FAIBLESSES D'ARIANE 5 IN EUROPE’S NEWEST ROCKET

Airbus Atlantic est un leader industriel mondial, un pilier essentiel d’Airbus et un partenaire de choix pour ses clients du monde entier. En s’appuyant sur ses équipes hautement qualifiées et son esprit entrepreneurial, Airbus Atlantic innove, définit de nouvelles normes d’excellence industrielle et prépare l’avenir pour une industrie aérospatiale compétitive et durable. Avec un volume d'activité de 3.8 milliards d’euros en 2022 et 13 000 collaborateurs répartis dans 5 pays et 3 continents, Airbus Atlantic est un champion de dimension mondiale : numéro 2 des aérostructures, numéro 1 des sièges pilotes et dans le Top 3 des fauteuils passagers Premium, commercialisés sous la marque STELIA Aerospace. L’entreprise s’appuie sur l’expertise technique des ingénieurs de son Bureau d’Études, comme sur ses 9 sites et filiales en France et ses 7 filiales à l’international. Cette implantation mondiale lui confère une grande réactivité et une forte compétitivité, pour assurer la satisfaction de ses clients !

NASA’s Hubble Space Telescope has one of the most accurate pointing systems of any spacecraft. It captures light from distant objects billions of light-years away (one light-year is 5.88 trillion miles) that appear as specks a few pixels tall in the camera. Such observations require pinpoint accuracy and a fixed, steady gaze as Hubble speeds some 17,000 miles per hour (27,000 km/hour) around Earth. Hubble’s pointing and control system is equivalent to keeping a laser shining on a dime over 200 miles (320 km) away for however long Hubble takes a picture – up to 24 hours. Any movement beyond that level of accuracy would make the image blurry or throw Hubble off the target.

Hubble achieves such precision with an array of sensors that help determine where it is pointing. These include: sun sensors that identify the direction of the Sun relative to the spacecraft; magnetometers that calculate Hubble’s direction compared to Earth’s magnetic field, like a compass; star trackers that compare the stars in a portion of the sky to a star map to determine where Hubble is pointing; fine guidance sensors that lock onto selected “guide” stars near Hubble’s target and monitor if the spacecraft is moving off of them; and gyroscopes that determine if Hubble is turning, how fast, and in what direction.

What are Gyroscopes?
Gyroscopes, or gyros, use the principles of angular momentum, to determine the telescope’s motion and speed along its three axes: is it pitching up or down, yawing left or right, or rolling along the barrel? Each of Hubble’s six gyros holds a wheel spinning at a constant 19,200 revolutions per minute, creating angular momentum. Because the laws of physics require the conservation of angular momentum, when the telescope turns, it creates a force that causes the axis of the spinning wheel to tilt, moving it away from its original position. By measuring the displacement of the axis, we measure the force being applied to it by the turning spacecraft. The spacecraft uses this information to determine the velocity and direction it is turning.

You may have experienced this at a science center or in science class when someone had you hold a bicycle wheel by its axles and gave it a big spin. If you tried to tilt the spinning wheel, you would feel a force opposing your attempt. This force is similar to the one produced in Hubble gyros when Hubble turns.

The formal name of a Hubble gyro and its bundled electronics is Rate Gyro Assembly (see the image below). They are packaged in sets of two inside boxes known as Rate Sensor Units (see image at right). There are three Rate Sensor Units onboard Hubble.

Ariane 5, qui constitue le principal lanceur de l'Agence spatiale européenne, a été conçue dans les années 1990. Sa capacité (20 tonnes en orbite basse et 10 tonnes en orbite de transfert géostationnaire (GTO)) découle en grande partie de la nécessité de pouvoir lancer la navette spatiale européenne Hermes abandonnée par la suite. Ariane 5 fait partie avec Atlas V et Delta IV des lanceurs lourds, mais contrairement à ceux-ci, sa capacité ne peut pas être modulée par la présence de propulseurs d'appoint optionnels. Après des débuts difficiles entachés par un échec (V501) et un demi-échec (V502), il s'est emparé de pratiquement la moitié des parts de marché des satellites de télécommunications en orbite géostationnaire, ce qui garantit en moyenne cinq lancements par an. Les satellites institutionnels européens (sondes spatiales, satellites scientifiques, satellites de navigation, satellites d'observation de la Terre) à destination de l'orbite basse sont par contre généralement lancés par des fusées d'autres puissances spatiales (Russie, Chine), moins coûteuses et mieux adaptées à ce type de charge utile.

