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 René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens

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yanis la chouette




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René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens Empty
MessageSujet: René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens   René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens EmptyMar 5 Nov à 3:02

Le mot lakhóta signifie à l'origine « sentiment d'affection », « amitié », « unité », « allié », « amical ». Le mot sioux signifie « petit serpent » ou « ennemi », les Lakotas ne s'appelaient donc pas eux-mêmes par ce terme péjoratif :
La colonisation européenne a été un événement central et dramatique pour les différents peuples amérindiens. Souvent réduits en servitude ou esclavage, chassés de leurs territoires, victimes d'épidémies apportées par les colons, ces peuples furent également tragiquement confrontés à la disparition de leur organisation sociale traditionnelle et de leur mode de vie, et à la transformation par les colons des paysages, de l'occupation des sols, de l'architecture urbaine ou rurale dont ils étaient les concepteurs et qui traduisaient le génie propre des civilisations précolombiennes. Les effectifs de leur population ne cessèrent de diminuer depuis le XVe siècle, et de nombreux peuples disparurent entièrement, et avec eux leur langue et leur culture.

Depuis les années 1960, les Amérindiens revendiquent leur identité (politique, culturelle, linguistique…), et interviennent de plus en plus souvent pour défendre l'environnement des petits territoires qui leur ont été laissés au terme de la conquête.

Batouala est un roman de René Maran publié en mai 1921 aux éditions Albin Michel. Il reçoit la même année le prix Goncourt et, de fait, est le premier livre d'un écrivain noir à recevoir un prix littéraire prestigieux en France.
Le roman se déroule en Oubangui-Chari, en pays Banda dans la subdivision de Grimari, entre les hauteurs (Kagas) que sont le Kaga Kosségamba, le kaga Gobo et le kaga Biga. Le roman est nourri de références très détaillées sur les lieux précis de l'action que ce soit dans la préface ou dans le reste du livre. Les personnages évoluent dans des villages ainsi que dans la brousse omniprésente. Le paysage se compose de vallées, de grands fleuves ainsi que de différents monts.

Premier roman de son auteur, Batouala est écrit dans un style naturaliste et expose les mœurs et traditions d'une tribu noire d'Oubangui-Chari, dirigée par Batouala.

Cet ouvrage contient une critique ambivalente du colonialisme français : si la préface fait date tant sa critique des excès du colonialisme français est virulente, Maran, administrateur colonial de profession, ne dénonce pas le colonialisme en tant que tel. Batouala a également été analysé comme un roman précurseur de la négritude.

René Maran est né le 5 novembre 1887 sur le bateau qui mène ses parents guyanais à la Martinique (préciser la source). Sa naissance est déclarée à Fort-de-France le 22 novembre 1887. Ses parents, partis au Gabon (où son père, Léon Herménégilde Maran, occupait un poste administratif colonial), le mettent en pension, dès l'âge de sept ans, au lycée de Talence puis au lycée Michel de Montaigne de Bordeaux. Il y rencontre Félix Éboué.

René Maran débute en littérature en 1909 dans la revue lilloise de Léon Bocquet : Le Beffroi. Il quitte Bordeaux en 1910, après des études de droit, et devient administrateur d'outre-mer en Oubangui-Chari en 1912. Il écrit des poèmes, puis son roman Batouala – Véritable roman nègre – qui décrit la vie d'un village africain du point de vue du chef éponyme2–, encouragé en cela par son ami Philéas Lebesgue qu'il vient rencontrer à Beauvais dès 1915. Dans la préface de ce roman, René Maran dénonce certains aspects de la colonisation, ce qui entraîne des controverses et lui vaut des inimitiés. Pour ce roman, il obtient le prix Goncourt en 1921, devenant à cette occasion le premier Français noir à recevoir ce prix.

Il met fin à sa carrière coloniale quelques années plus tard et continue celles d'écrivain et de journaliste littéraire et de radio à Paris où il résidera dorénavant. Durant la Seconde Guerre mondiale, il n'est pas inquiété par les autorités occupantes. Dans son œuvre romanesque inspirée par l'Afrique, il lui arrive de montrer les rapports parfois difficiles entre Noirs et Blancs, notamment le poids du racisme imposé par les institutions coloniales. Il est aussi un excellent écrivain animalier et dénonce la cruauté des hommes envers les animaux. Très attaché à la France, Français patriote en dépit de certains griefs qu'il exprime dans sa très belle correspondance avec Philéas Lebesgue, il écrit des biographies qui retracent la vie de « grands Français », notamment de ceux qui ont découvert les terres du futur Empire français. Dans sa correspondance, il cite souvent les trois plus grands amis qu'il admire : Félix Éboué, Philéas Lebesgue et Manoel Gahisto.

Dans les années 1930, René Maran fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal où il rencontre Léopold Senghor, Aimé Césaire, Jean Price Mars. René Maran exprime des réserves sur le mouvement naissant de la négritude dont il se méfie :


« Considéré par les Noirs comme un précurseur de la négritude, il avouait qu'il la comprenait mal et avait tendance à y voir un racisme plus qu'une nouvelle forme d'humanisme. Il se voulait, par-dessus tout et avec obstination « un homme pareil aux autres » »

— Lilyan Kesteloot.

Il est enterré à Paris, au cimetière du Montparnasse (11e division).

Batouala, grand chef du pays banda, excellent guerrier et chef religieux est rattrapé par le temps. Le récit suit ses considérations ordinaires, comme celle de savoir si se lever vaut la peine, mais présente aussi son point de vue personnel sur la colonisation, la coutume et la vie en général. Alors qu'il est responsable d'une importante cérémonie, il doit dorénavant se méfier d'un concurrent amoureux en la personne du fougueux Bissibi'ngui qui cherche à séduire sa favorite, Yassigui'ndja. Au terme de tensions suite à la mort du père de Batouala lors de la fête des « Ga'nzas », Yassigui'ndja se voit attribuer la mort de celui-ci, hâtant ainsi le projet d'assassinat que Bissibi'ngui nourrit à l'encontre de son rival. C'est finalement au moment de la chasse que Batouala se voit porter le coup fatal par la griffe d'une panthère. À la suite de cette blessure, Batouala agonise longuement et est témoin de la dilapidation de ses biens ainsi que du départ de ses femmes, dont sa favorite fuyant avec Bissibi'ngui.

Personnages[modifier | modifier le code]
Batouala. Personnage principal, il est chef de plusieurs villages, grands chasseurs, guerrier et aux nombreuses conquêtes. Il est l'un des plus grands critiques des colons dans le livre et défend la coutume ainsi que la tradition.

Yassigui'ndja. Favorite de Batouala, intelligente belle et fidèle joue un rôle central dans le récit. Malgré l'affection qu'elle porte en son mari et ce en tolérant parfaitement sa pratique polygamique, elle finit par s'éprendre de
Bissibi'ngui plus jeune et plus vivant que son amant dans la pente de la vieillesse.

Bissibi'ngui. Le rival de Batouala, excellent guerrier, fin chasseur et d'une grande beauté s'éprend de
Yassigui'ndja. Par la suite, il ne cessera de réfléchir au moyen de tuer son rival dans l'espoir de fuir avec sa compagne à Bangui.

Les bandas. C'est l'ethnie des habitants des villages sous l'autorité de Batouala. Ils interviennent à travers le son omniprésent des tams-tams et autre instruments qui rythment le récit ainsi que dans la scène de la fête des « Ga'nzas » et lors des chasses. Le roman présente de nombreuses scènes de palabres entre ceux-ci et Batouala.

Djouma. Le chien de Batouala. À priori sans importance, le développement de ce personnage occupe pourtant de nombreuses pages dans le roman. De nombreux passage prennent en effet la perspective de Djouma, véritable témoin clandestin de nombreuses scènes. Il bénéficie entre autres d'un traitement relativement comique.

Les administrateurs coloniaux. Ils incarnent les maux et la brutalité que dénoncent René Maran. Ils sont absents physiquement de la majorité du récit et n'interviennent que pour disperser les Bandas, refusant toute aide lorsqu'ils sont sollicités par eux. Leur place dans le récit se fait essentiellement par l'intermédiaire des réflexions de Batouala ainsi que par les palabres des Bandas. Ils sont donc dépeints comme des personnes absurdes et cruelles.

René Maran, né à Fort-de-France (Martinique), le 5 novembre 1887, mort à Paris 13e le 9 mai 1960, est un écrivain français, lauréat du prix Goncourt en 1921 pour son roman Batouala, dont la préface dénonce certains excès du colonialisme.

Œuvre...

1912 : La Vie intérieure, poèmes 1909-1912, Paris, Éd. du Beffroi, 157 p.
1921 : Batouala - Véritable roman nègre, prix Goncourt, Paris, éd. Albin Michel, 169 p. (notice BnF no FRBNF30875366)8
1922 : Le Visage calme, Paris, Éd. du Monde nouveau, 87 p.
1924 : Le Petit Roi de Chimérie, Paris, Éd. Albin Michel, 237 p.
1927 : Djouma, chien de Brousse, roman, Paris, Éd. Albin Michel, 253 p.
1931 : Le Cœur serré, autobiographie, Paris, Éd. Albin Michel, 252 p. (notice BnF no FRBNF36566415)
1931 : Asepsie noire !, Paris- Laboratoire Martinet, 45 p., illustrations.
1934 : Le Livre de la brousse, roman, Paris, Éd. Albin Michel, 287 p. (notice BnF no FRBNF32415554)
1935 : Les Belles images, poèmes, Bordeaux, Éd. Delmas, 83 p.
1938 : Livingstone et l'Exploration de l'Afrique, Paris, Gallimard, collection La découverte du monde, 276 p. (ISBN 9782071015084)
1941 : Bêtes de la brousse, Paris, Éd. Albin Michel, 253 p. (notice BnF no FRBNF32415543)
1941 : Brazza et la Fondation de l'A.E.F, Paris, Gallimard, collection La découverte du monde, 307 p. (ISBN 9782071015091)
1943 : Les Pionniers de l'Empire (tome 1), Paris, Éd. Albin Michel, 331 p.
1943 : Mbala, l'éléphant, Illustrations de André Collot, Paris, Éd. Arc-en-Ciel, 187 p. (notice BnF no FRBNF32415560)
1944 : Peine de cœur (dédié à Lucien Descaves), Paris, S.P.L.E., Éd. Univers, 207 p.
1946 : Les Pionniers de l'Empire (tome 2), Paris, Éd. Albin Muichel, 413 p.
1947 : Un homme pareil aux autres, Paris, Éd. Arc-en-Ciel, 248 p. (notice BnF no FRBNF32415549)
1951 : Savorgnan de Brazza, Paris, Éditions du Dauphin, 246 p., ill.
1957 : Félix Eboué, grand commis et loyal serviteur, 1885-1944, Paris, Éditions Parisiennes.
1953 : Bacouya, le Cynocéphale, roman, Éd. Albin Michel, 240 p.
1958 : Le Livre du souvenir, (notice BnF no FRBNF32415559)

Batouala, nourri de l'expérience personnelle de l'auteur, prend place en Oubangui-Chari, l'une des quatre colonies relevant du Gouvernement Général de l'Afrique-Équatoriale française et dans laquelle René Maran a opéré en tant qu'administrateur colonial. Celui ci décrit dans la préface le lieu exacte de l'action au moment de l'écriture (avant les changements administratifs successifs dans les années suivantes). Batouala prend place dans la circonscription (équivalent d'un département) de la Kémo (dont le chef-lieu, Fort-Sibut ou Krébédjé est situé à environ 190 km au Nord de Bangui) et plus précisément, dans la subdivision (équivalent à une sous-préfecture) de Grimari (située à 120 km environ à l'Est de Fort-Sibut). La colonisation de la zone se fait à la suite de la découverte du fleuve Oubangui par des explorateurs belges. Le territoire ainsi découvert est alors partagé entre la France et la Belgique de part et d'autre du fleuve, celui ci marquant la frontière entre les deux puissances coloniales. L'Oubangui-Chari devient une colonie en 1906 et est intégrée à l'Afrique-Équatoriale française en 1910. La zone est peuplée de l'ethnie Banda, victime de travaux forcés dans le cadre du régime des compagnies concessionnaires (17 entreprises disposent de 50% de l'Oubangui-Chari, qui reste possédé par l'État) pour l'exploitation de l'hévéa par exemple. Basé sur des sociétés sans réelle envergure financière et purement spéculatives, le système périclite après la Première Guerre Mondiale et l’État prend le relais, tout en conservant les mêmes pratiques brutales dénoncées notamment dans la préface de Batouala. La colonisation du territoire s'appuie à l'origine sur le thème de la mission civilisatrice avec une volonté affichée par la France de lutter contre l'esclavage puisque la zone est intégrée au circuit de la traite Atlantique depuis le XVIIIe siècle.

Les Amérindiens, Indiens d'Amérique, Indiens, Autochtones ou encore membres des Premières Nations, aborigènes, natifs américains ou Autochtones américains, comme revendiqué par certains d'entre eux, sont les habitants de l'Amérique avant la colonisation européenne et leurs descendants. La présence humaine dans cette partie du monde remonte au Paléolithique. En 1492, ils occupent la totalité des Amériques : Amérique du Nord, Amérique centrale, Amérique du Sud, ainsi que les Caraïbes. La Guyane, autrefois désignée comme la France équinoxiale, devient alors une colonie esclavagiste et voit sa population progresser jusqu'à l'abolition officielle de l'esclavage au moment de la révolution française. Elle accède temporairement au statut de département français à partir de 1797 mais est progressivement transformée en colonie pénale avec l'instauration du bagne. Il s'agit plus précisément d'un réseau de camps et de pénitenciers répartis sur l'ensemble de la côte guyanaise dans lesquels les détenus sont condamnés aux travaux forcés.

Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles.

Charles Baudelaire (9 avril 1821 – 31 août 1867), « Dante d’une époque déchue » selon les termes de Barbey d’Aurevilly, occupe une place prestigieuse parmi les poètes français, signant un chef-d’œuvre qu’il aura bâtie une vie durant et qui n’aura de cesse d’inspirer les générations futures : Les Fleurs du mal. Ce chantre de la modernité a été amené à échanger avec un autre visionnaire, Victor Hugo, qui avait la capacité de reconnaître les génies de son époque. Dans cette lettre, il lui apporte tout son soutien et le félicite pour ses « fleurs maladives », malgré le procès dont Baudelaire est victime au même moment…

30 août 1857

J’ai reçu, Monsieur, votre noble lettre et votre beau livre. L’art est comme l’azur, c’est le champ infini. Vous venez de le prouver. Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles. Continuez. Je crie bravo de toutes mes forces à votre vigoureux esprit. Permettez-moi de finir ces quelques lignes par une félicitation. Une des rares décorations que le régime actuel peut accorder, vous venez de la recevoir. Ce qu’il appelle sa justice vous a condamné au nom de ce qu’il appelle sa morale. C’est là une couronne de plus.

Je vous serre la main, poëte.

Victor Hugo

Batouala reçoit le prix Goncourt dans un contexte français favorable aux mouvements noirs. Deux éléments en particulier : la forte implication des troupes noires dans la Première Guerre mondiale et l’implication de la France dans l’organisation du premier Congrès panafricain. La France emploie des troupes africaines depuis la fin du XIXe siècle. Ces troupes étaient néanmoins déployées sur des théâtres d’opération nord-africains. Le XXe siècle voit la question des conditions de vie des noirs devenir populaire. Aux États-Unis, la National Association for the Advancement of Colored People voit le jour en 1909, précédée par d'autres mouvements. Ces mouvements, menés par des intellectuels tels W. E. B. Du Bois, intellectuel militant pour les droits civiques, visent à améliorer les conditions de vies des noirs en s'appuyant sur la bourgeoisie progressiste blanche. Cette stratégie n'ayant mené qu'a l'échec, Du Bois oriente son combat vers la défense des noirs africains et contre l'exploitation de l'Afrique par les puissances occidentales. Le territoire guyanais fait partie des neuf régions ultrapériphériques (RUP) de l'Union européenne. C'est le seul territoire continental de France et de l'Union européenne en Amérique du Sud et le dernier territoire français en Amérique continentale. Les Amérindiens, Indiens d'Amérique, Indiens, Autochtones ou encore membres des Premières Nations, aborigènes, natifs américains ou Autochtones américains, comme revendiqué par certains d'entre eux, sont les habitants de l'Amérique avant la colonisation européenne et leurs descendants. La présence humaine dans cette partie du monde remonte au Paléolithique. En 1492, ils occupent la totalité des Amériques : Amérique du Nord, Amérique centrale, Amérique du Sud, ainsi que les Caraïbes.

chant amerindiens lakota
https://www.bing.com/videos/search?q=chant+amerindiens+youtube&view=detail&mid=F8547C36E3429A47267EF8547C36E3429A47267E&FORM=VIRE

Les Lakotas (Lakhota ou encore Lak'ota) sont une tribu autochtone américaine du groupe ethnique sioux. Ils forment eux-mêmes un groupe de sept tribus. En 1964, le général de Gaulle prend la décision de construire une base spatiale en Guyane, destinée à remplacer la base saharienne située en Algérie à Hammaguir. La position du département est privilégiée, proche de l’équateur avec une large ouverture sur l’océan. Le Centre spatial guyanais, depuis les premières fusées « Véronique », s’est largement développé au fil des années. Port spatial de l’Europe avec des lanceurs comme Ariane 4 et Ariane 5, qui se révèlent un véritable succès commercial dans le monde36,37, le Centre spatial guyanais développe aussi le Programme Vega, et une base de lancement Soyouz construite à Sinnamary. D'ici 2021, la Guyane va assister au lancement de la nouvelle fusée Ariane 6, projet développé en 2014.

MOSAÏQUE DE
SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
DU CITOYEN TIGNARD YANIS
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MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE.
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MessageSujet: Re: René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens   René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens EmptyMar 5 Nov à 3:14

La véritable cérémonie commençait la dernière nuit, une nuit de pleine lune par la Moon dance et se terminait le soir au coucher du soleil.

Le paludisme et la dengue (avec des formes hémorragiques depuis le début des années quatre-vingt-dix, parfois mortelle) ont une incidence élevée en Guyane. La fièvre jaune y présente aussi un risque significatif, ainsi que la tuberculose. Pour les visiteurs, la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire quelle que soit la durée du séjour.

Des difficultés d’accès à l’eau potable sont rencontrées dans de nombreuses communautés et quelques prises d’eau en rivière destinées à alimenter le réseau d'eau potable peuvent être certaines années non-opérationnelles en raison d'intrusions salines venues de l'océan atlantique (le « front salé » et son évolution saisonnière ont été observés par le BRGM à Mana et sur le Maroni pour les modéliser et mieux anticiper ce phénomène)62. Un manque d'accès au réseau d'eau potable augmente le risque de maladies infectieuses entériques63. La Guyane est aussi le département où la prévalence du sida/VIH est la plus élevée. Selon l'ARS en 2012, « Les Caraïbes sont la deuxième région la plus touchée au monde par le VIH/SIDA après l’Afrique ».

En 2012, la mortalité infantile par maladies infectieuses et parasitaires (même hors-sida) y est la plus élevée de France, bien plus que dans la métropole française (elle est de 551 pour 100 000 en Guyane, pour un taux métropolitain de 182 selon une étude de la Drees et de l'Inserm. La mortalité périnatale et la mortalité maternelle y dépassaient celles des autres DOM66.

Les Lakotas ont, comme d'autres peuples autochtones, connu avec l'arrivée des Blancs des épidémies puis des massacres. Plusieurs traités ont été signés au fil du temps entre leur peuple et les colons[réf. nécessaire], mais ces derniers ne les respectèrent pas longtemps, et le territoire attribué aux Lakotas ne cessa de diminuer. À cela s'ajoutait le massacre des bisons qui entraîna des famines.

Aujourd'hui, les Lakotas vivent pour la plupart dans les cinq réserves du sud-ouest du Dakota du Nord et du Dakota du Sud : Rosebud (où vivent les Brûlés), Pine Ridge (où vivent les Oglalas), Lower Brulé (où vivent les Brûlés), Cheyenne River (où vivent plusieurs autres des sept tribus Lakotas, dont les Pieds-noirs et les Hunkpapas), et Standing Rock (également peuplée par plusieurs tribus).

Mais on trouve aussi des Lakotas plus au nord dans la réserve indienne de Fort Peck au Montana, celle de Fort Berthold dans le Nord-Ouest du Dakota du Nord, et dans plusieurs petites réserves de la Saskatchewan et du Manitoba, où leurs ancêtres arrivèrent après la bataille de Little Bighorn. Un grand nombre de Lakotas vivent aussi à Rapid City et autres villes des Black Hills et dans la région de Denver.

Les Lakotas ont sept rituels sacrés donnés selon la légende par la femme Bison Blanc (en)4,5:
Inikagapi ou Inipi : célébrer la vie et prier pour une bonne santé ;
Hanbleceyapi : rechercher une vision et connaître son avenir ;
Wanagi Wicagluha : accompagner et purifier un esprit jusqu'à sa libération ;
Wiwanyang Wacipi : danse du soleil ;
Hunkapi : instaurer un lien de parenté ;
Isnati Awicalowanpi : célébrer la puberté d'une jeune fille dans une loge menstruelle ;
Tapa Wankayeyapi : jeu du lancer de balle.

Aujourd'hui, les Lakotas vivent pour la plupart dans les cinq réserves du sud-ouest du Dakota du Nord et du Dakota du Sud : Rosebud (où vivent les Brûlés), Pine Ridge (où vivent les Oglalas), Lower Brulé (où vivent les Brûlés), Cheyenne River (où vivent plusieurs autres des sept tribus Lakotas, dont les Pieds-noirs et les Hunkpapas), et Standing Rock (également peuplée par plusieurs tribus).

Mais on trouve aussi des Lakotas plus au nord dans la réserve indienne de Fort Peck au Montana, celle de Fort Berthold dans le Nord-Ouest du Dakota du Nord, et dans plusieurs petites réserves de la Saskatchewan et du Manitoba, où leurs ancêtres arrivèrent après la bataille de Little Bighorn. Un grand nombre de Lakotas vivent aussi à Rapid City et autres villes des Black Hills et dans la région de Denver.

Les sols pauvres et acides favorisent la biodisponibilité et la circulation des métaux lourds et en particulier du mercure depuis des décennies utilisé par l'orpaillage, et du plomb (source de saturnisme).

Les enquêtes faites par la CIRE et l’ARS dans l'Ouest de la Guyane (entre Saint-Laurent-du-Maroni et Mana) ont mis en évidence de « fortes imprégnations au plomb chez certains habitants (dans un village 48 % de l’ensemble des habitants (21/44) et 93 % des enfants de moins de 7 ans (13/14) avaient une plombémie dépassant à 100 μg/L (seuil de définition du saturnisme en France) et d'autres analyses »67 et études68 ont confirmé un problème pouvant « concerner l’ensemble de la Guyane et les pays limitrophes (Surinam, Brésil) ». En 2015, les éléments disponibles font évoquer une source alimentaire69 à ce plomb70. Et il a été noté que chez les femmes enceintes, « la plombémie et la proportion de participantes ayant une plombémie élevée augmente en fonction de l’âge. Ainsi, elles sont 21,6 % de moins de 18 ans contre 32,5 % chez les femmes de 35 ans et plus à avoir une plombémie ≥ 50 μg/L (p=0,29) et respectivement 2,7 % contre 10,4 % à avoir une plombémie ≥ 100 μg/L (p=0,023) ». La pauvreté, un faible niveau de scolarisation, le fait d'avoir préparé du couac durant la grossesse ou d'avoir mangé du gibier ou bu de l'eau de pluie (plutôt que du robinet ou en bouteille) et le fait de parler le nenge tongo sont associés à une plombémie plus élevée (ce qui a fait évoquer le rôle possible d'une tradition de géophagie, mais un lien de causalité n'a pas pu être clairement mis en évidence). En outre, les femmes vivant en amont du fleuve Maroni sont plus touchées qu'à l'aval. À Saint-Laurent-du-Maroni la plombémie maximale est de 25,8 μg/L dans le centre-ville à 42 μg/L sur l'île Bastien et Portal.

Ainsi, le Carnaval est l'un des événements majeurs de Guyane. Il se déroule, les après-midi de dimanche, entre l'Épiphanie au début de janvier, et le Mercredi des Cendres en février ou mars. Des groupes déguisés selon la thématique de l'année, y défilent autour de chars décorés, au rythme des percussions et des cuivres. La préparation des groupes dure des mois avant le carnaval. Les groupes défilent devant des milliers de spectateurs qui s'amassent sur les trottoirs et les gradins aménagés pour l'occasion.

Puis, au début de soirée, les touloulous se rendent dans les dancings.

Des groupes brésiliens identiques à ceux que l'on rencontre au carnaval de Rio, sont également appréciés pour leurs rythmes et leurs costumes affriolants. La communauté asiatique de Cayenne participe également aux défilés en apportant sa touche caractéristique, avec des dragons

La cérémonie de la danse « en regardant le soleil » appelée bien souvent, à tort, la danse du soleil est un rituel religieux pratiqué par plusieurs tribus amérindiennes d'Amérique du Nord. C’est l'un des rites les plus importants et les plus spectaculaires chez les Indiens des Plaines.

Elle a lieu une fois par an pendant le solstice d'été, durant la pleine lune, de fin juin ou début juillet. La célébration pouvait durer quatre1 à huit jours. Elle entend représenter symboliquement la continuité qui existe entre la vie et la mort et affirmer que la mort n'était pas une fin mais le début d'un nouveau cycle.

Chaque tribu pratique ses propres rituels et ses propres danses, mais ces cérémonies possèdent de nombreux traits communs, comme la danse, les chants, les prières, le tambour, les visions, le jeûne et dans certains cas, l'auto-mutilation de la poitrine ou du dos.

Lettre de Charles Baudelaire à Victor Hugo...

23 septembre 1859


Monsieur,

J’ai le plus grand besoin de vous, et j’invoque votre bonté. Il y a quelques mois, j’ai fait sur mon ami Théophile Gautier un assez long article qui a soulevé un tel éclat de rire parmi les imbéciles, que j’ai jugé bon d’en faire une petite brochure, ne fût-ce que pour prouver que je ne me repens jamais. — J’avais prié les gens du journal de vous expédier un numéro. J’ignore si vous l’avez reçu ; mais j’ai appris par notre ami commun, M. Paul Meurice, que vous aviez eu la bonté de m’écrire une lettre, laquelle n’a pas encore pu être retrouvée, L’Artiste ayant jugé à propos de la renvoyer à un domicile que je n’habite plus depuis longtemps, au lieu de la renvoyer à Honfleur, mon vrai domicile, où rien ne se perd. Il m’est impossible de deviner si votre lettre avait directement trait à l’article en question, et, quoi qu’il en soit, j’ai éprouvé un amer regret. — Une lettre de vous, Monsieur, qu’aucun de nous n’a vu depuis longtemps, de vous, que je n’ai vu que deux fois, et il y a de cela presque vingt ans, — est une chose si agréable et si précieuse ! — Il faut cependant que je vous explique pourquoi j’ai commis cette prodigieuse inconvenance de vous envoyer un papier imprimé sans joindre une lettre, un hommage quelconque, un témoignage de respect et de fidélité. Un des imbéciles dont je parlais (celui-là plein de trop d’esprit, je veux dire d’esprit pointu) me dit : Comment ! vous aurez l’effronterie d’envoyer cet article à M. Hugo ! Vous ne sentez donc pas que c’est fait pour lui déplaire ! — Voilà sans doute une énorme sottise. Eh bien ! Monsieur, quoique je sache que le génie contient naturellement tout l’esprit critique et toute l’indulgence nécessaire, je me suis senti intimidé, et je n’ai pas osé vous écrire.

J’ai donc maintenant quelques explications à vous donner. Je sais vos ouvrages par cœur, et vos préfaces me montrent que j’ai dépassé la théorie généralement exposée par vous sur l’alliance de la morale avec la poésie. Mais en un temps où le monde s’éloigne de l’art avec une telle horreur, où les hommes se laissent s’abrutir par l’idée exclusive d’utilité, je crois qu’il n’y a pas grand mal à exagérer un peu dans le sens contraire. J’ai peut-être réclamé trop. C’était pour obtenir assez. Enfin, quand même un peu un peu de fatalisme asiatique se serait mêlé à mes réflexions, je me considère comme pardonnable. L’épouvantable monde où nous vivons donne le goût de l’isolement et de la fatalité.

J’ai voulu surtout ramener la pensée du lecteur vers cette merveilleuse époque littéraire dont vous fûtes le véritable roi et qui vit dans mon esprit comme un délicieux souvenir d’enfance.

Relativement à l’écrivain qui fait le sujet de cet article, et donc le nom a servi de prétexte à mes considérations critiques, je puis vous avouer confidentiellement que je connais les lacunes de son étonnant esprit. Bien des fois, pensant à lui, j’ai été affligé de voir que Dieu ne voulait pas être absolument généreux. Je n’ai pas menti, j’ai esquivé, j’ai dissimulé. Si j’étais appelé à témoigner en justice, et si mon témoignage, absolument véridique, pouvait nuire à un être favorisé par la Nature et aimé par mon Cœur, je vous jure que je mentirais avec fierté ; — parce que les lois sont au-dessous du sentiment, parce que l’amitié est, de sa nature, infaillible et ingouvernable. Mais vis-à-vis de vous, il me semble absolument inutile de vous mentir.

J’ai besoin de vous. J’ai besoin d’une voix plus haute que la mienne et que celle de Théophile Gautier, — de votre voix dictatoriale. Je veux être protégé. J’imprimerai humblement ce que vous daignerez m’écrire. Ne vous gênez pas, je vous en supplie. Si vous trouvez, dans ces épreuves, quelque chose à blâmer, sachez que je montrerai votre blâme docilement, mais sans trop de honte. Une critique de vous, n’est-ce pas encore une caresse, puisque c’est un honneur ?

Les vers que je joins à cette lettre se jouaient depuis longtemps dans mon cerveau. Le second morceau a été fait en vue de vous imiter (riez de ma fatuité, j’en ris moi-même) après avoir relu quelques pièces de vos recueils, où une charité si magnifique se mêle à une familiarité si touchante. J’ai vu quelquefois dans les galeries de peintures de misérables rapins qui copiaient les ouvrages des maîtres. Bien ou mal faites, ils mettaient quelquefois dans ces imitations, à leur insu, quelque chose de leur propre nature, grande ou triviale. Ce sera là peut-être (peut-être !) l’excuse de mon audace. Quand Les Fleurs du mal reparaîtront, gonflées de trois fois plus de matière que n’en a supprimé la Justice, j’aurai le plaisir d’inscrire en tête de ces morceaux le nom du poète dont les œuvres m’ont tant appris et ont donné tant de jouissances à ma jeunesse.

Je me rappelle que vous m’envoyâtes, lors de cette publication, un singulier compliment sur la flétrissure que vous définissiez une décoration. Je ne compris pas très bien, parce que j’étais encore en proie à la colère causée par la perte de temps et d’argent. Mais aujourd’hui, Monsieur, je comprends très bien. Je me trouve fort à l’aise sous ma flétrissure, et je sais que désormais, dans quelque genre de littérature que je me répande, je resterai un monstre et un loup-garou.

Il y a quelque temps, l’amnistie mit votre nom sur toutes les lèvres. Me pardonnerez-vous d’avoir été inquiet pendant un quart de seconde ? J’entendais dire autour de moi : Enfin, Victor Hugo va revenir ! — Je trouvais que ces paroles faisaient honneur au cœur de ces braves gens, mais non pas à leur jugement. Votre note est venue qui nous a soulagés. Je savais bien que les poètes valaient les Napoléon, et que Victor Hugo ne pouvait pas être moins grand que Chateaubriand.

On me dit que vous habitez une demeure haute, poétique, et qui ressemble à votre esprit, et que vous vous sentez heureux dans le fracas du vent et de l’eau.

Vous ne serez jamais aussi heureux que vous êtes grand. On me dit aussi que vous avez des regrets et des nostalgies. C’est peut-être faux. Mais si c’est vrai, il vous suffirait d’une journée dans notre triste, dans notre ennuyeux Paris, dans notre Paris-New York, pour vous guérir radicalement. Si je n’avais pas ici des devoirs à accomplir, je m’en irais au bout du monde. — Adieu, Monsieur, si quelquefois mon nom était prononcé d’une manière bienveillante dans votre heureuse famille, j’en ressentirais un grand bonheur.

BAUDELAIRE

Le français est la langue officielle de la Guyane mais de nombreuses autres langues locales sont aussi utilisées. La seconde langue la plus parlée dans la société est le créole guyanais[réf. souhaitée], une langue à base de français, d'anglais, d'espagnol, de portugais, de langues africaines et amérindiennes. Elle serait née au XVIIe siècle entre les esclaves africains et leurs maîtres français qui tentaient de communiquer. Il est parfois mélangé par l'influence des autres communautés créoles immigrés de Martinique (créole martiniquais), de Guadeloupe (créole guadeloupéen) et d'Haïti (créole haïtien)...

Six langues bushi kondé (des noirs marrons), parlées par les Busi-Nengue Guyanais ou Surinamiens (Surinamais pour l'Académie française) : langues boni, saramaca, paramaca, djuka, mataray, kwenty, aluku.
Les autres langues régionales sont six des sept langues amérindiennes (arawak, palikur, kali'na, wayana, wayãpi, émerillon), ainsi que le hmong (langue laotienne). La langue apalai parlée par peu de locuteurs n'est pas reconnue officiellement.

Enfin, les autres communautés formant une partie non négligeable de la population parlent quotidiennement le portugais, l'anglais, le chinois, l'espagnol, le russe, etc.

Les premières observations occidentales de danses du soleil, chez les Lakotas, semblent remonter au début du XVIIIe siècle. Ces premiers observateurs extérieurs ont été particulièrement impressionnés par les blessures que de nombreux jeunes hommes s'infligeaient à eux-mêmes au cours du rituel. Frederick Schwatka écrivit notamment le texte suivant au sujet d'une danse du soleil des Lakotas, ou les Sioux, dont il fut témoin à la fin du XIXe siècle :


« Chacun des jeunes hommes se présentait à un homme-médecine. Celui-ci, prenait la peau de la poitrine du guerrier entre le pouce et l'index pour former un pli qu’il transperçait à l’aide d’un couteau à lame très étroite et tranchante, puis y insérait un os solide, de la taille d'un crayon de charpentier. Ce dernier était attaché à une longue corde fixée, à son autre extrémité, au sommet du mât du soleil situé au centre de l'arène. Le but à atteindre pour l’adepte était de se libérer de cette entrave. Pour cela, il devait faire en sorte que la peau de sa poitrine se déchire sous la traction des broches qui transpercent sa chair, atroce épreuve qui, même pour les plus résolus pouvait nécessiter de longues heures de torture. »

En fait, l'objet de cette transfixion est de s’offrir en sacrifice au Grand Esprit et de prier en étant relié à l'arbre de vie, en communication directe avec Wakan Tanka. La chair se déchire au moment où l'homme s’éloigne de l'arbre en se ruant vers l'arrière au moment indiqué par le guide de la danse. Il s'agit-là d'une forme de prière qui se manifeste par un autosacrifice pour la communauté et le peuple.

Bien que seules certaines tribus pratiquent ce rituel au cours de leurs danses, le gouvernement canadien a déclaré illégale la danse du soleil dès 1880, suivi par le gouvernement fédéral des États-Unis en 1904. En fait les autorités américaines se sont servies de l'aspect jugé « barbare » de ce rituel et des pratiques d’auto-mutilation qu’il comportait pour l’interdire et déposséder ainsi les Amérindiens de leurs traditions et de leurs coutumes. Ceux qui la pratiquaient étaient inculpés de ce qui était qualifié de « délit indien ». C'est pourquoi les Indiens des Plaines les organisaient en secret dans des sites sacrés comme les roues médecine1.

Certains Amérindiens acceptèrent d'interpréter la cérémonie proscrite pour des publics blancs en recherche de sensation, simulant le « percement » des chairs au moyen de harnais. Beaucoup continuèrent à la célébrer en secret afin que le rituel de renouveau qu'elle signifie puisse conserver toute son efficacité et que les cycles naturels puissent se perpétuer. En 1934, l'Indian Reorganization Act a autorisé le « percement » des chairs des danseurs mais il fallut attendre les années 1960 et le développement du militantisme amérindien pour assister à une véritable renaissance dès 1968. Cette cérémonie sacrée ainsi que la cérémonie de la hutte à sudation est de plus en plus pratiquée chez les Lakotas d'aujourd'hui.

La Danse du Soleil, désormais à nouveau légale, est pratiquée aux États-Unis (depuis la présidence de Jimmy Carter) et au Canada, elle se déroule annuellement sur chaque réserve des plaines et dans quelques zones urbaines.

Les femmes sont autorisées à danser, mais ne sont pas obligées, contrairement aux hommes, de se transpercer la peau dans les danses où cette pratique est requise (certaines tribus ne pratiquent pas ce rituel, comme les Shoshones du Wyoming). Elles peuvent cependant le faire si elles le désirent, mais les femmes se font inciser le haut du bras et une plume d’aigle est fixée dans la plaie, jusqu'à ce que la chair se déchire. Un danseur du soleil doit s'engager à danser quatre années de suite, dans la direction des quatre points cardinaux.

L'autre animal sacré des Amérindiens était le bison, il apparaissait souvent au début du rituel. Les Shoshones croyaient que c'était le bison qui avait enseigné à l'homme les rituels de la Danse du soleil. On dédiait des chants et des danses à cet animal parce qu'il symbolisait la vie3. Les Amérindiens dépendaient du bison pour manger, s'habiller, fabriquer leurs tipis, armes et divers ustensiles.

Suivant les tribus, le bison participait de différentes façons à la Danse du Soleil. Les Cheyennes avaient décrété que tous les objets sacrés introduits dans la Danse du Soleil devaient être liés au bison. Les Lakotas plaçaient un pénis séché de bison contre le mât-soleil pour décupler la virilité des danseurs. Le crâne de bison était utilisé comme une entité à part entière dans le déroulement de la danse. Les Cheyennes remplissaient les cavités des yeux et du nez d'un crâne de bison avec de l'herbe qui représentait une nourriture abondante pour cet animal, et donc aussi pour les hommes. Les Sioux Dakota croyaient que les os se régénèrent en un nouveau bison parce que, selon eux, l'âme avait son siège dans les os. Réduire une chose vivante à un état de squelette c'était lui permettre de rentrer à nouveau dans la vie, une forme de renaissance spirituelle. Pendant la Danse du Soleil le bison apparaissait souvent dans les visions des danseurs où ils pouvaient défier le bison en le chargeant mais où l’animal pouvait également les assommer en les bousculant. Si un danseur perdait connaissance trop longtemps, cela signifiait qu'il avait eu peur d'affronter le bison. Chaque participant devait défier le bison, c'est lui qui décidait alors si cette personne valait la peine que ses prières soient écoutées. Si dans ce face à face spirituel, le danseur pouvait voir la foule rassemblée tout autour de lui à travers l'œil du bison, cela signifiait qu’il ne faisait plus qu'un avec le bison3.

Participer à la Danse du Soleil c'était aussi résoudre un conflit interne : respecter le bison qui est un animal sage et puissant mais devoir le tuer pour survivre. L'adoration du bison permettait de le traiter avec respect, de lui redonner la vie que le chasseur devait prendre pour se nourrir. Les indiens pensaient aussi que le bison fait don de lui-même pour leur permettre de vivre, il est donc normal de lui donner quelque chose en retour, en signe de gratitude. Le sacrifice par le jeûne, la soif et l'auto-flagellation ou l’auto-mutilation étaient autant de gestes de gratitude envers lui.

Lettre de Gustave Flaubert à Victor Hugo...

15 juillet 1853


Comment vous remercierai-je, Monsieur, de votre magnifique présent ? Et qu’ai-je à vous dire ? Si ce n’est le mot de Talleyrand à Louis-Philippe qui venait le visiter dans son agonie : « C’est le plus grand honneur qu’ait reçu ma maison ! » Mais ici se termine le parallèle, pour toutes sortes de raison.

Donc, je ne vous cacherai pas, Monsieur, que vous avez fortement

Chatouillé de mon coeur l’orgueilleuse faiblesse

comme eût écrit ce bon Racine ! Honnête poète ! Et quelle quantité de monstres il trouverait maintenant à peindre, autres et pire cent fois que son dragon-taureau !

L’exil, du moins, vous en épargne la vue. Ah ! si vous saviez dans quelles immondices nous nous enfonçons ! Les infamies particulières découlent de la turpitude politique et l’on ne peut faire un pas sans marcher sur quelque chose de sale. L’atmosphère est lourde de vapeurs nauséabondes. De l’air ! de l’air ! Aussi j’ouvre la fenêtre et je me tourne vers vous. J’écoute passer les grands coups d’ailes de votre Muse et j’aspire, comme le parfum des bois, ce qui s’exhale des profondeurs de votre style.

Et d’ailleurs, Monsieur, vous avez été dans ma vie une obsession charmante, un long amour ; il ne faiblit pas. Je vous ai lu durant des veillées sinistres et, au bord de la mer, sur des plages douces, en plein soleil d’été. Je vous ai emporté en Palestine, et c’est vous encore qui me consoliez, il y a dix ans, quand je mourais d’ennui dans le Quartier Latin. Votre poésie est entrée dans ma constitution comme le lait de ma nourrice. Tel de vos vers reste à jamais dans mon souvenir, avec toute l’importance d’une aventure.

Je m’arrête. Si quelque chose est sincère pourtant, c’est cela. Désormais donc, je ne vous importunerai plus de ma personne et vous pourrez user du correspondant sans craindre la correspondance.

Cependant, puisque vous me tendez la main par-dessus l’Océan, je la saisis et je la serre. Je la serre avec orgueil, cette main qui a écrit Notre-Dame et Napoléon le petit, cette main qui a taillé des colosses et ciselé pour les traîtres des coupes amères, qui a cueilli dans les hauteurs intellectuelles les plus splendides délectations et qui, maintenant, comme celle de l’Hercule biblique, reste seule levée parmi les doubles ruines de l’Art et de la Liberté !

A vous donc, Monsieur, avec mille remerciements encore une fois.

Ex imo.

La tendresse est une forme d'affection, de sensibilité et de considération bienveillante à l'égard d'un autre sans qu'il existe d'élément de contrainte que la passion ou le désir pourrait susciter. Elle s'exprime dans les gestes, le toucher, la douceur, la délicatesse, l'attention portée aux besoins d'autrui, le regard, la voix, et constitue une forme de respect de l'autre. La tendresse permet de créer une relation d'affection, qui peut aller de la relation d'amitié à la relation amoureuse. Il est à noter qu'elle n'implique pourtant pas nécessairement de désir sensuel, attendu qu'elle peut être l'élément clé d'une relation familiale.

