In eminenti apostolatus specula est une bulle pontificale fulminée le 28 avril 1738 par Clément XII contre la franc-maçonnerie. Quoique prononcée comme définitive (« constitution valable à perpétuité »), cette condamnation fut la première d'une longue série ; pendant plus de deux siècles, presque tous les successeurs de Clément XII l'ont reformulée. Fil rouge entre le Vatican et cette société initiatique, cette bulle apostolique1 et celles lui succédant constituent le droit canonique en vigueur envers la franc-maçonnerie. La franc-maçonnerie en Espagne apparaît dès le XVIII e siècle : la première loge espagnole est fondée à Madrid le 15 février 1728 par le duc de Wharton. Ses débuts sont difficiles car elle doit faire face à l'Inquisition jusqu'au début du XIX e siècle. Si le nombre de maçons et de loges est en pleine croissance, en 1925 le fascisme mettra un frein à tout cela en prohibant la franc-maçonnerie dans la péninsule et dans les colonies ; l'Église et les Communistes feront de même avec leurs propres édits. La plupart des hauts dignitaires sont incarcérés à la suite de cette loi. En sommeil, les travaux de la franc-maçonnerie italienne perdurent néanmoins chez les Italiens de l'étranger, en exil (notamment à Paris à partir de 1913 et en Espagne pendant sa guerre civile) et parfois dans la clandestinité !
Toutefois, La franc-maçonnerie survit jusqu'en en 1904 où le Grand Maître du Grand Orient d'Italie nouvellement élu à cette fonction, Ettore Ferrari, marquera politiquement à gauche l'obédience ce qui amènera à un schisme avec le Suprême Conseil du Rite écossais ancien et accepté en 1908 créant ainsi la Sérénissime Grande Loge d'Italie. Ces années voient aussi l'implantation de l'obédience mixte le Droit humain en Italie en 1905. Si le nombre de maçons et de loges est en pleine croissance, en 1925 le fascisme mettra un frein à tout cela en prohibant la franc-maçonnerie dans la péninsule et dans les colonies ; l'Église et les Communistes feront de même avec leurs propres édits. La plupart des hauts dignitaires sont incarcérés à la suite de cette loi. En sommeil, les travaux de la franc-maçonnerie italienne perdurent néanmoins chez les Italiens de l'étranger, en exil (notamment à Paris à partir de 1913 et en Espagne pendant sa guerre civile) et parfois dans la clandestinité. Après la Seconde Guerre mondiale, la franc-maçonnerie en Italie est une nouvelle fois réanimée. Les Italiens exilés sortent des loges de leur sommeil et la présence des militaires américains encouragent le réveil de l'Ordre. Pourtant, les conflits internes du xixe siècle et du début du xxe siècle reprennent de plus belle ce qui empêche la fusion des obédiences. Ainsi, la Grande Loge d'Italie est réanimée en 1961 faisant front au très marqué à gauche Grand Orient d'Italie[réf. nécessaire]. Mais des changements culturels interviennent dans les années 1960. Le Grand Orient d'Italie cesse d'être un bastion de gauche pour amorcer une reconnaissance par Londres. Ces démarches sont entamées sous la grande maîtrise de Giordano Gamberini (1961-1970) puis par son successeur Lino Salvini (1970-1978). Le Grand Orient d'Italie rompt alors ses relations avec le Grand Orient de France en 1972 et s'ouvre à tous les courants du paysage socio-politique italien, entraînant en l'occurrence l'affaire de la fameuse fausse loge « Propaganda Due ». Embourbée dans les affaires et dans les conflits internes de plus en plus intenables, un groupe de frères décident de rompre avec le Grand Orient d'Italie et forment la Grande Loge régulière d'Italie. Fondée en 1993, elle décide d'épurer ses rangs et de satisfaire aux principes de reconnaissance anglais. Ainsi, elle se voit immédiatement reconnue par Londres : Le Conseil supérieur de la magistrature italien a interdit depuis 1993 aux magistrats d'appartenir à une loge maçonnique ! Curieusement l’Espagne, et plus concrètement Madrid, accueillit la première loge située en territoire non britannique inscrite dans les archives de la Grande Loge d’Angleterre. Elle y figure avec le nº50 et le titre de French Arms, bien qu’elle soit connue sous le nom de La Matritense (La Madrilène) ou de celui de Las Tres Flores de Lys (Les Trois Fleurs de Lys). Elle fut fondée par le Duc de Warton à Madrid, rue San Bernardo, et reçut la patente de reconnaissance de Londres le 27 mars 1729. L’Espagne est aussi l´un des premiers pays où fut constitué un Suprême Conseil du Rite Ecossais Ancien Accepté. Le Comte de Grasse-Tilly l´instaura le 4 juillet 1811, alors que les troupes de Napoléon occupaient l’Espagne et que Joseph Bonaparte y régnait, et c´est le quatrième plus ancien, après les États-Unis, la France et Milan. Ces deux faits furent fortuits, car l’Espagne est l’un des pays européens où la franc-maçonnerie mit le plus de temps à s’établir et où elle fut le plus persécutée et vilipendée. Au XVIIIe siècle, l’expansion de la franc-maçonnerie en Espagne fut très limitée et en aucun cas comparable au développement grandissant de l’Ordre dans des pays comme la Grande Bretagne, la France ou l’Allemagne. José Antonio Ferrer Benimeli, prêtre jésuite et professeur…, l’existence, en 1751, des quatre-vingt-dix loges dénoncées par un espion de l’Inquisition – ce qui provoqua le premier décret condamnatoire des activités maçonniques en Espagne établi par Fernando VI le 2 juillet de la même année – est très discutable. Il est vrai qu’au Siècle des Lumières, la franc-maçonnerie était connue des élites instruites, mais peu osaient approcher les loges et, si elles le faisaient, elles préféraient adhérer aux loges françaises de Bayonne ou aux Neuf Sœurs de Paris.
La bulle est émise le 28 avril 1738 par Clément XII. Le réquisitoire relève alors deux traits principaux de la franc-maçonnerie : le multiconfessionnalisme des loges et le fait que ses adeptes y prononcent un serment d'allégeance au secret et d'entraide qui, selon le texte, ne peut être que suspect. Le passé grand maître du Grand Orient de France et historien Alain Bauer ajoute une autre supposition quant à la naissance de ces critiques catholiques : « En se faisant les héritiers des bâtisseurs du Moyen Âge, ils ont d'une certaine façon endossé le passif d'une corporation en délicatesse avec l'Église ». Ainsi, les « origines historiques » revendiquées par les maçons spéculatifs seraient à la source des condamnations ecclésiastiques. Cette publication du Vatican In eminenti apostolatus specula intervient quelques années après la création de la Grande Loge de Londres, en 1717, par Jean Théophile Désaguliers et James Anderson. En 1738, la France ne compte pas plus de trois-cents ou quatre-cents francs-maçons[réf. souhaitée]. Cette bulle ne fut pas reçue en France, n'ayant pas été enregistrée par le parlement de Paris. Le texte papal, In eminenti apostolatus specula, est repris par plusieurs des successeurs de Clément XII. Le 18 mai 1751, le pape Benoît XIV condamne « l'ordre maçonnique » dans l'encyclique Providas romanorum pontificum. Celle-ci interdit à tout chrétien catholique la fréquentation des francs-maçons.
