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| PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA | |
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yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 2:53 | |
| LA MARRAINE DES DEUX PORTLAND: DE L'ANTIQUE à LA SORCELLERIE, ELLE DÉMONTRA LA CONVICTION DU TÉMOIGNAGE à LA HAUTEUR DES STATUES DE LA LIBERTÉ QUI ÉCLAIRE NEW YORK, PARIS ET AILLEURS...
DE L'ANTIQUE à LA SORCELLERIE, Lee Grant DÉMONTRA LA CONVICTION DU TÉMOIGNAGE à LA HAUTEUR DES STATUES DE LA LIBERTÉ QUI ÉCLAIRE LE MONDE.
Lee Grant (31 octobre 1925 à New York - ) est une actrice, réalisatrice et scénariste américaine.
Lee Grant est née Lyova Haskepp Rosenthal à New York, fille d'immigrés juifs d'Europe orientale. Sa mère, Witia Haskell, est enseignante, et son père Abraham W. Rosenthal est courtier en immeubles et éducateur. Son nom de scène, Lee Grant, est une compilation des deux principaux généraux américains de la guerre civile. À quatre ans, elle débute comme ballerine au Metropolitan Opera de New York et durant son enfance, elle étudie la danse et la comédie.
Lee Grant s'est établie en tant qu'actrice dramatique dans les théâtres de Broadway. Elle a fait ses débuts au cinéma dans la version cinématographique de Detective Story, a reçu son premier Oscar du meilleur second rôle féminin et gagné le Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes. Dans les années 1950, elle fut l'une des victimes du maccarthysme et inscrite sur la liste noire du cinéma. Appelée devant le House Un-American Activities Committee à témoigner contre son mari, le dramaturge Arnold Manoff, père de sa fille, l'actrice Dinah Manoff, elle refusa de témoigner et fut finalement mise à l'index du cinéma américain. Elle continua à travailler au théâtre et reprit sa carrière cinématographique dans les années 1960, apparaissant dans la série télévisée Peyton Place. Elle a remporté un Emmy Award pour ses performances remarquables dans la catégorie "actrice dans un second rôle".
Lee Grant a reçu d'autres nominations à l'Oscar du cinéma pour Le Propriétaire (The Landlord) (1970), et Le Voyage des damnés (Voyage of the Damned) (1976) et a remporté un Oscar pour Shampoo (1975). Comme réalisatrice, on lui doit plusieurs films documentaires, dont Down and Out in America (1986) qui a remporté l'Oscar du long métrage documentaire. Ces dernières années, elle a dirigé une série d'épisodes de Intimate Portrait (pour Lifetime Television).
Elle apparaît dans le rôle d'une avocate meurtrière dans l'épisode pilote de Columbo : "Rançon pour un homme mort" (Ransom for a Dead Man) , pour lequel elle a été nommée pour un Emmy comme actrice principale de suspens dans une série télévisée. Elle a reçu également un Emmy pour sa performance dans The Neon Ceiling. Elle avait créé sa propre sitcom, une série intitulée Fay (1975), qui, malgré sa popularité, fut annulée après seulement huit épisodes par la NBC.
Elle a aussi été l'invitée vedette de Empty Nest, une série télévisée dans laquelle sa fille Dinah Manof était une habituée.
Filmographie[modifier | modifier le code] comme actrice[modifier | modifier le code] 1951 : Histoire de détective (Detective Story) de William Wyler : Shoplifter 1951 : C'est déjà demain (Search for Tomorrow) (série télévisée) : Rose Peterson #1 (1953-1954) 1955 : Storm Fear (en) de Cornel Wilde : Edna 1958 : Where Is Thy Brother? (TV) : Hannah 1959 : Au milieu de la nuit (Middle of the Night) de Delbert Mann : Marilyn 1959 : L'Ange bleu (The Blue Angel) d'Edward Dmytryk : non créditée 1959 : The World of Sholom Aleichem (TV) : Avenging Angel 1963 : The Balcony de Joseph Strick : Carmen 1963 : An Affair of the Skin (en) de Ben Maddow : Katherine McCleod 1964 : Pie in the Sky (en) de Allen Baron: Suzy 1964 : Le Fugitif (The Fugitive) (série télévisée) , saison 1, épisode 25 ("Taps for a Dead War") : Millie Hallop 1964 : Peyton Place (série télévisée) : Stella Chernak (1965-1966) 1967 : Divorce à l'américaine (Divorce American Style) de Bud Yorkin : Dede Murphy 1967 : Dans la chaleur de la nuit (In the Heat of the Night) de Norman Jewison : Mrs. Leslie Colbert 1967 : La Vallée des poupées (Valley of the Dolls) de Mark Robson : Miriam Polar 1967 : La Grande Vallée (The Big Valley) (série télévisée) : Rosie Williams 1968 : Buona sera Madame Campbell (Buona Sera, Mrs. Campbell) de Melvin Frank : Fritzie Braddock 1968 : Judd, for the Defense (en) : Kay Gould 1969 : Une si belle garce (The Big Bounce) de Alex March: Joanne 1969 : Les Naufragés de l'espace (Marooned) de John Sturges : Celia Pruett 1970 : Le Propriétaire (The Landlord) de Hal Ashby : Joyce Enders 1970 : Night Slaves (TV) : Marjorie Howard 1970 : Le Reptile (There Was a Crooked Man...) de Joseph L. Mankiewicz : Mrs. Bullard 1971 : The Last Generation 1971 : The Neon Ceiling (TV) : Carrie Miller 1971 : Columbo : Rançon pour un homme mort (Ransom for a Dead Man) (Pilote no 2) : Leslie Williams 1971 : Plaza Suite de Arthur Hiller : Norma Hubley 1972 : Portnoy et son complexe (Portnoy's Complaint) de Ernest Lehman : Sophie Portnoy 1972 : Lieutenant Schuster's Wife (TV) : Ellie Schuster 1973 : Partners in Crime (TV) : Juge Meredith Leland 1973 : What Are Best Friends For? (TV) : Adele Ross 1974 : Crime à distance (The Internecine Project) de Ken Hughes: Jean Robertson 1975 : The Seagull (TV) : Irina Arkadina 1975 : Shampoo de Hal Ashby : Felicia Karpf 1975 : Fay (en) (série télévisée) : Fay Stuart 1976 : Perilous Voyage (TV) : Virginia Monroe 1976 : Le Voyage des damnés (Voyage of the Damned) de Stuart Rosenberg : Lillian Rosen 1977 : The Spell (TV) : Marilyn Matchett 1977 : Les Naufragés du 747 (Airport '77) de Jerry Jameson: Karen Wallace 1978 : Damien, la malédiction II (Damien: Omen II) de Don Taylor : Ann Thorn 1978 : L'Inévitable Catastrophe (The Swarm) de Irwin Allen : Anne MacGregor 1978 : The Good Doctor (TV) : rôles divers 1978 : The Mafu Cage de Karen Arthur : Ellen 1979 : Backstairs at the White House (feuilleton TV) : Grace Coolidge 1979 : When You Comin' Back, Red Ryder? (en) : Clarisse Ethridge 1979 : You Can't Go Home Again (TV) : Esther Jack 1980 : La Puce et le Grincheux (Little Miss Marker) de Walter Bernstein : la juge 1981 : Charlie Chan and the Curse of the Dragon Queen de" Clive Donner : Sylvia Lupowitz 1981 : The Million Dollar Face (TV) : Evalyna 1981 : For Ladies Only (TV) : Anne Holt 1982 : Thou Shalt Not Kill (TV) : Maxine Lochman 1982 : Terreur à l'hôpital central (Visiting Hours) de Jean-Claude Lord: Deborah Ballin 1982 : Bare Essence (TV) : Ava Marshall 1983 : Will There Really Be a Morning? (TV) : Lillian Farmer 1984 : Billions for Boris : Sascha Harris 1984 : Constance : Mrs Barr 1984 : Ras les profs ! (Teachers), de Arthur Hiller : Dr Donna Burke 1985 : Mussolini: The Untold Story (feuilleton TV) : Rachele Mussolini 1987 : La Gagne (The Big Town) de Harold Becker et Ben Bolt : Ferguson Edwards 1989 : The Hijacking of the Achille Lauro (TV) : Marilyn Klinghoffer 1990 : Elle a dit non (She Said No) (TV) : D.A. Doris Cantore 1991 : Rendez-vous au paradis (Defending Your Life) d'Albert Brooks : Lena Foster 1992 : Something to Live for: The Alison Gertz Story (en) (TV) de Tom McLoughlin : Carol Gertz 1992 : In My Daughter's Name (TV) : Maureen Leeds 1992 : Citizen Cohn, le persécuteur (Citizen Cohn) (TV) de Frank Pierson : Dora Cohn 1993 : White Fang (série télévisée) : Blair Dillon 1996 : Le Dernier Anniversaire (It's My Party) de Randal Kleiser : Amalia Stark 1996 : Revers de fortune (en) (The Substance of Fire) de Daniel J. Sullivan : Cora Cahn 1996 : Under Heat : Jane 1998 : Poor Liza 2000 : Docteur T et les femmes (Dr T and the Women) de Robert Altman : Dr Harper 2000 : The Amati Girls (en) de Anne De Salvo : Tante Spendora 2001 : Mulholland Drive de David Lynch : Louise Bonner 2005 : Going Shopping de Henry Jaglom : Winnie comme réalisatrice[modifier | modifier le code] 1975 : For the Use of the Hall (TV) 1976 : The Stronger 1980 : The Willmar 8 1980 : Tell Me a Riddle 1984 : A Matter of Sex (TV) 1985 : What Sex Am I? 1985 : Cindy Eller: A Modern Fairy Tale (TV) 1986 : Down and Out in America 1986 : Nobody's Child (TV) 1989 : Staying Together 1989 : Sans foyer sans abri (No Place Like Home) (TV) 1994 : Les Raisons du cœur (Seasons of the Heart) (TV) 1994 : Libre comme l'oiseau (Following Her Heart) (TV) 1994 : Le Baiser du papillon (Reunion) (TV) 1997 : Say It, Fight It, Cure It (TV) 1998 : Intimate Portrait: Bella Abzug (TV) 1998 : Intimate Portrait: Vanessa Redgrave (TV) 1998 : Intimate Portrait: Christine Lahti (TV) 1998 : Intimate Portrait: Gloria Steinem (TV) 1999 : Intimate Portrait: Liz Tilberis (TV) 1999 : Intimate Portrait: Jessica Tandy (TV) 1999 : Intimate Portrait: Laura Dern (TV) 1999 : Intimate Portrait: Margot Kidder (TV) 1999 : Intimate Portrait: Cyndi Lauper (TV) 1999 : Intimate Portrait: Jane Alexander (TV) 1999 : Intimate Portrait: Mia Farrow (TV) 1999 : Intimate Portrait: Betty Friedan (TV) 1999 : Confronting the Crisis: Childcare in America (TV) 2000 : Intimate Portrait: Tipper Gore (TV) 2000 : Intimate Portrait: Teri Garr (TV) 2000 : Intimate Portrait: Swoosie Kurtz (TV) 2000 : Intimate Portrait: Star Jones (TV) 2000 : Intimate Portrait: Kim Cattrall (TV) 2000 : Intimate Portrait: Park Overall (TV) 2000 : Intimate Portrait: Marlo Thomas (TV) 2000 : Intimate Portrait: Diane von Fürstenberg (TV) 2000 : Intimate Portrait: Madeline Kahn (TV) 2000 : Intimate Portrait: Florence Griffith Joyner (TV) 2000 : Intimate Portrait: Holly Robinson Peete (TV) 2000 : The Loretta Claiborne Story (TV) 2000 : Intimate Portrait: Linda Dano (TV) 2001 : Intimate Portrait: Lee Grant (TV) 2001 : Intimate Portrait: Jasmine Guy (TV) 2001 : Intimate Portrait: Sharon Gless (TV) 2001 : Intimate Portrait: Lela Rochon (TV) 2001 : The Gun Deadlock (TV) 2001 : Intimate Portrait: Sela Ward (TV) 2001 : Intimate Portrait: Kim Fields (TV) 2001 : Intimate Portrait: Kelly Ripa (TV) 2001 : Intimate Portrait: Genie Francis (TV) 2002 : Intimate Portrait: Kathy Ireland (TV) 2002 : Intimate Portrait: Kristi Yamaguchi (TV) 2002 : Intimate Portrait: Suzanne Pleshette (TV) 2003 : Intimate Portrait: Vicki Lawrence (TV) 2003 : Intimate Portrait: Mo'Nique (TV) 2003 : Intimate Portrait: Isabel Sanford (TV) 2003 : Intimate Portrait: Bo Derek (TV) 2004 : Intimate Portrait: Stockard Channing (TV) 2004 : Intimate Portrait: Dionne Warwick (TV) comme Scénariste[modifier | modifier le code] 1976 : The Stronger 1998 : Intimate Portrait: Gloria Steinem (TV)
Témoigner
Étymologie[modifier] Dénominal de témoin, désinence -er. Verbe[modifier] témoigner \te.mwa.ɲe\ intransitif 1er groupe (conjugaison)
Porter témoignage, servir de témoin. Témoigner contre quelqu’un. Il ne peut pas témoigner en justice. Je témoignerai de son innocence, de sa probité, de sa bonne foi. (Figuré) Servir de preuve. Après l’incubation […], il sort de chaque œuf un mince ver filiforme qui témoigne d’un vif appétit. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914) Ce fait témoigne de l’importance que j’attache à cette affaire. Ces magnifiques édifices témoignent de la richesse passée du pays.
témoigner transitif
Manifester, faire connaître ce qu’on sait, ce qu’on sent, ce qu’on a dans la pensée. L'intendant reçut les deux visiteurs avec la même amitié que chacun témoignait à la femme, et la même déférence que tous paraissaient accorder au jeune homme. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chap.1) Les Groenlandais danois sont devenus de bons chrétiens ; ils persistent toutefois, à témoigner leur confiance à l’« Angakok ». Ce personnage important peut être comparé au rebouteux ou sorcier de nos campagnes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928) Je vous ai assez témoigné quelle était ma pensée là-dessus. Dérivés[modifier] témoignable intémoignable témoignage témoignaire Apparentés étymologiques[modifier] testimonial testimonialité Traductions[modifier] [Enrouler ▲]±être témoin, servir de témoin (1) Allemand : bezeugen (de) Anglais : witness (en), bear witness (en) Catalan : testimoniar (ca) Danois : vidne (da) Espagnol : testiguar (es), atestiguar (es), testificar (es) Espéranto : atesti (eo) Ido : atestar (io) Indonésien : bersaksi (id) Italien : testimoniare (it) Latin : testor (la), protestor (la) Néerlandais : getuigen (nl) Portugais : atestar (pt), certificar (pt), provar (pt), testemunhar (pt) Shingazidja : ushuhuɗia (*) (ushuhudia) Tchèque : svědčit (cs), osvědčit (cs) Ajouter une traduction en langue à choisir : traduction Ajouter Plus [Enrouler ▲]±Traductions à trier suivant le sens Allemand : beglaubigen (de), bescheinigen (de), bezeugen (de), bestätigen (de), belegen (de), beteuern (de), beweisen (de), Zeugnis ablegen (de), zeugen (de), erweisen (de) Féroïen : vátta (fo) Finnois : todistaa (fi) Lingala : -tatola (ln), -sakola (ln) Néerlandais : certificeren (nl), getuigen (nl) Papiamento : testiguá (*) Same du Nord : duođaštit (*) Suédois : attestera (sv), betyga (sv)
Rapport de Y'becca | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 2:57 | |
| Portland est une ville du nord-est des États-Unis, la plus grande de l'État du Maine. En 2010, sa population s'élevait à 66 194 habitants, 230 000 pour l'agglomération. C'est le siège du comté de Cumberland.
C'est une ville historique, qui possède un vieux port et attire plus de 3 millions de touristes par an, ainsi que la capitale économique et culturelle du Maine. La ville de Portland, dans l'Oregon, tient son nom d'elle. 5 % de la population de la ville parle en seconde langue maternelle le français.
L'emplacement de Portland a été occupé par les Anglais en 1632. Ce centre de pêche et de commerce portait alors le nom de Casco, changé en 1658 pour Falmouth. La ville a été entièrement détruite en 1675 par les Indiens Wampanoag, reconstruite puis à nouveau anéantie par les canons de la Royal Navy, la flotte britannique lors de la guerre d'indépendance.
Après quoi, Falmouth devint un port commercial important et changea son nom pour Portland en 1786, qui devint la capitale de l'État du Maine, avant que cette charge ne soit transférée à Augusta en 1832.
L'économie de Portland fut fortement affectée par l'Embargo Act de 1807 et la guerre de 1812.
En 1866, un incendie se déclara à l'occasion de la commémoration du 4 juillet (Fête nationale des USA). Les dégâts furent considérables et 10 000 personnes se retrouvèrent privées de logis. La ville fut reconstruite en briques, avec de larges demeures de style victorien. La rue la plus réputée pour son architecture s'appelle Western Promenade.
Personnalités célèbres L'écrivain de romans fantastiques Stephen King. La romancière Elizabeth Strout. Le poète Henry Wadsworth Longfellow. Le réalisateur John Ford. L'actrice Andrea Martin. L'actrice Victoria Rowell. L'acteur Judd Nelson. L'actrice Anna Kendrick. Évêché] Diocèse de Portland Liste des évêques de Portland Cathédrale de l'Immaculée-Conception de Portland
ET
Portland est la plus grande ville de l'Oregon, État du nord-ouest des États-Unis. Située près du confluent du fleuve Columbia (qui marque la frontière de l'État de Washington) et de la rivière Willamette dans le nord-ouest du pays, elle est la troisième ville la plus peuplée du nord-ouest Pacifique, après Seattle et Vancouver. Elle comptait 583 776 habitants lors du recensement de 2010, 29e ville la plus peuplée du pays. Son agglomération comptait 2 226 009 habitants, la 23e aire urbaine du pays.
Portland est réputée comme l'une des villes les plus écologiques (ou « vertes ») du pays. Elle traite 67 % de ses déchets, ce qui est le deuxième meilleur score national après Seattle. La ville et la région sont connues pour leur politique volontariste d'aménagement du territoire et pour leur investissement dans leur métro léger. La ville est également connue pour son équipe de basket-ball, les Trail Blazers de Portland.
Portland a été fondée en 1851 et est le siège du comté de Multnomah. La ville est surnommée « La Cité des Roses » à cause des nombreux jardins de roses dont l'International Rose Test Garden, le plus grand au monde, favorisé par le climat océanique de la région.
Portland était autrefois un bourg nommé The Clearing, établi sur les rives de la Willamette à mi-distance entre Oregon City et Fort Vancouver.
En 1843 William Overton (en) comprend que la région a un grand potentiel commercial mais manque de fonds pour acquérir la terre. Il conclut un marché avec son partenaire Asa Lovejoy. Pour 25 ¢, Overton partage sa concession de 2,6 km2.
Ennuyé à l'idée d'avoir à couper les arbres et construire des routes, Overton vend la moitié de son terrain à Francis W. Pettygrove. Lorsqu'arrive le moment de nommer la nouvelle ville, Pettygrove et Lovejoy désirent tous deux l'appeler d'après le nom de leur ville d'origine. Ils mettent fin à la dispute grâce à un pile ou face : Pettygrove gagne et nomme la ville d'après Portland dans le Maine (elle serait devenue une autre Boston dans l'autre cas).
Portland existe à l'ombre d'Oregon City, la capitale de l'État, située à 19 km en amont des chutes de la Willamette. Mais étant située à un endroit de la rivière permettant la navigation, elle a pris une importance portuaire pour rapidement devenir la principale ville de l'État, triomphant aussi de ses rivales Milwaukie et Sellwood.
En 1850 Portland compte 800 habitants1, une scierie à vapeur, un hôtel et un journal, le Weekly Oregonian. Portland est le port principal de la région durant une grande partie du xixe siècle jusqu'aux années 1890, époque à laquelle la voie de chemin de fer entre le port en eaux profondes de Seattle et la Stampede Pass est construite. Les marchandises peuvent dès lors être transportées sans l'aide des navires. La ville conservera néanmoins sa position de métropole de l'Oregon.
Géographie Topographie
Vue aérienne des quartiers centraux Portland se trouve à la frontière nord de la région la plus peuplée de l'Oregon, la vallée de la Willamette. Cependant, parce que l'aire métropolitaine de Portland est culturellement et politiquement distincte du reste de la vallée, les habitants de la vallée excluent souvent Portland et son aire métropolitaine de la vallée même. Presque toute la ville de Portland se trouve dans le comté de Multnomah, mais de petites parties de la ville se trouvent aussi dans les comtés de Washington et Clackamas. La rivière Willamette, très poissonneuse, coule vers le nord à travers le centre-ville, en séparant les sections est et ouest de la ville, puis continue vers le nord jusqu'au confluent avec le fleuve Columbia, qui sépare l'État de Washington de l'Oregon.
Selon le Bureau du recensement des États-Unis la ville a une superficie totale de 347,9 km2, dont 28,6 km2 de plans d'eau, soit 7,6 % du total.
Portland se trouve sur un terrain volcanique éteint du Plio-Pleistocène, qui s'appelle le Boring Lava Field. Le Boring Lava Field inclut au moins 32 cônes de scories comme Mount Tabor, et son centre se trouve dans Portland sud-est. Le volcan dormant mais potentiellement actif, Mount Hood, à l'est de Portland, est facilement visible de presque toute la ville par temps clair. Le volcan actif Mount Saint Helens au nord dans l'État de Washington est visible au loin des hauteurs de la ville, et est si proche qu'il a saupoudré la ville de cendres volcaniques après l’éruption du 18 mai 1980. Mount Adams, un autre volcan proéminent au nord-est de Portland, est visible aussi de quelques parties de la ville.
Portland est souvent citée comme l'exemple d'une ville contrôlant de près son urbanisme2 à l'inverse, par exemple, de Houston. Pour les architectes spécialisés dans le développement durable, Portland est devenue « the place to be ». La ville compte déjà 150 édifices dûment homologués « verts » dont bientôt le Edith Green Wendell Wyatt, un bâtiment fédéral en rénovation. C'est le chiffre le plus élevé (en proportion du nombre d'habitants) aux États-Unis. Et prévoyait de démarrer prochainement une construction emblématique : l'Oregon Sustainability Center, premier immeuble sur le sol américain ne dégageant aucun dioxyde de carbone, ne produisant aucun déchet et étant totalement autosuffisant en énergie et en eau... La ville a cependant renoncé à ce projet en octobre 20123.
Dans Maléfices, Maxime Chattam décrit Portland dans l'obscurité4 : « Encerclé de forêts à l'est, d'un immense parc sur une colline à l'ouest et contenue au nord par la rivière Columbia, Portland brillait dans la nuit, semblable à une plate-forme pétrolière perdue en pleine mer d'ombres ».
Écologie
L'immeuble écologique Indigo twelve west Le climat estival sec est propice à l'empoussièrement de l'air, aux smogs photochimiques et aux pollutions des eaux de ruissellement lors des pluies d'orage, qui pourraient alors contribuer en aval au phénomène des zones marines mortes, récurrentes et marquées sur cette partie du littoral des États-Unis depuis la fin du xxe siècle5. Depuis 1990, Portland est devenue pionnière en matière de gestion alternative des eaux pluviales urbaines avec divers projets-vitrines incluant l'aménagement de parkings et de noues collectant et épurant les eaux de ruissellement, ainsi que des rues écologiques dites Green Streets. Le premier projet, de « mini linear wetland » (mini-zone humide linéaire) ayant servi autour du Oregon Museum of Science and Industry (OMSI) de vitrine a associé dix étangs paysagés collectant, filtrant, lagunant, puis infiltrant vers la nappe phréatique, les pluies tombant sur un parking de 700 places6.
Dès la fin des années 1960, sous l'impulsion du gouverneur de l'État de l'Oregon, Tom McCall, quatre textes majeurs en matière de développement durable ont été votés7:
le Beach Bill permettant d'empêcher tout projet immobilier sur le littoral ; le Bottle Bill rendant obligatoire la consigne des bouteilles vides par les commerçants ; le démantèlement de l'autoroute Harbour Drive pour réhabiliter les rives de la Willamette, sur lesquelles se situe l'actuel Tom McCall Waterfront Park ; la Urban Growth Boundary qui vise à limiter l'expansion urbaine. Des milliers de Portlandais ont lâché le volant pour aller travailler à pied ou à vélo. Portland compte 20 % d'automobilistes de moins que les cités américaines de même taille. Portland a été en 2001 la première ville américaine à réintroduire le tramway. Elle abrite la plus grande surface d'espaces verts par habitant et offre 510 kilomètres de pistes cyclables. Créé en 1994, le Community Cycling Center a pour vocation de développer l'usage du vélo.
L'équipe municipale poursuit, depuis dix ans, l'objectif écologique suivant : faire revenir la nature en ville. Dans le centre-ville, la moitié des terrains a été convertie en espaces piétonniers ou en jardins publics. Les autres parcelles ont été soit laissées à l'état sauvage quand elles abritaient des oiseaux ou se situaient en bordure de rivière, soit aménagées en pistes cyclables ou en installations sportives.
Inauguré en 2009, Indigo Twelve West est un immeuble de bureaux et de logements de vingt-trois étages. Son toit est équipé de quatre éoliennes qui génèrent l'énergie nécessaire aux ascenseurs.
Le végétarisme est également très présent dans la ville, et on y trouve le plus grand choix au monde de restaurants végétariens par habitant en avril 2014, à savoir un restaurant végétarien par tranche de 12700.
Climat Le climat de Portland est classé dans la catégorie des climats de type océanique, mais avec des étés chauds, secs et bien ensoleillées la rapprochant d'un climat méditerranéen. La classification de Köppen le classe comme un climat méditerranéen avec été tempéré (Csb)8, car en effet la température du mois le plus chaud est de seulement 20 °C, correspondant aux mois de juillet et août. Elle est trop à l'intérieur des terres pour bénéficier de la brise marine et souffre de vagues de chaleur dépassant 38 °C. Les hivers sont néanmoins frais et très humides.
La température la plus basse, -19 °C, a été enregistrée le 2 février 1950 et la plus chaude, 42 °C, le 30 juillet 1965.
LORS QUE SOLEIL SE LÈVERA AU MÊME INSTANT SUR LES PORTLANDs, LA FEMME ET L'HOMME POUR LEUR SURVIE, AURONT DU QUITTER LEUR BIEN-AIMÉE TERRE.
ÉNOCH ET NOÉ
RAPPORT DE Y'becca
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 2:59 | |
| Dersou Ouzala (en russe : Дерсу Узала) est un film soviéto-japonais réalisé par Akira Kurosawa, sorti en 1975, d'après le livre autobiographique éponyme de Vladimir Arseniev, publié en 1921.
Une première adaptation du même roman avait été réalisée en 1961 par Agassi Babaïan.
Ce film relate l'improbable mais très forte amitié entre un autochtone sibérien (un Hezhen) et un topographe russe, au début du xxe siècle. Il est tiré du récit autobiographique de l'officier-topographe Vladimir Arseniev, chargé par l'Armée impériale russe de faire le relevé de terres alors encore inexplorées dans la vallée de l'Oussouri, à la frontière chinoise. Au cours d'une expédition topographique durant l'été 1902, le jeune Arseniev rencontre Dersou Ouzala, un chasseur golde qui vit du commerce des peaux de zibelines et connaît très bien la taïga. Sous l'impulsion d'Arseniev, le détachement de soldats finit par adopter le vieil homme aux yeux bridés, qui vit depuis des années dans la forêt depuis la mort de sa femme et son fils emportés par une épidémie de variole. Dersou devient le guide de l'expédition et se prend d'amitié pour Arseniev qu'il appelle respectueusement « Capitaine ». Lorsque tous deux s'égarent au crépuscule dans une toundra balayée par un blizzard, c'est Dersou, grâce à son ingéniosité, qui leur sauve la vie. L'expédition terminée, chacun doit partir de son côté.
Mais cinq ans plus tard, en 1907, alors qu'il dirige une nouvelle expédition topographique dans la taïga, Arseniev retrouve par hasard Dersou. Le vieil homme redevient son guide ; jusqu'au jour où il tire sur un tigre de Sibérie qui rôde autour de l'équipe. Dersou blesse l'animal sans le tuer, présage de malheur chez les Mongols. À compter de ce moment, Arseniev assiste impuissant à la transformation de son ami : celui-ci vieillit, sa vue baisse tellement qu'il ne peut plus chasser pour assurer sa survie ; le vieil homme en devient presque aigri. Il se résout finalement à accepter l'asile que lui offre Arseniev dans sa propre maison, auprès de sa femme et de son fils, à Khabarovsk.
Loin de la taïga, et malgré l'affection que lui porte la famille Arseniev, Dersou dépérit, ne supportant pas les règles de la vie citadine. Il implore alors le capitaine de le laisser repartir sur les lieux auxquels il est attaché. Arseniev accepte à contrecœur, et lui offre en cadeau d'adieu un très bon fusil dernier cri lui appartenant. Quelque temps plus tard, l'officier est prévenu par un télégramme de la police que le cadavre d'un vieil homme a été retrouvé non loin de la voie ferrée du Transibérien, à une vingtaine de kilomètres au sud de Khabarovsk, en possession de son adresse, et qu'il doit venir l'identifier avant qu'il soit enterré sur place. Le capitaine reconnaît alors le corps de Dersou qui a été probablement tué par un bandit, car le fusil qu'il lui avait offert a disparu. Lorsque Arseniev revient au cours de l'année 1910 sur les lieux où son ami est enterré, la tombe a été détruite, les arbres coupés pour construire une ville : Korfovskaïa1.
Fiche technique[modifier | modifier le code] Titre : Dersou Ouzala (Derzu Uzala) Réalisation : Akira Kurosawa, d'après un livre de Vladimir Arseniev Scénario : Akira Kurosawa, Youri Naguibine, d'après deux livres de voyage de Vladimir Arseniev Production : Nikolaï Chizov, Yoichi Matsue Musique : Isaak Schwarz Directeurs de la photographie : Asakazu Nakai, Youri Gantman, Fiodor Dobronravov Montage : V. Stepanovoï
Sociétés de production : Mosfilm (Moscou), Tōhō, Nippon Herald Production (Tokyo), en collaboration avec la 3e unité créatrice (URSS) et l'Atelier 41 (Japon) Société de distribution : Sovexportfilm Pays : URSS, Japon Langue : russe Format : Couleur - 70 mm Durée : 141 min (2 h 21) Date de sortie : 1975
Distribution Maksim Mounzouk : Dersou Ouzala Youri Solomine : Vladimir Arseniev Svetania Daniltchenko : Anna, l'épouse d'Arseniev
Genèse Le scénario du film est tiré de deux livres écrits par Vladimir Arseniev, lesquels constituent la trilogie Dersou Ouzala2 : La Taïga de l'Oussouri - Mes expéditions avec le chasseur gold Derzou (1921)3 et Dersou Ouzala : la Taïga de l'Oussouri (1923)4. Arseniev est un officier et géographe de l'armée du Tsar qui, entre 1902 et 1907, a effectué plusieurs missions d'exploration dans la province de l'Oussouri (dans l'Extrême-Orient russe) pour cartographier la région. Largement autobiographique, le livre raconte l'amitié qui se développe entre l'officier et son guide, authentique « homme des bois » vivant en totale communion avec la nature.
Kurosawa imposa Maksim Mounzouk dans le rôle de Dersou Ouzala contre l'avis des producteurs : l'acteur était inconnu et tournait là son premier film.
Distinctions[modifier | modifier le code] Le film a été récompensé du Grand Prix au 9e Festival de Moscou et a reçu l'Oscar du meilleur film étranger en 1976.
Notes et références ↑ 48° 13′ 00″ N, 135° 05′ 00″ E ↑ Cf. article Wikipedia en russe sur Vladimir Arseniev (section "livres" ("Книги")). ↑ Titre original : По Уссурийскому Краю ↑ Titre original : Дерсу Узала Из воспоминаний о путешествиях по Уссурийскому краю в 1907 г. Владивосток Voir aussi[modifier | modifier le code]
SOUS LE REGARD Des LIVRES de Vladimir Arseniev , PORTLAND DE L'OREGON ET TOM McCALL LANCERENT LE PREMIER PROGRAMME D’ÉCOLOGIE DURABLE...
Un film antérieur, Dersou Ouzala a été réalisé en 1961 par Agassi Babaïan à partir du livre de Vladimir Arseniev. Le livre de Vladimir Arseniev : Dersou Ouzala, présentation et cartographie de Michel Jan, réédition de l'ouvrage de 1939, parution : 2007, Petite bibliothèque Payot (ISBN 978-2-228-90177-2)
Dès la fin des années 1960, sous l'impulsion du gouverneur de l'État de l'Oregon, Tom McCall, quatre textes majeurs en matière de développement durable ont été votés7:
le Beach Bill permettant d'empêcher tout projet immobilier sur le littoral ; le Bottle Bill rendant obligatoire la consigne des bouteilles vides par les commerçants ; le démantèlement de l'autoroute Harbour Drive pour réhabiliter les rives de la Willamette, sur lesquelles se situe l'actuel Tom McCall Waterfront Park ; la Urban Growth Boundary qui vise à limiter l'expansion urbaine. Des milliers de Portlandais ont lâché le volant pour aller travailler à pied ou à vélo. Portland compte 20 % d'automobilistes de moins que les cités américaines de même taille. Portland a été en 2001 la première ville américaine à réintroduire le tramway. Elle abrite la plus grande surface d'espaces verts par habitant et offre 510 kilomètres de pistes cyclables. Créé en 1994, le Community Cycling Center a pour vocation de développer l'usage du vélo.
L'équipe municipale poursuit, depuis dix ans, l'objectif écologique suivant : faire revenir la nature en ville. Dans le centre-ville, la moitié des terrains a été convertie en espaces piétonniers ou en jardins publics. Les autres parcelles ont été soit laissées à l'état sauvage quand elles abritaient des oiseaux ou se situaient en bordure de rivière, soit aménagées en pistes cyclables ou en installations sportives.
Inauguré en 2009, Indigo Twelve West est un immeuble de bureaux et de logements de vingt-trois étages. Son toit est équipé de quatre éoliennes qui génèrent l'énergie nécessaire aux ascenseurs.
Le végétarisme est également très présent dans la ville, et on y trouve le plus grand choix au monde de restaurants végétariens par habitant en avril 2014, à savoir un restaurant végétarien par tranche de 12700.
RAPPORT DE Y'becca ET TAY La Chouette effraie OU CITOYEN Tignard Yanis | |
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| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 3:00 | |
| Jean Renoir est un réalisateur et scénariste français, né à Paris le 15 septembre 1894 et mort à Beverly Hills le 12 février 1979.
Deuxième fils1 du peintre Auguste Renoir, ses films ont profondément marqué les mutations du cinéma français entre 1930 et 1950, avant d'ouvrir la porte à la Nouvelle Vague du cinéma français.
Les débuts[modifier | modifier le code]
Gabrielle et Jean Renoir peints par Auguste Renoir (1895-1896). Jean Renoir naît en 1894 dans le quartier de Montmartre, « la maison était le pavillon 6 du 13 de la rue Girardon »2, en face du « Château des brouillards3 ». Sa mère est Aline Charigot, ancien modèle de son père, qu'Auguste Renoir a épousée en 1890.
Jean Renoir est baptisé en 1896 à l'église Saint-Pierre de Montmartre, à Paris. Sa marraine est Jeanne Baudot et son parrain Georges Durand-Ruel4.
Après des études médiocres, il s'engage dans l'armée en 1912, et rejoint le corps des dragons. En 1914, quand commence la Première Guerre mondiale, il est maréchal des logis au 3e escadron du 1er régiment de dragons sous les ordres du capitaine Louis Bossut, modèle possible du capitaine de Boëldieu de La Grande Illusion.
En avril 1915, alors qu'il vient de passer dans les chasseurs alpins, Renoir a le col du fémur fracturé par une balle, au cours d'une patrouille sur les hauteurs d'Orbey, en Alsace, blessure qui le fera boiter toute sa vie5. Il évite de justesse l'amputation grâce à la présence fortuite du professeur Laroyenne de Lyon, alors infirmier sous les drapeaux, qui s'oppose à cette intervention chirurgicale. En juin 1915, hospitalisé à Besançon, il apprend la mort de sa mère à l'hôpital de Nice. Convalescent à Paris, aux côtés de son père, Jean passe sa vie dans les cinémas, voyant jusqu'à vingt-cinq films par semaine, dont Les Mystères de New York et les films de Charlie Chaplin. En 1916, il retourne au front et sert dans l'aviation, où sa mauvaise jambe ne le gêne pas. Il est affecté dans une escadrille de reconnaissance, et y apprend la photographie6.
En 1920, il s'installe comme céramiste à Cagnes7 et épouse l'un des modèles de son père, Andrée Heuschling, « d'une beauté insolite ». Jean, qui veut faire d'elle une vedette de cinéma, écrit un petit sujet, Catherine, qu'il finance lui-même et fait réaliser par Albert Dieudonné. Andrée Heuschling devient Catherine Hessling. Le film achevé est une déception pour Renoir, mais, dit-il, « le démon de la mise en scène était en moi. » La découverte, en 1924, du film d'Erich von Stroheim, Folies de femmes (Foolish Wives), l'enthousiasme, et décide de la suite de sa carrière.
Son premier long métrage, La Fille de l'eau (1924), est une fable bucolique à l'esthétique impressionniste, dans lequel jouent sa jeune épouse et son frère aîné, Pierre Renoir. L'accueil mitigé réservé au film ne décourage cependant pas le cinéaste. Il se lance peu après dans une production coûteuse, Nana, d'après le roman d'Émile Zola, en 1926. Pour financer ce film au coût élevé, il vend plusieurs toiles héritées de son père. L'échec commercial du film le détourne pour longtemps de la production. Suivent une série de réalisations aux inspirations très diverses, La Petite Marchande d'allumettes (1928), d'après Andersen, incursion dans l'expressionnisme ; Tire-au-flanc (1928), comédie militaire ; On purge bébé (1931), d'après Georges Feydeau, son premier film parlant.
En 1927, Renoir a accepté de jouer un simple rôle dans La P'tite Lili, court métrage d'Alberto Cavalcanti, pour aider Catherine Hessling à devenir une vedette de cinéma. Par une étonnante coïncidence, ce film réunit les trois compagnes de Renoir qui ont le plus compté dans son existence : sa première épouse Catherine Hessling, sa « monteuse et compagne »8 des années 1930 Marguerite Renoir et Dido Freire, amie de Cavalcanti qui deviendra sa seconde épouse9.
Période réaliste et engagement politique[modifier | modifier le code] La Chienne (1931) marque un tournant dans l'œuvre de Jean Renoir. C'est un des premiers films français parlants, adapté d'un roman de Georges de La Fouchardière ; La Chienne offre à Michel Simon un rôle de petit-bourgeois jaloux, assassin et veule. Le tournage de La Chienne est par ailleurs à l'origine de la séparation de Renoir et Catherine Hessling, dépitée d'avoir été remplacée par Janie Marèse pour le premier rôle féminin.
À partir de 1932, Renoir vit avec Marguerite Houllé, rencontrée en 1927 sur le tournage de La P'tite Lili, sa monteuse attitrée qui travaille sur tous ses films de 1931 à 1939. Marguerite prendra le nom de Marguerite Renoir, bien que leur vie commune n'ait jamais été officialisée.
Après La Nuit du carrefour (d'après Georges Simenon, 1932), dans lequel Pierre Renoir interprète le commissaire Maigret, le réalisateur tourne une série d'œuvres majeures : Boudu sauvé des eaux (avec à nouveau Michel Simon, 1932), Le Crime de monsieur Lange (avec Jules Berry, 1935), Partie de campagne (1936, sorti en 1946) dont son neveu, Claude Renoir, signe la photographie, et Les Bas-fonds (avec Louis Jouvet, 1936). Puisant son inspiration dans les romans de Gorki ou dans les nouvelles de Maupassant, Jean Renoir fait preuve d'un sens aigu du réel, qu'il met au service d'un véritable naturalisme poétique.
Sa vie commune avec Marguerite Renoir va marquer une transformation dans son œuvre10. Née dans une famille ouvrière, fille de syndicaliste,sœur d'un militant communiste, elle le convainc peu à peu de défendre la cause ouvrière, et le présente au groupe Octobre dont font partie entre autres Jacques Prévert, Roger Blin et Maurice Baquet. En 1936, Renoir lui offre un rôle à ses côtés dans Partie de campagne.
Désormais, sa production prend une dimension ouvertement politique, marquée par les idées du Front populaire : Le Crime de monsieur Lange (1935), Les Bas-fonds, La vie est à nous (1936), La Marseillaise (1937). La vie est à nous est produit par le PCF, et La Marseillaise coproduit par la CGT, avec un original système de participation des spectateurs qui achètent leur place à l'avance. Ce film est un semi-échec commercial. Renoir, qui n'a jamais été membre du PCF, écrit régulièrement dans des périodiques de gauche, le quotidien Ce soir, la revue Regards et Ciné-Liberté.
Avant la Seconde Guerre mondiale, Jean Renoir tente de promouvoir un message de paix avec La Grande Illusion (1937), montrant l'absurdité de la guerre. Il fait tourner dans ce film, en manière d'hommage, le cinéaste qu'il admire le plus, Erich von Stroheim, aux côtés de Jean Gabin. Dans La Bête humaine (1938), il s'efforce de mettre en scène les enjeux sociaux de l'époque.
Dans son chef-d'œuvre, La Règle du jeu (1939), sorti en juillet 1939, Renoir prévoit l'effondrement des valeurs humanistes et brosse un tableau sans complaisance des mœurs de la société française. Mais à la veille de la Seconde Guerre mondiale, ce film sera son plus grand échec commercial. Renoir a raconté qu'à la première de son film, il a vu un homme qui essayait de mettre le feu à la salle avec un journal et des allumettes11. François Truffaut, dans son livre Les Films de ma vie, écrit « La Règle du jeu (1939) c'est le credo des cinéphiles, le film des films, le plus haï à sa sortie, le plus apprécié ensuite. »
Sa liaison avec Marguerite se termine, et il vit désormais avec Dido Freire, rencontrée sur le tournage de La P'tite Lili, engagée comme scripte sur le tournage de La Règle du jeu, et qui deviendra sa dernière épouse.
En janvier 1940, il part en Italie pour tourner La Tosca, d'après la pièce de Victorien Sardou, avec Michel Simon.
Sur les conseils de l'ambassadeur de France, en mai 1940, il quitte prématurément le tournage (une seule séquence est tournée par Renoir, le reste par son ami et scénariste Carl Koch) pour rentrer à Paris. En juillet, grâce au réalisateur Robert Flaherty, Renoir obtient un visa de travail pour les États-Unis.
Il quitte Marseille avec Dido en octobre 1940 pour Lisbonne et les États-Unis. Sur le bateau, il rencontre un passager notable, Antoine de Saint-Exupéry, avec lequel il travaillera sur une adaptation du roman de celui-ci, Terre des hommes, qui n'aboutira pas.
La période américaine[modifier | modifier le code] Renoir arrive à Hollywood le 10 janvier 1941. Après de nombreuses et longues négociations, il signe enfin un contrat avec la Fox et dirige L'Étang tragique (Swamp Water) en 1941, écrit par Dudley Nichols, scénariste attitré de John Ford, film tronqué par les contraintes de la production qui exigea de nombreux plans tournés en studio. Néanmoins le film poursuit le cheminement de Renoir dans sa réflexion sociale, qui met en relief la différence, l'exclusion, puis la réhabilitation des personnages, incarnés ici par Anne Baxter et Walter Brennan. Le film est un échec commercial et Renoir doit défendre ses convictions pour poursuivre son œuvre (il tournera six films aux États-Unis). Il épouse Dido Freire en février 1944, à Los Angeles, avec Charles Laughton et Dudley Nichols comme témoins.
Renoir qui s'adapte difficilement au système hollywoodien, réalise en 1943 et 1944 deux films de résistance Vivre libre (This Land Is Mine), avec Charles Laughton et Salut à la France (A Salute to France). En 1945, il tourne L'Homme du sud (The Southerner), film proche de thèmes chers à John Ford (Les Raisins de la colère, La Route du tabac, Qu'elle était verte ma vallée) : la misère, la communauté, la famille, la relation étroite avec la terre, le terroir, le territoire. L'Homme du sud lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur. En 1946, dans Le Journal d'une femme de chambre (The Diary of a Chambermaid), d'après le roman d'Octave Mirbeau, Renoir fait tourner Paulette Goddard, épouse de son ami Burgess Meredith et ex-épouse de Charlie Chaplin.
Jean Renoir termine sa période américaine avec La Femme sur la plage (The Woman on the Beach) en 1947, avec Robert Ryan et Joan Bennett, un film noir, amputé au montage, qui ne trouva pas son public. Daryl F. Zanuck déclare, après cet échec : « Renoir a beaucoup de talent, mais il n'est pas des nôtres ». Sans aucune amertume, Jean Renoir sera toujours profondément reconnaissant envers les États-Unis. Il prend d'ailleurs la double nationalité, comme son fils Alain Renoir12, né en 1921 de son union avec Catherine Hessling.
En 1949, Renoir découvre le roman de Rumer Godden, The River, et décide de partir pour l'Inde tourner son premier film en couleurs, Le Fleuve (The River), film épousant le rythme du Gange et attentif aux êtres vivants. Ce film aura une influence durable sur le cinéma indien et sur Satyajit Ray.
Les derniers films[modifier | modifier le code] De retour en Europe en 1952, Jean Renoir tourne Le Carrosse d'or (d'après Prosper Mérimée, 1952), French Cancan (avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, 1955), Elena et les Hommes (avec Ingrid Bergman et Jean Marais, 1956), Le Déjeuner sur l'herbe (avec Catherine Rouvel 1959) et Le Caporal épinglé (d'après Jacques Perret, 1962).
Rencontrant des difficultés de plus en plus importantes à produire ses films, il se tourne alors vers la télévision (Le Testament du docteur Cordelier, 1959 ; Le Petit Théâtre de Jean Renoir, 1969-1971) et se consacre plus largement à l'écriture : il publie un livre sur son père, Renoir, mon père (1962), son autobiographie, Ma vie et mes films (1974), un essai (Écrits 1926-1971, 1974), quelques pièces de théâtre, Orvet (1955), ainsi que plusieurs romans (Les Cahiers du capitaine Georges, 1966 ; Le Crime de l'Anglais, 1979).
Il reçoit en 1975 un Oscar d'honneur pour l'ensemble de son œuvre et se voit élever au rang de commandeur de la Légion d'honneur deux ans plus tard. Il fait partie des très rares artistes français à avoir été honorés par une étoile au Hollywood Walk of Fame à Los Angeles.
Jean Renoir meurt à Beverly Hills, où il s'était retiré, le 12 février 1979. Il est enterré à Essoyes dans l'Aube, près de son père.
Filmographie[modifier | modifier le code] Jean Renoir en Chasseur Jean Renoir en chasseur par Auguste Renoir, 1910 Réalisateur[modifier | modifier le code] 1924 : Catherine (uniquement projeté en privé) 1925 : La Fille de l'eau 1926 : Nana 1927 : Sur un air de charleston 1927 : Une vie sans joie (deuxième version de Catherine) 1927 : Marquitta 1928 : La Petite Marchande d'allumettes 1928 : Tire-au-flanc 1928 : Le Tournoi dans la cité 1929 : Le Bled 1931 : On purge bébé 1931 : La Chienne 1932 : La Nuit du carrefour 1932 : Boudu sauvé des eaux 1932 : Chotard et Cie 1933 : Madame Bovary 1935 : Toni 1936 : Le Crime de monsieur Lange 1936 : Partie de campagne 1936 : La vie est à nous 1936 : Les Bas-fonds 1937 : La Grande Illusion 1938 : La Marseillaise 1938 : La Bête humaine 1939 : La Règle du jeu 1941 : L'Étang tragique (Swamp Water) 1943 : Vivre libre (This Land Is Mine) 1945 : L'Homme du sud (The Southerner) 1946 : Le Journal d'une femme de chambre (The Diary of a Chambermaid) 1946 : Salut à la France (Salute to France) 1947 : La Femme sur la plage (The Woman on the Beach) 1951 : Le Fleuve (The River) 1953 : Le Carrosse d'or 1954 : French Cancan 1956 : Elena et les Hommes 1959 : Le Testament du docteur Cordelier 1959 : Le Déjeuner sur l'herbe. (Jean Renoir cherchait une actrice avec un physique ressemblant à sa mère, bien en chair avec des formes. Le jour où il rencontra Catherine Rouvel, il lui dit: Vous êtes exactement l'actrice qu'il me faut !!!!!) 1962 : Le Caporal épinglé 1971 : Le Petit Théâtre de Jean Renoir Acteur ou présentateur[modifier | modifier le code] 1924 : Catherine : le sous-préfet 1936 : Partie de campagne : le Père Poulain 1936 : La vie est à nous : le patron du bistrot 1938 : La Bête humaine : Cabuche 1939 : La Règle du jeu : Octave 1959 : Le Testament du docteur Cordelier : lui-même en présentateur 1971 : Le Petit Théâtre de Jean Renoir : lui-même en présentateur Théâtre[modifier | modifier le code] Mise en scène 1954 : Unique représentation de Jules César de William Shakespeare dans les Arènes d'Arles13 1955 : Orvet de Jean Renoir, Théâtre de la Renaissance Adaptation 1957 : Le Grand Couteau de Clifford Odets, mise en scène Jean Serge, Théâtre des Bouffes-Parisiens, créée le 4 octobre 1957 Écrits[modifier | modifier le code] Orvet, pièce en trois actes, Paris, Gallimard, 1955 Renoir, biographie, Paris, Hachette, 1962 ; réédition sous le titre Pierre-Auguste Renoir, mon père, Gallimard, collection Folio, 1981 (ISBN 9782070372928) Les Cahiers du capitaine Georges, Paris, Gallimard, 1966 Ma vie et mes films, Paris, Flammarion, 1974 ; édition revue et corrigée : Ma vie et mes films, Paris, Flammarion, collection « Champs » no 501, 2005, (ISBN 2-08-081501-6) Écrits 1926-1971, Paris, Pierre Belfond, 1974 Carola, pièce en trois actes, L'Avant-Scène Théâtre no 597 ; diffusée à la télévision américaine le 6 février 1973 Le Cœur à l'aise, Paris, Flammarion, 1978 Julienne et son amour suivi de En avant Rosalie, Paris, Henri Veyrier, 1978 Le Crime de l'Anglais, Paris, Flammarion, 1979 Geneviève, Paris, Flammarion, 1979 Lettres d'Amérique, Paris, Presses de la Renaissance, 1984 Hommages[modifier | modifier le code] Une rue Jean-Renoir a été inaugurée en 1994 dans le quartier de Bercy du 12e arrondissement de Paris. Un collège a été aussi nommé Jean Renoir à Bourges. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Deuxième fils reconnu d'Auguste Renoir avec son épouse Aline Charigot, après Pierre né en 1885, mais Auguste avait déjà eu avec Lise Tréhot un autre fils, Pierre, né en 1868, (semble-t-il non reconnu) puis une fille, Jeanne (reconnue) (1870-1934), Jean-Claude Gélineau, Jeanne Tréhot, la fille cachée de Pierre Auguste Renoir [archive], notice BnF. ↑ Renoir 1981, p. 307 ↑ Le Château des brouillards [archive] ↑ Georges Durand-Ruel (1866-1931) [archive], fils de Paul Durand-Ruel ↑ Stéphane Launey, « Jean Renoir sous l'uniforme », Revue Historique des Armées, no 259, 2010, p. 79-92 (lire en ligne [archive]) ↑ Après sept années comme militaire d'active, Jean Renoir devient lieutenant de réserve. En septembre 1938, il est affecté au Service cinématographique des armées, tourne avec de Lattre en Alsace. Il est radié des cadres de l'armée en 1944. Cf. Stephane Launey, « Jean Renoir sous l'uniforme », Revue historique des armées, 2010. ↑ Données officielles de la bibliographie de Jean Renoir ↑ Jean Renoir, Ma vie et mes films, Flammarion, Paris, 1974 ↑ Célia Bertin, Jean Renoir, p. 95. ↑ « Il fera la preuve qu'il est proche des humbles et porté vers des idées de gauche dans l'avant-guerre, très certainement influencé par Marguerite Houllé, sa collaboratrice et compagne », Guy Cavagnac, Jean Renoir, le Désir du monde, Société des découvertes, 1994, p.14 ↑ Présentation par Renoir de La Règle du jeu dans l'édition Dvd Collector ↑ Alain Renoir a combattu dans le Pacifique au sein de l'armée américaine. ↑ Pour un portrait de Jean Renoir, écrivain [archive] sur cinematheque.fr Voir aussi[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Jean Renoir, Ma vie et mes films, Paris, Flammarion, 1974 ; réédition poche, Paris, Flammarion, 2005, coll. "Champs", (ISBN 2-08-081501-6). Célia Bertin, Jean Renoir, Paris, Perrin, 1986 (ISBN 2-262-00422-6); réédition, Paris, Le Rocher, 2005, (ISBN 2-268-05657-0). Célia Bertin, Jean Renoir, cinéaste, Paris, Gallimard, 1994, coll. "Découvertes" no 209, (ISBN 2-07-053264-X). Bibliographie[modifier | modifier le code] Catalogue Renoir-Renoir, sous la direction de Bernard Benoliel et Matthieu Orléan, catalogue de l'exposition de la Cinémathèque française, Paris, Éditions de La Martinière/Cinémathèque française, 2005 (ISBN 978-2-7324-3325-7) Article - Biographie - Essai - Étude - André Bazin, Jean Renoir, présentation de François Truffaut, avant-propos de Jean Renoir, Paris, Champ libre, 1971. Claude Beylie, Jean Renoir, le spectacle, la vie, Cinéma d'aujourd'hui, no 2, mai-juin 1975. Claude Beylie et Maurice Bessy, Jean Renoir, Paris, Pygmalion, 1989. Claude Gauteur, Jean Renoir, la double méprise, Paris, Les Éditeurs Français Réunis, 1980. Pascal Mérigeau, Jean Renoir, Flammarion, coll. « Grandes biographies », 2012, 1100 p. (ISBN 9782081210554) Claude-Jean Philippe, Jean Renoir, une vie en œuvres, Paris, Grasset, 2005, (ISBN 2-246-65851-9) François Poulle, Renoir 1938 ou Jean Renoir pour rien : enquête sur un cinéaste, Paris, Le Cerf, 1969, ISBN 9782204037884 , Notice BnF no FRBNF33141996c. Roger Viry-Babel, Jean Renoir, la règle ou le jeu, Paris, Denoël, 1986. Roger Viry-Babel, Jean Renoir, Presses Universitaires de Nancy, Nancy, 1991. Documentaires[modifier | modifier le code] 1967 : Jean Renoir, le patron de Jacques Rivette dans la série Cinéastes de notre temps 1re partie: La Recherche du relatif 2e partie: La Direction d'acteur 3e partie: La Règle et l'Exception 1968 : La Direction d'acteur par Jean Renoir de Gisèle Braunberger (Gisèle Braunberger [archive] sur data.bnf.fr) 2010, Il était une fois : La Règle du jeu, d'Anne Kunvari (Anne Kunvari [archive] sur data.bnf.fr), [présentation en ligne [archive]] Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : Jean Renoir, sur Wikimedia Commons Famille Auguste Renoir Liens externes[modifier | modifier le code] Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Union List of Artist Names • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • Service bibliothécaire national • Bibliothèque nationale de la Diète • Bibliothèque nationale d'Espagne • WorldCat Mini-site de la Cinémathèque française (en archive) Site Je m'appelle Jean Renoir [archive] (en archive) (en) Jean Renoir [archive] sur l’Internet Movie Database Entretien de 1968 [archive] pour la Télévision suisse romande Jean Renoir parle de son œuvre Dossier du ciné-club de Caen [archive] [masquer] v · m Jean Renoir Films muets Catherine (1924) · La Fille de l'eau (1925) · Nana (1926) · Sur un air de charleston (1927) · Une vie sans joie (1927) · Marquitta (1927) · La Petite Marchande d'allumettes (1928) · Tire-au-flanc (1928) · Le Tournoi dans la cité (1928) · Le Bled (1929) Première période française On purge bébé (1931) · La Chienne (1931) · La Nuit du carrefour (1932) · Boudu sauvé des eaux (1932) · Chotard et Cie (1932) · Madame Bovary (1933) · Toni (1935) · Le Crime de monsieur Lange (1936) · Partie de campagne (1936) · La vie est à nous (1936) · Les Bas-fonds (1936) · La Grande Illusion (1937) · La Marseillaise (1938) · La Bête humaine (1938) · La Règle du jeu (1939) Période américaine L'Étang tragique (1941) · Vivre libre (1943) · L'Homme du sud (1945) · Le Journal d'une femme de chambre (1946) · Salut à la France (1946) · La Femme sur la plage (1947) · Le Fleuve (1951) Deuxième période française Le Carrosse d'or (1953) · French Cancan (1954) · Elena et les Hommes (1956) · Le Testament du docteur Cordelier (1959) · Le Déjeuner sur l'herbe (1959) · Le Caporal épinglé (1962) · Le Petit Théâtre de Jean Renoir (1971) | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 3:01 | |
| Verna Fields, née Hellman, est une monteuse américaine née le 21 mars 1918 à Saint-Louis (Missouri) et morte le 30 novembre 1982 dans le quartier d'Encino à Los Angeles (Californie).
Verna Fields est envoyée par ses parents faire des études en France, avant de rentrer à l'Université de Californie du Sud où elle obtient un diplôme de journalisme.
Elle commence sa carrière en 1943 comme assistante monteuse à Hollywood et à la télévision. Au début des années 1960, elle enseigne le montage à l'Université de Californie du Sud, tout en commençant à travailler comme monteuse1,2.
Dans les années 1970, elle travaille ainsi pour Peter Bogdanovich, George Lucas ou Steven Spielberg. Elle est nommée en 1976 vice-présidente chez Universal Pictures, poste qu'elle tient jusqu'à sa mort en 19821.
Filmographie (sélection) Cinéma 1956 : La Cinquième Victime (While the City Sleeps) de Fritz Lang 1961 : Le Cid (El Cid) d'Anthony Mann 1968 : La Cible (Targets) de Peter Bogdanovich 1969 : Medium Cool d'Haskell Wexler 1972 : On s'fait la valise, Doc ? (What's Up, Doc?) de Peter Bogdanovich 1973 : American Graffiti de George Lucas 1974 : Sugarland Express (The Sugarland Express) de Steven Spielberg 1975 : Les Dents de la mer (Jaws) de Steven Spielberg Télévision 1956-1959 : Sky King (42 épisodes) 1960-1961 : Au nom de la loi (25 épisodes) Distinctions La société des Motion Picture Sound Editors a créé à son nom un prix à destination des étudiants en montage son : le Verna Fields Award (en) Récompenses Oscars 1976 : Oscar du meilleur montage pour Les Dents de la mer 1981 : Women in Film Crystal Award Nominations Oscars 1974 : Oscar du meilleur montage pour American Graffiti BAFTA 1976 : BAFA du meilleur montage pour Les Dents de la mer
HOMMAGE De Y'becca | |
| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 3:02 | |
| Toutes les Petites filles n'ont pas la chance d'avoir un Papa aussi enclin à ne pas transformer sa fille en homme. Il la désigne comme femme et l'inscrit dans l'histoire en tant que femme. LADY OSCAR. Citoyen Tignard Yanis.
La Jeune fille et son Aigle (titre original: The Eagle Huntress) est un film documentaire américano-britanno-mongol de 2016 réalisé par Otto Bell, produit par Morgan Spurlock et narré par Daisy Ridley1.
Résumé[ La Jeune fille et son Aigle suit Aisholpan, jeune fille kazakh de Mongolie âgée de 13 ans, dans son parcours pour devenir le premier chasseur à l'aigle féminin de son pays. Elle fait partie d'une famille de nomades qui passe l'été dans une yourte dans les montagnes de l'Altaï et l'hiver dans une maison en ville. Les hommes de sa famille sont chasseurs à l'aigle depuis sept générations2 et elle veut suivre leurs pas.
Avec l'aide de son père Nurgaiv, elle apprend à dresser des aigles royaux, puis capture et entraîne son propre aiglon. Malgré le scepticisme et la réprobation qu'elle doit affronter de la part d'une communauté exclusivement masculine, elle devient le premier chasseur féminin à participer au championnat du Festival annuel des Aigles royaux, qu'elle remporte, son aiglon ayant pulvérisé le record de vitesse d'une des épreuves.
Après la compétition, elle franchit la dernière étape de sa formation de chasseuse à l'aigle en voyageant durant l'hiver avec son père vers les montagnes, afin de chasser le renard tout en bravant la neige abondante et le froid extrême. Après quelques premiers échecs, son aiglon réussit à tuer son premier renard, après quoi Aisholpan rentre chez elle.
Les dialogues du film sont en langue kazakhe et la narration en anglais.
Musique[ La chanteuse Sia a participé à la bande-son du film avec une chanson originale Angel by the Wings, sortie dans le monde entier le 2 décembre 20163,4,5.
Sortie[ La Jeune fille et son Aigle est sorti en avant-première au Festival du film de Sundance 2016, où les droits ont été rachetés par Sony Pictures Classics pour les États-Unis et par Altitude Film Distribution pour le Royaume-Uni. La distribution internationale a ensuite été gérée par Sony Pictures Worldwide Acquisitions. Suite à l'avant-première du film, la co-productrice exécutive Daisy Ridley a donné son accord pour ajouter une narration, d'une durée cumulée d'environ cinq minutes sur 87 au total6.
Polémique[ Le film a suscité une controverse après sa sortie, certains critiques suggérant que des parties du documentaires aient été mises en scène. Un témoin a remarqué que la scène où Aisholpan s'entraîne pour le Festival des Aigles a en réalité été filmée trois jours plus tard pendant une séance de tournage de 4 heures. Parmi d'autres choses, les critiques arguent que le film exagère l'opposition à laquelle Aisholpan a dû faire face en tant que chasseuse et indiquent que d'autres femmes et jeunes filles se sont entraînées dans cette discipline auparavant7. Malgré une sélection pour l'Oscar du Meilleur Documentaire, le film a été retiré de la compétition ; il n'a pas non plus remporté de prix aux BAFTA 2017 où il faisait partie des œuvres en tête.
Articles connexes Berkutchi (chasse avec aigle) Références[modifier | modifier le code] ↑ (en) « Mongolia's Teen Eagle Huntress Deserves to Be the Next Elsa » [archive], sur Nymag.com (consulté le 4 novembre 2016) ↑ (en) Barbara J. King, « Teenage 'Eagle Huntress' Overturns 2,000 Years Of Male Tradition » [archive], sur NPR, 28 janvier 2016 ↑ (en) Lars Brandle, « Sia Records ‘Angel By The Wings’ for New Film ‘The Eagle Huntress’: Exclusive » [archive], Billboard, 20 janvier 2016 (consulté le 4 novembre 2016) ↑ (en) Seth Kelley, « ‘The Eagle Huntress’ Trailer: Daisy Ridley Narrates the Documentary » [archive], Variety, 5 août 2016 (consulté le 4 novembre 2016) ↑ (en) Stephanie Eckardt, « The Incredible Story Behind the Film "The Eagle Huntress" » [archive], W Magazine, 25 octobre 2016 (consulté le 4 novembre 2016) ↑ Guerrasio, Jason. "How a movie about eagle hunting nabbed a Star Wars lead actor and a chart-topping singer" [archive], Business Insider, 2016-09-24, Retrieved 2016-11-04. ↑ (en) Stephen Mulvey, « Is The Eagle Huntress really a documentary? », BBC News, 6 février 2016 (lire en ligne [archive]) Liens externes[ (en) La Jeune fille et son Aigle [archive] sur l’Internet Movie Database La Jeune fille et son Aigle [archive] sur Allociné (en) The Eagle Huntress [archive] sur Rotten Tomatoes The Eagle Huntress – Soaring Cinematography Featurette [archive]
et
UN HOMME, UN MEC... Keith Carradine est un acteur, compositeur et producteur américain né le 8 août 1949 à San Mateo (Californie).
Biographie[modifier | modifier le code] Keith Carradine est issu d'une famille d'acteurs. Il est le fils de John Carradine, le frère de Robert Carradine et le demi-frère de David Carradine. Dès 14 ans, il développe des talents de musicien. Pendant ses études, le théâtre a été une de ses occupations.
En 1969, il auditionne pour la comédie musicale Hair, et se retrouve à Broadway pour un an de représentations.
Keith Carradine est le père de l'actrice Martha Plimpton, née de sa relation avec la comédienne et chanteuse Shelley Plimpton, créatrice de Hair.
Carrière[modifier | modifier le code] Il commence sa carrière d'acteur de cinéma en 1970 avec Dialogue de feu.
En 1971, il joue dans John McCabe sous la direction de Robert Altman.
Pour le film Nashville en 1975, il reçoit le Golden Globe et l'Oscar de la meilleure chanson originale. Après Les Duellistes de Ridley Scott (1977), Keith Carradine accompagne le premier grand rôle de Brooke Shields dans La Petite.
En 2002, il prête sa voix à un personnage de Les Rois du Texas (King of the Hill).
En 2004, il obtient un rôle dans la première saison de Deadwood. La même année jusqu'en juin 2005, il incarne un père de famille dans la sitcom de Mel Gibson, Les Sauvages, jusqu'à l'annulation de la série.
En 2006, il joue dans Dexter (saison 2) le rôle d'un agent du FBI, puis l'acteur réapparait dans la saison 4 de cette même série.
En 2012, il prête sa voix à Blake Dexter, l'un des personnages principaux du jeu Hitman: Absolution.
Filmographie Cinéma[ Films] 1971 : John McCabe (McCabe and Mrs Miller) de Robert Altman : un cowboy 1971 : Dialogue de feu (Gunfight) de Lamont Johnson : le jeune pistolero 1973 : L'Empereur du Nord (Emperor of the North Pole) de Robert Aldrich : Cigaret 1973 : Idaho Transfer de Peter Fonda : Arthur 1973 : Hex de Leo Garen : Whizzer 1974 : Antoine et Sébastien de Jean-Marie Périer : John 1974 : Nous sommes tous des voleurs (Thieves Like Us) de Robert Altman : Bowie 1974 : Arrivano Joe e Margherito de Giuseppe Colizzi : Joe 1975 : You and Me de David Carradine : l'homme mort 1975 : Nashville de Robert Altman : Tom Frank 1976 : Lumière de Jeanne Moreau : David 1976 : Bienvenue à Los Angeles (Welcome to L.A.) d'Alan Rudolph : Carroll Barber 1977 : Les Duellistes (The Duellists) de Ridley Scott : d'Hubert 1978 : La Petite (Pretty Baby) de Louis Malle : Bellocq 1978 : Sergeant Pepper's Lonely Hearts Club Band de Michael Schultz : un invité à Heartland 1979 : Old Boyfriends de Joan Tewkesbury : Wayne Van Til 1979 : Un scandale presque parfait (An Almost Perfect Affair) de Michael Ritchie : Hal Raymond 1980 : Le Gang des frères James (The Long Riders) de Walter Hill : Jim Younger 1981 : Sans retour (Southern Comfort) de Walter Hill : Pfc. Spencer 1984 : Choose Me d'Alan Rudolph : Mickey 1984 : Maria's Lovers d'Andreï Kontchalovski : Clarence Butts 1985 : Wanda's Café (Trouble in Mind) d'Alan Rudolph : Coop 1986 : L'Enquête (L'inchiesta) de Damiano Damiani : Tito Valerio Tauro 1988 : The Moderns d'Alan Rudolph : Nick Hart 1988 : Backfire de Gilbert Cates : Reed 1989 : Cold Feet de Robert Dornhelm : Monte Latham 1989 : Sans espoir de retour (Street of No Return) de Samuel Fuller : Michael 1990 : Mio caro dottor Gräsler de Roberto Faenza : Dr Emil Gräsler 1990 : Daddy's Dyin'... Who's Got the Will? (en) de Jack Fisk : Clarence 1990 : Madonna: The Immaculate Collection de Michele Ferrone et 7 autres réalisateurs : le petit ami1 (segment Material Girl) 1991 : The Ballad of the Sad Café de Simon Callow : Marvin Macy 1992 : Rabbit Ears: Annie Oakley : le narrateur (court métrage, voix originale) 1992 : CrissCross de Chris Menges : John Cross 1994 : André, mon meilleur copain (Andre) de George Miller : Harry Whitney 1994 : Mrs Parker et le cercle vicieux (Mrs. Parker and the Vicious Circle) d'Alan Rudolph : Will Rogers 1995 : Les Liens du sang (The Tie That Binds) de Wesley Strick : John Netherwood 1995 : Wild Bill de Walter Hill : Buffalo Bill Cody 1996 : Deux jours à Los Angeles (2 Days in the Valley) de John Herzfeld : inspecteur Creighton 1997 : Secrets (A Thousand Acres) de Jocelyn Moorhouse : Ty Smith 1998 : Standoff d'Andrew Chapman : Zeke Clayton 1999 : The Hunter's Moon de Richard Weinman : Turner1 1999 : Out of the Cold d'Aleksandr Buravskiy : Dan Scott 2001 : Cahoots de Dirk Benedict : Matt 2001 : Wooly Boys de Leszek Burzynski : le shérif Hank Dawson 2002 : Fálkar de Friðrik Þór Friðriksson : Simon 2002 : The Angel Doll d'Alexander Johnston : Jerry Barlow adulte 2003 : The Adventures of Ociee Nash de Kristen McGary : Papa George Nash 2005 : Our Very Own de Cameron Watson : Billy Whitfield 2005 : The Californians de Jonathan Parker : Elton Tripp 2007 : Elvis and Annabelle de Will Geiger : Jimmy 2007 : Kill Bobby Z de John Herzfeld : Johnson 2007 : All Hat de Leonard Farlinger : Pete Culpepper 2008 : Lake City de Hunter Hill et Perry Moore : Roy 2009 : Winter of Frozen Dreams de Eric Mandelbaum : inspecteur Lulling 2009 : Madonna Celebration: The Video Collection de Fabien Baron et 29 autres réalisateurs : le petit ami1 (segment Material Girl) 2010 : Le Secret de Peacock (Peacock) de Michael Lander : Ray Crill 2011 : Cowboys et Envahisseurs (Cowboys and Aliens) de Jon Favreau : le shérif John Taggart 2011 : The Family Tree de Vivi Friedman : le révérend Diggs 2013 : Les Amants du Texas (Ain't Them Bodies Saints) de David Lowery : Skerritt 2014 : Rodéo Princess 2 : L'Été de Dakota (Dakota's Summer) de Timothy Armstrong : Austin Rose 2014 : Terroir de John Jopson : Jonathan Bragg 2015 : Bereave de Evangelos et George Giovanis : Victor Prochainement 2016 : A Quiet Passion de Terence Davies : père Edward Dickinson2 (en tournage2) Films d'animation[modifier | modifier le code] 2004 : Hair High de Bill Plympton : JoJo (voix originale) 2004 : Balto 3 : Sur l'aile du vent (Balto III: Wings of Change) de Phil Weinstein : Duke1 (voix originale) Télévision Téléfilms 1972 : Man on a String de Joseph Sargent : Danny Brown 1974 : L'Enfant du désert (The Godchild) de John Badham : lieutenant Lewis 1980 : Rumeurs de guerre (en) (A Rumor of War) de Richard T. Heffron : lieutenant Murphy McCoy 1984 : Scorned and Swindled de Paul Wendkos : John Boslet 1985 : Blackout de Douglas Hickox : Allen Devlin 1986 : A Winner Never Quits (en) de Mel Damski : Pete Gray 1986 : Half a Lifetime de Daniel Petrie : J. J. 1987 : Murder Ordained de Mike Robe : Trooper John Rule 1987 : Au nom de l'amour (Eye on the Sparrow) de John Korty : James Lee 1988 : Stones for Ibarra de Jack Gold : Richard Everton 1988 : La Mort à retardement (My Father, My Son) de Jeff Bleckner : lieutenant Elmo Zumwait III 1989 : The Revenge of Al Capone de Michael Pressman : Michael Rourke 1989 : The Forgotten de James Keach : le capitiaine Tom Watkins 1990 : Judgment de Tom Topor : Pete Guitry 1991 : The Will Rogers Follies de Walter C. Miller : Will Rogers 1991 : Dette de sang (Payoff) de Stuart Cooper : Peter « Mac » McAllister 1992 : Lincoln de Peter W. Kunhardt et James A. Edgar : William Herndon (documentaire, voix) 1994 : In the Best of Families: Marriage, Pride and Madness de Jeff Bleckner : Tom Lynch3 1994 : Is There Life Out There de David Hugh Jones : Brad 1995 : Accusée d'amour (Trial By Fire) d'Alan Metzger : Owen Turner 1996 : Special Report: Journey to Mars de Robert Mandel : le capitaine Eugene T. Slader 1997 : La Promesse (Keeping the Promise) de Sheldon Larry : William « Will » Hallowell 1997 : Last Stand at Saber River de Dick Lowry : Vern Kidston 1999 : L'Amour égaré (Night Ride Home) de Glenn Jordan : Neal Mahler 1999 : Illégitime défense (Sirens) de John Sacret Young : officier Dan Wexler 1999 : Les Yeux du cœur (A Song from the Heart) de Marcus Cole : Oliver Comstock 1999 : Hard Time : Prise d'otages (Hard Time: Hostage Hotel) de Hal Needham : le caporal Arlin Flynn 2000 : Metropolis de Michael M. Robin : Quincy 2000 : Ensclavement: The Truth Story of Fanny Kemble de James Keach : Pierce Butler 2000 : Un intrus dans la famille (Baby) de Robert Allan Ackerman : John Malone 2001 : À la poursuite du diamant de Jeru (The Diamond of Jeru) de Ian Barry et Dick Lowry : John Lacklan 2002 : Un mystérieux étranger (The Outsider) de Randa Haines : Noah Weaver 2003 : Monte Walsh de Simon Wincer : Chester « Chet » Rollins 2003 : Coyote Waits de Jan Egleson : John McGinnis 2006 : Ma grand-mère est riche (Where There's a Will) de John Putch : le shérif Clifford Laws 2012 : The Tin Star : Frank Sarr Séries télévisées[modifier | modifier le code] 1971 : Bonanza : Em (saison 13, épisode 3) 1972-1973 : Kung Fu : Middle Caine adolescent (2 épisodes, non crédité) 1973 : Love, American Style : George Pomerantz (saison 4, épisode 19 - segment Love and the Anniversary) 1983 : Chroniques policières (en) (Chiefs) : Foxy Funderburke (3 épisodes) 1989 : Confessional : Liam Devline (4 épisodes) 1996 : Lonesome Dove : Les Jeunes Années (Dead Man's Walk) : Bigfoot Wallace (mini-série de 3 épisodes)) 1997 : Expériences interdites (Perversions of Science) : Arthur Bristol (saison 1, épisode 1) 1997-1998 : Fast Track : Dr Richard Beckett (23 épisodes) 1999 : Outreach : Dr Vincent Shaw (épisode(s) inconnu(s)) 2002 : American Experience : le narrateur (documentaire, voix originale - saison 14, épisode Cool 2002 : Frasier : Caller Carl (saison 9, épisode 22) 2002 : Arliss (Arli$$) : Lamar Scott (saison 7, épisode 2) 2002 : Street Time (it) : Frank Dugan (3 épisodes) 2003 : Star Trek: Enterprise (Enterprise) : A. G. Robinson (saison 2, épisode 24) 2003 : Les Nouvelles Aventures de Spider-Man (Spider-Man) : J. Jonah Jameson (animation, voix originale - 5 épisodes) 2004 : Deadwood : Wild Bill Hickok (5 épisodes) 2004-2005 : Les Sauvages (Complete Savages) : Nick Savage (19 épisodes) 2005 : Into the West : le capitaine William H. Pratt (saison 1, épisode 5) 2007 : American Masters : le narrateur (documentaire, voix originale - saison 21, épisode 1) 2007 : Esprits criminels (Criminal Minds) : Frank Breitkopf (2 épisodes) 2007 et 2009 : Dexter : agent spécial Frank Lundy (15 épisodes) 2008 : Numb3rs (série) : Carl McGowan (3 épisodes) 2009 : New York, police judiciaire (Law and Order) : Martin Garvik (saison 19, épisode 16) 2009 : Crash : Owen (2 épisodes) 2009 : Dollhouse : Matthew Harding (3 épisodes) 2010 : Damages : Julian Decker (5 épisodes) 2010 / 2015 / 2016 : The Big Bang Theory : Wyatt, le père de Penny (saison 4, épisode 9 / saison 9, épisode 3 / saison 10, épisode 1) 2012 : Missing : Au cœur du complot (Missing) : Martin Newman (7 épisodes) 2014 : Following (The Following) : Barry (saison 2, épisode 1) 2014 : Raising Hope : Colt Palomino (saison 4, épisode 15) 2014 : NCIS : Enquêtes spéciales (NCIS) : Mannheim Gold (saison 11, épisode 17) 2014-2015 : Fargo : Lou Solverson (9 épisodes) 2014-2015 : Madam Secretary : le président Conrad Dalton (21 épisodes) Jeu vidéo[modifier | modifier le code] 2012 : Hitman: Absolution : Blake Dexter (voix originale) Comme compositeur] 1975 : Nashville 1979 : The Carradines Together (documentaire) 2003 : Monte Walsh (téléfilm) Comme producteur] 1989 : The Forgotten (téléfilm) 2014 : Terroir 2016 : Ray Meets Helen Voix françaises En France, Edgar Givry est la voix française la plus fréquente de Keith Carradine4,5. Thierry Mercier6 et Christian Cloarec5 l'ont également doublé à trois reprises chacun. | |
| | | yanis la chouette
Nombre de messages : 15889 Localisation : http://yanis.tignard.free.fr Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: PORTLAND DE L'OREGON AU MAINE, LES ROUGES ET Y'BECCA Ven 21 Avr à 3:02 | |
| Le Chant de Hiawatha
CHANT DES MOUETTES DEPUIS LES DE L'EST À L'OUEST OU DE L'OUEST À L'EST. REJOINT L'OBSCUR LIBERTÉ ET LA DIVINE OBSCURITÉ: LA CONSCIENCE.
Le Chant de Hiawatha (Titre original : The Song of Hiawatha) est un poème épique en vers libres de Henry Wadsworth Longfellow, et est symbolique de la littérature américaine d'inspiration indienne du xixe siècle. Le poème, qui évoque la vie d'un Indien du nom de Hiawatha, puise ses références dans les légendes et les histoires des tribus indiennes nord-américaines, particulièrement celles des Ojibwés du Michigan du Nord, du Wisconsin, et du Minnesota, réunies dans l'ouvrage Algic Researches and History, Condition and Prospects of the Indian Tribes of the United States de l'historien américain Henry Rowe Schoolcraft, explorateur pionnier et ethnographe. Il était de 1836 à 1841 responsable des affaires indiennes pour le Michigan.
Henry Longfellow a commencé l'écriture du poème le 25 juin 1854, l'a terminé le 29 mars 1855, et le poème fut publié le 10 novembre de la même année. Dès que le poème fut sorti, il devint très vite un succès auprès du public.
Ce poème a, plus ou moins, inspiré les 2e et 3e mouvement de la Symphonie du Nouveau Monde d'Antonín Dvořák. Dans un article publié le 15 décembre 1893 dans le New York Herald Tribune, Antonín Dvořák indique qu'il considère le deuxième mouvement comme « une étude pour une future œuvre, soit une cantate ou un opéra ... qui sera basée sur The Song of Hiawatha de Longfellow » (il n'écrivit jamais cette œuvre). Il précise également que le troisième mouvement scherzo est « inspiré d'une scène de fête dans Hiawatha pendant laquelle les indiens dansent ».
De larges extraits de ce poème sont chantés dans la deuxième partie de l'album Incantations de Mike Oldfield. Le final (Hiawatha's departure) est d'abord chanté, avec quelques modifications dans le texte, suivi d'un extrait plus court de la partie XII (The Son of the Evening Star).
Le poème a été adapté au cinéma en 1909 par William V. Ranous.
LE CHANT DES MOUETTES DEPUIS LES PORTLAND DE L'EST À L'OUEST OU DE L'OUEST À L'EST... TREMBLE LOKI , TON FILS FENRIR REJOINT L'OBSCUR LIBERTÉ ET LA DIVINE OBSCURITÉ PRÉNOMMÉE LA CONSCIENCE...
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