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| LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE | |
| | Auteur | Message |
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yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:46 | |
| LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D'ÉGALITE...
LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie
Identité
"La démagogie s'introduit quand, faute de commune mesure, le principe d'égalité s'abâtardit en principe d'identité." Antoine de Saint-Exupéry - Pilote de guerre, 1942
Définition d'identité
Etymologie : du latin idem, le même.
Sens 1 : L'identité est le caractère de ce qui est identique ou confondu.
En mathématique, une identité est le constat que deux membres, deux objets, sont en fait les mêmes, quelles que soient les valeurs que peuvent prendre les différents paramètres de l'équation. Synonymes : égalité, équivalence.
Sens 2 : L'identité est ce qui fait qu'une chose ou un être vivant est le même qu'un autre. C'est aussi la possibilité de regrouper plusieurs de ces choses ou êtres vivants sous un même concept, une même idée. Ex : identité nationale.
Sens 3 : L'identité est ce qui permet de différencier, sans confusion possible, une personne, un animal ou une chose des autres. Ex : carte d'identité, photo d'identité. Ces informations permettent d'individualiser quelqu'un : nom, prénom, filiation, date et lieu de naissance, empreinte digitale, empreinte génétique, etc.
En psychologie, l'identité est la conscience que l'on a soi-même, ainsi que par la reconnaissance des autres, de ce que l'on est, de son moi. Elle permet à l'individu de percevoir ce qu'il a d'unique, c'est-à-dire son individualité.
L'identité judiciaire est un service de la police judiciaire chargé de la recherche et l’identification des auteurs de délits ou de crimes.
Citation :
"Par une singulière équivoque, on cherche à confondre deux notions pourtant bien distinctes : l'identité et l'égalité. L'une réfère aux qualités physiques ou mentales des individus ; l'autre à leurs droits sociaux et juridiques. La première relève de la biologie et de l'éducation ; la seconde de la morale et de la politique. L'égalité n'est pas un concept biologique. On ne dit pas que deux molécules ou deux cellules sont égales." François Jacob - né en 1920 - Le jeu des possibles - 1981
AINSI,
Identité nationale
Définition de l'identité nationale
L'identité nationale est le sentiment qu'éprouve une personne à faire partie d'une nation. Ce sentiment est propre à chaque personne. Cependant pour la sociologie, il est une intériorisation de repères identitaires, résultant de la visibilité permanente des "points communs" de la nation, qui peuvent prendre la forme de symboles. Cette visibilité est, en général, organisée volontairement par l'Etat afin d'en imprégner les individus dès leur enfance.
Le concept d'identité nationale désigne aussi l'ensemble de "caractéristiques communes" entre les personnes qui se reconnaissent comme appartenant à une même nation.
Le thème de l'identité nationale peut devenir un sujet de débat politique. En France, ce fut notamment le cas lors de l'élection présidentielle de 2007 où le candidat Nicolas Sarkozy en a fait l'un de ses thèmes de campagne. Le rapprochement au sein d'un même ministère de l'immigration, de l'intégration, et de l'identité nationale a suscité une polémique dans la mesure où cela laisse supposer que les risques pesant sur l'identité nationale sont directement liés à l'immigration. La controverse a été réactivée en octobre 2009 par le lancement d'un "grand débat" sur l'identité nationale, à l'initiative du gouvernement.
AINSI
Identité sociale
Définition de l'identité sociale
L'identité sociale correspond à tout ce qui permet à autrui d'identifier de manière pertinente un individu par les statuts, les codes, les attributs qu'il partage avec les autres membres des groupes auxquels il appartient ou souhaiterait appartenir. Ces groupes correspondent aux différentes catégories sociales dans lesquelles les individus peuvent se ranger en fonction notamment de leur sexe, de leur âge, de leur métier, de leur statut dans la famille, de leur localisation géographique, de leur nationalité, de leur ethnie, de leurs occupations, loisirs ou sports favoris, de leur appartenance à un parti politique, etc. Les caractéristiques de l'identité sociale ne sont pas toujours déterminées par l'individu, mais le plus souvent prescrites par la société comme moyen de reconnaissance, d'identification de l'extérieur.
L'attribution de caractéristiques identitaires à un individu est aussi un moyen de classifier et d'ordonner les membres d'une population sur la base de critères prépondérants. Un même individu peut être perçu comme ayant plusieurs identités sociales en fonction du domaine particulier qui est considéré.
L'identité sociale peut être positive ou négative selon le positionnement du groupe dans l'échelle des groupes sociaux.
Le psychologue social Henri Tajfel (1919-1982), anglais d'origine polonaise, a développé dans les années 1970 la théorie de l'identité sociale selon laquelle les individus essaient de se créer une identité sociale positive et favorise le groupe auquel ils appartiennent et le considère comme meilleur que les autres groupes. La catégorisation sociale est utilisée pour se reconnaître comme membre de tel ou tel groupe.
L'identité sociale ne doit pas être confondue avec l'identité culturelle qui est l'adhésion plus ou moins forte d'une personne aux valeurs et prescriptions d'une culture.
L'identité sociale ne peut être dissociée de l'identité personnelle qui est le produit de la socialisation et de l'expérience vécue par les individus tout au long de leur vie, et qui permet la construction du "Soi", la conscience de soi et la différenciation entre les individus.
PUIS
Représentation sociale
Définition de représentation sociale
Etymologie de représentation : du latin repraesentatio, représentation, action de replacer devant les yeux de quelqu'un.
Dans la locution représentation sociale, le terme représentation désigne l'action ou le fait de se représenter quelque chose, un phénomène, une idée, en l'évoquant mentalement. C'est en particulier le processus par lequel un objet de la pensée devient présent à l'esprit. C'est aussi la manière dont on se représente cette chose.
La représentation sociale est un concept issu de celui de la représentation collective introduit en 1898 par le sociologue Emile Durkheim (1858-1917) dans son article "Représentations individuelles et représentations collectives". Son analyse a été reprise en 1961 par le psychologue social et historien des sciences Serge Moscovici (1925-2014) qui en a élaboré une théorie. Elle fait l'objet, depuis une trentaine d'années, de nombreuses études.
Pour la psychosociologue Denise Jodelet, "la représentation sociale est une forme de connaissance, socialement élaborée et partagée, ayant une visée pratique et concourant à la construction d'une réalité commune à un ensemble social". (Représentations sociales : phénomènes, concepts et théorie, 1984)
Pour le psychosociologue Gustave Nicolas Fischer, "la représentation sociale est un processus, un statut cognitif, permettant d'appréhender les aspects de la vie ordinaire par un recadrage de nos propres conduites à l'intérieur des interactions sociales". (Les concepts fondamentaux de la psychologie sociale, 1987)
Les représentations sociales s'avèrent être des phénomènes complexes très présents dans la vie sociale. Elles sont constituées de différents éléments qui ont longtemps été appréhendés séparément : attitudes, opinions, croyances, valeurs, idéologies, etc. La représentation qu'a un groupe social d'un objet s'appuie sur un ensemble d'informations, d'opinions, de croyances, d'interprétations idéologiques, etc. relatives à cet objet. Elle permet notamment au groupe social de comprendre et d'expliquer la réalité, de définir son identité sociale, d'orienter son action en fonction du contexte et de justifier a posteriori ses choix ou attitudes.
La citation du mois (Historique)
"Le pouvoir voit sans déplaisir les frustrations et les colères engendrées par une vie sans espoir trouver un exutoire dans la frénésie des fins de match. Pendant qu'ils braillent "On a gagné", les sans-emploi ne pensent pas à faire la révolution." Albert Jacquard
Alarme, citoyens ! Formez vos convictions !
Nous vivons une crise économique profonde et socialement douloureuse, qui a toutes les chances d'être longue.
Nous vivons dans une société inéquitable et injuste, où les riches sont de plus en plus riches, où les pauvres sont toujours plus pauvres et plus nombreux.
Nous vivons dans une société engagée dans une course effrénée à la consommation et à la création de nouveaux besoins, avec les frustrations que cela engendre.
Nous vivons dans une société qui maltraite son environnement au point d'en rendre malade notre planète.
Nous vivons dans un système politique centré sur le court-terme et dont se désintéressent de plus en plus les citoyens.
La Toupie essaie d'aider les citoyens à se forger leurs propres convictions avec de nombreuses rubriques, ainsi que quelques propositions pour aborder la politique d'une autre manière :
adogmatique, c'est-à-dire sans dogme, sans appartenance à aucune idéologie, sans aucune prétention à connaître la vérité, ni les solutions toutes faites aux problèmes.
révolutionnaire par certains de ses aspects ;
pragmatique, c'est-à-dire réaliste et non utopique (même si toupie est une anagramme en clin d'oeil du mot utopie) ;
unitaire, c'est-à-dire privilégiant la recherche de ce qui fédère, plutôt que l'inventaire de ce qui divise.
Pour être vraiment libre, l'homme doit apprendre à être sceptique, à se méfier de toutes les solutions globalisantes ou trop simples et à vivre sans certitude dans un monde d'une très grande complexité.
Pierre Tourev
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| | | yanis la chouette
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LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie
Biographie de Emile Durkheim
Emile Durkheim est né à Epinal (Vosges) dans une famille juive pratiquante, son père était rabbin. Agnostique et ne voulant pas devenir rabbin, il entre à l'Ecole Normale Supérieure et obtient l'agrégation de philosophie en 1882. Il enseigne le droit et la philosophie avant d'entreprendre la rédaction d'ouvrages de sociologie et d'enseigner cette matière nouvelle à Bordeaux, puis à la Sorbonne à partir de 1902.
Emile Durkheim est considéré comme le fondateur de la sociologie moderne pour avoir réussi à associer la théorie et la recherche empirique. Influencé par le positivisme d'Auguste Comte (1798-1857), il énonça la spécificité du fait social, indépendance du groupe par rapport aux hommes qui le composent et considère les faits moraux comme des faits sociaux. Ses cours et ses écrits traitent de la solidarité sociale, du suicide, du fait moral et religieux, des méthodes pédagogiques.
Pour Emile Durkheim, les phénomènes religieux sont caractérisés par le sacré, représentation collective et impersonnel qui correspond à une transfiguration de la société qui s'adore elle-même. Emile Durkheim, républicain et universaliste laïc, pense que la morale civique, enseignée à l'école, doit se substituer à la morale religieuse pour faire des enfants des êtres sociaux. Défenseur du capitaine Dreyfus, il est l'un des membres fondateurs de la Ligue pour la défense des Droits de l'Homme et est un ami de Jean Jaurès.
Quelques oeuvres :
De la division du travail social (sa thèse, 1893), Règles de la méthode sociologique (1894), Le Suicide, étude de sociologie (1897), Représentations individuelles et représentations collectives (1898), L'éducation morale (1903), Les formes élémentaires de la vie religieuse (1912), Education et Sociologie (1922), Sociologie et Philosophie (1925), L'Evolution pédagogique en France (1938), La Science sociale et l'Action (posthume, 1970).