En 1870, le Président du Gouvernement, Manuel Ruiz Zorrilla, était Grand Maître du Grand Orient d’Espagne, de même qu’un autre Président du Gouvernement, Práxedes Mateo Sagasta (personnage emblématique du libéralisme espagnol) et le ministre et grand mathématicien Manuel Becerra. Le Grand Orient d´Espagne créera 350 loges en Espagne et 106 à Cuba, aux Philippines, à Porto Rico et Lisbonne. Quant au Grand Orient National d’Espagne, plutôt conservateur, il comptera jusqu’à 331 loges. Mais déjà la maçonnerie espagnole était affligée d’un mal qui ne la quitterait pas : sa grande fragmentation en une mosaïque confuse d’obédiences. Lors du dernier tiers du XIXe siècle, outre les deux déjà citées, on peut dénombrer, au moins, dix autres obédiences, sans compter les loges qui dépendaient des Grands Orients de France, d’Italie ou du Portugal. En tout, pendant cette période, plus de 1 700 loges furent créées en Espagne et dans ses territoires d’outre-mer (Cuba, Porto Rico et Philippines). Malgré cela, le panorama s’éclaircit avec l’instauration en 1889 du Grand Orient Espagnol (GOE) qui unifia, grâce à l’historien Miguel Morayta, une bonne partie des loges du Grand Orient d´Espagne et du Grand Orient National d’Espagne. On peut affirmer que le GOE est le plus représentatif de la tradition maçonnique espagnole, bien qu’il faille reconnaître le rôle important de la Grande Loge Symbolique Régionale Catalane, fondée en 1886, avec Rossend Arús comme premier Grand Maître, et convertie, en 1921, en Grande Loge Espagnole. Au cours du premier tiers du XXe siècle, la franc-maçonnerie continua d’être très présente dans la vie politique espagnole. La dictature de Primo de Rivera (1924-1930) intensifia en effet l’afflux de politiques vers les loges où ils trouvèrent un refuge pour les débats. Pour cette raison, l’assemblée constituante de la IIe République comptait un tiers de députés initiés et six ministres du premier gouvernement provisoire l’étaient aussi.
En 1821, le moine bénédictin Pie VII dénonce toute forme d'activité maçonnique dans le document Ecclesiam a Jesu Christo. En 1826, Léon XII y va de sa condamnation dans Quo Graviora. Le 24 mai 1829, Pie VIII publie les intentions de son pontificat dans l'encyclique Traditi Humilitati nostrae. Celle-ci témoigne également d'une prise de position houleuse envers la maçonnerie. Le 15 août 1832, l'encyclique Mirari Vos de Grégoire XVI ne mentionne pas la franc-maçonnerie mais condamne l'indifférentisme religieux, qui est l'une des charges souvent retenues contre la franc-maçonnerie par les textes pontificaux. Certaines sources catholiques romaines identifient ce document comme antimaçonnique. Le pape Pie IX, qui effectua le plus long pontificat de toute l'histoire, prohiba lui aussi la franc-maçonnerie au travers du texte Qui pluribus. Entre 1854 et 1873, quatre encycliques et une bulle, antimaçonniques, sont publiées par Pie IX, dont Qui Pluribus, en 1846 et Quanta cura en 1864. Son successeur, le pape Léon XIII signera, de 1882 à 1902, huit encycliques condamnant la franc-maçonnerie. L'une d'elles est Humanum genus, une lettre écrite en 1884 d'une trentaine de pages adressée aux évêques « condamnant le relativisme philosophique et moral de la franc-maçonnerie ». En 1917, le code de droit canonique déclare explicitement que l'appartenance à une loge maçonnique entraîne l'excommunication automatique. Le 19 mars 1937, le pape Pie XI fait publier Divini Redemptoris, une encyclique portant sur le « communisme athée » et déclarant qu'il est « intrinsèquement pervers ».
Le 23 janvier 1983, le canon 2335, notifié dans le Code de Droit Canonique de 1917 est remplacé par celui numéroté 1734, qui ne fait plus mention explicite de la franc-maçonnerie mais « d'association qui conspire contre l'Église ». Le 26 novembre 1983, dix mois après la révision de la loi canonique, une déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi, alors dirigée par le cardinal Joseph Ratzinger (devenu par là suite, le pape Benoît XVI) réaffirme l'interdiction faite aux catholiques de rejoindre la maçonnerie sous toutes ses formes ou tendances.
Après la Seconde Guerre mondiale, la franc-maçonnerie en Italie est une nouvelle fois réanimée. Les Italiens exilés sortent des loges de leur sommeil et la présence des militaires américains encouragent le réveil de l'Ordre. Pourtant, les conflits internes du xixe siècle et du début du xxe siècle reprennent de plus belle ce qui empêche la fusion des obédiences. Ainsi, la Grande Loge d'Italie est réanimée en 1961 faisant front au très marqué à gauche Grand Orient d'Italie. Mais des changements culturels interviennent dans les années 1960. Le Grand Orient d'Italie cesse d'être un bastion de gauche pour amorcer une reconnaissance par Londres. Ces démarches sont entamées sous la grande maîtrise de Giordano Gamberini (1961-1970) puis par son successeur Lino Salvini (1970-1978). Le Grand Orient d'Italie rompt alors ses relations avec le Grand Orient de France en 1972 et s'ouvre à tous les courants du paysage socio-politique italien, entraînant en l'occurrence l'affaire de la fameuse fausse loge « Propaganda Due ». Embourbée dans les affaires et dans les conflits internes de plus en plus intenables, un groupe de frères décident de rompre avec le Grand Orient d'Italie et forment la Grande Loge régulière d'Italie. Fondée en 1993, elle décide d'épurer ses rangs et de satisfaire aux principes de reconnaissance anglais. Ainsi, elle se voit immédiatement reconnue par Londres ! Le Conseil supérieur de la magistrature italien a interdit depuis 1993 aux magistrats d'appartenir à une loge maçonnique ! Si la persécution de la franc-maçonnerie en Espagne par l’Inquisition fut tenace à partir de 1738, et celle impulsée, de 1814 à 1833, par Fernando VII, très dure, rien ne peut être comparé à la haine et à l´obsession antimaçonnique de Franco, qui « criminalisa » et détruisit implacablement et systématiquement tout soupçon de franc-maçonnerie, l’éliminant complètement, et pendant quarante ans, de la vie espagnole. Tous les clichés alimentés par l’intégrisme catholique et les forces réactionnaires européennes dès les dernières décennies du XIXe siècle furent revendiqués par Franco de façon indistincte, et résumés par le fameux refrain du « complot contre-nature judéo-maçon-communiste » qu’il répéta inlassablement jusqu’à son dernier discours, peu de temps avant de mourir en 1975. L’obsession de Franco fut telle qu’il alla jusqu’à publier en 1952 un livre antimaçonnique sous le pseudonyme de J. Boor, intitulé La Masonería. Avec Franco, toutes les accusations classiques des réactionnaires espagnols contre la maçonnerie furent officialisées. Elle était reconnue coupable de tous les maux : de la perte de l’empire colonial et de la décadence comme nation jusqu’aux conflits civils et à l’instauration de la République. Sans oublier, bien sûr, la « Semaine Tragique » de Barcelone, en 1909, que l’illustre pédagogue libertaire et maçon Francesco Ferrer i Guàrdia fut accusé de fomenter. Son inique procès et son exécution bouleversèrent toute lEurope. Toute cette immense propagande antimaçonnique, répétée jusqu’à satiété durant les quarante années du franquisme, a laissé, sans nul doute, un fond de rejet et, surtout, de méfiance envers la maçonnerie, encore perceptible, surtout chez les personnes de plus de cinquante ans. Parmi les plus jeunes générations, qui ont grandi avec la démocratie, ce refus instinctif a logiquement disparu. Mais le vide existant pendant la si longue nuit du franquisme fut dévastateur pour la maçonnerie en Espagne, laquelle, quarante ans après la mort de Franco, n’a pas réussi à reverdir, tant s’en faut, les lauriers du passé. Il est vrai que la présence de la maçonnerie dans la vie publique espagnole est acceptée, mais sa présence sociale est presque insignifiante.
La franc-maçonnerie retrouve sa liberté (1979) en Espagne car il faut le dire, n’est pas un terrain propice à la construction maçonnique. Elle ne l’a jamais été. En Espagne, il n’y a pas eu une grande tradition maçonnique parce qu’il n’y a pas eu une tradition libérale forte – libéralisme au sens moral et sociologique et non politique ou économique. Comme le signale l’historien Santos Juliá : « Il n’y a pas eu, certainement, dans notre histoire récente, une tradition plus malmenée que celle du libéralisme espagnol. » Par contre, les pulsions auto-ritaires tiennent par malheur une grande place dans l’histoire de l’Espagne. En 1977, avec les premières élections démocratiques, la franc-maçonnerie fit acte de présence pour la première fois en Espagne depuis la guerre civile (1936-1939). L’adoption de la Constitution en décembre 1978 garantit un régime de libertés qui permettait la reconstruction de la maçonnerie. Après certaines résistances gouvernementales, fruits de méfiances post franquistes, le 21 novembre 1979 la franc-maçonnerie espagnole sera finalement légalisée, et le Grand Orient Espagnol (GOE), qui avait rejoint l’hospitalité de la maçonnerie mexicaine et qui représentait la continuité historique, sera inscrit au Registre des Associations du ministère de l’intérieur. Mais déjà les premiers pas rendirent évidentes les sérieuses difficultés que la maçonnerie espagnole allait rencontrer dans cette nouvelle étape de son histoire. Les personnes chargées de la légalisation du GOE perdirent la confiance placée en eux et furent radiées, mais elles gardèrent le nom et la lettre de patente. Les représentants légitimes de la maçonnerie en exil prirent un autre nom, celui de Grand Orient Espagnol Uni. Après maintes péripéties, le GOE (réduit au minimum) fut pris en main par la GLE (Grande Loge d’Espagne) dont le noyau fondateur était constitué par les loges qui formaient le district espagnol de la Grande Loge Nationale Française (GLNF), et qui représente depuis 1981 ladite maçonnerie « régulière » reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre (GLUA). Un an auparavant, en 1980, la Grande Loge Symbolique Espagnole (GLSE) était née, avec les loges qui avaient rejeté le lien avec la GLUA, le considérant comme étranger à la tradition maçonnique espagnole. La GSLE adhéra au courant adogmatique et libéral que représentaient le Grand Orient de France (GODF) et le Grand Orient de Belgique (GOB), et en 1992, se convertit en Obédience mixte sous la formule nouvelle de la « triple option », qui acceptait en son sein la coexistence de loges masculines, féminines et mixtes. Depuis 1983, elle fait partie du CLIP-SAS, la fédération internationale de la franc-maçonnerie libérale.
Le 2 mars 2007 le Vatican redit son opposition aux francs-maçons. « L'appartenance à la franc-maçonnerie et à l'Église catholique sont incompatibles » aux yeux de l'Église, rappelle Mgr Gianfranco Girotti (en), régent du tribunal de la pénitencerie apostolique. Le prélat souligne que « l'Église catholique a toujours critiqué la conception mystique propre à la franc-maçonnerie, la déclarant incompatible avec sa propre doctrine » Le Saint-Siège rappelle également avec la Congrégation pour la doctrine de la foi que l'adhésion à une loge maçonnique demeure interdite par l'Église. Ceux qui y contreviennent sont en état de « péché grave » et ne peuvent pas avoir accès à l'eucharistie. En juin 2013, Pascal Vesin, prêtre catholique du diocèse d’Annecy, curé de Megève et franc-maçon est sommé, sur ordre du Vatican et d'après la bulle pontificale, d’abandonner toute fréquentation avec le Grand Orient de France10. L'affaire fait alors grand bruit et sera à l'origine de nombreuses parutions. L'écrivain Claude Thomas prend alors position et écrit « Je suis chrétien et franc-maçon, où est le problème ? » dans lequel il explique que la position de l’Église catholique, qui considère comme incompatible le fait d’être franc-maçon et chrétien, est rétrograde. José Gulino, grand maître du Grand Orient de France estime : « Alors que, depuis quelques années, nos relations avec l'Église catholique s'étaient améliorées, on se croirait revenu au temps de l'Inquisition. Au fond, l'Église reproche à Pascal Vesin d'avoir voulu réfléchir ». Mgr Bernard Podvin, le porte-parole de la Conférence des évêques de France rappellera « l'incompatibilité entre l'engagement chrétien et l'engagement maçonnique, en particulier pour un ministre du culte ». José Antonio Ferrer Benimeli, prêtre jésuite et professeur ´histoire contemporaine de l´Université de Saragosse, est un personnage référence de l’histoire de la maçonnerie. Internationalement reconnu, il a fondé en 1983 le Centre d’études historiques de la maçonnerie espagnole (CEHME). Il n´est pas franc-maçon. Les critiques musulmanes à l'encontre de la franc-maçonnerie sont rares et historiquement récentes ; elles n'en demeurent pas moins épisodiquement virulentes. À ce titre, le 15 juillet 1978, une fatwa est prononcée en Égypte par le Collège islamique de l'université al-Azhar du Caire. Celle-ci prohibe formellement l'initiation maçonnique aux musulmans. Toutefois, de nombreux pays de traditions musulmanes comme le Maroc, la Turquie ou encore l'Algérie n'ont pas intégré cette fatwa dans le cadre de leurs législations respectives ! Bien que quelques communistes connus aient pu être francs-maçons à une période de leur vie, notamment en France (Marcel Cachin, André Marty, etc.), les partis communistes ont, à partir des années 1920, majoritairement condamné la franc-maçonnerie, considérée comme véhiculant une idéologie bourgeoise. Les états communistes l'ont interdite en tant que mouvement ayant des liens avec le « monde impérialiste » et échappant au contrôle des partis communistes uniques. Certains considèrent que la franc-maçonnerie n'est en fait qu'un vaste réseau social construit dans l'intérêt de ses membres. Des pratiques douteuses ont parfois impliqué des francs-maçons voire des loges entières, telle l'affaire des fiches en France au début du xxe siècle, l'affaire Roberto Calvi ou celle de la Loge P2 dans l'Italie des années 1980.
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 16 min
O CYCLE DES EAUX, ANTIGONE LA SAGE VOIT LE TYPHON ET LE CYCLONE !
LA COMBATTANTE C'EST ÊTRE EN LE VOULOIR DE SA PATRIE ET DE GARDER SON ÉTHIQUE DE CARACTÈRE
QU'ELLE SOIT DE DROITE OU DE GAUCHE !
LA JUSTICE POSSÈDE DEUX PLATEAUX, NE L'OUBLIEZ JAMAIS, DÉMOCRATE ET RÉPUBLICAINE.
TAY
LE RELATIONNEL DE LA SITUATION EN LE MARIAGE ? DANS LA CIRCONSTANCE DE VIVRE, ON FAIT DES CHOIX DE RAISONS OÙ FINALEMENT L'AMOUR
PEUT PARAÎTRE SECONDAIRE CAR SI LE RESPECT EST UNE ÉTHIQUE, IL DEMEURE BIEN FROID DEVANT L'ARDEUR DE LA PASSION AMOUREUSE. Y'BECCA EN JÉRUSALEM !
TAY
EN LA VÉRITÉ ET LA LIBERTÉ !
LA CIRCONSTANCE DU DÉBAT AUX GERMES DE SA PROPRE VISION OÙ UN SON SE FAIT ENTENDRE ET IL EST LIMPIDE DE LA VIE :
LE PHÉNOMÈNE S’ATTRIBUÂT LA DURÉE ET LE PHÉNOMÈNE DEVIENT LE LIEU CAR
LE FONDAMENTAL EST LE PRINCIPE DE CELUI QUI ACQUIERT SES DROITS.
TAY
LE SENTIMENT D'ÊTRE A TOUJOURS ÉTÉ DANS LE PROPRE DE LA VIE : LE CONTEXTE GÉOGRAPHIQUE
IMPOSE UN SENTIMENT
DANS LEQUEL L'INDIVIDU ÉVOLUA DANS LE TERRITOIRE : LE TÉMOIGNAGE EST LE TEMPS QUI A COMPOSÉ
CES RESSOURCES
QUI ONT ENGENDRÉ NOS RÉFLEXIONS.
TAY
QUIÉTUDES !
UN FRUIT ET LA RACINE NE SONT PAS TOUJOURS LIÉS ENTRE LES PARENTS ET LES ENFANTS :
DANS LE CONCEPT DE L'ANCÊTRE,
IL Y A DES LIENS ET DES VERS QUI CONSTRUISENT L'ANTHROPOLOGIE : L'ÉMERGENCE DU MAMMIFÈRE
N'A PAS DÉVOILÉ TOUTES SES ORIGINES HISTORIQUES ET MYSTIQUES.
TAY
POUSSIÈRES DANS L’ÂME EST NÉE LE PRINCIPE : LA CONSCIENCE DE JUSTICE EN LA PASSION ET LA PAIX.
LE SOUVENIR EST UN SENTIMENT NOBLE CAR ELLE IMPLIQUE LA RÉALITÉ ET LA CONSCIENCE :
C'EST PAR ELLE QUE NAÎT LES PREMIERS SENTIMENTS. L'AUDACE ET L'INSTINCT DANS LA MÉMOIRE :
YAHVÉ.
TAY
PAINS DU DIMANCHE À LA PETITE BOUGIE QUI RÉCHAUFFE LES ORPHELINES EN LE PHARE DE LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES :
TOUTES LUMIÈRES ONT BESOIN D'UNE BOUGIE ET D'UNE BOUTEILLE D'EAU POUR RÉCHAUFFER LA SOLITUDE DE L'ORPHELIN SANS SOUILLÉ SON ÉTHIQUE D'EXISTENCE EN SES ÉVOLUTIONS.
TAY
LA FIERTÉ EST UNE PRIÈRE CAR,
DANS CE MARASME, NOUS POUVONS ÉVOLUER DANS L'IDOLÂTRIE NAÏVE OU DANS UN FATALISME MALSAIN.
LES MOMENTS INTERPELLENT L'EXISTENCE ET L'ÉMOTION. L'ÉVOLUTION PEUT METTRE EN ÉVIDENCE DES LIGNES OÙ
LES ÉCRITURES CONFRONTENT
LES ACTES ET LES LIVRES.
TAY
L'AUDACE ET L'INSTINCT. DANS LA MÉMOIRE, IL Y A LA MÉTAPHYSIQUE DES MENSONGES, DES VÉRITÉS,
DES ACTES ET DES LOIS :
YAHVÉ NE CONNAISSAIT PAS LA FAUTE ET LE CHAOS. DANS SON MYSTÈRE,
IL AVAIT RESSENTI SANS CONNAÎTRE :
UNE ÂME AYANT SOIF D'UNE NATURE EN L'INSTANT ET L'INFINI.
TAY
LE CHANT EST TEL LE CHAOS QUI ENGENDRA LA NUIT, LA CONSCIENCE ET LE DRAGON. LE TEMPS EST LE TÉMOIGNAGE
DE CELUI
QUI ENGENDRA LA PROMESSE ET LE DEVENIR. LE DÉVELOPPEMENT NE PEUT ENLEVER LE PRINCIPE D’ÉVOLUTION
QUI EST UN SENTIMENT NATUREL DE L'EXISTENCE ET DE L'INFINI : YAHVÉ.
TAY
POUSSIÈRES DANS L’ÂME EST NÉE LE PRINCIPE : LA CONSCIENCE DE JUSTICE EN LA PASSION ET LA PAIX.
LE SOUVENIR EST UN SENTIMENT NOBLE CAR ELLE IMPLIQUE LA RÉALITÉ ET LA CONSCIENCE :
C'EST PAR ELLE QUE NAÎT LES PREMIERS SENTIMENTS. L'AUDACE ET L'INSTINCT DANS LA MÉMOIRE :
YAHVÉ.
TAY
JUSTICE POUR MASHA AMINI !
LE VENT EST SOUFFLE OU UN PASSAGE PERMETTANT D'ACCÉDER AUX DISTANCE. LE LIEU SE LIVRE
AUX VARIATIONS ET LA TEMPÊTE DÉVOILE SUR LE CONCRET. LES PHARES REGARDENT LES RESPONSABILITÉS
ET LE NUAGE DONNE LA NOTION DE L’ALÉATOIRE : LA NATURE SAUVAGE.
TAY
JUSTICE POUR MASHA AMINI !
LE TÉMOIGNAGE SE FAIT VOIX DANS LE TESTAMENT OÙ LA JUSTICE IMPLIQUE LE RESPECT SUR LA RAISON !!!
LA CONSCIENCE DE JUSTICE EN LA PASSION ET LA PAIX CAR,
LE SOUVENIR EST UN SENTIMENT NOBLE :
LA CONNAISSANCE QUI ÉTAIT FRUIT EST DEVENUE UNE FORÊT.
TAY
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des robots et des logiciels et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini