Maïmonide a marqué de sa présence emblématique les cultures arabes, juives et chrétiennes qui ont cohabité en al‑Andalus il y a près d’un millénaire. Tout au long d’une vie d’exil forcé, il a étendu l’influence de son intellect dans les domaines du droit, de la philosophie et de la médecine. Dans cette biographie inédite, Alberto Manguel examine l'attrait universel de Maïmonide, ce savant qui, à notre époque où le besoin de rationalité et de reconnaissance de la vérité est plus vital que jamais, peut nous aider à évoluer dignement dans un monde incertain. Abraham Ibn ῾Ezra compte parmi les penseurs les plus originaux et les plus féconds du Moyen Âge. Dans son ultime ouvrage, Le Secret de la Torah, il démontre que le texte fondateur de la religion juive ne fait qu'un avec la science rationnelle. Cette édition traduite et commentée par René Gutman, ancien grand rabbin de Strasbourg, guide le lecteur avec un sens didactique exemplaire à travers le texte. Véritable service rendu à la communauté scientifique, l'ouvrage s'adresse également à tout lecteur contemporain qui cherche des réponses à ses interrogations, et lui propose de considérer, comme Ibn ῾Ezra, les différentes sciences, afin de « cultiver son âme rationnelle » !
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Abraham ben Ezra (hébreu : אברהם בן מאיר אבן עזרא Avraham ben Meïr ben Ezra parfois lu Even Ezra, arabe Abu Isḥaḳ Ibrahim ibn al-Majid ibn Ezra) est un rabbin andalou du XIIe siècle (Tudèle, circa 1092 - Calahorra, circa 1167). Grammairien, traducteur, poète, exégète, philosophe, mathématicien et astronome, il est considéré comme l’une des plus éminentes autorités rabbiniques médiévales. La vie d'Abraham ibn Ezra se divise en deux périodes : dans la première, Abraham ibn Ezra se construit une réputation de poète et de penseur, dans son Espagne natale. Il y fréquente assidûment les plus prestigieux érudits de son temps, dont Joseph ibn Tzaddik, Juda Halévi, avec lequel Abraham ibn Ezra aurait voyagé dans les communautés d'Afrique du Nord, et Moïse ibn Ezra. Ce dernier fait les louanges du philosophe religieux (mutakallim) et de l'homme éloquent, tandis qu'un jeune contemporain, Abraham ibn Dawd, le qualifie, à la fin de sa chronique de dernier grand homme à avoir fait la fierté du judaïsme espagnol, et de grand poète, qui « a renforcé les mains d'Israël avec des poèmes et des mots de consolation. »
Selon de nombreuses sources, Abraham a passé le plus clair de cette période à s'occuper de poésie, mais il poursuit également d'autres savoirs scientifiques, comme l'indique sa production littéraire dans sa seconde période. Son commentaire biblique, notamment, comprend nombre de ses discussions philosophiques avec Juda Halévi d'une part, et de ses débats avec des représentants du karaïsme, un mouvement juif scripturaliste, adversaire du judaïsme rabbinique traditionnel, auquel se rattache Ibn Ezra. Ibn Ezra ne donne aucune indication précise quant à sa famille. Cependant, on peut déduire de la glose dans son long commentaire sur Exode 2:2 qu'il avait eu cinq enfants, dont seul Isaac est mentionné, les autres étant sans doute morts en bas âge. Isaac ibn Ezra, qui était peut-être le beau-fils de Juda Halevi, est à bord du bateau qui mène ce dernier en Égypte. Il se sépare alors de lui et fait route vers Bagdad, où il compose en 1143 des poèmes à la gloire de son maître Abu al-Barakat Hibat Allah. Peu après, il le suit dans sa conversion à l'islam, au grand désarroi de son père. C'est probablement dans l'espoir de le ramener au judaïsme qu'Abraham ibn Ezra effectue un premier voyage en Orient (Égypte, terre d'Israël et Irak), bien que la conquête almohade ait également pu y jouer un rôle6. Au cours de ce voyage, il rachète le terrain de la synagogue Ben Ezra du Caire (également appelée synagogue al-Gueniza, car sa gueniza est la plus importante et plus étudiée au monde) pour 20 000 dinars !
Seconde période
Dans la seconde partie de sa vie, Ibn Ezra est un solitaire sans attaches, pérégrinant au gré des vents, résidant à chaque étape pendant plusieurs années.
Abraham ibn Ezra se considère comme un exilé, rappelant souvent qu'il est Abraham ibn Ezra l'Espagnol (haSefaradi). Il évoque son amour pour sa patrie perdue, notamment dans une élégie sur les persécutions des Almohades, qui commencent en 1142 ; il y énumère les communautés d'Espagne et d'Afrique du Nord détruites. Par ailleurs, il écrit dans son commentaire sur le Lévitique, à propos de la prescription des quatre espèces, dont il faut prendre une branche ou un fruit pendant la fête des Tabernacles, que « celui qui est exilé des pays arabes vers les terres d'Edom (l'Europe chrétienne) comprendra, s'il a des yeux, la signification profonde de ce commandement. »
Dans l'un de ses poèmes les plus connus, Nedod Hessir Oni, il se décrit comme un étranger, écrivant des livres et révélant les secrets de la connaissance. De fait, il est le seul exemple connu d'érudit errant à avoir développé une activité littéraire aussi riche et importante dans des conditions aussi peu favorables.
C'est en 1140 que commencent ses voyages, Ibn Ezra ayant composé plusieurs livres à Rome cette année, afin de propager la science judéo-espagnole parmi les Juifs italiens, qui n'entendent rien à l'arabe. Il en fera de même à Lucques, Mantoue, Vérone, avant de se rendre en Provence puis vers le nord de la France, et en 1158, en Angleterre, Ibn Ezra ayant séjourné à Londres et à Oxford.
Abraham ibn Ezra en Provence !!
Ibn Ezra se rend en Provence avant 1155, faisant halte dans la ville de Béziers, où il écrit un livre sur les Noms divins, dédicacé à ses patrons, Abraham ben Ḥayyim et Isaac ben Judah. Jedaiah Ben Abraham Bedersi, natif de la ville, parle de son séjour avec enthousiasme, plus de 150 ans après les faits9. Juda ibn Tibbon de Lunel, contemporain d'Ibn Ezra, atteste lui aussi de l'importance historique que prit pour les Juifs de Provence le séjour d'Ibn Ezra dans le Sud de la France10.
Ibn Ezra est à Narbonne en 1139 ou peu avant, et fait ensuite route vers le Nord de la France.
Abraham ibn Ezra dans le Nord de la France !!!
Pendant longtemps, les spécialistes ont cru voir dans רדוס (Redos en hébreu), la preuve qu'Abraham ibn Ezra séjourna à Dreux (דרוס, « Dros » en hébreu). Ce nom fut même corrigé en רודס Rodos ou Rodes. Cette correction sera à l'origine d'une croyance erronée qu'il soit allé à Rhodes ou à Rodez. Les travaux de J. Schirmann repris par l'historien Norman Golb, montrent que cela est dû à une déformation de la dernière cursive. Il fallait y lire « RDOM » (Rouen) et non « REDOS ». Dans cette ville se trouvait une école rabbinique importante où enseignait le Rashbam, petit-fils de Rachi. À son arrivée en 1149, Ibn Ezra rédigea un poème à la gloire de son hôte normand et de son commentaire de la Torah "le salut de tous ceux pour qui l'écriture sainte est obscure" et dont le regard "contemple les secrets du Seigneur". La présence de ces deux figures remarquables attira de nombreux érudits à la yeshiva de Rouen. C'est après avoir récupéré d'une maladie contractée à Rouen, qu'Ibn Ezra entreprend un nouveau commentaire du Pentateuque. Dans la préface à l'Exode (1153), expliquant ce choix dans la préface de l'ouvrage : "Le Seigneur l'a aidé à recouvrer la santé et c'est alors que je fis vœu de commenter la Torah donnée sur le Sinaï". Ibn Ezra complète plusieurs autres travaux exégétiques (les Psaumes et les Petits Prophètes en 1155, le Livre de Daniel et (après un séjour en Angleterre) le Livre d'Esther et le Cantique des Cantiques. C'est aussi à Rouen qu'Ibn Ezra prend contact avec une autre figure majeure de son temps, le tossafiste Rabbenou Tam, frère du Rashbam. Rapidement, les relations se détériorèrent entre Ibn Ezra et ce dernier à cause de leurs conceptions différentes. Le Rashbam insistait sur le sens premier du texte. Abraham ibn Ezra l'accusa dans son Epître sur le sabbat de vouloir inverser la comptabilisation des jours et des nuits durant la Création. Ibn Ezra critiquera vivement ce dernier dans son "Epître sur le sabbat" écrite en 1158 à Londres à l'intention d'un disciple.
La fin du voyage !
En 1160, Abraham ibn Ezra est de nouveau en Provence, et traduit à Narbonne un traité astronomique à partir de l'arabe. Si les dates données dans le poème concluant son commentaire sur le Pentateuque sont correctes, Ibn Ezra serait mort à Rome, où il aurait également entamé son dernier traité grammatical, Safa Beroura, demeuré inachevé. Les vers d'introduction à ce livre, dédié à son disciple Salomon, ont en effet tout d'un testament : il y exprime l'espoir que ce livre « soit un legs pour Abraham le fils de Meïr, et qu'il préserve sa mémoire de génération en génération. » Abraham Zacuto avance, sans preuves, qu'Ibn Ezra serait mort à Calahorra, à la frontière de la Navarre et de l'Aragon, le 23 janvier 1167. Le commentateur d'Ibn Ezra, Joseph ben Eliezer Bonfils (Tsafnat Paaneach), affirme qu'il serait mort en la Terre d'Israël où il serait finalement arrivé à la fin de sa vie. Enfin, Moïse Tako ben Hisdaï, son contemporain, a écrit qu'il serait décédé "parmi les enfants d'Angleterre".
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La plus ancienne appellation de figure céleste de l'hémisphère Nord est celle de l’Ours, dont nous avons la trace dans toute la famille des langues indo-européennes7. Le sanscrit ঋক্ষ ṛkśa, « l’Ours », existe, tout comme le grec Ἄρκτος, pour désigner les Sept étoiles indiquant le Nord dans l’hémisphère septentrional. Ces deux mots n’ont pas seulement la même étymologie, ils correspondant tous deux à l’emblème d’une divinité. Le Mahābhārata présente Ṛkśa comme roi de la lignée lunaire, descendant de l’empereur Bharāta et père de Saṁvaraṇa9.Chez les Grecs, le nom de la déesse Ἄρτεμις dérive de la même racine indo-européenne [(h)rkto]. En tout état de cause, dans le rituel du culte rendu à la déesse à Brauron en Attique, des fillettes étaient déguisées en ourses. Ce lien avec le divin est d’ailleurs confirmé chez les Celtes dont la déesse Artio (qui signifie ours en langue gauloise), était représentée sur la statue de Berne s’avançant vers une ourse (de cette même racine proviendrait le nom du roi Arthur, «Artio (Artos-rix)», « l’ours-roi/guerrier »). Comme la séparation du tronc commun indo-européen des langues indo-iraniennes d’un côté, et les langues helléniques et celtes d’un autre côté, est réputée s'être opérée avant la fin du Ve millénaire av. é. c., il y a tout lieu de penser que la figure de l’Ours, qu’elle soit associée à une étoile ou à une constellation, est la plus ancienne connue à ce jour. Le fait que l'Ours comme une figure céleste commune aux Amérindiens septentrionaux et aux vieux-Européens, n'indique aucune relation entre ces peuples mais résulte du rôle majeur parallèle de l'animal dans les régions septentrionales de la planète et, partant, dans leur imaginaire. L'explication du réseau, sélectif, des constellations anciennes par un système de repères maritimes a été proposée par Sir Isaac Newton (Ancient Kingdoms), idée suivie et précisée par Kai-Helge Wirth (Ursprung der Sternbilder, 2000).
Ainsi ! La Maison de la Vierge Marie (en turc Meryemana Evi, la « maison de la mère-Marie » ou Panaya Kapı du grec Panagia Pylê, la « porte de la Toute-Sainte ») est un sanctuaire chrétien et musulman sur la colline de Bülbül Dağ (« mont Rossignol ») près d'Éphèse, à sept kilomètres de Selçuk (aujourd'hui en Turquie). Une tradition assyrienne jacobite raconte que Marie fut emmenée en ce lieu par Jean l'Évangéliste après la crucifixion du Christ, fuyant la persécution à Jérusalem. Jean lui fit construire une petite maison où Marie demeura jusqu'à son Assomption, ou Dormition selon les orthodoxes. La confrontation des données de l'archéologie et de la tradition syriaque permettent d'établir que ce sanctuaire, en fait une église byzantine du XIIIe siècle, tient de la légende, ce qui ne l'empêche pas d'être devenu un lieu de pèlerinage et de tourisme important. Anne Catherine Emmerich aurait eu une vision de Marie dans sa maison sans jamais avoir visité le lieu, dont la description est publiée en 1852 par le poète romantique Clemens Brentano dans La vie de la Vierge Marie : « Marie vécut environ trois ans à Sion, trois ans à Béthanie et neuf ans à Éphèse. Cependant, la Sainte Vierge ne demeurait pas à Éphèse même ; sa maison était située à trois lieues et demie de là, sur une montagne qu’on voyait à gauche en venant de Jérusalem, et qui s’abaissait en pente douce vers la ville. […] Derrière la maison de Marie, la seule qui fût en pierre, la montagne n’offrait, jusqu’au sommet, qu’une masse de rochers d’où l’on apercevait, par-delà les allées d’arbres, la ville d’Éphèse et la mer avec ses îles nombreuses ». C'est elle qui reconstitua le premier document astronomique mésopotamien connu consacré à la déesse Inanna, présentée comme « [astre] du lever et coucher [du Soleil] », ce qui montre que près de deux millénaires avant les Grecs, les Mésopotamiens connaissaient l'identité de l'astre du matin et celui du soir. Mais la première liste d’étoiles qui nous est parvenue figure dans un lexique bilingue sumérien/éblaïte daté de 2450 avant notre èr. Or, à ce moment-là, les étoiles sont identifiées individuellement sans référence à des constellations, chacune d’entre elles étant affectée à un dieu particulier. Pour passer des étoiles individuelles aux constellations, il va falloir un long chemin qui va prendre un bon millénaire et demi, et sera parcouru en plusieurs étapes !
1re étape : les étoiles individuelles !
Le premier document astronomique mésopotamien connu est consacré à la déesse Inanna, présentée comme « [astre] du lever et coucher [du Soleil] », ce qui montre que près de deux millénaires avant les Grecs, les Mésopotamiens connaissaient l'identité de l'astre du matin et celui du soir. Mais la première liste d’étoiles qui nous est parvenue figure dans un lexique bilingue sumérien/éblaïte daté de 2450 avant notre ère. Or, à ce moment-là, les étoiles sont identifiées individuellement sans référence à des constellations, chacune d’entre elles étant affectée à un dieu particulier. Pour passer des étoiles individuelles aux constellations, il va falloir un long chemin qui va prendre un bon millénaire et demi, et sera parcouru en plusieurs étapes.
2e étape : les images des dieux !
Nous connaissions déjà des images de certains dieux par des empreintes de sceaux-cylindres dès la fin du IIIe millénaire av. J.-C. Ainsi celle de IM.DUGUD = Anzû, à qui sera dédiée la constellation de TI8, soit l’Aigle, et celle d’ENKI = Ea sous la forme de GU.LA = rabû , ancêtre du Verseau !
3e étape : les constellations
IL ne restait plus désormais qu'à projeter ces images déjà matérialisées sur la voûte céleste, à en fixer des contours plus ou moins stables. Si l'on considère tous les documents connus, ce n’est qu’au VIIe siècle av. J.-C., que UR.GU.LA ou UR.MAḪ, soit cesse d'être l’étoile du "Lion", qui correspond à Alpha Leonis, pour devenir le nom d'une constellation. Ainsi, quand nous arrivons vers 500 av. è. c., Alpha Leonis, désormais appelée LU.GAL = Šarru, « le Roi », en l’honneur de Marduk, n’est plus que l’étoile la plus brillante de la constellation d'UR.GU.LA, dans une liste qui, tous documents confondus, peut aller jusqu’à une bonne quinzaine d’étoiles nommées.
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 10h
LE SYNDROME DU PERCEVOIR N'EST PAS D'AFFAIBLIR LE SENTIMENT. POURTANT, CERTAINS UTILISENT CE SENTIMENT POUR ÉTOUFFER
L'ÉTINCELLE D'ÊTRE OU D'INDÉPENDANCE D'UN AVOIR. LE CARACTÈRE MONTRE QUE LE RÈGNE DE LA CUPIDITÉ PRENDS L'ACCENT SUR CELUI DE L'UTOPIE.
TAY
L’ADVERSITÉ ET DIEU SUR L'OMBRE QU'EST L'HORIZON VERS LA PAGE : OÙ LA SIMPLICITÉ AMÈNE LA SITUATION OÙ LA SOLIDARITÉ INDIQUE LA SOURCE ?
LE SOUFFLE ET LA NATURE DANS LE CHAOS !
L'ÂME ET LE TÉMOIGNAGE :
AINSI EST LA NATURE DEVANT LE TEMPS ET DE LA NAISSANCE FACE À LA RÉALITÉ !
TAY
LA VEUVE ET LE VEUF DÉCÈLENT UNE VÉRITÉ ET SON VÉRITABLE EST UN DÉVELOPPEMENT.
LA DESTINÉE S'INSURGE DEVANT LA DESTRUCTION ET LE SILENCE INFONDE LE TEMPS DES CERISES.
LA FÊTE S'ABSTIENT DE LA FERMETURE ET LA CHANCE ÉCLATE SUR LA CHARITÉ :
LE PHARE, LA NATURE ET L'ORPHELIN'E'.
TAY
LA RESPONSABILITÉ EST UNE CONSCIENCE ET UNE CONVICTION : LE PHARE, LA NATURE ET L'ORPHELIN.
REGARDS, REFLETS ET RESPECTS DU TEMPS ÉTANT CONSTITUÉS PAR DES LABYRINTHES DE LANTERNES ET DE DESTINÉES VERS UN SOUFFLE ET UN SOUPIR !
LA SENSIBILITÉ, LA CONSCIENCE ET LA RÉALITÉ.
TAY
LA GRANDE OURSE RAMÈNE VERS LA RAISON CAR QUIRINUS-JUPITER EST LE PREMIER ROI DE ROME : ROMULUS. YAHVÉ ÉTAIT LÀ PAR LE FAIT DE L'ÉCRITURE DES ÉTRUSQUES ET DES GRECS. L'ANTHROPOLOGIE HUMAINE EST DE VOIR QUE DANS LES MALÉDICTIONS, IL Y A UNE MORALE POUR CONDUIRE À LA GUÉRISON.
TAY
SUR LES ROUTES DU TEMPS, LES VAISSEAUX DU DÉSERT NAVIGUENT DANS LES NOMS DU DIEU UNIQUE. LE CHAMEAU ET LE DROMADAIRE SUIVENT LA TRACE DU SCARABÉE DANS LE CHANT DU CHAOS. AINSI, QUAND, SA TRACE DISPARAÎT; CELA EST LE SIGNAL D'UN NOUVEAU MOUVEMENT OU D'UN DANGER.
TAY
UN JUIF, UN BERBÈRE ET UN ARABE VOULAIT REJOINDRE L'ITALIE ALORS QU'ILS ÉTAIENT À TROIE : MARJINTH, SAHLER ET AAKBAR PRIRENT LA MER ET FURENT ÉMERVEILLÉS PAR LES CÉTACÉS. LA BALEINE ET LE DAUPHIN SONT TELS DES CHAMEAUX ET DES DROMADAIRE : CE SONT DES BOUSSOLE DU TEMPS.
TAY
L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE POINTE SA LUEUR VERS LE CYCLONE ET SA CONVICTION D'ÊTRE DÉFIENT LES POLLUEURS :
OZ QUE LES VENTS AUSTRALS ET BORÉALS RÉSONNENT SUR LE
MÉDICAL DES CHOSES QUI SOIGNE
UN SILLAGE DE GRAIN QUI SERA TOUJOURS LA SOURCE RÉVÉLATRICE D'UNE TERRE FERTILE !
TAY
L'INFINI QU'EST L'HORIZON SUR TERRE, DANS LE FEU, EN LA TERRE ET VERS L'AIR :
LA ROTATION OU LA NATURE SAUVAGE EN L'ENSEMBLE !
L'ÂME ET LE TÉMOIGNAGE : LE SOUFFLE ET LES ENVIRONNEMENTS DANS LE CHAOS !
VENTS AUSTRALS ET BORÉALS SONNENT VERS LE CYCLONE, L'OURAGAN ET LE TYPHON !
TAY
TÉMOIGNAGES DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
AINSI QUE PROTECTEUR DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DU SAHARA OCCIDENTAL ET CITOYEN DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE !
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD ET DE DAME CHARLOTTE DU STYLISME ARTISANAL DE LA CHAMBRE SYNDICALE : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini !