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| Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice | |
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yanis la chouette
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| Sujet: Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice Jeu 2 Mar à 3:11 | |
| Une belle interprétation des lois antiques de la République Française qui en est la gardienne aux yeux des droits qui nous lient à la vénérable principauté d'Andorre, allié de l'Honorable Vatican... Quand on parle de moralité et de droit, messieurs les portes paroles de François Fillon, de Benoit Hamon, de Emmanuel Macron et de Le Pen Marine... On apprends que le droit français est lié par le pacte des Pyrénées et de notre promesse qui nous lie à la sauvegarde de l'intégrité morale et physique de la principauté de l'Andorre...
Clitandre est la deuxième pièce de théâtre de Pierre Corneille, tragi-comédie écrite en 1630. La pièce est dédiée au duc de Longueville qui aida les débuts du jeune Corneille, petit-fils de son bailli de Longueville1. Corneille la modifiera à de très nombreuses reprises, notamment en 1660, à l'occasion des différentes rééditions afin de l'adapter au genre de la tragédie, davantage en phase avec l'évolution de son siècle qui tend vers un raffinement des mœurs2.
La pièce n'est entrée au répertoire de la Comédie-Française qu'en 1996, dans une mise en scène de Muriel Mayette. L'immense complexité de l'intrigue justifie que la Comédie-Française ait mis autant de temps.
Pierre Corneille a écrit lui-même quelques remarques critiques sur son œuvre :
« Pour la constitution elle est si désordonnée que vous avez de la peine à deviner qui sont les premiers acteurs. Rosidor et Caliste sont ceux qui paraissent le plus par l'avantage de leur caractère et de leur amour mutuel ; mais leur action finit dès le premier acte avec leur péril, et ce qu'ils disent au troisième et cinquième ne fait que montrer leurs visages, attendant que les autres achèvent... Clitandre autour de qui semble tourner le nœud de la pièce, puisque les premières actions vont à le faire coupable et les dernières à le justifier, n'en peut être qu'un héros bien ennuyeux qui n'est introduit que pour déclamer en prison, et ne parle pas même à cette maîtresse, dont les dédains servent de couleur à le faire passer pour criminel. Tout le cinquième acte languit... Les monologues sont trop longs et trop fréquents en cette pièce ; c'était une beauté en ce temps-là. Les comédiens les souhaitaient et croyaient y paraître avec plus d'avantage ».[réf. souhaitée] Sur les autres projets Wikimedia : Clitandre, sur Wikisource Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Arlette Lebigre, La duchesse de Longueville, Perrin 2004 p.59 ↑ Cinna, de Pierre Corneille, folioplusclassique, dossier de Eve-marie Rollinat-Levasseur, pages 124-125
BATTLESTAR GALACTICA - Générique https://www.youtube.com/watch?v=ZgPzScen0O8
La Veuve (ou Le Traître trahi) est la troisième pièce de Pierre Corneille, c'est une comédie en cinq actes et en vers écrite en 1632. Elle est publiée en 1634 par François Targa ; le privilège est du 9 mars, l'achevé d'imprimé est du 13 mars.
Probablement jouée au Théâtre du Marais par la troupe de Montdory, elle reçut un très bon accueil du public. Cet accueil est illustré par une série de poèmes laudateurs écrits par des contemporains, et reproduits dans l'édition de 1634 : parmi les signataires on note Georges de Scudery, Jean Mairet, Jean Rotrou, Pierre Du Ryer, François le Métel sieur de Boirobert, Antoine le Metel sieur D'ouville, Jean Claveret, Pierre de Marbeuf.
Personnages[modifier | modifier le code] Philiste, amant de Clarice Alcidon, ami de Philiste et amant de Doris Célidan, ami d'Alcidon et amoureux de Doris Clarice, veuve d'Alcandre et maîtresse de Philiste Chrysante, mère de Doris Doris, sœur de Philiste La nourrice de Clarice Géron, agent de Florange, amoureux de Doris, qui ne paraît point Lycaste, domestique de Philiste Polymax, Doraste, Listor, domestiques de Clarice Argument de Pierre Corneille (édition 1682)[modifier | modifier le code] « Alcidon, amoureux de Clarice, veuve d'Alcandre et maîtresse de Philiste, son particulier ami, de peur qu'il s'en aperçut, feint d'aimer sa sœur Doris, qui, ne s'abusant point par ses caresses, consent au mariage de Florange, que sa mère lui propose. Ce faux ami, sous un prétexte de se venger, de l'affront que lui faisait ce mariage, fait consentir à Célidan à enlever Clarice en sa faveur, et ils la mènent ensemble à un château de de Célidan. Philiste, abusé des faux ressentiments de son ami, fait rompre le mariage de Florange : sur quoi Célidan conjure Alcidon de reprendre Doris, et rendre Clarice à son amant. Ne l'y pouvant résoudre, il soupçonne quelque fourbe de sa part, et fait si bien qu'il tire les vers du nez à la nourrice de Clarice, qui avait toujours eu une intelligence avec Alcidon, et lui avait même facilité l'enlèvement de sa maîtresse; ce qui le porte à quitter le parti de ce perfide: de sorte que, ramenant Clarice à Philiste, il obtient de lui en récompense sa sœur Doris. »
Une belle interprétation des lois antiques de la République Française qui en est la gardienne aux yeux des droits qui nous lient à la vénérable principauté d'Andorre, allié de l'Honorable Vatican... Quand on parle de moralité et de droit, messieurs les portes paroles de François Fillon, de Benoit Hamon, de Emmanuel Macron et de Le Pen Marine... On apprends que le droit français est lié par le pacte des Pyrénées et de notre promesse qui nous lie à la sauvegarde de l'intégrité morale et physique de la principauté de l'Andorre...
Tite et Bérénice est une pièce de théâtre de Pierre Corneille représentée au Théâtre du Palais-Royal le 28 novembre 1670.
Inspirée de la Rome antique, plus particulièrement de l’histoire d’amour unissant l’empereur Tite à la reine judéenne Bérénice, cette pièce est contemporaine de la Bérénice de Jean Racine, représentée à l’Hôtel de Bourgogne. La comparaison de ces deux tragédies inspirées par le même sujet se fit au détriment de celle de Corneille, dont c’est l’une des dernières pièces.
Personnages Tite , empereur de Rome, et amant de Bérénice ; Domitian, frère de Tite, et amant de Domitie ; Bérénice, reine d’une partie de la Judée ; Domitie, fille de Corbulon ; Plautine, confidente de Domitie ; Flavian, confident de Tite ; Albin, confident de Domitian ; Philon, ministre d’état, confident de Bérénice. Argument Tite avait exilé Bérénice dans le but de calmer le peuple romain qui voyait d’un mauvais œil l’union de l’empereur avec une reine. Il doit maintenant épouser Domitie qui aime d’un amour réciproque Domitian, le frère de Tite. Bérénice revient à Rome en apprenant le mariage prochain de Tite et lui demande d’y renoncer. Domitian, dans un but vengeur, demande à Bérénice de l’épouser, cette dernière refuse et croit que Tite est l’unique responsable d’une telle demande. Elle court voir Tite qui est déjà anéanti et lui accorde toutes ses demandes : il n’épousera pas Domitie. Par contre, Tite la donnera en mariage, à la dernière scène de l’acte V, à son frère. Bérénice s’exilera de Rome à jamais et Tite règnera seul sur Rome.
Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : Tite et Bérénice, sur Wikisource Les représentations de Tite et Bérénice aux xviie et xviiie siècles
Une Grande Histoire d'Amour et de Politique...
Pierre Corneille et Jean Racine...
Ecrit de TAY La chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice Jeu 2 Mar à 3:15 | |
| Buck Rogers Original Intro https://www.youtube.com/watch?v=77H5nHdcyQM
inspiré des oeuvres de Corneille Pierre et de son Adversaire et ami, Racine Jean
Médée (1635) dans la carrière de Pierre Corneille Après avoir redonné ses lettres de noblesse à la comédie, Corneille s'engage dans la tragédie avec la création de Médée. Cette tragédie est représentée pour la première fois en 1635 par la troupe du Marais, rivale de celle du théâtre de l'hôtel de Bourgogne. Lors de sa représentation, au théâtre du Marais, le succès de la pièce de théâtre est mitigé. D'ailleurs, la représentation de Médée fait suite à la démission de Corneille du groupe des « cinq auteurs ». Le dramaturge ne possède donc plus la protection de Richelieu qui, rancunier, accueille cette première tragédie cornélienne d'un mauvais œil. Médée est publiée quatre ans après sa première représentation, en 1639.
Médée est une tragédie en cinq actes écrite par Pierre Corneille en 1635.
Médée (1635) : entre baroque et classicisme La Médée de Corneille oscille entre tonalité baroque et tonalité classique. Elle incarne ces deux mouvements à la fois et révèle des problématiques esthétiques majeures du xviie siècle qui se complètent et s'opposent. Créée en 1635, elle se trouve dans une époque charnière où l’inspiration baroque reste majeure (La Vie est un songe, de Calderon, monument du théâtre baroque, paraît la même année) mais où déjà le mouvement régulier tente de s'imposer, sous l'influence des doctes comme Chapelain, et Scudéry. Ce n'est cependant qu'après la querelle du Cid que les pièces de Corneille commenceront à correspondre à ce que le xixe siècle a appelé le classicisme, en adoptant autant que possible les règles prescrites par les doctes et les réguliers.
Le mouvement et la démesure baroque Dans Médée, le spectaculaire s'impose à travers divers éléments. Tout d'abord, la pièce de théâtre est empreinte de merveilleux, élément qui implique une mise en scène adaptée. Médée possède des pouvoirs magiques qui lui permettent de concocter des charmes ou encore d'ouvrir, à l'aide de sa « baguette », la porte de la prison où Égée est retenu prisonnier. Ces éléments impliquent que des stratagèmes ont été mis en place sur scène pour retranscrire le merveilleux. Le deus ex machina final en est la preuve.
Médée est aussi à placer dans une approche baroque car elle possède un goût prononcé pour la violence et le macabre. En effet, les meurtres se font sur scène et les personnages meurent lentement et dans d'atroces souffrances.
Les trois unités dans Médée L'unité de temps Dans Médée, cette règle est respectée. Créon accorde en effet un jour à Médée, durant lequel elle doit quitter la ville pendant que le mariage de Jason et Créuse est prononcé : « De grâce ma bonté te donne un jour entier » (II, 2, v.504). Nous voyons ainsi que l'intrigue théâtrale est construite par rapport à la règle de l'unité de temps qui est introduite naturellement dans la réplique. La règle devient un geste de clémence de la part de Créon.
L'unité d'action L'action principale de Médée est la vengeance face à l'infidélité de Jason. Le mariage en est la cause. La libération d’Égée, quant à elle, assure le futur de Médée : elle trouvera en son royaume une retraite sûre. La vengeance de Médée se fait par étapes, mais le but n'est jamais oublié. Toutes les actions de l'héroïne tragique la mènent inéluctablement vers sa vengeance : elle empoisonne la robe que Créuse réclame, elle tue tout ce qui la relie à Jason, y compris ses deux enfants. Toutes les actions de Médée sont donc nécessaires.
L'unité de lieu Corneille ne tient pas compte de l'unité de lieu. Il insère divers décors comme la grotte, le palais ou encore la prison. Cette entorse à l'unité de lieu rend Médée davantage baroque.
Corneille après Euripide et Sénèque Corneille s'inspire de la pièce de Sénèque et de la pièce d'Euripide tout en y apportant de nombreuses modifications personnelles.
Le développement et l'ajout de personnages Tout d'abord, Corneille a inséré quelques éléments nouveaux notamment au niveau des personnages. Le dramaturge ajoute, par exemple, le personnage d'Égée. Cet ajout est une inspiration de la Médée d'Euripide. Toutefois, Corneille étoffe davantage ce personnage en le rendant amoureux de Créuse. Cet amour est à sens unique. Égée permet de créer, avec Jason et la princesse, un triangle amoureux qui complexifie l'intrigue. Le dramaturge insère ensuite des personnages nouveaux. Nous pouvons citer Créuse qui possède alors un véritable rôle sur scène. Elle n'est plus seulement un objet ou simplement citée. Ensuite, Corneille crée le personnage de Pollux qu'il établit comme étant l'ami et le confident de Jason. Ces changements permettent à l'auteur d'atténuer la culpabilité de Médée par rapport à Sénèque. En effet, ces personnages apportent une diversité de points de vue sur l'héroïne tragique. Ainsi, il est plus délicat pour le spectateur de condamner Médée. Dans l’œuvre de Sénèque, le spectateur est obligé de la condamner. Chez Corneille, ce choix devient plus difficile car il a en sa possession une multitude d'opinions. Enfin, autre détail, il nomme la « Nourrice » – nom chez Sénèque – Nérine. La création et l'insertion de nouveaux personnages vont dans le sens d'une tragédie plus « psychologique ».
L'insertion ou la suppression de péripéties Corneille insère aussi des péripéties qui complexifient les événements menant aux crimes finaux et permettent de justifier la vengeance de Médée et donc d'atténuer ainsi sa culpabilité. Son crime devient plus supportable, moins horrifiant que celui de Sénèque. Tout d'abord, la première péripétie rajoutée par Corneille est le fait que ce soit Créon qui enlève ses enfants à Médée afin de les mettre sous la garde de sa fille Créuse. Ensuite, Créuse exige la robe de Médée, seul bien qu'elle possède depuis sa fuite de Colchide. Ce n'est pas Médée qui la lui donne délibérément. Corneille fait donc moins agir Médée ; ce sont les autres personnages qui font avancer l'intrigue. Ces actes justifient donc en partie la vengeance de Médée. Ainsi, à la différence de Sénèque, Médée n'est plus haïe dans sa totalité, le lecteur est partagé. Une autre invention majeure concerne la mort de Jason. En effet, ce dernier se suicide sur scène. Chez Sénèque, tout comme dans le mythe, Jason ne meurt pas à la suite de ces événements. Cette invention augmente le pathétique de la tragédie.
À la différence de Sénèque, Corneille ne montre pas sur scène l'infanticide. Celui-ci est commis hors-scène, tandis que les deux meurtres (ceux de Créon et Créuse) sont effectués sur scène, aux yeux de tous. L'infanticide est moralement plus condamnable que le meurtre parce que le coupable tue sa descendance, une partie de lui-même. Corneille a donc préféré faire preuve de bienséance sur ce point.
Bibliographie Pierre Corneille, Médée [Paris, François Targa, 1639], in Théâtre complet, Paris et Rouen, Augustin Courbet, 1660, tome 1. Édition moderne par Nathalie Lebailly et Matthieu Gamard, Paris, Éditions Magnard, 2008. Sénèque, Médée [c. 63 apr. J.-C.], traduction en prose par Michel de Marolles, in Les Tragédies de Sénèque, Paris, Pierre Lamy, 1659, tome 1, p. 2-52. Édition moderne et traduction par Charles Guittard, Paris, Flammarion, 1997. Emmanuel Caquet, Leçon littéraire sur Médée de Sénèque, Paris, PUF, Major Petit Format, 1997. François Jouan, « La Figure de Médée chez Euripide, Sénèque et Corneille », Cahiers du Groupe interdisciplinaire du théâtre antique, 1986, no 2, p. 1-17. Jean Rousset, La Littérature de l'âge baroque en France : Circé et le paon, Paris, Librairie José Corti, 1968. Normand Doiron, « La vengeance d'une déesse. La Médée de Pierre Corneille », Poétique, 3/2012, no 171, p. 321-336 Filmographie[modifier | modifier le code] Cornelia Geiser et Bertrand Brouder, Des Yeux à lire dans mon âme [archive], la Médée de Corneille filmée dans le Quartier de Beaugrenelle de Paris.
Ainsi
La Toison d'or est une pièce de théâtre de Corneille racontant les péripéties d'un jeune Athénien. Cette œuvre connut un grand succès et évoque, entre autres, le mythe d'Orphée.
Dans la mythologie grecque, Jason, fils d'Éson (roi d'Iolcos en Thessalie) et d'Alcimède est un héros principalement connu pour sa quête de la toison d'or. Il voit son père dépossédé du trône par son oncle Pélias. Sauvé des vues homicides de Pélias par des amis, il est élevé par le centaure Chiron sur le mont Pélion.
En réinventant une vision propre de lui même, à cette égard, Pierre Corneille devient un père spirituelle de la psychanalyse moderne...
de plus,
La Suite du Menteur est une pièce de théâtre écrite par Pierre Corneille en 1645.
Au lieu d'épouser Lucrèce, Dorante s'est enfui en Italie avec la dot. Mais, depuis deux ans, il s'est corrigé de ses défauts, et s'il lui arrive encore de ne pas dire la vérité, ce sera par délicatesse et par point d'honneur. Dorante, revenant d'Italie, est arrêté à Lyon et emprisonné pour un duel auquel il n'a pas pris part. Il connaît le vrai coupable, Cléandre. Mais sa générosité l'empêche de le nommer. La soeur de Cléandre, Mélisse, touchée de sa belle conduite lui envoie par sa suivante Lyse de l'or et des confitures, et va le voir dans sa prison. Délivré par l'intercession de son ami Philiste. il découvre bientôt que son bienfaiteur est son rival. Il veut renoncer à sa maîtresse; mais, luttant de générosité avec lui, Philiste lui abandonne l'amour de Mélisse. Cette comédie imitée de Amar sin saber a quien (Aimer sans savoir qui), de Lope de Vega, est plus romanesque et moins comique que le Menteur image: http://www.cosmovisions.com/obra.gif
. Elle renferme un passage assez connu sur la sympathie ou la prédestination en amour. Andrieux a remanié cette comédie (Théâtre-Français, oct. 1808); A. Charlemagne a écrit : les Descendants du Menteur, 1805.
Œuvres théâtrales de Pierre Corneille Liste d’œuvres pour le théâtre de Pierre Corneille par ordre chronologique Mélite • Clitandre ou l’Innocence persécutée • La Veuve • La Galerie du Palais • La Suivante • La Place Royale • Médée • L’Illusion comique • Le Cid • Horace • Cinna • Polyeucte • La Mort de Pompée • Le Menteur • Rodogune • La Suite du Menteur • Théodore • Héraclius • Don Sanche d’Aragon • Andromède • Nicomède • Pertharite • Œdipe • La Toison d'or • Sertorius • Sophonisbe • Othon • Agésilas • Attila • Tite et Bérénice • Psyché • Pulchérie • Suréna
Nous examinons vos cas, Madame ou Monsieur le député de Paris et Messieurs les Présidents de la République Française...
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice Jeu 2 Mar à 3:18 | |
| Synopsis[modifier | modifier le code] Acte I – Scène 1: Les Romains, alliés à Massinisse (roi déchu d'un État de Numidie), ont assiégé Cyrthe (capitale de Numidie). Bocchar, lieutenant de Syphax (roi de Numidie), rapporte à Sophonisbe (reine de Numidie, carthaginoise) comment l'arrivée de l'armée de Syphax a arrêté l'avance romaine. Lélius (lieutenant de Scipion) a demandé à parlementer avec Syphax. La paix pourrait être signée, souhaitée par Syphax qui ne pense qu'à son amour pour Sophonisbe. Celle-ci lui fait répondre de penser plus à sa gloire qu'à son amour pour elle.
Scène 2 : Devant l'étonnement de sa dame d'honneur (Herminie), Sophonisbe explique qu'elle fut auparavant fiancée à Massinisse, mais, alors que Massinisse était en Espagne, son père Asdrubal l'avait donnée en mariage à Syphax pour éviter que ce dernier ne fasse alliance avec les Romains. Syphax avait aussitôt annexé le royaume de Massinisse et proposé les deux couronnes à Sophonisbe. Elle avait alors choisi sa grandeur et les intérêts de Carthage, et n'avait pas écouté son cœur. Plus tard, pour satisfaire un fond d'amour pour lui mais aussi parce qu'il lui était agréable de régner sur le cœur de l'amant déchu, elle avait demandé à Syphax de proposer sa sœur à Massinisse qui avait refusé et préféré Éryxe, reine de Gétulie. Syphax, irrité par cet affront, avait alors capturé Eryxe aujourd'hui captive en Numidie. Sophonisbe sait qu'une paix entraînerait le mariage d'Éryxe avec Massinisse, ce qui froisse son orgueil ; alors que si Massinisse gagne, elle se plaît à penser que ce choix forcé d'antan ne l'aura pas aigri et qu'il aura conservé tout son amour pour elle.
Scène 3 : Eryxe entre accompagnée de Barcée, sa dame d'honneur. Elle montre sa joie car elle est convaincue que Syphax va accepter la paix : sinon Rome et Massinisse gagneront la bataille. Dans tous les cas elle sera gagnante et épousera Massinisse. Méthodiquement Sophonisbe s'emploie à tempérer son optimisme. Puis Syphax est annoncé ; Eryxe se retire.
Scène 4 : Syphax est résolu à signer la paix ; les Romains sont prêts à oublier son alliance avec Sophonisbe s'il reste neutre dans leur conflit avec Carthage. Sophonisbe l'accuse alors de montrer de l'ingratitude pour Carthage et met en doute son amour pour elle, alors qu'elle avait renoncé à Massinisse. Elle le menace de retourner mourir à Carthage si les Romains attaquent sa cité. Et si Carthage est vaincue, Syphax sera en danger face à Massinisse allié des Romains. Elle lui conseille d'attaquer pour profiter de l'avantage du nombre et de l'absence de Scipion, et lui promet une aide de Carthage. Ebranlé, amoureux, Syphax accepte.
Acte II – Scène 1 : Syphax a été vaincu. Eryxe n'est plus captive mais sa joie est brisée. Elle sait que Massinisse a promis à Sophonisbe, maintenant captive, qu'il ferait tout pour qu'elle ne soit pas amenée à Rome. Elle est persuadée qu'il a gardé son amour pour elle. Sachant bien qu'une femme jalouse perdrait tout crédit, Eryxe décide de feindre l'indifférence.
Scènes 2 & 3 : Lorsque Massinisse lui annonce qu'il va lui rendre son sceptre, elle feint de s'inquiéter du sort de Sophonisbe. Massinisse reconnait que sa promesse sera difficile à tenir, mais qu'il s'y emploiera à condition d'avoir son consentement. Eryxe accepte avec empressement. Devant Sophonisbe, elle va jusqu'à dire qu'elle consentirait même à ce qu'elle lui dérobe Massinisse.
Scènes 4 & 5 : Massinisse propose à Sophonisbe de l'épouser sur le champ. C'est le seul moyen pour la soustraire aux Romains ; demain sera trop tard car Lélius sera de retour. Sophonisbe se fait prier ; elle assure que cette union ne changera rien à sa haine contre Rome. Seule avec Herminie, elle lui confie que sa plus grande joie est d'enlever Massinisse à Eryxe. De plus, avec le temps, elle ne désespère pas de rallier ce dernier contre Rome.
Acte III – Scènes 1 & 2 : Massinisse a demandé à son lieutenant (Mézétulle) de fermer les portes de la cité et d'aller voir Sophonisbe pour qu'elle se hâte. Eryxe s'approche ; elle feint de n'avoir aucun ressentiment face à la décision de Massinisse. Ce dernier s'offusque, lui fait le reproche de ne l'avoir jamais aimé et de n'avoir eu pour seul intérêt que ses couronnes. Du reste il n'est pas encore sûr que Rome accepte qu'il soit roi. Eryxe le rassure : les Romains accepteront mais elle doute qu'ils acceptent son mariage avec Sophonisbe ; or c'est précisément ce qu'elle veut éviter car ceci serait une atteinte à l'image de la royauté qui pourrait lui ôter tout crédit auprès du peuple.
Scènes 3 et 4 : Sophonisbe s'approche. Eryxe lui répète son doute concernant les Romains et sa crainte pour l'image de la royauté. Sophonisbe a lu dans le jeu d'Eryxe et conseille à Massinisse de se méfier d'elle. Mais elle accorde crédit à ses craintes et lui demande d'aller annoncer lui-même la nouvelle aux Romains afin de voir leur réaction.
Scènes 5, 6 et 7 : Syphax, accompagné de Lépide (tribun romain), a obtenu une entrevue avec Sophonisbe. Il ne lui reproche pas ses mauvais conseils et se réjouit qu'elle le préfère toujours à Massinisse. Sophonisbe lui annonce alors son mariage avec Massinisse afin d'éviter de tomber dans les mains de Rome. Devant ses reproches, elle regrette qu'il ne se soit pas donné la mort comme il sied aux grands rois, ou qu'il ne se soit pas replié dans Cyrthe où elle serait morte avec lui. Elle ne fait après tout que s'acquitter de la première promesse faite à Massinisse. Lépide a assisté à la scène et fait part à Syphax qu'il va transmettre son avis à Lélius.
Acte IV – Scène 1 : Lélius dit à Syphax que Rome a pour lui un reste d'amitié, et ne comprend pas pourquoi il a refusé la paix. Syphax lui avoue qu'il a fait cela pour plaire à Sophonisbe, qui est maintenant avec Massinisse et va certainement le monter contre Rome. Il demande à Lélius de les arrêter dès maintenant.
Scènes 2 et 3 : Massinisse a appris que Sophonisbe a été amenée par les Romains. Il explique à Lélius comment il a rabaissé Carthage en reprenant Sophonisbe. Lélius lui dit qu'il ne pourra être ami de Rome et époux de Sophonisbe. Massinisse s'emporte et lui reproche de ne pas connaître l'amour. Lélius répond que l'amour doit s'effacer devant la raison d'État ; il lui rend service en le contraignant à renoncer à ce mariage. Massinisse se plie tristement à sa décision, mais souhaite faire une dernière tentative auprès de Scipion dont on annonce l'arrivée. Lélius accepte qu'il revoie auparavant Sophonisbe pour la consoler.
Scène 4 : Massinisse demande à Sophonisbe de l'accompagner auprès de Scipion et d'exercer son charme afin de plaider sa cause. Celle-ci refuse de s'abaisser à aller mendier sa pitié ; elle préfèrerait le divorce et l'enjoint de partir. Il lui demande en vain de lui dire qu'elle l'aime pour renforcer son courage.
Acte V - Scènes 1 et 2 : Sophonisbe, dans l'attente, est persuadé que Massinisse a échoué. Elle se dit qu'elle a été trop loin en acceptant ce mariage, alors qu'elle était surtout motivée à braver Eryxe. Elle invite celle-ci pour la braver une dernière fois. Mézétulle vient lui annoncer que Scipion ne veut même pas que Massinisse la revoie, mais il a réussi à lui écrire un mot et lui transmet un poison pour lui éviter le Capitole. Sophonisbe, amère, lui renvoie le poison ; elle juge qu'il est plus esclave qu'elle et en a donc davantage besoin.
Scènes 3 et 4 : Eryxe s'approche. Voyant Lélius arriver, Sophonisbe la quitte rapidement non sans lui avoir dit qu'elle lui avait pris un prince Africain vaillant et généreux, mais qu'elle lui rend un lâche, esclave des Romains.
Scènes 5 et 6 : Lélius s'inquiète de l'attitude de Sophonisbe. Il craint qu'elle ne se donne la mort et demande à Lépide d'aller la surveiller et la convaincre de suivre Scipion. Il demande à Eryxe de pardonner la folie de Massinisse. Celle-ci refuse mais, en tant que femme, elle se pliera à la volonté des Romains.
Scène 7 : Lépide revient en courant ; il n'a pu empêcher Sophonisbe de s'empoisonner. Il raconte comment elle est morte en bravant Rome une dernière fois. Eryxe la plaint et l'admire. Lélius regrette qu'une telle fierté ne soit pas née romaine, et demande à Eryxe de laisser faire le temps pour pardonner à Massinisse.
Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Sophonisbe, sur Wikisource Texte original [archive] disponible sur Gallica
Personnages[modifier | modifier le code] Syphax, roi de Numidie Massinisse, autre roi de Numidie Lélius, lieutenant de Scipion, consul de Rome Lépide, tribun romain Bocchar, lieutenant de Syphax Mézétulle, lieutenant de Massinisse Albin, centenier romain Sophonisbe, fille d'Asrubal, général des carthaginois (Hasdrubal Gisco), et reine de Numidie Eryxe, reine de Gétulie Herminie, dame d'honneur de Sophonisbe Barcée, dame d'Honneur d'Eryxe Page de Sophonisbe Gardes
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| Sujet: Re: Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice Jeu 2 Mar à 3:46 | |
| La mauvaise foi
La mauvaise foi fait violence à la vérité, mais d'une manière qui en fait une espèce particulière de mensonge. Tout mensonge, en effet, n'est pas manifestation de mauvaise foi, et sans doute faut-il commencer par tenter de saisir ce qui est propre à cette dernière. Le terme de "foi" nous indique probablement où chercher : du côté de ce qui a trait à la confiance, et sans doute aussi à la reconnaissance et à l'aveu. Le mensonge prend la forme de la mauvaise foi lorsqu'il est refus entêté de reconnaître une évidence, quelque chose qui, manifestement, est. C'est précisément ce genre de choses : ce qui se voit immédiatement, ce qui peut seulement se constater, qui paraît bien constituer l'objet propre de la mauvaise foi ; autrement dit, ce qui appelle comme attitude adéquate la reconnaissance, l'admission et/ou l'aveu : ce à quoi l'on peut et doit se fier. La mauvaise foi est peut-être même la seule façon de ne pas admettre l'évidence sans sombrer pour autant dans la pathologie. Elle consiste à refuser ce qui ne peut pas l'être, en une sorte d'ultime recours contre le désagrément imposé par la réalité, la volonté opposant son entêtement à l'entêtement des faits. Faut-il alors y voir une sorte d'affirmation ou de désir de toute-puissance ? En un sens, oui, puisqu'il s'agit de ne pas supporter que quelque chose, qui pourtant me concerne, puisse exister, tranquillement et ouvertement, dans une absolue indifférence à l'égard ce qui me convient, me plaît, m'arrange. Et il ne s'agit pas seulement de ne pas le supporter, mais bel et bien de l'annuler, de faire en sorte que la chose en question n'existe pas pour moi, par-delà son irritante persistance à exister "objectivement" : je puis décréter qu'elle n'existe pas pour moi, et que ni mes paroles ni mes actes ne s'en trouveront modifiés. Faire preuve de mauvaise foi serait ainsi le contraire de "prendre acte", "prendre en compte", en un mot "assumer" (littéralement : prendre à soi, pour soi, avec soi, admettre, s'approprier). C'est pourquoi la mauvaise foi atteint son paroxysme, devient une véritable manière de vivre, et prend un sens pleinement philosophique, lorsque elle porte, non plus sur tel ou tel acte ponctuel et isolé, mais sur la volonté elle-même et son pouvoir de décision. C'est ce qu'a bien compris Jean-Paul Sartre, semble-t-il, en appelant "mauvaise foi" l'attitude qui consiste à mettre nos actes sur le compte de quelque chose d'extérieur à nous (la nature, les circonstances, une "essence" qui nous définirait une fois pour toutes...), et donc à nier que nous en sommes les vrais auteurs et que nous devons en répondre. Car alors, nous retournons notre volonté contre elle-même, "voulant ne pas vouloir" en quelque sorte, décidant que nous ne décidons pas, et nous acharnant à nier un pouvoir que nous sommes pourtant en train d'exercer à l'instant même où nous le nions. Attitude qui réalise toute sa pureté lorsque nous revendiquons la paternité de nos actes si ces derniers sont gratifiants, et la rejetons lorsqu'ils sont plutôt sources de reproches... Une chose semble sûre : à celui qui se cantonne dans cette posture, il n'y a pas grand-chose à dire... La mauvaise foi, par nature entêtée et d'une inventivité infinie, empêche tout dialogue. Ce qui ne doit pourtant pas empêcher de dialoguer à son sujet, avec bonne volonté et en toute bonne foi.
G.R.
Agésilas est une pièce de théâtre de Pierre Corneille inspirée de la Grèce antique. Elle a été représentée au théâtre de l’Hôtel de Bourgogne en avril 1666.
Réception Assez peu appréciée, cette pièce n’a jamais été reprise depuis sa sortie en 1666. Boileau en dit dans une critique :
« J’ai vu Agésilas, Hélas ! »
Pourtant depuis, ces élections 2017, ces scenes de Agésilas peuvent ouvrir un intérêt réel au peuple dans tous son ensemble tel que la flûte enchanté réveilla un éveil philosophique sur l'aspect d'amour dans le paysage politique... Si ce texte est jugé pauvre par son intrique, on y trouve les forces morales tel que l'Honneur et la Conscience auquel les députés et les ministres passés et actuels de Paris semblent être dépourvu aux yeux de l'ensemble de la vie quotidienne des pilliers de la République Francaise... Space 1999... Y'becca
Argument L’histoire se déroule à Éphèse.
Lysandre a promis ses filles Elpinice et Aglatide respectivement à Cotys et Spithridatès, mais pour que le mariage se fasse il doit obtenir l’accord d’Agésilas.
Cotys et Spithridatès s’aperçoivent rapidement que ces mariages ne leur conviennent pas. En effet, Spithridatès est tombé amoureux d’Elpinice qui l’aime aussi, et Cotys s’est pris d’amour pour Mandane, la sœur de Spithridatès, et son amour est partagé. Cotys accepte de laisser sa promise à Spithridaès si ce dernier lui donne sa sœur en échange, mais Spitridate craint de froisser Lysandre.
De son côté, Agésilas est amoureux de Mandane et apprend que Lysandre complote contre lui. Il décide donc d’interdire les unions des filles du navarque spartiate. Il ne peut se résoudre à épouser Mandane car Sparte ne l’accepterait pas, et ne tient pas non plus à lui faire épouser Cotys: il craint en effet qu’une union entre les familles de Cotys et de Spithridatès, puis entre celles de Spithridatès et Lysandre, ne lui crée que des ennemis.
Aglatide, quant à elle, sait que Spithridatès aime sa sœur et que Cotys ne veut pas de sa main. Elle préfère cacher ses sentiments et afficher une certaine insouciance, mais elle espère tout de même qu’Agésilas l’aime. En effet, quelques années auparavant il lui avait offert son amour et promit qu’il l’épouserait.
Agésilas décide finalement de confondre Lysandre et de lui montrer qu’il connait tout de ses plans. Ne pouvant se résoudre à amener l’opprobre sur l’homme qui l’a fait monter sur le trône, il le fait convoquer et lui parle en privé, accompagné uniquement de son lieutenant Xénoclès. Lysandre avoue ses crimes et se dit prêt à subir son châtiment, mais demande la clémence pour ses filles et leurs futurs époux qui ne sont au courant de rien.
Agésilas préfère sauver Lysander et consentir aux mariages d’Elpinice avec Spithridatès, et de Mandane avec Cotys. Pour honorer la promesse faite des années auparavant et pour éviter que Lysandre ne reprenne un jour ses complots, il épouse Aglatide.
Personnages Agésilas, roi de Sparte Lysandre, fameux navarque de Sparte ( navarque = commandant de la flotte à Sparte) Cotys, roi de Paphlagonie Spithridatès, grand seigneur persan Mandane, sœur de Spihtridatès Elpinice, fille de Lysandre Aglatide, fille de Lysandre Xénoclès, lieutenant d’Agésilas Cléon, orateur grec, natif d’Halicarnasse.
Ouvrons réellement un débat concret sur les différentes interventions sur les aspects humains aux niveaux intérieurs et internationaux dirigé par la France, L'ONU et L'Europe au sujet sur l'aspect d'Humain dans le regard de la forme et de la diffamation depuis les années 1983, 1986-88, Les gouvernements sous la présidence Chirac , 2007 à 2017... Puis Analyser la Crise international provoqué par la crise syrienne depuis les présidences Sarkozy et Hollande avec l'aide des Fillon, Ayrault, Valls et Cazeneuve... Vous verrez que là, ils ne pourront toujours pas s'entendre même sur l'aspect de désignation de l'affaire... Car il ne s'agit pas d'affaire militaire ou de secret d'état; mais bien d'un conflit d’intérêt personnel...
Les chiens d'Orion sont lâchés et Y'becca sera tenace dans la mise en lumière d'une affaire occulte qui a brisé tant de ménages et de foyers français et internationaux...
La chose publique dénonce les Descendants du Menteur... John Williams Les Dents de la Mer https://www.youtube.com/watch?v=lwEexNUGyHc
Ecrit de TAY La chouette effraie
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| | | yanis la chouette
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| Sujet: Re: Clitandre de Corneille, Constitutions, Y'becca et la Justice Jeu 2 Mar à 10:37 | |
| Inside Man...
J'ai donné parole de maintenir un fait... Il y a le candidat désigné par le vote des adhérents et en cela, j'interpelle la Justice sur le fait que je maintiens le cap choisis par les adhérents... Je savais qu'il s'agissait d'une erreur mais je fais preuve de démocratie même si cela m'en coute... Ce n'est pas pour Monsieur Fillon mais pour les adhérents, le principe de justice démocratique et l'affirmation d'une parole. Je déplore la mauvaise foi sur les mots et les actes tout en y ajoutant le fait que je vais balayer devant mon seuil que devant celui des autres...
En cela, je ne participerai pas à la manifestation Fillon mais je ne trouve pas choquant sur le fait qu'il doit avoir étudier d'une manière juridique, le fait... Je n'abandonne pas le profit de l'éthique pour celui de la conviction... je ne cherche pas à établir une lumière qui est le fait de la Justice... Vous savez que je suis de ceux qui croit en une république organisé sur tous les aspects de la complexité du peuple de Droit.
Si Fillon se détourne de sa parole et de ses convictions, en tant que membre fondateur des républicains 201 001 364; je m'investis dans le fait de diriger mon navire dans le fait de se maintenir devant une rancœur annoncée... Je ne comprends pas la décision des adhérents et je pars du principe que je reste à bord: je peux faire acte sur le fait. En cela, je prépare les premiers secours car les pertes seront certaines... Régionales...
Il y a pas de quoi crier ! Oui, vraiment; vivre dans la peur ou dans le rôle de l'inculpé ! Certes, je ne défie pas la Justice mais je compare cette situation que j'ai vécu en 1995 contre le Gouvernement Chirac et Juppé... Je ne comprends pas la décision des adhérents. Pour Fillon, c'est plutôt rude mais vaut mieux être isolé et bien entouré que le contraire... Des gens croient encore en lui et cela est une équation d'écoute de la Démocratie... J’espère que les Procureurs ma pardonneront mais je rajoute que je ne partage pas le fait qu'il soit une victime du système judiciaire...
Il peut prétendre à présent avoir réunis autour de lui, une équipe de baroudeurs prête à exercer une expérience gouvernementale et présidentielle; Je réalise le fait et je réitère mon soutien dans l'exercice de la Justice... Le voilà tel Octave devant Marc Antoine dans la célèbre bataille de Actium... Il reproche à la justice de vouloir sa mort; il devrai se réjouir de s'être débarrasser des piques assiettes... mais il devra accepter un fait il n'est pas Octave devant Marc Antoine car je dirais plus que son destin s'approche de plus en plus à celui de Brutus... Ceux, qui l'entoure, sont brave pour Certains...
L'image de l’infamie est celle que l'on attribut à son adversaire. Le salaire du privilège peut être rendu à de la vanité et de la jalousie sur des fonctions plus hautaines... Cela et cela, il ne veut l'admettre... Entouré par les siens, il cherche la fonction de l'oint pour ensuite se sentir investi par une force électorale qui se transformera en une action miraculeuse du Peuple si il est élu... Cela fait peur même pour les plus proches d'entre eux... Le doute ne fait pas parti de leur recueil... La prière est une révélation sur le mauvais sort ambiant... le sacrifice du soi et du service publique sans prendre en compte l'aspect social de la personne humaine: Les frais médicaux, chirurgicaux et une saignée sur le Service Public alors que la population augmente... Les vieux vivent trop longtemps, se permettent de dire tous les classes sociales au sujet de la santé et des retraites... Hum; oui, la Justice surveille les homicides !
La Justice, elle, se remets dans le droit de sauvegarde du bien et de l’intérêt sur les aspects que les sbires des présidentielles ont constitués des comités de riposte sur tous les événements de la campagne... Prêt à donner des coups sans vouloir en recevoir: La Naïveté ou l'Orgueil de Foi. en tout cas, je ne suis pas juge de la République Française... Je déplore des faits où nul n'est à l'abri d'une mauvaise réflexion sur ces idées et sur sa conscience... Les candidats le savent, les militants le savent mais ceux qui sont là pour entendre des faits... Ils entendent la vérité sur un système élaboré par le concept des droits : L'attribution divine et électorale où même la Justice est soumise aux vagues de l'apriori, du conflit d’intérêt et de Personne... Chacun y va de son Jugement... Pourtant, il y a une procédure indéterminée... Et cela, Personne ne veut l'admettre... La Justice est confondu avec le Secourisme et le Secourisme est confondu avec la Justice... Y'becca et Les Pompiers Jacques Vion de Toulouse... Pour La Justice Non à l'Esclavage, à la Torture qu'elle soit physique ou morales et aux viols qu'ils soient physiques ou morales, Non à la diffamation de la Justice pour un intérêt morale ou physique... Oui à la Gréve, à La Justice, à l’Écoute, à la Santé, au bien être, aux manifestations publiques...
Ecrit de TAY La chouette effraie | |
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