Chili : au moins 51 morts dans les feux qui ravagent le pays ! 43 000 hectares ont déjà été brûlés au Chili, ce dimanche 4 février. Le bilan humain s’est aggravé, au moins 51 morts sont à déplorer. Depuis plusieurs jours, des flammes de plusieurs dizaines de mètres de hauteur ravagent certaines zones du Chili. Cela forme d’importants nuages de fumée, les habitants doivent fuir sous un ciel d’apocalypse. L’état d’exception vient d’être décrété par le gouvernement. Désemparées, certaines familles impuissantes regardent leur région brûler. "C’était terrifiant ! Jamais de ma vie je n’avais éprouvé autant de peur dans une telle situation", témoigne une habitante.
Selon le professeur Miguel Rodriguez de l'Université de Séville, la sécheresse qui touche actuellement le sud de l'Espagne a commencé en 2011. Les deux indicateurs de cette sécheresse sont une pluviométrie inférieure à la moyenne et des températures plus élevées. Ce printemps, l'Andalousie a d'ailleurs battu de nombreux records de températures. Des records ponctuels, comme le 25 avril 2023, où le thermomètre est monté jusqu'à 38 degrés à Cordoue. Le mois de mars a quant lui été le plus chaud jamais enregistré. Jeudi 1er février, le niveau des immenses réservoirs et lacs de barrage, construits dans les années 1960 pour emmagasiner l’eau de pluie, dont dépend notamment l’agglomération de Barcelone, est descendu sous la barre des 100 hectomètres cubes d’eau, soit 16 % de leur capacité, un seuil considéré comme critique par le gouvernement catalan. Il a donc pris la décision de décréter l’état d’urgence pour sécheresse et de renforcer les mesures de restriction de consommation d’eau déjà mises en place très progressivement ces deux dernières années. « Cette crise nous met à l’épreuve, a déclaré le président du gouvernement régional catalan, de la gauche indépendantiste, Pere Aragonès. Nous devons nous préparer à une nouvelle réalité climatique. Cette sécheresse a des conséquences sur les quantités d'eau disponibles dans les barrages qui alimentent les grandes agglomérations comme celle de Malaga et ses 600'000 habitants. À la fin du mois de mai, le taux de remplissage des cinq barrages qui approvisionnent l'agglomération était compris entre 10 et 30% de leur capacité maximale. C'est à cette période de l'année, à la fin du printemps, qu'ils sont censés être à leur maximum.
Des restrictions d'eau malgré tout et usine de dessalement !
Le Koweït (prononcé en français : /ko.wɛ(.i)t/), en forme longue l'État du Koweït (en arabe : دولة الكويت, dawlat al-kuwayt), est un pays d'Asie occidentale et du Moyen-Orient. Situé au nord-est de la péninsule arabique, aux abords du golfe Persique, il partage ses frontières avec l'Arabie saoudite6 et l'Irak. Au Koweït, le régime politique est une monarchie constitutionnelle héréditaire, avec un émir pour chef d'État (émirat), la religion d'État est l'islam, la langue officielle l'arabe, la monnaie nationale le dinar koweïtien et la capitale, qui est aussi la plus grande ville, est la ville de Koweït8. Il obtient son indépendance du Royaume-Uni, le 19 juin 1961. Important producteur de pétrole, le Koweït est membre de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Par ailleurs, le pays ne compte ni cours d'eau ni lacs permanents ; les eaux souterraines sont les seules sources d'eau naturelle.
Les réservoirs sont descendus à 16 % de leurs capacités, un seuil critique. Particuliers, entreprises, agriculteurs : six millions de personnes subissent les restrictions imposées par le gouvernement régional dans la province de Barcelone et une partie de celle de Gérone. Habituée des sécheresses, l'Andalousie est un laboratoire pour la gestion de l'eau ! Début janvier, les agences météorologiques catalane et espagnole avaient annoncé, enfin, l’arrivée de trombes d’eau sur Barcelone : au moins 150 litres de pluie par mètre carré, assuraient-elles. Il n’est finalement tombé que 15 litres. Suffisamment pour que cela soit célébré sur les réseaux sociaux comme la promesse de la fin d’une sécheresse interminable. Ce qui n’a pas été le cas. Pis, le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré. Dans le sud de l'Espagne, l'Andalousie est connue pour son climat semi-aride, qui ressemble à celui de l'Afrique du Nord. Mais la sécheresse qui sévit actuellement est historique et les ressources en eau se font plus rares que jamais. Habituée depuis toujours à optimiser sa consommation d'eau, cette région est un laboratoire du changement climatique, forcée d'innover pour ne pas se retrouver complètement à sec. De tous les grands prédateurs, l’humain est assurément le plus vorace. Depuis des siècles, nous éliminons méthodiquement nos plus grands concurrents. Mais l’histoire offre parfois de jolis pieds de nez. Alors que nos excès menacent de rendre la planète inhabitable, les écologues proposent de faire appel aux grands prédateurs pour nous aider à sauver ce qui peut encore l’être. Ils avancent pour argument les effets parfois spectaculaires constatés après le retour de ces animaux installés au sommet de la chaîne alimentaire. Les traces d'habitation humaine au Qatar remontent à 50 000 ans. Des colonies et des outils datant de l'âge de pierre ont été mis au jour dans la péninsule. Des objets mésopotamiens, datant de la période d'Obeïd (vers 6500-3800 av. J.-C.), ont été découverts dans des établissements côtiers abandonnés. En 224 après J.-C., l'empire sassanide prend le contrôle des territoires entourant le golfe Persique10. Les territoires de l'actuel Qatar ont joué un rôle dans l'activité commerciale des Sassanides, contribuant notamment à l'apparition de deux produits : les perles précieuses et les colorants. Exemple emblématique, la croissance des populations de loups dans le parc de Yellowstone, aux Etats-Unis, s’est accompagnée d’une augmentation du couvert végétal et d’une stabilisation des berges. Motif avancé : ils dévorent les wapitis. Or, ces charmants cervidés, s’ils ne sont pas maîtrisés, broutent tout sur leur passage, pousses et racines comprises. « Il manquait toutefois des expériences contrôlées pour apporter la preuve de cet effet de cascade », écrit l’écologue suédois Johan Eklöf, dans un article de commentaire publié dans la revue Nature du 31 janvier.
>> Relire : Une température de 38,8 degrés enregistrée en Espagne, un record en avril
"Que le Seigneur nous sauve de cette sécheresse" !!!
Dans la ville de Jaen, connue pour ses oliveraies, les habitants se sont tourné vers Dieu et les prières pour faire tomber la pluie. Cet évènement insolite, une procession religieuse chrétienne qui s'appelle "El abuelo", n'avait plus été organisée dans la ville depuis 1949, selon le diocèse de la province. Cela montre à quel point la question de l'eau et de sa rareté est présente dans la culture populaire andalouse. La longue histoire des techniques pour canaliser l'eau ! Plus de 1000 ans après l'apparition des "acequias", l'Andalousie reste un territoire qui innove dans les techniques d'irrigation, de traitement des eaux usées et de leur réutilisation. La région d'Almeria est le poumon agricole de l'Andalousie, de l'Espagne et même de l'Europe. C'est là que se trouve la zone d'El Ejido, un immense territoire recouvert jusqu'à l'horizon des serres qui abritent des zones de cultures intensives. Il faut dire que l'Andalousie manque d'eau, mais pas de soleil, bénéficiant d'un climat propice à l'agriculture maraîchère à toute saison. La zone d'El Ejido est souvent pointée du doigt pour ses méthodes d'agriculture, les conditions sociales des travailleurs qui sont employés. Mais c'est aussi un endroit qui doit innover pour continuer à produire et alimenter le marché alimentaire européen. L'économie de la région en dépend, l'approvisionnement alimentaire du continent aussi. Importée par les Romains et ensuite par les Arabes à l'époque où la péninsule ibérique était dominée par l'empire arabe, la technique des "acequias", des fossés d'irrigation creusés sur les flancs du massif montagneux de la Sierra Nevada, est toujours employée, plus de 1000 ans après. Ces canaux ont été entretenus de générations en générations et ils ont modelé le paysage dans les régions de Grenade et d'Almeria. Selon les recherches du professeur d'archéologie Jose Maria Civantos, coordinateur du Memolab (laboratoire d'archéologie bio-culturelle de l'université de Grenade), il y a 24'000 kilomètres de ces canaux creusés tout autour de la Sierra Nevada. Ce professeur souligne que les "acequias" ont non seulement une valeur historique et culturelle, mais qu'elles ont également un rôle de régulation des ressources en eau. Elles permettent l'existence d'une faune et d'une flore qui disparaîtraient si elles n'existaient pas.
Avec des ressources en eau de plus en plus faibles, les eaux utilisées dans ces cultures proviennent essentiellement de l'usine de dessalement de l'eau de mer, une technique dans laquelle l'Espagne est à la pointe mais qui présente des limites: elle demande énormément d'électricité pour fonctionner et produit une saumure très polluante. Une autre technique, développée en partenariat avec la plateforme solaire d'Almeria, consiste à traiter les eaux usées urbaines, industrielles ou agricoles à l'aide des rayons ultraviolets du soleil. Une technique de plus en plus employée, qui permet d'optimiser au maximum le cycle de l'eau. Des start-up innovent aussi avec des systèmes d'irrigation "intelligents" qui permettent d'arroser au bon moment et d'éviter les pertes liées à l'évaporation. D'autres imaginent également des systèmes de plomberie qui évitent le gaspillage de l'eau dans les ménages ou les entreprises. Malgré tout ce savoir-faire, l'Andalousie n'échappe pas aux pénuries et aux restrictions. Depuis le printemps 2022, les fameuses douches de plage qui servent à se rincer du sel de mer sont coupées et le resteront pour cet été 2023. Certains villages ont même dû être approvisionnés en eau potable. Dans la région de Malaga, une loi pourrait prochainement être adoptée interdisant de remplir les piscines des particuliers avec de l'eau potable. Pour conclure, alors que des régions situées plus au nord en Europe commencent à souffrir du manque d'eau provoqué par le changement climatique, l'Andalousie est un véritable laboratoire. Des techniques parfois ancestrales parfois hyper modernes dont certaines régions jusque-là épargnées par la sécheresse pourront s'inspirer dans le futur.
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 25 min
L'ALTERNATIVE DE VOULOIR PRÉFACER UN DOMAINE DE REÉCRITURE EN VOULANT ATTROUPER L'INSTINCT ANIMAL, L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LA PENSÉE HUMAINE EN DES DOMAINES COMMUNS HOSTILITÉS ET DE CONTRADICTION POUR IMPOSER SA NUANCE D'UN NOUVEAU MONDE FACULTATIF EST LA VIF DU SOI ?
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 16 min
En réponse à @Senat
DAWLAT AT LAT AL-KUWAYT EN LA BOITE DE RÉCEPTION ET LA PRÉOCCUPATION TEMPORELLE DE DAWLAT QUATAR OÙ LE TOUT EN CHACUN DES DIPLÔMES ET DES GÉOSTRATÉGIES SE SENT DANS UN NOUVEAU AUSTERLITZ :
CHAQUE MOUVANCE DES CARTELS AUX BANLIEUES CROIT PERCEVOIR UN CHANGEMENT DE HIÉRARCHIE !
TAY
VAGABOND EN ROUTE SUR MOSCOU !
MA LAÏCITÉ EST UN POUSSIN :
NON À L'ESCLAVAGE, OUI À LA GRÉVE !
L'INTELLIGENCE NE FAIT PAS L'ART ET LA STUPIDITÉ N'EST PAS CETTE MAÎTRESSE DE LA LOBOTOMIE !
LES JALOUSIES, LES GUERRES ET LES AVARICES QU'ENTRAÎNENT LA CROISSANCE ET LA RICHESSE !
TAY
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini