus des groupes :
communiste : 7 ; Joanny Berlioz, Florimond Bonte, Étienne Fajon, Raymond Guyot, André Marty, Gaston Monmousseau, Arthur Ramette.
socialiste : 16 ; Jean-Fernand Audeguil, Vincent Auriol, Georges Bruguier, Édouard Froment, Félix Gouin, Louis Gros, André Le Troquer, Robert Mauger, Jean Meunier, Jules Moch, Louis Noguères, André Philip, Jean Pierre-Bloch, Paul Ramadier, Jean-Louis Rolland, Henry Sénès.
démocrate populaire : 1 ; Paul Simon.
gauche indépendante de la Chambre des députés : 4 ; Paul Boulet, Maurice Delom-Sorbé, Maurice Montel, Philippe Serre.
républicain radical et radical-socialiste de la Chambre des députés : 8 ; Henri Gout, André Isoré, Alexis Jaubert, Albert Le Bail, Gaston Manent, Jean Mendiondou, Jean-Emmanuel Roy, Gaston Thiébaut.
gauche démocratique radicale et radicale socialiste du Sénat : 8 ; Marcel Astier, Pierre Chaumié, Paul Fleurot, François Labrousse, Jean Odin, Joseph Paul-Boncour, Marcel Plaisant, Camille Rolland.
autres groupes parlementaires et n'appartenant à aucun groupe : 17 ; Joseph Bastide, André Baud, Laurent Bonnevay, Pierre de Chambrun, Auguste Champetier de Ribes, Joseph Denais, Émile Fouchard (remplacé par René Nicod), Bernard de la Groudière, André Honnorat, Paul Ihuel, Pierre-Olivier Lapie, Léon Lauvray, Joseph Lecacheux, Louis Marin, Jean-Jacques Urban (remplaçant Paul Ramadier), Alexis Wiltzer, Jules Wolff.
D'autres parlementaires siégèrent à l'Assemblée consultative de Paris, délégués par les mouvements et organismes de Résistance, dont les partis politiques, et en juillet 1945 parmi les représentants des prisonniers et déportés : au total, 100 parlementaires furent délégués à l'Assemblée consultative.
Parmi les 60 parlementaires désignés en novembre 1944 pour siéger dans cette catégorie, 38 avaient voté « non » le 10 juillet 1940 à Vichy. Quatre autres opposants au vote des pleins pouvoirs à Pétain23 siégeaient à un autre titre. Au total, 42 des 80 parlementaires ayant voté « non » en juillet 1940 siégeaient à l'Assemblée consultative24. Onze autres étant décédés entretemps, 27 des parlementaires ayant voté « non » n'y siégèrent pas, malgré leur demande. Cela tient en partie au fait que la désignation des représentants du Parlement était faite en proportion des effectifs des groupes parlementaires tels qu'ils étaient constitués au 3 septembre 1939.
Représentation des territoires et des colonies en guerre
La représentation des territoires de la France combattante était assurée par 12 représentants des conseils territoriaux. Les mêmes délégués siégèrent à Alger et à Paris.
2 pour chacun des trois conseils généraux des départements d’Algérie :
Alger : Marcel Duclos, Auguste Rencurel
Constantine : Mohamed Bendjelloul, Paul Cuttoli
Oran : Raymond Blanc, Pascal Muselli
1 pour chaque conseil général colonial : Albert Darnal (Guyane), Paul Valentino (Guadeloupe), Déïva Zivarattinam (Inde française), Victor Sévère puis (janvier 1944) Maurice Desétages (Martinique), Michaël de Villèle (La Réunion).
1 pour le conseil colonial du Sénégal : Ely-Manel Fall
La représentation des assemblées financières d’Afrique du Nord ne siégeait qu'à Alger. Elle comprenait :
6 membres des Délégations financières d’Algérie : Smaïl Lakhdari, Émile Lombardi, Louis Morel, Maurice Raoux, Abdennour Tamzali, Émile Vegler.
3 membres du Conseil de gouvernement chérifien (Maroc) : Albert Brun, Francis Debare, Antoine de Peretti.
2 membres du Grand Conseil tunisien : Marcel Casabianca, Tahar Ben Ammar.
