LES POUBELLES DE L'ESPACE ET LES CAMIONS-POUBELLES SPATIALES !
Contrôleur général des finances de Louis XIV, autrement dit ministre des Finances, Jean-Baptiste Colbert avait une idée fixe : remplir les caisses du Royaume.
Sa recette ? L’intervention sans complexe de l’État dans l’économie. L’État se doit d’impulser, stimuler, prévoir, organiser. Pour favoriser le développement économique du pays, il crée ou se fait le promoteur des « manufactures royales ». Celles-ci bénéficient d’un « privilège royal » leur assurant un quasi-monopole dans leur secteur pendant un certain temps. Quant au roi, il y trouve son compte : elles fournissent les matériaux et objets de décoration dont il a besoin pour Versailles… Les verreries de Saint-Gobain fabriquent les miroirs de la Galerie des glaces, la manufacture des Gobelins, les tapisseries. De même, des manufactures voient le jour pour l’équipement des armées (chantiers navals, fabriques de poudre à canon…).
Colbert ne veut cependant pas substituer définitivement la puissance publique aux entrepreneurs. L’intervention de l’État colbertien n’est que temporaire. Cette impulsion, destinée à stimuler l’économie, doit être relayée par des capitaux privés, car l’État n’a pas vocation à rester éternellement actionnaire.
Les adeptes de l’intervention de l’État dans l’économie se sont souvent inspirés de la doctrine interventionniste de Colbert. C’est le cas de la planification d’après-guerre en France. Mais, cette planification reste indicative et non pas contraignante. Par ailleurs, l’important service public industriel qui se constitue à la Libération est plus le fruit de décisions strictement politiques que d’un calcul économique : ainsi Charbonnages de France est créé pour sanctionner l’attitude pendant la guerre des compagnies minières. Néanmoins cette entreprise devient avec la nouvelle EDF le fer de lance de la politique énergétique Française ; le Plan Calcul (1967) avec la création de la CII (Compagnie internationale pour l’informatique) pour tenter de préserver l’indépendance française en matière d’informatique ; la création en 1961 du CNES (Centre national d’études spatiales) pour engager la France dans la conquête de l’espace.
Paroles de la chanson Exode par Ange
L'ombre est divine
Mais l'esprit se bruine
J'ai envie de rattraper le temps
L'ombre est chinoise
Mes yeux se croisent
Sur le bouton, maître de mes instants !
L'ombre m'enlace
Mon carcan se glace
J'ai envie d'éclater en morceaux !
L'ombre me baigne
Au reflux de son règne
Au risque de plisser la peau !
L'ombre m'oppresse
Elle se veut caresse
J'ai envie de surpasser le temps !
L'ombre est distraite
L'envie me guette
Je vais briser l'ascenseur du temps !
2. - Les différentes procédures de passation et les techniques d'achats
§ 2. Les différentes procédures de passation et les techniques d’achats
l'« automatisme d'attribution » !!!
Les divinités grecques chthoniennes ou telluriques sont des divinités anciennes ayant contribué à la formation du Panthéon grec. Elles sont dites « chthoniennes » (prononcé /ktɔnjε̃/, du grec ancien χθών / khthốn, « la terre ») ou « telluriques » (du latin tellus, « la terre ») parce qu'elles se réfèrent à la terre, au monde souterrain ou aux Enfers, par opposition aux divinités célestes, dites « ouraniennes » ou « éoliennes ». Les religions à mystères ou cultes à mystères sont des cultes, rituels ou religions apparus dans la civilisation gréco-romaine à des dates variables, mais dont l'expansion la plus grande se situe aux premiers siècles de notre ère, coïncidant avec le développement du christianisme.
Un péristyle (du grec περίστυλον, peristulon) est une galerie de colonnes faisant le tour extérieur (entièrement ou partiellement, sous la forme d'un porche) ou intérieur d'un édifice. C'est ce qui le distingue de la colonnade ou de la loggia. Un édifice entouré par un péristyle est périptère. Le ive siècle a vu naître la maison de « représentation », avec l'extension à l'architecture profane de l'usage perse séleucide du péristyle. Les Grecs édifiaient notamment des péristyles autour de leurs temples. Les Romains ont ensuite repris ce type d'architecture pour leurs constructions religieuses et pour les bâtiments officiels, puis pour les habitations de type domus. L'architecte italien du xvie siècle Andrea Palladio a été le premier après la période antique à utiliser des péristyles pour marquer l'entrée d'habitations. Il a été critiqué pour avoir contribué à installer une confusion entre l'architecture sacrée et l'architecture civile. Ce dispositif a souvent été repris par ses suiveurs (voir palladianisme). Cet élément de construction a ensuite été repris par les architectes néoclassiques du xixe siècle pour des bâtiments officiels : le palais Brongniart en France, par exemple, en comporte.
Les premières divinités chthoniennes étaient probablement à majorité féminine, puisque des incarnations de la « Grande Déesse » et de « Gaïa », mais il y a parmi elles Hadès, quelques Titans, dont Cronos, et — de loin en loin — des dieux types Dionysos (vigne)1, sans parler des satyres (sexualité) qui les suivent.
L'archéologie révèle en particulier sur les sites de probables sanctuaires et dans les tombes de l'époque néolithique et de l'âge du bronze des idoles aujourd'hui qualifiées de « Grandes Mères » ou de « Terres-Mères », probablement en relation avec des cultes de la fécondité et de la fertilité ou encore de l'au-delà .
Le rapprochement de ces objets avec ceux d'autres sites (notamment en Anatolie) suggère que cette antique religion méditerranéenne associait la déesse à un taureau ou à un bélier (voir le thème du veau d'or dans la Bible), symboles virils spermatiques.
Ces dieux appartiennent à un vieux fonds méditerranéen3, que l'on identifie avec le plus d'évidence en Anatolie. Les cycles de la nature, ceux de la vie et de la survie après la mort sont au centre des préoccupations qu'ils traduisent.
En Crète, le culte probable de la « Grande Déesse » évolue au cours du second millénaire avant l'ère chrétienne en faisant intervenir quantité de nouveaux acteurs : animaux divers, plantes, etc. Toute une foule de démons accompagnateurs des dieux, tels que les Curètes ou les Dactyles, prennent aussi leur essor à cette époque. Ils auront une nombreuse descendance dans la mythologie grecque (Chimère, Gorgones, sirènes, etc.). La « Déesse Mère » elle-même se dédouble, sans doute en mère et en fille, comme ce sera plus tard le cas pour leurs héritières Déméter et Perséphone.
Le sanctuaire des Grands Dieux de Samothrace abrite ainsi un culte à mystères dédié à un panthéon de divinités chthoniennes dont la plus importante est la dite « Grande Mère ».
On retrouve de nombreux sanctuaires dédiés aux divinités chthoniennes en Sicile, notamment à Akragas (actuelle Agrigente), Gela, Sélinonte, Syracuse, et Heloros, même si un culte chthonien devait exister sur l’acropole au regard des dépôts votifs qui y ont été découverts. Cicéron et Diodore considèrent que l'île est tout entière consacrée à ces deux divinités, selon la tradition qui situe en Sicile le rapt de Perséphone, et d'après la fertilité de l'île, même si des recherches récentes sont plus prudentes sur l'« automatisme d'attribution »7. Ce culte se mêle souvent à ceux de déesses mères sicanes plus anciens.
Zarathoustra est le nom avestique de Zoroastre, prophète et fondateur du zoroastrisme, l'ancienne religion perse. En allemand, il garde cette forme ancienne. Nietzsche l'a choisi car il fut le premier à enseigner la doctrine morale des deux principes du bien et du mal. Ainsi, symboliquement, Zarathoustra abolit-il lui-même sa propre doctrine :
« On ne m'a pas demandé — mais on aurait dû me demander —, ce que signifie dans ma bouche, dans la bouche du premier immoraliste, le nom de Zarathoustra, car c'est juste le contraire qui fait le caractère énormément unique de ce Perse dans l'histoire. Zarathoustra, le premier, a vu dans la lutte du bien et du mal la vraie roue motrice du cours des choses. La transposition en métaphysique de la morale conçue comme force, cause, fin en soi, telle est son œuvre. Mais cette question pourrait au fond être considérée déjà comme une réponse. Zarathoustra créa cette fatale erreur qu'est la morale ; par conséquent il doit aussi être le premier à reconnaître son erreur. »
Commence une phase de prédication, qui constitue le premier livre, tourné vers l'enseignement du Surhomme. Le livre commence par la célèbre parabole des trois métamorphoses qui apparaît comme un second prologue du livre :
« Je vais vous dire trois métamorphoses de l'esprit : comment l'esprit devient chameau, comment le chameau devient lion, et comment enfin le lion devient enfant. »
Ainsi parlait Zarathoustra se compose de discours, de paraboles, de poésies et de chants répartis en quatre livres. Bien que l'ensemble puisse au premier abord présenter une apparence disparate, Eugen Fink a souligné la forte unité de ce poème. En effet, Zarathoustra commence par annoncer la mort de Dieu, condition préalable à l'enseignement du Surhomme, abordé dans le prologue et dans le premier livre, où la parabole du chameau constitue une annonce de son destin. Le deuxième livre expose la pensée de la Volonté de puissance, qui est la pensée du dépassement de soi conduisant au Surhomme. Puis le troisième livre tourne autour de l'Éternel Retour, affirmation de la plus haute importance de la Volonté de puissance, et idée sélectrice destinée à poser les conditions qui dans l'avenir permettront l'avènement du Surhomme. La dernière partie tourne autour des hommes supérieurs et de la tentation de la pitié qui est pour Nietzsche la tentation nihiliste par excellence. C'est pour Zarathoustra le dernier obstacle à l'affirmation de la vie et le début d'une nouvelle transfiguration, avec laquelle l'œuvre se termine, transfiguration vers l'amour et la joie symbolisés par le lion devenu docile et rieur et entouré d'une nuée de colombes.
If
Si
If I were a swan I'd be gone
Si j'étais un cygne, je serais bien loin
If I were a train I'd be late
Si j'étais un train, je serais en retard
And if I were a good man
Et si j'étais quelqu'un de bien
I'd talk with you more often than I do
Je te parlerais plus souvent que je ne le fais
If I were asleep I could dream
Si j'étais endormi, je pourrais rêver
If were afraid I could hide
Si j'étais effrayé, je pourrais me cacher
If I go insane
Si je deviens fou
Please don't put your wires in my brain
Je vous en prie, ne mettez pas vos fils dans mon cerveau
If I were the moon I'de be cool
Si j'étais la lune, je serais serein
If I were a rule I would bend
Si j'étais une règle, je me plierais
If I were a good man
Si j'étais quelqu'un de bien
I'de understand the spaces between friends
Je comprendrais les distances entre amis
If I were alone I would cry
Si j'étais seul, je pleurerais
And if I were with you I'de be home and dry
Et si j'étais avec toi, je serais à la maison et insipide
And if I go insane
Et si je deviens fou
Will you still let me join in with game
Laissez-moi encore prendre part au jeu
If I were a swan I'de be gone
Si j'étais un cygne, je serais bien loin
If I were a train I'de be late again
Si j'étais un train, je serais de nouveau en retard
And if I were a good man
Et si j'étais quelqu'un de bien
I'd talk with you more often than I do
Je te parlerais plus souvent que je ne le fais
Chanteurs : Pink Floyd
Albums : Atom Heart Mother
On réunit sous ces termes, auxquels peuvent s'ajouter les adjectifs « initiatiques » ou « orientaux », des cultes ayant certaines caractéristiques communes :
présence dans l'Antiquité gréco-romaine
origine orientale
culte pratiqué hors du cadre traditionnel de la cité
culte comportant une ou des initiations
culte contenant l'idée d'un salut individuel
culte comportant l'idée d'une mort et d'une résurrection…
…sans qu'aucun d'entre eux ne possède à lui seul toutes ces caractéristiques.
Les religions à mystères les plus connues sont :
les Mystères d'Éleusis, honorant la triade Déméter, Perséphone et Hadès,
le culte de Mithra, d'origine perse ou iranienne, célébrant Mithra, le guerrier
le culte d'Isis, venant d'Égypte (la divinité du culte à mystères n'a toutefois plus grand-chose à voir avec l'Isis traditionnelle)
le culte de Cybèle et de la Grande Mère de Pessine, honorant Cybèle, la mère des dieux, ainsi que celui d'Attis, fils et amant de Cybèle
le culte des Cabires, lié aux divinités chtoniennes et aux Mystères de Samothrace
les Mystères dionysiaques célébrant aussi son avatar orphique Zagreus
le culte romain de Bona Dea (qui n'est toutefois pas oriental, mais probablement autochtone)
Mais on peut aussi mentionner les cultes suivants, qui peuvent comporter un aspect de culte à mystères :
le culte principalement alexandrin de Sérapis, le dieu chtonien calatophore et, dans une moindre mesure, Osiris (mais Sérapis n'a semble-t-il pas connu de culte à mystère)
le culte du Baal d'Émèse
le culte de Glycon, l'oracle-serpent d'Abonuteichos
le culte d'Harpocrate, avatar d'Horus
Jupiter Dolichène, originaire d'Anatolie
le culte de Sabazios
le culte des Telchines, divinités magiciennes de Rhodes
Culte de Trophonios
Culte de Zalmoxis
le culte de Despina (si despina δεσποίνα n'est pas le prête-nom d'une déesse connue)
Si j'étais le Messie de Ange !!!
Si j'étais le Messie, je raconterais n'importe quoi,
N'importe où, n'importe comment,
Et les gens me croiraient,
Ils n'ont rien d'autre à faire...
Si j'étais le Messie, je mènerais en bateau
N'importe qui, n'importe comment,
Et les gens me croiraient,
Ils ne connaissent pas mes eaux...
Si j'étais le Messie, je serais pédéraste,
Avec n'importe qui, n'importe comment,
Et les gens me suivraient,
Reniflant mon derrière...
Si j'étais le Messie, je me ferais voleur,
Avec n'importe qui, n'importe comment,
Et les gens se tairaient,
N'ayant rien d'autre à faire...
Si j'étais le Messie, je construirais un temple,
Avec n'importe quoi, n'importe comment,
Et les gens why viendraient
Pour why montrer leurs airs...
Si j'étais le Messie, j'aurais un oeil de verre,
Pour pouvoir fermer l'autre, pour ne rien voir do tout,
Et les gens me plaindraient,
Et vanteraient ma misère !
Si j'étais le Messie, je serais un ivrogne,
Boirais n'importe quoi, n'importe comment et n'importe où,
Et les gens m'imiteraient,
Croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je marcherais sur l'eau,
N'importe où, n'importe comment,
Et les gens se noieraient,
Croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je ferais des miracles,
N'importe où, mais PAS n'importe comment,
Et les gens s'étonneraient, criant :
"Au nom do père !"
Si j'étais le messie, j'inventerais une crèche,
Pas n'importe comment, pas pour n'importe qui,
Seulement pour les enfants.
Les enfants grandiront, croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je me ferais crucifier,
Pas par n'importe qui, pas n'importe comment,
Et les gens pleureraient,
Ne sachant trop que faire...
Je ne suis pas Messie, heureusement pour ma mère,
Qui ne pourrait plus vendre sa virginité,
Car les gens l'achèteraient,
Croyant toujours bien faire...
Il why a très longtemps, il why eut un Messie,
Il est venu d'ailleurs, d'une autre galaxie,
Et les gens l'ont tué...
Ils avaient cru bien faire !
Source : LyricFind
Paroliers : Christian Decamps / Gerard Jelsch
Paroles de Si j'étais le Messie
Warner Chappell Music, Inc
Jusqu’au milieu du xxe siècle, la procédure formaliste a été l’adjudication ; puis, jusqu’en 2001 le recours à l’appel d’offres a été considéré comme aussi normal que l’utilisation de l’adjudication (décret du 13 mars 1956 pour l’État, décret du 18 janvier 1971 pour les collectivités locales) mais, en pratique, l’appel d’offres avait presque entièrement supplanté l’adjudication. Le Code de 2001 a tiré les conséquences de cette situation en éliminant l’adjudication.
1287. Les deux procédures étaient comparables dans la phase de publicité et de dépôt des soumissions (adjudication) ou des offres (appel d’offres) ; en revanche, elles différaient au stade de la sélection. La différence la plus importante portait sur les critères d’attribution : en cas d’adjudication, le candidat le moins-disant était obligatoirement déclaré adjudicataire (art. 88 et art. 280 CMP de 1964). L’adjudication se caractérisait donc par l’automatisme, seulement corrigé par l’obligation pour la collectivité de fixer un prix maximum, qui devait demeurer secret et par la possibilité, une fois l’adjudicataire sélectionné, de renoncer à conclure le marché, alors qu’en matière d’appel d’offres c’est le « mieux-disant » qui est choisi.
Cet automatisme explique le déclin de l’adjudication[...] !!!
Ces dieux appartiennent à un vieux fonds méditerranéen, que l'on identifie avec le plus d'évidence en Anatolie. Les cycles de la nature, ceux de la vie et de la survie après la mort sont au centre des préoccupations qu'ils traduisent.
En Crète, le culte probable de la « Grande Déesse » évolue au cours du second millénaire avant l'ère chrétienne en faisant intervenir quantité de nouveaux acteurs : animaux divers, plantes, etc. Toute une foule de démons accompagnateurs des dieux, tels que les Curètes ou les Dactyles, prennent aussi leur essor à cette époque. Ils auront une nombreuse descendance dans la mythologie grecque (Chimère, Gorgones, sirènes, etc.). La « Déesse Mère » elle-même se dédouble, sans doute en mère et en fille, comme ce sera plus tard le cas pour leurs héritières Déméter et Perséphone.
Le sanctuaire des Grands Dieux de Samothrace abrite ainsi un culte à mystères dédié à un panthéon de divinités chthoniennes dont la plus importante est la dite « Grande Mère ».
On retrouve de nombreux sanctuaires dédiés aux divinités chthoniennes en Sicile, notamment à Akragas (actuelle Agrigente), Gela, Sélinonte, Syracuse, et Heloros, même si un culte chthonien devait exister sur l’acropole au regard des dépôts votifs qui y ont été découverts. Cicéron et Diodore considèrent que l'île est tout entière consacrée à ces deux divinités, selon la tradition qui situe en Sicile le rapt de Perséphone, et d'après la fertilité de l'île, même si des recherches récentes sont plus prudentes sur l'« automatisme d'attribution ». Ce culte se mêle souvent à ceux de déesses mères sicanes plus anciens.
Si la définition initiale est fondée sur une innovation technique, elle cède progressivement la place à une définition socio-économique : au Néolithique, les groupes humains n’exploitent plus exclusivement les ressources naturellement disponibles mais commencent à en produire une partie. La chasse et la cueillette continuent souvent à fournir une part substantielle des ressources alimentaires mais l’agriculture et l’élevage jouent un rôle de plus en plus important. L’agriculture implique le plus souvent l’adoption d’un habitat sédentaire et l’abandon du nomadisme des groupes de chasseurs-cueilleurs paléolithiques et mésolithiques.
Ce changement a souvent été présenté comme un affranchissement vis-à-vis des ressources naturelles : les groupes humains contrôleraient ainsi leur approvisionnement alimentaire. De fait, le passage à une économie de production a conduit à une véritable explosion démographique. Les travaux d’ethnologues tels que Marshall Sahlins ont cependant montré le revers de la médaille : une économie basée sur l’agriculture implique souvent un surcroît de travail et les récoltes demeurent dépendantes des aléas climatiques d'où la continuation des pratiques de chasse, pêche et cueillette pour pallier d'éventuels déficits alimentaires liés à de mauvaises récoltes, ainsi que pour diversifier un régime alimentaire trop uniforme. La forte croissance démographique liée à l'adoption de l'agriculture est confirmée par l'étude des squelettes découverts dans les plus anciens sites néolithiques.
Le concept de neolithic package (paquet néolithique) correspond aux innovations techniques, espèces domestiquées (mouton, chèvre, bœuf) et culture matérielle caractéristiques de la période néolithique en Europe et Asie de l'Ouest. Toutefois, ce concept ne peut être appliqué de manière systématique puisqu'il tend à amoindrir les particularités socio-culturelles créées par les interactions entre groupes à l'échelle locale et micro-régionale.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
La chronologie du Néolithique est particulièrement délicate à établir puisqu'elle diffère en fonction des régions du monde et en fonction des critères de définition que l'on retient. Plutôt qu'une époque, le Néolithique est considéré par certains auteurs comme un stade culturel défini par un ensemble de traits techniques, économiques et sociaux8.
Il existe toutefois un consensus assez large pour reconnaître que le foyer de néolithisation le plus ancien se situe dans le croissant fertile du Proche-Orient, dans le sud-est de l'Anatolie, le nord de la Mésopotamie et le Levant, au plus tôt vers 11000 BP (avant le présent), c'est-à-dire environ 9000 AEC. Vers le milieu du IXe millénaire, les groupes humains, déjà en partie sédentaires, commencent à y domestiquer les animaux (mouton, chèvre, bovin) et les plantes (blé et orge, suivis de légumineuses comme les pois, les fèves et les lentilles) dans un but alimentaire. Vers 7000 av. J.-C., les premières poteries apparaissent ; elles se généralisent au cours des siècles suivants.
Les nouvelles connaissances et les nouvelles pratiques qui caractérisent le Néolithique du Proche-Orient gagnent progressivement l'Europe à partir de 6500 av. J.-C. ; puis s'étendent au sud de la Méditerranée et vers le sous-continent indien et le sud de l'Asie centrale. Elles suivent différentes voies et différents moyens de propagation ; il s'agit dans un premier temps essentiellement de migrations de populations issues du Croissant fertile.
Variétés péruviennes de maïs !!!
D'autres régions du monde connaissent un processus de « néolithisation » qui semble indépendant du Proche-Orient, par exemple en Chine, en Nouvelle-Guinée, en Afrique subsaharienne et sur le continent américain.
Les autres foyers de domestication des plantes et des animaux sont notamment :
Chine (riz, millet) vers 6 000 av. J.-C. ;
Mexique (maïs, cucurbitacées) vers 5 000 à 4 000 av. J.-C. ;
Pérou (maïs, haricot, pomme de terre, camélidés) vers 5 000 à 3 000 av. J.-C. ;
Afrique subsaharienne (mil, sorgho, igname) entre 5 000 av. J.-C. et 2 000 av. J.-C. (selon la céréale et le lieu).
Paroles de la chanson La Bataille Du Sucre par Ange
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient
Le problème était là,
Bien fier devant nos portes
Nous étions blêmes et las
Devant le grand cloporte
N'y avait plus de sucre
La Terre n'en donnait plus
L'avait creusé sépulcre
Et ne répondait plus !
A un prix d'or
Sœur Saccharine vendait ses prières, Le Beau
Oui mais alors,
Plus rien ne sert de racler la pierre ! Le Niais
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël approchait
Et comme en quinze cent quinze
Les enfants attendaient,
Et les heures qui filaient
Aussi promptes que l'oiseau
Et les chiens qui crevaient
A renifler de l'eau
N'y avait plus de sel
La Terre n'en donnait plus,
Pour faire du sucre on prit du sel,
Deux mille quatorze ou treize, je ne sais plus !
{L'enfant:}
Et le béton toujours vainqueur
Semait tristesse sur notre atoll,
Faisant valser nos cœurs-moteur
En une morne farandole
{Le conteur:}
C'était en deux mille quinze
Et Noël arriva
Ce fut un deux mille quinze
Pour les enfants sans joie,
Devant leurs verts sapins
Aux branchages plastiques,
Comme des santons-pantins
En serviettes périodiques,
Leurs visages grisaillèrent,
Leurs yeux devinrent néons,
Ils auraient fait la guerre
Pour sucer un bonbon !
Les enfants s'éteignirent
Un à un en pleurant,
Rendirent dernier soupir,
Devinrent beaux comme avant.
Indifférents et délaissant le drame,
Les parents assoiffés léchèrent les larmes
De leurs enfants frustrés,
Pourquoi me direz-vous ?
Parce qu'elles étaient sucrées !
La définition de la fin du Néolithique est également problématique. La période s'achève en principe avec le début de l'âge du bronze, c'est-à-dire vers 2100 av. J.-C. en Europe occidentale et en Chine. L'âge du cuivre a été un temps considéré comme une période intermédiaire, marquée par l'émergence du travail de certains métaux (cuivre, or, argent), mais il se rattache en fait au Néolithique par de nombreux aspects, notamment son industrie lithique (outils en pierre polie) et osseuse.
TIGNARD YANIS @TIGNARDYANIS
11 hil y a 11 heures
LA NOSTALGIE N'EST PAS UNE SOURCE ARIDE CAR DANS LES TÉNÈBRES S'EST CRÉÉ LA ROSÉE. CETTE TRANSPIRATION SI SOUVENT OUBLIÉE DE LA PART DES PRÉJUGÉS JUGEANT SA FRAGILITÉ LIÉE AUX TRAGÉDIES: LA FORCE EST DE PERCEVOIR CE BIEN. DONT EST ISSUE LA VIE.
TAY
LA FRAÎCHEUR EST UNE GRAVITÉ REPOSANT SUR LA SURVIE; LA PEUR PEUT NOUS PRÉVENIR QUAND RÉELLEMENT, ON A APPRIS À NE PAS SURSAUTER SUR LE MOINDRE BRUISSEMENT DE VENT: L'INSTINCT EST DANS L'INSTANT ET L'INFINI, LA PRUDENCE CONDUIT CES SENTIMENTS.
TAY
L'INTUITION ET L'AFFECTION DEVANT L'ADVERSITÉ ET L'ASPECT NE SONT JAMAIS IDENTIQUE SELON LES ADVERSITÉS DE LA VIE, LE SENTIMENT D'ÊTRE EST LA SEULE RAISON POUR CELUI QUI CROIT ÊTRE LE SOUVERAIN: SA SEULE PRÉOCCUPATION EST SON DÉSIR.
TAY
LA MENACE FANTÔME: LÉDA SE BAIGNAIT DANS UNE MARE OÙ ZEUS LA SURPRIS DU REGARD: ELLE SE MÉTAMORPHOSA EN CYGNE BLANC POUR ÉCHAPPER À L'ARDEUR PHYSIQUE ET MORALE DU MAÎTRE DE L'OLYMPE AU GRAND DÉSESPOIR DE TYNDARE: LES ATRIDES.
TAY
LA MÉTAPHORE FANTÔME OU L'ÉVEIL DE LA FORCE: ZEUS S'ÉPRIT D'UNE DÉESSE AU POUVOIR INCOMMENSURABLE, NÉMÉSIS. POUR JUGER DE SON ARDEUR, ELLE SE MÉTAMORPHOSA EN CYGNE NOIR ET S'AMUSA À LUI ÉCHAPPER POUR LE RAMENER À HERA COMPLÈTEMENT ÉPUISÉ: NÉMÉSIS.
TAY
CETTE FABLE DU CYGNE NOIR ET DE NÉMÉSIS MONTRE QUE TOUS LES ASPECTS DE LA FORCE NOIRE NE CONDUISENT PAS TOUJOURS À UN EMPLOI FACILE DU POUVOIR: IL PEUT ÊTRE UTILISER AVEC PRUDENCE ET ÉTHIQUE DEVANT UN COURTISAN BIEN ENCOMBRANT: LA SANGSUE.
TAY
L'ARDEUR EST UNE VALEUR DE BIEN QUI CONDUIT CELUI QUI CROIT EN SON CHEMIN OU EN UNE ÉTHIQUE PARTAGÉ AVEC AUTRUI: CELA EST VALABLE POUR LE BIEN ET LE MAL: LA LUMIÈRE ET LES TÉNÈBRES N'APPARTIENT QU'AUX TEMPÊTES MONTRANT L'ÉGALITÉ DE CHEMINS DEVANT L'ADVERSITÉ.
TAY
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes et de l'Homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini