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| FANTASMAGORIE, LE TEMPS, AMÉLIE , BARONNE BLIXEN et Y'becca | |
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yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: FANTASMAGORIE, LE TEMPS, AMÉLIE , BARONNE BLIXEN et Y'becca Ven 2 Juin à 8:52 | |
| LE REGARD D'UNE FRONDE VERS LA PIERRE
SUR L'ASPECT DU CHAOS, LA FORME DE LA PLUME DEVIENT FÉROCE SUR L'ASPECT DES SENS: UNE ÉMOTION ABSORBE LE SENS MÊME DE LA RAISON AMICALE... UN FEU SE TRANSFORME EN UNE FUREUR ET LA FUREUR SE TRANSFORME EN UNE INCONSCIENCE PROCHE DE L'ORAGE NATUREL QUI DÉVERSE SA DOUCE SEMENCE SUR CE QU'IL TROUVE SUR SON PASSAGE... DES INCONSCIENCES DU MOI DEVIENNENT ALORS ? ET OUI, JE M'AVANCE ALORS DANS LA CRAINTE DE RENCONTRER LE LUI-MEME... J'INSULTE POUR ME RENDRE PLUS FORT MAIS CELA NE SUFFIT PAS: JE VEUX SOULEVER LA PIERRE DE LA VICTIME POUR LA LANCER CONTRE LE CRIMINEL OUBLIANT L'ASPECT MÊME DE DIEU ET FAISANT EMPARERAI LA JALOUSIE DE CELUI QUI NE PEUT ÊTRE BOURREAU. CETTE PIERRE SUR CETTE TOMBE?, N'EST PAS Là POUR FAIRE JUSTICE; ELLE EST UNE PREUVE DE TEMOIGNAGE... ET DIEU MERCI !!!, LE CHAOS ME LE RAPPELLA... ALORS? OUI, JIM MORISSON, JE M'APPELLE PERSONNE ET J'AI RECONNU L'EXISTENCE ET SANS PRÉTENDRE L'AVOIR CRÉER, J'AI L'AUDACE DE M'AVANCER DANS LE CERCLE DES MAUDITS ET DES BIENHEUREUX DE L'EXISTENCE... JE POSE UNE PIERRE SUR TA TOMBE TOUT COMME SUR LA MIENNE...
CITOYEN TIGNARD YANIS DIT KOUNAK LE CHAT @ YAHOO . FR
Il est faux de penser que l’art
Il est faux de penser que l’art ait besoin d’un spectateur pour être. Le film continu même sans yeux. Le spectateur ne peut exister sans le film. Qui assure son existence.
Jim Morrison Notes sur la vision
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Le Secret de l'empereur (Keisarin salaisuus) est un long métrage d'animation finlandais sorti en 2006.
Il s'agit du premier film d'animation en images de synthèse réalisé en Finlande.
Synopsis Le film transpose les personnages d'un show télévisé finlandais très populaire dans un conte de fées où les habitants d'un petit village doivent se défendre contre un empereur tyrannique.
Fiche technique[modifier | modifier le code] Titre : Le Secret de l'empereur Titre original : Keisarin salaisuus Réalisation : Riina Hyytiä Production : Aleksi Bardy, Riina Hyytiä, Olli Haikka Scénario : Aleksi Bardy, Mika Ripatti, Seppo Vesiluoma Musique : Tauri Oksala Pays : Drapeau de la Finlande Finlande Genre : Animation Durée : 85 minutes Date de sortie : 8 septembre 2006 Budget : 825 000 €
Distribution (voix)[modifier | modifier le code] Mika Ala-Panula Heikki Hilander Erja Manto
Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Fiche IMDb [archive] (en) Critique Animation World Magazine [archive] (fi) Critique NYT [archive] (fi) Critique MTV3 [archive] (fi) Critique Cinema SF [archive]
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Fantasmagorie
Fantasmagorie, spectacles de lanterne magique, spectacles sans substance. Ils parvenaient à une expérience sensorielle complète avec bruit, encens, foudre, eau. Il viendra peut-être le temps où nous assisterons au théâtre météo, afin de nous remettre en mémoire la sensation de la pluie.
Jim Morrison Notes sur la vision
VISION DU VRAI PAR Y'BECCA ET LE CITOYEN TIGNARD YANIS
Un homme ratisse des feuilles
Un homme ratisse des feuilles en tas dans sa cour, un monceau, appuyé sur son râteau, il les brûle absolument toutes. Le parfum emplit la forêt des enfants s’arrêtent et respirent l’odeur qui, dans quelques années, deviendra nostalgie
Jim Morrison Wilderness
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| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: FANTASMAGORIE, LE TEMPS, AMÉLIE , BARONNE BLIXEN et Y'becca Ven 2 Juin à 8:56 | |
| Je peux interrompre ...
Je peux interrompre la course de la Terre. J’ai fait partir les voitures bleues.
Je peux me rendre invisible ou minuscule. Je peux devenir gigantesque et atteindre les choses les plus lointaines. Je peux changer le cours de la nature. Je peux me situer n’importe où dans l’espace ou le temps. Je peux appeler les morts. Je peux percevoir ce qui se passe sur d’autres mondes, Au plus profond de mon esprit Et dans l’esprit des autres.
Je peux
Je suis
Jim Morrison Wilderness
--------------------------------------------- Le secret de l'empereur Amélie de Bourbon Parme
En 1555, l'empereur Charles Quint annonce aux dignitaires des Pays-Bas qu'il abandonne le pouvoir et qu'il transmet sa couronne à son fils Philippe, pour rejoindre le monastère de Yuste, au fin fond de l'Estrémadure. Déçu par un idéal impossible à réaliser, épuisé par des voyages incessants à travers ses royaumes, il se retire du monde pour se consacrer à sa dernière passion, digne d'un prince de la Renaissance : les instruments de mesure du temps.
Ce roman est le récit de son renoncement, un acte exceptionnel dans l'Histoire, qui frappe ses contemporains autant qu'il résonne par son étrange modernité.
C'est aussi l'histoire de son règne et de son obsession pour une horloge mystérieuse, dont le fonctionnement et la finalité, soudain, lui échappe. Aucun des maîtres horlogers qui l'entourent ne peut percer le secret de cet incroyable mécanisme. Après avoir étendu son Empire de l'Europe aux Amériques, parviendra-t-il à percer l'insondable mystère du temps ? Pourquoi l'homme le plus puissant d'Occident, empereur du Saint Empire romain germanique, qui s'est opposé de toutes ses forces à la montée de l'Empire ottoman musulman, décide-t-il de quitter le monde ?
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La balle de l’assassin
La balle de l’assassin Épouse le roi Éliminant des kilomètres d’air Pour embrasser la couronne. Le prince rôde dans le sang. Ode à son cou Dressé Pour porter la robe du viol
(Poème sur l’assassinat de J.F Kennedy)
Jim Morrison Les nouvelles créatures
VISION DU VRAI PAR Y'BECCA ET DU CITOYEN TIGNARD YANIS SUR AGAMEMNON
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La baronne Karen von Blixen-Finecke, née Karen Christentze Dinesen, et connue sous son pseudonyme d'Isak Dinesen (17 avril 1885 à Rungstedlund dans la commune de Hørsholm – 7 septembre 1962 à Rungstedlund) est une femme de lettres danoise, célèbre pour avoir écrit La Ferme africaine dont est tiré le film Out of Africa : Souvenirs d'Afrique et Anecdotes du destin dont une nouvelle sert de base au film Le Festin de Babette.
Karen Blixen est la fille d'Ingeborg Westenholz1 et de l'écrivain et officier Wilhelm Dinesen qui, semble-t-il, aurait été atteint de syphilis, et en conséquence se suicide par pendaison alors que Karen n'a que neuf ans, en 1895.
Elle fait ses études à l'Académie royale des beaux-arts du Danemark de Copenhague, puis des études d'art à Paris et à Rome.
Riche, elle rejette le mode de vie bourgeois et se tourne vers la peinture et l'écriture. Elle disait : « Je n'ai jamais tant aimé en ce monde que la peinture et l'écriture. Mais si j'avais à choisir, je ne serais ni peintre ni écrivain mais fermière. »
Elle fait ses débuts d'écrivain en 1907 par la publication d'un conte, Les Reclus (Eneboerne). D'autres suivront jusqu'en 1909. Puis Karen Blixen cesse d'écrire, devant leur peu de succès.
En 1909, elle éprouve une grande passion non partagée pour son cousin issu de germain, Hans von Blixen-Finecke, suivie d'une longue période de désespoir.
En décembre 1912, elle se fiance avec le baron Bror von Blixen-Finecke, frère jumeau de son ancien amour. L'année suivante, les fiancés projettent l'achat de la plantation de café M'Bagathi, dans l'actuel Kenya, qu'ils réalisent grâce à un important investissement financier de la famille de Karen. Bror Blixen est nommé directeur des Cafés Karen, choix qui se révèle malheureux, en raison de ses faibles talents pour la gestion et l'agriculture. Le 14 janvier 1914, Karen Blixen débarque à Mombasa2 et se marie le jour même avec Bror. Peu après son mariage, elle apprend que son mari lui a transmis la syphilis.
En raison de la difficulté d'un traitement sur place, Karen Blixen repart se faire soigner au Danemark en 1915. Son frère et confident, Thomas Dinesen, la rejoint pour l'aider à la plantation de 1918 à 1923. Les deux époux s'éloignent de plus en plus, notamment en raison de la gestion calamiteuse de Bror, et de ses infidélités (d'ailleurs tolérées3). Ils divorcent en 1925, mais restent en bons termes.
Les monts Ngong, où chassaient Denys Finch Hatton et Karen Blixen. En 1918, son mari lui présente l'aventurier Denys Finch Hatton, pilote de l'armée de l'air britannique et guide de safari. Il devient le grand amour de sa vie, même si leurs relations sont parfois orageuses ; charismatique et érudit, il l'encourage à écrire. Karen Blixen accueille le 9 novembre 1928 dans sa ferme le prince de Galles, futur Édouard VIII, héritier du trône d'Angleterre4. Finch Hatton la quitte pour l'aviatrice britannique Beryl Markham. Il meurt dans l'accident de son avion personnel le 14 mai 1931, à 44 ans. La situation financière de l'exploitation se dégrade d'année en année. La ferme est finalement vendue, et Karen Blixen doit quitter définitivement l'Afrique en juillet 1931. Dans une dernière lettre avant de quitter le continent africain, elle écrit : Même si elle a été un peu plus tendre envers certains autres, je suis malgré tout persuadée que j'ai été l'un des favourite children de l'Afrique. Un vaste univers de poésie s'est ouvert à moi et m'a laissée pénétrer en lui ici, et je lui ai donné mon cœur. J'ai plongé mon regard dans celui des lions et j'ai dormi sous la Croix du Sud, j'ai vu les grandes plaines être la proie des flammes, et alors qu'y poussait une herbe verte et tendre après la pluie, j'ai été l'amie de Somali, de Kikuyu et de Maasaï, et j'ai survolé les Ngong Hills : « j'ai cueilli la plus belle rose de la vie » — je crois que ma maison a été une sorte de refuge pour les passants et pour les malades, et qu'elle a été pour tous les Noirs le centre d'un friendly spirit5. Le 19 août 1931, elle accoste à Marseille, puis rejoint le domaine familial de Rungstedlund, le 31 août. Elle est alors financièrement ruinée, sentimentalement désespérée, et sans avenir ; après avoir dû quitter sa ferme et l'Afrique, elle voit son échec comme total. Pour combler le vide de sa vie, elle se met à écrire, alors qu'elle approche de la cinquantaine. « Personne n'a payé plus cher son entrée en littérature », dira-t-elle plus tard.
Après de nombreux refus, ses Sept contes gothiques sont enfin acceptés en 1934 par un éditeur américain, Robert Haas. Karen Blixen décide de les publier sous le pseudonyme d'« Isak Dinesen ». L'accueil du public américain est enthousiaste. La Ferme africaine (Den afrikanske Farm, titre en danois ; Out of Africa en anglais) sort en 1937. Confinée au Danemark occupé pendant la guerre, elle publie Les Contes d'hiver (Winter's Tales) en 1942.
Après la Seconde Guerre mondiale, son domaine de Rungstedlund devient un petit cercle littéraire, où Karen Blixen reçoit de nombreux jeunes écrivains et intellectuels danois, principalement issus de la revue littéraire Heretica. Elle engage Clara Selborn, qui devient sa secrétaire ainsi que sa conseillère artistique et économique. Une amitié particulière la lie de 1948 à 1955, à un jeune poète danois, Thorkild Bjørnvig, de trente ans son cadet, qu'elle héberge et fait vivre dans son domaine. Cette histoire sera racontée par Bjørnvig lui-même dans Le Pacte, inédit en France, douze ans après le décès de Karen Blixen.
Elle s'affirme peu à peu comme une figure de premier plan de la vie artistique danoise, notamment par le biais de nombreuses causeries radiophoniques.
En 1958, Karen Blixen prend l'initiative de créer une fondation pour la pérennité de son domaine de Runstedlund, avec la création d'une réserve pour les oiseaux dans le parc. Elle publie la même année Les Derniers Contes, comprenant notamment Le Festin de Babette.
Affaiblie et malade, elle entreprend un voyage de quelques mois aux États-Unis en 1959, où l'accueil de son public est triomphal. Karen Blixen réalise alors un rêve : dîner avec Marilyn Monroe et son mari Arthur Miller.
Elle voyage encore à Paris en 1961, puis meurt le 7 septembre 1962, assistée par son frère, dans sa maison de Rungstedlund. Elle sera enterrée, devant environ trois cents personnes, dans le parc de sa demeure.
Durant l'année 1913, Karen et Bror, alors fiancés, cherchent à créer une plantation de café dans l'Afrique Orientale anglaise. Bror parvient à acheter la plantation de café M'Bagathi, grâce à un important investissement financier de la famille de Karen Blixen. L'entreprise, à l'origine du roman La Ferme africaine6, prend pour nom la Karen Coffee Co. Bror Blixen est nommé directeur, mais montrera vite qu'il n'a pas l'étoffe d'un patron.
Dès 1917, le conflit éclate entre les époux sur la destinée de l'entreprise. En 1920, Aage Westenholz, oncle de Karen et président de la Karen Coffee Co., vient sur place pour statuer sur l'avenir de la ferme. Il choisit de relever Bror Blixen de ses fonctions de directeur au profit de Karen, lui intimant de ne plus prendre aucune fonction dans la plantation. Elle pense pouvoir redresser la situation, mais dès 1923, le propre frère de Karen Blixen est convaincu que la ferme n'est pas économiquement viable. Au cours des années suivantes, Karen ne cesse de demander de l'argent à sa famille pour faire survivre l'entreprise. Pour sa famille danoise, il semble que les fonds envoyés sont plus perçus comme une œuvre caritative et d'évangélisation religieuse que comme un investissement financier.
La situation ne cesse de se dégrader. Finalement en 1931, la société anonyme est contrainte de se placer en liquidation et de vendre la ferme. Karen Blixen passe les derniers mois à écouler la dernière récolte et tenter d'assurer la situation de ses employés.
Son mari volage lui transmet la syphilis après leur mariage (ils se séparent en 1921 et divorcent en 1925, mais restent en bons termes7).
Soignée par un traitement au mercure, sa syphilis semble avoir été guérie de son vivant : des tests approfondis, après 1925, sont incapables de trouver la présence du tréponème pâle dans son organisme. Il est peu vraisemblable qu'elle ait souffert de neurosyphilis. La plupart des symptômes semblent dus au traitement, plutôt qu'à la syphilis elle-même. Les troubles neurologiques attribués à un tabès étaient probablement la conséquence tardive de ses traitements : mercure, arsenic et bismuth8.
En 1955, à l'âge de 70 ans, elle doit subir une intervention chirurgicale sur la moelle épinière ainsi qu'une gastrectomie pour un ulcère de l'estomac. Son alimentation en sera définitivement perturbée, provoquant une malnutrition à l'origine de son décès à 77 ans, alors qu'elle ne pèse plus que 31 kg. Elle repose désormais au fond du parc de sa propriété de Rungstedlund.
C'est l'une des principales héritières du style gothique anglo-saxon, qu'elle prolonge par un fantastique personnel, un néoromantisme et un réalisme magique. Karen Blixen reçoit le prix Tagea Brandt Rejselegat en 1939. Sous son nom ou sous les pseudonymes de Osceola, Isak Dinesen et Pierre Andrézel, on lui doit : 1934 : Sept contes gothiques (ISBN 2253031542) Le raz de marée de Norderney Le vieux chevalier errant Le singe Sur la route de Pise La soirée d'Elseneur Les rêveurs Le poète
1937 : La Ferme africaine (adaptée au cinéma sous le titre Out of Africa) (ISBN 2070425126). La Ferme africaine est éditée en France en 1942 avec une traduction d'Yvonne Manceron fondée sur la version anglaise écrite par Karen Blixen. Le roman est réédité en mai 2005 avec une traduction d'Alain Gnaedig fondée sur le texte original danois. 1942 : Contes d'hiver (ISBN 2070374114) Histoire du petit mousse Le jeune homme à l'œillet Les perles Les irréductibles propriétaires d'esclaves L'héroïne L'enfant rêveur Alcmène Le poisson Peter et Rosa Le champ de la douleur Une histoire consolante
1944 : Les Voies du châtiment (ISBN 2070383202) (Gen Gaeldeldens veje), paru sous le pseudonyme de Pierre Andrézel 1957 : Les Derniers Contes (Last Tales), aussi publiés sous le titre Nouveaux Contes d'Hiver (ISBN 2070378217), recueil rassemblant plusieurs séries de contes : Contes tirés du roman "Albondocani" Le premier conte du cardinal Le Manteau Promenade de nuit Sur les pensées cachées et sur le Ciel Les contes des deux vieux messieurs Le troisième conte du cardinal La page blanche
Nouveaux contes gothiques Les Caryatides, histoire inachevée Échos
Nouveaux contes d'hiver Une histoire campagnarde Saison à Copenhague Conversation nocturne à Copenhague
1958 Anecdotes du destin, aussi publié sous le titre Le dîner de Babette (ISBN 2070380955), puis sous le titre Le Festin de Babette et autres contes (ISBN 2070349330). Le plongeur Le dîner de Babette : porté à l'écran sous le titre Le Festin de Babette Tempêtes L'éternelle histoire : porté à l'écran par Orson Welles sous le titre français de Une histoire immortelle L'anneau
1960 : Ombres sur la prairie (ISBN 2070393097) Ombres sur la prairie Barua a Soldani Le grand geste Échos des montagnes
1965 : parution posthume de Essais (ISBN 2264030887)
Ensemble de textes sur des sujets variés. Mariage moderne et autres considérations Noirs et blancs en Afrique Lettres d'un pays en guerre L'Angleterre retrouvée Sur quatre fusains Daguerréotypes Un discours de clôture avec quatorze ans de retard De profane à profane Rungstedlund, allocution radiophonique Les devises de ma vie
1975 : parution posthume de Les chevaux fantômes (ISBN 2070401723) Ehrengarde Seconde rencontre Le gros homme Les Chevaux fantômes
1975 : parution posthume de Les Fils de rois (ISBN 2070712486) Les deux solitaires Le Laboureur En attendant les mariés La Famille de Cats Oncle Théodore Carnaval Le dernier jour Les Fils de rois Oncle Sénèque Anna L'Orgueilleuse L'Ours et le baiser
Lettres d'Afrique 1914-1931 : recueil de lettres que Karen Blixen écrit à sa famille pendant son séjour au Kenya (ISBN 2070385337)
Il faut noter que l'édition française est amputée d'un bon nombre de lettres ou de parties de lettres par rapport à la version anglaise. Les extraits manquants concernent surtout le travail et les finances de la ferme. Lettres du Danemark 1931-1962 : recueil de lettres que Karen Blixen écrit après son départ définitif du Kenya et pendant les 30 dernières années de sa vie (ISBN 2070750418)
Notes et références[modifier | modifier le code]
1.↑ Issue d'une famille puissante et cultivée, propriétaire du manoir de Mattrup dans le Jutland. 2.↑ Ou Mombassa selon l'ancienne orthographe. 3.↑ in Judith Thurman, op.cit. pp. 174-175. 4.↑ Bror Blixen et sa nouvelle compagne Cockie sont aussi invités. 5.↑ Bruno de Cessole, L'Internationale des francs-tireurs, p. 64, Éd. L’Éditeur, 2014. 6.↑ Karen Blixen, Lettres d'Afrique 1914-1931, Folio, Gallimard 1985. 7.↑ in: Judith Thurman, op.cit. p. 175. 8.↑ René Krémer, « La maladie de Karen Blixen (1885-1962) » [archive], Ama Contacts, n°55.
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yanis la chouette
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: FANTASMAGORIE, LE TEMPS, AMÉLIE , BARONNE BLIXEN et Y'becca Ven 2 Juin à 8:59 | |
| Les mythes & les athées
Les mythes & les athées sont doublement divins & mourants Nous vivons, nous mourons & la mort n’arrête rien Nous poursuivons notre voyage dans le Cauchemar
Jim Morrison Une prière américaine
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Les nuages se fanent
Les nuages se fanent, et meurent. Le soleil, un crâne orange Chuchote, devient Une île, et s’en va.
Ils sont là nous regardant tout sera sombre. La lumière changea. Nous étions avisés jusqu’au genou dans l’air frémissant pendant que les bateaux repartent les trains dans leur sillage. Maladie de bouche de nouveau dans les camps. Gonorrhée Dites à la fille de rentrer chez elle Nous avons besoin d’un témoin pour le meurtre.
Jim Morrison Les nouvelles créatures
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Nous sautions le mur
Nous sautions le mur Nous errions parmi les tombes Des ombres spectrales nous poursuivaient Pas de musique. Dans la brume nous sentions la fraîcheur de l’herbe Deux faisaient l’amour dans un coin sombre Quelqu’un chassait un lapin dans la nuit Une fille se saoulait Et baisait les morts Et j’avais la tête pleine de sermons retors. Cimetière Frais et calme Crains la levée du jour laiteux Ne pas quitter ta couche sacrée J’aimerais tant rester J’aimerais tant rester J’aimerais tant rester
Jim Morrison Far Arden
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Pourquoi je bois ?
Pourquoi je bois ? Pour pouvoir écrire de la poésie.
Parfois lorsque tout est diffus et que toute laideur s’efface en un profond sommeil Il y a un éveil et tout ce qui demeure est vrai. Tandis que le cœur est ravagé l’esprit se fortifie.
Pardonne-moi mon père car je sais ce que je fais. Je veux entendre le dernier poème du dernier Poète.
Jim Morrison Wilderness
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LA RÉPUBLIQUE DE SAN MARINO DONNANT LA MAIN à AMÉLIE DE BOURBON PARME
LE SENS MÊME DE CROIRE EN L'EXISTENCE EST UNE PREUVE DE LA CRÉER TOUT COMME CELUI QUI REFUSE DE CROIRE EN LA MAGIE PEUT ANÉANTIR LE PHÉNOMÈNE DE LA SPIRITUALITÉ.
LE CHAOS EST UNE MÉTAPHORE ET LA MÉTAPHORE EST UN CHAOS. LE SQUELETTE EST UN ÉQUILIBRE ET L'ENVELOPPE EST UNE ADDITION DE COMPOSITIONS CHIMIQUES AYANT CRÉER LA SPIRITUALITÉ.
LA MAGIE S'EST ESTOMPE CAR NOUS AVONS ENLEVÉ L'ASPECT DE SPIRITUELLE AU CHAOS ET AU RIEN CAR RIEN N'EST PAS FINALEMENT RIEN CAR RIEN N'EST PAS IMPOSSIBLE MAIS IMPROBABLE: IL EST DANS L'ASPECT DU RÊVEUR DANS SON SOMMEIL MAIS LA AUSSI LE SOMMEIL N'EST PAS RIEN. LE REPOS N'EST PAS RIEN, LE SILENCE N'EST PAS RIEN.
ALORS PAR MÉTAPHORE POUR INTÉGRER LE RIEN DANS L'EXISTENCE, IL FAUT INTÉGRÉE L'ASPECT DE PRÉSENCE. DANS LE SECRET DE L'EMPEREUR? SA MÉTAPHORE EST LA DÉSIGNATION. CERTAINS RECHERCHENT LE MIEUX DANS LE RIEN: ALORS ILS S'ÉTABLISSENT DES FORMULES DANS LE TEMPS POUR Y INCLURE LE TERME DE RIEN MAIS POUR INTÉGRER
L'ASPECT DE TEMPS ET DE RIEN? IL FAUT QUE L'EXISTENCE EST COMME VERBE UNE PRÉSENCE OU SINON, C'EST LE SILENCE. ET Là, AUSSI: LE SILENCE CE N'EST PAS RIEN... LE RIEN EST UN SENTIMENT ET SON ASPECT DE PRÉSENCE EN FONT UNE PERSONNALITÉ DIGNE DU MIRAGE: UN TEMPS, CITOYEN ROI DU ROYAUME ATELIER T'ESBIGNER, LE RIEN EXISTE DANS L'EXISTENCE QUI INTÈGRE UNE PRÉSENCE COMME LE MIRAGE.
LA MÉTAPHORE NE DOIT PAS DEVENIR UN TRAITE DE GUERRE OU LA DÉFINITION DE RIEN DEVIENT L'APTITUDE DE L'ABSURDE DONC C'EST POUR CELA QUE L'HOMME CONSTRUIT DES HORLOGES POUR DÉFINIR DES MOUVEMENTS LIES A L'ADDITION ET
AUX SOUSTRACTIONS DES ÉLÉMENTS CONSTRUIT PAR LA NATURE, LE RIEN OU DIEU. EN TOUT CAS; J'ESPÈRE MADAME VOUS RÉVÉLEZ UNE PART FÉERIQUE DE VOTRE MARI QUI FUT UN EXCELLENT PROFESSEUR DANS CES THÉORIES SUR L'UNIVERS ET LE TEMPS. MALGRÉ SA CONDITION, IL A INSTRUIT UNE GRANDE ACADÉMIE QUI SE PRÉNOMME LE PEUPLE ET MÊME AU DELÀ, CAR, IL S'ADRESSAIT AUX EXISTENCES.
LA NATURE DE CELUI QUI APPELLE L'EXISTENCE EST DE CROIRE AUX RÉELLES ESPÉRANCE DE L'ÉVOLUTION, DE L'EXISTENCE, DU CROIRE EN SON COMPAGNON OU DE SA COMPAGNE SANS LA OU LE PRIVER DES THÉORIES DE L'EXISTENCE ET DU PEUPLE.
JE SUIS DE CEUX QUI REMERCIÂT L'OLIVIER, LE BOEUF, LE CHEVAL ET LE CHIEN.
VIVE SANS MARINO ET VIVES LES DÉMOCRATIES ET LES REPUBLIQUES... O TEMPS QUI S'ÉCOULE TEL LE FLEUVE QUI SUBIT LES ALÉAS DE LA MÉTÉOROLOGIE: NE TRANSFORMONS PAS L'EAU EN SANG....
ECRIT PAR LE CITOYEN TIGNARD YANIS
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The End
Voici la fin, mon bel ami, Voici la fin, mon seul ami, la fin de nos plans élaborés, la fin de tout ce qui a un sens, la fin, ni salut, ni surprise, la fin. Je ne te regarderai plus dans les yeux, jamais. Peux-tu imaginer ce que nous deviendrons, sans limite, ni entrave, désespérément avides de quelques mains étrangères dans une contrée désespérée ?
Perdus dans un désert romain de souffrance, et tous les enfants sont devenus fous, tous les enfants sont devenus fous, dans l’attente de la pluie d’été.
Les abords de la ville sont dangereux, prends la grande route royale. Scènes étranges au fond de la mine d’or ; prends la grande route vers l’Ouest, baby. Chevauche le serpent, chevauche le serpent vers le lac, le lac antique. Le serpent est long, sept miles ; chevauche le serpent, il est vieux et sa peau est froide. L’Ouest est ce qu’il y a de mieux, L’Ouest est ce qu’il y a de mieux, Viens ici et nous ferons le reste. L’autobus bleu nous appelle, L’autobus bleu nous appelle. Chauffeur, où nous emmènes-tu ?
Le meurtrier s’éveilla avant l’aube, il chaussa ses bottes, il emprunta un visage à la galerie antique, et il marcha le long du vestibule. Il alla dans la chambre où vivait sa sœur, et puis il rendit visite à son frère, et puis il marcha le long du vestibule. Et il parvint à une porte, et il regarda à l’intérieur, « Mon père ? » « - Oui, mon fils ? » « Je veux te tuer » « Ma mère, je veux te ‘… baiser’
Viens, baby, tente ta chance avec nous, Viens, baby, tente ta chance avec nous, Viens, baby, tente ta chance avec nous, et retrouve-moi à l’arrière de l’autobus bleu …
Voici la fin, mon bel ami, Voici la fin, mon seul ami, la fin. Cela me peine de te laisser partir mais tu ne me suivra jamais. la fin du rire et des doux mensonges, la fin des nuits où nous avons voulu mourir, voici la fin.
Jim Morrison The Doors
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The celebration of the Lizzard
Lions dans la rue et chiens errants En chaleur, enragés, écumants Une bête encagée au cœur d’une ville Le corps de sa mère Pourrissant dans le sol de l’été. Il s’enfuit de la cité.
Il descendit dans le Sud et passa la frontière Laissant le chaos et le désordre Loin derrière son épaule.
Un matin il s’éveilla dans un hôtel vert Avec une étrange créature qui grognait à ses cotés. La sueur perlait sur sa peau luisante.
Tout le monde est-il là ? La cérémonie va commencer.
Eveille-toi ! Tu ne te souviens plus où il était. Ce rêve aurait-il cessé ?
Le serpent était légèrement doré Vitreux & rétracté Nous avions peur de le toucher. Les draps étaient de mortes prisons brûlantes & elle était à mes cotés. Vieille elle n’est point … jeune Sa sombre chevelure rouge Cette douce peau blanche. Maintenant précipite-toi vers le miroir de la salle de bains Et regarde !
Elle vient ici Je ne peux vivre chaque siècle qui décompose Lentement ses mouvements.
Je laisse glisser sur ma joue Sur le carrelage frais et doux Le contact du bon sang froid et vif Le doux sifflement des serpents de pluie …
Autrefois j’avais un petit jeu J’aimais me retourner en rampant dans mon cerveau Je pense que vous connaissez le jeu dont je parle Je parle de ce jeu qu’on appelle « devenir fou »
Alors vous devriez essayer ce petit jeu Fermez simplement vos yeux, il est impossible de perdre. Et je suis ici, je viens aussi. Abandonnez-vous, nous passons de l’autre côté.
Loin derrière au plus profond du cerveau Loin derrière les limites de ma douleur Là où il ne pleut jamais. Et la pluie tombe doucement sur la ville Et sur nos têtes à tous. Et dans le labyrinthe des courants En dessous, la présence tranquille et surnaturelle des Nerveux habitants des aimables collines alentours, Abondance de reptiles Fossiles, cavernes, hauteurs glacées.
Chaque maison sort du même moule Volets clos Voiture sauvage enfermée jusqu’au matin. Tout dort maintenant Les tapis sont silencieux, les miroirs vides, La poussière aveugle sous les lits des couples légitimes
Enroulés dans leurs draps. Et leurs filles arrogantes Avec des yeux de sperme aux bouts de leur seins.
Attendez ! Il y a eu un massacre ici.
(Ne t’arrête pas pour parler Ou regarder autour de toi Nous quittons la ville Nous prenons la fuite Et tu es celle que je veux avec moi)
Ne pas toucher le sol Ne pas voir le soleil Plus rien d’autre à faire que Fuir, fuir, fuir Fuyons. Une maison sur la colline La lune repose tranquille Les ombres des arbres Témoignent de la brise sauvage Viens, fuis avec moi Fuyons. Fuis avec moi Fuis avec moi Fuis avec moi Fuyons.
Il fait chaud dans la maison au sommet de la colline Riches et confortables y sont les chambres Rouges sont les bras des fauteuils luxuriants Et tu ne sauras rien avant d’y avoir pénétré.
Corps du président mort dans la voiture du chauffeur Le moteur marche à la colle et au goudron Viens donc, nous n’allons pas bien loin Vers l’est pour rencontrer le Tsar.
Quelques hors-la-loi vivaient au bord du lac La fille du pasteur est amoureuse du serpent Qui vit dans un puits au bord de la route Réveille-toi, petit fille ! Nous sommes presque arrivés.
Soleil, soleil, soleil Brûle, brûle, brûle Lune, lune, lune Je te prendrai Bientôt Bientôt Bientôt Je suis le Roi Lézard Je peux tout.
Nous sommes descendus Le long des rivières & des routes Nous sommes descendus Des forêts & des cascades Nous sommes descendus De Carson et de Springfield Nous sommes descendus De phoenix asservie & je peux vous dire Les choses qu’on sait En écoutant une poignée de silence En escaladant les vallées dans l’ombre.
Durant sept années j’ai vécu Dans le palais dissolu de l’exil Et joué à des jeux étranges Avec les filles de l’île. Maintenant je suis revenu Au pays du juste, du fort & du sage. Frères & sœurs de la forêt blême Ô enfant de la Nuit Qui d’entre vous se joindra à la chasse ? Voici qu’arrive la nuit avec sa légion pourpre. Retirez-vous maintenant dans vos tentes & dans vos rêves. Demain nous entrons dans la ville de ma naissance. Je veux être prêt.
Jim Morrison The Doors
http://www.eternels-eclairs.fr/poemes-morrison.php#Fantasmagorie
yanis la chouette
Messages : 359 Date d'inscription : 24/02/2017
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| Sujet: Re: FANTASMAGORIE, LE TEMPS, AMÉLIE , BARONNE BLIXEN et Y'becca | |
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