Les caractéristiques du lanceur Ariane 5 présentent des faiblesses qui pourraient lui faire perdre sa position dominante actuelle :

dans les conditions de marché actuelles, Ariane 5, qui bénéficie d'une prime par rapport à ses concurrents liée à la qualité de sa prestation, reste relativement concurrentielle tant qu'elle peut lancer deux satellites en orbite géostationnaire. Mais la masse de ces satellites tend à augmenter. Lorsqu'un des satellites représente plus de la moitié de la charge utile du lanceur (soit environ 5 tonnes), il devient plus difficile et parfois impossible de trouver un deuxième satellite à lancer sur la même période. Le coût du lancement est dans ce cas entièrement supporté par l'opérateur du premier satellite. Sur le marché très étroit des satellites de télécommunications en orbite géostationnaire (20 satellites environ par an dont la moitié sont lancés par Ariane 5), la nécessité de lancer à chaque fois deux satellites impose des contraintes calendaires fortes pour les propriétaires de ces satellites. Les lanceurs aux capacités plus faibles et donc optimisés pour un lancement simple, comme le lanceur russe Proton-M d’ILS et russo-ukrainien Zenit-3, disposent dans ce domaine d'un avantage concurrentiel3 ;
le deuxième étage d'Ariane 5 ne peut pas être rallumé, contrairement à celui des lanceurs Zenit et Proton, qui utilisent cette technique depuis plusieurs décennies. Les orbites de certains satellites nécessitent cette capacité. C'est ainsi que le lancement le 20 avril 2009 d’un satellite militaire italien (Sicral-1B) a été confié au lanceur russo-ukrainien Zenit-3 et non à une fusée européenne ;
à moyen terme, la concurrence va se renforcer. Ariane 5 bénéficie actuellement des déboires des lanceurs russes Zenit et Proton qui sont beaucoup moins chers mais qui ont eu ces dernières années des problèmes de fiabilité importants. Ces problèmes de qualité pourraient être résolus dans le futur. La Chine dispose déjà d'un lanceur de faible capacité mais très peu cher et elle développe un lanceur Longue Marche 5 de la classe d'Ariane 5, qui devrait être opérationnel dans quelques années. Aux États-Unis, la NASA finance pour le ravitaillement de la Station spatiale internationale le développement de deux lanceurs privés Antares et Falcon 9 qui pourraient dans un futur proche proposer l'emport de charges utiles à des coûts beaucoup plus faibles ;
Ariane 5 est un lanceur coûteux dont la fabrication est subventionnée par l'Agence spatiale européenne à hauteur de 120 millions € par an. Ce montant pourrait augmenter fortement dans un contexte plus concurrentiel par deux biais : un abaissement général des tarifs de lancement sous l'effet d'une concurrence exacerbée, et un abaissement de la cadence de tir du lanceur européen qui diminuerait les économies d'échelle et nécessiterait d'amortir les frais fixes (installations, équipes de lancement) sur un nombre de tirs plus réduit.

Europe’s newest rocket soon launches, taking with it many space missions each with a unique objective, destination and team at home, cheering them on. Whether launching new satellites to look back and study Earth, peer out to deep space or test important new technologies in orbit, Ariane 6’s first flight will showcase the versatility and flexibility of this impressive, heavy-lift launcher. Read on for all about SIDLOC, then see who else is flying first. SIDLOC (Spacecraft Identification and Localization) is an experiment from Greek non-profit the Libre Space Foundation (LSF). Their goal with the project is to help make space safer by speeding up the process of identifying space missions, from satellites to space probes and space stations. Attached to the upper stage of the Ariane 6, the 63 x 63 x 40 mm SIDLOC experiment’s mission is to build an ‘open standard protocol’ to easily, automatically and accurately identify and locate spacecraft. It will do this via a radio-transmitted beacon, tracked and decoded by a network of open-source ground stations, software and hardware. SIDLOC will transmit a broad-spectrum signal deliberately spread out over a large radio bandwidth. Information carried in the signal comes in a standard ‘schema’ – a structure and format consisting of binary data that is modulated to add all the necessary information about the spacecraft to the signal. The structured data format thus allows for the spacecraft's rapid identification and localisation. On Earth, the SatNOGS Network – a global network of open-source ground stations – will receive the signal and demodulate the data, including the spacecraft's ID, and using the Doppler effect will identify the spacecraft's location. In 2021, the Libre Space Foundation initiated an extensive study of the international space industry to identify challenges and vulnerabilities in launching new missions. Several challenges were identified revolving around the fast identification of spacecraft, system capacity and reliability, early pre-orbit functionality and immediate post-deployment activation as well as end-of-mission disposal solutions. The SIDLOC project was born to deal with these issues efficiently. Rapid identification of missions in space helps enhance safety in orbit by reducing the amount of time that space is filled with ‘anonymous’ objects – important for collision avoidance and space traffic management. It also increases the chances of success for missions after launch and deployment as they can be quickly found, communicated with, tracked and controlled. The Libre Space Foundation’s mission is to promote, advance and develop free and open-source technologies and knowledge for space, by designing, and developing space projects from ground station equipment to global monitoring networks and satellite missions and making all of the technologies involved publicly available. The SIDLOC project is no exception, with vast amounts of information about it available in open-source repositories. “This is one of the basic principles that fuels our vision – making space available to all humanity,” explains Pierros Papadeas, Libre Space Foundation's Executive Director, “So, all Libre Space Foundation projects are open-source and strictly follow open-development methodologies. We believe this will increase SIDLOC’s positive impact, which is why the hardware we integrate into the Ariane 6 upper stage is both open-source software and open-hardware licensed”. SIDLOC’s impact, once it is put to use, should be instant, enhancing safety in space as soon as it is implemented. More and more of humankind's infrastructure – scientific, Earth observing and communications – is now space-based. With increasing space activity in both the public and private realms, that space is getting crowded. “By enabling fast and automatic localisation and identification of spacecraft, our infrastructure can become more resilient and efficient, and this is how SIDLOC's impact can have a positive impact for all,” concludes Manthos Papamatthaiou, Chairman of Libre Space Foundation and leader of the SIDLOC initiative. “The SIDLOC experiment on Ariane 6 marks the debut of a technology poised to revolutionise Space Situational Awareness for years to come, potentially weaving itself into the very fabric of the space ecosystem.”

NON AUX VIOLS, TORTURES ET ESCLAVAGES QU'ILS SOIENT PHYSIQUES ET MORALES.
OUI AUX GRÉVES ET LIBERTÉS D'AUTRUI QUI SONT BASE SUR LE CONCEPT D'UNE MORALE DE SÉPARATION DES POUVOIRS
ET BASE SUR L'ÉCOUTE D'UNE JUSTICE NEUTRE MAIS SINCÈRE CONTRE LES HOMICIDES ET LES PULSIONS BASÉS
SUR L'AVARICE ET LE FAUX TÉMOIGNAGE...
OUI AUX CONGÉS PAYES EN FONCTION D'UN TRAVAIL ANNUEL.
OUI AUX PAUSES SUR UN TRAVAIL JOURNALIERS ET DE LA RIGUEUR HUMANISTE SUR LES PERSONNES ADMISES
EN HÔPITAUX AVEC DES SALARIES NE SUBISSANT PAS LE MANQUE D'EFFECTIFS POUR DES RAISONS QUI NE SONT PAS DES RAISONS !

L'UNIVERS FONCTIONNE DANS SON ÉTENDU DE MÉCANISMES CÉLESTES ¨ ET TERRESTRES ^.
LA LUMIÈRE EST SA VEINE et L’ARTÈRE EN EST LA VITESSE. L'UNIVERS EST IL UN CORPS ?
L'UNIVERS FONCTIONNE DE MÉCANISMES CÉLESTES ¨ ET TERRESTRES ^.
LA LUMIÈRE EST SA VEINE,L’ARTÈRE EN EST LA VITESSE. L'UNIVERS EST IL CORPS ?
DEUX PHRASES EST JUSTE QUE LE TERME DE UN PEUT MODIFIER DANS LE MÉCANISME,
ET POURTANT, JE VOUS FAIS APPARAITRE UN ATLAS !

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 28 min
UN SOUPIR VERS TA PLÉNITUDE OÙ TU PORTES TON CHAGRIN EN UNE FATALITÉ : LA TRISTESSE EST PLUS VALABLE QUE LE DÉSESPOIR,
SURTOUT DANS LE DESSEIN DE L'AMOUR. TU TE MÉFIES DE LA PASSION MÊME SI TA PAROLE BÉGAIE DANS MES GESTES ET MES ACTES.
TAY

EN L'INCERTITUDE DU LONGTEMPS, J'AI L'AUDACE DE CROIRE DE PERDRE UNE EXISTENCE SI TU NE CROIS PAS À LA SINCÉRITÉ
DE MON MOI VERS TON TOI. DANS CES CARACTÈRES DE L'INFINI, LES VARIATIONS DES ACTES PORTENT CETTE SINCÉRITÉ
VERS TES VÉRITÉS : ÊTRE UNE CONJUGAISON DANS TON VERBE.
TAY

PORTE LE ROSEAU SUR LE TEMPS QUI PASSE SUR TA TÊTE. DEUX AMANTS UNIRENT UN SENTIMENT SECRET MALGRÉ
LEURS RESPONSABILITÉS ÉTABLIENT DANS LA COMMUNAUTÉ. LA COMPARAISON NE POUVAIT ÊTRE BOULEVERSÉ
DANS LEURS QUOTIDIENS : LA FRAGILITÉ DE CE GENRE.
TAY

DANS LES ILLUSTRATIONS D'ILLUSIONS, ON RECHERCHE DES ICÔNES AFIN DE POUVOIR ÊTRE DANS LE DOMAINE
DU DEVENIR EN INTERPELLANT LE DESSEIN SUR LE DESTIN : CRÉER UNE FRÉNÉSIE DANS LE SENTIMENT AFIN DE RENDRE
UN POÉTIQUE EN UNE FANTASTIQUE ILLUSION D'OPTIQUE.
TAY

DANS LES ILLUSTRATIONS D'ILLUSIONS, ON RECHERCHE DES ICÔNES AFIN DE POUVOIR ÊTRE DANS LE DOMAINE DU DEVENIR
EN INTERPELLANT LE DESSEIN SUR LE DESTIN : CRÉER UNE FRÉNÉSIE DANS LE SENTIMENT AFIN DE RENDRE UN POÉTIQUE
EN UNE FANTASTIQUE ILLUSION D'OPTIQUE.
TAY

TU PLEURES L'ESPÉRANCE CAR TU AS DÉCOUVERT LA CERTITUDE : LA RAISON EST SI FRAGILE DEVANT LA PEUR MAIS AYEZ
L'AUDACE DE LA RÉALITÉ. LA NATURE A CE CARACTÈRE DE NAISSANCE SUR LA CERTITUDE CAR LA CHAIR S'EST FAIT ESPRIT
COMME LA CONSCIENCE DEVIENT UNE ÂME.
TAY

TÉMOIGNAGES DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET DE DAME CHARLOTTE DU STYLISME ARTISANAL DE LA CHAMBRE SYNDICALE : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini

Ariane 6 est un lanceur de moyenne à forte puissance (5 à 11,5 tonnes en orbite de transfert géostationnaire), que l'Agence spatiale européenne développe pour remplacer sa fusée lourde Ariane 5 à compter de 20241. Malgré son succès et sa position dominante à l'époque dans le domaine des lancements de satellites géostationnaires, Ariane 5 coûte cher à fabriquer et ses parts de marché sont menacées à moyen terme, à la fois par l'évolution du marché des satellites et par l'arrivée de concurrents, en particulier par le lanceur partiellement réutilisable Falcon 9 de SpaceX. Dans le cadre de la conférence ministérielle de novembre 2012, les ministres de l'UE octroient une enveloppe de 157 millions d'euros2 pour l'étude du nouveau lanceur qui devra remplacer à la fois Ariane 5 et la version du lanceur russe Soyouz utilisée par les pays européens. Trois options sont évaluées : la première consiste à faire évoluer l'Ariane 5 (Ariane 5 ME) en repoussant à plus tard une refonte totale ; la deuxième propose une configuration où les étages à propergol solide dominent ; la dernière propose une configuration proche de celle d'Ariane 5. C'est cette dernière qui est retenue lorsque l'Agence spatiale européenne lance le développement d'Ariane 6 en décembre 2014.

Orbiting Earth as part of the nine-person crew of the International Space Station, NASA astronauts Butch Wilmore and Suni Williams continue testing Boeing’s Starliner spacecraft as part of its first flight with astronauts. The testing is part of the data collection on the Starliner system for certification by NASA for regular crewed mission to the orbital complex.

As part of NASA’s Boeing Crew Flight Test, Wilmore and Williams, along with teams on the ground, are stepping through numerous flight objectives following arrival of Starliner to the space station on June 6, including:

Pour réduire son coût de production, le nouveau lanceur utilise des propulseurs d'appoint à propergol solide mono-segment à enveloppe carbone (le P120C). Leur utilisation comme premier étage de la version Vega-C du lanceur léger européen qui vole depuis juillet 2022 permet une économie d'échelle. Le premier étage a des caractéristiques très proches de celui d'Ariane 5. Par contre, le deuxième étage met en œuvre pour la première fois le moteur-fusée Vinci plus performant et qui peut être rallumé plusieurs fois, contrairement à son prédécesseur. Toujours dans le but de réduire les coûts, le processus industriel est optimisé (redistribution de certaines tâches), la coentreprise ArianeGroup, qui réunit les établissements d'Airbus et Safran contribuant à la construction du lanceur, est créée. Enfin, un nouveau complexe de lancement dédié à l'Ariane 6 (ELA 4) et permettant des campagnes de lancement plus courtes est construit au Centre spatial guyanais entre 2015 et 2021. Le coût de développement du nouveau lanceur avec les installations au sol était estimé à 3,8 milliards d'euros courant 2020.

Powering the spacecraft down into a minimal power mode, which it will enter during operational missions while the crew works aboard station, and then powering it up again;
Conducting “safe haven” checks to show the spacecraft can support a crew with its own air and consumables during in an emergency on the station;
Performing a habitability study, along with astronauts Tracy Dyson and Matthew Dominick,to evaluate seating positions and other factors, such as air circulation for a four-person crew;
Evaluating spacesuit and seat-fits, as well as checkouts of the service module’s batteries.
Meanwhile, ground teams continue to assess and monitor Starliner’s performance and planning for return of the mission no earlier than Tuesday, June 18, pending weather and spacecraft readiness. Starliner is cleared for crew emergency return scenarios from space station, if needed, in accordance with the flight rules.

While Starliner remains docked to station, ground teams are continuing to evaluate propulsion system in-flight observations.

Ariane 6 est un peu plus haute qu'Ariane 5 (62 mètres) mais conserve son diamètre (5,4 mètres). Sa masse est comprise entre 530 et 860 tonnes selon les versions. Comme Ariane 5, le nouveau lanceur comporte deux étages utilisant des ergols cryogéniques (oxygène et hydrogène liquides). Le premier étage est propulsé par une version optimisée du moteur-fusée Vulcain (135 tonnes de poussée) et le deuxième par un nouveau moteur Vinci (18 tonnes de poussée) plus performant et pouvant être rallumé. Au décollage et durant les deux premières minutes du vol, la poussée est fournie principalement par des propulseurs à propergol solide d'une poussée unitaire moyenne de 350 tonnes : le lanceur est disponible dans deux configurations (deux ou quatre P120C) qui permettent une adaptation plus facile aux différents types de charge utile.

“Butch and Suni are doing great aboard station as ground teams continue digging into the details of Starliner’s on-orbit, rendezvous, and docked performance,” said Steve Stich, manager, NASA’s Commercial Crew Program. “We expected to do a lot of valuable learning on this test flight, and I am extremely proud of how the NASA and Boeing teams are working together to ensure we can safely execute the return portion of the mission.”

One of Starliner’s aft-facing reaction control system (RCS) thrusters, capable of about 85 pounds of thrust, remains de-selected as teams continue to evaluate its performance. Ground teams plan to fire all 28 RCS thrusters after undocking to collect additional data signatures on the service module thrusters before the hardware is expended. As part of normal operations, the service module separates from crew module on return, so NASA and Boeing will gather as much data as possible to aid in system assessments.

Teams currently are assessing what impacts, if any, five small leaks in the service module helium manifolds would have on the remainder of the mission. Engineers evaluated the helium supply based on current leak rates and determined that Starliner has plenty of margin to support the return trip from station. Only seven hours of free-flight time is needed to perform a normal end of mission, and Starliner currently has enough helium left in its tanks to support 70 hours of free flight activity following undocking. While Starliner is docked, all the manifolds are closed per normal mission operations preventing helium loss from the tanks.

Engineers also are evaluating an RCS oxidizer isolation valve in the service module that is not properly closed. Ground teams performed a successful propulsion system valve checkout on Sunday. All other oxidizer and fuel valves within the service module were cycled normally. The suspect oxidizer isolation valve was not cycled in the recent checkout. It will remain commanded closed for the remainder of the mission while ground teams continue to evaluate its data signatures. The crew module propulsion valves, which are part of an independent system that steers the capsule in the last phase of flight before landing, also were successfully cycled, and all those valves are performing as designed.

Un deuxième étage allégé (Icarus) et un troisième étage à moteur d'apogée (Astris) sont en cours de développement pour accroître les performances du lanceur et son domaine d'application dans des versions qui deviendront disponibles vers 2024/2025. Face à la montée en puissance croissante de la concurrence des lanceurs réutilisables, Ariane 6 semble néanmoins une réponse partiellement satisfaisante et l'Agence spatiale européenne a déjà lancé le développement de son successeur, Ariane Next, qui pourrait, comme son concurrent direct la Falcon 9, mettre en œuvre un premier étage réutilisable. Plusieurs prototypes d'étage réutilisable (Callisto, Themis), ainsi qu'un nouveau moteur (Prometheus) de la classe du Vulcain et brûlant un mélange d'oxygène liquide et de méthane liquide sont en cours de développement pour mettre au point les techniques nécessaires.

Mission managers are continuing to work through the return plan, which includes assessments of flight rationale, fault tolerance, and potential operational mitigations for the remainder of the flight. NASA and Boeing will hold a pre-departure media teleconference to provide additional updates before Starliner undocks from station.

With launch and docking already completed, the last remaining dynamic phase of the mission will come at the end of the flight test when Starliner will undock from the orbiting laboratory and then adjust its orbit to move away from the space station. The spacecraft, with Wilmore and Williams aboard, will perform a deorbit burn before entering the atmosphere and landing in the southwestern United States under parachutes and landing airbags to complete the flight.

As part of the agency’s Commercial Crew Program, the mission is the first crewed flight for the Starliner spacecraft. Learn more about the mission by following the commercial crew blog,@commercial_crew on X, and commercial crew on Facebook.

Airbus est un constructeur d’avion français, allemand, espagnol et britannique et une coopération industrielle internationale présente dans le secteur aéronautique et spatial civil et militaire. Lors de sa création en 2000, le groupe se nomme European Aeronautic Defence and Space company (EADS) et est détenu par Lagardère et Daimler, il résulte d’une concentration de la quasi-totalité des constructeurs français, allemands et espagnols.

Depuis 2013, la majorité du capital du groupe est sur le marché boursier. Le groupe et la filiale spécialisée dans les avions civils créée en 1969, connue sous le nom « Airbus », ont progressivement fusionné et pris le même nom.

Avec 130 000 salariés et un chiffre d’affaires de 66,8 milliards d'euros en 2017, le groupe est l’un des champions mondiaux du secteur aéronautique civil et spatial, et est en bonne place dans l'aéronautique militaire. Ses activités les plus importantes sont la construction d’avions de ligne, d’hélicoptères et d’avions militaires. À travers la participation à diverses entreprises, le groupe est engagé dans les lanceurs spatiaux, les satellites artificiels, les missiles et les avions de combat.

After completing a series of tests and carefully considering the options, NASA announced Tuesday work is underway to transition its Hubble Space Telescope to operate using only one gyroscope (gyro). While the telescope went into safe mode May 24, where it now remains until work is complete, this change will enable Hubble to continue exploring the secrets of the universe through this decade and into the next, with the majority of its observations unaffected.

Of the six gyros currently on the spacecraft, three remain active. They measure the telescope’s slew rates and are part of the system that determines and controls the direction the telescope is pointed. Over the past six months, one particular gyro has increasingly returned faulty readings, causing the spacecraft to enter safe mode multiple times and suspending science observations while the telescope awaits new instructions from the ground.

This one gyro is experiencing “saturation,” where it indicates the maximum slew rate value possible regardless of how quickly the spacecraft is slewing. Although the team has repeatedly been able to reset the gyro’s electronics to return normal readings, the results have only been temporary before the problem reappears as it did again in late May.

To return to consistent science operations, NASA is transitioning the spacecraft to a new operational mode it had long considered: Hubble will operate with only one gyro, while keeping another gyro available for future use. The spacecraft had six new gyros installed during the fifth and final space shuttle servicing mission in 2009. To date, three of those gyros remain operational, including the gyro currently experiencing problems, which the team will continue to monitor. Hubble uses three gyros to maximize efficiency but can continue to make science observations with only one gyro. NASA first developed this plan more than 20 years ago, as the best operational mode to prolong Hubble’s life and allow it to successfully provide consistent science with fewer than three working gyros. Hubble previously operated in two-gyro mode, which is negligibly different from one-gyro mode, from 2005-2009. One-gyro operations were demonstrated in 2008 for a short time with no impact to science observation quality.

While continuing to make science observations in one-gyro mode, there are some expected minor limitations. The observatory will need more time to slew and lock onto a science target and won't have as much flexibility as to where it can observe at any given time. It also will not be able to track moving objects closer than Mars, though these are rare targets for Hubble.

The transition involves reconfiguring the spacecraft and ground system as well as assessing the impact to future planned observations. The team expects to resume science operations again by mid-June. Once in one-gyro mode, NASA anticipates Hubble will continue making new cosmic discoveries alongside other observatories, such as the agency’s James Webb Space Telescope and future Nancy Grace Roman Space Telescope, for years to come.

Launched in 1990, Hubble has more than doubled its expected design lifetime, and has been observing the universe for more than three decades, recently celebrating its 34th anniversary. Read more about some of Hubble’s greatest scientific discoveries.

Learn more about NASA’s Hubble Space Telescope on the agency’s website:

https://www.nasa.gov/hubble

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LEURS RESPONSABILITÉS ÉTABLIENT DANS LA COMMUNAUTÉ. LA COMPARAISON NE POUVAIT ÊTRE BOULEVERSÉ
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DANS LES ILLUSTRATIONS D'ILLUSIONS, ON RECHERCHE DES ICÔNES AFIN DE POUVOIR ÊTRE DANS LE DOMAINE
DU DEVENIR EN INTERPELLANT LE DESSEIN SUR LE DESTIN : CRÉER UNE FRÉNÉSIE DANS LE SENTIMENT AFIN DE RENDRE
UN POÉTIQUE EN UNE FANTASTIQUE ILLUSION D'OPTIQUE.
TAY

DANS LES ILLUSTRATIONS D'ILLUSIONS, ON RECHERCHE DES ICÔNES AFIN DE POUVOIR ÊTRE DANS LE DOMAINE DU DEVENIR
EN INTERPELLANT LE DESSEIN SUR LE DESTIN : CRÉER UNE FRÉNÉSIE DANS LE SENTIMENT AFIN DE RENDRE UN POÉTIQUE
EN UNE FANTASTIQUE ILLUSION D'OPTIQUE.
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COMME LA CONSCIENCE DEVIENT UNE ÂME.
TAY

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LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
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La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET DE DAME CHARLOTTE DU STYLISME ARTISANAL DE LA CHAMBRE SYNDICALE : ÊTRE !
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