Représentants des prisonniers et déportés
Quarante-sept délégués siégèrent à ce titre en juillet-août 1945. Cette catégorie est instituée par ordonnance le 22 juin 1945. Les délégués nommés sont validés les 19 et 20 juillet. Le 24 juillet, le bureau de l'Assemblée s'adjoint Claude Bourdet comme cinquième vice-président. Ces délégués qui siégèrent jusqu'au 3 août sont :
29 au titre de la Résistance métropolitaine : Paul Arrighi, Jean d'Astier de la Vigerie26, Étienne Bécart, Claude Bourdet, Jacques Brunschwig-Bordier, Edmond Debeaumarché, Martha Desrumeaux, Gabriel Goudy, Jean-Maurice Hermann, Annie Hervé, Georges Heuillard, André Leroy, Louis Martin-Chauffier, Victor Michaut, Jean Micheau, Edmond Michelet, Guy de Moustier27, Marcel Paul, Marcel Prenant, Rémy Roure, Georges Salan, Georges Savourey, Pierre Ségelle, Charles Serre, Jacques Simonet, Henri Teitgen, Pierre Traversat, André Ulmann, Marie-Claude Vaillant-Couturier;
12 au titre de la Résistance parlementaire : Vincent Badie, Camille Bedin, Jean Biondi, Jean Crouan, Octave Crutel, Yvon Delbos, Albert Forcinal, Max Lejeune, Georges Maurice, Georges Mazerand, Adrien Mouton, Hervé Nader;
5 au titre de la Résistance extra-métropolitaine : Louis Brunet, Claire Davinroy, François Faure, Pierre Julitte, Eugène Robert;
1 au titre des conseils généraux d'outre-mer : Francis Valleur.
Les compétences de l’Assemblée consultative
Les compétences de cette assemblée étaient censées être purement consultatives, tout en pouvant être exercées à l’initiative du CFLN, ou à celle de l’assemblée :
Compétences législatives !
Consultations à l’initiative du CFLN :
L’Assemblée devait obligatoirement être consultée par le CFLN sur ses projets d’ordonnances.
Les avis de l’Assemblée devaient être mentionnés dans les références des textes adoptés.
Consultations à l’initiative de l’Assemblée (Avis)
Les avis dont l’assemblée prenait l’initiative, aux 2/3 de ses membres, étaient à mentionner dans les références des propositions de réformes adressées au CFLN.
Compétences politiques
Lors des interventions des commissaires (ministres) devant l’Assemblée, il était possible aux membres de cette instance de les questionner et de les interpeller. Ainsi naquit, de la part de cette dernière un pouvoir de pression politique sur le Comité.
Ainsi, bien que composée de membres nommés et purement consultative, cette assemblée fit-elle preuve d’une grande indépendance, ainsi que d’une forte capacité de critique et de pression sur le CFLN.
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 3h
En réponse à @Elysee
DU 10 FÉVRIER 2010 AU MERCREDI 2 OCTOBRE 2024
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1688p25-du-10-fevrier-2010-au-mercredi-2-octobre-2024#16024LE PHARE DES ORPHELINS ET L'OBSERVATOIRE DES MOUVEMENTS
http://leclandesmouettes.1fr1.net/t1093-le-phare-des-orphelins-et-l-observatoire-des-mouvements
LA GARDIENNE DES ÉPHÈMERES ET L'ÉCHELLE DE JACOB
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t1721-la-gardienne-des-ephemeres-et-l-echelle-de-jacobÊTRE OU VIVRE DANS LE MYTHE DE THÈBES ?
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 3h
En réponse à @ecb
AINSI DANS LE TUMULTE DU TEMPS, LA LAÏCITÉ EST LA CONSCIENCE D'UNE CONVICTION ENTRE TOUS LES ÊTRES ET LES ÉTHIQUES SELON LES CROYANCES, LES CHIFFRES ET LES RYTHMES. LES TYRANS CONSTRUISENT LE TUMULTE ET LA RÉALITÉ FORGE LA FORCE DANS LA NATURE.
TAY
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE POINTE SA LUEUR VERS LE CYCLONE ET SA CONVICTION D'ÊTRE DÉFIENT LES POLLUEURS !
ELLE DONNE DE SON LA POUR ACCOMPAGNER DE SES ÉMOTIONS ET DE SA LUMIÈRE QUI EST VERS LE MISÉRICORDIEUX DU SINAÏ ET EN L'ÉVOLUTION DE YAHVÉ !
L'EXISTENCE EN LA JUSTICE ?
TAY
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE VOIT QUE LES VENTS AUSTRALS ET BORÉALS RÉSONNENT SUR LA NOTE D'INFINI QU'EST L'HORIZON SUR TERRE,
LE DEVENIR DANS LE FEU, EN LA TERRE ET VERS L'AIR !
MÉDICAL DES CHOSES EST DE SOIGNER ET
UN SILLAGE DE GRAIN DONNE LE RÉVÉLATEUR D'UNE TERRE FERTILE.
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 19h
LE DRAME ET L'OUBLI D'UN SECTEUR PUBLIC EN LE TRAVAIL ET LA MODERNITÉ ONT FAIT QUE DES ADMINISTRATIONS SE SONT RETROUVÉES ESSEULÉES DANS LA DÉONTOLOGIE ET LA CONJUCTURE POUR ÊTRE DÉVORER PAR UNE FAUSSE CONCURRENCE OU UNE EXPANSION DE COUCHE EN L'INFORMATION ET LA STRUCTURE !
TAY
LE SECTEUR PUBLIC EN FRANCE EST DE SE RAPPELER DES ERREURS ENVERS MAÎTRE VITALIS DE RÉMI SANS FAMILLE DE VICTOR HUGO :
LE PARTAGE DE LA RUE ET LA VITALITÉ DE LA PAROLE EST QUE NOUS PUISSONS AVOIR UNE COHÉRENCE DE TEMPS SUR LA RICHESSE ?
JOIES ET SOURIRES SONT DIMENSIONELLES !
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 19h
En réponse à @AssembleeNat et @MichelBarnier
LA TRIGONOMÉTRIE DANS LA FONCTION PUBLIQUE OÙ LE FONCTIONNAIRE PEUT EN CERTAINES POSITIONS, QUITTER SON SERVICE SANS RENONCER À SON GRADE OÙ LA CARRIÈRE NE COMPORTE PAS QU'UNE SEULE VOIE DANS UN ANGLE NON AIGU AUX FORMULES ÉVIDENTES :
LE LIBREMENT, LE RESPECT ET LA COHÉSION !
TAY
CE VOULOIR DE FAIRE TOURNER LES AIGUILLES D'UNE MONTRE EN LEUR SENS INVERSE !
ON A TOUS RESSENTIS CE SENTIMENT DE L'ORIENTATION DANS UN MÉCANISME DU VIVANT PLUS QUE EN CELUI DU CHRONOMÈTRES :
ORIGINE FIXE 0 QU'EN O EN NOTRE RÉALITÉ GÉOGRAPHIQUE OU SIDÉRAL ?
VAINES ET VEINES !
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 12 min
En réponse à @AssembleeNat
LE VÉRITABLE EST LE RÉACTIF DES URGENCES ET DANS LE SOUFFLE DU QUOTIDIEN !
EN SON PRAGMATISME, IL EST ENCLIN AUX ÉPOUVANTES DES MINUTES ET AUX FATALISMES DES DÉCLINAISONS RECHERCHANT
LA JUSTICE, LA VÉRITÉ ET LES TÉMOIGNAGES :
LA PRÉSENCE, LE VERBE, L'ESSENCE ET L'EXISTENCE !
TAY
TIBÈRE EN L'INTERPRÉTATION DES MUTILATIONS OÙ LE SADISME MALSAIN EST RÉEL QU'IL SOIT LIÉ À DES RITES RELIGIEUX OU MÉDICAUX CAR,
IL Y A TOUJOURS DES CHEVAUX OU DES ENFANTS QUI SERVENT DE COBAYES À DES TORTURES OU DES SADISMES DANS L'INTERPRÉTATION DES VICES ET DES CONSCIENCES.
TAY
LE PREMEIER MINISTRE MICHEL BARNIER OIT LES PLAINTES SUR DES CHEVAUX OU DES ENFANTS QUI SERVENT DE COBAYES À DES TORTURES OU DES SADISMES DANS L'INTERPRÉTATION DES VICES ET DES CONSCIENCES :
SENTIMENTS, LA LOI DISTINGUE LA TEMPÉRATURE D'UN MOTEUR ET LE MOUVEMENT CLIMATIQUE !
TAY
LE PEUPLE S'INTÉRESSE AUX ORIGINES CAR PRÉOCCUPÉ PAR SON ASSIETTE, SON ASCENSION, SES DROITS, SES CONVICTIONS, SES CONSCIENCES EN LA PRIÈRE ET LA LAÏCITÉ :
LE PEUPLE N'EST PAS UNE MASSE INERTE CAR IL S'AGIT D'UN CORPS, D'UNE ENTITÉ, D'UN VIF EN LES UTOPIES ET LE PATRIOTISME !
TAY
TÉMOIGNAGES DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
AINSI QUE PROTECTEUR DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DU SAHARA OCCIDENTAL ET CITOYEN DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE !
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET DE DAME CHARLOTTE DU STYLISME ARTISANAL DE LA CHAMBRE SYNDICALE : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini !