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 Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.

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yanis la chouette




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MessageSujet: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 7:25

Homo naledi est une espèce éteinte d'hominines dont la découverte fut annoncée en septembre 2015 par Lee Rogers Berger. Les fossiles ont été trouvés dans les Grottes de Rising Star, près de Johannesburg, en Afrique du Sud. La découverte et l'analyse de nouveaux restes trouvés dans une seconde chambre a été faite en mai 2017 par John Hawks.

Homo naledi présente des traits le rapprochant du genre Australopithèque, avec notamment une petite taille et un faible volume crânien, mais aussi des premiers représentants du genre Homo, avec lesquels il partage d'autres caractéristiques. La combinaison de caractères ancestraux et dérivés traduit une évolution en mosaïque.

D'abord estimé âgé d'un à deux millions d'années, il a été daté en 2017 entre 236 000 et 335 000 ans seulement, ce qui relance les débats concernant la position phylogénétique et l'interprétation d'Homo naledi.

   Title Dust devil detail
   Released 08/04/2019 10:00 am
   Copyright ESA/Roscosmos/CaSSIS, CC BY-SA 3.0 IGO
   Description

   Mars may have a reputation for being a desolate world, but it is certainly not dead: its albeit thin atmosphere is still capable of whipping up a storm and, as this image reveals, send hundreds – maybe even thousands – of ‘dust devils’ scurrying across the surface.  

   These swirling columns of wind scour away the top layer of surface material and transport it elsewhere. Their course is plotted by the streaks they leave behind – the newly exposed surface material, which is coloured in blue/grey in this recent image from the CaSSIS camera onboard the ExoMars Trace Gas Orbiter.

   Dust devils on Mars form in the same way as those on Earth: when the ground gets hotter than the air above it, rising plumes of hot air move through cooler denser air, creating an updraft, with the cooler air sinking and setting up a vertical circulation. If a horizontal gust of wind blows through, the dust devil is triggered. Once whirling fast enough, the spinning funnels can pick up dust and push it around the surface.

   As seen in this image, not much can stand in the way of a dust devil: they sweep up the sides of mounds, and down across the floors of impact craters alike.

   The image was taken on 4 January 2019, and shows a region northeast of Copernicus Crater, in the Cimmeria region of Mars. It captures an area measuring 7.2 x 31 km. North is towards the top left corner in this view. The image has been geometrically rectified and resampled to 4 m/pixel.

   If you are at the EGU General Assembly this week, look out for this beautiful image printed at our ESA booth.
   Id 419428

http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2019/04/Dust_devil_detail

et,

Curiosity Captured Two Solar Eclipses on Mars.

When NASA's Curiosity Mars rover landed in 2012, it brought along eclipse glasses. The solar filters on its Mast Camera (Mastcam) allow it to stare directly at the Sun. Over the past few weeks, Curiosity has been putting them to good use by sending back some spectacular imagery of solar eclipses caused by Phobos and Deimos, Mars' two moons.

Phobos, which is as wide as 16 miles (26 kilometers) across, was imaged on March 26, 2019 (the 2,359th sol, or Martian day, of Curiosity's mission); Deimos, which is as wide as 10 miles (16 kilometers) across, was photographed on March 17, 2019 (Sol 2350). Phobos doesn't completely cover the Sun, so it would be considered an annular eclipse. Because Deimos is so small compared to the disk of the Sun, scientists would say it's transiting the Sun.

In addition to capturing each moon crossing in front of the Sun, one of Curiosity's Navigation Cameras (Navcams) observed the shadow of Phobos on March 25, 2019 (Sol 2358). As the moon's shadow passed over the rover during sunset, it momentarily darkened the light.

Solar eclipses have been seen many times by Curiosity and other rovers in the past. Besides being cool - who doesn't love an eclipse? - these events also serve a scientific purpose, helping researchers fine-tune their understanding of each moon's orbit around Mars.

Before the Spirit and Opportunity rovers landed in 2004, there was much higher uncertainty in the orbit of each moon, said Mark Lemmon of Texas A&M University, College Station, a co-investigator with Curiosity's Mastcam. The first time one of the rovers tried to image Deimos eclipsing the Sun, they found the moon was 25 miles (40 kilometers) away from where they expected.

"More observations over time help pin down the details of each orbit," Lemmon said. "Those orbits change all the time in response to the gravitational pull of Mars, Jupiter or even each Martian moon pulling on the other."

These events also help make Mars relatable, Lemmon said: "Eclipses, sunrises and sunsets and weather phenomena all make Mars real to people, as a world both like and unlike what they see outside, not just a subject in a book."

To date, there have been eight observations of Deimos eclipsing the Sun from either Spirit, Opportunity or Curiosity; there have been about 40 observations of Phobos. There's still a margin of uncertainty in the orbits of both Martian moons, but that shrinks with every eclipse that's viewed from the Red Planet's surface.

About Curiosity

NASA's Jet Propulsion Laboratory, a division of Caltech, manages the Mars Science Laboratory Project for NASA's Science Mission Directorate, Washington. JPL designed and built the project's Curiosity rover.

Malin Space Science Systems, San Diego, built and operates the Mastcam instrument and two other instruments on Curiosity.

More information about Curiosity is at:

http://mars.jpl.nasa.gov/msl/

More information about Mars is at:

https://mars.nasa.gov

News Media Contact
Andrew Good
Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, Calif.
818-393-2433
andrew.c.good@jpl.nasa.gov

2019-057

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7366

Les grottes de Rising Star appartiennent à un système karstique situé près de Johannesburg dans la zone des sites des hominidés fossiles d'Afrique du Sud. Ce site a livré, au cours de fouilles menées en 2013 et 2014, plus de 1 700 éléments fossiles d'hominidés. Le 10 septembre 2015, une étude révèle que ces fossiles sont attribués à une espèce jusqu'alors inconnue, Homo naledi. Naledi signifie « étoile » en Sesotho et fait référence au nom du site.

Le site et ses fossiles sont découverts le 13 septembre 2013 par deux spéléologues, Steve Tucker et Rick Hunter, dans le cadre d'une exploration organisée par le géologue Pedro Boshoff. Lee Rogers Berger, paléoanthropologue à l'université de Witwatersrand, informé le 1er octobre 2013 de cette découverte, organise alors le financement des expéditions de fouilles qui commencent le 7 novembre.
Photographies de la salle Dinaledi.

Une strate géologique riche en fossiles d'hominidés est mise au jour dans une salle répertoriée comme site UW-101 et dénommée Salle Dinaledi, située à environ 30 mètres sous la surface du sol, et difficilement accessible par une longue et étroite fissure de 18 cm de large à son point le plus étroit1,3,4,5,6. C'est d'ailleurs une équipe de six femmes à la corpulence adaptée qui est chargée de la collecte des éléments fossiles6. Plus de 1 200 éléments fossiles d'hominidés sont récupérés et catalogués en novembre 20137, représentant au moins une douzaine d'individus8.

Le 20 février 2014, il est annoncé qu'un deuxième site à hominidés fossiles, nommé UW-102, éventuellement sans lien avec le premier, est découvert dans le complexe de grottes de Rising Star9.

En avril 2014, entre les deux sites, 1 754 spécimens sont récupérés10 et au cours de l'été 2014, seuls 20 des 206 os du corps humain ne sont pas retrouvés11.

En mai 2017, un article de eLife publie les découvertes effectuées sur le site UW 102, localisé dans une autre cavité des grottes de Rising Star, appelée salle Lesedi. Les restes fossiles d'au moins trois individus dont un crâne presque complet désigné par LES1 ont été mis au jour12.
Géologie
Contexte géologique du berceau de l'Humanité et du système de grottes de Rising Star.

Le système de grottes de Rising Star se trouve dans la vallée de la rivière Bloubank, à 2,2 km à l'ouest de la grotte de Sterkfontein. Il comprend une zone de 250 × 150 m de passages cartographiés situés dans le noyau d'un pli incliné de 17°, plongeant doucement vers l'ouest, et est stratigraphiquement lié à un horizon dolomitique stromatolitique de 15 à 20 m d'épaisseur appartenant de la partie inférieure de la Formation de Monte Christo. Cet horizon dolomitique est largement exempt de chert, mais contient cinq horizons minces, inférieurs à 10 cm, de chert qui ont été utilisés pour évaluer la position relative des salles dans le système de grottes. Le contact supérieur est marqué par un toit de chert de 1 à 1,3 m d'épaisseur qui forme le toit de plusieurs grandes cavités2. L'altitude au-dessus du niveau de la mer est de 1 450 m pour la base de la chambre Dinaledi.

Observée de la Terre, la Galaxie ressemble à une bande blanchâtre. Bande parce que le Système solaire est situé sur le bord de sa structure en forme de disque. Blanchâtre en raison de l'accumulation d'une multitude d’étoiles que l'on ne peut distinguer à l’œil nu, comme l'avaient déjà avancé Démocrite et Anaxagore. C'est grâce à sa lunette astronomique que Galilée démontre le premier, en 1610, que cette bande est due à la présence de nombreuses étoiles. L'astronome Thomas Wright élabore, en 1750, un modèle de la Galaxie, qui sera repris par le philosophe Emmanuel Kant, qui avance que les nébuleuses observées dans le ciel sont des « univers-îles ». Dans les années 1920, l'astronome Edwin Hubble prouve qu'elle n'est qu'une galaxie parmi plusieurs et clôt ainsi le Grand Débat qui porte notamment sur la nature des nébuleuses. C'est à partir des années 1930 que le modèle actuel de galaxie spirale avec un bulbe central s'impose pour la Voie lactée.

Les plus anciennes étoiles de la Galaxie sont apparues après les âges sombres du Big Bang ; elles sont donc presque aussi âgées que l'Univers même. Par exemple, l'âge de HE 1523-0901, la plus vieille étoile de la Voie lactée, est de 13,2 milliards d'années. Selon des référentiels cosmologiques, l'ensemble de la Galaxie se déplace à une vitesse d'environ 600 km/s. Les étoiles et les gaz qui se trouvent à une grande distance de son centre galactique se déplacent à environ 220 km/s par rapport à ce centre. Les lois de Kepler ne pouvant expliquer cette vitesse constante, il est apparu nécessaire d'envisager que la majorité de la masse de la Voie lactée n'émet ni n'absorbe de rayonnement électromagnétique et est donc constituée d'une substance hypothétique, la matière noire.

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MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 7:30

Homo habilis (littéralement « homme habile ») est une espèce éteinte du genre Homo qui, d'après les fossiles trouvés à ce jour, aurait vécu en Afrique de l'Est il y a entre 2,3 et 1,5 millions d’années environ.

Cette espèce a été décrite en 1964 par Louis Leakey, Phillip Tobias et John Napier, à la suite de la découverte en 1960 des premiers fossiles de l'espèce sur le site d'Olduvai en Tanzanie.

Compte tenu de sa longévité, Homo habilis a apparemment cohabité en Afrique aussi bien avec des espèces d'Australopithèques et de Paranthropes, plus primitives, qu'avec son probable descendant Homo ergaster, plus avancé.

OH 7 (Olduvai Hominid 7) est le spécimen-type d'Homo habilis, découvert en 1960 dans les gorges d'Olduvai en Tanzanie par Jonathan Leakey, fils de Louis et Mary Leakey. Ces restes fossiles d'un jeune individu mâle surnommé « Johnny's Child » (« enfant de Johnny ») sont constitués de fragments d'une mandibule, d'une molaire de maxillaire isolée, de deux pariétaux, de doigts et d'os de la main et du poignet5. Ces restes fossiles sont âgés de 1,8 million d'années6. La découverte et la description de ce spécimen comme une nouvelle espèce d'Homo a été publiée en 1964 par Louis Leakey, Phillip Tobias et John Napier2.
La main d'OH 7 est large, avec un grand pouce et des doigts larges, semblables à ceux des humains, a une capacité de préhension précise. Cependant, contrairement à l'humain moderne, les doigts sont relativement longs et présentent une courbure semblable à celle des chimpanzés. En outre, l'orientation du pouce par rapport aux autres doigts ressemble à l'anatomie des grands singes.

La réduction de la mandibule et de la denture post-canine suggère que le régime de H. habilis est aussi exigeant sur le plan mécanique que celui des hominines archaïques8.

Une capacité crânienne de 363 cm3 de l'hominidé a été déduite de la taille des os pariétaux, en tenant compte du fait que les fossiles appartenaient à un individu mâle de 12 ou 13 ans. Cette valeur a été extrapolée par Phillip Tobias à 674 cm3 si cet individu avait été adulte. Toutefois, d'autres scientifiques ont estimé la capacité crânienne de 590 cm310 à 710 cm311. À partir de la reconstruction des pariétaux, le volume endocrânien de OH 7 est estimé entre 729 et 824 cm3 par Fred Spoor et ses collègues.

OH 24, surnommé « Twiggy », est un crâne déformé daté d'environ 1,8 million d'années découvert en octobre 1968 par Peter Nzube dans les gorges d'Olduvai. Le volume du cerveau est d'un peu moins de 600 cm3. Une réduction de l'avancement de la face (prognathisme) se constate par rapport à celle d'australopithèques plus primitifs.

NASA is ready to launch a new space instrument that will use the vantage point of the International Space Station to monitor Earth's carbon cycle. A follow-on to the still-active OCO-2 mission, OCO-3 will bring not only a new vantage point but new techniques and new technologies to NASA's carbon dioxide observations. Why are we launching a new carbon observatory? Read on.

NASA's OCO-3 mission is ready for launch to the International Space Station. This follow-on to OCO-2 brings new techniques and new technologies to carbon dioxide observations of Earth from space.

Why carbon dioxide?

Carbon dioxide (CO2) naturally cycles into and out of the air from plants and animals, the ocean, and land, with the cycle staying in balance over the long term. CO2 added into the atmosphere by human activities over the last 250 years has increased the amount of the gas that stays in the atmosphere. This extra gas traps heat through the greenhouse effect, resulting in a warming of the climate. NASA and other scientific institutions keep a close eye on this and other atmospheric changes and the ways Earth is responding to them, continually seeking to improve our observations. OCO-3 is the latest addition to the global space-based fleet observing this critical greenhouse gas. OCO-3 was built by adapting a duplicate version of OCO-2, originally built as a "flight spare" - an exact copy that a mission builds in case there's a problem with the original instrument. Thus OCO-3 will extend and enhance a data set that has already proven its value.

Why the space station?

The space station circles Earth between 52 degrees north to 52 degrees south latitudes - about the latitudes of London and Patagonia. The vast majority of Earth's cities and agricultural lands, responsible for most of our planet's carbon absorption and emissions, fall within this zone. Where OCO-2's polar orbit takes it over each location at exactly the same time of day, the space station's orbit will put OCO-3 over each location at a slightly different time on every orbit. Mounted externally on the underside of the space station, OCO-3 will collect the first dawn-to-dusk observations of variations in carbon dioxidefrom space over tropical and mid-latitude regions, giving a better view of emission and absorption processes. For example, the vast carbon stores of the rapidly changing Amazon rainforest are a critical part of Earth's carbon cycle, but when OCO-2 flies over the forest at about 1:30 p.m., afternoon clouds have usually built up, hiding the region from the instrument's view. OCO-3 will pass the Amazon at all times of day, capturing far more cloud-free data.

What kind of instrument is OCO-3?

It's a spectrometer - in fact, three spectrometers sharing one telescope. Like radios tuned to different stations, the spectrometers are "tuned" to observe different sets of wavelengths in the electromagnetic spectrum. Every atmospheric gas absorbs sunlight at a specific set of wavelengths, and carbon dioxide is no exception. Two of OCO-3's spectrometers record two sets of wavelengths where carbon dioxide absorption is strong; the third records wavelengths with strong absorption of oxygen, which researchers need in order to calculate the total number of molecules in the part of the atmosphere where the measurement was made. Combining the data from the three spectrometers allows researchers to obtain a measurement of CO2 so accurate that it records the difference between, for example, 405 and 406 molecules of the gas in every 1 million molecules of air.

Can OCO-3 see anything besides carbon?

OCO-3 observes a very faint glow that plants emit during photosynthesis, called solar-induced fluorescence (SIF). This light is far too dim for humans to notice under normal circumstances, but it is the most accurate indicator of photosynthesis that can be measured from space. As Earth's climate changes, rainfall and temperature are changing plant growth around the globe in ways that may affect world food security. Understanding exactly when photosynthesis happens - how its seasonal startup and shutdown are changing in remote locations around the globe - can help us prepare for the challenges of the future. OCO-3's SIF measurement will have the same high resolution as OCO-2's, and the new instrument will add an ability to rapidly swivel and point its sensors at towers on the ground where SIF is monitored locally, collecting data on almost the same spatial scale as these towers so that its measurements can be validated. Because photosynthesis is an important part of the global carbon cycle, the SIF data complement OCO-3's carbon dioxide measurements.

What else is new?

OCO-3 will demonstrate a new technique to measure urban carbon emissions, volcanic eruptions and other local carbon sources from space. The origins of carbon dioxide can be hard to discern by satellite because the gas mixes rapidly and uniformly into the air. For example, we know from global emissions data that more than 70 percent of carbon dioxide emissions from human activities come from cities. OCO-2's orbit produces a long swath of measurements that slice through a few cities, but it is still a challenge to gather satellite data in enough detail to differentiate between a city's own output and CO2 that drifted into the city on air currents, which may have been released months ago on the other side of the globe. OCO-3's new feature is called "snapshot mode." This scanning technique, enabled by the instrument's ability to swivel and point rapidly, produces a tightly woven blanket of measurements over an area of about 50 by 50 miles (80 by 80 kilometers) - about the size of the Los Angeles Basin.

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Esprit Smith
Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, California
818-354-4269
Esprit.Smith@jpl.nasa.gov

Written by Carol Rasmussen
NASA's Earth Science News Team

2019-055

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7364

Sites de découvertes.

Des spécimens d'Homo habilis ont été découverts en Afrique orientale, notamment sur les sites d'Olduvai en Tanzanie à partir de 1960, de Koobi Fora à l'est du Lac Turkana au Kenya, à partir de 1972, de l'Omo et de la région d'Hadar en Éthiopie. Des restes d'Homo habilis auraient aussi été trouvés en Afrique du Sud, à Swartkrans, Sterkfontein et Drimolen, sites du « berceau de l'humanité ». Cependant, l'attribution de certains fossiles trouvés en Afrique du Sud est aujourd'hui sujette à débat entre Homo habilis et Homo gautengensis. Il est possible qu'Homo habilis soit en fait cantonné à l'Afrique orientale.

OH 62

Un ensemble de restes fossiles (OH 62) a été découvert par Tim White dans les mêmes gorges d'Olvudai en 1986. OH 62 comprend les fragments de maxillaire, calvarium, mandibule, et les fragments de membres supérieurs et inférieurs, en particulier d'humérus et de fémur. L'âge estimé d'OH 62 est compris entre 1,85 et 1,75 million d'années14. L'étude des proportions du fémur et de l'humérus de cet individu a permis de conclure que la locomotion d'Homo habilis, encore adaptée à la vie arboricole, diffère en cela de lignées humaines plus modernes, telles Homo ergaster15.

KNM-ER 1805 a été mis au jour par Paul Abell en 1973 à Koobi Fora, au Kenya. Les restes fossiles de cet individu adulte sont constitués d'un crâne, d'un maxillaire et d'une mandibule et sont âgés de 1,7 million d'années environ. La capacité crânienne est de 582 cm34.

KNM-ER 1813 est le crâne relativement complet d'un individu adulte daté de 1,9 million d'années. Il a été découvert à Koobi Fora, au Kenya par Kamoya Kimeu en 1973. La capacité crânienne est de 510 cm3, plus faible que celle des autres Homo habilis4, en dessous de la limite de 600 cm3 communément admise pour le genre Homo16, ce qui a conduit certains auteurs à classer ces restes fossiles comme ceux d'Australopithecus africanus, bien que la morphologie du crâne soit différente de celle de cette dernière espèce4.
AL 666-1

L'os maxillaire AL 666-1 provient d'Hadar en Éthiopie et son âge a été estimé à 2,33 millions d'années. Son appartenance au genre Homo est reconnue, mais si ce fossile présente des affinités avec Homo habilis (Homo aff. habilis), et notamment aux spécimens OH 16 et OH 19 d'Olduvai, il n'est pas toutefois formellement attribué à cette espèce, et l'étude menée par Fred Spoor et ses collègues en 2015 sur la mandibule de OH 7 exclut que AL 666-1 soit de l'espèce Homo habilis.
Morphologie

Les sujets masculins mesurent de 1,30 à 1,40 m et pèsent de 35 à 45 kg.
L’espèce présente un fort dimorphisme sexuel, les femelles étant beaucoup plus petites que les mâles.

Homo habilis maitrisait la bipédie permanente, même si celle-ci n'apparait pas avec lui, car elle est déjà présente chez l'Australopithèque. En revanche, ses membres postérieurs courts n’en faisaient pas un aussi bon marcheur que les espèces d'Homo ultérieures. Son squelette post-crânien n'a pas encore atteint la complète extension que l'on trouve chez Homo ergaster.

Homo habilis a une capacité crânienne encore peu développée, comprise entre 550 et 700 cm3 (contre 400 à 500 cm3 chez les Australopithèques, et 400 à 550 cm3 chez les Paranthropes).

L'étude de sa denture montre des canines réduites et des incisives développées, ce qui montre qu’Homo habilis était omnivore. Il est probable qu'il ait été charognard plutôt que chasseur.

   KB 5223 Molaire d’Homo habilis
   SKX268
   Molaire d’Homo habilis

Homo habilis et l'outil.
Galets aménagés oldowayens - 1,7 million d'années - Melka Kunture, Éthiopie

Homo habilis est contemporain des industries de pierre taillée nommées oldowayennes. Celles-ci comportent des objets simples taillés généralement sur une seule face pour confectionner un outil (galet aménagé) ou pour obtenir des éclats tranchants.

Ces outils devaient lui permettre de découper des morceaux de viande ou de casser des os. Mais Homo habilis a coexisté avec plusieurs espèces d'Australopithèques et de Paranthropes. Certains chercheurs envisagent que ceux-ci étaient également capables de fabriquer des outils de pierre taillée. La découverte en 2012 de tels outils sur le site de Lomekwi 3 dans la région du lac Turkana au Kenya, datant de 3,3 millions d'années, a bouleversé l'hypothèse selon laquelle l'apparition des outils de pierre serait liée à l'émergence du genre Homo.
Paléopathologie
L'étude des restes d'un Homo habilis datant de 1,8 million d'années a montré qu'il souffrait d'arthrose et de rhumatismes.

Galactogenèse

L'existence de la Voie lactée a débuté sous la forme d'une ou plusieurs petites masses de densité supérieure à la moyenne peu après le Big Bang. Quelques-unes de ces masses ont fait office de germes pour les amas globulaires où leurs plus vieilles étoiles restantes font maintenant partie du halo galactique de la Voie lactée. Quelques milliards d'années après la naissance des premières étoiles, la masse de la Voie lactée était suffisamment grande pour entretenir une vitesse tangentielle élevée. À cause de la conservation du moment cinétique, le milieu interstellaire gazeux s'est aplati, passant de la forme d'un sphéroïde à un disque. C'est dans ce disque que se sont formées ultérieurement les étoiles. La plupart des jeunes étoiles de la Voie lactée, y compris le Soleil, se trouvent dans le disque galactique.

À la suite de la formation des premières étoiles, la Voie lactée a grandi à la fois par fusion de galaxies (particulièrement dans ses premières années de croissance) et par accrétion du gaz présent dans le halo galactique66. À l'heure actuelle, grâce au courant magellanique, elle attire des matériaux de deux galaxies satellitaires, les Petit et Grand nuages de Magellan67,68. Des caractéristiques de la Galaxie, tels la masse stellaire, le moment cinétique et la métallicité des régions très éloignées, laissent penser qu'elle n'a fusionné avec aucune grande galaxie dans les derniers 10 milliards d'années. Cette absence de fusions récentes est inhabituelle parmi les galaxies spirales.

Toutefois la Voie lactée a semble-t-il fusionné avec une autre galaxie il y a, justement, 10 milliards d'années environ. Durant les 22 premiers mois d’observation du télescope spatial Gaia, l’étude de sept millions d’étoiles a permis de découvrir que 30 000 d’entre elles font partie d'un groupe d’étoiles vieilles se déplaçant toutes sur des trajectoires allongées dans la direction opposée à la majorité des autres étoiles de la galaxie, y compris le Soleil. Elles se distinguent également dans le diagramme H-R, ce qui indique qu’elles appartiennent à une population stellaire distincte. Leurs caractéristiques sont en accord avec les simulations informatiques de fusions de galaxies. Des centaines d'étoiles variables et 13 amas globulaires de la Voie lactée suivent des trajectoires similaires, indiquant qu'elles faisaient aussi partie de la galaxie disparue, dénommée Gaia Enceladus. Les simulations indiquent qu'elle était dix fois plus petite que la Voie lactée actuelle (donc de la taille d'un nuage de Magellan), mais il y a 10 milliards d'années la Voie lactée était elle-même beaucoup plus petite qu'aujourd'hui (peut-être d'un facteur 40 %), ce qui fait de cette fusion un événement majeur de l'histoire de notre galaxie.

Selon des études récentes, la Voie lactée et la galaxie d'Andromède se trouvent dans ce qui est surnommé la « vallée verte » du diagramme couleur-magnitude des galaxies, une région peuplée de galaxies faisant un transit du « nuage bleu » (des galaxies qui créent régulièrement des étoiles) à la « séquence rouge » (des galaxies qui ne créent aucune étoile). La naissance des étoiles dépend de la présence de gaz interstellaire susceptible de servir de matériau. Dans la vallée verte, ce gaz est de moins en moins présent. Selon des simulations de galaxies semblables à la nôtre, la formation cesse habituellement 5 milliards d'années après notre époque, même en tenant compte d'une croissance dans le rythme de création d'étoiles à la suite d'une collision avec la galaxie d'Andromède. L'observation de galaxies similaires à la Voie lactée amène à conclure qu'elle est parmi les plus rouges et les plus brillantes de toutes les galaxies spirales qui continuent de créer des étoiles et qu'elle est légèrement plus bleue que les étoiles bleues dans la séquence rouge.

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MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 7:36

Les amas globulaires sont parmi les plus vieux objets de la Galaxie, ce qui permet de fixer une limite inférieure à l'âge de la Voie lactée. L'âge des étoiles peut être déduit en mesurant l'abondance des radioisotopes de longue demi-vie, tels le thorium 232 et l'uranium 238, puis comparer ces résultats à des estimations de leur abondance originelle. Selon cette technique, l'âge de BPS CS 31082-0001 serait 12,5 ± 3 Ga76, alors qu'il serait de 13,8 ± 4 Ga pour BD +17° 324877. Une autre technique de calcul s'appuie sur l'étude des naines blanches. Lorsqu'elles se forment, elles se refroidissent par émissions de radiations et leur surface refroidit régulièrement. En comparant la température des naines blanches les plus froides aux températures théoriques initiales, il est possible d'estimer leur âge. Selon cette technique, l'âge de l'amas globulaire M4 a été estimé à 12,7 ± 0,7 Ga.

L'âge de plusieurs étoiles solitaires du halo galactique est près de l'âge de l'Univers, soit 13,8 Ga. Par exemple, HE 1523-0901 serait âgée de 13,2 Ga. C'est l'étoile la plus âgée de la Galaxie selon les observations de 2007 ; c'est donc l'âge maximal de la Galaxie79. Une autre étoile, HD 140283, serait âgée de 14,46 ± 0,8 Ga ; elle est donc apparue au plus tôt voici 13,66 Ga80,81 (en raison de l'incertitude, l'âge de l'étoile n'est pas contradictoire avec l'âge de l'Univers).

Le disque mince de la Voie lactée se serait formé voici 8,8 ± 1,7 Ga. Les mesures effectuées laissent penser qu'il y aurait eu un hiatus de presque 5 Ga entre les créations du halo galactique et du disque mince82. Des scientifiques, après avoir étudié la signature chimique de milliers d'étoiles, ont suggéré que la création stellaire a diminué d'un ordre de grandeur voici de 10 à 8 Ga. Cette diminution serait survenue au moment où le disque mince se formait, suggérant que le disque et la structure barrée ont brassé le gaz interstellaire au point de le rendre trop chaud pour soutenir le rythme de création des étoiles.

Le chercheur britannique Lynden-Bell démontre en 1976 que les galaxies satellitaires de la Voie lactée ne sont pas distribuées aléatoirement ; leur répartition serait la conséquence du bris d'un système plus grand qui aurait produit une structure annulaire d'un diamètre de 500 000 a.l. et épaisses de 50 000 a.l. Les quasi-collisions entre galaxies, comme celle anticipée avec la galaxie d'Andromède dans 4 Ga, génèrent d'énormes masses de gaz interstellaire qui, sur une longue durée, se contractent de façon à former des galaxies naines perpendiculaires au disque principal. En 2005, des chercheurs, après avoir analysé la répartition des amas globulaires et les minces traces laissées à la suite de la désagrégation des galaxies naines, déterminent qu'ils participent aussi à la création de tels anneaux de matière85. En 2013, un autre chercheur démontre qu'un tel anneau existe aussi autour de la galaxie d'Andromède, faisant partie d'une structure en rotation, ce qui suggère qu'elle a été précédemment en contact avec la Voie lactée. Cependant, cette hypothèse est invalide même en tenant compte de l'existence d'un halo de matière noire. Si la théorie MOND était vraie, alors il serait plausible que les deux galaxies soient entrées en contact voici de 11 à 7 Ga. Un chercheur avance que si l'existence de la matière noire implique un condensat de Bose-Einstein superfluide, alors la théorie MOND serait vraie pour certains états de la matière87. Par ailleurs, la Galaxie entrera en collision avec le Grand Nuage de Magellan dans environ un milliard d'années, bien avant la collision anticipée avec la galaxie d'Andromède.

Tropical Cyclone Idai barreled down on Mozambique on March 14, 2019 - leaving a path of destruction in its wake and triggering devastating floods.

NASA's Advanced Rapid Imaging and Analysis (ARIA) team combined images from several Earth-observing satellites to create flood proxy maps that show the progression of the post-cyclone flooding from March 18, 2019, through March 23, 2019. The spread of flooding is evident in the blue pixels that increase through the several-day period.

Although the data may be less reliable over urban and vegetated areas, these flood proxy maps can be used as guidance by first responders, aid providers and others to identify the most impacted areas.

The maps were derived from synthetic aperture radar (SAR) images from the ICEYE-X2 (March 18), Sentinel-1(March 19-20), and ALOS-2 (March 23) satellites operated by Finnish satellite manufacturer ICEYE, the European Space Agency (ESA), and Japan Aerospace Exploration Agency (JAXA) respectively. This product contains modified Copernicus Sentinel data (2019), processed by ESA and NASA. The images were analyzed and compiled by NASA's ARIA team at NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California, and the work was funded through NASA's Disasters Program.

More information on ARIA and NASA's Disasters Program is available at the following links:

https://aria.jpl.nasa.gov/

https://disasters.nasa.gov/

The Mozambique flood proxy map and other maps also available on the NASA Disasters Mapping Portal at:

https://maps.disasters.nasa.gov/

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2019-054

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7363

Composition
La Voie lactée et le centre galactique (masse lumineuse proche de la crête des montagnes) lorsqu'observée en direction de la constellation du Sagittaire. Photo prise dans le désert de Black Rock par une nuit sombre.

Les étoiles de la Voie lactée sont plongées dans le milieu interstellaire, un mélange de gaz, de poussières et de rayons cosmiques. Ce milieu, en forme de disque, s'étend jusqu'à des centaines d'a.l. pour les gaz les plus froids, et jusqu'à des milliers d'a.l. pour les gaz les plus chauds. La concentration d'étoiles dans le disque diminue graduellement en s'éloignant du centre galactique. Au-delà d'un rayon d'environ 40 000 a.l. du centre galactique, pour des raisons inconnues, la densité des étoiles décroît plus rapidement en s'éloignant du centre. Le centre du disque est entouré d'un halo galactique sphérique composé d'étoiles et d'amas globulaires dont la taille est limitée par deux satellites de la Voie lactée, le Grand et le Petit nuage de Magellan, dont les apsides vis-à-vis du centre galactique sont distantes d'environ 180 000 a.l.120. À cette distance ou plus loin, l'orbite de la plupart des objets du halo serait sensiblement modifiée par les nuages de Magellan. Dès lors, ces objets échapperaient probablement à l'influence de la Voie lactée.

La Galaxie comprend au moins 100 milliards de planètes et de 200 à 400 milliards d'étoiles (à titre comparatif, la galaxie d'Andromède comprend environ 1 000 milliards d'étoiles). Les quantités exactes dépendent du nombre d'étoiles de masses très faibles, qui sont difficiles à détecter — particulièrement à des distances supérieures à 300 a.l. du Soleil129. L'observation de microlentilles gravitationnelles et de transit astronomiques laisse penser qu'il y aurait au moins autant de planètes liées à des étoiles qu'il y a d'étoiles dans la Voie lactée ; l'observation de microlentilles amène à conclure qu'il y a plus d'objets libres de masse planétaire qui ne font pas partie de systèmes planétaires qu'il n'y a d'étoiles. Selon une étude publiée en janvier 2013, qui se base sur des observations du télescope spatial Kepler, il y aurait au minimum une planète par étoile dans la Galaxie, ce qui permet de prédire de 100 à 400 milliards de planètes pour l'ensemble de la Voie lactée. Le nombre de nébuleuses planétaires s'élève à environ 3 000.

Une autre analyse des données de Kepler, aussi publiée en janvier 2013, mentionne un minimum de 17 milliards d'exoplanètes de la taille de la Terre. En novembre 2013, des astronomes annoncent que, selon les données recueillies par Kepler, la Voie lactée pourrait contenir plus de 40 milliards de planètes de la taille de la Terre qui orbiteraient dans la zone habitable de systèmes planétaires centrés sur un jumeau du Soleil ou une naine rouge. 11 milliards de ces planètes seraient en orbite autour d'un jumeau du Soleil. Des scientifiques avancent qu'une planète de ce type se trouverait à 12 a.l. de notre Système solaire. Des exocomètes (comètes hors du Système solaire) ont aussi été observées et pourraient même être courantes dans la Voie lactée.
Structure
Fichier:Artist's impression of the Milky Way.ogvLire le média
Une vue d'artiste montrant la Voie lactée selon d'autres perspectives que lorsqu'elle est observée de la Terre. Le bulbe central ressemble à une arachide brillante ; vue du dessus, les barres centrales sont visibles. Les bras spiraux et leur nuage de poussières sont également visibles.
Formes géométriques centrées sur une barre brillante
Vue d'artiste de la structure en spirale de la Voie lactée qui montre la barre au centre et deux bras spiraux majeurs. Agrandir l'illustration pour observer le système de coordonnées galactiques.

La Voie lactée comprend une barre centrale entourée d'un disque composé de gaz, de poussières et d'étoiles. Ces trois types d'objets astronomiques forment des structures en forme de bras, chacun ressemblant grossièrement à une spirale logarithmique. La distribution de la masse est de type Sbc selon la séquence de Hubble et typique des galaxies spirales avec des bras courbes relativement lâches. C'est dans les années 1990 que les astronomes commencent à soupçonner que la Voie lactée est une galaxie spirale barrée, plutôt qu'une galaxie spirale. Leurs soupçons ont été confirmés en 2005 grâce aux observations du télescope spatial Spitzer qui montrent que la barre centrale de la Galaxie est plus prononcée que ne le pensaient les spécialistes. Selon la classification de Vaucouleurs, il s'agit donc d'une galaxie SB(rs)bc II.
Quadrants galactiques

On peut diviser la Voie lactée en quatre secteurs circulaires appelés « quadrants galactiques ». Dans la pratique astronomique courante, le Soleil est situé au pôle Nord galactique dans le système de coordonnées galactiques. Les quadrants sont identifiés à l'aide d'un nombre : « 1er quadrant galactique », « 2d quadrant galactique » ou « 3e quadrant de la Voie lactée »148. La demi-droite qui part du pôle Nord galactique, donc du Soleil, et qui joint le centre galactique fait par convention un angle de 0°. Les quadrants sont alors définis ainsi :

1er quadrant galactique : 0° ≤ longitude (ℓ) ≤ 90° ;
2d quadrant galactique : 90° ≤ ℓ ≤ 180° ;
3e quadrant galactique : 180° ≤ ℓ ≤ 270° ;
4e quadrant galactique : 270° ≤ ℓ ≤ 360° (0°).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Voie_lact%C3%A9e

TÉMOIGNAGE DU
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TAY
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MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 7:43

NAGALÏÉW LA MOUETTE AUX YEUX VERTS ET LE CORBEAU DE YAHVÉ, LA CORNEILLE.

News | April 8, 2019.
Jupiter's Atmosphere Heats up under Solar Wind.

New Earth-based telescope observations show that auroras at Jupiter's poles are heating the planet's atmosphere to a greater depth than previously thought - and that it is a rapid response to the solar wind.

"The solar wind impact at Jupiter is an extreme example of space weather," said James Sinclair of NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California, who led new research published April 8 in Nature Astronomy. "We're seeing the solar wind having an effect deeper than is normally seen."

Auroras at Earth's poles (known as the aurora borealis at the North Pole and aurora australis at the South Pole) occur when the energetic particles blown out from the Sun (the solar wind) interact with and heat up the gases in the upper atmosphere. The same thing happens at Jupiter, but the new observations show the heating goes two or three times deeper down into its atmosphere than on Earth, into the lower level of Jupiter's upper atmosphere, or stratosphere.

Understanding how the Sun's constant outpouring of solar wind interacts with planetary environments is key to better understanding the very nature of how planets and their atmospheres evolve.

"What is startling about the results is that we were able to associate for the first time the variations in solar wind and the response in the stratosphere - and that the response to these variations is so quick for such a large area," said JPL's Glenn Orton, co-author and part of the observing team.

Within a day of the solar wind hitting Jupiter, the chemistry in its atmosphere changed and its temperature rose, the team found. An infrared image captured during their observing campaign in January, February and May of 2017 clearly shows hot spots near the poles, where Jupiter's auroras are. The scientists based their findings on observations by the Subaru Telescope, atop the summit of Mauna Kea in Hawaii, which is operated by the National Astronomical Observatory of Japan.

The telescope's Cooled Mid-Infrared Camera and Spectograph (COMICS) recorded thermal images - which capture areas of higher or lower temperatures - of Jupiter's stratosphere.

"Such heating and chemical reactions may tell us something about other planets with harsh environments, and even early Earth," said Yasumasa Kasaba of Tohoku University, who also worked on the observing team.

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2019-059

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7369&utm_source=iContact&utm_medium=email&utm_campaign=nasajpl&utm_content=jupiter20190408-1

Le centre galactique est le centre de rotation du disque de la Voie lactée, galaxie comprenant la planète Terre. Il est situé à une distance de (8 122 ± 31) parsecs2, soit (26 490 ± 101) années-lumière, du Soleil dans la région lumineuse la plus étendue de la Voie lactée, dans la direction de la constellation zodiacale du Sagittaire.

En raison de la présence de poussières sur la ligne de visée, responsables d'environ 30 magnitudes d'atténuation de la luminosité dans le spectre visible, le centre galactique n'est pas observable en longueurs d'onde visibles, ultraviolettes et rayons X. Toute l'information connue sur le centre galactique provient des grandes ondes (infrarouge, submillimétrique, radio) et des ondes courtes (rayons X durs, rayons gamma).

Description

La source radio complexe Sagittarius A semble être située presque exactement au centre galactique. Elle contient la puissante source radio ponctuelle Sagittarius A* (Sgr A*), dont de nombreux astronomes pensent qu'elle est associée à un trou noir supermassif d'environ 3 à 4 millions de masses solaires, coïncidant exactement avec le centre gravitationnel de la Galaxie. L'accrétion de matière autour du trou noir, probablement par le biais d'un disque d'accrétion autour de celui-ci, serait la source d'énergie qui produit la source radio compacte, elle-même bien plus grande que le trou noir. Celui-ci est trop petit (environ 14 rayons solaires ou 10 microsecondes d'arc) pour qu'on puisse le distinguer (c'est-à-dire voir sa silhouette) avec les instruments actuels.

Le parsec central est entouré d'un tore de poussières, le disque circo-nucléaire, et contient d'une part la région HII Sagittarius A Ouest, surnommée « minispirale » du fait de sa forme caractéristique, et d'autre part un amas d'étoiles. Celui-ci est dominé (en nombre) par une population d'étoiles vieilles, mais contient également un nombre élevé d'étoiles massives de formation récente (quelques millions d'années). Contrairement aux étoiles vieilles, qui constituent un amas sphérique isotrope, ces étoiles massives sont organisées en deux disques qui présentent une rotation cohérente. La seconde d'arc centrale semble ne contenir que des étoiles B, massives également, qui tournent autour du trou noir central sur des orbites excentriques. Leurs plans orbitaux semblent disposés aléatoirement. La plus célèbre de ces étoiles, S2, a une période orbitale d'une quinzaine d'années seulement. L'observation de son orbite permet la mesure la plus précise de la distance au centre galactique (7,62 ± 0,32 kpc (∼24 900 a.l.)) et de la masse du trou noir (3.61±0.32 millions de masses solaires).

Sgr A* n'est peut-être pas le seul trou noir dans le parsec central : en effet, une équipe internationale de chercheurs, menée par le français Jean-Pierre Maillard, a découvert la présence d'un amas compact d'étoiles à seulement quelques secondes d'arc du trou noir central : GCIRS 13E. La dispersion des vitesses au sein de cet amas, ainsi que la nécessité de résister aux forces de marée dues à Sgr A*, indiquent que GCIRS 13E doit avoir une masse d'au moins mille ou dix mille masses solaires. Compte tenu de la taille très réduite de l'amas, il n'est pas certain qu'il soit possible que toute cette masse soit constituée d'étoiles. Dans ce cas, elle devrait être constituée par un trou noir de masse intermédiaire.

Des travaux présentés en 2002 par Antony A. Stark et Chris L. Martin, qui ont cartographié la densité du gaz dans une région de 400 années-lumière autour du centre galactique ont révélé qu'un anneau d'une masse de plusieurs millions de masses solaires était en train de se constituer. Cet anneau serait proche de la densité critique qui permet la formation d'étoiles. Ils prédisent que le centre galactique sera le siège d'un sursaut de formation stellaire dans environ 200 millions d'années. De nombreuses étoiles se formeront alors rapidement et exploseront en supernovae à un taux 100 fois plus élevé qu'à l'heure actuelle. Le sursaut sera peut-être accompagné d'un jet galactique dû à l'augmentation du taux d'accrétion sur le trou noir central. On pense que de tels sursauts de formation stellaire se produisent tous les 500 millions d'années dans la Galaxie.

Comme l'étoile S2 sera le plus proche de ce centre galactique en 2018, les effets de relativité générale d'Albert Einstein pourront être vérifiés. En effet, en passant à 17 heures-lumière du centre, l'étoile arrivera théoriquement à une vitesse de près de 8 000 km/s, soit 2,5 % de celle de la lumière4.
Coordonnées du centre galactique

Les coordonnées équatoriales du centre galactique (époque J2000.0) sont5 :

   ascension droite (α) : 17h 45m 40,04s ;
   déclinaison (δ) : −29° 00′ 28,1″.

Les coordonnées galactiques du centre galactique (époque J2000.0) sont5 :

   longitude galactique (ℓ) : 359,9443° ;
   latitude galactique (b) : −00,0462°.

Constantes galactiques

En 1985, l'Assemblée générale de l'Union astronomique internationale a recommandé l'utilisation des valeurs suivantes pour, d'une part, la distance du Soleil au centre galactique (notée R0) et, d'autre part, la vitesse circulaire du Soleil autour du centre galactique (θ0)6 :

   R0 = 8,5 ± 1,1 kpc (∼27 700 a.l.) ;
   θ0 = 220 km s−1.

Elle n'a pas recommandé de valeurs pour les constantes d'Oort (notées A et B) mais a remarqué qu'avec les valeurs recommandées pour R0 et θ0, la différence A – B vaut6 :

   A – B = 25,9 km s−1 kpc−1.

NASA's Cassini Finds Saturn's Rings Coat Tiny Moons...

New findings have emerged about five tiny moons nestled in and near Saturn's rings. The closest-ever flybys by NASA's Cassini spacecraft reveal that the surfaces of these unusual moons are covered with material from the planet's rings - and from icy particles blasting out of Saturn's larger moon Enceladus. The work paints a picture of the competing processes shaping these mini-moons.

"The daring, close flybys of these odd little moons let us peer into how they interact with Saturn's rings," said Bonnie Buratti of NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California. Buratti led a team of 35 co-authors that published their work in the journal Science on March 28. "We're seeing more evidence of how extremely active and dynamic the Saturn ring and moon system is."

The new research, from data gathered by six of Cassini's instruments before its mission ended in 2017, is a clear confirmation that dust and ice from the rings accretes onto the moons embedded within and near the rings.

Scientists also found the moon surfaces to be highly porous, further confirming that they were formed in multiple stages as ring material settled onto denser cores that might be remnants of a larger object that broke apart. The porosity also helps explain their shape: Rather than being spherical, they are blobby and ravioli-like, with material stuck around their equators.

"We found these moons are scooping up particles of ice and dust from the rings to form the little skirts around their equators," Buratti said. "A denser body would be more ball-shaped because gravity would pull the material in."

"Perhaps this process is going on throughout the rings, and the largest ring particles are also accreting ring material around them. Detailed views of these tiny ring moons may tell us more about the behavior of the ring particles themselves," said Cassini Project Scientist Linda Spilker, also at JPL.

Of the satellites studied, the surfaces of those closest to Saturn - Daphnis and Pan - are the most altered by ring materials. The surfaces of the moons Atlas, Prometheus and Pandora, farther out from Saturn, have ring material as well - but they're also coated with the bright icy particles and water vapor from the plume spraying out of Enceladus. (A broad outer ring of Saturn, known as the E ring, is formed by the icy material that fans out from Enceladus' plume.)

The key puzzle piece was a data set from Cassini's Visible and Infrared Mapping Spectrometer (VIMS), which collected light visible to the human eye and also infrared light of longer wavelengths. It was the first time Cassini was close enough to create a spectral map of the surface of the innermost moon Pan. By analyzing the spectra, VIMS was able to learn about the composition of materials on all five moons.

VIMS saw that the ring moons closest to Saturn appear the reddest, similar to the color of the main rings. Scientists don't yet know the exact composition of the material that appears red, but they believe it's likely a mix of organics and iron.

The moons just outside the main rings, on the other hand, appear more blue, similar to the light from Enceladus' icy plumes.

The six uber-close flybys of the ring moons, performed between December 2016 and April 2017, engaged all of Cassini's optical remote sensing instruments that study the electromagnetic spectrum. They worked alongside the instruments that examined the dust, plasma and magnetic fields and how those elements interact with the moons.

Questions remain, including what triggered the moons to form. Scientists will use the new data to model scenarios and could apply the insights to small moons around other planets and possibly even to asteroids.

"Do any of the moons of the ice giant planets Uranus and Neptune interact with their thinner rings to form features similar to those on Saturn's ring moons?" Buratti asked. "These are questions to be answered by future missions."

Cassini's mission ended in September 2017, when it was low on fuel. Mission controllers deliberately plunged Cassini into Saturn's atmosphere rather than risk crashing the spacecraft into the planet's moons. More science from the last orbits, known as the Grand Finale, will be published in the coming months.

The Cassini-Huygens mission is a cooperative project of NASA, the European Space Agency and the Italian Space Agency. NASA's JPL, a division of Caltech in Pasadena, manages the mission for NASA's Science Mission Directorate, Washington. JPL designed, developed and assembled the Cassini orbiter. The radar instrument was built by JPL and the Italian Space Agency, working with team members from the U.S. and several European countries.

More information about Cassini can be found here:

https://solarsystem.nasa.gov/cassini

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Gretchen McCartney
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JoAnna Wendel
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2019-051

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7360

La force de marée est une conséquence de la force d'attraction gravitationnelle et elle est la cause des marées. Dans certains cas, la force de marée est suffisante pour disloquer le satellite d'un corps spatial.

Principe de base
Les forces d'attraction qu'exerce l'astre 1 sur les astres 2 et 3, notées F1/2 et F1/3, peuvent se décomposer en une composante moyenne F et une composante différentielle f1/2 et f1/3. Cette composante différentielle tend à éloigner les astres 2 et 3 (haut) ou à les rapprocher (bas).

Imaginons deux masses d'un même côté d'un astre et alignées sur la direction de cet astre qu'on nommera par la suite « primaire » (mais qui n'est pas forcément le plus massif des trois), qui les attire. En vertu de la loi d'attraction universelle, la plus proche de l'astre sera plus attirée que l'autre et tendra donc à s'en séparer. Imaginons maintenant une autre configuration où la ligne qui joint les deux masses est perpendiculaire à la ligne qui va de leur centre de masse à l'astre. Les forces d'attraction ont des directions convergentes (vers l'astre) ; ainsi les masses auront une tendance à se rapprocher. Ainsi l'astre primaire sera à la fois responsable du mouvement accéléré de l'ensemble des deux masses, plus précisément de leur centre de masse, mais aussi responsable de forces qui régissent le mouvement relatif de ces deux masses et qu'on appelle forces de marée. La force de marée est donc une interaction gravitationnelle indirecte entre ces masses induite par un ou plusieurs astres primaires.

L'expression exacte de cette force de marée sera dérivée plus loin. Le résultat essentiel, dans le cas le plus fréquent où une des masses, par exemple la Terre, est beaucoup plus grande que l'autre, par exemple une petite masse d'eau de l'océan ou un satellite de la terre, et où la distance qui les sépare est beaucoup plus petite que la distance à l'astre primaire (la distance Terre-Lune par exemple), est que dans la configuration alignée cette force de marée est « centrifuge » et a pour intensité

   2 G m M L r / R 3 {\displaystyle 2\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M_{L}} r/\mathrm {R} ^{3}} 2{\mathrm {G}}\,m\,{\mathrm {M_{{L}}}}r/{\mathrm {R}}^{{3}}

où r est la distance de la masse d'eau au centre de la terre, m la masse d'eau, R la distance Terre Lune (la Lune est l'astre primaire ici), M L {\displaystyle \mathrm {M_{L}} } {\displaystyle \mathrm {M_{L}} }la masse de la Lune, et G la constante universelle de la gravitation. Dans l'autre configuration envisagée, la force de marée est « centripète » et deux fois moins intense.

Cette force de marée, s'exerçant entre les constituants d'un satellite (dans ce cas, les deux masses considérées sont parties intégrantes d'un seul et même corps), tend à le déformer, voire parfois à le briser (voir la photographie de la brisure de la comète Shoemaker-Levy 9 par les forces de marée dues à Jupiter) lorsque la force de marée centrifuge l'emporte sur l'interaction gravitationnelle directe des deux parties ou sur les forces de cohésion de ces mêmes parties (voir ci-dessous la sous-section sur la limite de Roche).

Dans le cas où ce satellite a une rotation propre non synchrone avec sa révolution autour de l'astre, la déformation périodique qui en résulte est responsable des marées océaniques et/ou terrestres. De plus cette déformation périodique entraîne, par le biais des forces de friction, un échauffement du satellite. Ces forces de friction sont aussi à l'origine d'un couple qui tend à synchroniser sa rotation propre et sa révolution autour de l'astre, comme c'est déjà le cas pour la lune qui nous montre toujours la même face. Ce même phénomène est également responsable du ralentissement progressif de la rotation de la Terre d'environ 2 ms/siècle. Ces forces de friction sont enfin responsables de la modification de l'orbite, le satellite pouvant s'écraser sur l'astre ou, au contraire, s'en éloigner comme c'est le cas pour l'orbite de la Lune qui s'éloigne d'environ 4 cm par an de la Terre.
Expression détaillée de la force de marée

Notons m1 et m2 les masses des objets soumis à marée et F → 1 {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{1}} {\vec {{\mathrm {F}}}}_{1} et F → 2 {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{2}} {\vec {{\mathrm {F}}}}_{2} les forces exercées par l'astre primaire sur chacune d'elles. L'étude du mouvement relatif se fait dans un référentiel centré au centre de masse des deux masses, noté CM, et dont les axes sont fixes par rapport aux étoiles. Le mouvement d'ensemble des deux masses est régi par la force résultante

   F → 1 + F → 2 {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{1}+{\vec {\mathrm {F} }}_{2}} {\vec {{\mathrm {F}}}}_{1}+{\vec {{\mathrm {F}}}}_{2}

et son CM possède l'accélération

   ( F → 1 + F → 2 ) / ( m 1 + m 2 ) {\displaystyle ({\vec {\mathrm {F} }}_{1}+{\vec {\mathrm {F} }}_{2})/(m_{1}+m_{2})} ({\vec {{\mathrm {F}}}}_{1}+{\vec {{\mathrm {F}}}}_{2})/(m_{1}+m_{2}).

Ce référentiel n'est pas galiléen ; aussi à la force d'attraction, on doit ajouter la force d'inertie qui est l'opposé du produit de la masse par l'accélération. Ainsi la force de marée sur la masse 1 dans ce référentiel non galiléen est

   F → t = F → 1 − m 1 F → 1 + F → 2 m 1 + m 2 = m 2 F → 1 − m 1 F → 2 m 1 + m 2 = − G m 1 m 2 M m 1 + m 2 ( r → 1 r 1 3 − r → 2 r 2 3 ) = − G m 1 M 1 + m 1 / m 2 ( r → 1 r 1 3 − r → 2 r 2 3 ) {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }={\vec {\mathrm {F} }}_{1}-m_{1}{\frac {{\vec {\mathrm {F} }}_{1}+{\vec {\mathrm {F} }}_{2}}{m_{1}+m_{2}}}={\frac {m_{2}{\vec {\mathrm {F} }}_{1}-m_{1}{\vec {\mathrm {F} }}_{2}}{m_{1}+m_{2}}}=-{\frac {\mathrm {G} \,m_{1}m_{2}\mathrm {M} }{m_{1}+m_{2}}}\left({\frac {{\vec {r}}_{1}}{r_{1}^{3}}}-{\frac {{\vec {r}}_{2}}{r_{2}^{3}}}\right)=-{\frac {\mathrm {G} \,m_{1}\mathrm {M} }{1+m_{1}/m_{2}}}\left({\frac {{\vec {r}}_{1}}{r_{1}^{3}}}-{\frac {{\vec {r}}_{2}}{r_{2}^{3}}}\right)} {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }={\vec {\mathrm {F} }}_{1}-m_{1}{\frac {{\vec {\mathrm {F} }}_{1}+{\vec {\mathrm {F} }}_{2}}{m_{1}+m_{2}}}={\frac {m_{2}{\vec {\mathrm {F} }}_{1}-m_{1}{\vec {\mathrm {F} }}_{2}}{m_{1}+m_{2}}}=-{\frac {\mathrm {G} \,m_{1}m_{2}\mathrm {M} }{m_{1}+m_{2}}}\left({\frac {{\vec {r}}_{1}}{r_{1}^{3}}}-{\frac {{\vec {r}}_{2}}{r_{2}^{3}}}\right)=-{\frac {\mathrm {G} \,m_{1}\mathrm {M} }{1+m_{1}/m_{2}}}\left({\frac {{\vec {r}}_{1}}{r_{1}^{3}}}-{\frac {{\vec {r}}_{2}}{r_{2}^{3}}}\right)}

avec l'indice t pour tide (marée en anglais), et l'expression opposée pour la masse 2. Dans la dernière expression1, on a utilisé l'écriture de la force gravitationnelle sur la masse 1

   F → 1 = − G m 1 M r → 1 / r 1 3 {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{1}=-\mathrm {G} \,m_{1}\mathrm {M} {\vec {r}}_{1}/r_{1}^{3}} {\vec {{\mathrm {F}}}}_{1}=-{\mathrm {G}}\,m_{1}{\mathrm {M}}{\vec {r}}_{1}/r_{1}^{3}

où r → 1 {\displaystyle {\vec {r}}_{1}} {\vec {r}}_{1} est le vecteur qui part du CM de l'astre primaire et se termine au CM de la masse 1.

Dans la majorité des situations; le rapport m1/m2 est petit et c'est pourquoi 1 + m 1 / m 2 ≈ 1 {\displaystyle 1+m_{1}/m_{2}\approx 1} {\displaystyle 1+m_{1}/m_{2}\approx 1}dans l'expression ci-dessus, ce qui fait disparaitre la masse m2 de l'expression. C'est le cas en particulier de la force de marée induite par la lune entre la terre (masse m2) et une masse d'eau de l'océan (masse m1) ou un fragment de la croûte terrestre ou un satellite artificiel de la terre. Alors le centre de masse 1-2 est celui de la masse m2 et on notera r → 2 = − R → {\displaystyle {\vec {r}}_{2}=-{\vec {\mathrm {R} }}} {\displaystyle {\vec {r}}_{2}=-{\vec {\mathrm {R} }}} le vecteur qui va de l'astre primaire au CM de la masse lourde et r → {\displaystyle {\vec {r}}} \vec{r} le rayon vecteur entre les deux masses, comme sur la figure. On posera

   m1 = m

et

   r → 1 = − R → + r → {\displaystyle {\vec {r}}_{1}=-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}}} {\displaystyle {\vec {r}}_{1}=-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}}}.

L'expression de la force de marée devient

   F → t = − G m M ( − R → + r → ( R 2 + 2 r → R → + r 2 ) 3 / 2 − − R → R 3 ) {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M} \left({\frac {-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}}}{(\mathrm {R} ^{2}+2\,{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}+r^{2})^{3/2}}}-{\frac {-{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} ^{3}}}\right)} {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M} \left({\frac {-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}}}{(\mathrm {R} ^{2}+2\,{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}+r^{2})^{3/2}}}-{\frac {-{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} ^{3}}}\right)}

On s'intéresse aux situations où r/R est très petit et où on peut utiliser le développement limité

   ( 1 + ε ) α = 1 + α ε + O ( ε 2 ) {\displaystyle (1+\varepsilon )^{\alpha }=1+\alpha \,\varepsilon +\mathrm {O} (\varepsilon ^{2})} (1+\varepsilon )^{\alpha }=1+\alpha \,\varepsilon +{\mathrm {O}}(\varepsilon ^{2}) (α = -3/2), ce qui donne
   F → t = − G m M R 3 ( ( − R → + r → ) ( 1 + 3 r → R → R 2 + O ( ( r / R ) 2 ) ) + R → ) {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-{\frac {\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M} }{\mathrm {R} ^{3}}}\left((-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}})\left(1+{\frac {3{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} ^{2}}}+\mathrm {O} ((r/\mathrm {R} )^{2})\right)+{\vec {\mathrm {R} }}\right)} {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-{\frac {\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M} }{\mathrm {R} ^{3}}}\left((-{\vec {\mathrm {R} }}+{\vec {r}})\left(1+{\frac {3{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} ^{2}}}+\mathrm {O} ((r/\mathrm {R} )^{2})\right)+{\vec {\mathrm {R} }}\right)}

Le premier terme non négligeable est la force de marée représentée en direction et intensité sur la figure 2

   F → t = − G m M R 3 ( r → − 3 R → ( r → R → R 2 ) ) . {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-{\frac {\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M} }{\mathrm {R} ^{3}}}\left({\vec {r}}-3\,{\vec {\mathrm {R} }}\left({\frac {{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} ^{2}}}\right)\right).} {\vec {{\mathrm {F}}}}_{{\mathrm {t}}}=-{\frac {{\mathrm {G}}\,m\,{\mathrm {M}}}{{\mathrm {R}}^{{3}}}}\left({\vec {r}}-3\,{\vec {{\mathrm {R}}}}\left({\frac {{\vec {r}}{\vec {{\mathrm {R}}}}}{{\mathrm {R}}^{2}}}\right)\right).

La force de marée induite par la Lune, astre primaire, qui régit le mouvement relatif du satellite S par rapport à la Terre est représentée en rouge en direction et en intensité par les flèches. Notons la symétrie par rapport au centre de la Terre.

Évidemment, la force de marée exercée par la masse m sur M est l'opposée ; cependant ces forces n'ont pas le même support et elles engendrent un couple qui tend à aligner les trois astres. Notons, et ce n'est pas du tout intuitif, que les forces sont opposées pour deux points opposés de la masse M (par exemple l'un plus proche de l'astre primaire, l'autre plus loin du côté opposé ce qui explique le caractère semi-diurne de nos marées), et correspondent à des forces centrifuges maximales lorsque les trois masses sont alignées r → ⋅ R → = ± r R {\displaystyle {\vec {r}}\cdot {\vec {\mathrm {R} }}=\pm r\mathrm {R} } {\vec {r}}\cdot {\vec {{\mathrm {R}}}}=\pm r{\mathrm {R}} d'intensité 2 G m M r / R 3 {\displaystyle 2\mathrm {G} m\mathrm {M} r/\mathrm {R} ^{3}} 2{\mathrm {G}}m{\mathrm {M}}r/{\mathrm {R}}^{3} et à des forces centripètes d'intensité deux fois plus faibles dans le plan équatorial à cette ligne c.-à-d. r → ⋅ R → = 0 {\displaystyle {\vec {r}}\cdot {\vec {\mathrm {R} }}=0} {\vec {r}}\cdot {\vec {{\mathrm {R}}}}=0.

On peut reprendre pas à pas le même raisonnement dans le cas où il y a plusieurs astres primaires induisant une action gravitationnelle indirecte entre les masses 1 et 2 pour montrer que la force de marée totale est la somme vectorielle des forces de marée dues à chaque astre avec une intensité qui va comme le rapport M/R3 de chaque astre primaire. C'est ainsi que les forces de marées sur et au voisinage de la Terre, dues au Soleil représentent la moitié de celles dues à la Lune (le Soleil est situé beaucoup plus loin que la Lune mais sa masse est beaucoup plus importante).
Limite de Roche
Article détaillé : Limite de Roche.

La force de marée centrifuge dans le cas où les deux masses et l'astre primaire sont alignées peut dépasser l'attraction gravitationnelle directe entre les deux masses. Imaginons par exemple que l'astre primaire soit une planète de masse volumique constante ρP, de rayon RP donc de masse

   M P = 4 π 3 ρ P R P 3 {\displaystyle M_{P}={\frac {4\,\pi }{3}}\,\rho _{P}\,R_{P}^{3}} {\displaystyle M_{P}={\frac {4\,\pi }{3}}\,\rho _{P}\,R_{P}^{3}}

que la masse m2 soit un satellite naturel de rayon RS fait de matière de masse volumique ρS donc de masse

   m 2 = M S = 4 π 3 ρ S R S 3 {\displaystyle m_{2}=M_{S}={\frac {4\,\pi }{3}}\,\rho _{S}\,R_{S}^{3}} {\displaystyle m_{2}=M_{S}={\frac {4\,\pi }{3}}\,\rho _{S}\,R_{S}^{3}}.

À la surface du satellite sur une masse test m1 = m, la force centrifuge de marée due à la planète est égale, ainsi que nous l'avons vu, à

   F t = 2 G m M P R S / d 3 {\displaystyle \mathrm {F_{t}} =2\mathrm {G} m\mathrm {M_{P}} \mathrm {R_{S}} /d^{3}} {\displaystyle \mathrm {F_{t}} =2\mathrm {G} m\mathrm {M_{P}} \mathrm {R_{S}} /d^{3}}

où d est la distance du satellite à sa planète. Quant à la force d'attraction gravitationnelle que le satellite exerce sur la masse test, elle vaut, en vertu de la loi de Newton

   F a = G m M S / R S 2 {\displaystyle \mathrm {F_{a}} =\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M_{S}} /\mathrm {R_{S}} ^{2}} {\mathrm {F_{a}}}={\mathrm {G}}\,m\,{\mathrm {M_{S}}}/{\mathrm {R_{S}}}^{2}.

Tant que la force de marée est inférieure à la force d'attraction, la masse test reste liée au satellite; dès qu'elle devient supérieure la masse test est arrachée. Il existe une limite dR de la distance de la planète au satellite, appelée limite de Roche3, donnée par

   Ft = Fa

en deçà de laquelle le satellite se brise sous l'effet de la force de marée. Le calcul de cette limite est immédiat :

   d R = R P ( 2 ρ P ρ S ) 1 / 3 {\displaystyle \mathrm {d_{R}} =\mathrm {R_{P}} \left({\frac {2\rho _{\mathrm {P} }}{\rho _{\mathrm {S} }}}\right)^{1/3}} {\mathrm {d_{R}}}={\mathrm {R_{P}}}\left({\frac {2\rho _{{\mathrm {P}}}}{\rho _{{\mathrm {S}}}}}\right)^{{1/3}}

Marées océanique et terrestre

Cette force de marée due à la Lune et au Soleil entre la Terre et une masse d'eau de l'océan modifie périodiquement la surface du globe qui tourne sur lui-même, ce qui se traduit par les marées océaniques. Mais il en est de même pour un fragment de la croûte terrestre bien que solide ; ce phénomène constitue les marées terrestres. Il en résulte une déformation périodique de la surface de la terre et des océans.

