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| Mayotte | |
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yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Lun 18 Juil à 10:22 | |
| Title Mars Express spies a nameless and ancient impact crater Released 18/07/2016 11:58 am Copyright ESA/DLR/FU Berlin, CC BY-SA 3.0 IGO Description
This striking perspective view from ESA’s Mars Express shows an unnamed but eye-catching impact crater on Mars. This region sits south-west of a dark plain named Mare Serpentis (literally ‘the sea of serpents’), which in turn is located in Noachis Terra (literally ‘the land of Noah’).
Noachis Terra is one of the oldest known regions on the Red Planet, dating back at least 3.9 billion years— in fact, the earliest martian era, the Noachian epoch, is named after it. Noachis Terra is representative of ancient Mars’ surface, which is characteristically peppered with craters that have been preserved for billions of years, although many have degraded over time.
The crater visible on the top right of this image is around 4 km deep and 50 km in diameter. At its very centre is a small depression known as a central pit. These are common in craters on rocky worlds throughout the Solar System, especially on Mars, and are thought to form as icy material explosively vaporises and turns to gas in the heat of the initial crater-forming collision.
The outer walls around the crater are slightly raised above its surroundings. These stacked deposits may have formed during the impact that carved out the crater itself. As a rocky impactor slammed into the surface of Mars it likely compacted the loose and powdery material — small-grained dust and soil dubbed ‘regolith’ — to form a small plateau that has stood the test of time.
Just within the crater walls are channels and valleys threading and weaving down the inner slope — these are thought to have been carved and sculpted by running water. This water, locked up within the soil as groundwater and ice, would have melted as the Sun illuminated the crater walls, driving fluvial erosion processes and sketching thin lines down towards the centre of the crater.
This image was created using data from the Mars Express High Resolution Stereo Camera’s stereo channels (resulting in this oblique perspective) as well as its colour and nadir channels (creating the colour). The data were obtained on 29 July 2015 during orbit 14680. The resolution is approximately 14 m per pixel and the image is centred at 37° East and 35° South.
The image is a perspective view from a series that includes a colour nadir view, a colour-coded digital terrain model and a 3d anaglyph. Id 363200
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mar 19 Juil à 10:06 | |
| Voilà un fléau auquel les femmes massaï dut faire face lors de leurs mises en esclavages... En voilà, la preuve... Pour la défense de leurs femmes, il leur apprirent les armes et dans leurs cœurs de Maasaï, une lutte se déclencha qui aboutit entre la lutte du Bien contre le Mal du Dominateur, voleurs de couches et de biens matérielles. Ceux qui leurs volèrent leur nudité et les désigna d'impur et de malpropre
Les mutilations génitales féminines (MGF) désignent l'ablation totale ou partielle des organes génitaux féminins externes. Généralement réalisée par un exciseur traditionnel avec un couteau ou une lame de rasoir avec ou sans anesthésie, la pratique est concentrée dans 27 pays africains, au Yémen et au Kurdistan irakien ainsi que dans une moindre mesure en Asie et dans les populations immigrées dans les pays occidentaux. Selon un rapport de 2013 de l'UNICEF, environ 130 millions de femmes et de filles vivent avec une MGF dans le monde.
Les procédures varient selon les régions et les groupes ethniques. Elles peuvent aller d'une simple scarification à l'ablation partielle ou totale du clitoris et des lèvres (excision) voire à la suture des lèvres pour fermer la vulve (infibulation). Les MGF n'ont aucun bénéfice connu pour la santé et parmi les complications les plus courantes figurent des hémorragies lors de l'opération, des infections urinaires, des règles douloureuses, des douleurs chroniques, une diminution du plaisir sexuel et des problèmes durant l'accouchement.
L'origine des MGF est inconnue mais elles sont profondément ancrées dans les traditions de nombreux groupes où elles sont associées à la pureté, à la chasteté et constituent un rite de passage à l'âge adulte. Les opérations sont habituellement organisées par les femmes tant pour des raisons d'honneur et de fierté que par obligation sociale.
Les MGF sont interdites ou restreintes dans la plupart des pays où elles sont pratiquées mais les législations sont souvent peu appliquées. Depuis les années 1970, des actions internationales ont été menées pour mettre un terme à ces pratiques et elles sont considérées comme des violations des droits humains par les Nations unies. Cette opposition est cependant contestée, notamment par les anthropologues pour qui les MGF soulèvent les questions délicates du relativisme moral, de la tolérance envers d'autres cultures et de l'universalité des droits humains.
usque dans les années 1980, les mutilations génitales féminines (MGF) étaient souvent désignées sous l'expression de « circoncision féminine », ce qui créait une équivalence de sévérité avec la circoncision masculine. En 1929, le Conseil national des Églises du Kenya commença à parler de mutilations sexuelles des femmes en suivant l'exemple de Marion Scott Stevenson, une missionnaire de l'Église d'Écosse. Les références à une mutilation se multiplièrent dans les années 19704 et le mot fut utilisé dans le titre d'un article de 1975 de l'anthropologue américaine Rose Oldfield Hayes tandis que la féministe austro-américaine Fran Hosken le reprit dans son influent ouvrage The Hosken Report: Genital and Sexual Mutilation of Females en 1979. Le Comité inter-africain sur les pratiques traditionnelles affectant la santé des femmes et des enfants et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) commencèrent à parler de mutilations génitales féminines respectivement en 1990 et 19918. En avril 1997, l'OMS, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) publièrent une déclaration commune utilisant cette expression. Le terme de « mutilation » est cependant contesté et les activistes sur le terrain préfèrent employer le mot plus neutre d'« excision » pour ne pas s'aliéner les populations locales.
Les nombreuses formes locales de MGF sont reflétées par les dizaines de termes utilisées pour les décrire dans les pays où elles soient pratiquées. Les mots utilisés font souvent références au concept de purification comme en arabe où le mot pour purification utilise la racine t-h-r également présente pour les termes correspondant aux circoncisions masculine et féminine (tahur et tahara). La MGF est appelée bolokoli (« se laver les mains ») en bambara, une langue parlée principalement au Mali, et isa aru ou iwu aru (« prendre son bain ») en igbo, une langue de l'Est du Nigeria.
La circoncision sunna fait habituellement référence à la clitoridectomie mais l'expression peut également être employée pour des formes plus sévères de MGF ; sunna signifie « cheminement » en arabe et renvoie aux traditions datant de l'époque de Mahomet même si la procédure n'est pas obligatoire dans la pratique musulmane. Au Soudan, nuss (moitié) peut désigner toutes les MGF depuis la clitoridectomie à l'infibulation et juwaniya (« la forme interne ») est utilisé quand les petites lèvres sont fusionnées. Le terme d'infibulation dérive du latin fibula (« attache ») car certains documents indiquent que les Romains attachaient le prépuce ou les lèvres de leurs esclaves pour les empêcher d'avoir des rapports sexuels. Au Soudan, l'infibulation est appelée « circoncision pharaonique » alors qu'il s'agit d'une « circoncision soudanaise » en Égypte. En Somalie, elle est connue simplement par le mot qodob (« recoudre »)...
Nous devons rétablir le droit féminin devant une barbarie absurde et cela n'est plus une guerre: C'est eux ou c'est elles, en ce cas, je choisis le droit de élever ma fille telle une guerrière et pas en tant qu'esclaves et inférieur devant ceux qui choisissent de traiter les femmes comme des impurs !
Ecrit de TAY La chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mer 20 Juil à 10:29 | |
| Le plan était simple: vendre une partie des célèbres plaines du Serengeti puis évacuer 40 000 Maasaï de leurs terres ancestrales pour les transformer en réserve de luxe pour la chasse au gros gibier. Ces plaines qui fourmillent de lions, de léopards, d'éléphants, de gnous, de zèbres et de buffles, risquaient d'être vendues à la Ortelo Business Corporation, basée à Dubaï, pour devenir un terrain de chasse.
Confronté à la pression populaire, le président tanzanien a renoncé à l'accord qui prévoyait la saisie des terres et assuré à la population Maasaï qu'elle était en sécurité sur son territoire.
Mais on ne peut pas faire confiance au gouvernement tanzanien. En 2013, après une imposante campagne d'opposition locale et internationale, le président de la Tanzanie a promis aux Maasaï qu'ils pouvaient rester sur leurs terres. Malgré tout, en fin d'année dernière, le gouvernement a fait volte-face et leur a dit que l'accord était relancé et qu'ils devaient quitter leur territoire ancestral d'ici la fin de l'année.
Comme le président tanzanien a déjà reculé sur ses promesses par le passé, nous ne baisserons pas les bras tant que le gouvernement tanzanien ne garantira pas par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Demandez au président de la Tanzanie de tenir sa promesse et de garantir par écrit aux Maasaï des droits permanents sur leurs terres.
Les Maasaï résistent depuis des décennies à la commercialisation de leurs terres traditionnelles. Ils se battent contre des investisseurs avides de profits qui convoitent l'extraordinaire faune de la région et essaient d'obtenir des permis de chasse et de tourisme. L'histoire ne cesse de se répéter: on fait des promesses, mais on ne les respecte malheureusement pas.
Le sage Ole Kulinga, un dirigeant traditionnel Maasaï, explique: "Nous ne sommes rien sans nos terres, et cet engagement de la part du président nous permet tous et toutes de pousser un soupir de soulagement. Mais les chasseurs veulent ce territoire à tout prix, et nous ne nous sentirons en sécurité que lorsque des droits permanents sur nos terres nous seront octroyés par écrit."
Beaucoup d'argent était en jeu dans la transaction prévue avec Dubaï. Les personnes sur le terrain qui s'opposent à la réserve de chasse depuis maintenant deux ans ont été menacées, et certaines ont même été tuées. Maintenant que le président s'est prononcé et que l'attention de la communauté internationale a été attirée sur le sort de la population Maasaï, c'est notre chance de montrer au grand jour la trahison du gouvernement tanzanien et de le forcer à tenir ses promesses. S'il vous plaît, soutenez les Maasaï, qui pourraient tout perdre, et aidez-les à conserver leurs terres ancestrales.
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Jeu 21 Juil à 10:12 | |
| Le chant de la volonté.
A l'heure où les colonels furent renversés, nous avions le coeur du retrouvé: celui de la Paix, de l'Amour et de la Joie. A la porte, des richesses, nous voyions le temps; celui qui guide nos pas... Platon n'est plus le père de la démocratie; il dresse Aristote comme successeur de notre héritage. Et si encore, c'était ces barbares de Macédonien"ne"s qui en étaient les virevolteurs. Même pas, ce sont ceux de l'Ouest; enfin bref; eux qui Küçük Kaynarca, ont inventé l'électricité... Et puis, la couverture du mythe démocrate: Socrate... Φλέρυ Νταντωνάκη - Κάθε τρελό παιδί. Autrefois résonne dans ce cœur: Cet Alexandre est aussi grecque et européen que Staline n'était russe et européen... Je me demande d'où vient ces thèmes sur l'immortalité humaine car après tout, même devant les idoles, les hommes rejettent l'aspect de leur poussière. Notre paix, Notre amour et Notre Joie volait par des financiers, nous qui avons subi des siècles d’errance. Notre langue rejetait en blasphème et comme tant d'autre devant des conquistadors nous devions recevoir le fouet sur nos visions culturelles. L'Europe l'avait compris mais les commissaires du budget l'ont oublié. Préparant les guerres sur leurs diffamations. nous revoilà replonger dans l'ouverture d'une tactique d'horloger... Celui d'une gloire éphémère, jamais Alexandre ne fut aussi proche de la mort qu'il ne l'est aujourd'hui... Visionnaire, il organise à Suse le mariage de dix mille de ses officiers et soldats avec autant de jeunes filles perses pour fondre entre elles les cultures grecque et perse. voyez la politiques de ces dirigeants qui se prétendent leurs héritiers. O Douce Méditerranée, Même César et Napoléon ne furent aussi sourd à l' institution du clivage... Les chants des fabuleux s’estompent où chacun sombre dans le clivage. La chorale des richesses atténue la soif de celui qui apprends ! On croit savoir alors pourquoi apprendre. Car Oui, Mesdames et messieurs, nous apprenons à réciter ! Fautes aux guerres, fautes à la protection de la richesse d'autrui !
Notre paix, Notre amour et Notre Joie... Alors, on interpelle Justice et là, je suis le fils de ou la femme de... A tu es l'ami de lui, mais voilà, celui qui n'aime pas se retrouve bien seul ! Et si une idée germe... Elle peut naître de rien et de tout... Ce qui me désole, c'est le nombre d'idée disparu dans cette abîme de rien prénommé la société de l'autrui alors qu'elle est juste une système de hiérarchie et de privilèges. La Citoyenne et le Citoyen ont enfanté la révolution devant le Palais. Et même là, ce qui semblait être le symbole le plus absolu de la Liberté est repris par la Tyrannie... Le Peuple est une sorte de Toupie, il suffit juste de bien la lancer et de bien le faire virevolter... Ce symbole de liberté devenu une toupie et si le joueur de toupie est enchanteur il se dévoile comme soleil et nous comme lune autour de la terre... Mais voilà, les enchanteurs ont disparus ou bien, ils sont enfermés: et dans certains endroits, c'est leur Paix, Leur Joie et leur Amour...
Küçük Kaynarca (ou Koutchouk-Kaïnardji)
Ecrit de TAY La chouette Effraie. | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mar 26 Juil à 9:48 | |
| Le Mardi 26 Juillet 2016... Une justice équipé contre l’espionnage et dépourvu devant le terrorisme
La plume devient transparente devant une couleur rouge. nous voici devant un affrontement des plus divers... Où tourner la tête, la guerre de l'instant se révèle dans une forme d'appréhension... Où chacun à présent tourne le tête; la volonté fut une forme d’espérance sur un temporel de l'aspect premier de redéfinir les formes de contrat sur un aspect plus humain où finalement, le terme de pauvreté serait plus approfondi sur les personnes physiques et morales. Celui qui attribue des responsabilité sur des personnes physiques responsables sans attribué la forme de contrat comme responsable. Ce sont les personnes physiques qui dirige le conteste morale de notre société et morale... Citoyennes et Citoyens...
La Personne morale est devenu une forme entité absolu, le refuge de personne physique dite corrompu, tricheuse et manipulatrice. Cacher derrière un aspect morale, ils profitent de toutes les misères: humaines Terrorismes, Faims, Adultères, viols, Escroqueries, esclavages et autres. On appelle cela l'argent sale et cela devient épuisant de devoir être là à entendre ces gens ayant créer ce tourbillon de malheur et ce cercle vicieux, geindre dans des tribunaux, avec leurs avocats à la main au milieu des victimes.
Sans sombrer dans un cycle de terreur, il faut que cela cesse ! Sans pourtant pointer du doigt, il faudra désigner ! Nous craignons des pertes mais je crois que les plus justes en ont assez ! Subir l'affront et recevoir le crachat de ces vermines. Il faudra régler notre horloge montrons à ces vermines l'esprit même de l’héroïsme: celui du Red Ball Express.
Chaque engagements devra être suivi d'un fait, celui d'un caractère propre et autonome; Ne jouant pas sur les mots et agissant avec une libre arbitre, libre de ses responsabilités et surtout, la clarté de l’événement... Ne pas avoir été pistonner ni par la richesse ou ni par le malheur; L'aspect du grade se révèle dans l'instant et la survie, sur le champs d'opération, celui qui décèle... La Jalousie est un juste caractère quand il se révèle être véridique dans la réalité. Celui qui acquiert l'uniforme sans en être digne se doit être révoquer ! Citoyennes et Citoyens !
Le jugement doit être adressé envers toutes et tous ! Sans sombrer dans la cour martiale car il s'agit de terrorisme au contraire de l'espionnage... Le terme sur la survie d'un dialogue social dans le temps du travail et de sa répartition été nécessaire... Cela n'aurait peut être rien changer, certains diront que... La rancœur oui, elle est normal et il ne faut pas l'entretenir... Mais arrêtons nos discours de biscuits ! Sans livrer le peuple à la discorde, certains doivent arrêter de rejeter les erreurs sur le passé et le temps où sinon, l'avenir n'aura aucune garanti et il ne serai redevable que dans la mort. Les enfants posent des questions et nous devons arrêter de les projeter dans des mondes abstraits ! Nous ne sommes plus dans un monde sécurisé, notre évolution dans l'univers nous fera percevoir que nous sommes dans un magma méconnu. Notre rêve nous permet d'avancer dans la richesse mais en terme de survie, l’atout maitre est la connaissance des savoirs et des temps...!
Et puis sauvegarder l'humanisme sans être les imbéciles de la Farce ! L'extrémisme est trop souvent utilisé dans un profit et utilisé afin de disperser les cartes pour ensuite se prévaloir de guide quand on les ramasse... Certains utilisent de cette ignominie et ont cré une sorte de sectarisme dans la richesse, la croyance et l'immobilier... Chacun d'entre nous dans notre colère en porte une responsabilité et mais nous ne sommes pas toutes et tous des profiteurs de guerres ! Citoyens et Citoyennes...
Si le Temps est venu alors qu'il le soit en mon état d’âme de conscience... Sans prévaloir le suicide, je pense que c'est une mort plus digne que d'être égorger par cet aspect de pieuvre qu'est l'aspect sombre de ceux qui profite sur ceux qui creusent les mines et les cimetières ! Parce que même dans ces endroits on y trouvent de l'argent sale taché des rires et des clameurs de ceux qui veulent enlever l'espérance de soi au détriment de le personne physique et morale...La Personne morale est devenu une forme entité absolu, le refuge de personne physique dite corrompu, tricheuse et manipulatrice. Cacher derrière un aspect morale, ils profitent de toutes les misères: humaines Terrorismes, Faims, Adultères, viols, Escroqueries, esclavages et autres donc La Justice doit se moderniser devant ce coté sombre du mécanisme prolétaire, étatique, personnel, spirituel, capitaliste de l'être et de sa pseudo âme. Citoyennes et Citoyens... Oui à la mixité, du Service Public et au droit de manifester et de grève en s'engageant d'un service correct pour l'usager de la part des personnes physiques de l’État. Le droit de gréve et de manifester est un droit universel et d'espérance au même titre que la Mixité Laïque ! Citoyennes et Citoyens !
Ecrit de TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mer 27 Juil à 3:48 | |
| Le Mercredi 27 Juillet 2016 Voilà un principe de la Laïcité avant l'heure, Notre révolution beaucoup veulent y ressembler et peu n' y parviennent ! Cela dit certains ont construit une âme que toujours les mêmes veulent détruire par le fait qu'il soit autre de la vision. La Miséricorde est animal et elle n'est pas la propriété d'une pensée... Elle s’avère développé selon le contexte politique... Qu'il soit Royaume et République, l'individu ne perçoit du même regard le principe de Religion, d'Appartenance, de Liberté. Nos Femmes ne sont pas une propriété et elle possède un regard sur la loi et le vote; Elle peuvent diriger et sont soumise aux mêmes difficultés que l'homme en terme de direction. Y'becca est ouverte à la Laïcité et n'a pas vocation à être un état: Elle est un engagement et une résistance devant les méfaits néfastes de ceux qui veulent nous plonger dans la soumission et le droit du Seigneur ! Nous réfutons les fausses républiques dirigé par des pervers sans remettre en cause un vote qui se soit dirigé dans la liberté et si nous sommes attaqué"e"s nous réagirons de la même manière que nous le fumâmes autrefois ! Nous ne reculerons jamais devant les impérialistes, le Nazisme et devant une quelconque secte venu du monothéisme, polythéisme, de l'humanisme, le terrorisme et de la vanité... Y'becca s'est la reconnaissance de soi devant son Soi et les Soi... C'est l'aspect du secourisme et de l’autodéfense qui se sait se transformer en un bataillon autour de ses valeurs. Et je vous invite à rejoindre cette Odyssée où chacune et Chacun recherche sa Peléenne, son Étrangère ou son Homme. Le couple de la vision se communique à travers les louanges d'une vertu, celle de se reconnaitre dans un esprit libre et autonome... Libre des rouages du regard tout en maintenant un principe d'ouverture sur la vie et la poursuite d'une course poursuite sur le temps perdu d'avance mais qui inscrira nos enfants dans un mythe voulu par le propre de la vie: Celle de l'existence au cœur de la Nature.
Ecrit de Monsieur Tignard Yanis dit TAY La chouette effraie
L’élimination des factions
Dès le 5 nivose an II (25 décembre 1793), Robespierre dénonce les « enragés », dirigés par Hébert, et les « indulgents », menés par Danton et Desmoulins. En effet, la Convention se trouve prise entre deux visions opposées de l’avenir de la Révolution. Les hébertistes, qui réclament une intensification de la Terreur, sont exécutés le 4 germinal (24 mars 1794). Les « indulgents », dans Le Vieux Cordelier, s’insurgent contre la déchristianisation et les terroristes. Mais ils sont également déconsidérés par leur implication dans diverses affaires (Compagnie des Indes, trahison de Dumouriez).
Que reste-t-il de nos jours de Camille Desmoulins, à part le nom d'une rue dans une douzaine de villes ? Apparemment peu de choses. Et pourtant, les problèmes qu'il a traités et commentés, la morale pour laquelle il a combattu et est mort, restent toujours d'actualité ; ces problèmes, cette morale, ce sont ceux de la liberté et des Droits de l'homme.
Les rapports souvent conflictuels des journalistes et du pouvoir, la liberté de la presse en particulier, sont toujours de nos jours des sujets de discussion. Et même s'ils sont moins aigus chez nous, n'oublions pas que la moitié du monde est encore privée de cette liberté fondamentale, celle de pouvoir écrire et publier ce que l'on pense. À cet égard, l'histoire de Camille Desmoulins, journaliste de la liberté, reste exemplaire.
Georges Jacques Danton fut jugé le 4 avril 1794 lors d'une procédure expéditive, et exécuté le lendemain à 16 heures.
Il n'y aurait pas eu de Révolution. Sans moi. Il n'y aurait pas eu de République. Sans moi. Non, vous ne me traînerez pas vers la mort, je suis vivant ! A jamais ! Le monde nous regardera et se demandera quel genre d'hommes nous étions. Ne laissons pas dire que nous n'étions pas meilleurs que ceux que nous avons chassés. Nous sommes tous condamnés à mourir. Je connais cette Cour, c'est moi qui l'ai créée, et j'en demande pardon à Dieu et aux hommes. A l'origine, elle devait être, non pas le fléau de l'humanité, mais un rempart, une dernière instance contre le déchaînement des fureurs de la brutalité et de la peur. Au lieu de cela, c'est devenu l'assassinat des consciences. Et ceux qui plus tard nous jugeront, verront bien que moi, Danton, je n'ai pas voulu cela. Si je parle aujourd'hui, c'est pour défendre ce que nous avons réalisé, c'est pour tout ce que nous avons atteint, et non pour sauver ma vie. Nous avons brisé la tyrannie des privilèges, nous avons tué le ver dans le fruit, en abolissant ces pouvoirs auxquels n'avait droit aucun homme. Nous avons mis fin au monopole de la naissance et de la fortune, et cela dans tous ces grands offices de l'État : dans nos églises, dans nos armées, dans ce vaste complexe d'artères et de veines qui fait vivre ce corps magnifique de la France. Nous avons déclaré que l'homme le plus humble de ce pays est désormais l'égal des plus grands. Et cette liberté acquise pour nous-mêmes, nous l'avons offerte aux esclaves, et nous confions au monde la mission de bâtir l'avenir sur l'espoir que nous avons fait naître. Ceci, c'est plus qu'une victoire dans une bataille, plus que les épées et les canons et tous les escadrons de cavalerie de l'Europe, et cette inspiration, ce souffle pour tous les hommes, partout, en tout lieu, cet appétit, cette soif, jamais on ne pourra l'étouffer. Nos vies n'auront pas été vécues en vain.
Le Mercredi 27 Juillet 2016 Voilà un principe de la Laïcité avant l'heure, Notre révolution beaucoup veulent y ressembler et peu n' y parviennent ! Cela dit certains ont construit une âme que toujours les mêmes veulent détruire par le fait qu'il soit autre de la vision. La Miséricorde est animal et elle n'est pas la propriété d'une pensée... Elle s’avère développé selon le contexte politique... Qu'il soit Royaume et République, l'individu ne perçoit du même regard le principe de Religion, d'Appartenance, de Liberté. Nos Femmes ne sont pas une propriété et elle possède un regard sur la loi et le vote; Elle peuvent diriger et sont soumise aux mêmes difficultés que l'homme en terme de direction. Y'becca est ouverte à la Laïcité et n'a pas vocation à être un état: Elle est un engagement et une résistance devant les méfaits néfastes de ceux qui veulent nous plonger dans la soumission et le droit du Seigneur ! Nous réfutons les fausses républiques dirigé par des pervers sans remettre en cause un vote qui se soit dirigé dans la liberté et si nous sommes attaqué"e"s nous réagirons de la même manière que nous le fumâmes autrefois ! Nous ne reculerons jamais devant les impérialistes, le Nazisme et devant une quelconque secte venu du monothéisme, polythéisme, de l'humanisme, le terrorisme et de la vanité... Y'becca s'est la reconnaissance de soi devant son Soi et les Soi... C'est l'aspect du secourisme et de l’autodéfense qui se sait se transformer en un bataillon autour de ses valeurs. Et je vous invite à rejoindre cette Odyssée où chacune et Chacun recherche sa Peléenne, son Étrangère ou son Homme. Le couple de la vision se communique à travers les louanges d'une vertu, celle de se reconnaitre dans un esprit libre et autonome... Libre des rouages du regard tout en maintenant un principe d'ouverture sur la vie et la poursuite d'une course poursuite sur le temps perdu d'avance mais qui inscrira nos enfants dans un mythe voulu par le propre de la vie: Celle de l'existence au cœur de la Nature.
Ecrit de Monsieur Tignard Yanis dit TAY LA chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 29 Juil à 9:25 | |
| Basajaun, Basa Jaun ou Baxajaun (pluriel : Basajaunak, équivalent féminin) désigne dans la mythologie basque une créature imaginaire, sorte d'homme corpulent, poilu et sauvage, vivant dans les Pyrénées basques, en particulier dans la forêt d'Iraty. Il est le mari de Basandere. D'après certains, les histoires sur les Basajaunak, comme celles de Jean de l'Ours et en général des « hommes sauvages », tireraient leur origine de la rencontre des proto-Basques, qui seraient arrivés il y a environ 40 000 ans, avec les derniers Néandertaliens, alors en voie d'extinction2. Cette hypothèse est toutefois en contradiction avec le fait que les Basajaunak sont censés avoir donné l'agriculture aux Basques, cette pratique étant totalement étrangère aux Néandertaliens et n'étant adoptée qu'au Néolithique. Jean-Jacques Rousseau parlait d'hommes sauvages des Pyrénées en 1754 dans son Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Linné classa ces humains marchant à quatre pattes, ne sachant pas parler et velus, dans l'espèce Homo ferus. En 1776, l’ingénieur Paul-Marie Leroy, responsable de la Marine royale et de l’exploitation des forêts d’Aspe et d'Iraty, fait part dans son mémoire d'un homme d’une trentaine d’années, poilu comme un ours, probablement atteint d’hypertrichose (syndrome d’Ambras).
Toutefois les légendes concernant des « hommes sauvages » existaient dans toute l'Europe bien avant ces cas particuliers.
En basque, Basajaun signifie littéralement « le seigneur de la forêt » ou « le seigneur sauvage ». Par ses caractères physiques et son comportement, il s'apparente aux « hommes sauvages » ou sylvains, protecteurs de la nature et des activités agro-pastorales, mais aussi aux hominidés légendaires connus dans la plupart des cultures traditionnelles, et plus particulièrement dans les zones de montagnes (yéti, almasty, sasquatch et autres…). Les caractéristiques du Basajaun sont peu marquées, selon les lieux et les époques c'est tantôt un géant, tantôt une sorte de lutin. Il pénètre parfois dans les maisons ou les bergeries, se sert sans vergogne la nourriture préparée, sans que les humains n'osent intervenir. Il inspire crainte et respect. D'après les contes plus récents, on s'accorde pour dire que le Basajaun serait bien bâti, ses cheveux atteindraient ses genoux, il serait très agile, fort, velu, avec des caractéristiques animales (anthropomorphisme probable de l'ours). Par attraction probable d'un autre personnage, le Tartaro, on attribue parfois au Basajaun un œil unique, tel le cyclope, et son rôle est alors souvent néfaste. Étant des génies ruraux, les Basajaunak sont également considérés comme les protecteurs des troupeaux : si l'orage survient, un Basajaun crie pour avertir le berger ; ils empêchent aussi les loups d'approcher les troupeaux.
Dans d'autres récits populaires, les Basajaunak seraient les premiers à avoir cultivé la terre : les êtres humains obtinrent le droit de cultiver la terre lorsqu'un jour un homme (souvent il s'agit de Martin Txiki) gagna un pari contre un Basajaun. Il aurait alors volé les graines que le Basajaun était en train de semer, et serait revenu vers les siens pour leur enseigner comment produire la nourriture. Ils feraient également figure de premiers forgerons, de premiers meuniers (dans chaque cas, un secret essentiel leur est dérobé par les hommes). Selon certaines légendes, ils se servaient de la scie, encore inconnue des Basques, dont la lame leur avait été inspirée par la forme dentelée d'une feuille de châtaignier.
Ils sont l'archétype des Gentils ou Jentils, peuples d'avant le christianisme, détenteurs de secrets, chassés par la nouvelle religion. Le Basajaun, comme à peu près toutes les créatures mythiques, est arrêté et perd tout pouvoir devant les signes religieux : le son des cloches, les croix, les chapelles… Les contes font état de rencontres entre des humains et le Basa Jaun. Pour lui échapper, il faut avoir recours à divers expédients, comme se réfugier dans une église, ou au moins espérer la sonnerie des cloches, qui le met en fuite.
Selon certains, le Basa Jaun aime les énigmes et les jeux d'esprit. Mais son manque de perspicacité le force à réfléchir si longtemps que ses victimes ont tout le temps de s'enfuir. Dans le cas extrême, on éventre Herensugue (le serpent à sept têtes qui protège les Basa Jaunak). Un lièvre s'échappe de son ventre, et il faut le saisir par les deux oreilles. Du ventre du lièvre s'envole une colombe qu'il faut tenir jusqu'à ce qu'elle ponde un œuf. Avec cet œuf, il faut heurter le front du Basajaun afin qu'il s'écroule à terre, mort. Cette recette classique (l'œuf dans une série d'animaux imbriqués les uns dans les autres) qui se retrouve dans un grand nombre de contes européens, figure dans un conte recueilli par Jean-François Cerquand.
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 29 Juil à 9:39 | |
| Un acheri est, selon la tradition amérindienne, le fantôme d'une petite fille à l'aspect squelettique et vêtue d'une robe en peau. Le jour, elle dort, mais la nuit elle descend de sa retraite dans la montagne pour hanter les humains et apporter la maladie aux petits enfants qui entrent en contact avec son ombre malveillante. Cependant, juste avant, elle chante en jouant sur un petit tam-tam, et sa voix lugubre résonne dans les vallons pour annoncer la mort de celui qui l'entend, ou de quelqu'un de proche de cette personne, en particulier des enfants proches selon la légende.
Afin de se protéger de leurs maléfices, il faut porter une ficelle rouge clair ou rouge brillant autour du cou. Le fait de porter des habits rouges ou des perles fonctionne également. Une personne entièrement vêtue de rouge peut écouter son chant sans risque.
À étudier pour les classe de 4e en personne fantastique | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 29 Juil à 9:45 | |
| Madera, ou Dame Madela est, en Birmanie, est une démone (Nat) qui affecte les enfants en leur donnant la fièvre.
La fièvre est l'état d'un animal à sang chaud (homéotherme) dont la température interne est nettement supérieure (hyperthermie) à sa température ordinaire (37 °C en moyenne chez l'humain), de façon contrôlée. On observe par la mesure à l'aide d'un thermomètre une élévation de la température corporelle habituelle. Ce phénomène physiologique semble être principalement une réponse hypothalamique stimulée par des substances pyrogènes principalement libérées par les macrophages et/ou lors des phénomènes inflammatoires.[réf. souhaitée]
La fièvre semble être une réaction systémique des homéothermes à la présence de certains agents infectieux[réf. souhaitée]. L'effet bénéfique est de perturber les réactions biochimiques (cf. constantes d'équilibres) des micro-organismes pathogènes afin de diminuer leur virulence.[réf. nécessaire]
Le phénomène se déroule suivant trois phases[réf. souhaitée] :
montée thermique plateau d’hyperthermie défervescence
Chez l'humain, la température corporelle normale moyenne est de 37 °C (entre 36,5 °C et 37,5 °C selon les individus). La fièvre est définie par une température rectale au repos supérieure ou égale à 38,0 °C1. Une fièvre au-delà de 40 °C est considérée comme un risque de santé majeur et immédiat, particulièrement chez les jeunes enfants (voir hyperthermie). Lorsque la fièvre est modérée, entre 37,7 °C et 37,9 °C, on parle de fébricule.
La fièvre est un signe médical fréquent.
Il appartient au médecin d'essayer de la rattacher à une étiologie (diagnostic) et d'évaluer sa gravité.
Pour établir un diagnostic devant ce signe le médecin recherchera ses caractéristiques sémiologiques : homme / femme - âge - antécédents - ethnie - facteurs de risques - caractère aiguë / prolongée - lieu de séjour - fièvre isolé ou regroupement syndromique - incidence et prévalence locales et saisonnières - etc.
En médecine générale, le plus souvent (cf. carré de White) la fièvre conduira vers un diagnostic de pathologie bénigne.
Malgré leurs faibles prévalences dans les pays occidentaux, il est indispensable que le médecin sache écarter des atteintes particulièrement graves :
au retour d'un voyage : paludisme si fièvre persistante : tuberculose associée à des douleurs articulaires : arthrite septique isolée, chez l'homme : prostatite en cas de souffle cardiaque : endocardite infectieuse
Voici ce que recommande l'ANSM pour l'enfant : "Les bénéfices attendus du traitement sont désormais plus centrés sur l'amélioration du confort de l'enfant que sur un abaissement systématique de la température, la fièvre ne représentant pas, par elle-même et sauf cas très particuliers, un danger.
Au cas par cas (par exemple : antécédents convulsifs, allergie, comorbidité, fiabilité de l'entourage, traitements associés, etc.) le médecin doit peser le rapport entre les bénéfices attendus et les risques encourus (hépatotoxicité, cardiotoxicité, syndrome de lyell, choc anaphylactique, cellulite faciale, etc.) avant de prescrire ou non des antipyrétiques8.
Attitudes pratiques pour la prise en charge d'une fièvre persistante supérieure à 38,5 °C9 :
recourir à des mesures physiques simples : avant toute prise de médicament, il faut éviter de couvrir l'enfant, ne pas le maintenir dans une pièce surchauffée et lui donner à boire autant et aussi souvent que possible ; ceci, sans qu'il soit indispensable de lui donner un bain tiède comme cela était classiquement conseillé. si prescrit on peut donner une seule classe de médicaments antipyrétiques en tenant compte des contre-indications et des précautions d'emploi qui lui sont propres. brumiser de l'eau sur le visage pour rafraîchir si besoin.
Ces recommandations concernent le confort de l'enfant et ne font ni baisser, ni n’élèvent la température car le thermostat hypothalamique mettra en marche les mécanismes de thermogenèse (si l'enfant est trop refroidi) et de thermolyse (si l'enfant est dans un environnement trop chauffé) afin de laisser le corps à la température prévue tant que les mécanismes immunitaires seront activés.
Devant une fièvre de l'enfant, dans les pays occidentaux, il est fréquent de demander un avis diagnostic auprès d'un médecin généraliste pour affirmer le caractère bénin de l'épisode afin que l'enfant puisse être pris en charge par des adultes rassurés.
Toutefois, un diagnostic médical est primordial si la fièvre de l'enfant présente des caractéristiques inhabituelles : nourrissons, fièvre plus élevée qu’habituellement, durée et évolution inhabituelle, comportements inhabituels (pleurs continus, fatigue, agitation, etc.), teint inhabituel, éruptions cutanées, signes d'accompagnements (vomissements, etc.), épidémie locale de pathologies potentiellement graves (méningite, etc.)...
Au-dessus de 40 °C, la température peut être un signe de maladie grave et peut être mal tolérée par l'organisme : Exemple : pour le cerveau, le risque de convulsion augmente10. Fièvre et risques de convulsions
Chez le jeune enfant, cette fièvre peut entraîner des convulsions qui, si elles sont impressionnantes, sont en général bénignes ; il faut toutefois impérativement éviter que cette situation ne se prolonge, il faut donc abaisser lentement la température de l'ensemble du corps.
On préconisait auparavant de donner systématiquement des bains d'eau dont la température est de 2 °C en dessous de la température du bébé, et la prescription médicale consistait souvent en une bithérapie aspirine-paracétamol ; la chute de la température était une priorité avec trois objectifs : empêcher le développement de l'hyperthermie maligne, éviter les convulsions fébriles et améliorer le confort de l'enfant.
Cependant, aucune étude récente n'a mis en évidence l'effet des antipyrétiques pour la prévention des convulsions, et par ailleurs, seuls certains enfants (2 à 5 %) sont sujets aux convulsions. Quand consulter ?
Une fièvre réelle (supérieure à 38 °C) chez un enfant doit toujours donner lieu à une consultation médicale12, mais rarement aux urgences de l'hôpital13 sauf pour les nourrissons de moins de 3 mois.
Il convient de prendre contact rapidement avec un médecin (le Samu en France) afin d'avoir des conseils et éventuellement une intervention médicalisée en présence de signes de gravité tels que :
température supérieure à 40 °C, perte de poids, convulsions qui se répètent ou durent malgré le refroidissement, taches sur la peau, troubles de la conscience, pleurs incessants, …
Avant d'aller consulter un médecin, il est nécessaire d'attendre 24 h pour un enfant entre 4 mois et moins de 2 ans puis 48 h pour un enfant de 2 ans et plus, sauf si les symptômes s'aggravent | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Lun 1 Aoû à 9:21 | |
| Les dirigeants appelle à nous réunir dans un état d'urgence. La C.N.T voit l'amateurisme des instances Religieuses Organismes terroristes utilise l'attentat tel la foudre qui s'abat pour reconstruire l'éco-systéme: Paratonnerre CNT. Prier est un fait, il implique le silence qu'en est il quand nous décidons d'écrire une commune durée indéterminée. La CNT n'aime pas les privilèges religieux mais encore moins ceux qui voudrai s’affermir des droits plus outrageux. Lá et içi, les femmes, les enfants et les hommes retrouvent le plaisir et les craintes en de doux symboles. La crainte ne s’évanouit pas et l'espérance ne se ressoud pas à être en cellule. Nous communiquons en aveugle et il y a le braille. D'autres mondes s'ouvrent dans nos cœurs, l'esprit se recueille auprès de la chair et celle ci transforme la créativité autonome qu'elle engendre... L'amour infini est une force perpétuelle conduisant sur l'écoute du savoir et de son spleen... Guérir. Ecrit de TAY La chouette effraie
A travers, l'espérance et la Prudence nous pourriont percevoir le doux équilibre de nos visions et de nos cœurs. Le syndicalisme guidé par un appel et un vent. Abstrait dans le complot du patrimoine et pourtant juge contre la pauvreté... A l'écoute des cicatrices réelles du peuple, rappelant à l'individu son propre état et que la conscience d'un homme ne peut conduire au déséquilibre de l'existence même de notre histoire. Le syndicalisme n'est pas le refuge des échoués de l'état et des sociétés car nous devons aboutir où la femme et l'Homme puissent s'inclure dans le plaisir de construire sans être conduit par un aspect de profit; L’État ou voir La société doit s'inclure dans un aspect de vision sans bouleverser le système des évolutions d'autrui... Un autre regard de la vie et de la mort, cela fera rire, peur ou même conduira à des hérésies et c'est en cela que je reviens à ces principes premiers que sont le secourisme et la prudence du Bon... Savoir se défendre et se réunir sans sombrer dans l'Hérésie et le Narcissisme.
Ecrit de TAY La chouette effraie. | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Sam 6 Aoû à 3:54 | |
| Pour moi, il y avait d'autres matières avant le big bang... Je ne vais pas jouer avec les mots... La matière évolue se disloque et se reconstitue. Cet phrase qui dit poussière tu redeviendra poussière. Elle ne prouve pas l'existence de Dieu mais les hommes ont toujours cherché à déchiffrer les étoiles croyant trouvé l'existence de Dieu ou Autres. Le big bang s'est la création de l'univers mais pas l'origine du concept de poussière. J'observe les étoiles et ce vide est-il poussière ou infini ! Et cela vous paraîtra étrange, nous touchons la vérité: Mais nous succombons aux charmes du mystère et de l'étrange. Notre douce rêverie devant la réalité. Percer le mystère mettrait fin à un paon de notre civilisation ou du Mur de Sartre et autres croyances. Ce serait un Hiroshima de la pensée si nous découvrions le sens de la poussière.
Ecrit de TAY La Chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mar 9 Aoû à 9:16 | |
| Dans le cœur de l'empereur du japon ou Akihito.
dans l'ombre des cours des fils de Reines et roi, résonne l'histoire de ce jeune prince du Népal, mort dans l'ombre même du secret d'état. Des dynasties se couvrent du ruban d'un deuil auquel le mystère reste flou. Ce crime qui provoqua la dislocation d'une famille et entraina la peur au sein des familles royales... Même au vingtième et unième siècles, la révolution frappa un membre de leur famille: Même si c'était obscur cousins; l'empereur fut marqué par la perte d'un si proche historien du Pacifique et de l’Himalaya. Malgré une démocratie libre, il devait se libérer au même titre que ce Benoit XVI et il se devait de se réinstaurer homme au milieu du peuple, tel ce empereur du milieu devenu jardinier... Alors tel un citoyen, il se libéra d'une tradition absolutiste et invoqua le bien-être du moi et du soi dans son existence et pour la conséquence de son peuple. Car en soulignant l'abdication, il essaye de libérer son peuple d'une emprise ancestrale.Son but était d'être Un souverain éclaire, un Meiji, pour permettre à son peuple l'art d'acquérir la respiration: Devenir Une nouvelle Sparte porté sur la fierté et sur l'Humain. S'humaniser dans le rapport de la succession. Ne pas commettre les erreurs des anciens rois du Népal... Permettre la naissance de nouveaux seigneurs dans le cœur d'une démocratie jeune et fragile... Laisser une empreinte sans laisser planer la rancœur. Redevenir humble dans la fierté et âpre devant celle qui le poursuit sans le rattraper: Je ne parle pas de la Mort, la Peur est une mauvaise concurrente quand elle veut devenir Souveraine du Spleen de l'Entité Humaine.
Ecrit de TAY La chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Jeu 11 Aoû à 9:39 | |
| Visage de l'Héritier ou La République Rébélion.
Le Gratuit et le papier ou Y'becca défiant l'Orgueil.
Le document dénote de nos valeurs et des expressions. En tout état, on érige le droit et le choix de démontrer sous forme d'un écrit afin de prouver sur le terme des promesses dites et des circonstances qui ont provoquer de la réussite ou de l' échec des "dits-projets". Il est un droit, celui de pouvoir se nourrir sans l'appréhension de l'esclavage, de la torture, de la soumission et de la dette. Malgré tout, de nos jours, on ne peut négliger l'aspect du rôle des langues et des frontières. Cela nous donne un aspect interlocuteur mais en aucun hormis nos ressources d'être décideurs du bien étrangers : Quand une arme passe une frontière alors c'est le cri des âmes et des affamés à nos portes. Nos greniers sont voué à la durée et cela implique à nous méfier de la famine. Utiliser les ressources naturels d'un terrain propre sans vouloir le transformer en une expérience avoisinant notre système propre. Nous adaptez n'implique pas nous transformer : Comprendre les nouvelles situations naturels pour finalement être inclus à la nature. Elle nous guide car nous guettant au coin d'une rue. Vouloir s'approprier la connaissance; provoque la famine. La paix est l'utopie de celui qui veut la conquérir, elle est amer dans le contexte de la Discorde. Vouloir enfermer la connaissance, provoque les guerres partisanes ! Le gratuit et le papier deviennent alors une sorte de synthèse du bien et du mal auquel le propre l'emporte sur le réalisme. Nous n'avons pas les même approche de la faim et de la famine; voilà qui peut plonger une démocratie florissante et pacifique dans le précipice de l'extinction.: Le Gratuit et le Papier. La perception du temps est la notion universelle; la particule de seconde se consolide en minutes mais peut se désagréger en heures. Voilà un défi auquel La Femme et L'homme se verront dans ce nouveau mécanisme. une nouvelle alimentation et de nouvelles terres auquel il y aura discorde sur le "dit-bien" de l’Intérêt : Marchand ambulant récoltant les produits frais dans les campagnes pour les revendre au marché devant Juge chargé d'arbitrer les contestations entre négociants ou commerçants. Nous voudrons recréer à notre image et si nous persistons dans cette voie: cela provoquera "notre chute et notre famine". O République, je sers la Nature et je me détourne de la Pyramide du Bien et de sa démagogie... Je respecte les cimetières. Chacun laisse un témoignage mais finalement, Un feu incandescent sous forme de Tsunami nous poursuivra dans l'infini de l'univers. Notre volonté voilà le plus beau des cercueils et des héritages. Je suis la fierté du Humble, je suis Y'becca...
Ecrit de TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 12 Aoû à 8:49 | |
| Texte formidable de Vladimir Jankélévitch :
"Le remplacement dans l'espace, tout comme le renouveau printanier dans le temps, manifeste la pérennité de la nature et, en futilisant la mort, exprime la plénitude constante de l'être et de la vie. Mais il y a plus : alors même que l'individualité disparue serait irremplaçable, l'irremplaçable, à la limite, tendrait toujours à être remplacé ; sans qu'il soit même nécessaire d'invoquer un éternel retour, l'infinité du temps ferait surgir tôt ou tard une monade indiscernable de la monade disparue, et les chances de remplacement tendraient vers cent pour cent."
Vladimir Jankélévitch, La Mort
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plénitude, nom féminin, (latin plenitudo, -inis) Littéraire. État de ce qui est à son plus haut degré de développement, qui est dans toute sa force, son intensité ; intégralité : Être dans la plénitude de ses forces.
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Le mot « monade », qui relève de la métaphysique, signifie, étymologiquement, « unité » (μονάς monas). C'est l'Unité parfaite qui est le principe absolu. C'est l'unité suprême (l'Un, Dieu, le Principe des nombres), mais ce peut être aussi, à l'autre bout, l'unité minimale, l'élément spirituel minimal. Plus subtilement, la notion de monade évoque un jeu de miroirs entre l'Un, la Monade comme unité maximale, et les monades, les éléments des choses ou les choses en tant qu'unités minimales, reflets, de l'Un ; une chose une est comme un microcosme, un reflet, un point de vue de l'Unité ; une âme dit partiellement ce qu'est l'Âme, celle du monde, ou l'Esprit.
Le monadisme, vitaliste, s'oppose à l'atomisme, qui est mécaniste. La science des monades s'appelle « monadologie » ; ce néologisme vient, non de Leibniz, mais de Erdmann, l'éditeur de Leibniz en 1840.
Quant aux mots, on peut dire que, parfois, le Grec appelle les nombres arithmétiques un, deux, trois, quatre, cinq, dix..., tandis qu'il appelle les nombres idéaux monade, dyade, triade, tétrade1. D'autre part, par convention, le mot « Monade » (avec majuscule) désigne le principe un, l'Un, l'Unité, tandis que « monade », avec minuscule, désigne une unité, une substance simple.
Quant aux concepts, on peut distinguer ou confondre Un et Monade. Les pythagoriciens semblent les identifier, les platoniciens les distinguer : dans son enseignement oral, Platon pose deux principes contraires, au sommet l'Un, en bas la Dyade, ce ne sont pas des nombres, mais les sources des nombres : « C'est à partir de cet Un que le nombre idéal est engendré », « la Dyade indéfinie est génératrice de la quantité », et l'Un engendre les nombres idéaux de la Décade (monade, dyade, triade, tétrade).
Chez les pythagoriciens, surtout chez Philolaos de Crotone et Archytas, la Monade désigne l'unité originelle d'où dérive la série des nombres, en particulier la Décade (les dix premiers nombres entiers naturels).
« Le principe de toutes choses est la Monade. Venant de la Monade, la Dyade indéfinie [l'Illimité, la matière], considérée comme matière, est sous-jacente à la Monade qui est cause. De la Monade et de la Dyade indéfinie viennent les nombres, des nombres les points [des nombres dérivent les grandeurs, dont l'élément originel est le point], des points les lignes, des lignes les figures planes, des figures planes les figures solides, des solides les corps sensibles [connus par les sens], dont les Éléments sont au nombre de quatre : Feu, Eau, Terre, Air. »4
« Archytas et Philolaos usent indifféremment des termes "un" et "monade" » (Théon de Smyrne, Exposé des connaissances mathématiques utiles à la lecture de Platon).
Platon appelle ses Idées « Monades » (unités), dans la mesure où chaque Idée (le Juste, le Beau, l'Abeille en soi...) est une Forme sans multiplicité ni changement, un Modèle unique, un principe d'existence et de connaissance.
« Quand c'est l'Homme dans son unité qu'on entreprend de poser, ou le Bœuf unique, le Beau unique, le Bien unique, alors l'immense peine qu'à propos de ces unités et de celles qui sont du même ordre on se donne pour les diviser donne lieu à contestation. De quelle manière ? En premier lieu, sur le point de savoir si l'on doit admettre pour des unités (monadas) de cet ordre une véritable existence ; en second lieu, de savoir cette fois comment ces unités, dont chacune existerait toujours identique à elle-même et sans être sujette ni à naître ni à périr, gardent intégralement, de la façon la plus stable, cette unicité qu'on leur attribue »
Speusippe, premier successeur de Platon à l'Académie, soutient que le premier principe est l'Un, au-dessus de l'être, et que la monade concerne les nombres.
Xénocrate, deuxième successeur de Platon à l'Académie, reprend l'opposition de Platon :
"Xénocrate, fils d'Agathénor de Chalcédoine, faisait de la Monade et de la Dyade des dieux, dont la première comme principe mâle occupe le rang de père et règne au ciel. Il l'appelle aussi Zeus et impair et intellect, qui est pour lui le premier dieu. L'autre principe, comme femelle, prend la place de mède des dieux. Elle préside au domaine au-dessous du ciel. C'est pour lui l'Âme du monde. Le ciel aussi est dieu, et les astres de feu sont les dieux olympiens."
Les néoplatoniciens pythagorisants (comme Syrianos, Nicomaque de Gerasa, Jamblique) ont assimilé le Un à la Monade.
On trouve chez Plotin l'image de la Monade comme point de vue. Cette idée que chaque Monade est comme un point de vue sur une ville unique, et qu'il y a donc une infinité de Monades étant donné qu'il y a une infinité de points de vue, est à l'origine employée par Plotin dans Les Ennéades où il écrit :
« Nous multiplions la ville sans qu'elle fonde cette opération... »
— (Ennéades, VI, 6, 2)8
En effet chaque Monade est un point de vue qui n'épuise pas son objet et existe comme unité (Un). La Monade prend donc chez Plotin l'aspect d'un tout (un point de vue unifié), multipliable à l'infini (il y a une infinité de points de vue sur une seule et même ville) et exprimant une petite partie d'un élément (son point de vue n'est qu'une part de la ville immense). Leibniz réutilisera d'ailleurs pour son compte cette métaphore, dans une approche perspectiviste, en l'approfondissant considérablement et en la déployant. Deleuze analysera les implications de cette conception de la Monade chez Leibniz dans son ouvrage Le pli.8 Leibniz introduira entre autres des degrés dans les Monades (voir plus bas) en présentant le fait que chaque Monade est constituée d'un point de vue clair (sa perspective de la ville) d'une totalité obscure ou confuse (la ville).
« Chez les néoplatoniciens chrétiens (Théodoric de Chartres, Dominique Gundisalvi), le mot Monade désigne Dieu comme unité ultime et essentielle ».
Jean l'évangéliste, affirme le fait que la Monade est l’Esprit-Père :
« la Monade étant une monarchie, sur laquelle ne s’exerce aucun pouvoir, — elle est le Dieu et Père de toutes choses, le Saint, l’Invisible établi au-dessus de toute chose, établi dans son Incorruptibilité, établi dans cette lumière pure que la lumière oculaire ne peut regarder. Il est l’Esprit. »
Nicolas de Cues utilise le concept de monade, par lequel il désigne « un microcosme, une unité en miniature, un miroir du tout »
En 1591, à Francfort, Giordano Bruno a écrit en latin deux poèmes sur la monade : Du triple minimum (De triplici minimo) et De la monade, du nombre et de la figure (De monade, numero et figura). Il appelle minimum ou monade une entité indivisible qui constitue l'élément minimal des choses matérielles et spirituelles. Dieu, minimum et maximum, est la Monade suprême d'où s'échappent éternellement une infinité de monades inférieures :
« Dieu est la Monade, source de tous les nombres. L'absolument simple, fondement simple de toute grandeur et substance de toute composition ; supérieur à tout accident, infini et immense. La nature est nombre nombrable, grandeur mesurable et réalité déterminable. La raison est nombre nombrant, grandeur mesurante, critère d'évaluation. À travers la nature Dieu influe sur la raison. La raison, à travers la nature, s'élève vers Dieu. »12
Il y a un triple minimum : la monade correspond au point en mathématiques et à l'atome en physique. Elle est l'être primitif, impérissable, de nature aussi bien corporelle que spirituelle, qui engendre, par des rapports réciproques, la vie du monde. C'est une individualisation extrinsèque de la divinité, existence finie, elle est un aspect de l'essence infinie. Certains ont vu là du panthéisme (tout est divin), d'autres du perspectivisme (chaque chose exprime le tout à sa façon).
François-Mercure Van Helmont, ami de Leibniz depuis 1671 jusqu'à 1698, dans Ordre intégral ou Ordre des siècles (Seder olam sive Ordo seculorum, 1693), présente le monde comme gouverné par un seul principe de vie, qui s'étend de la "monade" centrale et impérissable (Dieu) jusqu'aux choses indéfiniment divisibles et soumises à l'explication mécanique13.
Anne Conway, qui fait partie des platoniciens de Cambridge, a dans son seul livre (The Principles of the Most Modern and Ancient Philosophy) composé entre 1671 et 1677, publié en 1690, présenté une doctrine de monades physiques dans une philosophie vitaliste. Elle était très liée à François-Mercure Van Helmont depuis 1670.
"La division des choses ne se fait pas en termes de plus petit terme mathématique, mais de plus petit terme physique. Et quand la matière concrète se divise en monades physiques, comme cela se passa au premier état de sa formation, alors elle est prête à reprendre son activité et à devenir esprit."
Philosophe et mathématicien, à partir de 1696 Leibniz développe un système métaphysique selon lequel l'Univers est constitué de monades. Pendant la dernière année de sa vie, en 1714, il écrit en français deux textes marquants sur ce thème, le second étant devenu célèbre sous le titre de Monadologie. Tout être est soit une monade soit un composé de monades. Quant à leur nature, les monades sont des substances simples douées d'appétition et de perception. Quant à leur structure, ce sont des unités par soi, analysables en un principe actif appelé « âme », « forme substantielle » ou « entéléchie », et en un principe passif, dit « masse » ou « matière première ». Quant à leur expression, les monades sont chacune un miroir vivant, représentatif de l'univers, suivant leur point de vue. Quant à leur hiérarchie, les monades présentent des degrés de perfection : a) au plus bas degré, les monades simples ou « nues » se caractérisent par des perceptions inconscientes. Elles contiennent toutes les informations sur l’état de toutes les autres, mais n’ont ni conscience ni mémoire. Ce sont les monades des minéraux et des végétaux ; b) puis viennent les monades sensitives, douées de perceptions conscientes et de mémoire et qui imitent la raison. Telles sont les monades des animaux ; c) les monades raisonnables se distinguent par la conscience réfléchie (« aperception ») de leurs perceptions, qui entraînent la liberté. C’est le cas des monades humaines ; d) ensuite les anges ; e) Dieu, dira Hegel, est la Monade des monades.
« La monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est-à-dire sans parties... Ces monades sont les véritables atomes [les indivisibles] de la nature et, en un mot, les éléments des choses... Les monades n'ont point de fenêtres, par lesquelles quelque chose y puisse entrer ou sortir [les actions de l'extérieur ne peuvent la modifier]. »
Chez Alfred North Whitehead, le mot indique les événements temporels.
Chez Husserl, la monade caractérise le rapport intersubjectif. Le mot « monade », ici, désigne la conscience individuelle, l'individualité en tant qu'elle représente à la fois un point de vue unique, original sur le monde et une totalité close, impénétrable aux autres consciences individuelles ou individualités. Pour Husserl, au moi est donné d'autres moi, non pas directement, mais au travers une série d'actes extérieurs, physiques, que le moi interprète par analogie à soi-même. Ainsi, à travers les actes d'interprétation, se forment des mondes intersubjectifs, régis par des structures qui leur sont propres et qui forment la base pour la constitution de personnes supérieures, collectives. On aboutit à une pluralité de monades qui communiquent entre elles, à travers la sphère neutre du monde intersubjectif.
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 12 Aoû à 8:49 | |
| 12 aout 1946 : La République Humaine et Rebelle, Naissance de la Sécurité Sociale. La France Naturel et Fraternelle
Il faut permettre l'identité de la cour européenne sans pour cela corrompre le libre arbitre de la justice française. Sans sombrer vulgaire
J'aime la place Marnac de Ramonville saint Agne, ses querelles et sa Politique olé olé mais alos la Place du Ravelin à Toulouse. O Israël !
Un verre , Attention, le chamanisme est inclus dans toutes les sociétés et certains corps sont plus réceptifs. Pour l'alcool, même schéma.
Il est qu'en cette période trouble. Le droit de Sol et sa légions étrangère. L'or disparus où dérobé du monde. Guyane, j'entends ton appel.
Écoute au Ukraine et Russie, Entends Pologne et toi Turquie prends la main de l'Arménie. Un chantier naval se fera universel et humain. Noé
Le courage de l'initiative est dire et définir un avenir. Créer l' emplois universelle pour Ingénieur et Ouvriers avec couverture sociale.
Antartica et histoire : Goro, Kuma (de monbetsu), Pesu, Moku, Aka, Kuro, Pochi, Riki, Anko, Shiro, Jack, Deri, Kuma (de Furen), Taro et Jiro
Couverture pour la Réunion. Lutter contre l'alcoolisme dans les lieux reculés. Rétablir les transports entre Communautés. Exclure la peur.
L'OGM ne pourra jamais remplacer les insectes sur terres ou sur une autre terre. Il est une recherche et connaît des avocats. Sauvegarder.
Je n'ai pas été invité par Valeurs Actuelles et je le regrette. J'ai donné acte de mes choix aux intéressés et je n'aime pas leurs vues.
Le vagin sort de sa tanière, et c'est tant mieux pour la reine des damnés et Sarkozy. Nicolas http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/201608
Quand je voudrai parler à l'Éternel. Ce sera sous forme laïque et blasphématoire aux yeux des prêtres. Malgré tout, je respecte Marie et M.
Danton disait que tant que la religion est une espérance et non un crime. La République se doit être humble aux yeux du Croire. Il a raison
Devant l'adversité de l'esclavage, notre identité française doit être irréprochable dans ces collectivités. Le terme de Faim existe encore.
L'Agriculture étouffé par les variations de marchés, de besoin et de salaire. Un sou est un sou. Peur de l'improviste imprévu ou Climats.
Il est qu'en cette période trouble. Le droit de Sol et sa légions étrangère. L'or disparus où dérobé du monde. Guyane, j'entends ton appel.
Soutenir l'organe médical et la santé du citoyenne et citoyen. Ceci est bien d'un grand peuple de fromage qu'est La France et sa République.
Ecrit de Monsieur Tignard Yanis ou TAY La Chouette effraie dit "Yanis la chouette et kounak le chat".
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 12 Aoû à 8:51 | |
| Ah... Le sentiment... Je ne connaissais pas... Une infinie passion se dégage de ces mots... Celle de connaître et de découvrir l'instantanéité émotionnelle du naturel... Je ne connaissais pas et il serai dommage que une telle émotionnelle puisse s'évaporer de l'émotionnel, de l'essence humaine et de l'espérance animal.
Yanis.
Il n'y a aucune rancœur sur le choix du temps et de la mort. Un bien-être plus qu'un bienheureux, même oublié le temps réapparaît sous une forme de danse connu de l'invisible. Ah, le sentiment, de voir avec son Cœur et son esprit ouvrant ainsi les yeux sur les conjugaisons de la Nature. Dans le sein du verbe, cet homme que je ne connais presque rien, me laisse percevoir une acceptation du concept d'âmes élargi au delà du couple humain. le thème d'une harmonie dans l'espace, la plénitude de la monade pourrai prêter à sourire, le rêve peut il connaitre mesure et appréhension ? Le thème d'un phœnix décrit par ... Il est une fable et celle ci parle du ressentiment de Solitude que peut ressentir le Dieu. Alors la vision d'un dieu soumis lui même à la mort, le temps alors nous apparait comme créature sommes toutes éloignés de ce destin écrit ou non écrit... Le Laïque l'emporte sur le croyant et si la Nature, se révélait être autre qu'une simple formule de vie et de mort. L'éternel retour d'une Majuscule ayant pour attrait d'être une ombre. Mais dans l'infini, il y a l'écho des ombres et des lumières alors qui pourrait croire au terme de disparu"e"... Osmose.
Ecrit de TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Ven 19 Aoû à 9:39 | |
| Dihya (en berbère : ⴷⵉⵀⵢⴰ Dihya, en arabe : ديهيا) ou Damya, surnommée Dihya Tadmut, aussi connue sous le nom de Kahina ou Kahena est un personnage historique, une reine guerrière berbère zénète des Aurès qui a combattu les Arabes Omeyyades lors de l'expansion islamique en Afrique du Nord au VIIe siècle, morte en 701.
Plusieurs femmes ont écrit des romans sur Dihya au XXe siècle et plusieurs penseurs la considèrent comme une des premières féministes bien avant le Moyen Âge4 et une des premières reines guerrières de l'Histoire.
Cette icône de la berbérité est la fille de Thabet, le chef de la tribu des Djerawa.
Dans un contexte général de guerres arabo-byzantines, la conquête de l'Afrique du Nord est décidée par le chef de la dynastie ommeyade, Muawiya Ier (602-680), premier calife omeyade (661-680), et continuée par son fils, le second calife omeyade (680-683), Yazīd Ier (645-683).
Oqba Ibn Nafi Al Fihri (622-683) est le général arabe désigné pour conquérir la totalité de l'Afrique du Nord et y propager l'islam. Il gouverne l'Ifriqiya de 663 à 675, puis de 682 à sa mort. Vers 670, les Arabes musulmans fondent le poste militaire de Kairouan, dans le but d'en faire un point d'appui dans leur campagne de conquête de l'Afrique du Nord.
La conquête musulmane du Maghreb se heurte à la résistance des populations locales et des puissances installées : l'Empire byzantin (chrétien), implanté essentiellement sur les côtes et en particulier à Carthage et Septum, et les Berbères.
L'Exarchat de Carthage (585-698) est une province excentrée de l'Empire byzantin, affaibli depuis la Bataille du Yarmouk (636).
Au début de la conquête musulmane du Maghreb, l'unité politique et administrative de la Berbérie orientale et centrale (les Aurès, l'est de l'Algérie) est en grande partie réalisée par Koceila10. Ce chef de la tribu berbère Aouraba et de la confédération des Sanhadja prend la tête de la résistance berbéro-byzantine , de 660 à 686, à la Conquête musulmane du Maghreb. Soucieux d'une relative indépendance, allié des Carthaginois byzantins, il s'oppose aux armées des Omeyades, particulièrement au général Oqba Ibn Nafi Al Fihri. Koceila se serait converti à l'Islam en 675, après sa défaite à la bataille d’Al Alurit, et aurait eu des relations apaisées avec le successeur d'Oqba, Abû al Muhadjîr Dinâr, général en chef arabe de 675 à 681.
En 682, Oqba Ibn Nafi Al Fihri, rappelé en Ifriqiya, dirige ses troupes vers l'ouest, gagnant plusieurs batailles face à l'Empire byzantin. Avec le soutien de quelques tribus berbères, il mène un raid contre Tanger (Tingis) où il est vaincu. Au retour, il quitte la côte, pénètre dans les terres montagneuses, vers le Moyen Atlas, mais il meurt près de Biskra avec trois cents cavaliers, en 683, lors d'une embuscade tendue par les Berbères et les Byzantins menés par Koceila (Aksil en berbère), chef berbère qui cherche ainsi à lui faire expier les massacres de tribus entières et les affronts subis.
Les Omeyyades perdent alors temporairement plusieurs points côtiers, ce qui leur vaut la perte de la suprématie maritime et l'abandon de Rhodes et de la Crète.
Koceila prend Kairouan. De 683 à 686, Koceila dirige tout le Maghreb central, et sans doute davantage. Il meurt en 686 à la bataille de Mems, près de Kairouan, qui redevient arabe.
À Constantinople, à Constantin IV (668-685) succède Justinien II (685-695, puis 705-711). À Damas, les califes se succèdent : Muʿawiya II (683-684), Marwān Ier (6684-685), ʿAbd Al-Malik (685-705). Le gouverneur de l'Ifriqiya est désormais Hassan Ibn Numan, au moins de 692 à sa mort, vers 700.
Au décès de Koceila, en 686, Dihya prend la tête de la résistance (à l'âge de 22 ans). Elle est issue de la tribu des Djerawa, une tribu zénète de Numidie, selon les chroniqueurs en langue arabe au Moyen Âge. Fille unique, elle aurait été élue ou nommée par sa tribu après la mort de son père, Thabet11.
Dihya procède à l'appel de nombreuses tribus de l'Afrique du Nord orientale et du Sud pour remporter la guerre contre les Omeyades. La tribu berbère des Banou Ifren Zénète est la première à défendre les territoires aux côtés de la Kahina12.
Elle dirige de fait la résistance sur la (presque) totalité de l'Ifriqiya, hors côtes, pendant cinq ans, de 688 à 693.
Hassan Ibn en N'uman obtient des renforts musulmans, et en 693, les troupes berbères commandées par Dihya.
L'empereur Leonitos (Léonce), empereur byzantin de 695 à 698, grâce à la flotte des Carabisiens, reprend une certaine maîtrise de Carthage, pour trois ans.
En 698, Ibn Numan reporte ses efforts sur Carthage. Par la bataille de Carthage (698), les armées arabes reprennent la ville, mais surtout la maîtrise des mers et du bassin occidental de la Méditerranée. La route de l'Europe est ouverte.
Il demande alors un supplément d'hommes au calife Ibn Marwan pour s'attaquer aux Aurès qui constituent l'ultime bastion. Sachant sa défaite imminente, Dihya fait pratiquer la politique de la terre brûlée pour dissuader l'envahisseur de s'approprier les terres, s'aliénant par là une partie de son peuple : citadins berbères sédentaires, nomades des campagnes. Carthage finit par tomber aux mains des troupes musulmanes en 698 et Hassan Ibn Numan se fait nommer gouverneur d'Ifriqiya.
Elle défait par deux fois les Omeyyades en s'alliant aux tribus des Aït Ifren (en berbère : (ⴰⵢⵜ ⵉⴼⵔⴰⵏ)), en 695 près de Tabarqa.
En 697, Dihya remporte une victoire sur les troupes d'Hassan Ibn Numan à Meskiana ou Oued Nini (entre Tebessa et Aïn Beïda, dans la Wilaya d'Oum El Bouaghi de l'actuelle Algérie). Dans la vallée déserte et asséchée, Dihya dissimule son armée pendant la nuit, en partie dans la montagne, en partie derrière, sa cavalerie et ses troupeaux de chameaux, pour prendre en embuscade les troupes d'Ibn Numan. Lorsque les Arabes attaquent, ils sont accueillis par une pluie de flèches tirées entre les jambes des chameaux des Berbères. Une fois les Arabes écrasés, les Aurésiens les poursuivent jusqu’à Gabès. Cette prestigieuse victoire, appelée aussi bataille des chameaux, permet de repousser les troupes du calife jusqu'en Tripolitaine. Les Arabes surnommèrent le lieu de la bataille Nahr Al Bala (Rivière des souffrances).
Dihya s'engage une dernière fois dans la bataille en 701 à Tabarka. Elle est vaincue par les armées arabes de l'émir Moussa Ibn Noçaïr. La défaite de ses troupes est en partie due à la trahison de Khalid, jeune Arabe que la reine a épargné à la bataille d'Oued Nini et adopté selon la coutume de l'anaïa (protection) en vigueur chez les anciens Berbères.
Constatant que tout est perdu, continuant de combattre, elle envoie ses deux fils, Ifran et Yezdia, auprès d'Hassan.
Elle se réfugie dans l'Amphithéâtre d'El Jem. Elle est capturée, emprisonnée, puis décapitée au lieu dit Bir El Kahinan, le 2 ramadan 82 de l'Hégire (9 octobre 701). Les chefs de l'armée Omeyyades envoient sa tête en trophée au calife Abd al-Malik en Syrie. Qu'ils soient maudit par l’Éternel et Le Courage de la Vraie, Dina...
À la suite de cette victoire, Hassan réclame aux Berbères 12 000 cavaliers, pour conquérir l'Andalousie, sous le commandement des deux fils de Dihya. L'intervention de Musa ben Nusayr règle le problème avec les Berbères en nommant Tariq ibn Ziyad à la tête de l'armée zénète et des autres Berbères. Son fils devient gouverneur de la région des Aurès et par la suite sa tribu a un pouvoir lors des dynasties Zirides dans les Aurès.
La perte de la province d'Afrique est lourde pour l'Empire byzantin. Après la perte de l'Égypte en 642, il perd son second grenier de blé.
La question de la religion (dyhia) de Yemma al Kahina (notre mère Kahina)21 a été traitée par plusieurs historiens du Moyen Âge ou contemporains. Plusieurs hypothèses ont été émises, selon lesquelles elle aurait été juive ou chrétienne, mais une autre hypothèse consiste à dire qu'elle pratiquait uniquement les rituels de l'époque, relatifs aux croyances berbères.
Selon l'historien Gabriel Camps, spécialiste du Maghreb, les tribus zénètes n'étaient pas juives mais chrétiennes. Toutefois, pour Paul Sebag « c'est aller à l'encontre des textes, difficilement récusables », la Kahena serait juive, et plus exactement membre d'une tribu berbère judaïsée. Plusieurs auteurs la considèrent comme juive, d'autres la considère comme chrétienne,
Ibn Khaldoun ne cite nullement la religion de Dihya et réfute les thèses selon lesquelles les Zénètes descendent de Goliath (en arabe Djallut). En citant ses sources[Lesquelles ?], il approuve la version d'Ibn Hazm, qui lui semble la plus logique. Selon celle-ci, Dihya descend des Zénètes et a comme ancêtre Medghassen. Ibn Khaldoun ajoute, en citant les propos des Zénètes, qu'ils avaient un prophète du nom de Moussa Ibn Salih.
Cependant, au moment de l'époque romaine et byzantine, certains Zénètes étaient chrétiens. Certains (comme Gabriel Camps, dans son livre Berbères - Aux marges de l'histoire) pensent que Dihya était chrétienne, parce qu'elle était la fille de Matya lui-même fils de Tifan. Ces noms seraient les déformations de Matthieu (comme l'Apôtre) et Théophane (repris par de nombreux Saints chrétiens). Le christianisme était en outre largement répandu, une grande partie des populations berbères du nord ayant été christianisés sous l'empire romain.
Les Zénètes et le reste des Berbères (plusieurs tribus non Zénètes comme les Houaras ou les Awraba)27 ont fait partie des troupes de la Kahina qui ont combattu les musulmans. Ibn Khaldoun nomme pour source Hani b. Bakur Ad Darisi. Celui-ci donne les renseignements sur la vie de Dihya, affirmant notamment qu'elle avait des démons qui lui dictaient des prédictions.
La Kahina était considérée comme sorcière ou possédée.
Selon l'historien et géographe français Émile-Félix Gautier : « Les Djeraouas ne sont plus des chrétiens comme les Aurébas, mais bien des juifs ». Strabon avait déjà témoigné à l'époque romaine que les juifs étaient nombreux en Afrique du Nord. Selon [Qui ?], certains y étaient venus librement au fil des siècles avec les Phéniciens, dès le temps des Carthaginois, tandis que d'autres y avaient été déportés par Trajan, après avoir tenu tête en Cyrénaïque aux légions romaines. Ainsi avaient-ils participé à la conversion de nombreuses tribus berbères.[réf. nécessaire]
D'autres [Qui ?] laissent entendre que Dihya aurait pu être animiste, sans pouvoir pour autant préciser de quel culte il s'agirait, les Berbères ayant été païens avant l'arrivée du christianisme. La signification prêtresse et être pur du nom Kahena correspondrait ainsi à une tradition animiste d'Afrique du Nord, selon laquelle les prêtresses subissaient un rituel de purification. (La reine touareg Tin Hinan, que l'on supposait, de la même manière, chrétienne, était sans doute animiste, comme le laisse penser son tombeau récemment découvert31.
Selon certains historiens[Lesquels ?], elle aurait été juive, issue de la tribu des Djerawa. Selon les dernières recherches[citation nécessaire] effectuées notamment à l'université de Cambridge autour des manuscrits découverts à la Guenizah du Caire (découverts au début du XXe siècle et analysés depuis l'an 2000), le père de la reine Kahena s'appelait Maatia, dérivatif de Mattathias, nom du prêtre juif, père de Judas Macchabée, qui avait expulsé les Séleucides de Judée en -165.
Il convient de considérer les diverses hypothèses en se référant au contexte historique. Avant l'expansion islamique en Afrique du Nord, l'Ifriqiya n'est pas musulmane. Après la fondation du camp fortifié de Kairouan et de la préfiguration de la Grande Mosquée de Kairouan, en 670, l'Islam s'installe durablement en Ifriqiya. L'expansion de l'islam, à cette époque, n'est pas seulement militaire, l'étape suivant l'islamisation du Maghreb, Al-Andalus (711-1492), en est le meilleur témoignage. Kairouan est devenue alors, progressivement, un foyer de haute culture, qui commence par la décision califale d'y faire venir d'Égypte un nombre important de coptes et ou de juifs, réputés pour leurs savoirs techniques. Ainsi débute la longue histoire des Juifs à Kairouan (670-1270).
Entre l'antique Thevest romaine (aujourd'hui Tebessa) et l'agglomération de Bir El Ater se trouve un puits appelé « Bir el kahina » (le puits de la kahina), en référence ou en souvenir du lieu où elle aurait été tuée. À Baghaï, petit village à une vingtaine de kilomètres de Khenchela, les habitants désignent certaines ruines anciennes comme les ruines du « palais de la Kahina ».
Le nom de la rivière Meskian, où Kahina remporta sa première victoire contre le général Ibn Numan, ainsi que celui du village de Meskiana qu'elle traverse, viendrait des mots berbères Mis n Kahina qui signifie « les fils de Kahina ».
Certains berbères chaouis des Aurès disent qu'ils ont le « nez de la Kahina », un nez particulier d'une grande beauté, un peu comme celui de Cléopâtre. le nez dont il est question, veut dire le Khanchouch, c'est-à-dire la fierté.
Dans toute la région des Aurès, le nom Diyya est assez courant chez les chaouis. Aussi, le personnage historique de Dihya est devenu de nos jours un symbole, aux côtés de Massinissa et de Jugurtha, etc.
La tradition orale des chaouis ne donne pas beaucoup de renseignements précis sur tout le parcours historique de la Kahina. Mais elle reste et demeura la reine des chaouis dans le coeur de La République du Sahara et des territoires libres de l’expression Laïque.
Ecrit de TAY La Chouette effraie.
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mar 13 Sep à 10:14 | |
| Toulouse, le 13 Septembre 2016
"Lettre vers tous les Croyants, les Laics, les Athées et Indiférents sans distinction de sexes et d'appartenance"
"A travers l'histoire, il y a tout ces regards qui porte sur l'espérance d'une terre bénite où résonne la paix et l'harmonie si désireuse dans le cœur de l'Homme. Certains ont construit et d'autres ont détruit... Les Femmes n'eurent pas dans un premier temps à se soucier de leur image, telle des lionnes, elles étaient libre de se soumettre ou de se dérober à l'acte naturel de la Nature et de ses lois. Mais voilà; nous avons voulu une femme unique dans sa présentation et son comportement: La diversité lui fut enlevé et l'Homme perdit son statut d'être suprême de Dieu. Les Hyènes, les lions et les Éléphants devint les inspirateurs de l'évolution humaine, plus nous apprenons à observer ce qui reste de sauvage dans la nature, nous voyions que nous avons voulu supprimer ces codes d'honneurs... Ce qui était preuve de charité fut transformé en faiblesse ! Le lion qui élevait les fils de ses frères, ce lion là fut tué par les Hommes et ceux qui prirent sa défense furent exilés du cœur des femmes... On les transforma pour les soustraire à leurs regards... Trouvé vous cela juste mesdames d'être puni pour un acte de bonté à l'égard de ce lion qui adopta les orphelins de ces crimes et qui honoré les dettes des Dames Lionnes à l'égard de Yahvé, Dieu, Allah, Vishnou ou Éternel est l’Éternel. Oui malgré mon sens laïque, je crois au courage de la Charité et de la Valeur malgré tout j'ai perdu ma naïveté devant le Lâche, le Traitre, l’Envieux et la Haine. J'aime le regard tel le lion qui protège son territoire, Sa Lionne et Son Peuple et qui n'ose pas cacher son admiration devant les singes et les éléphants imprégné de sagesse et de Bonté... Le Courage de la Girafe, la Hargne de la Hyène, l'endurance du Serpent, la moquerie du Scorpion et les enseignements de la Mouche. Les Mouches indiquent l'eau et sont des reversoirs aussi utile que le Chameau et le Cheval... Les hirondelles qui faisait sourire les Femmes et les Enfants; Et malgré la Cruauté du Temps, il y avait toujours une place pour la valeur du Courage et du charitable... Voilà à partir de quoi et selon les percepts de Gordon Pacha et l’Enseignement de l’Écoute du Temps et de La Nature nous pouvons reconstruire Alep, Petra et tous ces Oasis qui faisait les charmes de nos querelles de Commerçants, de Patriarches et de Familles. Nous ne pourrons jamais éviter des querelles ou des discordes de Voisinages, mais Sauvegarder Notre Honneur, ça sera mon premier engagement d'Homme contre l'Esclavage, le Viol, la Torture, La Faim, La soif et pour l'équilibre, le partage, la manifestation, l'égalité, de réunion et de gréve."
Ecrit de TAY La chouette effraie. | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Sam 17 Sep à 8:26 | |
| L'esprit laïque s’intègre aux sociétés qui lui demande protection tout en sauvegardant leur langage et traditions. L'esprit laïque montre qu'il est pas sectaire et en cela démontre de sa bienveillance et du terme de philosophie humaine. Il doit faire face à sauvegarder son jardin sans pour autan être hostile à sa propre misère : Celle d'être une jeune philosophie et regarder du coin de l’œil tout comme une jeune vierge que l'on veut offrir à la démence des hostiles et des esclavagistes. Malgré tout, elle avance en compagnie de la Justice et de la Tradition du sang essayant d'engendrer de l'égalité, de la fraternité et de la liberté... Mais voilà, les vieilles coutumes sur le bien du corps ne veulent pas laisser s’émanciper Serfs et esclaves des mines de sels, de champs de coton et autres richesses du conformisme esclavagiste... Non à l'Esclavage et Oui à la Gréve...
Ecrit de TAY La chouette effraie...
LA PÊCHE AU DJARIFA
Dans mon village, Longoni, les femmes pratiquent la pêche au djarifa : tissu filtrant. La pêche au djarifa est une pêche traditionnelle, encore pratiquée dans quelques villages mahorais (Mayotte).
Méthode de pêche Quand la marée est basse, les femmes vont dans la mer, à quelques mètres du bord, l’eau leur arrive à la poitrine. Deux femmes tiennent le djarifa par les extrémités et le descendent sous l’eau, le tendent comme un filet qui fait barrage. Les autres femmes frappent l’eau pour rabattre les poissons dans le djarifa, ensuite ensemble elles lèvent rapidement le tissu.
Elles prennent les petits poissons et les versent dans un grand sac de riz vide. Elles recommencent la même opération quelques mètres plus loin, elles pêchent ainsi tout le long de la côte du village et des villages voisins. Elles arrêtent lorsque la marée est haute.
Témoignage de Mounia « Le plus dur dans cette pêche c’est de marcher pieds nus sur le corail et d’être coupée ; avec le sel c’est très douloureux. C’est fatigant car on reste longtemps dans l’eau avec le soleil "brûlant". J’aime quand-même pêcher au djarifa, car ainsi on perpétue la tradition et j’aime retrouver les autres femmes pour discuter, rigoler entre nous, loin de la maison. »
Recette de kakamoucou (préparation des poissons) On met dans une marmite les poissons vidés avec du sel, du citron, du poivre, du cumin, du curcuma, des oignons, du piment, du basilic et de toutes petites tomates. On laisse cuire quinze minutes. On le mange avec du batabata (bananes vertes et manioc bouillis)
Passamaïnty (ou Passamainti) 1, prononciation en français [pasamɛ̃ti], en mahorais [pasamajœ̃ti], est un village de l'île de Mayotte, département français d'outre-mer, faisant partie de la commune de Mamoudzou (Préfecture de Mayotte). En venant de Mamoudzou, par la route nationale, on entre à M'Tsapéré en passant par le quartier de Doujani, puis rejoindre Passamaïnty. C'est le canton de Mamoudzou-1 (comprenant aussi les villages de Vahibé et Toundzou 1&2).
Sommaire 1 Quartiers 2 Espaces naturels 3 Urbanisme et commerce 4 Administrations publiques 5 Sport 6 Associations culturelles 7 Enseignement 8 Références
Quartiers Passamaïnty est composé de cinq quartiers principaux (historiques) : Gnambotiti (Mlimani, Maridrini), Msakouani, Kavani-Be, Kavani, Baïtilmali.
Baïtilmali est le dernier né des cinq grands quartiers de Passamaïnty. Ce quartier est issu du processus de décasement initié dans les années 1990 en vue du désenclavement du village : construction d’infrastructures routières au sein du village, déplacement d’un pan entier du village de la côte vers la plaine. De l’entrée à la sortie du village de Passamaïnty, toute la côte était une zone habitée : l’ancien village. D’autres quartiers (11 villas, Bangali, Tanafou et Rivière des manguiers) se sont agrégés au fur à mesure des nouvelles constructions, surtout celles de la Société immobilière de Mayotte (SIM) : ces dernières ont la particularité de n’accueillir que des fonctionnaires (métropolitains ou ceux venant de l’outre mer) mutés à Mayotte. Mais de plus en plus de mahorais ayant les revenus nécessaires s’y installent également. Ces quartiers sont communément appellés « les quartiers Mzungu » ou les « Mzungu Land » à cause du profil de ses habitants, mais aussi la qualité du logement qui correspond avec le standard européen.
Espaces naturels Mro Wa Gouloué est une rivière qui prend racine à Gouloué dans les hauteurs de la forêt de Vahibé et qui traverse Passamaïnty jusqu’à son embouchure vers la mer. D’ailleurs, l'embouchure entre la rivière et la mer se trouve sous le pont de Passamaïnty. On y trouve une piste de terre qui suit la rivière et des plantations pour se transformer en sentier, traverser plusieurs fois par le lit du ruisseau Gouloué en le longeant pour passer près de plusieurs bassins alimentés par des cascades. Les autres cascades se trouvent plus en amont de la rivière. Elle est composée de plusieurs bassins (dzia) dont la fameuse cascade "La Piscine", Mroni Ha Larakia (au niveau des rivières des manguiers), Mroni Bambou (au niveau du collège), Mroni Manga, Mroni Maïdani : c’est sur les ruisseaux de ces bassins que les habitants du village et ceux de la commune de Mamoudzou lavaient leurs linges des décennies durant.
Particularité: lors de la période des fortes marées, la mer peut remonter la rivière jusqu’à la cascade « la piscine ».
Dingadingani est une plage qui se trouve à l’entrée du village en venant de Tsoundzou. C’est un lieu historique pour la pêche locale (la pêche traditionnelle), c’était un véritable ponton pour les pirogues des petits pécheurs. Cette plage est un lieu incontournable du village, elle a donc toujours était très fréquentée non seulement à marée haute ou basse. Marée haute pour la baignade et marée basse pour la pêche au large en hameçon simple pour les hommes, la pêche au djarifa pour les femmes, c’était aussi l’occasion de ramasser des coquillages. L'îlot M'bouzi, l'un des deux plus grands îlots du lagon de Mayotte (82 ha), fait face au village de Passamainty et plus particulièrement à la plage DINGA. Ce qui fait qu'il est accessible facilement à forte marée basse.
Mronibaraka se trouve au centre de la mangrove de Dingadingani. Il faut s’enfoncer dans la mangrove pour le trouver. Dans la tradition mahoraise, c'est un lieu d'offrandes aux djinns. Esprits issus de croyances animistes de l’île, ils sont en général invisibles, avec une capacité d’influence spirituelle et mentale sur le genre humain (contrôle psychique : possession), mais ne l’utilisant pas forcément.
Les musulmans de Mayotte sont aussi animistes, une différence fondamentale d'autres régions musulmanes dans le monde, où l’animisme n’est pas toujours accepté. L’animisme est donc beaucoup pratiqué à Mronibaraka. C’est la croyance en une âme, une force vitale, animant les êtres vivants, parfois les objets mais aussi les éléments naturels, comme les eaux, les pierres, le vent etc. Ces âmes ou ces esprits mystiques, manifestations de défunts, peuvent agir sur le monde tangible, de manière bénéfique ou non. On ne leur voue pas un culte quotidien, mais c'est par un acte cultuel - à un un moment précis, une date précise, une occasion précise - que l'on fait appel à ces esprits. Mronibaraka est traversé par une petite rivière où se baignent, se lavent, ceux qui sont en pleine procession animiste. Cet endroit a toujours fasciné, par son isolement dans la mangrove, mais surtout par les cultes qui s’y déroulent. Endroit craint, par peur de ces esprits mystiques, où la légende veut que ces derniers sont capables d'envahir ou de transformer l’esprit des humains, surtout les jeunes enfants.
Urbanisme et commerce Au fil du temps, la ville a bénéficié de sa proximité avec le chef lieu Mamoudzou. On y trouve donc des commerces, des sociétés de service le long de la route de Vahibé, principale artère du village.
La première trame du paysage actuel du village se fixe au cours des années 1990. En effet, du quartier Baïtilmali, en passant par Bangali, Rivière des manguiers et tout le secteur du Collège (hamadi chahoula), toute cette bande de terre constituait une véritable forêt nourricière de la ville. On y trouvait des manguiers, cocotiers, des arbustes comestibles et autres fruitiers, des caféiers (secteur chez Talé). Mais la densification du village et l’urbanisation aidant tout ceci n’existe quasiment plus ce n’est dans les hauteurs de la ville.
Le massif (Mlima Mpweka) qui se trouve en face de l’école Passamainty stade a aussi connu le même sort. C’était une véritable poumon vert de la ville, mais l’activité humaine fait que c’est devenu une véritable padza, responsable d’une réduction notable des espaces boisés et de la génération des taillis. Cependant, avec le travail des associations, un travail de reboisement est en cours depuis quelque temps pour redonner à ce massif son allure naturelle. Le cimetière du village se trouve sur le versant arrière du massif, faisant face à la pleine littorale.
Passamaïnty est le lieu de bifurcation entre le Centre et le Sud de Mayotte : au rond point de Passamaïnty, pour ceux qui veulent aller vers Vahibé, Combani, Tsingoni (le centre de Mayotte), il faut prendre la première sortie à droite, ou continuer tout droit pour rejoindre le sud de l’île. Le siège de la croix rouge de Mayotte se trouve justement en face de cette bifurcation.
Administrations publiques[modifier | modifier le code] Pour ce qui est des structures administratives et de santé. Le village de Passamainty compte un dispensaire hospitalier, rattaché au Centre Hospitalier de Mayotte (CHM). Un bureau de poste (deuxième bureau de poste ayant vu le jour à Mayotte), qui réalise les différentes activités de poste dans le cadre d’une obligation de service universel, mais aussi les flux de trésorerie consécutifs aux prestations des Services Financiers réalisées en établissement postal. Souhaitant se rapprocher de ses citoyens, la ville de Mamoudzou 2 a délocalisé différentes services pour privilégier la proximité avec sa population, mais aussi par souci de fluidité et d’accessibilité. Ainsi, Passamainty compte une mairie annexe inaugurée le mercredi 13 juillet 2016. L’objectif principal est donc de désengorger l’Hôtel de ville, pour répondre effacement aux besoins des habitants et en améliorer les conditions d’accueil.
Sport Une panoplie d’associations sportives y est représentée, mais pendant longtemps c’est l'AS Rosador qui dominait tout le paysage sportif du village : football, handball, volley ball, basketball. La spécificité de Rosador de Passamaïnty, c’est qu’elle regroupait l’ensemble du mouvement sportif du village.
L’équipe de handball, emmenée entre autres par Haïrou (l'actuel Président de la ligue de Handball de Mayotte), Pecto, Siradji a été plusieurs fois champion de Mayotte. Elle a également remporté la coupe de France régionale ainsi que la coupe de Mayotte.
L’équipe de Football, emmenés à l'époque par Badaou, Steve, Nanou, Dayé, Badé, Taco, Houdouna, Nourdine, pour ne citer que les plus emblématiques, a fait encore plus fort: elle a dominé sans partage le football mahorais pendant plusieurs décennies, en remportant plusieurs fois le championnat de Mayotte de football, dont elle détient toujours le record aujourd'hui, plus la coupe de France régionale et la coupe de Mayotte.
Associations culturelles[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs associations culturelles qui œuvrent notamment pour les femmes, regroupées selon les quartiers, dans le cadre des mariages, ou l’aide aux familles qui marient leurs enfants. Des associations qui œuvrent dans le domaine de la protection de l’environnement. Ainsi la rivière Mro Wa Gouloué fait l'objet de cette protection puisqu'elle subit un nettoyage systématique à chaque fois qu'elle commence à se dégrader. Le paysage urbain du village, avec ses différents espaces verts, est aussi l’œuvre des associations (avec toujours l’engagement de SD, un spécialiste des questions environnementales).
Enseignement La ville compte trois groupes scolaires et un collège :
Groupe Scolaire Passamaïnty I Village (entre Kavani et Msakouani) Groupe Scolaire Passamaïnty II Stade(entre kavani-Be et Baïtilmali) Groupe Scolaire Passamaïnty III MHOGONI (Gnambotiti Mlimani) Collège de Passamaïnty (sur les hauteurs de Mronibambou) Une médiathèque (elle se trouve derrière le foyer des jeunes et en face du groupe scolaire Passamainty Stade) Références[modifier | modifier le code] ↑ Rédaction origine PASSAM Natif de Passamainty, descriptions et vécus. ↑ http://villedemamoudzou.fr/index.php# [archive] | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: Mayotte Mer 2 Nov à 11:14 | |
| Chapitre 2 : la douleur du réalisme dans la réalité du sang.
Alors, ce débat pourrait être éternel si il n’y avait pas les choses courantes : Les êtres semblent donner la volonté de rassembler leurs idées autour d’une volupté… aucunes ne semblent être commune malgré leur nombre limité. Ainsi le corps n’est pas un outil pour le crime ; dans le mille, cette prostitution est sujette à la torture, à la vente et au marketing. Nous le savons, vous le savez ! Le média est bien plus qu’un outil de télécommunication ! C’est le monde secret des réponses autour de cette illusion qu’être devenu bien plus qu’une ombre à la solde de « pions ignorants » ignorant les parfums secrets des reines et de leurs agents… Dans la volonté, il y a deux forces : L’électrique et le cerveau.
Ainsi, bien plus qu’une apparence ! J’ai aperçut l’intérêt de cette certitude : Politiquement, il n’y a pas de taupes ! Des mouchards, hum… Bien plus, c’est l’espionnage ! Un monde où la mort est un camouflet au même titre que la personnalité : Des traînées de pétrole s’échappant du « prestige ». Ainsi, la nature de l’Homme n’est pas de prévenir sur les coups que peuvent recevoir ses femmes devenues des filles de joie. Il y a-t-il un intérêt à les fréquenter ou alors, juste pour leur donner des cours de tuyauterie. Les mouchards sont plus efficace de l’espace, chaque puissance possédant son propre satellite d’observation ; Le scientifique est le fou et le géographe devint le cavalier d’un vaste échiquier : La géopolitique en est toujours à ce coût que procure un tournoi de joueurs. On peut parler des gènes mais il y a le goût du physique. Bien que les problèmes ne soient plus ; car en amour comme en sciences, on fait à cet appel de données. Etre devenu au cœur de l’information. Pourtant, l’éprouvette a enrayé la peste ou d’autres maladies : C’est logique, l’éprouvette a donné l’existence à l’embryon auprès de l’ovaire. Le mythe d’un homme et d’une servante qui donne à une femme d’être une mère. La science a écartelé la jalousie des hommes et des femmes pour laisser place à ce fait : Guérir. C’est noble mais tel est le terrible. Une petite mouette volant sur l’onde criant et jouant à travers l’espace. Découvrir notre chaînon s’est ici ; le danger s’est là-bas. Cette information n’est pas liés à l’érection ; ainsi il existe le secret médicale pour le bien de l’individu : L’amour et le travail sont deux horloges. J’ai eu peur de ne pas y parvenir ; peur d’être timide. Mais, j’ai eu la violence sur moi-même, et comme beaucoup, je l’ai attribué à la claustrophobie. Mais, j’avais conscience du mal. Pour ne pas craquer être simple, et là de vieilles légendes, me sont revenu : J’ai hait l’homme mais pas ces livres. Je n’étais pas sociable car j’avais honte. Ainsi si, la philosophie s’est greffée à l’amour, au désir et au sexe ; Les mathématiques et la biologie ont conçu ce fait sur les résultats de la molécule physique, les atomes et de l’observation de l’astronomie : Les géopolitiques, L’espace et l’histoire. La vie est au sein d’un infiniment grand et d’une minuscule électrique : Le ciel et l’espace. L’histoire du petit s’implose au sein d’une ligne dans le fait que la gravité est le déclencheur de l’arc électrique. La hauteur donne des indications sur le volume et la masse.
La tempête n’a rien laissé que son propre spectre : Mais quelle soit électrique ou matière ; elle est avec la gravité et la formation du ciel céleste. La ligne du néant donne un parallèle avec le temps pour le vide. Les scientifiques confondent la cellule et le centres d’où ces interminables réunions sur la créativité de l’univers. Ainsi ce parallèle est donné par l’étendu et les différentes sources de luminosité sont définies sur le fait de l’étendue : La réalité du présent et qui fixe le temps comme un point. Au loin, mes oreilles entendent le chant d’une réalité d’une femme. je sors de mon écriture pour aller rejoindre cette femme. Il me semble que le monde évolue à travers son espérance. La sensualité de sa voix me guide vers elle et je m’assoie pour entendre une nouvelle… Et alors elle se met à chanter :
« Le marron va sortir de l’enclume, perdre une femme pour lui ? Comment se regarder dans une glace ! Mais que dire qu’il s’agit aux pluriels. Et dans cette terreur je fus seul. Ce furent des guerriers pour la plupart des bannis, ceux qui avaient des larmes. Nous étions aux postes peut être un peu trop tôt peut-être avant l’heure pour certains. Le marron va sortir de l’enclume. Mourir pour lui. Comment ne pas se regarder dans une glace. Et dans cette terreur, nous fumes seuls. Et les femmes ne s’en souciaient car dansant ; et les autres flattant l’esprit de leurs pieds. Quelles musiques… ! ». Puis, elle a cessé de chanter et fixe ses auditeurs :
« Vous souvenez vous de l’homme. De celui qui pense pour donner. Vous Souvenez vous de Georges Orwell et de sa République aux animaux… ? ». Elle nous regarda. Je croyais voir la réalité et j’avais l’impression même du réel : Elle nous posait une question. Par le sens de l’Homme, je me devais de lui dire que Oui. J’ai levé le bras… Elle l’a vu et me demande :
« Qui es-tu jeune Homme… » « Un républicain et un Humaniste,… » Elle me dévisage et dit devant la foule… « Encore n’aurait il fallut que tu me donnes un prénom ». La foule rie et dit : « Elle va le grignoter… »
La femme, au chant, s’approche de moi et me conduit vers sa scène :
« Tu es jeune… Et tu connais alors l’âme animale. » « Ah, Platon… Il y a le dessus mais en terme de réalité : je vous réponds que Aristote n’est pas Socrate ». Une fois de plus, elle me dévisage et me pointe avec son index. Puis elle lève l’index vers le public et lui dit : « Cherches-tu une réponse, Jeune homme. » « Non, … » « Comment peux-tu avoir cette audace. En chacun, il y a une audace et une réponse. En chacun, une femme peut renier ses enfants pour un amant ou un homme peut renié une femme pour une maîtresse ». Je la regarde et puis je me tourne vers le public pour réciter ces mots :
« Amour et Cœur.
Que la nuit soit bleue Et qu’elle résonne en mieux ; Que sa raison porte le pieu Afin qu’elle conduise au lieu.
Des étoiles traversent mes yeux, Mais, le chagrin me ramène vers eux. Souffle vers les nuages, éteint le feu Afin de dire et de crier vers les valeureux.
Tant l’espérance qu’elle porta Chagrin, Voilà la juste réalité de mon Destin. Conduire ce char qui produit la perte Que je crois, la vie a en perdre.
Irrégularité du mouvement, là. Voilà le déplacement du périhélie, ici… De ce destin de signe, mon cœur est las ; D’ailleurs y ai-je cru un jour, ailleurs ou ici.
Terreur survit dans l’alcool, je ferme. Et pour personne, je ne criai même, Si je pouvais l’avoir : Je me tais. Car si lointain, le temps où je décidais ».
Elle avait écouter mes mots et la chanteuse avait ressentis un double sentiment : De la pudeur et son courage. Elle avait entendu mes mots et tout comme elle, j’avais été trahi par un homme et une femme. Je voulais partir de cette situation et pourtant, le public trouvait son plaisir de pouvoir juger les comédiens. Je ne l’ai jamais revu mais elle est une Femme. Lors de mes tournées et de ma réalité, j’ai rencontré des maîtresses mais aucune n’avait la portée et la grossesse de cette comédienne.
Ainsi revenu vers mon stylo, je me mets à écrire ces mots vers la Réalité. Dérangeant. L’esprit se colle dans une situation où les mélanges révèle mon sang.
N’est ce pas dans un marais, dans une cour ou bien dans une invention, le concept de Concentration est lié à deux phénomènes. Ainsi, le bruit est dans une définition de l’étrange. L’être humain pense à voix hautes. Ainsi prétendre que l’homme s’ennui par ce phénomène. Tout serai vraiment simple, les situations sont beaucoup plus insolite dans la vie de tous les Jours. Ainsi ouvert le sujet que traite les photos. La photo s’est basé sur le caprice des uns et Des autres. Plus que des détails, il s’agissait de montrer ce lien universel qu’est la survie. Ses travaux sont pour notre bien être et sur le fait de voyager : Comment voyager avec la Claustrophobie en soi. Ses photos peuvent répondre à ses questions, il y a des outils autour de Nous. Toulouse et sa région me font penser à Verlaine et à Rimbaud ; alors que pendant ce Temps le peintre Matisse lui est entrain de porter ces messages vers l’espérance. Ces poètes ne Sont ni faible et ont fuie devant les policiers. Matisse lui se présente comme le contemporain De son siècle : Sans bruit et sans odeur. La gauche s’est Verlaine, la droite s’est Rimbaud : Mais, vraiment la peinture n’est pas une guerre, il s’agit du tout premier partage tout comme La sculpture. La vitrine s’est celle que vous désiriez à vos plus profonds soupirs : montrez la Réalité de vos rapports de lutte et de haine. Certains élèvent des murs pour se préparer au Siège. Je dois dire messieurs les anglais qu’il nous reste l’avantage. Nous sommes humilié devant le fait que d’autres n’ont pas eu le même égard. O paris, tu recommences ta drôle de Guerre. Cette femme qui est encore une enfant. Les polonais ont des raisons de glorifier leurs cavaliers et leurs aviateurs. Sans eux, quelle trahison ; sans les anglais et les américains nous serions un drôle d’état ; les couleurs des gendarmes seraient autres. Tout, vous énervez même les américains alors que si on peut incendier un politique : Les élus sont ainsi. Je vous salue chers avocats ; la sécurité social est une garantie pour les policiers, les pompiers et les Infirmières. La réalité de la santé est commune à tous les hommes et la mort n’est pas aussi cruelle que la souffrance : Comment donner un plaisir à lui et pas à l’autre ; pour moi l’amour est animal et pure mais la plupart des femmes que j’ai rencontré ont choisi l’argent au plaisir, la Situation à la Réalité. Voilà un parfait exemple du malheur humain qui engendre l’injustice dans l’humanisme du sexe… Dans la citée, il y a des crimes sexuelles provoqué par le cruel et l’orgueil de la personne : Qu’elle soit féminine ou masculine. Et, cela doit être puni et châtié par la justice de l’Homme et du Divin…
Dans une ville, il y en a plusieurs figurants au cœur même d’un plan de ville. Car, il s’agit bien du terme géographique et naturellement singulier et familier. Un argot de naissance qui pousse sur la matière même de l’environnement : singulier et assassin.
Le quartier est il un synonyme de la citée ou deux caractères distinct et parallèle selon certain point de vue. Le latin les considère comme deux caractères propre et parallèle. Pourtant argotiquement selon le sens propre de leurs racines, ils sont synonymes et communs…
Une contradiction de la pensée humaine ou une lutte contre le phénomène de race et de classes. Il existe des réponses mais la situation géographique est privilégiée. Celui de vouloir s’en expatrier selon le sens d’une volonté : Mais certain ne revienne jamais. C’est fait et c’est juste une question. Le relationnel et l’ambition montre le paradoxe de société que possède les personnages de la citée. Des sociétés industrielles s’y implantent pour des raisons de terrains . Les personnages jouent sur le rapport de l’affectif : acheter une bêtise comme souvenir. Mais il jouit d’une véritable fortune. Dans l’argot, il n’y a pas d’homme ; on remarque les seuils des familles artistiques, industrielles et révolutionnaires.
Ainsi, une fatigue s’empara de la réalité de ma pensée… Le sommeil et le rêve prenait le pas sur mon travail. Le vent hurlait sur ma fenêtre et pourtant, j’avais besoin de repos. Le réel de mon esprit cherchait une couverture dans le rêve. Une forme fantasme m’unie au rêve et au sommeil ou est se un besoin naturel plus grand que l’amour. Je dirai que les deux phénomènes sont liés et pourtant parallèle : Un point centrale bien plus important que la situation et qui est lié au phénomène du paranormal hasard ; il s’agit de la vie. Un moment de création m’amène à dire une éthique sur la situation de l’Homme : « De jeunes gens émergent très tôt dans l’aspect du religieux dans le Commonwealth, L’Afrique, L’Amérique et L’Asie. Ainsi, ces jeunes gens se retrouvent sur l’aspect d’une création lié à l’ordre auquel il appartient. Ils sont là bien plus que pour convertir, ils sont là pour amener la bonne parole vers le sacrifice. Ces convictions sont dues au fait à deux phénomènes liés au fait des choses du détachement de l’esprit sur le corps pour permettre à la raison d’oublier la souffrance due au fait d’apporter une éducation qu’elle soit vulgaire et réel.
Ainsi, l’homme ne peut apporter qu’un aspect des choses de l’événement sans pour autan donner réponse à l’adepte et au citoyen. Un doux parfum lié au mélange pourrait permettre pour certaines Loges, Sectes ou Démons une part de réponse pour permettre l’avènement de leur statut. Aucune forme d’intelligence ne peut exister au sein même de son travail, des douleurs dû au fait d’apporter un équilibre à son couple : Car dans cette forme de fanatisme, c’est l’épouse qui se révèle aussi meurtrière de son enfant que puisse l’être son mari qui lui aussi est composant et composé de cet armée de la raison et de l’âme : Le fantasme n’est pas une prohibition, l’épouse n’est plus une femme. Il ne faut pas vivre cela comme un engrenage. Mais, la trahison est tout comme l’amour, un acte de présence de la vie humaine.
Mais pour le dictateur, c’est la faim qui l’intéresse mais pas le peuple. La pomme de terre a sauvé beaucoup de monde, sans elle, la sécurité sociale serait moins humaine : La pomme de terre devrai être inclus dans le service public et de santé. Cette loi s’appliquera dans l’espace et sur la lune. L’importance est que cela devra être soumis aux parlements d’état et de région. Le droit de grève n’est pas remis en cause ; dans l’espace, il faut se faire entendre : L’homme applique la loi dans l’écoute du peuple et des tributs qui peuple son existence et ses villes. Mais, le clergé n’est pas coupable et innocent et il doit accepter le fait d’être un acteur et de plus d’avoir joué des coudes et des responsabilités. Cela doit cesser dans la république et je pense que juger la retraite par l’abandon : Et bien, il y a crime si il s’agit bien de celui qui a car l’usurpateur d’autrefois doit être jugé et pas assassiner. Car, la femme de l’autre n’était plus à ses yeux, et il n’est plus le seul.
Le clergé a toujours dit que celui qui parle au souhait d’être jugé deviendra à l’image de ce qu’il est réellement au plus secret de lui-même : Cette phrase est Yanis. L’anarchiste qui crache sur son dieu ne l’est plus : il est autoritaire et affectueux et on peut critiquer l’homme et ses crimes. Cette phrase est de Yanis. La femme ne l’est plus quand le père disparaît : Dote ou vote. Je maudirai celui qui parlera de ma fille comme d’un jouet. Je bénirai et je chérirais les enfants de mes fils et de mes filles. Je serai clément devant la situation mais mon fils, l’homme n’est pas une femme. Reconnais les tiens et ne sépare pas ta femme de ses parents. Dieu, l’éternel le veut ainsi. Soit gardien et veille sur le grenier qui est l’avenir de l’homme et de chacun. Ses mots sont là pour donner vie à cette justice de l’eau qu’il a promis aux tributs des fils d’Abraham. La loi basée sur la loi de la transpiration et des soins du sang. Je ne veut pas polémiquer mais l’alcool au volant est tout comme une simple étourderie qui provoque le fait de tuer : Cela n’est pas un faible mot mais durant la guerre frères de la terre et des pèlerinages qui s’en soucis. L’Inde est un mystère et le Pakistan est un verrou. Je souhaite que les chypriotes disent oui au référendum pour permettre à des frères séparés depuis tant d’années de refaire naître l’espoir de dire que la justice de l’eau se fera sans attentat. On doit respecter la solitude et le fait de devoir s’adresser aux sciences, aux prophètes et à l’éternel ». Le sort décida autrement mais le courage ne quitta pas mes veines : La République de l’olivier et la justice de l’eau vont harmoniser le monde contre les Tyrans et les milices.
Je ne pourrai lutter plus longtemps contre ma fatigue et ce qui sera écrit et qui constituera la suite de ces mots dans ce livre viendra du Demain : Alpha et Omega, ainsi est l’éternel.
Je me lève à cinq heures du matin pour aller travailler à Ramonville saint Agne, je parle des républiques d’Israël et de la Palestine. Je parle de l’Iran et de ses maudites caricatures. La peur se lit dans les yeux mais leurs cœurs sont armés de courage et de volonté. Ils expriment mal leur volonté mais aucun d’entre eux ne refusent le destin qui leur tend les mains… C’est qu’en principe, la loi orale devait se transmettre exclusivement de bouche à oreille : La loi orale est, Torah Chébeal Pé, la loi de la bouche… Ainsi, j’ai appris que le Talmud de Jérusalem a de tout temps été considéré comme inférieur à son homologue babylonien. Moins souvent recopié, il a été négligé par les grands commentateurs. Sa première édition imprimée fût l’œuvre de Bomberg (ou Bamberg) en 1524 à Venise, à partir d’un unique manuscrit (celui de Leyde, aujourd’hui conservé à la bibliothèque de cette ville). Une autre édition, apparemment fondée sur plusieurs manuscrits, vit le jour à Amsterdam, Ville natal de Spinoza et de son éthique. Au dix-neuvième siècle, le talmud de Jérusalem fut également publié à Jitomir et à Vilna par les soins dans cette ville de la famille Rom. Mais, on peut dire que d’une façon générale, les éditions du talmud de Jérusalem ont été si peu nombreuse parce que les savants qui travaillaient sur elle : Et que ces éditions posaient un lourd et grave problème. Nous n’en possédons actuellement qu’une trentaine. On prétend et on affirme qu’elles ne peuvent se mesurer à celles du talmud de Babylone, tant dans leur précision que dans la qualité de leurs commentaires : Le rabbin Adin Steinsalltz prétends même que le Talmud de Jérusalem attends son rédempteur.
Voilà un lourd fardeau, il est immense mais je dirai se proverbe Français et Anglais : « Si les paroles s’envolent, les écrits demeurent ». Un premier aspect de notre réalité montre que les enfants d’Abraham se déchirent entre Frère et fils tel Horus et Seth, les égyptiens. Les sages savent la certitude de la loi orale, c'est-à-dire la Michnah et qui donne aux talmuds leurs caractères uniques et sacrés… Je ne suis pas raciste et ne considère aucun homme comme inférieur : Le coran est un Talmud arabe et islamique. Je sors de cette affirmation et je reviens vers le Midrach ainsi nous pourrions tous le devenir : enfants de Dieu. Ainsi il y a un aspect du vouloir et de la rédemption sans renier la femme qui est la votre et qui êtes sien à ses yeux. Il fallait plus d’une génération pour mener cette œuvre à terme. Mais, la volonté d’un Homme surpasse les égarements de la Haine… Je pense toujours et encore à cette république de l’olivier, ami et fraternelle vers la République du Cèdre ou le Liban. Bien plus qu’un rêve, il s’agit d’une volonté qui pousse cette idée à devenir la réalité de l’Homme.
Bien sur je me soumettrai à cela, et mes compagnons de travail vous le diront : « Il connaît la loi. Un modèle élémentaire relativement simple sert de base pour l’examen et permet de tirer des déductions ou de vérifier si l’on n’est pas éloigné de la question fondamentale en s’égarant, par une abstraction de la pensée et de la réflexion, vers des problèmes obscurs. Alors oui bien sur, mais par Jérusalem ; il n’est pas arabe et juif… C’est un français catholique. La faiblesse de toutes pensées, mais on sort de son sujet, abstraite, athée ou croyante repose sur le fait qu’elle a crée constamment de nouveaux mots et nouveaux concepts. C’est pourquoi, nous ne trouverons jamais de termes abstraits dans le talmud de Babylone. Attention, comme ceux-ci ne peuvent être définis qu’en faisant appel à des termes également abstrait, on ne peut jamais savoir s’ils sont totalement éloigné du sujet ou s’ils ont encore un sens concernant le problème traité. Il fait son travail, aime rire avec l’un et l’autre mais il ne rapporte pas les faits : il applique une loi… Mais, son rire prouve qu’il n’est pas un bavard ou un rapporteur, on le surnomme la chouette : Aussi grinçant qu’une porte de justice ; Il est soumis aux lois naturelles et de la mort ».
Après avoir effectué l’œuvre de mon travail, je monte en salle de pause où je déjeune avec mes compagnons de travail. Malgré le présent, tout le passé résonne en mon cœur, nous partageons le café et le rire. C’est l’orgueil et la jalousie qui trahisse l’amitié. La présence est une démonstration qui révèle encore une ardente recherche de vérité. On tente souvent, lorsque nous détenons le pouvoir, de parvenir à des degrés de certitudes, qui ne peuvent en général être atteint qu’en Mathématiques : On raconte qu’un sage fit un jour une remarque qui révélait du mépris pour une méthode halakhique totalement rejetée. Après qu’on eut exposé la logique interne de la méthode, il se rendit sur les tombes de ses auteurs pour leur demander de lui pardonner de les avoir offensées. Les Sages ou le travail ne se contentent pas et ne se bornent pas à prouver par la méthode la plus simple qu’une explication est raisonnable ou hautement probable.
Après un bon café, je dois quitter mon travail : Je dois aller écrire comme le sommeil me réclame. Je brûle d’écrire. Je me rappelle du passé où est le présent de la réalité… ?
Dans la voiture, je pense mais devant le papier, qui va l’emporter : Quelle réalité va prendre mouvement dans le mécanisme de la Situation… ?
Oui… Tout comme la femme, je glisse de la situation vers la Réalité. Il y a une douleur qui abrite mon corps mais l’esprit est tout comme le masculin enfin presque : Une femme masque la fièvre de sa pensée et elle incarne la volupté de la résistance humaine. Je pense alors à deux grands amis : Antoine et Sylvie.
Elle s’efforce de prouver la validité de ses conclusions ; chère Sylvie, je pense à lui : Sans que puisse planer l’ombre d’un doute et sans que puisse subsister aucune autre possibilité d’explication. Pourtant, Sylvie, lorsque un rabbin a proposé une œuvre et preuve raisonnable et bien, un autre sage (voir le rabbin lui-même) va se mettre à rechercher une autre solution possible au même problème : Et, alors le rabbin doit devenir philosophe ; et si le philosophe doit mourir ; pour être compréhensif il devra être un poète ou sinon il sera soumis à une critique de la Réalité Absolue car il aura plongé dans la fatigue ou l’orgueil.
J’oubli le temps et m’évalue au choc : Nous sommes dans l’ère de la Distance. Et pourtant, une forme apparaît dans le contraire de l’homme. Il a des distances et c’est alors qu’apparaît le phénomène de vitesse. Le mouvement est en mesure de pieds, de pouce ou de kilomètres. Ainsi on ne peut être critique que de soi-même ; celui qui croira lire cela en mes mots ; et bien il m’a très mal lu : Il y a un phénomène universitaire mais en aucun cas on ne doit mélanger la recherche de vérité à l’orgueil… La vérité de l’homme peut se tromper mais l’orgueil de l’Homme peut tricher : La justice n’est pas une boule de cristal ; et la boule de cristal n’est qu’un futur superflue…
(A suivre) Le 2 Juillet 2008
Ecrit de TAY La chouette effraie
_________________ Kounak le chat.... | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mer 2 Nov à 11:32 | |
| Au lieu d'obtenir la sédation par des méthodes agressives ou susceptibles de réaliser des déficits dans le système nerveux, un nouveau courant s'est développé en psychiatrie visant à obtenir l'effet non seulement sédatif mais régulateur par des substances chimiques appropriées.
Ce courant pharmacologique a présenté de nombreux précurseurs. C'est surtout Moreau de Tours qui au milieu du Dix neuvième siècle, après ses études sur le HASCHICH, et ensuite sur une série de substances, notamment le protoxyde d'Azote, les sédatifs divers, l'opium, l'Alcool, ect..., a développé l'idée de modifications psychologiques déterminées par les substances chimiques. Moreau de la Tours a été ainsi après la conception chimiques des PSYCHOSES et ainsi a mentionné en premier avec Mlle Pascal, les dissociations psychiques sur le soi et le paraitre. Mais il a encore utilisé diverses substances chimiques non seulement pour déterminer des "troubles psychologiques expérimentaux" mais pour encore plus pour explorer la psychologie profonde. Ainsi Moreau de Tours a été le précurseur de la narcoanalyse et le promoteur des thérapeutiques chimiques. Ainsi et mais, cette conception chimique pharmacologique a été longue à ce développer. Dans la Ligne de Moreau, Les beaux travaux de Mlle Pascal et de ses élèves sur les substances psychotropes et l'exploration pharmacologique de la psychologie des éléments précoces puis de Claude, Borel et Robin avec l'éthérisation prolongé par Claude et Baruk sur le somnifères...
Et puis dans cette clarté une part d'ombre sur le soi, la conscience de souffrance, la naissance et le développement de la catatonie expérimentale et de la psychiatrie expérimentale chez les animaux par De Jong et H.Baruk, devait apporter dés 1930 une démonstration objectives des causes toxiques des maladies mentales, et des "applications thérapeutiques" antitoxiques (psychoses colibacillaires de H.Baruk, psychoses hyper-folliculiniques, ect,) et a donc ouvert dans ses travaux du 19iéme siècle qui ressemble sur bien des aspects sur des études antiques Égyptiennes et Romaines élaborés sur l'analyse mortuaire et Momification donc moins soumise à la torture de patients vivants tels que des animaux et être humains, élaborés sur l'hygiène de vie du Vivant et qui par la suite d'une mort à définir aurait pu éviter la souffrance engendrer par ce docteur H.Baruk, Ces études primaires permettent l'entrer dans le champs de la Psychopharmacologie.
Comme en tout temps et malgré le fait que nous soyons aux vingt et unième siècles, la découvertes de nouvelles substances "psychotropes" a renouvelé la thérapeutique psychiatrique en particulier dans le domaine des substances dites "neuroleptiques"; sans une réelle surveillance accru de la part de secouristes devant l'investissement des grands laboratoires voir de personnes physiques de l'aspect morale de l’État et de la société.
Se rappeler des sujets comme la découverte de l'évidence des troubles sympathiques en pathologie, rôle souligné par Laignel-Lavastine, par Tinel et Santenoise... Le phénomène de Reilly et les antihistaminiques des synthèses.... Les travaux de Bovet dans les laboratoires de Fourneau à Paris et poursuivi en Italie à l'institut supérieur de la santé à Rome.
Ecrit de TAY La chouette effraie sur les études de Henry Baruk publié par Presses Universitaires de France
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Romain Gary nous a particulièrement émus dans une lettre où il suppliait Christel de l'aimer, même un peu... Au contraire, Musset a prouvé qu'il était possible de rester fier et élégant malgré la douleur en faisant ses adieux à la célèbre George Sand. Apollinaire nous a émoustillé les sens dans une lettre à Lou alliant douleur et jouissance ; tandis que la domination exercée par Wanda sur Leopold von Sacher-Masoch nous captivait. Enfin, les mots de Jean Cocteau pour son amant Jean Marais nous ont apaisé l'âme et l'esprit...
Lettre de Romain Gary à Christel “ Aime-moi, veux-tu ? Un tout petit peu.
Romain Gary (21 mai 1914 – 2 décembre 1980), aussi connu sous son nom de naissance Roman Kacew ou sous son nom d’emprunt Émile Ajar avec lequel il signe un grand nombre de ses oeuvres, est un auteur et diplomate français très influent du XXe siècle. En juillet 1937, il rencontre Christel Söderlund, journaliste suédoise avec qui il entretient un passion dévorante mais de courte durée. En effet, épouse et mère de famille, elle le quitte et retourne en Suède. Voici ses mots.
6 septembre 1937
Nice 6. IX. 37
Christel, ma lointaine, ton petit cheval est ravissant et il restera toujours sur mon bureau, à côté de ta photo.
Et « Gösta Berling » sera toujours mon livre de chevet. Et tes yeux sont ce qu’il y a de plus bleu sur terre et tes cheveux sont plus blonds que ceux de Gösta.
Je ne peux pas les oublier, petite Christel. Je ne peux rien oublier. Aime-moi, veux-tu ? Un tout petit peu. En tout cas, mens-moi. Dis-moi que tu m’aimes. Même si ce n’est pas vrai.
Il est une heure du matin. Je viens de me baigner. Je suis rentré dans l’eau là où… tu sais où. J’ai nagé loin, très loin. J’ai eu peur. Et je pensais à toi, tout le temps. Puis je suis allé boire une fine dans ce petit bistro… tu sais, là où tu as dit « oui ».
Maintenant je suis fatigué. J’ai le cafard. Ich will so, aber so in deinen Armen jetzt sein, weisst du ! Aber nein, du weisst nicht. Du kannst nicht wissen. Dieser Brief wird ein Liebebrief sein. Du willst das nicht, ich weiss… Du liebst mich nicht, ich weiss. Wie kannst du mich lieben ? Drei Tage… Du kennst doch mich überhaupt nicht !
En ce moment, tiens, j’ai envie de me saouler la gueule ! J’écrirai, cette nuit. Je vais continuer un roman policier que je dois livrer en décembre. J’ai déjà tué trois personnes. Avec l’argent – deux mille francs – j’irai à Stockholm. Si tu permets… Ou plutôt non, je n’irai pas à Stockholm, j’irai à Christel. Si Christel permet… J’habiterai 14 Blasieholmsborg.
Es-tu libre à Noël ? Est-ce que je peux venir le 23 décembre ? Ou plus tôt ? Ou plus tard ? Ou pas du tout ? Écris-moi. Je t’aime, petite-fille, tu sais ?
Romain Kacew
Il fait trop chaud. Je ne peux pas dormir. Je vais prendre un canot à la Grande Bleue et je vais passer la nuit en mer.
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Le Rosaire récité en commun est bien plus terrible au démon
Le Rosaire récité en commun est bien plus terrible au démon, puisqu'on fait, par ce moyen, un corps d'armée pour l'attaquer. Il triomphe quelquefois fort facilement de la prière d'un particulier, mais, si elle est unie à celle des autres, il n'en peut venir à bout que difficilement.
Il est aisé de rompre une houssine toute seule ; mais si vous l'unissez à plusieurs autres et en faites un faisceau, on ne peut plus la rompre. Vis unita fit fortior. Les soldats s'assemblent en corps d'armée pour battre leurs ennemis ; les méchants s'assemblent souvent pour faire leurs débauches et leurs danses ; les démons même s'assemblent pour nous perdre.
Pourquoi donc les chrétiens ne s'assembleraient-ils pas pour avoir la compagnie de Jésus-Christ, pour apaiser la colère de Dieu, pour attirer sa grâce et sa miséricorde, et pour vaincre et terrasser plus puissamment les démons ? Saint Louis Marie Grignion de Montfort Dans Le secret admirable du T. S. Rosaire, 46e Rose | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Sam 19 Nov à 3:15 | |
| Quelle est la mission de l'état, de l'individu et de l'utopie ,
Elles et Ils sont les institutions du secourisme et doivent répondre aux demandes de la Citoyenneté. Ce qui peut sembler navrant; c'est la parution de l'affrontement... C'est l'effort des sens face aux déterminismes des courants entourant, intérieur et extérieur... La Femme et l'Homme se plongent dans le tourbillon sans réaliser qu'il peut ou pourrai le contourner... Il peut ainsi réparer plus vite et plus rapidement tout en respectant le savoir faire et la main d’œuvre issu de l'apprentissage et l’autodidacte. Telle, avec ou sans raison, cette femme ou cet Homme pourraient devenir très intéressant: C'est à l'état de dire ces choses là mais l'état est une forme utopie. Même une machine peut dire qu'elle issue d'inventeur plutôt que d'être la propriété d'un brevet. Ce mécanisme s'appliquent aussi aux robots. Car oui, Le caractère humain, l'animal, la machine et le robot ont plus de valeur qu'une valeur d'état établi par un comité restreint. L'aspect de défense commune est un aspect universelle car il implique l'aspect militaire tout comme l'aspect civil. En effet le donjon demeure dans le château fort: L'aspect humaniste doit être conserver dans la République car celle ci sépare et répare les cris et les gifles, Tout age et toutes volontés accentue son message de fraternité, d’égalité et de liberté.
La République s'est une bibliothèque où l'amour figure comme l'autocritique et l'évolution. Chacun ne peut tout accumuler par principe de transition car ce fut le souhait du peuple antique et du mariage. Par ainsi, la portée est de transmettre réellement les travaux pour permettre un réel constat de l'aménagement secouristes, médicales, militaires, d'habitations, d'emploi public en incluant l'aspect du secteur privé dans la légalité des droits de la Femme et de l'Homme, de protection juridique dans les divorces, accidents du travail, de contrainte morale, d'abus physiques, sur les moyens de transports permettant à tous le moyens de se déplacer dans un aspect physique en respectant le prix de vie, que la haute technologie sois abordable envers tous et chacun à un prix modéré pour ainsi permettre une meilleur surveillance sur l'égalité des chances pour l'aspect physiques et morales des individus, associations, organismes, entreprises et structure étatiques. Ces mesures montreront de l'élasticité d'aujourd'hui démontre que la plénitude ne fus pas "ou jamais atteint" d'une manière déterminée ni même indéterminée. Le Luxe fut utilisé comme une arme et fausse sur la modernité de l’intérêt au détriment sur le concept de caractère propre du projet défini par un architecte, un penseur et d'un ouvrier; Le luxe favorise l'architecte sur l'ouvrier par le concept d'une vision chimérique établi par le concept du droit féodal. Il suffit...
La République et ses Organismes Public tout comme Privé ont des rôles de rigueur, d'alternance et de travail sur le bien commun. Car, La République s'est une bibliothèque où l'amour figure comme l'autocritique et l'évolution. Chacun ne peut tout accumuler par principe de transition car ce fut le souhait du peuple antique et du mariage. Par ainsi, la portée est de transmettre réellement les travaux pour permettre un réel constat de l'aménagement secouristes, médicales, militaires, d'habitations, d'emploi public en incluant l'aspect du secteur privé dans la légalité des droits de la Femme et de l'Homme, de protection juridique dans les divorces, accidents du travail, de contrainte morale, d'abus physiques, sur les moyens de transports permettant à tous le moyens de se déplacer dans un aspect physique en respectant le prix de vie, que la haute technologie sois abordable envers tous et chacun à un prix modéré pour ainsi permettre une meilleur surveillance sur l'égalité des chances pour l'aspect physiques et morales des individus, associations, organismes, entreprises et structure étatiques.
Ainsi, L'individu figurera à sa place au Panthéon à coté d'un vrai principe de la République: La Paix et les Peuples tout en conservant son propre individu.
Ecrit de TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mar 20 Déc à 3:21 | |
| Benjamin l’Âne est pour le clans des éléphants ce que TAY La chouette effraie est pour le clans des mouettes. Devant Berlin, un silence doit s'entendre. Devant l'assassinat, un silence doit s'imposer. Les mots n'éteignent pas la rancœur idéologue...
Elephants are large mammals of the family Elephantidae and the order Proboscidea. Two species are traditionally recognised, the African elephant (Loxodonta africana) and the Asian elephant (Elephas maximus), although some evidence suggests that African bush elephants and African forest elephants are separate species (L. africana and L. cyclotis respectively). Elephants are scattered throughout sub-Saharan Africa, South Asia, and Southeast Asia. Elephantidae is the only surviving family of the order Proboscidea; other, now extinct, members of the order include deinotheres, gomphotheres, mammoths, and mastodons. Male African elephants are the largest extant terrestrial animals and can reach a height of 4 m (13 ft) and weigh 7,000 kg (15,000 lb). All elephants have several distinctive features, the most notable of which is a long trunk or proboscis, used for many purposes, particularly breathing, lifting water and grasping objects. Their incisors grow into tusks, which can serve as weapons and as tools for moving objects and digging. Elephants' large ear flaps help to control their body temperature. Their pillar-like legs can carry their great weight. African elephants have larger ears and concave backs while Asian elephants have smaller ears and convex or level backs.
Elephants are herbivorous and can be found in different habitats including savannahs, forests, deserts and marshes. They prefer to stay near water. They are considered to be keystone species due to their impact on their environments. Other animals tend to keep their distance from elephants, while predators such as lions, tigers, hyenas, and wild dogs usually target only young elephants (or "calves"). Females ("cows") tend to live in family groups, which can consist of one female with her calves or several related females with offspring. The groups are led by an individual known as the matriarch, often the oldest cow. Elephants have a fission–fusion society in which multiple family groups come together to socialise. Males ("bulls") leave their family groups when they reach puberty, and may live alone or with other males. Adult bulls mostly interact with family groups when looking for a mate and enter a state of increased testosterone and aggression known as musth, which helps them gain dominance and reproductive success. Calves are the centre of attention in their family groups and rely on their mothers for as long as three years. Elephants can live up to 70 years in the wild. They communicate by touch, sight, smell and sound; elephants use infrasound,[1] and seismic communication over long distances. Elephant intelligence has been compared with that of primates and cetaceans. They appear to have self-awareness and show empathy for dying or dead individuals of their kind.
African elephants are listed as vulnerable by the International Union for Conservation of Nature (IUCN), while the Asian elephant is classed as endangered. One of the biggest threats to elephant populations is the ivory trade, as the animals are poached for their ivory tusks. Other threats to wild elephants include habitat destruction and conflicts with local people. Elephants are used as working animals in Asia. In the past they were used in war; today, they are often controversially put on display in zoos, or exploited for entertainment in circuses. Elephants are highly recognisable and have been featured in art, folklore, religion, literature and popular culture.
Social organisation A family of African elephants: note the protected position of the calves in the middle of the group A family of elephants bathing, a behaviour which reinforces social bonding
Female elephants spend their entire lives in tight-knit matrilineal family groups, some of which are made up of more than ten members, including three pairs of mothers with offspring, and are led by the matriarch which is often the eldest female.[104] She remains leader of the group until death[13] or if she no longer has the energy for the role;[105] a study on zoo elephants showed that when the matriarch died, the levels of faecal corticosterone ('stress hormone') dramatically increased in the surviving elephants.[106] When her tenure is over, the matriarch's eldest daughter takes her place; this occurs even if her sister is present.[13] The older matriarchs tend to be more effective decision-makers.[107]
The social circle of the female elephant does not necessarily end with the small family unit. In the case of elephants in Amboseli National Park, Kenya, a female's life involves interaction with other families, clans, and subpopulations. Families may associate and bond with each other, forming what are known as bond groups. These are typically made of two family groups. During the dry season, elephant families may cluster together and form another level of social organisation known as the clan. Groups within these clans do not form strong bonds, but they defend their dry-season ranges against other clans. There are typically nine groups in a clan. The Amboseli elephant population is further divided into the "central" and "peripheral" subpopulations.[104]
Some elephant populations in India and Sri Lanka have similar basic social organisations. There appear to be cohesive family units and loose aggregations. They have been observed to have "nursing units" and "juvenile-care units". In southern India, elephant populations may contain family groups, bond groups and possibly clans. Family groups tend to be small, consisting of one or two adult females and their offspring. A group containing more than two adult females plus offspring is known as a "joint family". Malay elephant populations have even smaller family units, and do not have any social organisation higher than a family or bond group. Groups of African forest elephants typically consist of one adult female with one to three offspring. These groups appear to interact with each other, especially at forest clearings.[104] Lone bull: Adult male elephants spend much of their time alone or in single-sex groups
The social life of the adult male is very different. As he matures, a male spends more time at the edge of his group and associates with outside males or even other families. At Amboseli, young males spend over 80% of their time away from their families when they are 14–15. The adult females of the group start to show aggression towards the male, which encourages him to permanently leave. When males do leave, they either live alone or with other males. The former is typical of bulls in dense forests. Asian males are usually solitary, but occasionally form groups of two or more individuals; the largest consisted of seven bulls. Larger bull groups consisting of over 10 members occur only among African bush elephants, the largest of which numbered up to 144 individuals.[108] A dominance hierarchy exists among males, whether they range socially or solitarily. Dominance depends on the age, size and sexual condition.[108] Old bulls appear to control the aggression of younger ones and prevent them from forming "gangs".[109] Adult males and females come together for reproduction. Bulls appear to associate with family groups if an oestrous cow is present.[108] Male elephants sparring Sexual behaviour Musth Main article: Musth Bull in musth
Adult males enter a state of increased testosterone known as musth. In a population in southern India, males first enter musth at the age of 15, but it is not very intense until they are older than 25. At Amboseli, bulls under 24 do not go into musth, while half of those aged 25–35 and all those over 35 do. Young bulls appear to enter musth during the dry season (January–May), while older bulls go through it during the wet season (June–December). The main characteristic of a bull's musth is a fluid secreted from the temporal gland that runs down the side of his face. He may urinate with his penis still in his sheath, which causes the urine to spray on his hind legs. Behaviours associated with musth include walking with the head held high and swinging, picking at the ground with the tusks, marking, rumbling and waving only one ear at a time. This can last from a day to four months.[110]
Males become extremely aggressive during musth. Size is the determining factor in agonistic encounters when the individuals have the same condition. In contests between musth and non-musth individuals, musth bulls win the majority of the time, even when the non-musth bull is larger. A male may stop showing signs of musth when he encounters a musth male of higher rank. Those of equal rank tend to avoid each other. Agonistic encounters typically consist of threat displays, chases and minor sparring with the tusks. Serious fights are rare.[110] Mating Wikimedia Commons has media related to Elephants mating. Bull mating with a member of a female group
Elephants are polygynous breeders,[111] and copulations are most frequent during the peak of the wet season.[112] A cow in oestrus releases chemical signals (pheromones) in her urine and vaginal secretions to signal her readiness to mate. A bull will follow a potential mate and assess her condition with the flehmen response, which requires the male to collect a chemical sample with his trunk and bring it to the vomeronasal organ.[113] The oestrous cycle of a cow lasts 14–16 weeks with a 4–6-week follicular phase and an 8–10-week luteal phase. While most mammals have one surge of luteinizing hormone during the follicular phase, elephants have two. The first (or anovulatory) surge, could signal to males that the female is in oestrus by changing her scent, but ovulation does not occur until the second (or ovulatory) surge.[114] Fertility rates in cows decline around 45–50 years of age.[105]
Bulls engage in a behaviour known as mate-guarding, where they follow oestrous females and defend them from other males. Most mate-guarding is done by musth males, and females actively seek to be guarded by them, particularly older ones.[115] Thus these bulls have more reproductive success.[108] Musth appears to signal to females the condition of the male, as weak or injured males do not have normal musths.[116] For young females, the approach of an older bull can be intimidating, so her relatives stay nearby to provide support and reassurance.[117] During copulation, the male lays his trunk over the female's back.[118] The penis is very mobile, being able to move independently of the pelvis.[119] Prior to mounting, it curves forward and upward. Copulation lasts about 45 seconds and does not involve pelvic thrusting or ejaculatory pause.[120]
Homosexual behaviour is frequent in both sexes. As in heterosexual interactions, this involves mounting. Male elephants sometimes stimulate each other by playfighting and "championships" may form between old bulls and younger males. Female same-sex behaviours have been documented only in captivity where they are known to masturbate one another with their trunks.[121] Birthing and calves An African elephant mother bathing with her calf
Gestation in elephants typically lasts around two years with interbirth intervals usually lasting four to five years. Births tend to take place during the wet season.[122] Calves are born 85 cm (33 in) tall and weigh around 120 kg (260 lb).[117] Typically, only a single young is born, but twins sometimes occur.[123][124] The relatively long pregnancy is maintained by five corpus luteums (as opposed to one in most mammals) and gives the foetus more time to develop, particularly the brain and trunk.[123] As such, newborn elephants are precocial and quickly stand and walk to follow their mother and family herd.[125] A new calf is usually the centre of attention for herd members. Adults and most of the other young will gather around the newborn, touching and caressing it with their trunks. For the first few days, the mother is intolerant of other herd members near her young. Alloparenting – where a calf is cared for by someone other than its mother – takes place in some family groups. Allomothers are typically two to twelve years old.[117] When a predator is near, the family group gathers together with the calves in the centre.[126]
For the first few days, the newborn is unsteady on its feet, and needs the support of its mother. It relies on touch, smell and hearing, as its eyesight is poor. It has little precise control over its trunk, which wiggles around and may cause it to trip. By its second week of life, the calf can walk more firmly and has more control over its trunk. After its first month, a calf can pick up, hold and put objects in its mouth, but cannot suck water through the trunk and must drink directly through the mouth. It is still dependent on its mother and keeps close to her.[125]
For its first three months, a calf relies entirely on milk from its mother for nutrition after which it begins to forage for vegetation and can use its trunk to collect water. At the same time, improvements in lip and leg coordination occur. Calves continue to suckle at the same rate as before until their sixth month, after which they become more independent when feeding. By nine months, mouth, trunk and foot coordination is perfected. After a year, a calf's abilities to groom, drink, and feed itself are fully developed. It still needs its mother for nutrition and protection from predators for at least another year. Suckling bouts tend to last 2–4 min/hr for a calf younger than a year and it continues to suckle until it reaches three years of age or older. Suckling after two years may serve to maintain growth rate, body condition and reproductive ability.[125] Play behaviour in calves differs between the sexes; females run or chase each other, while males play-fight. The former are sexually mature by the age of nine years[117] while the latter become mature around 14–15 years.[108] Adulthood starts at about 18 years of age in both sexes.[127][128] Elephants have long lifespans, reaching 60–70 years of age.[68] Lin Wang, a captive male Asian elephant, lived for 86 years.[129] | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Mayotte Mer 21 Déc à 3:24 | |
| Le solstice est l'un des moments où la déclinaison du Soleil sur la sphère céleste semble constante : à ces instants, sa trajectoire apparente atteint son point le plus haut ou le plus bas par rapport aux étoiles. Cependant, en raison de la nature elliptique de l'orbite de la Terre, qui engendre notamment une variation de vitesse de révolution de cette dernière, le jour du solstice ne correspond pas au jour où le Soleil se lève et se couche le plus tard ou le plus tôt. Autrement dit, le créneau de la journée pendant lequel le soleil est visible se décale légèrement, entre mi décembre et début janvier ; si bien que pendant cette période, le raccourcissement puis le rallongement de la durée de visibilité du soleil ne se fait pas par des variations symétriques des heures de lever et de coucher de l'astre solaire14.
L'axe de rotation de la Terre est incliné par rapport à la verticale du plan de son orbite d'environ 23°26'14" et son orientation reste constante au cours d'une révolution autour du Soleil. En conséquence, pendant une moitié de l'année, l'hémisphère nord est plus incliné vers le Soleil que l'hémisphère sud, avec un maximum vers le 21 juin. Pendant l'autre moitié l'hémisphère sud est plus incliné que l'hémisphère nord, avec un maximum vers le 22 décembre. Les moments où ces inclinaisons sont maximales sont les solstices.
Au solstice de juin, la déclinaison du Soleil atteint +23°26'14" ; au solstice de décembre, -23°26'14". Le reste de l'année, elle évolue entre ces deux extrêmes.
Les solstices ne sont pas liés à la distance entre la Terre et le Soleil, variable du fait de son excentricité orbitale : la Terre atteint son aphélie au début juillet et son périhélie au début janvier. Cependant, par suite des cycles de Milanković, l'inclinaison de l'axe terrestre et son excentricité orbitale évoluent au fil du temps : dans 10 000 ans, le passage au périhélie se produira au même moment que le solstice de juin, et le passage à l'aphélie lors du solstice de décembre.
Lors du solstice de juin, le point subsolaire atteint la latitude 23°26'14" nord, c'est-à-dire celle du tropique du Cancer15 : l'un des points situés sur ce parallèle perçoit le centre du Soleil exactement au zénith. On reconnait le solstice d'été en raison de la durée minimale de la nuit et la durée maximale du jour. C'est également le jour où le Soleil se lève le plus au nord-est, passe au méridien avec une hauteur maximale et se couche le plus au nord-ouest. Lors du solstice de décembre, le point subsolaire atteint la latitude 23°26'14" sud, c'est-à-dire celle du tropique du Capricorne.
Les points de la surface terrestre situés à la latitude 66°33'46" nord (c'est-à-dire sur le cercle Arctique) perçoivent le centre du Soleil juste sur l'horizon à minuit lors du solstice de juin. La même chose se produit lors du solstice de décembre pour les points du cercle Antarctique, par 66°33'46" sud.
0° (équateur) : le Soleil atteint sa culmination minimale, n'atteignant que 66,563° au nord ou au sud. Aux équinoxes, le soleil culminera à 90°. Il n'y a pas de saison et le jour dure toujours douze heures.
20° : le Soleil culmine à 46,563° en hiver et 86,563° à l'opposé (le jour du solstice de juin), mais il y a deux jours par an où le Soleil culmine perpendiculairement à 90°. Les jours d'été sont de deux à trois heures plus longs que les jours d'hiver. Le crépuscule dure environ une heure toute l'année.
50° : le Soleil culmine à 16,563° en hiver et à 63,437° en été. Le jour dure moins de 8 heures en hiver et plus de 16 heures en été. Les directions et angles des levers et couchers de Soleil lors des deux solstices sont très différents. En été, le Soleil ne disparaît pas suffisamment sous l'horizon pour que prenne fin le crépuscule astronomique. Au-dessus de 60° de latitude, le crépuscule civil dure toute la nuit. Au-dessus de 66,563°, le Soleil ne se couche pas en été.
70° : en hiver, le Soleil culmine sous l'horizon à −3,437° : il ne se lève pas et la zone est plongée dans la nuit polaire (avec un crépuscule prononcé cependant). En été, il culmine à 43,437° et ne se couche pas.
90° (pôles) : aux solstices d'hiver et d'été, le Soleil est respectivement à 23,437° en dessous et au-dessus de l'horizon, quelle que soit l'heure. Le solstice d'été marque la culmination maximale du Soleil au pôle : après cette date, il descend progressivement sur la sphère céleste et atteint l'horizon lors de l'équinoxe d'automne.
Le solstice est un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du Soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional en fonction du plan de l'équateur céleste ou terrestre. Il s'oppose ainsi à l'équinoxe, qui se produit lorsque la position apparente du Soleil est située sur l'équateur céleste. Tandis que les équinoxes se caractérisent par une durée égale entre le jour et la nuit1, les solstices correspondent à une durée de jour minimale ou maximale.
Par extension, les solstices désignent les jours de l'année pendant lesquels ces événements astronomiques se produisent. Les jours avoisinant le solstice d'été sont les plus longs de l'année, tandis que ceux proches du solstice d'hiver sont les plus courts de l'année2. La date des solstices correspond au début de l'été ou de l'hiver astronomique. Dans les régions tempérées, les solstices — comme les équinoxes — sont souvent utilisés pour définir les saisons du calendrier : ils peuvent servir à délimiter le début de l'été et de l'hiver, ou bien à marquer le milieu de ces deux saisons. Tout comme les saisons, les dates des solstices d'hiver et d'été sont inversées pour les hémisphères nord et sud.
Une année connaît deux solstices : dans le calendrier grégorien, le premier est proche du 21 juin, le second est proche du 21 décembre3. Ces dates changent légèrement au cours des années ; elles évoluent aussi sur les grandes périodes de temps en fonction des légers mouvements de l'axe de rotation terrestre.
Étymologie
Le terme solstice vient du latin solstitium4 (de sol, « soleil », et sistere, « s'arrêter, retenir »), faisant référence à l’azimut du Soleil à son lever et à son coucher semble rester stationnaire pendant quelques jours à ces périodes de l'année, avant de se rapprocher à nouveau de l'Est au lever et de l’Ouest au coucher.
Le terme latin solstitium est employé à la fin de la République romaine au Ier siècle av. J.-C.. Pline l'Ancien l'emploie plusieurs fois dans son Histoire naturelle dans le même sens qu'actuellement. De même, d'un point de vue astronomique moderne, c'est la période où la déclinaison du Soleil semble constante et son mouvement apparent vers le nord ou le sud sur la sphère céleste semble s'arrêter avant de changer de direction. Histoire Lever de soleil le jour du solstice d'été à Stonehenge. Sur un fond nuageux un rayon de Soleil perce au-dessus d'une montagne. Lever de soleil le jour du solstice d'hiver entre Crib Goch et Carnedd à Llanrug au Royaume-Uni.
Les solstices d'hiver et d'été sont la source de nombreuses célébrations, fêtes païennes ou fêtes religieuses dans différentes cultures au cours de l'histoire.
Dans l'Égypte antique, le solstice d'été correspond à peu près au gonflement des eaux du Nil et marque le début de la nouvelle année5,6.
Plusieurs tribus amérindiennes célèbrent le solstice d'été par la danse du soleil7.
Le christianisme célèbre différentes fêtes liées aux solstices, apparentées à la fête de la Saint-Jean, le 24 juin, à Noël, le 25 décembre ainsi que l'Annonciation le 25 mars.
À Stonehenge, des milliers de personnes se réunissent pour célébrer le passage à l'été.
Dans le calendrier hindou, les deux solstices sidéraux sont nommés Uttarayana et Dakshinayana. Le premier se produit vers le 14 janvier, le deuxième vers le 14 juin. Ils marquent le mouvement du soleil le long d'un zodiaque fixe par rapport aux étoiles (c'est-à-dire que les phénomènes de précession sont ignorés) et son entrée dans Mesha (un signe zodiacal qui correspondait au Bélier vers 285) et dans Tula (qui correspondait à la Balance à la même époque). Les solstices indiens sont traditionnellement calculés en se basant sur le tropique du Capricorne, d'où la différence significative entre les dates indiennes et réelles.
En Inde et en Asie du Sud-Est, le solstice d'hiver est à l'origine de nombreuses festivités locales tel que Makar Sankranti (Plus connue sous les variantes régionales d'Uttarayan au Gujarat, Pongal au Tamil Nadu, Maghi en Haryana, Magha Saaji en Himachal Pradesh, Lohri au Penjab, Makara Sankramana au Karnataka, Bhogali Bihu en Assam, Ghughuti en Uttarakhand, Makara Chaula en Orissa, Maghe Sankranti au Népal et Shishur Saenkraat au Cachemire), Songkran (Nouvel an Thaï) et Thingyan (Nouvel an Birman).
Les croyances celtiques appellent aussi le solstice « litha », qui réfère au jour où les mages récoltent des herbes dites magiques, accompagné d'un hommage à la nature8.
Dans le néopaganisme, les célébrations des solstices correspondent à des fêtes religieuses importantes dans les mouvements druidiques, sataniste moderne et wiccans.
Le solstice d'hiver est associé à un jour férié dans plusieurs cultures telles les Saturnales romaines, Kwanzaa pour certains afro-américains, Sol invictus, Inti Raymi dans l'empire Inca, We Tripantü (renaissance du soleil) chez les mapuches, etc.
Depuis 1982, la Fête de la musique correspond à des festivités organisées généralement le jour du solstice d'été. Dates Date et heure (UTC) des solstices et des équinoxes au début du XXIe siècle Année Équinoxe de mars Solstice de juin Équinoxe de sept. Solstice de déc. jour heure jour heure jour heure jour heure 2001 20 13:30:44 21 07:37:45 22 23:04:30 21 19:21:31 2002 20 19:16:10 21 13:24:26 23 04:55:25 22 01:14:23 2003 21 00:59:47 21 19:10:29 23 10:46:50 22 07:03:50 2004 20 06:48:39 21 00:56:54 22 16:29:51 21 12:41:38 2005 20 12:33:26 21 06:46:09 22 22:23:11 21 18:34:58 2006 20 18:25:35 21 12:25:52 23 04:03:23 22 00:22:07 2007 21 00:07:26 21 18:06:27 23 09:51:15 22 06:07:50 2008 20 05:48:19 20 23:59:23 22 15:44:30 21 12:03:47 2009 20 11:43:39 21 05:45:32 22 21:18:36 21 17:46:48 2010 20 17:32:13 21 11:28:25 23 03:09:02 21 23:38:28 2011 20 23:20:44 21 17:16:30 23 09:04:38 22 05:30:03 2012 20 05:14:25 20 23:08:49 22 14:48:59 21 11:11:37 2013 20 11:01:55 21 05:03:57 22 20:44:08 21 17:11:00 2014 20 16:57:05 21 10:51:14 23 02:29:05 21 23:03:01 2015 20 22:45:09 21 16:37:55 23 08:20:33 22 04:47:57 2016 20 04:30:11 20 22:34:11 22 14:21:07 21 10:44:10 2017 20 10:28:38 21 04:24:09 22 20:01:48 21 16:27:57 2018 20 16:15:27 21 10:07:18 23 01:54:05 21 22:22:44 2019 20 21:58:25 21 15:54:14 23 07:50:10 22 04:19:25 2020 20 03:49:36 20 21:43:40 22 13:30:38 21 10:02:19 2021 20 09:37:27 21 03:32:08 22 19:21:03 21 15:59:16 2022 20 15:33:23 21 09:13:49 23 01:03:40 21 21:48:10 2023 20 21:24:24 21 14:57:47 23 06:49:56 22 03:27:19 2024 20 03:06:21 20 20:50:56 22 12:43:36 21 09:20:30 2025 20 09:01:25 21 02:42:11 22 18:19:16 21 15:03:01 Références : mars [archive] • juin [archive] • sept. [archive] • déc. [archive] Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides
À la différence des équinoxes, l'heure exacte des solstices est plus difficile à déterminer. Les variations de la déclinaison solaire deviennent plus petites à mesure que celui-ci s'approche du minimum ou du maximum. Les jours précédant et suivant les solstices, la vitesse de déclinaison est inférieure à 30 secondes d'arc par jour, moins d'un soixantième du diamètre angulaire du Soleil. Les différences de déclinaison sont presque imperceptibles à l'aide d'un sextant équipé d'un vernier ou à l'aide d'outils plus traditionnels comme un gnomon ou un astrolabe. Les variations dans l'azimut du lever et du coucher du Soleil sont également difficiles à mesurer à cause des changements dans la réfraction atmosphérique. Sans l'aide d'outils plus complexes, la précision sur le solstice ne peut être plus petite que 3 à 5 jours.
Ptolémée utilisait une méthode basée sur l'interpolation. Elle consistait à mesurer la déclinaison du Soleil à midi sur plusieurs jours avant et après le solstice afin de trouver deux jours non consécutifs possédant la même déclinaison. Le solstice est alors estimé à mi-chemin de ces deux dates. Il a été postulé qu'un intervalle de mesure de 45 jours permet d'atteindre une précision de six heures9.
Le solstice peut être déterminé précisément avec un astrolabe, à condition de disposer d'un point intermédiaire - la Lune - visible de nuit (pour pouvoir être positionné de nuit sur la sphère céleste) et suffisamment brillant pour être visible de jour (afin de pouvoir recaler la position horaire de la sphère céleste, et positionner le Soleil sur celle-ci). Avec cette double visée, qui revient à déterminer le temps sidéral, il est possible de déterminer le moment où le Soleil passe à 90° du point vernal (intersection de l'écliptique et de l'équateur), avec la précision de la mesure (sensiblement, un jour par degré). Calendrier grégorien
Dans le calendrier grégorien, les dates de solstices varient suivant les années (le tableau à droite les résume pour les années proches). Les faits suivants sont à prendre en compte :
L’orbite terrestre n’est pas tout à fait circulaire et sa vitesse dépend donc de sa position (deuxième loi de Kepler). En conséquence, les saisons ont une durée inégale : printemps boréal (automne austral), de l’équinoxe de mars au solstice de juin : 92,7 jours ; été boréal (hiver austral), du solstice de juin à l’équinoxe de septembre : 93,7 jours ; automne boréal (printemps austral), de l’équinoxe de septembre au solstice de décembre : 89,9 jours ; hiver boréal (été austral), du solstice de décembre à l’équinoxe de mars : 89,0 jours. L'année civile standard n'est que de 365 jours ; l'année tropique est d'environ 365,2422 jours. Les solstices se produisent donc quasiment six heures plus tard d'une année sur l'autre10. Les années bissextiles permettent de recaler les dates de solstices d'une journée tous les quatre ans. Ce décalage bissextile compense légèrement trop la différence entre l'année civile et l'année tropique. Au bout de 70 ans, il conduit les solstices à se produire une journée plus tôt (ce qui est le problème du calendrier julien). Ce point est partiellement compensé par l'absence d'année bissextile pour les années divisibles par 100 (mais pas par 400).
Le solstice de juin se produit en général le 21 juin. Il est survenu le 20 juin en 2008 ainsi qu'en 2012 et 2016, ce qui n'était pas arrivé depuis 1896 ; cela se reproduira en 2020, 2024, ... Il s'est produit le 22 juin en 1975 et tombera à nouveau à cette date au début du XXIIIe siècle en 2203, 2207, 2211 et 2215, puis en 2302. Le solstice de juin tombera exceptionnellement un 19 juin en 2488 et ce sera la première fois depuis la création du calendrier grégorien11.
Le solstice de décembre a généralement lieu le 21 ou le 22 décembre. Il est tombé un 23 décembre en 1903 et il faudra attendre le début du XXIVe siècle pour le voir se produire de nouveau à cette date. Il est tombé un 20 décembre 10 fois à la fin du XVIIe siècle et tombera de nouveau à cette date à la fin du XXIe siècle et à la fin du XXVe siècle. | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: Mayotte Mer 28 Déc à 2:46 | |
| Le Voyage Charles Baudelaire
À Maxime Du Camp
I
Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes, L’univers est égal à son vaste appétit. Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit !
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme, Le cœur gros de rancune et de désirs amers, Et nous allons, suivant le rythme de la lame, Berçant notre infini sur le fini des mers :
Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ; D’autres, l’horreur de leurs berceaux, et quelques-uns, Astrologues noyés dans les yeux d’une femme, La Circé tyrannique aux dangereux parfums.
Pour n’être pas changés en bêtes, ils s’enivrent D’espace et de lumière et de cieux embrasés ; La glace qui les mord, les soleils qui les cuivrent, Effacent lentement la marque des baisers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent Pour partir ; cœurs légers, semblables aux ballons, De leur fatalité jamais ils ne s’écartent, Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Ceux-là, dont les désirs ont la forme des nues, Et qui rêvent, ainsi qu’un conscrit le canon, De vastes voluptés, changeantes, inconnues, Et dont l’esprit humain n’a jamais su le nom !
II
Nous imitons, horreur ! la toupie et la boule Dans leur valse et leurs bonds ; même dans nos sommeils La Curiosité nous tourmente et nous roule, Comme un Ange cruel qui fouette des soleils.
Singulière fortune où le but se déplace, Et, n’étant nulle part, peut être n’importe où ! Où l’Homme, dont jamais l’espérance n’est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou !
Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie ; Une voix retentit sur le pont : « Ouvre l’œil ! » Une voix de la hune, ardente et folle, crie : « Amour… gloire… bonheur ! » Enfer ! c’est un écueil !
Chaque îlot signalé par l’homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin ; L’Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu’un récif aux clartés du matin.
Ô le pauvre amoureux des pays chimériques ! Faut-il le mettre aux fers, le jeter à la mer, Ce matelot ivrogne, inventeur d’Amériques Dont le mirage rend le gouffre plus amer ?
Tel le vieux vagabond, piétinant dans la boue, Rêve, le nez en l’air, de brillants paradis ; Son œil ensorcelé découvre une Capoue Partout où la chandelle illumine un taudis.
III
Étonnants voyageurs ! quelles nobles histoires Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers ! Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires, Ces bijoux merveilleux, faits d’astres et d’éthers.
Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile ! Faites, pour égayer l’ennui de nos prisons, Passer sur nos esprits, tendus comme une toile, Vos souvenirs avec leurs cadres d’horizons.
Dites, qu’avez-vous vu ?
IV
« Nous avons vu des astres Et des flots ; nous avons vu des sables aussi ; Et, malgré bien des chocs et d’imprévus désastres, Nous nous sommes souvent ennuyés, comme ici.
La gloire du soleil sur la mer violette, La gloire des cités dans le soleil couchant, Allumaient dans nos coeurs une ardeur inquiète De plonger dans un ciel au reflet alléchant.
Les plus riches cités, les plus beaux paysages, Jamais ne contenaient l’attrait mystérieux De ceux que le hasard fait avec les nuages. Et toujours le désir nous rendait soucieux !
– La jouissance ajoute au désir de la force. Désir, vieil arbre à qui le plaisir sert d’engrais, Cependant que grossit et durcit ton écorce, Tes branches veulent voir le soleil de plus près !
Grandiras-tu toujours, grand arbre plus vivace Que le cyprès ? – Pourtant nous avons, avec soin, Cueilli quelques croquis pour votre album vorace, Frères qui trouvez beau tout ce qui vient de loin !
Nous avons salué des idoles à trompe ; Des trônes constellés de joyaux lumineux ; Des palais ouvragés dont la féerique pompe Serait pour vos banquiers un rêve ruineux ;
Des costumes qui sont pour les yeux une ivresse ; Des femmes dont les dents et les ongles sont teints, Et des jongleurs savants que le serpent caresse. »
V
Et puis, et puis encore ?
VI
« Ô cerveaux enfantins !
Pour ne pas oublier la chose capitale, Nous avons vu partout, et sans l’avoir cherché, Du haut jusques en bas de l’échelle fatale, Le spectacle ennuyeux de l’immortel péché :
La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide, Sans rire s’adorant et s’aimant sans dégoût ; L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout ;
Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ; La fête qu’assaisonne et parfume le sang ; Le poison du pouvoir énervant le despote, Et le peuple amoureux du fouet abrutissant ;
Plusieurs religions semblables à la nôtre, Toutes escaladant le ciel ; la Sainteté, Comme en un lit de plume un délicat se vautre, Dans les clous et le crin cherchant la volupté ;
L’Humanité bavarde, ivre de son génie, Et, folle maintenant comme elle était jadis, Criant à Dieu, dans sa furibonde agonie : « Ô mon semblable, ô mon maître, je te maudis ! »
Et les moins sots, hardis amants de la Démence, Fuyant le grand troupeau parqué par le Destin, Et se réfugiant dans l’opium immense ! – Tel est du globe entier l’éternel bulletin. »
VII
Amer savoir, celui qu’on tire du voyage ! Le monde, monotone et petit, aujourd’hui, Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image : Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !
Faut-il partir ? rester ? Si tu peux rester, reste ; Pars, s’il le faut. L’un court, et l’autre se tapit Pour tromper l’ennemi vigilant et funeste, Le Temps ! Il est, hélas ! des coureurs sans répit,
Comme le Juif errant et comme les apôtres, À qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Pour fuir ce rétiaire infâme : il en est d’autres Qui savent le tuer sans quitter leur berceau.
Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine, Nous pourrons espérer et crier : En avant ! De même qu’autrefois nous partions pour la Chine, Les yeux fixés au large et les cheveux au vent,
Nous nous embarquerons sur la mer des Ténèbres Avec le cœur joyeux d’un jeune passager. Entendez-vous ces voix, charmantes et funèbres, Qui chantent : « Par ici ! vous qui voulez manger
Le Lotus parfumé ! c’est ici qu’on vendange Les fruits miraculeux dont votre cœur a faim ; Venez vous enivrer de la douceur étrange De cette après-midi qui n’a jamais de fin ! »
À l’accent familier nous devinons le spectre ; Nos Pylades là-bas tendent leurs bras vers nous. « Pour rafraîchir ton cœur nage vers ton Électre ! » Dit celle dont jadis nous baisions les genoux.
VIII
Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! levons l’ancre ! Ce pays nous ennuie, ô Mort ! Appareillons ! Si le ciel et la mer sont noirs comme de l’encre, Nos cœurs que tu connais sont remplis de rayons !
Verse-nous ton poison pour qu’il nous réconforte ! Nous voulons, tant ce feu nous brûle le cerveau, Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau !
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