Au début de la Troisième République française, les citoyens durant leur service militaire, et les officiers n’ont pas le droit de vote, en raison de la défiance des républicains envers l’armée. D’où son surnom de « grande muette ». Locution nominale
grande muette \ɡʁɑ̃d mɥɛt\ féminin
(Figuré) Armée, forces armées. Cependant, l’intrusion de l’armée dans la vie politique au Niger a été tardive, si on la compare aux dynamiques observables à l’échelle régionale ou africaine où, dans bien de pays, la grande muette était déjà aux commandes de l’État. — (Tidjani Alou, « Les militaires politiciens, dans Kimba Idrissa, Armée et politique au Niger, 2008) Jadis, l’armée était appelée la grande muette. Aujourd’hui, elle parle, et c’est pour débiter du politiquement correct. — (Georges Lebouc, Parlez-vous le politiquement correct ?, 2007) Il y a d’abord de nombreux militaires qui, en cela fidèles aux traditions d’apolitisme de la « grande muette », refusent de verser dans le manichéisme du jeu politique. — (Olivier Pottier, Armée–nation : divorce ou réconciliation, 2005) L’armée, la grande muette, n’a rien dit. Aucune réclamation contre cet abus de pouvoir ne s’est élevée. — (colonel Patry, « Le bilan du ministère Galliffet », Revue politique et littéraire : Revue bleue, tome 14, 37e année, 2e semestre, juillet–décembre 1900)
1944 : (le 21 avril) Droit de vote accordé aux femmes. Retour des élections au suffrage universel pour l'ensemble de la population après la seconde Guerre mondiale. Le droit de vote est aussi alors accordé aux colonies françaises lors de la conférence de Brazzaville où sont réunis le Général de Gaulle et les gouverneurs des colonies. La France combattante à Alger accorde le droit de vote et d'éligibilité aux femmes, près d'un siècle après l'adoption du suffrage universel masculin11. Elle est l'un des derniers pays d'Europe à le faire, juste avant l'Italie, la Belgique, la Grèce et la Suisse. Les femmes useront de ce droit pour la première fois aux élections municipales du 29 avril 1945. 1945 : (le 17 août) Un peu plus d'un an après les femmes, les militaires de carrière sont les derniers citoyens français (à l'exception des personnes sans domicile fixe) à obtenir le droit de vote. Jusque-là, les militaires étaient exclus du suffrage universel sous prétexte qu’ils ne devaient pas prendre parti dans les luttes politiques. L'armée ne sera donc plus surnommée la "Grande Muette" (même si encore aujourd’hui ses membres sont soumis à un devoir de réserve, comme l'ensemble des fonctionnaires). 1946 : Droit de vote étendu à tous les Français d'outre-mer par la Loi Lamine Guèye du 25 avril 1946, puis par la Constitution du 27 octobre 1946. Néanmoins, la représentation des populations ultramarines autochtones (qualifiées d'indigènes) reste inégalitaire (principe du double collège). 1956 : Établissement de l'égalité de suffrage entre tous les citoyens avec l'abandon du principe du double collège pour les Français d'outre-mer (Loi-cadre Defferre) 1962 : Instauration du suffrage universel direct lors de l’élection du président de la république française. 1974 : L'âge du droit de vote (ou plus exactement l'âge de la majorité) est abaissé de 21 à 18 ans par Valéry Giscard d'Estaing. 1992 : Le traité de Maastricht crée la citoyenneté européenne. Ainsi dans chaque pays de l'Union européenne le droit de vote aux élections municipales est étendu aux citoyens originaires de l'Union européenne. 1994 : Fin de la suppression automatique du droit de vote pour les détenus. L'automaticité est toujours la règle pour les personnes jugées coupables de concussion, corruption active ou passive, détournement de bien publics, menaces contre les personnes exerçant une fonction publique... depuis moins de cinq ans. 1998 : La loi d'orientation relative à la lutte contre les exclusions12 prévoit dans son article 81 les modalités permettant aux personnes sans domicile fixe d'exercer leur droits de vote, elle remplace la loi no 69-03 du 3 janvier 196913 qui exigeait trois ans de rattachement à une commune. Les gens du voyage continuent de relever de la loi de 1969.
XXIe siècle
2005 : La loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées14, permet à un juge d'accorder le droit de vote aux personnes placées sous tutelle. 2007 : Avec la loi portant réforme de la protection juridique des majeurs15, le droit de vote des personnes sous tutelle devient la norme.
Initiateurs
John Locke : séparations des pouvoirs entre pouvoir exécutif et pouvoir législatif. Montesquieu (De l'esprit des lois) : séparation entre pouvoir exécutif, pouvoir législatif, et pouvoir judiciaire. Sieyès : Assemblée nationale et projet de jury constitutionnaire pour le contrôle de conformité des lois aux droits naturels fondamentaux.
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LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie | |
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| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:47 | |
| Au début de la Troisième République française, les citoyens durant leur service militaire, et les officiers n’ont pas le droit de vote, en raison de la défiance des républicains envers l’armée. D’où son surnom de « grande muette ». Locution nominale
grande muette \ɡʁɑ̃d mɥɛt\ féminin
(Figuré) Armée, forces armées. — (Tidjani Alou, « Les militaires politiciens, dans Kimba Idrissa, Armée et politique au Niger, 2008) Jadis, l’armée était appelée la grande muette. Aujourd’hui, elle parle, et c’est pour débiter du politiquement correct. — (Georges Lebouc, Parlez-vous le politiquement correct ?, 2007) Il y a d’abord de nombreux militaires qui, en cela fidèles aux traditions d’apolitisme de la « grande muette », refusent de verser dans le manichéisme du jeu politique. — (Olivier Pottier, Armée–nation : divorce ou réconciliation, 2005) L’armée, la grande muette, n’a rien dit. Aucune réclamation contre cet abus de pouvoir ne s’est élevée. — (colonel Patry, « Le bilan du ministère Galliffet », Revue politique et littéraire : Revue bleue, tome 14, 37e année, 2e semestre, juillet–décembre 1900) Cependant, l’intrusion de l’armée dans la vie politique au Niger a été tardive, si on la compare aux dynamiques observables à l’échelle régionale ou africaine où, dans bien de pays, la grande muette était déjà aux commandes de l’État.
1944 : (le 21 avril) Droit de vote accordé aux femmes. Retour des élections au suffrage universel pour l'ensemble de la population après la seconde Guerre mondiale. Le droit de vote est aussi alors accordé aux colonies françaises lors de la conférence de Brazzaville où sont réunis le Général de Gaulle et les gouverneurs des colonies. La France combattante à Alger accorde le droit de vote et d'éligibilité aux femmes, près d'un siècle après l'adoption du suffrage universel masculin11. Elle est l'un des derniers pays d'Europe à le faire, juste avant l'Italie, la Belgique, la Grèce et la Suisse. Les femmes useront de ce droit pour la première fois aux élections municipales du 29 avril 1945. 1945 : (le 17 août) Un peu plus d'un an après les femmes, les militaires de carrière sont les derniers citoyens français (à l'exception des personnes sans domicile fixe) à obtenir le droit de vote. Jusque-là, les militaires étaient exclus du suffrage universel sous prétexte qu’ils ne devaient pas prendre parti dans les luttes politiques. L'armée ne sera donc plus surnommée la "Grande Muette" (même si encore aujourd’hui ses membres sont soumis à un devoir de réserve, comme l'ensemble des fonctionnaires). 1946 : Droit de vote étendu à tous les Français d'outre-mer par la Loi Lamine Guèye du 25 avril 1946, puis par la Constitution du 27 octobre 1946. Néanmoins, la représentation des populations ultramarines autochtones (qualifiées d'indigènes) reste inégalitaire (principe du double collège). 1956 : Établissement de l'égalité de suffrage entre tous les citoyens avec l'abandon du principe du double collège pour les Français d'outre-mer (Loi-cadre Defferre) 1962 : Instauration du suffrage universel direct lors de l’élection du président de la république française. 1974 : L'âge du droit de vote (ou plus exactement l'âge de la majorité) est abaissé de 21 à 18 ans par Valéry Giscard d'Estaing. 1992 : Le traité de Maastricht crée la citoyenneté européenne. Ainsi dans chaque pays de l'Union européenne le droit de vote aux élections municipales est étendu aux citoyens originaires de l'Union européenne. 1994 : Fin de la suppression automatique du droit de vote pour les détenus. L'automaticité est toujours la règle pour les personnes jugées coupables de concussion, corruption active ou passive, détournement de bien publics, menaces contre les personnes exerçant une fonction publique... depuis moins de cinq ans. 1998 : La loi d'orientation relative à la lutte contre les exclusions12 prévoit dans son article 81 les modalités permettant aux personnes sans domicile fixe d'exercer leur droits de vote, elle remplace la loi no 69-03 du 3 janvier 196913 qui exigeait trois ans de rattachement à une commune. Les gens du voyage continuent de relever de la loi de 1969.
XXIe siècle
2005 : La loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées14, permet à un juge d'accorder le droit de vote aux personnes placées sous tutelle. 2007 : Avec la loi portant réforme de la protection juridique des majeurs15, le droit de vote des personnes sous tutelle devient la norme.
Initiateurs
John Locke : séparations des pouvoirs entre pouvoir exécutif et pouvoir législatif. Montesquieu (De l'esprit des lois) : séparation entre pouvoir exécutif, pouvoir législatif, et pouvoir judiciaire. Sieyès : Assemblée nationale et projet de jury constitutionnaire pour le contrôle de conformité des lois aux droits naturels fondamentaux.
De l'esprit des lois est un traité de la théorie politique publié par Montesquieu à Genève en 1748. Cette œuvre majeure, qui lui a pris quatorze ans de travail, a fait l'objet d'une mise à l'Index en 1751.
Dans cet ouvrage, Montesquieu suit une méthode révolutionnaire pour l'époque : il refuse de juger ce qui est par ce qui doit être, et choisit de traiter des faits politiques en dehors du cadre abstrait des théories volontaristes et jusnaturalistes1. Il défend ainsi une théorie originale de la loi : au lieu d'en faire un commandement à suivre2, il en fait un rapport à observer et à ajuster entre des variables. Parmi ces variables, il distingue des causes culturelles (traditions, religion, etc.) et des causes naturelles (climat, géographie, etc.). Il livre à partir de là une étude sociologique des mœurs politiques.
De l'esprit des lois paraît sans nom d'auteur à Genève, vers la fin octobre, début novembre 17483, grâce à l'aide financière de Mme de Tencin qui achète également nombre d'exemplaires pour les donner à ses amis. Cette dernière se chargera ensuite de la publication des Errata de cette première édition très fautive et amputée (500 exemplaires qui sont distribués gratuitement avec les volumes non encore vendus), de la réédition chez Barrillot en 1749, puis finalement, avec l'aide de Claude Gros de Boze, de celle de Paris la même année, chez Huart, revue et corrigée par l'auteur4. Signe du succès de cet ouvrage, de nombreuses éditions pirates virent le jour la même année, dont une édition parisienne en janvier extrêmement fautive.
L'accueil bordelais lui est très favorable, comme en témoigne cette remarque de l'Académie de Bordeaux : « Mais la France et l'Europe sont plutôt éblouies d'abord qu'éclairées par cette lumière nouvelle ; l'Académie de Bordeaux seule en peut soutenir l'éclat ; et pour rendre hommage au grand homme, elle fait lire les trois premiers chapitres de l'Esprit des Lois dans sa séance publique du 25 août 1753, jour mémorable qui fera éternellement la gloire de l'Académie de Bordeaux, et dans lequel elle a devancé le jugement de la postérité, en couvrant de ses applaudissements le code de la raison et de l'humanité. »5.
À la parution de l'ouvrage, Montesquieu est l'objet des plus vives critiques de la part de conservateurs6 et d'ecclésiastiques. Des louanges sont émises par les encyclopédistes comme D'Alembert, fils naturel de Mme de Tencin, qui lui écrira un éloge. Certains encyclopédistes lui reprochent toutefois une certaine forme de conservatisme (Montesquieu était favorable à l'aristocratie). On lui reproche aussi son déterminisme dans sa théorie des climats. Montesquieu répondra à toutes ces critiques par Défense de l'esprit des lois, publié en 1750.
Certains lisent dans De l'esprit des lois la promotion d'un système aristocratique très libéral, d'autres une mise en garde envers les monarques et les nobles quant au risque de despotisme (d'un seul ou de tous) s'ils ne se partagent pas le pouvoir. Certains estiment que De l'esprit des lois a inspiré la rédaction de la Constitution française de 1791 (notamment ses pages concernant la séparation des trois pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire) ainsi que la rédaction de la Constitution des États-Unis d'Amérique (principe des checks and balances). Des commentateurs modernes s'inscrivent en faux contre la réduction de Montesquieu à un théoricien de la séparation des pouvoirs, et même du libéralisme politique.
AINSI:
De l'esprit des lois Ne doit pas être confondu avec L'Esprit d'Éloi. Organisation de l'œuvre
L'œuvre peut être découpée en cinq grandes parties :
une théorie sur les types de gouvernements ; la liberté politique ; la théorie des climats ; l'esprit général ; et les échanges.
LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D’ÉGALITÉ...
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:47 | |
| L'Esprit d'Éloi est le 25e album de la série et une aventure complète d'Achille Talon. Le titre est un jeu de mots qui se réfère au plus célèbre ouvrage de Montesquieu, De l'esprit des lois.
La Forêt François-René de Chateaubriand
Forêt silencieuse, aimable solitude, Que j’aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, J’éprouve un sentiment libre d’inquiétude ! Prestiges de mon cœur ! je crois voir s’exhaler Des arbres, des gazons une douce tristesse : Cette onde que j’entends murmure avec mollesse, Et dans le fond des bois semble encor m’appeler. Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière Ici, loin des humains !… Au bruit de ces ruisseaux, Sur un tapis de fleurs, sur l’herbe printanière, Qu’ignoré je sommeille à l’ombre des ormeaux ! Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ; Ces genêts, ornements d’un sauvage réduit, Ce chèvrefeuille atteint d’un vent léger qui fuit, Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles. Forêts, dans vos abris gardez mes vœux offerts ! A quel amant jamais serez-vous aussi chères ? D’autres vous rediront des amours étrangères ; Moi de vos charmes seuls j’entretiens les déserts.
François-René de Chateaubriand, Tableaux de la nature
Résumé
Pour une fois, c'est Achille Talon qui se porte volontairement au secours de son meilleur voisin, ami ou ennemi selon les circonstances, Hilarion Lefuneste.
En effet, celui-ci a un oncle agriculteur (l'oncle Béotien) qui subit la menace d'un terrifiant fantôme appelé « Éloi Courtetête ». Son voisin, Trifide Bident, aidé par Rheingaard Van Daag, un cinéaste approximatif, veut lui racheter son terrain...
Cet album voit notamment Achille faire la rencontre de Pétard, un canard goguenard qui ne se départ presque jamais de son béret et qui le suivra ensuite dans ses autres aventures. [masquer] v · m La série d’Achille Talon Albums Greg Les Idées d'Achille Talon, cerveau-choc ! · Achille Talon aggrave son cas ! · Achille Talon persiste et signe · Mon fils à moi ! · L'Indispensable Achille Talon · Achille Talon au pouvoir · Les Insolences d'Achille Talon · Achille Talon méprise l'obstacle · Les Petits Desseins d'Achille Talon · Le Roi de la science-diction · Brave et honnête Achille Talon · Achille Talon au coin du feu · Pas de pitié pour Achille Talon · Le Mystère de l'homme à deux têtes · Le Quadrumane optimiste · Le Trésor de Virgule · Le Roi des Zôtres · Le Coquin de sort · Le Grain de la folie · Viva Papa ! · Ma vie à moi · Le sort s'acharne sur Achille Talon · Achille Talon et la Main du serpent · L'Âge ingrat · L'Esprit d'Éloi · L'Arme du crocodile · Ne rêvons pas · L'Insubmersible Achille Talon · La Loi du bidouble · Achille Talon a un gros nez · Il n'y a (Dieu merci) qu'un seul Achille Talon · La Traversée du disert · La Vie secrète du journal... Polite ! · L'Incorrigible Achille Talon · Achille Talon à bout portant · Achille Talon n'a pas tout dit · L'Archipel de Sanzunron · Achille Talon contre docteur Chacal et mister Bide ! · Talon (Achille pour les dames) · Achille Talon et le Monstre de l'étang Tacule · L'Appeau d'Éphèse · Le Musée Achille Talon sans Greg Achille Talon a la main verte · Tout va bien ! · Le Maître est Talon · Le Monde merveilleux du journal Polite · Achille Talon crève l'écran · Achille Talon n'arrête pas le progrès Personnages Achille Talon · Alambic Dieudonné Corydon Talon · Hilarion Lefuneste · Vincent Poursan Créateurs Greg · Roger Widenlocher · Christian Godard · Brett · Herlé · Moski · Pierre Veys Divers Achille Talon magazine · Les Aventures de Papa Talon · Achille Talon (série télévisée d'animation)
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LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie | |
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| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:48 | |
| François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)
La mer
Des vastes mers tableau philosophique, Tu plais au coeur de chagrins agité : Quand de ton sein par les vents tourmenté, Quand des écueils et des grèves antiques Sortent des bruits, des voix mélancoliques, L'âme attendrie en ses rêves se perd, Et, s'égarant de penser en penser, Comme les flots de murmure en murmure, Elle se mêle à toute la nature : Avec les vents, dans le fond des déserts, Elle gémit le long des bois sauvages, Sur l'Océan vole avec les orages, Gronde en la foudre, et tonne dans les mers.
Mais quand le jour sur les vagues tremblantes S'en va mourir ; quand, souriant encor, Le vieux soleil glace de pourpre et d'or Le vert changeant des mers étincelantes, Dans des lointains fuyants et veloutés, En enfonçant ma pensée et ma vue, J'aime à créer des mondes enchantés Baignés des eaux d'une mer inconnue. L'ardent désir, des obstacles vainqueur, Trouve, embellit des rives bocagères, Des lieux de paix, des îles de bonheur, Où, transporté par les douces chimères, Je m'abandonne aux songes de mon coeur.
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Souvenir du pays de France
Romance.
Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma soeur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours !
Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son coeur joyeux, Ma chère ? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux.
Ma soeur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore ; Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour ?
Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau, Si beau ?
Oh ! qui me rendra mon Hélène, Et ma montagne et le grand chêne ? Leur souvenir fait tous les jours Ma peine : Mon pays sera mes amours Toujours !
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Invocation
Je voudrais célébrer dans des vers ingénus Les plantes, leurs amours, leurs penchants inconnus, L'humble mousse attachée aux voûtes des fontaines, L'herbe qui d'un tapis couvre les vertes plaines, Sur ces monts exaltés le cèdre précieux Qui parfume les airs, et s'approche des cieux Pour offrir son encens au Dieu de la nature, Le roseau qui frémit au bord d'une onde pure, Le tremble au doux parler, dont le feuillage frais Remplit de bruits légers les antiques forêts, Et le pin qui, croissant sur des grèves sauvages, Semble l'écho plaintif des mers et des orages : L'innocente nature et ses tableaux touchants, Ainsi qu'à mon amour auront part à mes chants.
(écrit à l'âge de 16 ans)
LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D’ÉGALITÉ...
LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:48 | |
| François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)
La mer
Des vastes mers tableau philosophique, Tu plais au coeur de chagrins agité : Quand de ton sein par les vents tourmenté, Quand des écueils et des grèves antiques Sortent des bruits, des voix mélancoliques, L'âme attendrie en ses rêves se perd, Et, s'égarant de penser en penser, Comme les flots de murmure en murmure, Elle se mêle à toute la nature : Avec les vents, dans le fond des déserts, Elle gémit le long des bois sauvages, Sur l'Océan vole avec les orages, Gronde en la foudre, et tonne dans les mers.
Mais quand le jour sur les vagues tremblantes S'en va mourir ; quand, souriant encor, Le vieux soleil glace de pourpre et d'or Le vert changeant des mers étincelantes, Dans des lointains fuyants et veloutés, En enfonçant ma pensée et ma vue, J'aime à créer des mondes enchantés Baignés des eaux d'une mer inconnue. L'ardent désir, des obstacles vainqueur, Trouve, embellit des rives bocagères, Des lieux de paix, des îles de bonheur, Où, transporté par les douces chimères, Je m'abandonne aux songes de mon coeur.
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Souvenir du pays de France
Romance.
Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma soeur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours !
Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son coeur joyeux, Ma chère ? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux.
Ma soeur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore ; Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour ?
Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau, Si beau ?
Oh ! qui me rendra mon Hélène, Et ma montagne et le grand chêne ? Leur souvenir fait tous les jours Ma peine : Mon pays sera mes amours Toujours !
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Invocation
Je voudrais célébrer dans des vers ingénus Les plantes, leurs amours, leurs penchants inconnus, L'humble mousse attachée aux voûtes des fontaines, L'herbe qui d'un tapis couvre les vertes plaines, Sur ces monts exaltés le cèdre précieux Qui parfume les airs, et s'approche des cieux Pour offrir son encens au Dieu de la nature, Le roseau qui frémit au bord d'une onde pure, Le tremble au doux parler, dont le feuillage frais Remplit de bruits légers les antiques forêts, Et le pin qui, croissant sur des grèves sauvages, Semble l'écho plaintif des mers et des orages : L'innocente nature et ses tableaux touchants, Ainsi qu'à mon amour auront part à mes chants.
(écrit à l'âge de 16 ans)
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:49 | |
| 2 mai 1598 Paix de Vervins
Le 2 mai 1598, la France et l'Espagne signent la paix de Vervins. Elle confirme la teneur du traité du Cateau-Cambrésis, signé 39 ans plus tôt. Le roi d'Espagne Philippe II avait profité des guerres religieuses qui agitaient la France pour intervenir au nord des Pyrénées. Il avait même réclamé le trône de France pour sa fille.
Henri IV ayant rétabli la paix civile, les Espagnols perdent leurs soutiens. À bout de souffle, ils se retirent de la scène française. Par le traité de Vervins, le roi d'Espagne renonce à ses prétentions sur le trône de France.
AUPARAVANT
13 octobre 1307 Arrestation des Templiers
Au matin du vendredi 13 octobre 1307, tous les Templiers de France, soit plusieurs milliers au total, sont arrêtés sur ordre du roi Philippe IV le Bel (le petit-fils de Saint Louis).
Cet acte de violence arbitraire met fin à un ordre original de moines-soldats, vieux de près de deux siècles, qui s'est illustré en Terre sainte et s'est acquis puissance et richesse, s'attirant ainsi la jalousie des féodaux et la convoitise des souverains.
Un ordre monastique prestigieux
L'ordre du Temple est né en Terre sainte, en 1119, après la première croisade, à l'initiative du chevalier champenois Hugues de Payns qui voulait protéger les pèlerins se rendant à Jérusalem.
Il est officialisé par le concile de Troyes, neuf ans plus tard, à l'initiative de Saint Bernard de Clairvaux.
Le prestige des moines-chevaliers au manteau blanc frappé d'une croix rouge est immense pendant les deux siècles que durent les croisades... malgré la trahison du grand maître Gérard de Ridefort à la bataille de Hattîn, en 1187.
La huitième et dernière croisade s'achève par la mort tragique du roi Saint Louis devant Tunis en 1270.
Dès lors, les dernières possessions franques de Terre sainte tombent définitivement entre les mains des musulmans.
Ceux-ci s'emparent de Saint-Jean-d'Acre le 28 mai 1291 malgré la résistance héroïque des Templiers autour du grand maître Guillaume de Beaujeu.
Le retour des Templiers en Europe (miniature du XIIIe siècle) Les Templiers se replient en Europe
Au début du XIIIe siècle, l'ordre du Temple, chassé de Palestine, n'en dispose pas moins encore d'une force militaire impressionnante de quinze mille hommes, bien plus que n'aurait pu en lever n'importe quel roi de la chrétienté. Mais, de soldats, les Templiers se sont reconvertis en usuriers et ont complètement perdu de vue la reconquête des Lieux saints.
C'est que de considérables donations ont rendu l'ordre immensément riche et l'ont transformé en l'une des principales institutions financières occidentales... et la seule qui soit sûre. Il gère ainsi, en véritable banquier, les biens de l'Église et ceux des rois d'Occident (Philippe le Bel, Jean sans Terre, Henri III, Jaime Ier d'Aragon...).
Ses commanderies qui abritent les moines-soldats, avec aussi une vocation caritative, couvrent l'ensemble de l'Europe médiévale d'une véritable toile d'araignée. On peut voir au sud d'Angoulême, à Cressac, une chapelle rescapée de l'une de ces commanderies et ornée de peintures murales qui évoquent les croisades.
L'opinion européenne commence à s'interroger sur la légitimité du Temple. Le roi Philippe le Bel lui-même a souvenance que les Templiers ont refusé de contribuer à la rançon de Saint Louis lorsqu'il a été fait prisonnier au cours de la septième croisade. Il entend aussi quelques méchantes rumeurs sur les moeurs prétendument dépravées et diaboliques des moines-chevaliers...
Qu'à cela ne tienne. Suivant une idée déjà ancienne, évoquée par Saint Louis et les papes Grégoire X, Nicolas IV et Boniface VIII, Philippe le Bel souhaite la fusion de l'ordre du Temple avec celui, concurrent, des Hospitaliers afin de constituer une force suffisante pour préparer une nouvelle croisade à laquelle le roi de France et le pape Clément V sont très attachés.
L'affaire est mise à l'ordre du jour de plusieurs conciles et l'on élabore même en 1307 un projet dans lequel Louis de Navarre aurait été grand maître du nouvel ordre. Son dramatique échec résulte de l'opposition obstinée du grand maître Jacques de Molay ainsi que de l'agressivité du ministre du roi, Guillaume de Nogaret. Le drame
Déçu dans ses attentes, le roi de France presse le pape d'agir contre l'Ordre. Clément V ouvre une enquête le 24 août 1307 pour laver les moines-chevaliers de tout soupçon mais l'affaire traîne en longueur et Philippe le Bel prend l'affaire en main. Il décide d'arrêter les Templiers sous l'inculpation d'hérésie, sans prendre la peine d'en référer au pape.
C'est ainsi que tous les Templiers de France sont arrêtés au petit matin par les sénéchaux et les baillis du royaume au terme d'une opération de police conduite dans le secret absolu par Guillaume de Nogaret. Ils sont interrogés sous la torture par les commissaires royaux avant d'être remis aux inquisiteurs dominicains.
Parmi les 140 Templiers de Paris, 54 sont brûlés après avoir avoué pratiquer la sodomie ou commis des crimes extravagants comme de cracher sur la croix ou de pratiquer des « baisers impudiques ». L'opinion publique et le roi lui-même y voient la confirmation de leurs terribles soupçons sur l'impiété des Templiers et leur connivence avec les forces du Mal.
Pour ne pas donner l'impression d'être désavoué, le pape choisit la fuite en avant et, le 22 novembre 1307, ordonne à son tour l'arrestation des Templiers dans tous les États de la chrétienté et l'ouverture d'une enquête sur leurs crimes supposés.
Le roi obtient de Clément V la suppression de l'ordre, au concile de Vienne, en 1312. Elle est officialisée le 3 avril 1312 par la bulle « Vox in excelso », bien qu'il soit tout à fait exceptionnel qu'un ordre religieux soit purement et simplement dissous.
Le 3 mai 1312, le pape affecte le trésor des Templiers à l'ordre concurrent des Hospitaliers, à l'exception de la part ibérique qui revient aux ordres militaires locaux. Le roi de France et ses conseillers plaident en faveur de cette solution, respectueuse de la volonté des nombreux bienfaiteurs du Temple.
En 1313, sur la base de documents comptables, l'ordre de l'Hôpital restitue 200.000 livres au trésor royal pour solde de tout compte. Le successeur de Philippe, Louis X, réclamera toutefois un supplément, estimant que son père a été floué. L'affaire est close en 1317, quand le nouveau roi Philippe V reçoit 50.000 livres supplémentaires.
Avec l'affaire du Temple, la monarchie capétienne montre qu'elle entend suivre son intérêt politique et ne plus se comporter en vassale de l'Église.
La malédiction du grand maître
Au terme d'un procès inique, le grand maître des Templiers, Jacques de Molay, est lui-même brûlé vif à la pointe de l'île de la Cité le 19 mars 1314, ainsi que le commandeur de Normandie Geoffroy de Charnay. Une plaque rappelle le triste sort de cet homme qui ne sut pas réformer son ordre quand il en était temps.
Une légende reprise par Maurice Druon dans son célèbre roman-fleuve Les rois maudits veut qu'à l'instant de succomber dans les flammes, Jacques de Molay ait lancé une malédiction à l'adresse du roi et du pape, les invitant à le rejoindre dans la mort avant la fin de l'année. Or, c'est pourtant ainsi que les choses vont se passer.
De Monsieur Jean Brillet
LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D’ÉGALITÉ...
LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:49 | |
| 13 octobre 1860 : Pékin occupé par les Occidentaux
Le 13 octobre 1860, Pékin est occupée par une expédition franco-anglaise qui veut punir l'empire chinois pour ne s'être pas soumis aux injonctions du traité de Nankin du 29 août 1842 et aux promesses de l'année précédente. Au terme de cette « Seconde guerre de l'opium », le gouvernement impérial devra une nouvelle fois s'incliner devant les exigences occidentales.
AINSI
29 août 1842 Le traité de Nankin met fin à la guerre de l'opium
Le 29 août 1842, le traité de Nankin met fin à la «guerre de l'opium» entre la Chine et la Grande-Bretagne. Le droit du plus fort
Quelques décennies plus tôt, en 1793, le grand empereur Qianlong a dédaigné d'entendre les Britanniques, désireux de commercer davantage avec l'Empire du Milieu.
Les commerçants de la Compagnie anglaise des Indes orientales et le gouvernement de Londres ont fort mal pris cette fin de non-recevoir. Ils n'ont pas manqué de diffuser dans toute l'Europe le mépris que leur inspirait cette Chine naguère tant vantée mais archaïque, immobile, repliée sur elle-même.
Leur dépit est d'autant plus grand qu'ils continuent d'acheter en Chine le thé dont ils sont friands ainsi que beaucoup d'autres produits de luxe (porcelaines, pierreries, soieries...).
Pour tenter d'équilibrer une balance commerciale gravement déficitaire, la Compagnie des Indes a mis en oeuvre un «commerce triangulaire» aussi peu recommandable que la traite des esclaves. Elle a développé aux Indes la culture du pavot et, de façon tout à fait illégale, initié les Chinois à la consommation de l'opium.
Ses ventes illégales d'opium en Chine sont passées de 100 tonnes vers 1800 à 2600 tonnes en 1838. Une entrave au libre-échange
Un plénipotentiaire européen à la cour de l'empereurEn 1839, le nouveau gouverneur de Canton, excédé, fait saisir et brûler 20.000 caisses de drogue. En riposte, les Anglais bombardent Canton tandis qu'une escadre remonte le Yangzi Jiang jusqu'à Nankin, obligeant l'empereur Daoguang à capituler.
Cette «diplomatie de la canonnière» débouche sur le traité de Nankin par lequel les vainqueurs gagnent le droit de commercer librement dans cinq ports chinois. Ils obtiennent en prime la cession de l'îlot de Hong-Kong, à l'embouchure de la rivière des Perles et de la très riche région de Canton.
Comble de l'humiliation, l'empereur doit accorder un privilège d'extra-territorialité aux Britanniques et leur verser 21 millions de dollars. Les Français et les Américains s'empressent d'exiger des avantages équivalents.
L'humiliation éprouvée par les Chinois suite au traité de Nankin est à l'origine de soulèvements populaires contre la dynastie mandchoue des Qing, le plus notable étant celui des Taiping (20 millions de morts).
19 mars 1853 Prise de Nankin par les Taiping
Le 19 mars 1853, une troupe de « rebelles aux cheveux longs » aux ordres d'un certain Hung Xiuquan s'emparent de Nankin, la prestigieuse capitale de la Chine du sud, sur le Yangzi Jiang (le « Fleuve bleu »).
Leur révolte va se solder par 20 millions de victimes (deux fois les pertes de la Première Guerre mondiale) sur un total d'environ 330 millions de Chinois. Tout cela pour déboucher sur une nouvelle intervention des Occidentaux ! Alban Dignat Communistes avant l'heure
Les rebelles appartiennent à la secte Taiping (ou T'ai P'ing), ou secte de la Grande pureté. Ils doivent leur surnom à ce qu'ils rejettent le port de la natte imposé par les empereurs de la dynastie Tsin.
Indignés par l'abaissement de la cour impériale face aux « Barbares roux » (les Occidentaux), ils veulent installer à la tête du pays une dynastie chinoise au lieu de ces empereurs originaires de Mandchourie, une région à moitié barbare. Par la même occasion, ils veulent instaurer en Chine une société plus juste et plus égalitaire, fondée sur un partage des terres, l'émancipation des femmes.... Ils prônent la renonciation à la polygamie, à l'esclavage ou encore à la vieille coutume de bander les pieds des Chinoises.
Ils sont guidés par une personnalité étrange autant que puissante, Hung Xiuquan.
C'est le fils d'un paysan du Kwangsi, une province arriérée et montagneuse de l'ouest de Canton. Il a échoué aux examens pour devenir mandarin (énarque en quelque sorte). Mais il s'est consolé de son échec en entrant dans une secte protestante et en tirant de la Bible la conviction qu'il est... le frère de Jésus-Christ. Il échafaude ainsi un curieux syncrétisme du christianisme et de la doctrine traditionnelle de Confucius. Et il promet à ses disciples l'avènement d'un « Royaume céleste de la Grande Paix » destiné à durer mille ans.
Après la prise de Nankin, devenue capitale provisoire de leur royaume, les Taiping s'immiscent dans toutes les provinces de l'Empire du Milieu (ainsi se dénomme la Chine) et font vaciller le trône de l'empereur. Ils occupent jusqu'à 600 villes et onze provinces sur les dix-huit que compte l'empire chinois. Le 30 octobre 1853, ils atteignent Tientsin et menacent même Pékin, où réside l'empereur.
On pourrait s'attendre à l'émergence d'une nouvelle dynastie conformément à une vieille tradition de l'Histoire chinoise. C'est compter sans les Français et les Anglais, qui vont sauver les Mandchous, mais au prix d'une nouvelle humiliation, la « Seconde guerre de l'opium », conclue par la convention de Pékin (24 octobre 1860)... Les Occidentaux restaurent l'ordre mandchou
Énivré par ses succès, Hung Xiuquan commet l'erreur de menacer Shanghai, le grand port marchand de la Chine centrale, où sont établis un grand nombre de négociants européens. Ceux-ci recrutent dès 1856 un corps de volontaires européens et américains pour protéger leur centre d'affaires.
Sous le commandement des Américains Ward et Burgevine, ces officiers constituent une armée de 5000 combattants chinois. Sous le nom mérité d'« Armée toujours victorieuse », la troupe s'illustre avec succès contre les rebelles et repousse leurs assauts sur Shanghai.
Après que l'empereur mandchou a renouvelé son allégeance aux Occidentaux par un nouveau « traité inégal », le 24 octobre 1860, les Anglais apportent leur concours à la dynastie Qing. C'est ainsi que l'« Armée toujours victorieuse » est autorisée à s'allier à l'armée impériale, elle-même sous le commandement d'un énergique fonctionnaire chinois, Li Hong-tchang.
En 1862, suite à la mort de Ward, Li Hong-tchang obtient des Britanniques de le remplacer par l'un de leurs meilleurs officiers, le capitaine Charles Gordon (29 ans) qui ne tardera pas à accéder au grade de lieutenant-colonel.
Face à cette coalition improbable mais dotée de chefs énergiques et d'un armement moderne, les Taiping ne font pas le poids.
Eux-mêmes ne disposent que d'un armement traditionnel et sont conduits par des chefs incompétents et qui n'hésitent pas à s'entretuer. Aussi cèdent-ils peu à peu du terrain.
Le 11 mai 1864, la prise de la citadelle de Changchow par le commandant Gordon consacre la fin de leur résistance. Le 19 juillet 1864, Nankin est reprise par l'armée impériale. Les rebelles sont massacrés tandis que leur chef se suicide... en avalant de l'or. 100 000 rebelles sont passés au fil de l'épée.
24 octobre 1860 «Seconde guerre de l'opium» et traité de Pékin
Le 24 octobre 1860, l'empereur de Chine concède aux Français et aux Anglais de nouveaux avantages commerciaux par la convention de Pékin.
Ce «traité inégal» survient près de vingt ans après celui de Nankin, qui avait notamment autorisé les importations d'opium en provenance des Indes britanniques. La «Seconde guerre de l'opium»
L'arraisonnement par les Chinois d'un navire battant pavillon anglais ainsi que la mise à mort d'un missionnaire français ont fourni au Premier ministre anglais Palmerston et à l'empereur Napoléon III le prétexte d'intervenir une nouvelle fois en Chine. C'est ce que l'on a appelé plus tard la «Seconde guerre de l'opium».
Une escadre franco-anglaise paraît dans le golfe de Petchili (aujourd'hui, golfe de Bohai), par lequel on accède à Tianjin et Pékin. Elle débarque des troupes et celles-ci s'avancent vers la capitale.
Les dirigeants mandchous promettent tout ce qu'on leur demande mais, l'année suivante, en 1859, quand les ambassadeurs européens se présentent pour ratifier le traité, ils sont reçus à coups de canon.
Il s'ensuit une nouvelle expédition, forte de 3000 Anglais et autant de Français, qui débarque dans le golfe de Petchili en septembre 1860 et marche sur Pékin. Le 21 septembre, les Français, sous le commandement du général Cousin-Montauban, arrivent devant le pont de Pa-li-kao, dernier obstacle avant la route de Pékin. Ils le prennent d'assaut en repoussant les dizaines de milliers d'hommes qui, mal armés, tentent de le défendre.
Le 13 octobre 1860, le corps expéditionnaire entre à Pékin, d'où s'est enfui l'empereur. Sac du Palais d'Été
Soldats français et anglais mettent à sac le somptueux Palais d'Été, l'une des résidences impériales, au nord-ouest de Pékin. Là-dessus, lord Elgin, qui commande le détachement anglais, apprend que des prisonniers européens de son avant-garde ont été atrocement torturés par les Chinois. Il ordonne en représailles l'incendie du Palais d'Été le 18 octobre 1860. Humiliants «traités inégaux»
Le 24 octobre 1860, les représentants de l'empereur s'inclinent et signent la convention de Pékin. Par ce traité, ils accordent des indemnités aux Occidentaux, ouvrent à leurs commerçants le bassin du Yangzi Jiang et à leurs missionnaires l'ensemble de l'empire. Ils concèdent enfin aux Britanniques un agrandissement de leur colonie de Hong-Kong.
Les Européens présents en Chine se voient accorder le privilège de l'extraterritorialité : ils ne peuvent être jugés que par leur propre consul et en aucun cas par les Chinois.
Dans les ports qui leur sont ouverts, par exemple Tianjin (Tien Tsin), ils s'établissent dans des concessions administrées par des fonctionnaires européens.
En dépit de révoltes locales ou de sursauts patriotiques, l'exploitation de la Chine allait perdurer pendant un demi-siècle, jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale et la chute de la dynastie.
Les voisins russes, qui ne veulent pas être en reste, se font accorder le 14 novembre 1860 la rive gauche de l'Amour, ainsi que, le long de l'océan Pacifique, la région qui s'étend de l'embouchure du fleuve Amour, au nord, à la Corée, au sud. Cette région devient leur Province maritime et pour s'en assurer le contrôle, ils construisent une capitale portuaire au nom prometteur : Vladivostok («Domination de l'Orient» en russe). On peut dire que le véritable vainqueur de cette «Seconde guerre de l'opium» est le tsar Alexandre II qui n'y a pas participé.
LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D’ÉGALITÉ...
LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie
13 octobre 1906 : La Charte d'Amiens fonde le syndicalisme révolutionnaire
MIAOU...
LE DRAGON CÉLESTE ET TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:50 | |
| 13 octobre 1906 : La Charte d'Amiens fonde le syndicalisme révolutionnaire
Le 8 octobre 1906 s’ouvre à Amiens le congrès de la principale fédération de syndicats français, la Confédération Générale du Travail (CGT). Cinq jours plus tard en sort une motion qui va entrer dans l’Histoire syndicale sous le nom de Charte d’Amiens.
Ce texte très court (2000 signes) définit encore aujourd’hui les objectifs du syndicalisme français, en radicale opposition avec les syndicalismes allemand et britannique...
8-13 octobre 1906 La Charte d'Amiens fonde le syndicalisme révolutionnaire
Le 8 octobre 1906 s’ouvre à Amiens le congrès de la Confédération Générale du Travail (CGT), qui groupe 2400 syndicats français et deux cent mille adhérents. Cinq jours plus tard en sort une motion qui va entrer dans l’Histoire syndicale sous le nom de Charte d’Amiens.
Ce texte très court (2000 signes) définit encore aujourd’hui en théorie les objectifs du syndicalisme français, en radicale opposition avec les syndicalismes allemand et britannique.
Révolutionnaire ou réformiste ?
La CGT est née à Limoges en 1895, à peine plus de dix ans après la légalisation des syndicats ouvriers. Au départ simple association de quelques fédérations nationales de syndicats, elle se structure et se renforce au congrès de Montpellier, en 1902.
Victor Griffuelhes (Nérac - Lot-et-Garonne, 14 mars 1874 ; Saclas - Seine-et-Oise, 30 juin 1922)Ses effectifs bondissent à plus de cent mille membres sous l’impulsion de son secrétaire général Victor Griffuelhes, un ancien militant anarchiste.
Il organise le 1er mai 1906 la première grève générale pour la journée de huit heures. Ce coup d’éclat met le monde syndical en ébullition, d’autant qu’il survient juste après la catastrophe de Courrières et la répression des mineurs par l’armée.
L’année précédente, la sphère politique a vu naître le premier parti constitué comme tel : la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO). Ce parti est dirigé par Jules Guesde et se réclame du marxisme.
Partageant peu ou prou les mêmes convictions, syndicalistes et militants politiques s’interrogent sur la meilleure façon de les promouvoir.
Jules Guesde s’est violemment opposé à Alexandre Millerand en 1899 quand ce « socialiste indépendant » a choisi de participer au gouvernement « bourgeois » de Pierre Waldek-Rousseau.
Il souhaite faire de son parti, avec le concours de la CGT, le fer de lance de la révolution à venir. Mais au sein de la confédération syndicale, les « guesdistes » sont nettement minoritaires.
Ils doivent compter avec les réformistes qui veulent se cantonner dans des revendications purement syndicales pour l’amélioration des conditions de travail et des rémunérations.
Quant à la mouvance anarchiste regroupée autour de Victor Griffuelhes, elle prône une action révolutionnaire, à l'écart des partis politiques, avec rien moins que l’objectif de renverser la société capitaliste et de confier l’outil de production aux syndicats !
Le débat va être tranché au congrès d’Amiens au profit des derniers ! Victoire en trompe-l’œil du syndicalisme révolutionnaire
Le IXe congrès confédéral réunit plus de 800 délégués dans l’école publique du faubourg de Noyon, à Amiens. Trois motions sont débattues. Celle des « guesdistes », présentée par la Fédération du Textile, est mise en minorité par la coalition contre nature des réformistes et des anarchistes.
La motion réformiste, présentée par la Fédération du Livre, exprime « le caractère exclusivement économique de l'organisation syndicale ». Mais elle est retirée par ses promoteurs qui veulent plus que tout rester à l’écart des partis politiques. Ils se rallient donc à la motion de Victor Griffuelhes, laquelle préconise la grève générale comme moyen de faire triompher la révolution et « l'expropriation capitaliste ».
Après une semaine de débats est donc votée ladite motion. Elle obtient 830 voix sur 839 !
Mais même si elle est acceptée à la quasi-unanimité des congressistes, n'y voyons pas le reflet des aspirations de la classe ouvrière ou des huit millions de salariés français car les délégués présents à Amiens représentent en tout et pour tout un millier de syndicats et beaucoup sont des néophytes qui ont reçu un mandat en blanc d'un ou même plusieurs syndicats...
DONC
Amiens (French pronunciation: [amjɛ̃]) is a city and commune in northern France, 120 km (75 mi) north of Paris and 100 km (62 mi) south-west of Lille. It is the capital of the Somme department in Hauts-de-France. The city had a population of 136,105 according to the 2006 census.
It has one of the biggest university hospitals in France with a capacity of 1,200 beds.
Amiens Cathedral, the tallest of the large, classic, Gothic churches of the 13th century and the largest in France of its kind, is a World Heritage Site. The author Jules Verne lived in Amiens from 1871 until his death in 1905, and served on the city council for 15 years. During December, the town hosts the largest Christmas market in northern France. Amiens is known for a few local foods, including "macarons d'Amiens", almond paste biscuits; "tuiles amienoises", chocolate and orange curved biscuits; "pâté de canard d'Amiens", duck pâté in pastry; "la ficelle Picarde", an oven-baked cheese-topped crêpe; and "flamiche aux poireaux", a puff pastry tart made with leeks and cream.
The first known settlement at this location was Samarobriva ("Somme bridge"), the central settlement of the Ambiani, one of the principal tribes of Gaul. The town was given the name Ambianum by the Romans, meaning settlement of the Ambiani people. Amiens was part of Francia from the 5th century. Normans sacked the city in 859 and again in 882. In 1113, the city was recognized by King Louis VI of France and joined to the Crown of France in 1185. In 1597, Spanish soldiers held the city during the six-month Siege of Amiens, before Henry IV regained control. During the 18th and 19th century, the textile tradition of Amiens became famous for its velours. In 1789, the provinces of France were dismantled and the territory was organised into departments. Much of Picardy became the newly created department of Somme with Amiens as the departmental capital. During the industrial revolution, the city walls were demolished, opening up space for large boulevards around the town centre. The Henriville neighbourhood in the south of the city was developed around this time. In 1848, the first railway arrived in Amiens, linking the city to Boulogne-sur-Mer. During the 1870 Battle of Amiens when the Somme was invaded by Prussian forces, Amiens was occupied.
The town was fought over during both the First and Second World Wars, suffering much damage and being occupied several times by both sides. The 1918 Battle of Amiens was the opening phase of the Hundred Days Offensive which led directly to the Armistice with Germany that ended the war. It was heavily bombed by the Royal Air Force during the Second World War. The city was rebuilt according to Pierre Dufau's plans with a focus on widening the streets to ease traffic congestion. These newer structures were primarily built of brick, concrete and white stone with slate roofs. The architect Auguste Perret designed the Gare d'Amiens train station and nearby Tour Perret. Geography Location Map of the Amiens and its surrounding communes
Amiens, the regional prefecture of Picardy, is also the prefecture of the Somme, one of the three departments (with Oise and Aisne) in the region. Located in the Paris Basin, across the country the city benefits from a privileged geographical position (proximity to Paris, Lille, Rouen, London and Brussels). At the crossroads of major European routes of movement (A1, A16 and A29), the city is also at the heart of a major rail star.
As the crow flies, the city is 115 kilometres (71 mi) from Paris, 97 kilometres (60 mi) from Lille, 100 kilometres (62 mi) from Rouen, 162 kilometres (101 mi) from Le Havre and 144 kilometres (89 mi) from Reims. At the regional level, Amiens is located 53 kilometres (33 mi) north of Beauvais, 71 kilometres (44 mi) west of Saint-Quentin, 66 kilometres (41 mi) from Compiègne and 102 kilometres (63 mi) from Laon.
In area, it is the third in the Somme, after Crécy-en-Ponthieu and Hornoy-le-Bourg. Geology and relief
The area of the commune is 4,946 hectares (12,220 acres); the altitude varies between 14 and 106 metres (46 and 348 ft).[1] Hydrography: Somme and canal, Avre and Selle The Somme in the old town at the beginning of the 20th century The Becquet Bridge, at the start of the 20th century
Amiens is crossed by the main stem of the River Somme and is generally quiet, except during exceptional floods, several weeks long (such as spring 2001). It is also, on its southeastern outskirts, close to Camon and Longueau, the confluence with its main tributary on the left bank (to the south), the Avre. The Selle enters from the northwest of Amiens, with two arms (including the Haute Selle) passing behind the Unicorn Stadium, the exhibition park, the megacity and horse racing track, then passing the end of the Promenade de la Hotoie and the zoo of Amiens, and to the right of the water treatment plant, in front of the island Sainte-Aragone, opposite the cemetery of La Madeleine in Amiens.
The city developed in a natural narrowing of the river at the level of the hortillonnages (fr), due to the advance of the rim of the Picard plateau in Saint-Pierre (ford crossing). The Amiens citadel is built on this limestone butte and Rue Saint-Pierre is a slightly inclined path to leave the city from the north. At this narrowing, a network of narrow canals led to the construction of bridges and buildings including textile mills in the Middle Ages.
The hydrographic network has always been an important asset operated by the city. The river helped shape the identity of the landscape, urban and economic territory. It is around the quarters of Saint-Leu, Saint-Maurice bordering the River Somme and most of the administrative and civil area of the current city centre which the city has developed since antiquity.
The Canal de la Somme dates from the beginning of the 19th century and the bridge at the foot of the citadel was built after World War II. Climate
Amiens has a typical oceanic climate in the north of France, with relatively mild winters, cool summers, and rainfall well distributed throughout the year. Ombrothermic diagram of Amiens.png Transport
Amiens is a hub between the Île de France and the rest of the north of France; Normandy and Benelux; and France and Great Britain. Amiens is not directly on principal European road and rail arteries, such as the A1 motorway and the Paris-Lille TGV train line, at present.
However, at halfway between the urban areas of Lille and Paris, Amiens has good conditions of service and accessibility, including motorways (at the junction of the A16 and A29).
A regular bus link with the TGV Haute-Picardie station also provides access to the Charles-de-Gaulle Airport station. On the horizon of 2022,[2] the Roissy–Picardie Link will put Amiens 55 minutes from Paris Charles-de-Gaulle Airport and its TGV station.
By train, Amiens is located at:
1 hour 5 minutes from Paris (16 round-trip trains per day) 1 hour 15 minutes from Lille 1 hour 15 minutes from Rouen
2 hours 30 minutes from Brussels 3 hours 30 minutes from Lyon 3 hours from London
Roads See also: [[:Rocade d'Amiens (fr)]]
Since antiquity, Amiens has been a crossroads of important routes. The contemporary city is served by the A16 and A29 autoroutes. The Jules Verne Viaduct (fr), 943 metres (3,094 ft) long, crosses the River Somme to the east of the city and allows circumvention of the city by motorway-type roads. The A16 and A29 autoroutes, the RN1 and the RN25 form a bypass-type motorway around the city that the population has called the Rocade d'Amiens [ring road of Amiens]. Initially constituting national roads which are downgraded today, mostly as departmental roads, the greater urban area of Amiens is served by:
RN 1 to Beauvais and Paris, to the South, and towards Abbeville, Calais, Dunkirk and the Belgian border, northwest. RN 25 towards Doullens, Saint-Pol-sur-Ternoise and Arras RD 1029 towards Yvetot and Neufchâtel-en-Bray to the west, Saint-Quentin and La Capelle in the east.
RD 929 to Albert and Bapaume and Cambrai. RD 935 (fr) towards Compiègne. RD 919 (fr) to Mailly-Maillet and Arras. RD 933 (fr) to Bernaville and Auxi-le-Château. RD 934 (fr) to Roye and Noyon.
Amiens is served by several motorways:
A16 to Calais via Abbeville and Boulogne-sur-Mer A16 to Paris via Beauvais A29 to Rouen and Le Havre via Neufchâtel-en-Bray A29 to Reims via Saint-Quentin and Laon The proposed A24 autoroute from Amiens to Lille via Doullens was cancelled in 2006.
Parking Map of parking in the city centre of Amiens in 2009. Town Hall Halles Jacobins Trois Cailloux Saint-Leu Amiens 2 Perret Free outdoor parking
According to the urban transport plan (fr) (PDU) approved 19 December 2013 for the period 2013-2023 parking supply is considered abundant in Amiens.[3] Although important, demand for parking is less than what is available (capacity reserves are still 20% minimum: If the road is sometimes saturated, the occupancy rate of the underground parking remains globally less than 100%).[3]
In 2013, the city counted approximately 70,000 public parking spaces, including 8,400 in the city centre and in its immediate vicinity, where 70% of places are paid.[3]
4,400 spaces on highways (1,950 in the inner city, including 1,600 paid) 4,000 spaces in underground parking (620 other new places are programmed in a project for the Gare La Vallée development zone).
The underground car parks in the city centre are organised thus: Name Accessible by Close to Number of spaces Halles Rue du Général-Leclerc Commercial Centre of Halles, belfry 468 Centrum Rue Frédéric Petit Coliseum 190 Hôtel de ville Rue de Beauvais Espace piétonnier, town hall 80 Jacobins Rue des Jacobins Espace piétonnier, prefecture 587 Saint-Leu Rue des Huchers Faculties of law, political science and economy management; cathedral 585 Trois Cailloux Rue Robert de Luzarches Espace piétonnier, courthouse, cathedral 486 Amiens 2 Boulevard d'Alsace-Lorraine, rue de la Vallée Amiens 2 commercial centre, bus station, SNCF railway station 724 Perret Boulevard de Belfort, rue Vulfran-Warmé Cinema, SNCF railway station 490 Gare La Vallée Rue de la Vallée SNCF railway station, Gare La Vallée development zone 840
As of 2007, a residential parking system is deployed in Saint-Anne ward to cope with congestion in the streets by cars of users from the SNCF railway station. During the campaign for the municipal election of 2008, parking was one of the important topics of debate.[4] A year after the change of majority, the Gilles Demailly (fr) team launched a consultation with the population.[5] From 2011, the residential parking was extended to the quarters of Gare-La-Vallée and Riolan, then in 2012 the Noyon and the area east of the Riolan sector. In 2014, 2,600 parking spaces[6] were affected by this system which is designed to allow city residents more parking near their homes, to promote a better rotation of vehicles in the streets and reduce permanent occupation of public space by the cars cluttering the highway. Public transport Main articles: [[:Former tramway of Amiens (fr)]], [[:Tramway of Amiens (fr)]], and [[:Public transport in Amiens (fr)]]
Two tram lines over 10.7 kilometres (6.6 mi) were opened in 1887. The two intersect at Place Gambetta, one linking La Madeleine Cemetery (fr), the Church of Saint-Acheul, Cagnard bridge, Rue de Noyon and Rue Jules-Barni; the other from the Church of Saint-Pierre at the racecourse, by the streets of Saint-Leu, Frédéric-Petit and Colbert.