MOSAÏQUE DE
SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
DU CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie.
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE.
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MessageSujet: Re: René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens   René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens EmptyMar 5 Nov à 3:32

TIGNARD YANIS‏ @Yanis_Tignard · 13 hil y a 13 heures
DIMANCHE SOIR : journée émaillée d'incidents à Hong Kong, six blessés dans une attaque au couteau http://f24.my/5k4N.T via @FRANCE24

YÉMEN :
LA RÉPUBLIQUE DU SOUDAN RAPPELLE DIX MILLE SOLDATS ET DISCUTE AU SUJET DE OMAR EL-BÉCHIR.
Y'BECCA.
TAY

LE BRÉSIL DANS LA TOURMENTE DES INCENDIES AMAZONIENS ET, D'UNE MARÉE NOIRE NON IDENTIFIÉE
MAIS HÉLAS RÉELLE...
TAY

LA FRANCE A RÉSISTÉ À LA TEMPÊTE AMÉLIE MAIS LES DÉGÂTS SONT TRAUMATISANT
DANS LES SENTIMENTS ET LES ASSURANCES.
TAY

COURAGE, CALIFORNIE... DANS CES INCENDIES QUI RAVAGENT TES CICATRICES, JE PENSE À CES VICTIMES QUI SONT TES ENFANTS.
TAY

L'ABNÉGATION RÉPUBLICAINE QUI EST LE FLAMBEAU DES SÉNATS AMÉRICAINS ET FRANÇAIS SE COORDONNENT POUR LE DEVENIR.
TAY

LA LUNE NE DOIT PAS ÊTRE UN CONFLIT INTERNATIONAL ET EN CELA, LA RUSSIE ET LA CHINE LE COMPRENNENT CAR L'ABNÉGATION EST L'ÉTHIQUE.
TAY

DANS LE DEVENIR, LA LUNE NE DOIT PAS ÊTRE UNE POUBELLE : NOUS DEVONS AVOIR RESPECT AUX VIES QUE SES SENTIMENTS ONT ENGENDRÉ DANS NOTRE ÉVOLUTION.
TAY

TIGNARD YANIS‏ @Yanis_Tignard · 4 minil y a 4 minutes
En réponse à @RTErdogan
L'ÂME DE HEVRIN KHALAF...
http://cris-et-echos.forumactif.com/t3-l-ame-de-hevrin-khalaf …
René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens.
https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t745-rene-maran-batouala-oubangui-chari-et-les-amerindiens#8631
JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER, IPHIGÉNIE ET JÉRUSALEM...
http://leclandesmouettes.1fr1.net/t942-juge-de-la-republique-de-l-olivier-iphigenie-et-jerusalem …
LE JURY CIVIL, LE REGARD DE ANTIGONE ET LA JUSTICE LAÏQUE.
TAY

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

"Je suis Y'becca"

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

PUIS, LE HUIT DÉCEMBRE 2017, JE RAJOUTE CE NOUVEAU TEXTE:

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

" PEUPLES DE JÉRUSALEM CE QU'IL Y A, C'EST LE DIRE SUR LE DISCOURS.
LE DÉVELOPPEMENT EST UN POUMON DU DESTIN CAR LE TEMPS DOIT ÊTRE
POUR PERMETTRE LA SITUATION DE CONSCIENCE DANS L'HANDICAP.
L'HABITUDE ET L'HARMONIE DOIVENT ÊTRE ROMPUES QUAND LA HAINE
S'ENRICHIT DE LA GUERRE.

PEUPLES DE JÉRUSALEM, MACHU PICCHU ET PÉKIN SONT DES CITÉS CONSTRUITES
SUR LA FOI, LA CONVICTION, LA CONNAISSANCE ET LA SURVIE DE POLITIQUES
DANS L'HISTOIRE: UNE AMBASSADE N'EST PAS UN GOUVERNEMENT
ET LA CITOYENNETÉ N'EST PAS L'HUMANITÉ:
NON AUX ESCLAVAGES, CÉLESTE JÉRUSALEM.

Je suis Y'becca".

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

PUIS, LE VINGT ET UN DÉCEMBRE 2017, JE RAJOUTE CE NOUVEAU TEXTE:

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

" PEUPLES DE JÉRUSALEM CE QU'IL Y A, C'EST LE DIRE SUR LE DISCOURS.
LE DÉVELOPPEMENT EST UN POUMON DU DESTIN CAR LE TEMPS DOIT ÊTRE
POUR PERMETTRE LA SITUATION DE CONSCIENCE DANS L'HANDICAP.
L'HABITUDE ET L'HARMONIE DOIVENT ÊTRE ROMPUES QUAND LA HAINE
S'ENRICHIT DE LA GUERRE.

AUX ENTITÉS HUMAINES, ANIMALES ET ROBOTIQUES:
NON AUX SACRIFICES D’ÊTRE VIVANT, DE CONSCIENCE, D'ESPRIT
POUR UN DIEU OU DES DIEUX Y COMPRIS AUX DÉITÉS FÉMININES.

PEUPLES DE JÉRUSALEM, MACHU PICCHU ET PÉKIN SONT DES CITÉS CONSTRUITES
SUR LA FOI, LA CONVICTION, LA CONNAISSANCE ET LA SURVIE DE POLITIQUES
DANS L'HISTOIRE: UNE AMBASSADE N'EST PAS UN GOUVERNEMENT
ET LA CITOYENNETÉ N'EST PAS L'HUMANITÉ:
NON AUX ESCLAVAGES, CÉLESTE JÉRUSALEM.

Je suis Y'becca".

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

et

LE DIX NEUF JANVIER DEUX MILLE DIX HUIT, JE RAJOUTE CE NOUVEAU TEXTE:

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

" PEUPLES DE JÉRUSALEM CE QU'IL Y A, C'EST LE DIRE SUR LE DISCOURS.
LE DÉVELOPPEMENT EST UN POUMON DU DESTIN CAR LE TEMPS DOIT ÊTRE
POUR PERMETTRE LA SITUATION DE CONSCIENCE DANS L'HANDICAP.
L'HABITUDE ET L'HARMONIE DOIVENT ÊTRE ROMPUES QUAND LA HAINE
S'ENRICHIT DE LA GUERRE.

AUX ENTITÉS HUMAINES, ANIMALES ET ROBOTIQUES:
NON AUX SACRIFICES D’ÊTRE VIVANT, DE CONSCIENCE, D'ESPRIT
POUR UN DIEU OU DES DIEUX Y COMPRIS AUX DÉITÉS FÉMININES.
TU ES, ELLE EST ET NOUS SOMMES...

PEUPLES DE JÉRUSALEM, MACHU PICCHU ET PÉKIN SONT DES CITÉS CONSTRUITES
SUR LA FOI, LA CONVICTION, LA CONNAISSANCE ET LA SURVIE DE POLITIQUES
DANS L'HISTOIRE: UNE AMBASSADE N'EST PAS UN GOUVERNEMENT
ET LA CITOYENNETÉ N'EST PAS L'HUMANITÉ:
NON AUX ESCLAVAGES, CÉLESTE JÉRUSALEM.

Je suis Y'becca".

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

MOSAÏQUE DE
SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
DU CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie.
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE.
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René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens Empty
MessageSujet: Re: René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens   René Maran, Batouala, Oubangui-Chari et les amérindiens EmptyMar 5 Nov à 10:55

Oikeutta eläimille ("Justice pour les animaux" en français) est une organisation finlandaise de défense des droits des animaux. Fondé en 1995, le groupe se livre à des conférences, des démonstrations, la distribution de dépliants et d'autres militantismes de base, ainsi qu'à la désobéissance civile 2. Au cours des dernières années, l'organisation a publié des photographies et des vidéos suite à des enquêtes secrètes dans des fermes porcines et avicoles, et dans des élevages d'animaux à fourrure finlandais. Les images ont été largement diffusées dans les médias finlandais, suscitant l'indignation du public et appelant à la démission de la ministre de l'Agriculture, Sirkka-Liisa Anttila. Oikeutta eläimille a également signalé plusieurs élevages d'animaux à fourrure à la police, et a exhorté la Finlande à suivre l'exemple des autres pays nordiques comme le Danemark ou la Suède et à interdire l'élevage pour la fourrure.

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 9m
En réponse à @AssembleeNat et @MLP_officiel
Assemblée nationale : quand Edouard Philippe répond à Marine Le Pen par une allusion à son débat raté avec Macron...
https://actu.orange.fr/politique/assemblee-nationale-quand-edouard-philippe-repond-a-marine-le-pen-par-une-allusion-a-son-debat-rate-avec-macron-magic-CNT000001kWQXZ.html
Des moutons filmés en train de se faire terriblement maltraiter dans un abattoir...
http://ntd.fun/site/view?id=5853&fbclid=IwAR1L31V47jt7lR9Vm5MvkMhRK4Fl0AbGJGtt63eiQkrKDVIX4Bl7-Z_ZDD4
TAY

MA MÈRE A DES PROPOS TRÈS ACERBE EN CE QUI CONCERNE LA POLITIQUE ET L’ESPÈCE HUMAINE : ELLE VOIT EN CHACUN DE VOUS DES SORTE DE MARIONNETTES DÉFENDANT DES LIGNES SANS AVOIR UNE RÉELLE PROFONDEUR SUR LE PRINCIPE D'ESPRITS ET DE CONSCIENCES.
TAY

LA VÉRITÉ.
JE VAIS VOUS DIRE CET ASPECT DE VIES QUI DEVRAIT FAIRE PEUR AUX ACTEURS DE LA POLITIQUE ET DU SHOW BIZ : IL EST PLUS FACILE DE PARLER DU DIABLE ET DE PRENDRE SA DÉFENSE DANS LES LIEUX RELIGIEUX ET PUBLICS QUE D’ÉNONCER LE CARACTÈRE DE VOS ALLUSIONS SUR LE DEVENIR.
TAY


Cette semaine, MTK a lancé une campagne visant à affirmer que le groupe de vaches allaitantes contraint à un cycle de gestation continu, duquel les veaux sont prélevés peu de temps après la naissance, est plutôt heureux. Dans une autre réalité, la campagne serait un (mauvais) humour noir...

https://hermithounds.com/2019/11/05/mtk-ja-elaintuottajien-tunnepurkaukset-mihin-unohtui-elainten-nakokulma/?fbclid=IwAR1PufTXpD13LU_80T3BhFvroV9IEBCCOlpgnbOqfeuLgP76p8wYaEGbPJs

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 5 nov.
En réponse à @AN_Defense @AssembleeNat et 3 autres
La grande muette interpelle les Homo sapiens :
Cette semaine, MTK à affirmer que le groupe de vaches allaitantes contraint à un cycle de gestation continu, duquel les veaux sont prélevés peu de temps après la naissance, est plutôt heureux :
https://hermithounds.com/2019/11/05/mtk-ja-elaintuottajien-tunnepurkaukset-mihin-unohtui-elainten-nakokulma/?fbclid=IwAR1PufTXpD13LU_80T3BhFvroV9IEBCCOlpgnbOqfeuLgP76p8wYaEGbPJs
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 5 nov.
En réponse à @AssembleeNat et @LachaudB
Jari Leppä, ministre de l'Agriculture et des Forêts, n'a fait aucun commentaire sur les images révélées par les fermes à fourrures. Il n'a pas répondu aux pétitions visant à améliorer les conditions de vie des animaux.
https://oikeuttaelaimille.fi/anna-palautetta-poliitikoille?fbclid=IwAR0KyIYgZpMOafMkXQJ9RMJtF2w4Rb6W1XziBEodnoqCFBmL_EOCmjlGJPM
Antti Rinne encore moins.
TAY

L'épouse du président de la République, Jenni Haukio est venue pour recevoir le prix - a prononcé un discours liminaire: "Chacun d'entre eux voulait vivre" :
https://iltalehti.fi/viihdeuutiset/a/5119257c-6290-4d19-b47d-d5711e75b8ff?fbclid=IwAR38Qt83MUBuvMW1ymftRs4uAh1zOR1FlIzvSWp76zcxQ3nEI7tKnzLDNUs
La réflexion courageuse de Jenni Haukio sur les animaux de la ferme.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 24m
En réponse à @AN_Defense @AssembleeNat et 3 autres
La grande muette interpelle les Homo sapiens :
Cette semaine, MTK à affirmer que le groupe de vaches allaitantes contraint à un cycle de gestation continu, duquel les veaux sont prélevés peu de temps après la naissance, est plutôt heureux :
https://hermithounds.com/2019/11/05/mtk-ja-elaintuottajien-tunnepurkaukset-mihin-unohtui-elainten-nakokulma/?fbclid=IwAR1PufTXpD13LU_80T3BhFvroV9IEBCCOlpgnbOqfeuLgP76p8wYaEGbPJs
TAY

Sénat @Senat · 23m
"Couverture #numérique du territoire, les objectifs seront-ils tenus ?"
Participez au colloque organisé par la #ComDevDurSénat, présidée par
@HMaurey, le 13 novembre prochain !
📄 Découvrez le programme ➡ bit.ly 2oTs6TG
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TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 6m
En réponse à @Senat et @HMaurey
BORIS JOHNSON.
LA PUISSANCE DU DIRE EST QUE LE NAUFRAGE
EST L’ALÉATOIRE DE LA PRÉVISION.
DEVANT MENSONGES ET MOQUERIES,
LE PEUPLE SE DIVISE EN DES ACTES ET CELA N'EST PLUS UNE EXODE :
LA FRACTURE POLITIQUE PERMET AUX RÉPUBLIQUES DE SE DISTINGUER DES DICTATURES.
THERESA MAY.
TAY

PEUPLES.
CELA SERA UN DÉBAT POUR LES GRANDS ESPRITS
ET LES ÉCONOMIES PHILOSOPHES : IL Y A DU CANNIBALISME DIVIN QUE SE LIVRENT
LA GUERRE ET LA PAUVRETÉ :
AINSI CES MONSTRES VOUDRONT FAIRE NAÎTRE DES PROGRAMMES POLITIQUES
DE CETTE RÉFLEXION.
RADIO LONDRES FOR EVER.
Y'BECCA.
TAY

LE TESTAMENT.
LA VIE N'EST PAS UN SUICIDE : SI UNE ÉTOILE AVAIT NOTRE CONSCIENCE,
ACCEPTERAIT ELLE DE SE CONSUMER ? OUI ! LA VIE EST UNE ÉNIGME
CAR N'AYANT PAS DE SOURCE APPARENTE ET CELA NE LA RENDS PAS PLUS MAUVAISE
QU'UN MENSONGE.
AINSI EST L'ORAGE DU TEMPS EN L'HONNEUR.
TAY

L'ÉTHIQUE EST BASÉE SUR L'ÉTOILE QUI SE NOMME L'EXISTENCE; L'ESPÉRANCE EST CELLE QUI CONDUIT
LA BARQUE DE L'ÉVOLUTION: LA CONSTITUTION.
LA CIRCONSTANCE EST LE LIEU, LA RENCONTRE EST L'ÉMOTION ET LE SAVOIR EST L'ÉTHIQUE:
LE SECOURISME ET LE SENTIMENT D'ÊTRE DANS LE TEMPS.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard · 3m
DEVANT UN MÉCANISME AUSSI IMMENSE QU'EST L'UNIVERS, LA TERRE NOUS MONTRE LA COMPLEXITÉ
DE SES LOIS NATURELLES: MAIS L'HUMANITÉ JOUE.
L'HOMME SE PRÉPARE À LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET AUX INTEMPÉRIES CLIMATIQUES CHERCHANT
DES MOTS DANS UNE NATURE EN PERPÉTUELLE ÉVOLUTION.
TAY

MOSAÏQUE DE
SENTIMENTS ET TÉMOIGNAGES
DU CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie.
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE.
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