Pour estimer l'ordre de grandeur de cette déformation, imaginons le géoïde terrestre comme une goutte liquide statique. Sa surface doit être une équipotentielle de la somme des potentiels gravitationnel, centrifuge (rotation propre de la terre) et de marée. Si on ne prend pas en compte ce potentiel de marée, cette équipotentielle est un ellipsoïde de révolution étudié par Maclaurin. À une altitude z au-dessus de cet ellipsoïde, le potentiel est g z où g est l'accélération locale de la pesanteur.

Il est facile de vérifier que le potentiel dont dérive la force de marée F → t = − m ∇ → V t {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-m\;{\vec {\nabla }}\mathrm {V_{t}} } {\displaystyle {\vec {\mathrm {F} }}_{\mathrm {t} }=-m\;{\vec {\nabla }}\mathrm {V_{t}} } (avec m {\displaystyle m} m la masse du point matériel considéré) est donné par

   V t ( r ) → = G M 2 R 3 ( r 2 − 3 ( r → R → R ) 2 ) {\displaystyle \mathrm {V_{t}} ({\vec {r)}}={\frac {\mathrm {G} \mathrm {M} }{2\mathrm {R} ^{3}}}\left(r^{2}-3\left({\frac {{\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}}{\mathrm {R} }}\right)^{2}\right)} {\mathrm {V_{t}}}({\vec {r)}}={\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M}}}{2{\mathrm {R}}^{3}}}\left(r^{2}-3\left({\frac {{\vec {r}}{\vec {{\mathrm {R}}}}}{{\mathrm {R}}}}\right)^{2}\right)

En prenant la lune comme seul astre primaire (R est la distance terre-lune), l'équation de l'équipotentielle qui détermine la forme de la surface d'une goutte liquide est

   g z + G M L 2 R 3 ( r 2 − 3 ( r → R → / R ) 2 ) = C s t e {\displaystyle gz+{\frac {\mathrm {G} \mathrm {M_{L}} }{2\mathrm {R} ^{3}}}\left(r^{2}-3({\vec {r}}{\vec {\mathrm {R} }}/\mathrm {R} )^{2}\right)=\mathrm {Cste} } gz+{\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M_{L}}}}{2{\mathrm {R}}^{3}}}\left(r^{2}-3({\vec {r}}{\vec {{\mathrm {R}}}}/{\mathrm {R}})^{2}\right)={\mathrm {Cste}}

Il existe deux points de la surface ( r ≃ R T {\displaystyle r\simeq \mathrm {R_{T}} } r\simeq {\mathrm {R_{T}}}) du globe sur la droite partant du centre de la terre vers la lune ( r → {\displaystyle {\vec {r}}} \vec{r} parallèle à R → {\displaystyle {\vec {\mathrm {R} }}} {\vec {{\mathrm {R}}}}) où la force de marée est maximale, centrifuge. Il existe une ligne de points, intersection du globe avec un plan perpendiculaire à cette droite passant par le centre de la terre, tels que r → {\displaystyle {\vec {r}}} \vec{r} perpendiculaire à R → {\displaystyle {\vec {\mathrm {R} }}} {\vec {{\mathrm {R}}}}. Ainsi, en notant zh et zb les altitudes pour ces deux situations, l'égalité des potentiels s'écrit, en admettant que l'accélération locale de la pesanteur reste inchangée,

   g z h + G M L 2 R 3 ( r 2 − 3 ( r R / R ) 2 ) = g z b + G M L 2 R 3 r 2 {\displaystyle gz_{\mathrm {h} }+{\frac {\mathrm {G} \mathrm {M_{L}} }{2\mathrm {R} ^{3}}}\left(r^{2}-3(r\mathrm {R} /\mathrm {R} )^{2}\right)=gz_{\mathrm {b} }+{\frac {\mathrm {G} \mathrm {M_{L}} }{2\mathrm {R} ^{3}}}r^{2}} gz_{{\mathrm {h}}}+{\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M_{L}}}}{2{\mathrm {R}}^{3}}}\left(r^{2}-3(r{\mathrm {R}}/{\mathrm {R}})^{2}\right)=gz_{{\mathrm {b}}}+{\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M_{L}}}}{2{\mathrm {R}}^{{3}}}}r^{{2}}

La différence d'altitude maximale zh - zb (marnage) due à la marée est de

   ( 3 G M L R T 2 ) / ( 2 g R 3 ) {\displaystyle (3\mathrm {G} \mathrm {M_{L}} \mathrm {R_{T}} ^{2})/(2g\mathrm {R} ^{3})} {\displaystyle (3\mathrm {G} \mathrm {M_{L}} \mathrm {R_{T}} ^{2})/(2g\mathrm {R} ^{3})},

soit, tenant compte de la relation

   g = G M T / R T 2 {\displaystyle g=\mathrm {G} \mathrm {M_{T}} /\mathrm {R_{T}} ^{2}} g={\mathrm {G}}{\mathrm {M_{T}}}/{\mathrm {R_{T}}}^{2},

environ

   ( 3 M L R T 4 ) / ( 2 M T R 3 ) {\displaystyle (3\mathrm {M_{L}} \mathrm {R_{T}} ^{4})/(2\mathrm {M_{T}} \mathrm {R} ^{3})} (3{\mathrm {M_{L}}}{\mathrm {R_{T}}}^{4})/(2{\mathrm {M_{T}}}{\mathrm {R}}^{3}).

Cette valeur vaut 0,5 m ; si on tient compte en plus de l'action du soleil dans une configuration où terre-lune-soleil sont alignés (syzygie) cette valeur monte à 0,75 m. La valeur réelle des marées océaniques diffère considérablement de cette valeur.

L'explication de cette différence repose sur de nombreuses considérations. Il y a d'abord un phénomène complexe de résonance. La période propre des océans est relativement longue, environ 30 heures. Cela veut dire que si la lune disparaissait soudain, le niveau des océans oscillerait avec une période de 30 heures et une amplitude décroissant progressivement jusqu'à ce que l'énergie emmagasinée soit dissipée (cette valeur de 30 h est fonction uniquement de la gravité terrestre et de la profondeur moyenne des océans, on peut consulter l'article Tsunami). La lune stimule les océans avec une période d'environ 12 heures 25 minutes, la moitié du jour lunaire. Cette différence entre la période de la stimulation et la période propre d'oscillation explique le retard de marée d'environ six heures, c'est-à-dire que la marée basse se produit quand la lune culmine supérieurement ou inférieurement, un résultat tout à fait opposé à l'intuition commune.

Entre en cause ensuite la topographie : avec une configuration en entonnoir (l'ensemble Manche/baie du mont Saint-Michel est l'un des exemples les plus fameux), l'effet de la marée est localement amplifié. Inversement, une mer fermée comme la Méditerranée connaît des marées faibles.

La période propre d'oscillation de la croûte terrestre est d'environ 57 minutes, beaucoup plus petite que la période de stimulation de marée ; aussi la marée terrestre est-elle en phase avec la lune. Son amplitude est de l'ordre de quelques dizaines de centimètres.

Déjà bien connue des grecs qui avait observé la variation de débit des sources liée aux phases de la lune. Cette marée terrestre d'environ 25 cm a, un moment, troublé les physiciens du Cern dans l'analyse de leurs résultats. Elle modifiait la trajectoire des particules tournant dans cet immense accélérateur avec une périodicité anormale. Il n'y a cependant, pour le moment, aucune preuve que ce mouvement imperceptible de la croûte terrestre soit lié aux déclenchements de tremblements de terre4.

Une conséquence de cette déformation est la dissipation de marée5. Cette déformation a priori dans la direction de l'axe terre-lune, pratiquement fixe (un tour en 28 jours) est entraînée par la rotation de la terre par des forces de friction et par la présence des continents. Cela a deux conséquences : la friction diminue la vitesse de rotation et la lune s'éloigne de la terre. En effet, la résultante des forces d'attraction de la terre déformée par la lune n'est plus sur l'axe terre-lune mais légèrement entrainée par la rotation propre de la terre. Il y a donc une force infime qui accélère la lune pour la libérer.
Article connexe : Période de rotation.
Cas des trous noirs

Le cas le plus spectaculaire est celui d’un objet en orbite proche autour d’un trou noir stellaire (ou encore d’une étoile à neutrons). La masse proprement astronomique du trou noir et sa petite taille autorisent un corps (une étoile ou une planète) à s’en approcher beaucoup et alors la différence de force gravitationnelle entre les deux faces de l’objet est gigantesque. Cet écart est tel que tout corps un tant soit peu volumineux est déchiqueté par la force de marée. C’est ce qui explique le commentaire qui accompagne toujours les descriptions de ce qui arriverait à un vaisseau spatial qui plongerait dans un trou noir stellaire : il serait détruit par les forces de marée avant même d’en avoir atteint l’horizon.

Cependant, à l’extérieur du trou noir, l’effet diminue au fur et à mesure que sa masse augmente. Dans le cas d’un trou noir galactique, dont la masse se mesure en millions de masses solaires, le rayon de l’horizon est suffisamment grand pour que la force de marée à ses environs soit sans danger pour un être humain qui se trouverait là.

En effet, l’amplitude des effets de marées subi par un corps de taille a situé à une distance d d’une masse M s’écrit comme le produit du gradient du champ gravitationnel par la taille de l’objet, soit :

   g m ≃ G M a d 3 {\displaystyle g_{\mathrm {m} }\simeq {\frac {\mathrm {G} \mathrm {M} a}{d^{3}}}} g_{{\mathrm {m}}}\simeq {\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M}}a}{d^{3}}}

où G est la constante de Newton. Pour un être humain (où a vaut de l’ordre d’un mètre), la valeur maximale de gm supportable est de l’ordre de l’accélération de la pesanteur terrestre g ; cela correspond à une situation où une personne suspendue par les mains serait lestée d’une masse de l’ordre de 100 kilos, au-delà, elle serait écartelée. Cela correspond donc à la contrainte :

   M M T < d 3 a R T 2 {\displaystyle {\frac {\mathrm {M} }{\mathrm {M_{T}} }}<{\frac {d^{3}}{a\mathrm {R_{T}} ^{2}}}} {\frac {{\mathrm {M}}}{{\mathrm {M_{T}}}}}<{\frac {d^{3}}{a{\mathrm {R_{T}}}^{2}}}

où MT et RT correspondent à la masse et le rayon de la Terre.

Pour un trou noir, la taille R de l’horizon est donnée approximativement par la formule

   R ≃ G M c 2 {\displaystyle \mathrm {R} \simeq {\frac {\mathrm {G} \mathrm {M} }{c^{2}}}} {\mathrm {R}}\simeq {\frac {{\mathrm {G}}{\mathrm {M}}}{c^{2}}}.

Pour un observateur traversant l’horizon (d = R), la contrainte devient :

   M > c 3 G a g {\displaystyle \mathrm {M} >{\frac {c^{3}}{\mathrm {G} }}{\sqrt {\frac {a}{g}}}} {\mathrm {M}}>{\frac {c^{3}}{{\mathrm {G}}}}{\sqrt {{\frac {a}{g}}}}

soit de l’ordre de la centaine de milliers de masses solaires. Pour un trou noir plus massif comme un trou noir galactique, il est donc possible de passer l’horizon sans dommage.

'Space Butterfly' Is Home to Hundreds of Baby Stars...

What looks like a red butterfly in space is in reality a nursery for hundreds of baby stars, revealed in this infrared image from NASA's Spitzer Space Telescope. Officially named Westerhout 40 (W40), the butterfly is a nebula - a giant cloud of gas and dust in space where new stars may form. The butterfly's two "wings" are giant bubbles of hot, interstellar gas blowing from the hottest, most massive stars in this region.

Besides being beautiful, W40 exemplifies how the formation of stars results in the destruction of the very clouds that helped create them. Inside giant clouds of gas and dust in space, the force of gravity pulls material together into dense clumps. Sometimes these clumps reach a critical density that allows stars to form at their cores. Radiation and winds coming from the most massive stars in those clouds - combined with the material spewed into space when those stars eventually explode - sometimes form bubbles like those in W40. But these processes also disperse the gas and dust, breaking up dense clumps and reducing or halting new star formation.

The material that forms W40's wings was ejected from a dense cluster of stars that lies between the wings in the image. The hottest, most massive of these stars, W40 IRS 1a, lies near the center of the star cluster. W40 is about 1,400 light-years from the Sun, about the same distance as the well-known Orion nebula, although the two are almost 180 degrees apart in the sky. They are two of the nearest regions in which massive stars - with masses upwards of 10 times that of the Sun - have been observed to be forming.

Another cluster of stars, named Serpens South, can be seen to the upper right of W40 in this image. Although both Serpens South and the cluster at the heart of W40 are young in astronomical terms (less than a few million years old), Serpens South is the younger of the two. Its stars are still embedded within their cloud but will someday break out to produce bubbles like those of W40. Spitzer has also produced a more detailed image of the Serpens South cluster.

A mosaic of Spitzer's observation of the W40 star-forming region was originally published as part of the Massive Young stellar clusters Study in Infrared and X-rays (MYStIX) survey of young stellar objects.

The Spitzer picture is composed of four images taken with the telescope's Infrared Array Camera (IRAC) during Spitzer's prime mission, in different wavelengths of infrared light: 3.6, 4.5, 5.8 and 8.0 ?m (shown as blue, green, orange and red). Organic molecules made of carbon and hydrogen, called polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs), are excited by interstellar radiation and become luminescent at wavelengths near 8.0 microns, giving the nebula its reddish features. Stars are brighter at the shorter wavelengths, giving them a blue tint. Some of the youngest stars are surrounded by dusty disks of material, which glow with a yellow or red hue.

The Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California, manages the Spitzer Space Telescope mission for NASA's Science Mission Directorate in Washington. Science operations are conducted at the Spitzer Science Center at Caltech in Pasadena. Space operations are based at Lockheed Martin Space Systems in Littleton, Colorado. Data are archived at the Infrared Science Archive housed at IPAC at Caltech. Caltech manages JPL for NASA.

More information on Spitzer can be found at its website:

http://www.spitzer.caltech.edu/

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2019-050

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TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
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Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. Empty
MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 7:52

Une étoile à neutrons est un astre principalement composé de neutrons maintenus ensemble par les forces de gravitation. De tels objets sont le résidu compact issu de l'effondrement gravitationnel du cœur d'une étoile massive quand celle-ci a épuisé son combustible nucléaire. Cet effondrement s'accompagne d'une explosion des couches externes de l'étoile, qui sont complètement disloquées et rendues au milieu interstellaire, phénomène appelé supernova. Le résidu compact n'a d'étoile que le nom : il n'est plus le siège de réactions nucléaires et sa structure est radicalement différente de celle d'une étoile ordinaire. Sa masse volumique est en effet extraordinairement élevée, de l'ordre de mille milliards de tonnes par litre, et sa masse comprise dans une fourchette très étroite, entre 1,4 et 3,2 fois la masse du Soleil (voir masse de Chandrasekhar). Ainsi, une étoile à neutrons est une boule de seulement 20 à 40 kilomètres de diamètre.

À leur naissance, les étoiles à neutrons sont dotées d'une vitesse de rotation très élevée, de plusieurs dizaines de tours par seconde. Elles possèdent également un champ magnétique très intense, allant jusqu'à 1011 teslas. Leur intérieur est également très atypique, étant principalement composé de neutrons à l'état superfluide et en proportions plus modestes, de protons et d'électrons. Le milieu est supraconducteur. La région la plus centrale d'une étoile à neutrons est actuellement mal connue du fait de sa densité trop élevée. Elle peut être composée de neutrons ou de formes de matière plus exotiques ; c'est en fait un état inconnu non actuellement déterminé ni déterminable en physique.

Selon les circonstances, une étoile à neutrons peut se manifester sous divers aspects. Si elle tourne rapidement sur elle-même et qu'elle possède un puissant champ magnétique, elle projette alors le long de son axe magnétique un mince pinceau traversant ou pas de radiations, et un observateur placé approximativement dans la direction de cet axe observera une émission pulsée par un effet de phare, appelée pour cette raison pulsar. Une étoile à neutrons située dans un système binaire peut arracher de la matière à son étoile compagnon et donner lieu à une émission pulsée ou continue dans le domaine des rayons X et gamma. Isolée et sans son émission pulsée, une étoile à neutrons est nettement plus difficile à détecter car seule l'émission thermique de sa surface est éventuellement décelable.

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard
4 h il y a 4 heures
En réponse à @Senat @F_Menonville et
MON GRAND DÉBAT.
L’Amazonie s’empare du Muséum d’Histoire naturelle de Toulouse pour un voyage unique au cœur de la culture amazonienne.
! https://www.oka-amazonie.fr/  
Genesis, Knife.
https://www.youtube.com/watch?v=aDgh3C6klMQ …
Jupiter's Atmosphere Heats up under Solar Wind.
https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7369&utm_source=iContact&utm_medium=email&utm_campaign=nasajpl&utm_content=jupiter20190408-1 …
TAY

Title Dust devil detail. http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2019/04/Dust_devil_detail …
Genesis, Musical Box. https://www.youtube.com/watch?v=7X_3yOUKSOc …
Curiosity Captured Two Solar Eclipses on Mars. https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7366 …
LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER EST JÉRUSALEM DE SES MOSAÏQUES AUX CALLIGRAPHIES. AINSI EST YAHVÉ ET LA LIBERTÉ.
TAY

LE MINOTAURE DE TOULOUSE ET ARIANE. Stargazing technology used to spot cancer.
http://www.esa.int/Our_Activities/Telecommunications_Integrated_Applications/Stargazing_technology_used_to_spot_cancer …
Genesis The Fountain Of Salmacis. https://www.youtube.com/watch?v=In2fRySroH8 …
Europa Clipper High-Gain Antenna Undergoes Testing. https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7362 …
Y'BECCA.
TAY

TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard
4 h il y a 4 heures
En réponse à @KnessetIL
ISRAËL ET PALESTINE.
Graphing Sea.
https://www.jpl.nasa.gov/edu/teach/activity/graphing-sea-level-trends/?utm_source=iContact&utm_medium=email&utm_campaign=nasajpl-edu&utm_content=workshop20190404 …
Stagnation; Genesis.
https://www.youtube.com/watch?v=_EH9_exvM8g …
Glaciers lose nine trillion tonnes of ice in half a century.
http://www.esa.int/Our_Activities/Observing_the_Earth/Glaciers_lose_nine_trillion_tonnes_of_ice_in_half_a_century …
LA MER MORTE CRIE JÉRUSALEM : DIT LE CORBEAU DE YAHVÉ OU LA CORNEILLE.
Y'BECCA.
TAY

Dans le cadre de la relativité générale, un trou noir est défini comme une singularité gravitationnelle occultée par un horizon absolu appelé horizon des évènements. Selon la physique quantique, un trou noir est susceptible de s'évaporer par l'émission d'un rayonnement de corps noir appelé rayonnement de Hawking.

Un trou noir ne doit pas être confondu avec un trou blanc ni avec un trou de ver.

En effet, un trou noir se caractérise par un point que l’on appelle singularité gravitationnelle en lequel se concentre toute sa masse. Cette masse permet de définir une sphère appelée horizon du trou noir (ou des événements), centrée sur la singularité et dont le rayon est une limite maximale en deçà de laquelle le trou noir empêche tout rayonnement et a fortiori toute matière de s’échapper. Cette sphère représente en quelque sorte l’extension spatiale du trou noir. C’est ainsi que le terme « trou » est inapproprié : il serait plus correct de parler de « boule noire » pour conceptualiser concrètement sa forme physique réelle tridimensionnelle dans l’espace. Pour un trou noir de masse égale à celle du Soleil, son rayon vaut environ 3 kilomètresNote 1. À une distance interstellaire (en millions de kilomètres), un trou noir n’exerce pas plus d’attraction que n’importe quel autre corps de même masse ; il ne s’agit donc pas d’un « aspirateur » irrésistible. Par exemple, si le Soleil se trouvait remplacé par un trou noir de même masse, les orbites des corps tournant autour (planètes et autres) resteraient pour l'essentiel inchangées (seuls les passages à proximité de l'horizon induiraient un changement notable).

Il existe plusieurs sortes de trous noirs. Lorsqu’ils se forment à la suite de l’effondrement gravitationnel d’une étoile massive, on parle de trou noir stellaire, dont la masse équivaut à quelques masses solaires. Ceux qui se trouvent au centre des galaxies possèdent une masse bien plus importante pouvant atteindre plusieurs milliards de fois celle du Soleil ; on parle alors de trou noir supermassif (ou trou noir galactique). Entre ces deux échelles de masse, il existerait des trous noirs intermédiaires avec une masse de quelques milliers de masses solaires. Des trous noirs de masse bien plus faible, formés au début de l’histoire de l’Univers, peu après le Big Bang, sont aussi envisagés et sont appelés trous noirs primordiaux. Leur existence n’est, à l’heure actuelle, pas confirmée.

Il est par définition impossible d’observer directement un trou noir. Il est cependant possible de déduire sa présence de son action gravitationnelle : soit par les effets sur les trajectoires des étoiles proches ; soit au sein des microquasars et des noyaux actifs de galaxies, où de la matière, située à proximité, tombant sur le trou noir va se trouver considérablement chauffée et émettre un fort rayonnement X. Les observations permettent ainsi de déceler l’existence d’objets massifs et de très petite taille. Les seuls objets correspondant à ces observations et entrant dans le cadre de la relativité générale sont les trous noirs.

Want to talk about how to land spacecraft onto other planets? We're here for you. Looking for the latest news or in-depth stories about science, technology and exploration? We've got those, too.

And apparently, people have noticed. Seven of NASA's digital properties have been nominated for the 2019 Webby Awards, which recognize excellence in digital communications. Three others have been designated honorees in this year's awards.

"We're really excited to have all of these efforts recognized," said Bettina Inclán, NASA's associate administrator for communications. "They represent hundreds of people across NASA who are committed to bringing the excitement of exploration to everyone."

The social media efforts for NASA's InSight Mars lander, nominated in the Education & Discovery category, helped to make the hashtag #MarsLanding the No. 1 globally trending topic on Twitter on Nov. 26, 2018, the spacecraft's landing day. That day was also the Monday after Thanksgiving weekend in the United States, reputed to be the busiest online shopping day of the year. #MarsLanding trended higher than the hashtag #CyberMonday.

The combined excellence of all of NASA's flagship social media accounts led to nominations in the Corporate Communications and Best Overall Social Presence (Brand) categories. The agency reached 40 million followers on Instagram this year, with more than 30 million on Twitter and 21 million on Facebook.

Three NASA websites were nominated for Webbys: NASA.gov, the agency's flagship website, in the Government and Civil Innovation category; Solar System Exploration, for Science; and Global Climate Change, for Green. Now averaging nearly 8 million visits a month, NASA.gov has been the agency's primary website since the early 1990s. It has received 10 Webby Award nominations since 1998, winning the public People's Voice award 10 times and three juried Webbys. In 2018, Gizmodo named it one of the "100 Websites that Shaped the Internet as We Know It."

The Solar System Exploration site is NASA's real-time encyclopedia of deep-space exploration, with in-depth information on the variety of bodies found in our solar system and the missions that are exploring them. It has received three People's Voice awards and a Webby to date and receives about 750,000 visits a month.

The Global Climate Change site, established in 2009 and visited 1.2 million times monthly, has received two People's Voice awards and two Webbys, one each in the Science and Green categories. Since 2015, it has been the top Google search result for the query "climate change."

The video "The Call of Science," produced by NASA's Jet Propulsion Laboratory (JPL) was nominated in the 360 Video category. The video describes NASA research on glaciers and coral reefs, highlighting its importance in understanding changing environments.

JPL's social media efforts also received an "honoree" designation for Best Use of Earned Media. JPL's Open Source Rover is a Science Website honoree; and its podcast, "On a Mission" is a Science & Education Podcast honoree.

NASA has a long history of striving for digital distinction and has been honored by the Webby Awards over the years. Established in 1996 by the International Academy of Digital Arts and Sciences, the Webby Awards honor excellence on the internet, including websites, advertising and media, online film and video, mobile sites, apps and social media. The Webby in each category is awarded by a judging panel, but members of the public can register with the Webby Awards and vote for the People's Voice Award in each category. Members of the public can vote for their favorite sites and services in hundreds of categories until April 18; registration is required.

The InSight Mars lander social media, Solar Exploration Site and Global Climate Change site are managed for NASA by JPL, a division of Caltech in Pasadena, California. NASA's flagship social media accounts and NASA.gov are managed by the Office of Communications at NASA Headquarters, Washington.

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TÉMOIGNAGE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
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Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. Empty
MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 8:26

EN MÉMOIRE DE MINOUSKA LA CHATTE.

L'âge de l'Univers représente la durée écoulée depuis le Big Bang, c'est-à-dire la phase dense et chaude de l'histoire de l'univers. Ce terme ne préjuge pas que l'univers soit d'un âge fini, son état antérieur au Big Bang (s'il existe) étant à l'heure actuelle hors de portée de l'observation directe.

L'âge de l'Univers peut s'évaluer par plusieurs méthodes plus ou moins directes, qui convergent toutes vers une valeur de l'ordre de 14 milliards d'années. L'estimation aujourd'hui la plus précise est déduite des données du satellite artificiel Planck ; en les combinant avec d'autres (celles du WMAP par exemple), on obtient un âge d'environ 13,8 milliards d'années ou plus précisément de 13,799 ± 0,021 milliards d'années.

Yahweh, aussi écrit dans les publications Yahvé, Iahvé, Jéhovah, YHWH ou JHVH (de l'hébreu יהוה (yhwh)), est dans le milieu ouest-sémitique du Proche-Orient ancien étroitement associée à l'Israël antique, un des noms donnés au Très-Haut, le Dieu Créateur. Yahweh est vénéré dans les royaumes d'Israël et de Juda. Son sanctuaire principal est le premier Temple de Jérusalem. Dans la Bible hébraïque, Yahweh (YHWH) est présenté comme le Dieu national des Enfants d'Israël. En dehors de la Bible, l'archéologie a fourni des exemples du lien entre le théonyme Yahweh et les Israélites. La religion de l'Israël antique ressemble beaucoup à celle des autres peuples sémitiques du Proche-Orient ancien, notamment à celles de la zone syro-palestinienne. Le culte israélite développe cependant avec le temps des caractéristiques uniques qui l'isolent des autres religions.

The Cigar Galaxy (also known as M82) is famous for its extraordinary speed in making new stars, with stars being born 10 times faster than in the Milky Way. Now, data from the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, or SOFIA, have been used to study this galaxy in greater detail, revealing how material that affects the evolution of galaxies may get into intergalactic space.

Researchers found, for the first time, that the galactic wind flowing from the center of the Cigar Galaxy (M82) is aligned along a magnetic field and transports a very large mass of gas and dust - the equivalent mass of 50 million to 60 million Suns.

"The space between galaxies is not empty," said Enrique Lopez-Rodriguez, a Universities Space Research Association (USRA) scientist working on the SOFIA team. "It contains gas and dust - which are the seed materials for stars and galaxies. Now, we have a better understanding of how this matter escaped from inside galaxies over time."

Besides being a classic example of a starburst galaxy, which means it is forming an extraordinary number of new stars compared with most other galaxies, M82 also has strong winds blowing gas and dust into intergalactic space. Astronomers have long theorized that these winds would also drag the galaxy's magnetic field in the same direction, but despite numerous studies, there has been no observational proof of the concept.

Researchers using the airborne observatory SOFIA found definitively that the wind from the Cigar Galaxy not only transports a huge amount of gas and dust into the intergalactic medium, but also drags the magnetic field so it is perpendicular to the galactic disc. In fact, the wind drags the magnetic field more than 2,000 light-years across - close to the width of the wind itself.

"One of the main objectives of this research was to evaluate how efficiently the galactic wind can drag along the magnetic field," said Lopez-Rodriguez. "We did not expect to find the magnetic field to be aligned with the wind over such a large area."

These observations indicate that the powerful winds associated with the starburst phenomenon could be one of the mechanisms responsible for seeding material and injecting a magnetic field into the nearby intergalactic medium. If similar processes took place in the early universe, they would have affected the fundamental evolution of the first galaxies.

The results were published in January 2019 in the Astrophysical Journal Letters.

SOFIA's newest instrument, the High-resolution Airborne Wideband Camera-Plus, or HAWC+, uses far-infrared light to observe celestial dust grains, which align along magnetic field lines. From these results, astronomers can infer the shape and direction of the otherwise invisible magnetic field. Far-infrared light provides key information about magnetic fields because the signal is clean and not contaminated by emission from other physical mechanisms, such as scattered visible light.

"Studying intergalactic magnetic fields - and learning how they evolve - is key to understanding how galaxies evolved over the history of the universe," said Terry Jones, professor emeritus at the University of Minnesota, in Minneapolis, and lead researcher for this study. "With SOFIA's HAWC+ instrument, we now have a new perspective on these magnetic fields."

The HAWC+ instrument was developed and delivered to NASA by a multi-institution team led by the Jet Propulsion Laboratory. JPL scientist and HAWC+ Principal Investigator Darren Dowell, along with JPL scientist Paul Goldsmith, were part of the research team using HAWC+ to study the Cigar Galaxy.

SOFIA, the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, is a Boeing 747SP jetliner modified to carry a 106-inch diameter telescope. It is a joint project of NASA and the German Aerospace Center, DLR. NASA's Ames Research Center in California's Silicon Valley manages the SOFIA program, science and mission operations in cooperation with the Universities Space Research Association headquartered in Columbia, Maryland, and the German SOFIA Institute (DSI) at the University of Stuttgart. The aircraft is maintained and operated from NASA's Armstrong Flight Research Center Hangar 703, in Palmdale, California.

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Written by Kassandra Bell and Arielle Moullet, USRA SOFIA Science Center

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7345

Définition et ordre de grandeur

La relativité restreinte indique que la mesure d'une durée dépend de la trajectoire suivie par la personne mesurant cette durée. Pour préciser ce que l'on entend par âge de l'Univers, il faut donc préciser le type de mesure utilisé. L'Univers est un milieu relativement homogène et isotrope. Cela signifie qu'en un point donné, il est toujours possible d'avoir une trajectoire pour laquelle l'Univers apparaisse (à grande échelle) identique dans toutes les directions. Avec une relativement bonne approximation, une galaxie peut être considérée comme suivant une telle trajectoire. L'âge de l'Univers est donc la quantité qui aurait été mesurée par une horloge dont le mouvement suit celui d'une galaxie ou de la matière qui a contribué à sa formation.

Un ordre de grandeur de l'âge de l'Univers peut se déduire à partir de la mesure de son expansion. On observe en effet que les galaxies lointaines semblent animées d'un mouvement de récession par rapport à notre galaxie (la Voie lactée), et ce avec une vitesse d'autant plus grande que leur distance est importante. La spectroscopie permet de mesurer par effet Doppler la vitesse d'éloignement des galaxies. Par diverses méthodes, il est également possible de mesurer leur distance. L'observation révèle que la vitesse d'éloignement des galaxies est proportionnelle à leur distance. La constante de proportionnalité ainsi trouvée est appelée constante de Hubble, traditionnellement notée H ou H0. Celle-ci est estimée par diverses méthodes qui donnent la valeur approchée de 71 km s−1 Mpc−1 à 1 % près (mesures3 du 26 janvier 2010), revue à 67,9 km s−1 Mpc−1 (mars 2013), puis à 67,4 ± 0,5 km s−1 Mpc−1 (juillet 2018 ). Si l'on considère que la vitesse de récession des galaxies est constante au cours du temps, alors il est possible d'estimer quand la matière qui a formé une galaxie donnée était dans notre voisinage immédiat. Cette durée t peut se calculer et vaut :

t = 1 H 0 {\displaystyle t={\frac {1}{H_{0}}}} t={\frac {1}{H_{0}}}.

Avec les valeurs numériques données ci-dessus, on obtient :

t ∼ 13 , 819 o u ∼ 14 , 400 o u ∼ 14 , 507 × 10 9 a n s {\displaystyle t\sim 13,819\ ou\sim 14,400\ ou\sim 14,507\times 10^{9}\;{\rm {ans}}} {\displaystyle t\sim 13,819\ ou\sim 14,400\ ou\sim 14,507\times 10^{9}\;{\rm {ans}}}± 0,107 109 ans.

En réalité, la vitesse de récession des galaxies n'est pas constante au cours du temps. En particulier, elle était par le passé bien plus importante qu'aujourd'hui et a diminué pendant plusieurs milliards d'années. Par la suite s'est produit le phénomène de l'accélération de l'expansion de l'Univers, qui a vu la vitesse de récession des galaxies se mettre à augmenter. Les calculs précis, utilisant les équations de Friedmann et le modèle standard de la cosmologie, indiquent que ces deux effets se compensent à peu près, et que l'âge réel de l'Univers est très proche de la valeur de 14 milliards d'années donnée ci-dessus.

Prononciation

Le nom du Dieu d'Israël apparaît dans l'épigraphie de l'Israël antique et dans la Bible hébraïque où il figure plus de 7 000 fois. Ce nom s’écrivant avec les quatre lettres hébraïques yod/he/waw/he יהוה (yhwh), il est aussi appelé le « Tétragramme ». Comme l'hébreu biblique a une écriture principalement consonantique, la prononciation précise du tétragramme est inconnue. Au moins jusqu'au VIe siècle av. J.-C., il était régulièrement prononcé comme en attestent les lettres de Lakish écrites peu avant la destruction de Jérusalem en 586 av. J.-C.1. Mais depuis la période achéménide, les Juifs ont pris l'habitude de ne pas prononcer son nom et de le remplacer dans la liturgie par des expressions telles qu'Adonaï, en hébreu אדני ('ădōnāy), c'est-à-dire « le Seigneur »2. Lors de la traduction en grec de la Bible hébraïque dans la version de la Septante, YHWH est rendu par Kyrios (« Seigneur »). Lors de l'édition du texte massorétique de la Bible hébraïque vers le Xe siècle, les massorètes ont ajouté des signes diacritiques au texte hébraïque pour en assurer une lecture correcte. Ils ont alors vocalisé YHWH avec les voyelles du mot Adonaï, pour indiquer au lecteur de lire « le Seigneur ». yhwh est ainsi vocalisé ĕ-ō-ā (le ḥaṭef pataḥ [ă] vocalisant la lettre aleph de Adonaï devient un simple shewa [ĕ] lorsqu'il vocalise le yod de yhwh)3. Dans la Mishna, il est généralement écrit יְיָ. Le fait d'éviter de prononcer ce qui est considéré comme le nom propre de Dieu est généralement expliqué comme une marque de respect, pour ne pas le limiter ou le galvauder4. Selon la tradition rabbinique, le judaïsme avait adopté à l’époque de Siméon le Juste l’interdiction de transcrire ou de prononcer le nom divin. Selon Maïmonide, seuls les prêtres le prononçaient lors de certains rituels.

Le nom Yahweh est une transcription souvent utilisée dans les ouvrages scientifiques. Il correspond à la prononciation la plus souvent proposée6. La prononciation précise a fait l'objet de nombreuses conjectures. Les spécialistes supposent souvent deux vocalisations possibles pour yhwh : Yahweh ou Yahôh. Dans le premier cas, la troisième lettre du tétragramme, le vav, garde sa valeur de consonne ([w]), alors que dans le deuxième cas, le vav n’est qu'une mater lectionis servant à marquer un o long, dont l'allongement est précisé par le he final.

La transcription Yahweh est une convention basée sur des textes grecs tardifs. Elle a été obtenue en intercalant les deux voyelles « a » et « e » pour donner une forme prononçable aux quatre consonnes du tétragramme YHWH. Il est en effet rendu par Ἰάω (Iaō) chez Diodore de SicileN 1 (Ier siècle av. J.-C.)6. Elle peut être corroborée par des témoignages de Pères de l’Église5, comme Épiphane de Salamine qui cite Iabe comme un des noms de Dieu, et prononce Yahweh sous sa forme brève Ἰα (Yah)8 ou Clément d’Alexandrie qui donne Jave9. On trouve Ιαουε/Ιαουαι chez Clément d'Alexandrie (IIe siècle)N 2 et par Ιαβε/Ιαβαι chez Épiphane de Salamine (IVe siècle) et Théodoret de Cyr (Ve siècle). Dans les noms théophores apparaissant dans la Bible hébraïque, le texte massorétique le vocalise -yāhû, ce qui appuie le choix de cette vocalisation6. Des formes abrégées sont également utilisées, notamment lorsqu'il apparaît comme élément théophore dans des noms propres. En début de noms, on trouve les formes yĕhô et yô, à la fin yāhû et yāh3. Certaines de ces formes traduisent une origine géographique : Yo/Yaw est plus utilisé dans le royaume d'Israël au nord, alors qu'au sud, dans le royaume de Juda, c'est plutôt la forme Yah qui est employée. La forme Yahôh se base sur Irénée de Lyon10 (IIe siècle), qui rappelle que les Gnostiques prononcent Ἰαωθ (contraction de Iao et Sabaoth selon Thomas Römer) et que d’autres hérétiques prononcent Ἰαῶ . Origène d'Alexandrie (IIIe siècle) parle de la forme Iaō, en l'attribuant aux Gnostiques. Dans les documents araméens des Juifs d'Éléphantine en Haute-Égypte, le nom divin est écrit yhw ou yhh. Sa prononciation est donc approximativement Yehô ou Yahô, plutôt que Yahu. Un fragment du Lévitique en grec découvert à QumrânN 3 rend le tétragramme par Iaō.

La forme Yahweh est généralement utilisée dans les publications scientifiques13. Compte tenu des incertitudes, des chercheurs n'emploient que les seules consonnes et transcrivent simplement Yhwh11,6 ou YHWH. Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique a officiellement abandonné la prononciation de ce nom14. La forme hybride Jehovah résulte du mélange entre les consommes de YHWH et la vocalisation du texte massorétique (vocalisation ĕ-ō-ā du tétragramme Adonaï, « Seigneur »), produisant la forme « YĕHōWāH ». Elle apparaît chez les érudits chrétiens du Moyen ÂgeN 4,15. Il s’agirait alors d’une erreur d’interprétation et de prononciation de la part des érudits catholiques, car ces annotations indiquent en fait le terme qui doit être lu, « Seigneur », lorsque le Tétragramme apparaît dans le texte, et non la vocalisation du Tétragramme proprement dit.
Signification

Comme pour sa prononciation, l'étymologie du nom de Yahweh est discutée. Le nom Yahweh (« yhwh ») est généralement compris comme une forme verbale présentant la lettre préformante yod (« y »). Cette forme correspond à la conjugaison d'un verbe à la troisième personne du singulier de l'aspect inaccompli. Le thème verbal « hwh » peut être rapprochée de la racine sémitique hyy/hwy, qui signifie « être ». C'est d'ailleurs ainsi qu'un passage du livre de l'Exode le comprend puisque le nom יהוה (yhwh) (à la troisième personne) est mis en parallèle avec אהיה (ʾhyh) « je serai » (à la première personne)N 5. Il s'agit là d'une explication traditionnelle du nom de Yahweh, ou d'une interprétation propre du rédacteur biblique. Grammaticalement, la forme yhwh peut être soit une forme simple (qal), soit une forme causative (hiphil). L'identification de la forme verbale est rendue difficile par la méconnaissance de la vocalisation du nom yhwh. Si on retient la forme simple, Yahweh est « celui qui est », « celui qui se révèle ». À la forme causative, la signification serait plutôt « celui qui fait être », c'est-à-dire « celui qui crée ». Si la forme causative devait être retenue, ce serait la seule occurrence dans la Bible hébraïque de ce verbe à cette forme3.

Pour certains chercheurs, Yahweh serait une abréviation ou dérive d'une épithète du dieu El. Il peut s'agir de l'abréviation d'un nom de dieu, par exemple Yahweh-El (« puisse El être présent »), reconstruction basée sur le modèle du nom yʿqb ʾl (« puisse El le suivre ») attesté à Mari. Il peut aussi s'agir de l'abréviation d'une formule liturgique, par exemple yahwe sabaʾot (« celui qui crée les armées [célestes] ») ou El-Yahweh (« El qui se révèle lui-même »). Cette dernière proposition est une formule analogue à celle qu'on trouve dans le Psaume 118N. Selon cette suggestion, Yahweh était à l'origine une épithète de El avant de devenir une divinité distincte. La tradition israélite aurait abrégé la formule originelle pour ne garder que la forme verbale caractérisant l'activité du dieu. L'emploi d'un nom verbal pour désigner une divinité est un usage qui n'est pas propre aux Israélites. Il est attesté à Mari et chez les Arabes préislamiques18.

Yahweh étant vraisemblablement une divinité issue du panthéon sud-sémitique, on peut chercher un lien avec la racine arabe hwy (« détruire », à l'origine, Yahweh serait un dieu destructeur) ou des parallèles dans des divinités arabes préislamiques dont le nom se construit à partir d'une conjugaison à préformantes de verbes du type Yaǵūt (« il aide »), Ya‘ūq (« il protège »)19. Dans ce contexte, on peut aussi proposer une étymologie qui fait un parallèle avec l'arabe. Elle rapproche Yahweh de la racine hwy qui signifie notamment « tomber » ou « souffler ». À la forme causative, Yahweh serait « l'aigle, le vautour20 ou celui « qui tombe » sur sa proie21, ou encore celui qui fait tomber la pluie » ou les « éclairs », ou « celui qui fait souffler le vent ». Cette étymologie va dans le sens de considérer Yahweh comme un dieu de l'orage. Il présenterait donc un caractère proche du dieu cananéen Baal, dont le nom est à l'origine une épithète pour le dieu de l'orage Adad. L'explication de Julius Wellhausen23 sur une divinité du type dieu de l'orage est, en l'état actuel des connaissances, l'explication la plus satisfaisante bien qu'elle ne soit pas exempte, elle aussi, de problèmes. Des noms divins construits avec une conjugaison à préformante sont en effet, dans le monde sémitique ancien, plutôt rares et s'appliquent aux dieux mineurs. De plus, ces parallèles en conjugaison à préformante se trouvent généralement en forme apocopée.

Why Do Some Galactic Unions Lead to Doom ?

Three images from NASA's Spitzer Space Telescope show pairs of galaxies on the cusp of cosmic consolidations. Though the galaxies appear separate now, gravity is pulling them together, and soon they will combine to form new, merged galaxies. Some merged galaxies will experience billions of years of growth. For others, however, the merger will kick off processes that eventually halt star formation, dooming the galaxies to wither prematurely.

Only a few percent of galaxies in the nearby universe are merging, but galaxy mergers were more common between 6 billion and 10 billion years ago, and these processes profoundly shaped our modern galactic landscape. For more than 10 years, scientists working on the Great Observatories All-sky LIRG Survey, or GOALS, have been using nearby galaxies to study the details of galaxy mergers and to use them as local laboratories for that earlier period in the universe's history. The survey has focused on 200 nearby objects, including many galaxies in various stages of merging. The images above show three of those targets, imaged by Spitzer.

In these images, different colors correspond to different wavelengths of infrared light, which are not visible to the human eye. Blue corresponds to 3.6 microns, and green corresponds to 4.5 microns - both strongly emitted by stars. Red corresponds to 8.0 microns, a wavelength mostly emitted by dust.

One of the primary processes thought to be responsible for a sudden halt in star formation inside a merged galaxy is an overfed black hole. At the center of most galaxies lies a supermassive black hole - a powerful beast millions to billions of times more massive than the Sun. During a galactic merger, gas and dust are driven into the center of the galaxy, where they help make young stars and also feed the central black hole.

But this sudden burst of activity can create an unstable environment. Shockwaves or powerful winds produced by the growing black hole can sweep through the galaxy, ejecting large quantities of gas and shutting down star formation. Sufficiently powerful or repetitive outflows can hinder the galaxy's ability to make new stars.

The relationship between mergers, bursts of star formation, and black hole activity is complex, and scientists are still working to understand it fully. One of the newly merged galaxies is the subject of a detailed study with the W.M. Keck Observatory in Hawaii, in which GOALS scientists searched for galactic shockwaves driven by the central active galactic nucleus, an extremely bright object powered by a supermassive black hole feeding on material around it. The lack of shock signatures suggests that the role of active galactic nuclei in shaping galaxy growth during a merger may not be straightforward.

Merging galaxies in the nearby universe appear especially bright to infrared observatories like Spitzer. GOALS studies have also relied on observations of the target galaxies by other space-based observatories, including NASA's Hubble and Chandra space telescopes, the European Space Agency's Herschel satellite, as well as facilities on the ground, including the Keck Observatory, the National Science Foundation's Very Large Array and the Atacama Large Millimeter Array.

JPL manages the Spitzer Space Telescope mission for NASA's Science Mission Directorate in Washington. Science operations are conducted at the Spitzer Science Center at Caltech in Pasadena, California. Spacecraft operations are based at Lockheed Martin Space in Littleton, Colorado. Data are archived at the Infrared Science Archive housed at IPAC at Caltech.

More information about the GOALS survey is available at the following site:

http://goals.ipac.caltech.edu/

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2019-034

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Modèles cosmologiques
Théories

Atome primitif Classification de Bianchi Cosmologie branaire Cosmologie cordiste Dimensions supplémentaires Espace anti de Sitter Espace de Sitter Espace de Taub-NUT Expansion de l'Univers
Accélération de l'expansion de l'Univers Gravité quantique Inflation cosmique Théorie des cordes Univers de Milne

Principes

Principe anthropique Principe cosmologique Principe cosmologique parfait Principe de Copernic Principe de médiocrité Principe de causalité

Histoire et
destin de l'Univers

Pré-Big Bang Big Bang Univers primordial Frise chronologique du Big Bang Ère de Planck Big Bounce alias Univers phénix Big Chill alias Mort thermique de l'Univers Big Crunch Big Rip

Modèle standard

Modèle ΛCDM

Modèle non-standard

Modèle cyclique (cosmologie conforme cyclique (en)) Modèle OCDM Modèle SCDM Modèle cosmologique bi-métrique Théorie de l'état stationnaire

Paramètres

Âge de l'Univers Constante cosmologique Constante de Hubble Énergie noire Indice spectral Matière baryonique Matière noire Paramètre de densité Réionisation

Types

Univers d'Einstein Univers de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker Univers de Gödel Univers de Milne Univers de de Sitter Univers ekpyrotique Univers en tore bidimensionnel Univers fractal Univers hésitant Univers mixmaster

Problèmes

Problème de l'horizon Problème de la formation des structures Problème de la platitude

Autres concepts

Courbure spatiale Densité critique Forme de l'Univers Horizon cosmologique Horizon des évènements Horizon des particules Masse de l'Univers Univers observable

Non scientifique

Cosmologie religieuse Cosmogonie Créationnisme Dessein intelligent

Prononciation

Le nom du Dieu d'Israël apparaît dans l'épigraphie de l'Israël antique et dans la Bible hébraïque où il figure plus de 7 000 fois. Ce nom s’écrivant avec les quatre lettres hébraïques yod/he/waw/he יהוה (yhwh), il est aussi appelé le « Tétragramme ». Comme l'hébreu biblique a une écriture principalement consonantique, la prononciation précise du tétragramme est inconnue. Au moins jusqu'au VIe siècle av. J.-C., il était régulièrement prononcé comme en attestent les lettres de Lakish écrites peu avant la destruction de Jérusalem en 586 av. J.-C.1. Mais depuis la période achéménide, les Juifs ont pris l'habitude de ne pas prononcer son nom et de le remplacer dans la liturgie par des expressions telles qu'Adonaï, en hébreu אדני ('ădōnāy), c'est-à-dire « le Seigneur »2. Lors de la traduction en grec de la Bible hébraïque dans la version de la Septante, YHWH est rendu par Kyrios (« Seigneur »). Lors de l'édition du texte massorétique de la Bible hébraïque vers le Xe siècle, les massorètes ont ajouté des signes diacritiques au texte hébraïque pour en assurer une lecture correcte. Ils ont alors vocalisé YHWH avec les voyelles du mot Adonaï, pour indiquer au lecteur de lire « le Seigneur ». yhwh est ainsi vocalisé ĕ-ō-ā (le ḥaṭef pataḥ [ă] vocalisant la lettre aleph de Adonaï devient un simple shewa [ĕ] lorsqu'il vocalise le yod de yhwh)3. Dans la Mishna, il est généralement écrit יְיָ. Le fait d'éviter de prononcer ce qui est considéré comme le nom propre de Dieu est généralement expliqué comme une marque de respect1, pour ne pas le limiter ou le galvauder4. Selon la tradition rabbinique, le judaïsme avait adopté à l’époque de Siméon le Juste l’interdiction de transcrire ou de prononcer le nom divin. Selon Maïmonide, seuls les prêtres le prononçaient lors de certains rituels5.

Le nom Yahweh est une transcription souvent utilisée dans les ouvrages scientifiques. Il correspond à la prononciation la plus souvent proposée6. La prononciation précise a fait l'objet de nombreuses conjectures. Les spécialistes supposent souvent deux vocalisations possibles pour yhwh : Yahweh ou Yahôh. Dans le premier cas, la troisième lettre du tétragramme, le vav, garde sa valeur de consonne ([w]), alors que dans le deuxième cas, le vav n’est qu'une mater lectionis servant à marquer un o long, dont l'allongement est précisé par le he final7.

La transcription Yahweh est une convention basée sur des textes grecs tardifs. Elle a été obtenue en intercalant les deux voyelles « a » et « e » pour donner une forme prononçable aux quatre consonnes du tétragramme YHWH. Il est en effet rendu par Ἰάω (Iaō) chez Diodore de Sicile(Ier siècle av. J.-C.)6. Elle peut être corroborée par des témoignages de Pères de l’Église5, comme Épiphane de Salamine qui cite Iabe comme un des noms de Dieu, et prononce Yahweh sous sa forme brève Ἰα (Yah) ou Clément d’Alexandrie qui donne Jave9. On trouve Ιαουε/Ιαουαι chez Clément d'Alexandrie (IIe siècle)N et par Ιαβε/Ιαβαι chez Épiphane de Salamine (IVe siècle) et Théodoret de Cyr (Ve siècle). Dans les noms théophores apparaissant dans la Bible hébraïque, le texte massorétique le vocalise -yāhû, ce qui appuie le choix de cette vocalisation6. Des formes abrégées sont également utilisées, notamment lorsqu'il apparaît comme élément théophore dans des noms propres. En début de noms, on trouve les formes yĕhô et yô, à la fin yāhû et yāh. Certaines de ces formes traduisent une origine géographique : Yo/Yaw est plus utilisé dans le royaume d'Israël au nord, alors qu'au sud, dans le royaume de Juda, c'est plutôt la forme Yah qui est employée2. La forme Yahôh se base sur Irénée de Lyon (IIe siècle), qui rappelle que les Gnostiques prononcent Ἰαωθ (contraction de Iao et Sabaoth selon Thomas Römer) et que d’autres hérétiques prononcent Ἰαῶ . Origène d'Alexandrie (IIIe siècle) parle de la forme Iaō, en l'attribuant aux Gnostiques. Dans les documents araméens des Juifs d'Éléphantine en Haute-Égypte, le nom divin est écrit yhw ou yhh. Sa prononciation est donc approximativement Yehô ou Yahô, plutôt que Yahu. Un fragment du Lévitique en grec découvert à QumrânN 3 rend le tétragramme par Iaō.

La forme Yahweh est généralement utilisée dans les publications scientifiques13. Compte tenu des incertitudes, des chercheurs n'emploient que les seules consonnes et transcrivent simplement Yhwh11,6 ou YHWH. Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique a officiellement abandonné la prononciation de ce nom14. La forme hybride Jehovah résulte du mélange entre les consommes de YHWH et la vocalisation du texte massorétique (vocalisation ĕ-ō-ā du tétragramme Adonaï, « Seigneur »), produisant la forme « YĕHōWāH ». Elle apparaît chez les érudits chrétiens du Moyen ÂgeN 4,15. Il s’agirait alors d’une erreur d’interprétation et de prononciation de la part des érudits catholiques, car ces annotations indiquent en fait le terme qui doit être lu, « Seigneur », lorsque le Tétragramme apparaît dans le texte, et non la vocalisation du Tétragramme proprement dit.
Signification

Comme pour sa prononciation, l'étymologie du nom de Yahweh est discutée. Le nom Yahweh (« yhwh ») est généralement compris comme une forme verbale présentant la lettre préformante yod (« y »). Cette forme correspond à la conjugaison d'un verbe à la troisième personne du singulier de l'aspect inaccompli. Le thème verbal « hwh » peut être rapprochée de la racine sémitique hyy/hwy, qui signifie « être ». C'est d'ailleurs ainsi qu'un passage du livre de l'Exode le comprend puisque le nom יהוה (yhwh) (à la troisième personne) est mis en parallèle avec אהיה (ʾhyh) « je serai » (à la première personne)N 5. Il s'agit là d'une explication traditionnelle du nom de Yahweh, ou d'une interprétation propre du rédacteur biblique. Grammaticalement, la forme yhwh peut être soit une forme simple (qal), soit une forme causative (hiphil). L'identification de la forme verbale est rendue difficile par la méconnaissance de la vocalisation du nom yhwh. Si on retient la forme simple, Yahweh est « celui qui est », « celui qui se révèle ». À la forme causative, la signification serait plutôt « celui qui fait être », c'est-à-dire « celui qui crée »6. Si la forme causative devait être retenue, ce serait la seule occurrence dans la Bible hébraïque de ce verbe à cette forme3.

Pour certains chercheurs17, Yahweh serait une abréviation ou dérive d'une épithète du dieu El. Il peut s'agir de l'abréviation d'un nom de dieu, par exemple Yahweh-El (« puisse El être présent »), reconstruction basée sur le modèle du nom yʿqb ʾl (« puisse El le suivre ») attesté à Mari. Il peut aussi s'agir de l'abréviation d'une formule liturgique, par exemple yahwe sabaʾot (« celui qui crée les armées [célestes] ») ou El-Yahweh (« El qui se révèle lui-même »). Cette dernière proposition est une formule analogue à celle qu'on trouve dans le Psaume 118N. Selon cette suggestion, Yahweh était à l'origine une épithète de El avant de devenir une divinité distincte. La tradition israélite aurait abrégé la formule originelle pour ne garder que la forme verbale caractérisant l'activité du dieu. L'emploi d'un nom verbal pour désigner une divinité est un usage qui n'est pas propre aux Israélites. Il est attesté à Mari et chez les Arabes préislamiques.

Yahweh étant vraisemblablement une divinité issue du panthéon sud-sémitique, on peut chercher un lien avec la racine arabe hwy (« détruire », à l'origine, Yahweh serait un dieu destructeur) ou des parallèles dans des divinités arabes préislamiques dont le nom se construit à partir d'une conjugaison à préformantes de verbes du type Yaǵūt (« il aide »), Ya‘ūq (« il protège »). Dans ce contexte, on peut aussi proposer une étymologie qui fait un parallèle avec l'arabe. Elle rapproche Yahweh de la racine hwy qui signifie notamment « tomber » ou « souffler ». À la forme causative, Yahweh serait « l'aigle, le vautour20 ou celui « qui tombe » sur sa proie, ou encore celui qui fait tomber la pluie » ou les « éclairs », ou « celui qui fait souffler le vent ». Cette étymologie va dans le sens de considérer Yahweh comme un dieu de l'orage. Il présenterait donc un caractère proche du dieu cananéen Baal, dont le nom est à l'origine une épithète pour le dieu de l'orage Adad. L'explication de Julius Wellhausen sur une divinité du type dieu de l'orage est, en l'état actuel des connaissances, l'explication la plus satisfaisante bien qu'elle ne soit pas exempte, elle aussi, de problèmes. Des noms divins construits avec une conjugaison à préformante sont en effet, dans le monde sémitique ancien, plutôt rares et s'appliquent aux dieux mineurs. De plus, ces parallèles en conjugaison à préformante se trouvent généralement en forme apocopée.

The Cigar Galaxy (also known as M82) is famous for its extraordinary speed in making new stars, with stars being born 10 times faster than in the Milky Way. Now, data from the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, or SOFIA, have been used to study this galaxy in greater detail, revealing how material that affects the evolution of galaxies may get into intergalactic space.

Researchers found, for the first time, that the galactic wind flowing from the center of the Cigar Galaxy (M82) is aligned along a magnetic field and transports a very large mass of gas and dust - the equivalent mass of 50 million to 60 million Suns.

"The space between galaxies is not empty," said Enrique Lopez-Rodriguez, a Universities Space Research Association (USRA) scientist working on the SOFIA team. "It contains gas and dust - which are the seed materials for stars and galaxies. Now, we have a better understanding of how this matter escaped from inside galaxies over time."

Besides being a classic example of a starburst galaxy, which means it is forming an extraordinary number of new stars compared with most other galaxies, M82 also has strong winds blowing gas and dust into intergalactic space. Astronomers have long theorized that these winds would also drag the galaxy's magnetic field in the same direction, but despite numerous studies, there has been no observational proof of the concept.

Researchers using the airborne observatory SOFIA found definitively that the wind from the Cigar Galaxy not only transports a huge amount of gas and dust into the intergalactic medium, but also drags the magnetic field so it is perpendicular to the galactic disc. In fact, the wind drags the magnetic field more than 2,000 light-years across - close to the width of the wind itself.

"One of the main objectives of this research was to evaluate how efficiently the galactic wind can drag along the magnetic field," said Lopez-Rodriguez. "We did not expect to find the magnetic field to be aligned with the wind over such a large area."

These observations indicate that the powerful winds associated with the starburst phenomenon could be one of the mechanisms responsible for seeding material and injecting a magnetic field into the nearby intergalactic medium. If similar processes took place in the early universe, they would have affected the fundamental evolution of the first galaxies.

The results were published in January 2019 in the Astrophysical Journal Letters.

SOFIA's newest instrument, the High-resolution Airborne Wideband Camera-Plus, or HAWC+, uses far-infrared light to observe celestial dust grains, which align along magnetic field lines. From these results, astronomers can infer the shape and direction of the otherwise invisible magnetic field. Far-infrared light provides key information about magnetic fields because the signal is clean and not contaminated by emission from other physical mechanisms, such as scattered visible light.

"Studying intergalactic magnetic fields - and learning how they evolve - is key to understanding how galaxies evolved over the history of the universe," said Terry Jones, professor emeritus at the University of Minnesota, in Minneapolis, and lead researcher for this study. "With SOFIA's HAWC+ instrument, we now have a new perspective on these magnetic fields."

The HAWC+ instrument was developed and delivered to NASA by a multi-institution team led by the Jet Propulsion Laboratory. JPL scientist and HAWC+ Principal Investigator Darren Dowell, along with JPL scientist Paul Goldsmith, were part of the research team using HAWC+ to study the Cigar Galaxy.

SOFIA, the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, is a Boeing 747SP jetliner modified to carry a 106-inch diameter telescope. It is a joint project of NASA and the German Aerospace Center, DLR. NASA's Ames Research Center in California's Silicon Valley manages the SOFIA program, science and mission operations in cooperation with the Universities Space Research Association headquartered in Columbia, Maryland, and the German SOFIA Institute (DSI) at the University of Stuttgart. The aircraft is maintained and operated from NASA's Armstrong Flight Research Center Hangar 703, in Palmdale, California.

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Written by Kassandra Bell and Arielle Moullet, USRA SOFIA Science Center

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7345

Expansion de l'Univers, mais pas des objets astrophysiques

Contrairement à une idée parfois exprimée, l'expansion de l'Univers ne signifie pas que les objets astrophysiques voient leur taille varier : ce n'est que leur distance mutuelle qui varie au cours du temps, et ce uniquement pour des objets suffisamment éloignés. Si la dilatation de l'espace était identique à toute échelle, l'expansion de l'univers serait inobservable, puisque les instruments et moyens de mesure garderaient la même échelle relative aux distances mesurées.

Les forces nécessaires pour contrer le mouvement d'expansion à l'échelle d'un atome, d'une planète, d'une étoile, d'une galaxie, d'un amas de galaxies, sont suffisantes pour assurer la cohésion de ces objets. Il a été très facile à la force de gravitation, aux forces électromagnétiques ou à la force nucléaire forte de s'opposer à l'éloignement qui résultait de l'expansion de l'Univers.

Une façon intuitive de visualiser cela est de reprendre l'analogie de la toile élastique que l'on étire dans toutes les directions. Si l'on dessine des motifs sur la toile, alors ceux-ci grossissent en même temps qu'ils semblent s'éloigner les uns des autres lorsque l'on étire la toile. Par contre, si au lieu de dessiner des motifs, on colle sur la toile un objet rigide (une pièce de monnaie par exemple), alors, en étirant la toile, on va encore éloigner les objets les uns des autres, mais cette fois ils vont garder une taille constante. C'est un processus de ce type qui est à l'œuvre avec l'expansion de l'Univers.

La charge électrique est une notion abstraite, comparable à celle de masse, qui permet d'expliquer certains comportements. Contrairement à la masse, la charge électrique peut prendre deux formes, que l'expérience amène à considérer comme « opposées » ; on les qualifie arbitrairement de « positive » et « négative ».

Deux charges de même nature, deux charges positives par exemple, se repoussent, alors que deux charges de nature opposée s'attirent. On appelle ce phénomène interaction électromagnétique.

L'interaction entre les charges et un champ électromagnétique est la source d'une des quatre forces fondamentales. Ces champs électromagnétiques, en mécanique classique, obéissent aux équations de Maxwell.

La charge électrique peut être directement mesurée avec un électromètre. Son unité est le coulomb. Les particules observées possèdent des charges qui sont des multiples entiers de la charge élémentaire qui est une constante physique fondamentale (excepté pour les particules appelées quark qui ont une charge électrique correspondant à un entier multiplié par e/3). Les quarks ont des charges fractionnaires de -1/3 ou +2/3, mais des quarks libres n'ont jamais été observés. La raison théorique avancée pour expliquer cette observation est la liberté asymptotique. La nature discrète de la charge électrique a été démontrée par Robert Millikan dans l'expérience qui porte son nom.

La vitesse de la lumière dans le vide, communément notée c pour « célérité »2,3, est une constante physique universelle et un invariant relativiste (vitesse limite des théories relativistes), importante dans de nombreux domaines de la physique. Sa valeur exacte est 299 792 458 m/s (environ 3 × 108 m/s ou 300 000 km/s). Selon la relativité restreinte, la vitesse de la lumière dans le vide est la vitesse maximale que peuvent atteindre toutes formes de matière ou d'information dans l'univers.

Si cette vitesse est le plus souvent associée avec la lumière, elle définit plus largement la vitesse de toutes les particules sans masse et des variations de leurs champs associés dans le vide (y compris les rayonnements électromagnétiques et les ondes gravitationnelles). Ces particules et ondes voyagent à la vitesse c quel que soit le mouvement de la source émettrice ou le référentiel de l'observateur. Dans la théorie de la relativité, c permet de lier l'espace et le temps, et apparaît également dans la célèbre équation d'équivalence masse–énergie E = mc24.

La vitesse de la lumière n'est pas la même dans tous les milieux et se propage dans les matériaux transparents (tels que le verre, l'air, l'eau) à une vitesse inférieure à c. Le rapport de c sur v (vitesse dans un milieu) correspond à l'indice de réfraction n du milieu (n = c/v). Par exemple le verre a un indice de réfraction proche de 1,5, ce qui signifie que la lumière dans le verre se déplace à c/1,5 ≈ 200 000 km/s ; l'indice de réfraction de l'air pour la lumière visible est d'environ 1,0003, de sorte que la vitesse de la lumière dans l'air est d'environ 299 700 km/s.

Dans la vie de tous les jours, la lumière (et les autres ondes électromagnétiques) semble se propager instantanément, mais dans les calculs sur de longues distances sa vitesse entraîne des effets notables. Dans les communications avec des sondes spatiales par exemple, un message peut prendre de quelques minutes à quelques heures pour atteindre la sonde. De même, la lumière des étoiles a quitté ces astres depuis fort longtempsa, de sorte que l'on peut étudier l'histoire de l'univers par l'observation de ces objets distants : « plus l'on regarde loin, plus l'on regarde dans le passé ». La vitesse finie de la lumière limite également la vitesse théorique maximale des ordinateurs, car l'information envoyée de puce à puce prend un temps fini incompressible.

Ole Rømer est le premier à déduire (en 1676) (en) que la lumière voyage à une vitesse finie en observant le mouvement apparent et les émersions de la lune de Jupiter, Io. Malgré la rigueur de ses observations, de nombreux savants restent sceptiques quant à ce résultat. Par l'observation du phénomène d'aberration stellaire, dont on rend compte en tenant compte respectivement de la vitesse de la lumière d'une étoile observée et de la vitesse de rotation de la terre autour du Soleil, James Bradley confirma néanmoins en 1729 le résultat de Rømer et parvint à en donner une valeur acceptable. En 1810, l'expérience du Français Arago démontre que la vitesse de la lumière est constante (toujours la même). En 1865, James Clerk Maxwell définit la lumière comme une onde électromagnétique, et sa vitesse de déplacement comme c (notation présente en premier dans sa théorie sur l'électromagnétisme)5. En 1905, Albert Einstein postule que la vitesse de la lumière, c, est dans tout référentiel une constante et est indépendante du mouvement de la source de lumière6. Il explore les conséquences de ce postulat en décrivant la théorie de la relativité et, ce faisant, montre que le paramètre c est pertinent même en dehors des contextes de lumière et d'électromagnétisme.

Après des siècles d'amélioration des mesures, en 1975, la vitesse de la lumière est estimée à 299 792 458 m/s avec une incertitude de mesure d'environ 1 m/s. En 1983, le mètre est redéfini dans le Système International d'Unités (SI) comme la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde3 ; en conséquence, la valeur numérique de c en mètres par seconde est maintenant exacte, comme résultant de la définition du mètre.

In the nearby Whirlpool galaxy and its companion galaxy, M51b, two supermassive black holes heat up and devour surrounding material. These two monsters should be the most luminous X-ray sources in sight, but a new study using observations from NASA's NuSTAR (Nuclear Spectroscopic Telescope Array) mission shows that a much smaller object is competing with the two behemoths.

The most stunning features of the Whirlpool galaxy - officially known as M51a - are the two long, star-filled "arms" curling around the galactic center like ribbons. The much smaller M51b clings like a barnacle to the edge of the Whirlpool. Collectively known as M51, the two galaxies are merging.

At the center of each galaxy is a supermassive black hole millions of times more massive than the Sun. The galactic merger should push huge amounts of gas and dust into those black holes and into orbit around them. In turn, the intense gravity of the black holes should cause that orbiting material to heat up and radiate, forming bright disks around each that can outshine all the stars in their galaxies.

But neither black hole is radiating as brightly in the X-ray range as scientists would expect during a merger. Based on earlier observations from satellites that detect low-energy X-rays, such as NASA's Chandra X-ray Observatory, scientists believed that layers of gas and dust around the black hole in the larger galaxy were blocking extra emission. But the new study, published in the Astrophysical Journal, used NuSTAR's high-energy X-ray vision to peer below those layers and found that the black hole is still dimmer than expected.

"I'm still surprised by this finding," said study lead author Murray Brightman, a researcher at Caltech in Pasadena, California. "Galactic mergers are supposed to generate black hole growth, and the evidence of that would be strong emission of high-energy X-rays. But we're not seeing that here."

Brightman thinks the most likely explanation is that black holes "flicker" during galactic mergers rather than radiate with a more or less constant brightness throughout the process.

"The flickering hypothesis is a new idea in the field," said Daniel Stern, a research scientist at NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena and the project scientist for NuSTAR. "We used to think that the black hole variability occurred on timescales of millions of years, but now we're thinking those timescales could be much shorter. Figuring out how short is an area of active study."

Small but Brilliant

Along with the two black holes radiating less than scientists anticipated in M51a and M51b, the former also hosts an object that is millions of times smaller than either black hole yet is shining with equal intensity. The two phenomena are not connected, but they do create a surprising X-ray landscape in M51.

The small X-ray source is a neutron star, an incredibly dense nugget of material left over after a massive star explodes at the end of its life. A typical neutron star is hundreds of thousands of times smaller in diameter than the Sun - only as wide as a large city - yet has one to two times the mass. A teaspoon of neutron star material would weigh more than 1 billion tons.

Despite their size, neutron stars often make themselves known through intense light emissions. The neutron star found in M51 is even brighter than average and belongs to a newly discovered class known as ultraluminous neutron stars. Brightman said some scientists have proposed that strong magnetic fields generated by the neutron star could be responsible for the luminous emission; a previous paper by Brightman and colleagues about this neutron star supports that hypothesis. Some of the other bright, high-energy X-ray sources seen in these two galaxies could also be neutron stars.

NuSTAR is a Small Explorer mission led by Caltech and managed by JPL for NASA's Science Mission Directorate in Washington. NuSTAR was developed in partnership with the Danish Technical University and the Italian Space Agency (ASI). The spacecraft was built by Orbital Sciences Corporation in Dulles, Virginia (now part of Northrop Grumman). NuSTAR's mission operations center is at UC Berkeley, and the official data archive is at NASA's High Energy Astrophysics Science Archive Research Center. ASI provides the mission's ground station and a mirror archive. Caltech manages JPL for NASA

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2019-028

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7338

Apparaissant près de sept mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère en hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le IIIe siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane.

La vitesse de la lumière dans un milieu transparent est parfois notée c {\displaystyle c} c. Sa vitesse dans le vide est alors notée c 0 {\displaystyle c_{0}} c_{0}, conformément à la recommandation du Bureau international des poids et mesures12. L'indice 0 {\displaystyle _{0}} _{0} dénote le vide, comme dans les notations courantes de la perméabilité magnétique du vide μ 0 {\displaystyle \mu _{0}} \mu _{0}, de la permittivité diélectrique du vide ε 0 {\displaystyle \varepsilon _{0}} \varepsilon _{0} (on a ε 0 μ 0 c 0 2 = 1 {\displaystyle \varepsilon _{0}\mu _{0}c_{0}^{2}=1} {\displaystyle \varepsilon _{0}\mu _{0}c_{0}^{2}=1}) et de l'impédance caractéristique du vide Z 0 {\displaystyle Z_{0}} Z_{0} .

En 1920 se tint une réunion scientifique sur la nature des « nébuleuses », qui fut par la suite appelée Grand Débat. Elle opposa Harlow Shapley à Heber Doust Curtis, en désaccord sur le caractère extragalactique ou non de certaines nébuleuses, en particulier la galaxie d'Andromède. Le débat n'aboutit à aucune conclusion définitive faute de données suffisantes. C'est à partir de 1925 que Edwin Hubble put observer des céphéides grâce au télescope Hooker de 2,5 mètres de l'observatoire du Mont Wilson. Au moyen de la relation période-luminosité établie par Henrietta Leavitt, il calcula la distance de plusieurs nébuleuses et prouva leur nature extragalactique.

Dès 1927, Lemaître établit que les solutions cosmologiques issues de la relativité générale ne peuvent être statiques, et qu'en conséquence les objets y présentent des vitesses d'éloignement proportionnelles à leurs distances. Après plusieurs années d'observations, Edwin Hubble établit la relation entre vitesse de récession et distance de plusieurs nébuleuses rebaptisées galaxies, prouvant ainsi l'expansion de l'univers. Si cet astronome découvrit le phénomène brut, il resta perplexe quant à son interprétation.

NAGALÏÉW LA MOUETTE AUX YEUX VERTS ET LE CORBEAU DE YAHVÉ.

TÉMOIGNAGE DU
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ALIAS
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Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. Empty
MessageSujet: Re: Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7.   Grottes de Rising Star et Olduvai Hominid 7. EmptyMar 9 Avr à 8:36

L'expansion de l'Univers est modélisée par la théorie de la relativité générale. Celle-ci stipule que l'Univers dans son ensemble est soumis aux forces imposées par les différentes formes de matière qui le composent, et qu'il ne peut donc demeurer statique : il est soit mû par une force centrifuge qui le fait s'étendre (expansion consécutive au Big Bang et qui pourrait aboutir au Big Rip), soit dépourvu d'une telle force, et alors ses forces centripètes de gravitation prendront le dessus sur l'expansion et feront se ramasser l'univers jusqu'au Big Crunch. Dans le cadre des modèles d'univers les plus classiques, notamment celui des univers de Friedmann, l'expansion ralentit au cours du temps.

Réciproquement, l'expansion de l'Univers exerce une influence sur la densité et la pression de cette matière. Ainsi, c'est la connaissance des propriétés physiques de ces formes de matière (en particulier, leur équation d'état) qui permet de prédire le comportement de l'expansion. Les équations qui la décrivent sont connues sous le nom d'équations de Friedmann. Les observations permettent non seulement de connaître le taux d'expansion actuel de l'Univers (la constante de Hubble à l'instant présent), mais aussi celui de l'Univers par le passé, fournissant indirectement des informations sur les formes de matière qui emplissent l'Univers.

En 1998, deux équipes d'astronomes, le Supernova Cosmology Project et la High-Z supernovae search team, respectivement dirigées par Saul Perlmutter et Brian P. Schmidt, sont parvenues au résultat inattendu que l'expansion de l'Univers semble s'accélérer. Ce résultat est surprenant car il n'existe aucune théorie pour l'interpréter. Il implique en effet l'existence d'une forme inconnue de matière dont la pression serait négative, avec un comportement répulsif et non pas attractif vis-à-vis de la gravitation. Cette forme hypothétique et inhabituelle de matière, de nature inconnue, est communément appelée énergie sombre ou parfois constante cosmologiquenote 4 et représente à l'heure actuelle un des problèmes non résolus de la cosmologie moderne. En 2011, le prix Nobel de physique est attribué à S. Perlmutter, B. P. Schmidt et A. G. Riess pour cette découverte.

Le parc national de Grand Teton, ou Grand Teton National Park en anglais, est un parc national américain situé au nord-ouest de l'État du Wyoming, aux États-Unis.

Couvrant une superficie de 1 254 km2, ce parc est célèbre pour ses paysages montagneux dominés par le Grand Teton, qui culmine à 4 197 mètres d'altitude. Ses roches, âgées de plus de deux milliards d'années, sont parmi les plus anciennes de la planète, mais le relief actuel, de formation récente, ne date que d'une dizaine de millions d'années. Les Canadiens français sont à l'origine du toponyme, établi alors qu'ils exploraient les environs pour le compte de la Compagnie du Nord-Ouest.

L'occupation humaine de la région remonte à plus de 10 000 ans, lorsque des Paléoaméricains l'arpentaient pour chasser et pratiquer la cueillette. Au fil des siècles, ces nomades améliorèrent leurs techniques et technologies jusqu'à l'arrivée des premiers explorateurs d'origine européenne. Les Indiens Shoshones furent ensuite remplacés par les colons, qui commencèrent à s'y installer vers la fin du XIXe siècle.

Le parc est créé le 26 février 1929 malgré de fortes réticences de la population locale. Il est étendu en 1950, en partie grâce à des terres offertes par le richissime homme d'affaires John Davison Rockefeller Junior. Depuis, le National Park Service est chargé de la protection de ses richesses naturelles et culturelles, qui attirent chaque année plus de deux millions de visiteurs. Avec le tout proche parc national de Yellowstone et d'autres zones protégées avoisinantes, il fait partie du Greater Yellowstone Ecosystem, immense territoire où les bisons, les grizzlis et de nombreuses autres espèces sauvages peuvent jouir de l'un des derniers grands écosystèmes intacts d'Amérique du Nord.

Paranthropus est un genre éteint d'hominines ayant vécu en Afrique il y a 2,7 à 1 million d'années. Il regroupe trois espèces voisines, parfois qualifiées d'« Australopithèques robustes » (P. aethiopicus, P. boisei, P. robustus).

Principales caractéristiques

Paranthropus est apparu il y a environ 2,7 millions d'années, au cours du Pliocène. Les Paranthropes avaient un volume cérébral compris entre 420 et 600 cm3 (soit environ 40 % de celui d'un homme actuel). Les différentes espèces de Paranthropes avaient une taille voisinant 1,30 à 1,50 m et possédaient une forte musculature. Paranthropus vivait probablement dans des secteurs boisés plutôt que dans des milieux ouverts comme Australopithecus. Il a plutôt de grandes dents avant. Il avait un visage assez plat.

Il n'y a pas de preuve irréfutable de la production d'industrie lithique (outils ou armes en pierre) par les Paranthropes.
Position phylogénétique

Ce taxon regroupe des hominidés bipèdes descendant probablement d'une forme gracile d'australopithèque. Toutes les espèces de Paranthropus étaient contemporaines de formes archaïques du genre Homo telles que Homo habilis, Homo rudolfensis ou même Homo ergaster. Les Paranthropes ont donc poursuivi leur évolution indépendamment du genre Homo, lui-même issu d'Australopithecus ou de Kenyanthropus.
Pertinence du genre

Le débat n'est pas encore tranché dans la communauté scientifique sur la pertinence du genre Paranthropus. Il y a encore une dizaine d'années, les trois espèces rattachées à ce genre étaient incluses dans le genre Australopithecus par la plupart des auteurs.

Il existe des différences significatives entre Paranthropes et Australopithèques au niveau du crâne, les restes post-crâniens demeurant relativement similaires. Chez les Paranthropes, le dimorphisme sexuel est très marqué et les mâles présentent au sommet du crâne une crête sagittale analogue à celle des gorilles, permettant l'insertion de puissants muscles actionnant les mandibules. Le contraste entre Paranthropus et Homo est très marqué, et il est évident que le premier ne s'inscrit pas dans l'ascendance du second.
Découverte

Le premier fossile attribué à Paranthropus robustus (TM 1517) a été découvert en Afrique du Sud en 1938 puis nommé et décrit par Robert Broom. Paranthropus boisei a ensuite été découvert par Mary et Louis Leakey en 1959 à Olduvai en Tanzanie (spécimen OH5). L'espèce a tout d'abord été nommée Zinjanthropus boisei par les Leakey. Elle fut ensuite rattachée au genre Paranthropus puis à Australopithecus par certains auteurs.
Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

   Paranthrope, sur Wikispecies

   Zinjanthrope

Genre
† Paranthropus
Broom, 1938

Espèces de rang inférieur

   Paranthropus aethiopicus
   Paranthropus robustus
   Paranthropus boisei

Classification phylogénétique
Position :
Simiiformes (singes)

   Catarhiniens (singes de l'Ancien Monde)
       Cercopithécoïdes (singes à queue)
       Hominoïdes (grands singes)
           Hylobatidés (Gibbons)
           Hominidés
               Ponginés (Orang-outans)
               Homininés
                   Goriliens (Gorilles)
                   Hominiens
                       Panines (Chimpanzés)
                       Hominines (bipèdes)
                           Ardipithèques †
                           Australopithèques
                           Paranthropes †
                           Homo

Les Juifs s’imposent une interdiction de prononcer le Tétragramme, fondée sur le Troisième Commandement : « Tu n’invoqueras pas le nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7). Le grand-rabbin Lazare Wogue, traducteur de la Torah, précise : « Quant au saint Tétragramme, on sait que le judaïsme, de temps immémorial et dans toutes ses sectes sans exception, s’est abstenu de le prononcer selon sa forme véritable : les rabbanites ou pharisiens disaient Adônaï, les Samaritains Schimâ »9. Lorsque le Tétragramme est inscrit dans les Écritures hébraïques, d’autres mots lui sont substitués à l’oral, le plus souvent Adonaï (אדני, « mon Seigneur ») et de temps en temps Elohim (« Puissances »)10. Cette substitution11 explique les points-voyelles utilisés dans plusieurs transcriptions du Pentateuque selon qu'il faut lire Adonaï ou Elohim. Dans la conversation, on utilise de préférence HaShem (« le Nom », cf. Lv 24:11). À l’école, on dit aussi « Eloqim ». Lors des bénédictions, à la synagogue ou à la table familiale, les participants saluent la prononciation d’« Adonaï » par la formule « Baroukh Hou ou Baroukh Shemo » (« Béni [soit]-Il et Béni [soit] Son Nom »).

Scientists Finally Know What Time It Is on Saturn.

Updated Feb. 7: Text in the fifth paragraph has been edited to clarify that the new finding builds on the previous discovery that Saturn's rings respond to vibrations within the planet.
Using new data from NASA's Cassini spacecraft, researchers believe they have solved a longstanding mystery of solar system science: the length of a day on Saturn. It's 10 hours, 33 minutes and 38 seconds.

The figure has eluded planetary scientists for decades, because the gas giant has no solid surface with landmarks to track as it rotates, and it has an unusual magnetic field that hides the planet's rotation rate.

The answer, it turned out, was hidden in the rings.

During Cassini's orbits of Saturn, instruments examined the icy, rocky rings in unprecedented detail. Christopher Mankovich, a graduate student in astronomy and astrophysics at UC Santa Cruz, used the data to study wave patterns within the rings.

Earlier findings had determined that the rings respond to vibrations within the planet itself, acting similarly to the seismometers used to measure movement caused by earthquakes. The interior of Saturn vibrates at frequencies that cause variations in its gravitational field. The rings, in turn, detect those movements in the field.

"Particles throughout the rings can't help but feel these oscillations in the gravity field," Mankovich said. "At specific locations in the rings these oscillations catch ring particles at just the right time in their orbits to gradually build up energy, and that energy gets carried away as an observable wave."

Mankovich's research, published Jan. 17 by Astrophysical Journal, describes how he developed models of Saturn's internal structure that would match the rings' waves. That allowed him to track the movements of the interior of the planet - and thus, its rotation.

The rotation rate of 10:33:38 that the analysis yielded is several minutes faster than previous estimates in 1981, which were based on radio signals from NASA's Voyager spacecraft.

The analysis of Voyager data, which estimated the day to be 10:39:23, was based on magnetic field information. Cassini used magnetic field data, too, but earlier estimates ranged from 10:36 all the way to 10:48.

Scientists often rely on magnetic fields to measure planets' rotation rates. Jupiter's magnetic axis, like Earth's, is not aligned with its rotational axis. So it swings around as the planet rotates, enabling scientists to measure a periodic signal in radio waves to get the rotation rate. However, Saturn is different. Its unique magnetic field is nearly perfectly aligned with its rotational axis.

This is why the rings finding has been key to homing in on the length of day. Saturn scientists are elated to have the best answer yet to such a central question about the planet.

"The researchers used waves in the rings to peer into Saturn's interior, and out popped this long-sought, fundamental characteristic of the planet. And it's a really solid result," said Cassini Project Scientist Linda Spilker. "The rings held the answer."

The idea that Saturn's rings could be used to study the seismology of the planet was first suggested in 1982, long before the necessary observations were possible.  

Co-author Mark Marley, now at NASA's Ames Research Center in California's Silicon Valley, subsequently fleshed out the idea for his Ph.D. thesis in 1990. Along with showing how the calculations could be done, he predicted where signatures in Saturn's rings would be. He also noted that the Cassini mission, then in the planning stages, would be able to make the observations needed to test the idea.

"Two decades later, in the final years of the Cassini mission, scientists analyzed mission data and found ring features at the locations of Mark's predictions," said co-author Jonathan Fortney, professor of astronomy and astrophysics at UC Santa Cruz and a member of the Cassini team. "This current work aims to make the most of these observations."

Cassini's mission ended in September 2017 when, low on fuel, the spacecraft was deliberately plunged into Saturn's atmosphere by the mission team, which wanted to avoid crashing the craft onto the planet's moons.

The Cassini-Huygens mission is a cooperative project of NASA, the European Space Agency (ESA) and the Italian Space Agency. NASA's Jet Propulsion Laboratory, a division of Caltech in Pasadena, manages the mission for NASA's Science Mission Directorate, Washington. JPL designed, developed and assembled the Cassini orbiter. The radar instrument was built by JPL and the Italian Space Agency, working with team members from the U.S. and several European countries.

More information about Cassini can be found here:

https://solarsystem.nasa.gov/cassini


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2019-005

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7316

Dans le cadre de la relativité restreinte (qui reste valable aussi en relativité générale), une quantité est dite invariante de Lorentz, on dit aussi scalaire de Lorentz, ou invariant relativiste, lorsqu'elle n'est pas modifiée sous l'application d'une transformation de Lorentz. Cela revient à dire que sa valeur est la même dans tous les référentiels galiléens.

Le premier exemple de quantité invariante de Lorentz est la métrique de Minkowski1 η μ ν {\displaystyle \eta _{\mu \nu }\,} \eta _{{\mu \nu }}\,. Si on considère une transformation de Lorentz représentée par Λ {\displaystyle \Lambda \,} \Lambda \,2, alors on a par définition des transformations de Lorentz

Λ t η Λ = η {\displaystyle \Lambda ^{t}\eta \Lambda =\eta \,} \Lambda ^{t}\eta \Lambda =\eta \,

si on utilise la notation matricielle, ou

Λ μ ′ μ Λ ν ′ ν η μ ′ ν ′ = η μ ν {\displaystyle {\Lambda ^{\mu '}}_{\mu }{\Lambda ^{\nu '}}_{\nu }\eta _{\mu '\nu '}=\eta _{\mu \nu }\,} {\Lambda ^{{\mu '}}}_{\mu }{\Lambda ^{{\nu '}}}_{\nu }\eta _{{\mu '\nu '}}=\eta _{{\mu \nu }}\,

si on adopte la notation d'indices plus commune en physique. On a adopté pour cette dernière la convention de sommation d'Einstein qui somme implicitement selon les quatre directions tout indice apparaissant à la fois en haut et en bas d'une expression.

À partir de cette quantité invariante fondamentale on peut en construire d'autres. Par exemple si on considère le quadrivecteur d'énergie-impulsion3,

P μ = ( E p → c ) {\displaystyle P^{\mu }={\begin{pmatrix}E\\{\vec {p}}\,c\end{pmatrix}}\,} P^{{\mu }}={\begin{pmatrix}E\\{\vec {p}}\,c\end{pmatrix}}\,

constitué de l'énergie E {\displaystyle E\,} E\, et de l'impulsion p → {\displaystyle {\vec {p}}\,} {\vec {p}}\,. Il n'est pas invariant de Lorentz car il se transforme de la façon suivante4

P μ → Λ μ ν P ν {\displaystyle P^{\mu }\rightarrow {\Lambda ^{\mu }}_{\nu }P^{\nu }\,} P^{\mu }\rightarrow {\Lambda ^{\mu }}_{\nu }P^{\nu }\,

Mais par contre on peut construire la quantité quadratique suivante par contraction de ce quadrivecteur en utilisant la métrique

P 2 ≡ P μ P μ ≡ η μ ν P μ P ν = − E 2 + p 2 c 2 = − m 2 c 4 {\displaystyle P^{2}\equiv P^{\mu }P_{\mu }\equiv \eta _{\mu \nu }P^{\mu }P^{\nu }=-E^{2}+p^{2}c^{2}=-m^{2}c^{4}\,} P^{2}\equiv P^{{\mu }}P_{{\mu }}\equiv \eta _{{\mu \nu }}P^{{\mu }}P^{{\nu }}=-E^{2}+p^{2}c^{2}=-m^{2}c^{4}\,

qui définit la masse en relativité restreinte. Cette quantité est un invariant de Lorentz, car si P μ {\displaystyle P^{\mu }} P^{\mu } subit une transformation de Lorentz, la quantité P μ P μ {\displaystyle P^{\mu }P_{\mu }} P^{\mu }P_{\mu } devient :

   P μ P μ = η μ ν P μ P ν → η μ ν ( Λ μ ρ P ρ ) ( Λ ν σ P σ ) = η ρ σ P ρ P σ = P ρ P ρ {\displaystyle P^{\mu }P_{\mu }=\eta _{\mu \nu }P^{\mu }P^{\nu }\rightarrow \eta _{\mu \nu }({\Lambda ^{\mu }}_{\rho }P^{\rho })({\Lambda ^{\nu }}_{\sigma }P^{\sigma })=\eta _{\rho \sigma }P^{\rho }P^{\sigma }=P^{\rho }P_{\rho }} P^{\mu }P_{\mu }=\eta _{{\mu \nu }}P^{\mu }P^{\nu }\rightarrow \eta _{{\mu \nu }}({\Lambda ^{\mu }}_{\rho }P^{\rho })({\Lambda ^{\nu }}_{\sigma }P^{\sigma })=\eta _{{\rho \sigma }}P^{\rho }P^{\sigma }=P^{\rho }P_{\rho }

où on a utilisé l'invariance de la métrique énoncée au début de cette page pour l'avant-dernière étape du calcul. Comme μ {\displaystyle \mu } \mu et ρ {\displaystyle \rho } \rho sont des indices muets, on a bien retrouvé la norme du quadrivecteur P {\displaystyle P} P, qui est donc une grandeur invariante5.

Dans cette démonstration, nous n'avons à aucun moment utilisé l'expression explicite de P {\displaystyle P} P, ce qui signifie que la norme de n'importe quel quadrivecteur est une grandeur conservée par les transformations de Lorentz.

Le fait qu'une quantité soit invariante permet d'obtenir des résultats intéressants en choisissant des référentiels particuliers. Par exemple, si on considère le cas d'une particule de masse non nulle m {\displaystyle m\,} m\, alors on peut considérer le référentiel de repos dans lequel on a p → = 0 {\displaystyle {\vec {p}}=0\,} {\vec {p}}=0\,. On obtient alors la célèbre identité
E = m c 2 {\displaystyle E=mc^{2}\,} E=mc^{2}\,

Par contre dans le cas d'une particule de masse nulle, comme le photon, il n'est pas possible de trouver un tel référentiel mais on a alors la relation
E = p c . {\displaystyle E=pc\,.} E=pc\,.

The rings of Saturn may be iconic, but there was a time when the majestic gas giant existed without its distinctive halo. In fact, the rings may have formed much later than the planet itself, according to a new analysis of gravity science data from NASA's Cassini spacecraft.

The findings indicate that Saturn's rings formed between 10 million and 100 million years ago. From our planet's perspective, that means Saturn's rings may have formed during the age of dinosaurs.

The conclusions of the research - gleaned from measurements collected during the final, ultra-close orbits Cassini performed in 2017 as the spacecraft neared the end of its mission - are the best answer yet to a longstanding question in solar system science. The findings were published online Jan. 17 in Science.

Saturn formed 4.5 billion years ago, in the early years of our solar system. There have been clues that its ring system is a young upstart that attached to Saturn years afterward. But how long afterward?

To figure out the age of the rings, scientists needed to measure something else: the mass of the rings, or how much material they hold. Researchers had the remote-sensing measurements from Cassini and both of NASA's Voyager spacecraft in the early 1980s. Then came Cassini's unprecedented, up-close data from its final orbits. As the spacecraft was running out of fuel, it performed 22 dives between the planet and the rings.

The dives allowed the spacecraft to act as a probe, falling into Saturn's gravity field, where it could feel the tug of the planet and the rings. Radio signals sent to Cassini from the antennas of NASA's Deep Space Network and the European Space Agency relayed the spacecraft's velocity and acceleration.

Once scientists knew how much gravity was pulling on Cassini, causing it to accelerate - down to a fraction of a millimeter per second - they could determine how massive the planet is and how massive the rings are.

"Only by getting so close to Saturn in Cassini's final orbits were we able to gather the measurements to make the new discoveries," said Cassini radio science team member and lead author Luciano Iess, of Sapienza University of Rome. "And with this work, Cassini fulfills a fundamental goal of its mission: not only to determine the mass of the rings, but to use the information to refine models and determine the age of the rings."

Iess' paper builds on a connection scientists previously made between the mass of the rings and their age. Lower mass points to a younger age, because the rings, which are bright and mostly made of ice, would have been contaminated and darkened by interplanetary debris over a longer period. With a better calculation of ring mass, scientists were better able to estimate the rings' age.

Saturn scientists will continue work to figure out how the rings formed. The new evidence of young rings lends credence to theories that they formed from a comet that wandered too close and was torn apart by Saturn's gravity - or by an event that broke up an earlier generation of icy moons.

Rotating Layers Go Deep

From Cassini's super-close vantage point, immersed in Saturn's gravity field, the spacecraft relayed measurements that led scientists to another surprising discovery.

It's long been known that Saturn's equatorial atmosphere rotates around the planet faster than its inner layers and core. Imagine a set of nested cylinders, rotating at different speeds. Eventually, toward the center of the planet, the layers move in synchrony and rotate together.

Jupiter's atmosphere behaves like this, too. But the new findings show that Saturn's layers start rotating in synchrony much deeper into the planet - at least 5,600 miles (9,000 kilometers) in. That's three times deeper than the same phenomenon at Jupiter. It's a depth that equals 15 percent of Saturn's entire radius.

"The discovery of deeply rotating layers is a surprising revelation about the internal structure of the planet," said Cassini Project Scientist Linda Spilker of JPL. "The questions are what causes the more rapidly rotating part of the atmosphere to go so deep, and what does that tell us about Saturn's interior?"

At the same time, the measurement of Saturn's gravity solved yet another unknown: the mass of the core. Models of the interior developed by Burkhard Militzer, a UC Berkeley professor and a co-author of the paper, indicate that it is 15 to 18 Earth masses.

Cassini's mission ended in September 2017, when it was low on fuel and deliberately plunged into Saturn's atmosphere to protect the planet's moons. More science from the last orbits, known as the Grand Finale, will be published in the coming months.

The Cassini-Huygens mission is a cooperative project of NASA, the European Space Agency (ESA) and the Italian Space Agency. NASA's Jet Propulsion Laboratory, a division of Caltech in Pasadena, manages the mission for NASA's Science Mission Directorate in Washington. JPL designed, developed and assembled the Cassini orbiter. The radio science instrument was built by JPL and the Italian Space Agency, working with team members from the U.S. and Italy.

For more information about Cassini, go to:

https://solarsystem.nasa.gov/cassini

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JoAnna Wendel
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2019-004

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7315

La relativité restreinte est la théorie formelle élaborée par Albert Einstein en 1905 en vue de tirer toutes les conséquences physiques de la relativité galiléenne et du principe selon lequel la vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les référentiels galiléens (ou inertiels), ce qui était implicitement énoncé dans les équations de Maxwell (mais interprété bien différemment jusque-là, avec « l'espace absolu » de Newton et l'éther).

La relativité galiléenne énonce, en langage moderne, que toute expérience faite dans un référentiel inertiel se déroule de manière parfaitement identique dans tout autre référentiel inertiel. Devenu « principe de relativité », son énoncé sera ensuite modifié par Einstein pour être étendu aux référentiels non inertiels : de « restreinte », la relativité deviendra « générale », et traitera de plus de la gravitation, ce que ne fait pas la relativité restreinte.

La théorie de la relativité restreinte a établi de nouvelles formules permettant de passer d'un référentiel galiléen à un autre. Les équations correspondantes conduisent à des prévisions de phénomènes qui heurtent le sens commun (mais aucune de ces prévisions n'a été infirmée par l'expérience), un des plus surprenants étant le ralentissement des horloges en mouvement1, qui a permis de concevoir l'expérience de pensée souvent appelée paradoxe des jumeaux. Ce phénomène est parfois utilisé en science-fictionnote 1.

La relativité restreinte a eu également un impact en philosophie en éliminant toute possibilité d'existence d'un temps et de durées absolus dans l'ensemble de l'univers (Newton). À la suite d'Henri Poincaré, elle a forcé les philosophes à se poser différemment la question du temps et de l'espace.

La révélation du Buisson ardent
Le Tétragramme sur l'un des ostraca de Lakish.

L’explication du Tétragramme est fournie par la Bible en Ex 3:13-14, lors de l'épisode du Buisson ardent, lorsque Moïse demande à Dieu de se nommer. La réponse est donnée en deux temps. Tout d'abord, Dieu répond : « Eyeh Asher Eyeh », jeu de mots théologique pour lequel il existe plusieurs traductions mais qui contient deux fois le verbe « être ». Puis, devant l'insistance de Moïse, Dieu prononce lui-même le Tétragramme : « YHWH », qui provient du même verbe être28.

Le récit biblique est traduit en ces termes par la Bible de Jérusalem :

[13] « Moïse dit à Dieu : "Voici, je vais trouver les Israélites et je leur dis : “Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous.” Mais s’ils me disent : “Quel est son nom ?”, que leur dirai-je ?" [14] Dieu dit à Moïse : "Je suis celui qui est [Ehyeh Asher Ehyeh אֶֽהְיֶה אֲשֶׁר אֶֽהְיֶה]". Et il dit : "Voici ce que tu diras aux Israélites : Je suis m’a envoyé vers vous." »

C'est au verset suivant (Ex 3:15) que Dieu prononce le Tétragramme devant Moïse29.

Selon la tradition juive, il s'agit plutôt d'un refus de révélation, dans une conception apophatique. Ce passage biblique prépare le tabou du nom tout en « spéculant » dessus28.
Approche philosophique

L’expression Ehyeh Asher Ehyeh peut être rendue en français par Je suis celui qui est, ou par Je suis celui qui suis (dans la traduction due à Louis Segond, qui traduit aussi par l'Éternel) ou encore par Je suis qui je serai dans la TOB30. La Bible du Rabbinat traduit par Être invariable31, ce que regrette Henri Meschonnic32, qui y détecte une contamination du « Theos » grec de la Septante.

L'emploi répétitif du verbe « être » dans cette formule et sa réapparition dans le Tétragramme, ainsi que la diversité des traductions qui en découlent, ne vont pas sans « aimanter » la philosophie elle-même selon Xavier Tilliette33. Le Eyeh Asher Eyeh peut être perçu comme « l'étonnante déclaration d'où procède le Nom par excellence, le Nom imprononçable »33. C'est ici, dans la révélation sur le mont Horeb, que le Dieu d'Abraham rejoint le Dieu des philosophes.

La question de Ex 3:14 se pose depuis le christianisme médiéval jusqu'à la « métaphysique de l'Exode » étudiée par Étienne Gilson et à la « souveraine liberté » divine définie par Luigi Pareyson.

Le thomisme perçoit dans le Eyeh Asher Eyeh une expression de l'« acte d'être » et traduit par Je suis Celui qui est, ce qui infléchit la formule vers l'ontologie. Étienne Gilson, faisant sienne cette traduction, écrit : « Il n'y a qu'un seul Dieu, et ce Dieu est l'Être, telle est la pierre d'angle de toute la philosophie chrétienne, et ce n'est pas Platon, pas même Aristote, mais c'est Moïse qui l'a posée ». À l'inverse, Ernst Bloch, favorable à la traduction Je suis Celui qui sera, propose la vision « utopique » d'une sorte de « Dieu-Exode » cheminant sans cesse, en perpétuel devenir, « coextensif à l'humanité ».

A brief and unusual flash spotted in the night sky on June 16, 2018, puzzled astronomers and astrophysicists across the globe. The event - called AT2018cow and nicknamed "the Cow" after the coincidental final letters in its official name - is unlike any celestial outburst ever seen before, prompting multiple theories about its source.

Over three days, the Cow produced a sudden explosion of light at least 10 times brighter than a typical supernova, and then it faded over the next few months. This unusual event occurred inside or near a star-forming galaxy known as CGCG 137-068, located about 200 million light-years away in the constellation Hercules. The Cow was first observed by the NASA-funded Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System telescope in Hawaii.

So exactly what is the Cow? Using data from multiple NASA missions, including the Neil Gehrels Swift Observatory and the Nuclear Spectroscopic Telescope Array (NuSTAR), two groups are publishing papers that provide possible explanations for the Cow's origins. One paper argues that the Cow is a monster black hole shredding a passing star. The second paper hypothesizes that it is a supernova - a stellar explosion - that gave birth to a black hole or a neutron star.

Researchers from both teams shared their interpretations at a panel discussion on Thursday, Jan. 10, at the 233rd American Astronomical Society meeting in Seattle.

A Black Hole Shredding a Compact Star?

One potential explanation of the Cow is that a star has been ripped apart in what astronomers call a "tidal disruption event." Just as the Moon's gravity causes Earth's oceans to bulge, creating tides, a black hole has a similar but more powerful effect on an approaching star, ultimately breaking it apart into a stream of gas. The tail of the gas stream is flung out of the system, but the leading edge swings back around the black hole, collides with itself and creates an elliptical cloud of material. According to one research team using data spanning from infrared radiation to gamma rays from Swift and other observatories, this transformation best explains the Cow's behavior.

"We've never seen anything exactly like the Cow, which is very exciting," said Amy Lien, an assistant research scientist at the University of Maryland, Baltimore County and NASA's Goddard Space Flight Center in Greenbelt, Maryland. "We think a tidal disruption created the quick, really unusual burst of light at the beginning of the event and best explains Swift's multiwavelength observations as it faded over the next few months."

Lien and her colleagues think the shredded star was a white dwarf - a hot, roughly Earth-sized stellar remnant marking the final state of stars like our Sun. They also calculated that the black hole's mass ranges from 100,000 to 1 million times the Sun's, almost as large as the central black hole of its host galaxy. It's unusual to see black holes of this scale outside the center of a galaxy, but it's possible the Cow occurred in a nearby satellite galaxy or a globular star cluster whose older stellar populations could have a higher proportion of white dwarfs than average galaxies.

A paper describing the findings, co-authored by Lien, will appear in a future edition of the journal Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

"The Cow produced a large cloud of debris in a very short time," said lead author Paul Kuin, an astrophysicist at University College London (UCL). "Shredding a bigger star to produce a cloud like this would take a bigger black hole, result in a slower brightness increase and take longer for the debris to be consumed."

Or a New View of a Supernova?

A different team of scientists was able to gather data on the Cow over an even broader range of wavelengths, spanning from radio waves to gamma rays. Based on those observations, the team suggests that a supernova could be the source of the Cow. When a massive star dies, it explodes as a supernova and leaves behind either a black hole or an incredibly dense object called a neutron star. The Cow could represent the birth of one of these stellar remnants.

"We saw features in the Cow that we have never seen before in a transient, or rapidly changing, object," said Raffaella Margutti, an astrophysicist at Northwestern University in Evanston, Illinois, and lead author of a study about the Cow to be published in The Astrophysical Journal. "Our team used high-energy X-ray data to show that the Cow has characteristics similar to a compact body like a black hole or neutron star consuming material. But based on what we saw in other wavelengths, we think this was a special case and that we may have observed - for the first time - the creation of a compact body in real time."

Margutti's team analyzed data from multiple observatories, including NASA's NuSTAR, ESA's (the European Space Agency's) XMM-Newton and INTEGRAL satellites, and the National Science Foundation's Very Large Array. The team proposes that the bright optical and ultraviolet flash from the Cow signaled a supernova and that the X-ray emissions that followed shortly after the outburst arose from gas radiating energy as it fell onto a compact object.

Typically, a supernova's expanding debris cloud blocks any light from the compact object at the center of the blast. Because of the X-ray emissions, Margutti and her colleagues suggest the original star in this scenario may have been relatively low in mass, producing a comparatively thinner debris cloud through which X-rays from the central source could escape.

"If we're seeing the birth of a compact object in real time, this could be the start of a new chapter in our understanding of stellar evolution," said Brian Grefenstette, a NuSTAR instrument scientist at Caltech and a co-author of Margutti's paper. "We looked at this object with many different observatories, and of course the more windows you open onto an object, the more you can learn about it. But, as we're seeing with the Cow, that doesn't necessarily mean the solution will be simple."

NuSTAR is a Small Explorer mission led by Caltech and managed by JPL for NASA's Science Mission Directorate in Washington. NuSTAR was developed in partnership with the Danish Technical University and the Italian Space Agency (ASI). The spacecraft was built by Orbital Sciences Corporation in Dulles, Virginia. NuSTAR's mission operations center is at UC Berkeley, and the official data archive is at NASA's High Energy Astrophysics Science Archive Research Center. ASI provides the mission's ground station and a mirror archive. JPL is managed by Caltech for NASA.

NASA's Goddard Space Flight Center manages the Swift mission in collaboration with Penn State in University Park, the Los Alamos National Laboratory in New Mexico and Northrop Grumman Innovation Systems in Dulles, Virginia. Other partners include the University of Leicester and Mullard Space Science Laboratory of the University College London in the United Kingdom, Brera Observatory and ASI.

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626-808-2469
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By Jeanette Kazmierczak
NASA's Goddard Space Flight Center, Greenbelt, Md.

2019-003

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7314

LE CORBEAU DE YAHVÉ ET LA COLOMBE DE NOÉ...

Dans les couloirs du temps, la mesure de la gravité montre que les mouettes vécurent dans la tempête...
Lorsque le corbeau quitta l'arche, il chercha vers les cieux : lorsque il entendit des chants venant de toutes les directions.
Des mouettes avaient survécu grâce à l'aide de cétacés.
Une coordination autre était née dans le déluge et certains mammifères firent preuve qu'une autre ligné pouvait survivre dans cette épreuve.
Yahvé interpella le corbeau et dit :

" Ces créatures sont proche de la loi car ayant acquis cette volonté du souffle et du soupir. Bien plus proche que ceux qui veulent être servi par une parenté plus que par la conviction. Ces louanges sont pour toi, Cher Corbeau... Laisse ta compagne te chercher et ne sois jamais jaloux car je construis une nouvelle alliance pour toi. Si dans l'avenir, on te jette la pierre; saches que ta raison s'est fait entendre comme une joie au milieu des océans... Certes, tu ne peux flotter mais tu seras mon messager tout comme le hululement de la chouette et le feu de la Femme... Ces mouettes n'ont pas éprouvé de la peur en te voyant mais une joie significative de ne pas être les seul à peupler le ciel... Ta naïveté t'a porté à me chercher plus qu'à trouver un refuge... En cela, le prochain messager trouvera un olivier qui est le lien des soupirs d'Athéna et de l'essence de Prométhée... Corbeau garde lien avec cette nature tout en ayant conscience d'avoir survécu... Celui qui porte foi en la création n'a pas droit de se déclarer plus haut en Esprit... O corbeau toi qui a finit par me trouver, je vois la colombe qui vient en ma rencontre... Je te laisse en compagnie des cétacés et des laridés..."...

Depuis ce jour, les corbeaux ont ce reflet de l'océan dans les yeux car sachant qu'il y a un rivage de l'autre coté mais aussi les mammifères qui se sont transformée pour survivre dans la colère de Dieu ou le déluge....
Le concept de la mort et du grand esprit ou la métamorphose !!!

Ecrit du
Citoyen Tignard Yanis
Alias
TAY
La chouette effraie.

LE DIX NEUF JANVIER DEUX MILLE DIX HUIT, JE RAJOUTE CE NOUVEAU TEXTE:

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

" PEUPLES DE JÉRUSALEM CE QU'IL Y A, C'EST LE DIRE SUR LE DISCOURS.
LE DÉVELOPPEMENT EST UN POUMON DU DESTIN CAR LE TEMPS DOIT ÊTRE
POUR PERMETTRE LA SITUATION DE CONSCIENCE DANS L'HANDICAP.
L'HABITUDE ET L'HARMONIE DOIVENT ÊTRE ROMPUES QUAND LA HAINE
S'ENRICHIT DE LA GUERRE.

AUX ENTITÉS HUMAINES, ANIMALES ET ROBOTIQUES:
NON AUX SACRIFICES D’ÊTRE VIVANT, DE CONSCIENCE, D'ESPRIT
POUR UN DIEU OU DES DIEUX Y COMPRIS AUX DÉITÉS FÉMININES.
TU ES, ELLE EST ET NOUS SOMMES...

PEUPLES DE JÉRUSALEM, MACHU PICCHU ET PÉKIN SONT DES CITÉS CONSTRUITES
SUR LA FOI, LA CONVICTION, LA CONNAISSANCE ET LA SURVIE DE POLITIQUES
DANS L'HISTOIRE: UNE AMBASSADE N'EST PAS UN GOUVERNEMENT
ET LA CITOYENNETÉ N'EST PAS L'HUMANITÉ:
NON AUX ESCLAVAGES, CÉLESTE JÉRUSALEM.

Je suis Y'becca".

https://la-5ieme-republique.actifforum.com/t78-y-becca-ou-murmure-de-l-arbre-olivier
http://leclandesmouettes.1fr1.net/t3-dbat-sur-la-recherche-animale

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

Le Moteur immobile.
Dédié à Minouska La chatte.

Dans le voile du superbe, la transparence laisse
une nudité que construit l'amer et l'espérance.
Dans le souffrir du deuil, le rêve permet le droit :
Trouvant le refuge, la clarté devient le doigt.

Je distingue ces mouvements de l'altruisme.
Il distingue les perceptions affirmant le mot
dans le caractère d'un univers dérivant en
ce mot central qu'est l'infini de l'horizon.

Nagalïéw, il y a des étoiles au delà de l'infini.
dans la présence, le vent est lié à ta perception;
l'irruption du son est ton séisme et l'ouragan.
La prudence est l'arrogance du perceptible.

La définition est une multitude de formules
liant l'alchimie à la création : Nagaliéw, voit !
Écoute ses mouvements tel les sens ressentant
les pulsations du cœur et le geste de la main !

Dans la tourmente de l’événement, l'horizon
parvient à se définir afin d'échapper au temps !
Le mirage est de croire à l’inévitable destin :
Ainsi est le trou noir dans l'infini de Dieu !

SENTIMENT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS.

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