Electrified in 1899, the network grew to seven lines totalling 19 kilometres (12 mi) in 1906. From 1932, Longueau was linked to Amiens by a bus service. The terrible German bombing in 1940 which destroyed most of the city centre also hit the Jules-Ferry Road tram depot (fr) and totally destroyed the tram fleet. Only the Longueau bus survived. Amiens remained without transport. A few old Parisian buses were then used for an extremely reduced service. These buses as well as the survivor bus were then converted to city gas and equipped with tanks on the roof covered by a huge white dome. This service continued with this extraordinary material until approximately 1946. There were only two urban lines: An east-west line (Saint-Acheul - Montieres) and a northeast-southwest line (Beauville - road to Rouen). It was decided after war to serve the city by trolleybus with one bus route to Longueau. This programme was only in part realised (serving Saint-Acheul), road to Rouen, La Madeleine and Saint-Pierre. In 1964, trolleybuses were abandoned and the bus became ubiquitous in Amiens transportation.[7]
The bus network is today managed by the Ametis mixed economy company (fr), whose network covers Amiens Métropole, the agglomeration of Amiens. The establishment of dedicated bus lanes began in 2006. Former Mayor Gilles de Robien had envisioned the creation of a tram, but the choice of dedicated bus lanes had been preferred for reasons of cost and attendance. His successor, Mayor Gilles Demailly (fr), had been considering the development of a TSCP in the metropolitan area. As a result of numerous studies and conferences, elected representatives voted for the creation of a tram at the municipal Council of 15 November 2012. The project had been endorsed by the Communauté d'agglomération Amiens Métropole on 18 December 2012 and the commissioning of a first north-south tram route (fr) was scheduled for 2018/2019.[8] Following the elections of 2014 (fr), which were a defeat for most municipal and community carriers of the project, the new mayor of Amiens Brigitte Fouré and by extension the new president of Amiens Métropole Alain Gest decided to suspend the project at least during the time of their respective mandates, thus applying a campaign promise (the tram was at the heart of debate)[9] and despite a project announcement of trams on tyres (of TVR type).[10][11] Improvement of public transit would then be only by that of the bus network. Indeed, in December of the same year, the Community Council approved funding for a study (the sixth in 20 years)[12] relating to the establishment of a rapid transit bus network (fr) (BHNS), which should enter into service in March 2019, and whose vehicles could be electric.[13]
The Place Gambetta: An important hub of the former tram network of Amiens at the beginning of the 20th century.
The lycée de jeunes filles and tramway, Rue des Otages, now Lycée Madeleine-Michelis.
A bus of the network of public transport in Amiens (fr).
Cycle networks Vélam public bicycle sharing system in Amiens. Main article: [[:Vélam (fr)]]
Amiens has developed two bike services: Buscyclette and Velam (fr).
Buscyclette is a service of rental bikes on demand, created in May 1999. In 2014, nearly 2,400 "green bikes" are available for rent, essentially city bikes but also electric bikes (VAE), folding bicycles and specific bikes (kids bikes, child trailers, mountain bikes, freight bikes, tandems, etc.). The rental period varies from half a day to one year. Velam (fr) is a bike sharing system (VLS) created on 16 February 2008, an adaptation of the Cyclocity (fr) system managed by JCDecaux, similar to Vélo'v in Lyon and Vélib' in Paris. Vélam (fr) offers 313 bikes distributed every 300 to 400 metres in the centre of Amiens and 26 stations.
In 2012, Amiens Métropole had 100 kilometres (62 mi) of routes for cyclists.[3] Despite the development of a bicycle plan in 1997 which was planning the development of 500 kilometres (310 mi) of equipped cycleways, the network of the territory in terms of paths is still incomplete.
The blueprint of the bicycle facilities of the agglomeration (SDAC) provides, over a period of 10 years (2014-2024),[3] for 188 kilometres (117 mi) of cycle routes and equips 490 sites for the parking of bikes. This plan also includes the deployment of parking facilities over the entire territory of the city, close to the facilities frequented by bikers, as well as cyclist right-turns (fr) at traffic lights or even the maintenance of existing facilities. Railways Gare du Nord and its canopy in August 2012
There are three railway stations:
Two stations on the Paris-Boulogne and Amiens - Rouen lines:
The Amiens station, main station, known as Gare du Nord, in memory of the Compagnie du Nord who created it. Every day, 15,000 travellers use its seven lines.[14]
The station of Saint-Roch
Connections from these two stations include to Lille via Arras and Douai, to Boulogne via Abbeville, to Paris-Nord via Creil or Compiègne, to Reims via Tergnier, and to Rouen.
A station located on the Paris - Lille line in Longueau serving south of Amiens and the communes of Longueau, Cagny, Boves, etc.
Longueau station, a passenger station of the historic railway hub in Longueau. Every day, 2,500 travellers use its two lines.[14]
Gare de Montières (fr), station assigned to the freight traffic, it serves only the industrial zone of Amiens. This station is located on the former railway line of Doullens.
Many regional and extra regional links (Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais, Champagne-Ardenne and île-de-France) pass through Amiens, especially by TER Picardie.
A station located 45 kilometres (28 mi) from Amiens, the Haute-Picardie TGV station, allows access to the TGV network. It is served by buses from Amiens. Its isolated character earned it the name of gare des betteraves, or gare betteraves, at the time of its construction.[15]
Gare du Nord (old postcard published by Caron No. 328, postmarked in 1909).
Inside Saint-Roch railway station (postcard postmarked in 1905).
Gare Saint-Roch.
Gare de Longueau.
Air transport
In addition to Amiens – Glisy Aerodrome, bordering the town's eastern edge 5 kilometres (3.1 mi) from the centre, there are several airports nearby.
Albert – Picardie Airport is located 20 minutes northeast of the city. Beauvais-Tillé Airport, the ninth largest French airport by usage, located 45 minutes by car south of the city, and served by a bus service from Amiens. Lille Airport, reachable by train or by road using the A29 and A1. Paris-Charles de Gaulle Airport, reachable by train or by road using the A29 and A1, or A16 and N104. The creation of a railway between Creil and Roissy will put Amiens 55 minutes from Paris Charles de Gaulle airport by 2020.[16]
Waterways
The Somme canal runs through the town to the English Channel. This canal is linked to the Canal du Nord (Paris to Lille metropolitan area) Urbanism Urban morphology
Amiens comprises a number of neighbourhoods ("quartiers" in French) with their own characteristics, including Saint-Leu, St-Maurice, Henriville, and Saint-Acheul. Saint-Leu quarter
St-Leu is a part of Amiens north of the city centre. It has many older wooden and brick houses and several canals. At the foot of the cathedral, traversed by canals, this picturesque area was largely rehabilitated during the 1990s. It extends to the Somme canal, located more to the north, at the foot of the Coteau Saint-Pierre on which the fortress of Jean Errard (fr), called Citadelle, was built. Historically, it was the poor quarter of the city, where butchers, tanners and dyers gathered.
Amiens University's Faculty of Sciences, present since the 1960s, has been renovated and expanded on occasion. The Faculty of Law and Economics has also been transferred since the mid-1990s from the campus (offset to the south of the city) to its new location at the foot of the cathedral.[note 1] The open-air parking it replaces was a "gap" in the landscape dating from World War II. Nonetheless, it allowed an unobstructed view of the cathedral. Most of the buildings have been renovated and transformed into housing much of which is for students, many of whom are in the quarter.
The area became the heart of the Amiens people's evenings, with many establishments (bars, restaurants, etc.) on Place du Don and Quai Bélu.
At Rue Saint-Leu is found the church, located just between the Faculty of Science and Law-Economy (UPJV).
Two theatres were established in the quarter, that of the Chés Cabotans (puppet shows in the Picard language) and the Maison du Théâtre at the foot of the Saint-Leu Church. There is also La Lune des Pirates, a concert hall.
Place du Don: The River Somme and cathedral
Saint-Leu: Rue du Hocquet
Saint-Leu: Rue d'Engoulvent and Rue des Majots
Saint-Leu: Rue d'Engoulvent
Saint-Leu : Place Aristide Briand
Canal in the Saint-Leu quarter
Quai Bélu on the banks of the Somme, near the old market on the waterside
The Samarobriva footbridge towards the Saint-Pierre Park
Saint-Maurice quarter
Located to the west of the Citadelle, and east of the La Madeleine Cemetery (fr), this very old working-class quarter of Amiens, and industrial centre of the 18th century, is undergoing rehabilitation with the construction, rearrangement and renovation of much housing.
Bordered by the Canal de la Somme, it offers a stopover for leisure boats, which must go through a lock.
The walls of the city's former dye factory are now those of the École supérieure d'art et de design d'Amiens (fr) (ESAD) as well as those of the Faculty of Arts. The École supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique (ESIEE) is in the same quarter. As the Citadelle, it will be renovated by the architect Renzo Piano to accommodate the university departments (UFR) of letters, of history and geography, of languages, the École supérieure du professorat et de l'éducation (fr) (ESPE), the House of Languages, the House of Research and the University Library in 2015.
The Jardin des plantes (fr), known as the Jardin du Roy within the city, is also located in this quarter. The River Somme from the Boulevard de Beauvillé Henriville quarter
The Henriville neighbourhood was mostly built during the 19th century after the demolition of the city wall. It lies at the south of the town centre. It has numerous bourgeois houses and townhouses, predominantly in brick, blending architectural styles of the period, including neoclassical, troubadour and neo-Gothic. There are also private mansions, such as the Acloque mansion and the house of Jules Verne. Saint-Acheul quarter
The Saint-Acheul quarter (IPA: [aʃoel]) existed before Amiens, as people have lived there since prehistoric times. This is where archaeological excavations in the nineteenth century discovered prehistoric tool sets typical of the "Acheulean" prehistorical era, named after this neighbourhood (also spelled Acheulian, pronounced [əˈʃuːliən]). An archaeological garden can be freely visited there.
Not to be confused with the commune of Saint-Acheul situated 37 km (23 mi) to the north, the quarter of Saint-Acheul is the site of a military cemetery from the First World War (1914–1918).
It also contains the Church of Saint-Acheul, and the former normal school of teachers which became the Lycée Robert-de-Luzarches. A number of famous people are buried in the former Saint-Acheul cemetery such as J.-P. Pinchon (creator of Bécassine) and many resistance fighters. Part of the quarter includes a so-called "English neighbourhood," with typical English style houses. At the feet of this area lie the hortillonnages (fr), a marshy area criss-crossed by canals. Other neighbourhoods
Amiens, like other big cities, has its large HLM high-rise tower blocks:
North of the city the quarters du Pigeonnier, which is famous for its weekend market, Messenger, Mozart, Fafet-Brossolette-la Cité, Balzac, Léo Lagrange-Schweitzer, etc.; Southeast of the city: Victorine-Autier, Philéas Lebesgue, Condorcet, Pierre-Rollin. West: Etouvie and Montieres (an ecodistrict is provided in this industrial space, where there are buildings of the 19th century, in brick).[17] East: Saint-Acheul-la-Cité and the Clos de l'Avre.
These areas experience a lot of social troubles and have regularly been the place for riots. The northern quarters were the scene of violent events in 1994, 1999 and 2000 (clashes between several districts of the city and between the neighbourhoods of Amiens and the districts of Creil), in 2006 and 2008 (in the wake of incidents in the Paris suburbs)[citation needed] and more recently in August 2012 following a conflict between youth and the police. The cost of the latest vandalism to occur in the north of Amiens would amount, according to Gilles Demailly (fr), to between four and six million euros. These extremely violent riots caused sixteen police officers to be injured.[18]
An extensive programme of redevelopment of these neighborhoods began recently, demolished HLM tower blocks and new infrastructure have been built, especially for schools. In 2009, the public transport network of the Amiens agglomeration was significantly modified. Housing Houses in the Saint-Leu quarter.
In 2009, the total number of dwellings in the municipality was 68,145, while it was 63,201 in 1999.[Insee 1]
Among this housing, 91.7% were primary residences, 1.0% of secondary residences and 7.4% vacant housing. These dwellings were 38.7% of detached houses and 60.2% of apartments.[Insee 2]
The proportion of principal residences, which were the properties of occupants, was 34.0%, down from 1999 (35.3%). The share of empty rented HLM homes (social housing) was also down: 29.0% against 32.5% in 1999, their number decreased from 18,692 to 18,103. However, this percentage remains much greater than the rate of 20% required by the law on solidarity and urban renewal (fr) (SRU) for cities and agglomerations of more than 50,000 inhabitants.[Insee 3]
The identity of the city is strongly marked by the specificity of its housing stock consisting in a large proportion of detached houses, semi-detached, single or bourgeois: the amiénoises. These traditional houses in the suburbs, in brick and floor(s), were intrinsically linked to the expansion of the city during and after the Industrial Revolution.
The amiénoise simple includes a window on the ground floor and floors for attic and basement. It is built on a plot of a few metres wide but is very deep, and includes a garden, forming hearts with green islets and sparse areas. The amiénoise double has two windows at each level. The grandes amiénoises and townhouses rise to at least two floors with large rooms. They can have a gate opening onto a paved courtyard.[19]
The official buildings or mansions regularly use brick façades on a sandstone base, decorated by stone window and door frames.
The Chanoines quarter has stone façades exclusively.
In historic areas such as the Saint-Leu (fr) quarter, façades widely use wood, half-timbered or siding, and wattle and daub. Development projects
Amiens 2030: Amiens, in the context of the Communauté d'agglomération Amiens Métropole, is developing a master plan of development called Amiens 2030.[20] This strategic outreach project shapes around priority issues of economic, social and cultural development of the agglomeration. The whole process of reflection will determine the development of the metropolis by the 2030. La Citadelle (fr): This flagship project for the agglomeration involves the amalgamation of units of training and research from the University of Picardie in letters, languages, history, geography, philosophy, sociology, psychology and the College teaching and education (fr) (ESPE) on the site of La Citadelle; set of 18 acres (7.3 ha) on the outskirts of downtown. This university construction programme should strengthen regional competitiveness and the development of higher education and research. The project, entrusted to the Italian architect Renzo Piano, provides an opening of the campus on the city and will be accessible to all its inhabitants. ZAC Gare-la-Vallée: The project must strengthen Amiens in his role as regional capital and allow the creation of a genuine business district in the heart of the city. With a budget of €157 million, the project combines tertiary activities, shops and habitat walk from the station and the inner city. The first buildings were inaugurated in 2008. A second phase of development extends from 2012 to 2017. Under the control of the Chief Architect, Paul Chemetov, the quarter must especially accommodate 2,000 homes, 200,000 square metres (2,200,000 sq ft) of offices and two urban parks creating a visible link between downtown, the Somme and the Hortillonnages (fr).[21] ZAC Intercampus: This new housing and services quarter in the south of the city is to host 1,900 housing by 2030.[22] A first tranche of 850 dwellings must be delivered in 2015. Located in the immediate vicinity of the campus and the CHU d'Amiens, it will be served by a future TCSP. The ecodistrict of 80 hectares (200 acres) must provide beautiful green spaces and gardens (60% of its total area will be not be built). It will include 12 hectares (30 acres) of gardens.[23] ZAC Paul Claudel: This new housing and services quarter of 40 hectares (99 acres) is located at the southern entrance to the city. Intended as a small neighbourhood, it must accommodate 1,400 units and 1,800 square metres (19,000 sq ft) of commercial space. Designed in 4 slices, together with its inhabitants, it entered the final phase of development in 2013.[24] ZAC Renancourt: This new quarter must ensure the development of the city to the west. Located between the Grâce Valley, the Selle Valley, the Renancourt quarter and its suburb, this planning area is a natural viewpoint over the city. It is also adjacent to emblematic facilities of the city: The Zenith of Amiens (fr), the Stade de la Licorne and the megacity (fr). By 2018, this residential area must accommodate 1,400 houses but also a hotel, facilities and shops.[25] Bus rapid transit (BRT): A project of three BRT lines is under consideration for commissioning in 2019, at the end of two years of work. Estimated at €85 million excluding taxes for 44 kilometres (27 mi), the project would include the construction of a new bus depot and four park and ride stops.[26] This project follows the cancellation of a tram project, which was endorsed by the municipal team in place between 2008 and 2014.
Toponymy The toponym is derived from the name of the local Gallic people, the Ambiani, which was replaced in the 4th century to the old name of the town Samarobriva (fr) (the bridge on the Samara - Somme). Amiens then became the episcopal headquarters.[27] In Picard, Amiens is called Anmyen.
LA DÉMOCRATIE DEVANT LE PATRIMOINE ET LA JUSTICE... LA RÉALITÉ DANS LE CARACTÈRE D’ÉGALITÉ...
LA PRÉSENCE EST LA FORME LA PLUS GRANDE ET LA PLUS IMPLICITE LORSQUE IL S'AGIT DE PROUVER LA POSSIBILITÉ AUX TÉMOIGNAGES D'AVOIR PU ASSISTER AUX HOMICIDES. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS ALIAS TAY La chouette effraie | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: LES SANGLIERS, LES IDENTITAIRES ET LES LES CONGÉS PAYÉE Sam 14 Oct à 9:50 | |
| Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.
Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions... Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".
Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers, espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté... La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...
Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro; alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance: Celle d'insulter !
Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...
La République de l'Olivier dit : "Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..." la constitution rajoute : "Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim." et le peuple doit rajouter : "Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."
Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.
"Je suis Y'becca"
Ecrit de TAY La chouette effraie.
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Y'becca est soumis à toujours suivre un dossier médical, on ne peut se reposer sur des radios anciennes et toutes opérations auquel Lise Verdier ne peut être bâclé... Certains medecins oublient d'osculter la gorge quand un patien à une fiévre... Il est des gestes de précautions auquel la médecine n'a pas la droit de s'occulter... Y'becca doit répondre à ces faits là et son secouriste ne doit jamais dire jamais sur le fait que l'expérience ne donne jamais d'acquis et il est une chose auquel je voue une grande discipline et rigueur: Celle d'entendre la Prudence lorsque le temps le permet... quel que soit l'opération, on agit avec prudence du temps, de l'aspect et des allergies possibles auquel le patient ou la patiente peut être soumis en fonction de son age et de sa corpulence...
"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie." Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865). L'association pour Lise et pour vous, s'inspire de cette citation de Jean-Napoléon Vernier qui est si réelle sur l'aspect du courage d'être dans des situation auquel l'aspect humain se doit de se reconsidérer dans l'aspect de l'adversité dans l'être. Cette citation cherche à nous monter des aspects qui nous semblent enfoie par l'adversité et la douleur mais qui ne demande qu'à renaitre afin de permettre à la rose de devenir Rosier...
Aide pour le retour à domicile d’une personne lourdement handicapée.
L’Association Pour Lise et pour Vous, a but non lucratif, met à la disposition des personnes en situation de grand handicap et leurs familles, son expertise dans la prise en charge du retour au domicile.
Plus largement, l’association veut favoriser et permettre le développement des soins de qualité et le maintien à son domicile de tout enfant, adolescent ou jeune adulte, atteint d’une maladie grave ou d’un handicap lourd.
Nous sommes à votre écoute pour parler et construire ensemble de votre projet de vie, nous sommes à vos côtés pour le concrétiser.
Pour Lise Et Pour Vous le Bourg Chevreau, 53600 SAINTE GEMMES LE ROBERT Association humanitaire, d'entraide, sociale
"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie." Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865)
"La beauté sans grâce est un printemps sans verdure." Citation de Mirabeau ; Lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)
"La beauté sans grâce est un hameçon sans appâts." Citation de Ninon de Lenclos ; Confessions (1700)
"On admire d'un coup d'œil la beauté, elle ne laisse plus rien à deviner ; la grâce se fait aimer peu à peu par des détails variés, imprévus, qui vous plaisent d'autant plus qu'ils vous surprennent, et ses petits défauts d'ensemble sont quelquefois des charmes qui nous attachent." Citation de Louis-Philippe de Ségur ; L'ennui (1816)
"La grâce, ce charme suprême de la beauté, ne se développe que dans le repos du naturel." Citation de Madame de Staël ; L'influence des passions (1796)
"La beauté ne déplaît jamais, mais sans la grâce, elle est dépourvue de ce charme secret qui invite à la regarder." Citation de Voltaire ; Dictionnaire philosophique (1764)
"Les grâces préférables à la beauté, ornent la femme de tous ce qu'elles ont de séduisant." Citation de Marie-Geneviève-Charlotte Darlus ; Traité des passions (1764)
"Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté." Citation de Alexander Pope ; Maximes et réflexions morales (1739)
"Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie." Citation de Victor Hugo ; Post-scriptum de ma vie (1901)
"Brillante de beauté, de grâces, de jeunesse, pour vous plaire, on accourt, on s'empresse." Citation de Charles-Guillaume Étienne ; L'Intrigante, I, 9, le 6 mars 1813.
"Sans le fard de l'amour, par qui tout s'apprécie, les grâces sont sans force, et la beauté sans vie." Citation de Antoine Bret ; La double extravagance, VII, le 27 juillet 1750.
"La beauté est la clef des coeurs, la grâce le passe-partout." Citation de Paul Masson ; Les pensées d'un Yoghi (1896)
"La beauté réside dans la forme ; la grâce dans les mouvements, le charme dans l'expression." Citation de Lucien Arréat ; Réflexions et maximes (1911)
"La grâce, plus belle encore que la beauté." Citation de Jean de La Fontaine ; Adonis (1658)
Compte rendu de TAY La chouette effraie
Tikkun Ha-Klali https://www.youtube.com/watch?v=MPZhFy2c3Mc TAY | |
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