compagnon.yanis.tignard@Yanis_Tignard · 11 min
En réponse à @UNHCRAfg @Refugees et @BRACworld
MALGRE LES DIFFICULTÉS QUE RENCONTRENT LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE
DANS Y'BECCA EN JÉRUSALEM, L'ESPOIR DEMEURE POUR UNE PAIX FRAGILE ET RETROUVÉE AUTOUR DE DIEU, DES PEUPLES ET DE L'EAU :
L'INCRÉDULITÉ EN UNE SOURCE D'INSPIRATION !
TAY
EN L’ÉGIDE SENTIMENTALE QUI GUIDA L'EXISTENCE DE GILBERT DU MOTIER DE LA FAYETTE, LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'AFGHANISTAN ET
SA CONSTITUTION DEMEURENT LA CONSCIENCE D'UNE FRONTIÈRE BRISÉE ET J'AI AUTORISATION DE DÉFENDRE SES DROITS EN LA MECQUE ET L'INFINI
AU NOM DE DIEU.
TAY
AUX AIGUILLES DES MOUVEMENTS DES MARÉES, MAINTENANT; JE GUIDERAI
LES VOYAGEURS DEPUIS MON PHARE ET DANS MON RIEN :
JE DISTINGUE LE CONFLIT DE LA COLÈRE OU CELUI DE LA PAIX SUR LA SÉRÉNITÉ CAR, JE NE L’ÉTEINDRAI JAMAIS MA SOIF ET MA FOI
EN L'OCÉAN, LE TEMPS ET L'EXISTENCE !
TAY
L'EXISTENCE DE GILBERT DU MOTIER DE LA FAYETTE DÉFENDS LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE D'AFGHANISTAN EN L’ÉLÉMENT PRIMORDIAL ET
LE FONDAMENTAL DANS CE QUI EST SES INSTINCTS ET SES ADVERSITÉS :
VIVRE EN UNE NOUVELLE LOI DU TRAVAIL SUR LA CONDITION ET DE LA CONDITION SUR LE TRAVAIL !
TAY
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 14 min
En réponse à @MID_RF @AmbRus_Algerie et 6 autres personnes
1°/ DÉVELOPPER LA CULTURE GÉNÉRALE POUR PERMETTRE LE DÉVELOPPEMENT DES ORIENTATIONS POUR L'EMPLOI, LES SYSTÈMES D’ÉDUCATIONS,
LES INTENTIONS ET LA TRANSMISSION DES SAVOIRS.
2°/ LE PROGRÈS SPATIAL, LES TRANSPORTS ET LES COMMUNICATIONS :
HUMAINES, SATELLITAIRES ET NATURELLES...
TAY
LE DESTIN EN LE DESSEIN D'UN PEUPLE : LA RECHERCHE DE RESPONSABILITÉ
EN LA RÉALITÉ DE LA NATURE SAUVAGE !
LA SÉCURITÉ ET LA PRÉVENTION DANS LE SOCIAL, L’ÉCOUTE ET L’HYGIÈNE. LA LIBERTÉ EST UN AVENIR ET L'ÉTHIQUE DEVIENT L'ÊTRE :
LA JUSTICE, LE SERVICE PUBLIC ET LE PARLEMENT.
TAY
SAUVEGARDE DU SERVICE PUBLIC ET DES ACQUIS SYNDICAUX DANS LES PROGRAMMES JURIDIQUES
SUR LA PROTECTION CONTRE L'ESCLAVAGE, CONTRE LA TORTURE MORALE ET PHYSIQUE,
CONTRE LES HARCÈLEMENTS MORAUX ET PHYSIQUES ET, CONTRE LES VIOLS MORAUX ET PHYSIQUES !
TAY
SE TENIR PRÊT DANS L'IMPROBABLE ET IMPRÉVISIBLE POUR ÊTRE LES APTITUDES EN L’INTÉRÊT DU QUOTIDIEN ET DE L’ÉVOLUTION DANS CES DÉVELOPPEMENTS :
LA SÉCURITÉ ET LA PRÉVENTION DANS LE SOCIAL, L’ÉCOUTE ET L’HYGIÈNE DANS LES ACQUIS SYNDICAUX ET LA SAUVEGARDE DU SERVICE PUBLIC.
TAY
DANS LE COURAGE DE DIRE TEL FRANÇOIS MITTERAND ET DE JACQUES CHIRAC TOUT COMME DE PIERRE MESSMER :
DEVANT UNE QUELCONQUE DICTATURE, ROYAUTÉ, DÉMOCRATIE OU RÉPUBLIQUE ! JE SUIS LE VASSAL DE LA SÉPARATION DES POUVOIRS, DE MA CONSTITUTION ET DE L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE !
TAY
L'IRRUPTION ET LA BALEINE DANS L'ORBITE DES SOLSTICES, LA LUNE PARLE D'UNE ÉGALITÉ
ENTRE LES ÉQUINOXES.
SI L'UNIVERS N'EST PAS LE DESTIN, LA MOUETTE CONSTRUIT
SON CHEMIN DANS LES MOUVEMENTS ; LE SOLEIL ALORS,
SE DÉCIDE AUX DÉRIVES DU MOMENT POUR LE REFLET D'UNE MARÉE :
RÊVES.
TAY
LA RÉCOLTE !
L'OUVRIÈRE EN LA HOUILLÈRE SEMBLE ÊTRE LOINTAINE EN NOTRE ÉPOQUE.
POURTANT, CES SOUVENIRS
DEMEURENT DANS DE NOMBREUSES FAMILLES
QUI ONT CONSTRUIT LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE:
AINSI NAQUIT LA RESPONSABILITÉ CONCERNANT
L'ACTUALISATION DES ASPIRATIONS INSTINCTIVES !
TAY
LA JUSTICE EST L'ÉTHIQUE DE L'ASPECT ET LA DEMEURE N'EST PLUS LE SANCTUAIRE DU SANG ?
L'ÉCLIPSE ET L'EXISTENCE SUR LES PLAINES DE L'ÉPOPÉE EN LA RUE DONNENT CALVAIRE OU RÉUSSITE EN NOS MONDES EN LA
RÉALITÉ DE NOTRE RESPONSABILITÉ TELLE LA JEUNE FILLE ET LA MORT : DIT L'IRAN !
TAY
AH, MES BEAUX VAURIENS, LES FEMMES SONT LES GRANDES OUBLIÉES DE NOS MONDES CONTEMPORAINS AUTANT DANS L'OCCIDENT QUE DANS L'ORIENT :
DES SOUVENIRS DEMEURENT DANS DE NOMBREUSES FAMILLES OÙ ON ATTRIBUE LA FERTILITÉ AUX NAISSANCES QUE DONNENT LES ÉPOUSES ET LES CONCUBINNES !
TAY
MES BEAUX VAURIENS, OUI ! VOILÀ CE QU'AURAIT DIT JACQUES CHIRAC ET FRANCOIS MITTERAND AUTANT À EUX MÊMES
QU'AUX DIFFÉRENTES PHALLANGES POLITIQUES DES MONDES CONNUS : LES ÉPOUSES ET LES CONCUBINNES SANS OUBLIER LES MAÎTRESSES,
LES GRANDES OUBLIÉES DE NOS MONDES CONTEMPORAINS.
TAY
LA CIRCONSTANCE AMÈNE L'AMÉNAGEMENT D'UNE ÉLECTRICITÉ OÙ L'ÉLECTRONIQUE
EST UNE EMPATHIE CAR L'EMPREINTE A DÉSIRÉ APPORTER UNE NOUVELLE CONSCIENCE
DANS LA CONNAISSANCE : L'ALLIAGE EST UNE AUDACE ET L'INDISPENSABLE AMÈNE
AUX YEUX DE L'ÉVOLUTION.
Y'BECCA EN JÉRUSALEM !
TAY
LA NATION EST UN SENTIMENT ET L'ÉTAT EST UNE DEMEURE :
LA JUSTICE, L’AÉROPORT, LES TÉMOIGNAGES ET LES TESTAMENTS.
LE LANGAGE EST LE TERME QUI DÉFINIT UN TERME DE COMMUNICATION ENTRE DEUX ÊTRES :
LES TEMPÊTES, LES IRRUPTIONS VOLCANIQUES ET UN URBANISME CANNIBALE SONT PRÉSENTS
TAY
EN LES ABYSSES, LES MARINS RÉCITENT DES PRIÈRES AVANT QUE LE MORT
NE REJOIGNE LE RIVAGES DES SIRÈNES :
EN L’ALLUMETTE, IL Y A CETTE DIRECTION DE L'AIR. LA LANTERNE EST LE MOYEN
DE TROUVER LA VIE : AU CENTRE DE LA TERRE, IL N'Y A QU'UN DIEU ET C'EST CELUI
AUQUEL ON CROIT.
TAY
DANS ET EN L'UNIVERS, IL Y A LES ÉCLAIRS, LES TONNERRES ET LES NUAGES :
LES CYCLONES SONT TELS DES ASTÉROÏDES. CE SONT DES ASPIRATIONS INSTINCTIVES DE LA VIE.
CHACUN POSSÈDE SON TESTAMENT ET SON HÉRITAGE DE L'ORIGINE : L'OMBRE ET L'ORÉE DANS LES CIRCONSTANCES DES MOUVEMENTS !
TAY
L'UNIVERS SE CONSTRUIT PAR LA POUSSIÈRE POUR ÉTABLIR LES CONSÉQUENCES ET LA NATURE SAUVAGE SE DÉVELOPPE EN LA SOCIÉTÉ CAR
L'HUMANITÉ EST UNE SOURCE DU SOUFFLE
ET LA FILLE DE LA VIE : SES MESURES MONTRENT LES MOUVEMENTS DES RÉALITÉS CAR L'EXISTENCE L'EXPRESSION ET LA LIBERTÉ.
TAY
Diversité, où es-tu ?
Au-delà de l’intérêt des inventaires biologiques, dans lesquels chaque espèce compte, l’analyse de la diversité de la flore marine a permis de mieux comprendre la distribution des espèces au sein même des archipels polynésiens et d’établir les relations biogéographiques avec les régions voisines. Chaque archipel affiche une originalité. Celui des Australes est caractérisé par un cortège d’espèces d’algues brunes dont la présence s’explique en partie par les températures plus fraîches. Aux Tuamotu, univers particulier d’îles basses coralliennes, la flore est moins riche mais typiquement corallienne ; c’est le royaume des algues vertes avec de nombreuses Caulerpa et Halimeda dont certaines, restreintes à l’archipel rivalisent avec l’exubérance des glacis d’algues rouges calcaires si caractéristiques des platiers externes d’atolls. Les îles Marquises quant à elles, dépourvues de complexe récifal, offrent entre autres des trottoirs basaltiques entrecoupés de cuvettes où se nichent de nombreuses espèces, dont certaines sont encore récoltées pour être consommées. L’étude en cours des récoltes de 2011 révélera sans doute de nouvelles espèces pour la région, voire pour la science, confirmant ainsi le micro-endémisme associé à cet archipel. Enfin, le record du nombre d’espèces revient aux îles de la Société où la diversité des habitats se conjugue avec la richesse des communautés biologiques. Aujourd’hui, plus de 220 taxons sont recensés dans la seule île de Moorea.
Étude descriptive aux Urgences du Centre
Hospitalier de Mayotte d’une population
migrant pour raison de santé
Directeur de thèse : M. le Docteur Maël Voegeli
Rapporteur de thèse : M. le Professeur Pierre Aubry
Membres du Jury
M. le Professeur Xavier Combes Président
M. le Professeur Peter Von Theobald Jury
M. le Professeur Bernard-Alex Gauzère Jury
Mme le Docteur Céline Lartigau-Roussin Jury
M. le Docteur Maël Voegeli Jury
Table des matières
INTRODUCTION : ............................................................................................................................................6
I- CONTEXTE GEOGRAPHIQUE DE MAYOTTE ET DES COMORES :.........................................................................................8
II- HISTOIRE DE MAYOTTE ET DES COMORES :................................................................................................................9
1- Des premiers peuplements des Comores à la décolonisation : ..............................................................9
2- Les relations Franco-Comoriennes en droit international depuis l’indépendance: ..............................13
3- Histoire des migrations comoriennes :.................................................................................................15
4- Une histoire sanitaire commune ..........................................................................................................16
III- SYSTEME DE SANTE AUX COMORES ET A MAYOTTE...................................................................................................20
1- Données épidémiologiques comparatives :..........................................................................................20
2- La santé aux Comores : ........................................................................................................................20
3- Le système de santé à Mayotte :..........................................................................................................28
IV- L’IMMIGRATION CLANDESTINE SUR MAYOTTE :.......................................................................................................32
1- Données sur les migrants à Mayotte : .................................................................................................32
2- Les motifs de migration :......................................................................................................................33
3- Description des réseaux de passeurs :..................................................................................................34
4- La lutte contre l’immigration illégale :.................................................................................................36
5- Parcours du migrant arrêté en mer :....................................................................................................37
V- LES MOBILITES THERAPEUTIQUES :.........................................................................................................................39
1- Circulation thérapeutique : ..................................................................................................................40
2- Migration médicale :............................................................................................................................41
VI- PRESENTATION DE L’ETUDE :...............................................................................................................................44
MATERIEL ET METHODE :..............................................................................................................................45
I- LIEU DE L’ETUDE :..........................................................................................................................................46
II- POPULATION ETUDIEE : ..................................................................................................................................47
1- Critères d’inclusion :.............................................................................................................................47
2- Critères d’exclusion : ............................................................................................................................47
III- LES DONNEES DE L’ETUDE :..............................................................................................................................48
1- Le questionnaire informatisé : .............................................................................................................48
2- Données récupérées à postériori :........................................................................................................49
IV- INFORMATION DU PATIENT ET RECUEIL DES DONNEES :..........................................................................................51
V- EXTRACTION ET ANALYSE DES DONNEES :............................................................................................................51
RESULTATS :..................................................................................................................................................52
I- DESCRIPTION DE LA POPULATION DE L’ETUDE :..........................................................................................................53
1- Nombre de patients inclus : .................................................................................................................53
2- Information sur l’étude et recueil du consentement :..........................................................................53
3- Âge, sexe et langue parlée : .................................................................................................................54
4- Catégories socio professionnelles : ......................................................................................................54
5- Personne référente pour les mineurs : .................................................................................................55
6- Adresse hors Mayotte : ........................................................................................................................56
II- DESCRIPTION DES CONDITIONS DE VENUES SUR MAYOTTE : ........................................................................................57
1- Décideur du départ pour Mayotte : .....................................................................................................57
2- Coût du transport :...............................................................................................................................57
3- Nombre de personnes embarquées à bord du Kwassa kwassa : .........................................................58
4- Conditions d’arrivées :..........................................................................................................................58
5- Lieu d’arrivée sur Mayotte : .................................................................................................................59
6- Nombre de jours entre arrivée et consultation : ..................................................................................59
III- DESCRIPTION DES PATHOLOGIES AYANT MOTIVE LA MIGRATION SUR MAYOTTE :............................................................60
1- Date de début de la pathologie initiale :..............................................................................................60
2- Un traitement a-t-il été initié aux Comores ? :.....................................................................................61
3- Le patient a-t-il été hospitalisé dans le pays d’origine ? ......................................................................61
4- La pathologie a-t-elle été traitée dans l’Océan Indien : .......................................................................62
5- La pathologie a-t-elle déjà été traitée sur Mayotte ? ..........................................................................63
IV- DESCRIPTION DES DEMANDES ADMINISTRATIVES : ...................................................................................................64
1- Une demande d’Evasan pour Mayotte a-t-elle été faite ? ...................................................................64
2- Une demande de visa a-t-elle été faite aux Comores ?........................................................................66
3
3- Un titre de séjour est-il envisageable pour le patient ?........................................................................66
4- Un avis ou un suivi psychologique semble-t-il nécessaire ? .................................................................66
V- DEVENIR DES PATIENTS APRES LEUR PASSAGE AUX URGENCES :....................................................................................67
1- Classification clinique des patients à leur arrivée aux urgences du CHM :...........................................67
2- Mode de transfert qui aurait été le plus adapté en fonction de l’état clinique du patient, classé à
partir des critères de transfert infirmier inter hospitalier (TIIH) : .................................................................68
3- Orientation des patients après leur passage aux urgences : ...............................................................69
VI- DESCRIPTION DES PRINCIPALES FILIERES DE SOINS : ..................................................................................................71
1- Chirurgie orthopédique : 72 patients, plus 14 diabétiques : ................................................................72
2- Patients pris en charge en Réanimation : 32 patients .........................................................................74
3- Service de pédiatrie : 27 patients.........................................................................................................76
4- Oncologie : 24 patients........................................................................................................................77
5- Diabète : 36 patients inclus plus 14 hospitalisés à Dzaoudzi ...............................................................78
6- Cardiologie : 22 patients......................................................................................................................78
DISCUSSION :................................................................................................................................................79
I- RESULTATS PRINCIPAUX : ................................................................................................................................81
1- Information des patients et inclusion à l’étude :..................................................................................81
2- Description de la population ................................................................................................................81
3- Descriptions du parcours de soins aux Comores : ................................................................................83
4- Conditions de transport en Kwassas: ...................................................................................................85
5- Les patients aux urgences de Mamoudzou:.........................................................................................87
II- LES FORCES ET LES LIMITES DE L’ETUDE :.............................................................................................................90
1- Les points forts de l’étude : ..................................................................................................................90
2- Les différents biais de l’étude :.............................................................................................................90
III- DESCRIPTION DES PRINCIPALES FILIERES DE SOINS ET PROPOSITIONS POUR L’AVENIR :..................................................92
1- La chirurgie orthopédique :..................................................................................................................92
2- Patients nécessitant une prise en charge en réanimation : .................................................................93
3- Pédiatrie :.............................................................................................................................................94
4- Oncologie : ...........................................................................................................................................95
5- Diabétique et Hypertendus: .................................................................................................................95
6- Propositions pour l’avenir : ..................................................................................................................96
CONCLUSION : ..............................................................................................................................................98
BIBLIOGRAPHIE :...........................................................................................................................................99
ANNEXES : .................................................................................................................................................. 104
ANNEXE 1 : EXTRAITS DE RESOLUTIONS DE L’ONU ET DE LA DECLARATION DE PARIS :.......................................................105
ANNEXE 2 : LES DEMANDES D’ASILE A MAYOTTE :......................................................................................................107
ANNEXE 3 : FICHE D’INFORMATION PATIENT : ...........................................................................................................108
ANNEXE 4 : CAPTURES D’ECRAN DU QUESTIONNAIRE INFORMATISE DE L’ETUDE :..............................................................109
ANNEXE 5 : RECIT D’UNE TRAVERSEE .......................................................................................................................112
ANNEXE 6 : ANALYSE DES DONNEES SUR LES ETRANGERS EN SITUATION IRREGULIERE AU CENTRE DE TRI DE PETITE TERRE : .......114
ANNEXE 7 : LES MIGRANTS ET LA LOI FRANÇAISE : LE DROIT D’ENTREE ET DE SEJOUR, DROIT A LA SANTE ET DROIT DU SOL :........116
1- Projet d’ordonnance sur l’adaptation du CESEDA à Mayotte : ..........................................................116
2- Droit à la santé des Migrants :...........................................................................................................117
3- Le droit du sol :...................................................................................................................................117
ANNEXE 8 : POSTER PRESENTE AU CONGRES DE LA SFMU (SOCIETE FRANÇAISE DE MEDECINE D’URGENCE) A PARIS EN JUIN 2014 :
........................................................................................................................................................................119
SERMENT MEDICAL :................................................................................................................................... 120
RESUME...................................................................................................................................................... 121
4
Table des illustrations :
Carte 1 : Archipel des Comores. ............................................................................................................. 9
Carte 2 : Histoire de Mayotte et des Comores. .................................................................................... 12
Carte 3 : Structures sanitaires à Anjouan et actions de rénovation en cours par l’Agence Française du
Développement. (Source : projet PASCO de l’AFD).............................................................................. 27
Carte 4 : L’immigration comorienne (44) ............................................................................................. 35
Carte 5 : Origine géographique des patients aux Comores (carte découpée selon les aires de santé).56
Tableau I : Données épidémiologiques comparatives, Comores- Mayotte- Métropole....................... 20
Tableau II : Évolution des effectifs médicaux aux Comores. ................................................................ 21
Tableau III : Organigramme de l’organisation du système de santé aux Comores au niveau
périphérique......................................................................................................................................... 23
Tableau IV : Pays et aires de santé dont sont originaires les patients inclus........................................ 56
Tableau V : Durée moyenne et coût du séjour en fonction des services d’hospitalisation.................. 70
Tableau VI : Résumé des différentes pathologies orthopédiques en fonction de la durée et du coût
d’hospitalisation moyen. ...................................................................................................................... 73
Graphique 1 : Répartition des lieux de naissance chez les habitants nés hors de Mayotte et résidant
sur l’île en octobre 2007. (5)................................................................................................................. 33
Graphique 2 : Motivations de migration et d’installation des migrants nés à l’étranger (octobre 2007)
.............................................................................................................................................................. 34
Graphique 3 : Reconduites à la frontière de 2001 à novembre 2013 (46), comprenant les Étrangers en
situation irrégulière (ESI) interceptés en mer et ceux arrêtés sur le territoire mahorais..................... 37
Graphique 4 : L’activité médicale au CRA en 2012 et 2013.................................................................. 38
Graphique 5 : Répartition des catégories socio professionnelles en fonction du sexe. ....................... 54
Graphique 6 : Personne référente pour les mineurs inclus à l’étude................................................... 55
Graphique 7 : Nombre de personnes embarquées à bord des Kwassa-Kwassa transportant les
patients inclus à l’étude........................................................................................................................ 58
Graphique 8 : Nombre de jours entre l’arrivée sur Mayotte et la consultation aux Urgences du CHM
.............................................................................................................................................................. 59
Graphique 9 : Intervalle de temps entre le début de la pathologie et la consultation au CHM........... 60
Graphique 10 : Hospitalisation ou non des patients inclus, en fonction du critère CCMU. ................. 67
Graphique 11 : Mode de transfert qui aurait été le plus adapté en fonction de l’état clinique du
patient, classé à partir des critères de TIIH. ......................................................................................... 68
Graphique 12 : Nombre de patients en fonction de la spécialité de prise en charge et du secteur
adulte ou pédiatrique........................................................................................................................... 71
Graphique 13 : Nombre de demandes d’asiles de 2001 à 2013......................................................... 107
Graphique 14 : Nombre de migrants arrêtés en mer et vus au centre de tri infirmier en 2013 ........ 114
Graphique 15 : Devenir des étrangers en situation irrégulière, triés par l’infirmier comme nécessitant
une évaluation par le médecin ou la sage-femme de Dzaoudzi (de juin à octobre 2013) (M.Gaussein,
sources : cahiers d’admissions aux urgences de Dzaoudzi)................................................................ 114
Graphique 16 : Nombre de femmes enceintes vues au centre de tri infirmier de Petite Terre et
adressées à la maternité de Dzaoudzi en 2013. ................................................................................. 115
5
Liste des abréviations :
AFD : Agence Française du Développement
AME : Aide Médicale Etat
APRF : Arrêté Préfectoral de Reconduite à la Frontière
CESEDA : Code de l’Entrée et du Séjour des Etrangers et du Droit d’Asile
CHM : Centre Hospitalier de Mayotte (hôpital de Mamoudzou)
CHN : Centre Hospitalier National (hôpital El Maarouf à Moroni, Grande Comore)
CHU : Centre Hospitalier Universitaire (hôpital de St Denis à la Réunion)
CMU : Couverture maladie universelle
COMEDE : Comité Médical pour les Exilés
CRA : Centre de Rétention Administrative
CSSM : Caisse de Sécurité Sociale de Mayotte
DIM : Direction de l’information médicale
ESI : Etranger en Situation Irrégulière
Evasan : Evacuation Sanitaire
FCR : Fond de Coopération Régional
GTHN : Groupe de Travail de Haut Niveau
INSEE : Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques
NC : Non Communiqué
ODSE : Observatoire du Droit à la Santé des Etrangers
OFPRA : Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides
ONG : Organisation Non Gouvernementale
ONU : Organisation des Nations Unies
PAF : Police Aux Frontières
PASCO : Projet d’Appui au Secteur de la Santé aux Comores
PIB : Produit Intérieur Brut
RUP : Région Ultra Périphérique
SMUR : Service d’Aide Médicale Urgente
TIIH : Transfert Infirmier Inter Hospitalier
TOM : Territoire d’Outre-Mer
UHCD : Unité d’Hospitalisation de Courte Durée
La Polynésie : une étape entre l’ouest et l’est du Pacifique !
La flore marine de Polynésie appartient à la grande province biogéographique de l’Indopacifique qui s’étend au niveau de l’équateur, sur les trois quarts de la circonférence du globe. Côté Pacifique, la région la plus riche se situe à l’ouest dans le triangle de corail délimité par les Philippines, l’Indonésie et les îles Salomon. Depuis cette région, le nombre d’espèces diminue progressivement vers l’est mais également avec la latitude, vers le nord et aujourd’hui comme l’approche la plus rigoureuse en systématique, est également appliquée aux algues. Alliant désormais les caractères morphologiques à ceux issus des approches moléculaires, elle est employée pour décrire les nouvelles espèces, comme l’Halimeda heteromorpha, ou encore réviser le statut taxonomique, comme pour le genre Sargassum qui ne comprend finalement que 3 espèces au lieu des 18 proposées par Setchell en 1929. vers le sud de part et d’autre de la zone intertropicale. La Polynésie se situe sur ce gradient décroissant, avec trois fois plus d’espèces qu’à l’île de Pâques mais deux à trois fois moins qu’en Indonésie, où le nombre d’espèces pourrait dépasser le millier. Plusieurs genres très communs en zones tropicales sont mal représentés, comme les algues vertes des genres Rhipilia, Udotea, ou encore Bornetella, voire totalement absents, comme Tydemania expeditionis si commune à Fidji par exemple. Mais dans la guerre des nombres, l’absence de certaines espèces est largement compensée par la diversité en paysages sous-marins et en habitats. Le contraste entre les différents archipels singularise la Polynésie et son patrimoine naturel.
La mémoire des algues !
Les algues calcaires ont la particularité de laisser à leur mort un squelette calcaire qui se conservera à travers les âges. Ces structures pourront être interprétées à la lumière des connaissances sur les espèces actuelles et leur association, en termes de paléoenvironnements dans l’étude des archives sédimentaires. Ainsi, l’utilisation des algues calcaires prélevées par forage ou dragages dans les récifs fossiles de Tahiti ou des Marquises a permis, grâce aux compétences des équipes de géosciences de l’IRD, de contribuer à retracer les paléoenvironnements et l’histoire géologique très récente des Marquises.
La consommation des algues : du présent au passé !
On connaît peu de choses sur la consommation des algues en Polynésie pour les périodes récentes ou celles antérieures au contact européen. Les dix espèces recensées de nos jours pour être consommées ne concernent que les archipels des Marquises et des Australes, et les pratiques varient selon les lieux. C’est aux Marquises que la diversité est la plus grande, avec 7 espèces contre 4 aux îles Australes. Faute d’informations précises dans les écrits des premiers Européens, il est difficile d’estimer si cette pratique était plus développée dans le passé que de nos jours. On peut néanmoins penser qu’elle n’a jamais connu la même ampleur que dans l’archipel voisin de Hawai’i où plus de 30 espèces sont consommées et vendues sur les marchés ethniques. Cette pratique est une survivance du passé encore bien vivante chez la plupart des anciens qui détiennent notamment les noms vernaculaires et autres renseignements. Ainsi, l’espèce Caulerpa racemosa est appelée en marquisien « imu topua » (algue-fleur) à Ua Huka ou « imu pukupuku (algue-boulette) à Nuku Hiva, « konini » à Rapa et « remu vine » (algue-grappe de raisin) à Tubuaï. On constate que, sauf à Rapa, l’utilisation d’un mot qui désigne l’espèce fait référence à une fleur, ou au raisin, traduisant l’influence européenne dans l’ajout ou la substitution de termes descriptifs. Quoi qu’il en soit, cette pratique pré-européenne est une parcelle de préhistoire qui perdure et dont l’étude est une contribution à la reconstitution de la relation des anciens Polynésiens avec leur environnement marin.
Des recherches encore à venir !
Au plan systématique, il reste sans doute encore beaucoup à découvrir dans les nombreuses îles qui n’ont jamais été prospectées, mais aussi dans la tranche bathymétrique en dessous de 40 m qui n’a été que peu étudiée. La généralisation de la taxonomie intégrative dans les projets à venir repoussera très certainement les limites de la richesse en espèces. Les voies de recherche ouvertes avec l’écologie chimique et l’étude des interactions entre coraux et algues permettront de comprendre les stratégies de développement de certaines espèces dont les proliférations pourraient remettre en question l’état de santé des récifs ; c’est précisément l’objectif du projet Seaprolif développé actuellement par l’IRD dans le cadre du programme européen Netbiome. Outre la compréhension des mécanismes fondamentaux qui président au fonctionnement des écosystèmes, les travaux sur les algues en écologie chimique ouvrent des perspectives importantes dans le domaine de la chimie bleue aux débouchés multiples pour la société. Les végétaux marins sont un réservoir de molécules pour de nouveaux procédés biotechnologiques. Ces perspectives suscitent de par le monde de plus en plus de recherches en pharmacologie, cosmétique et alimentation, et la Polynésie devrait pouvoir continuer à y prendre part.
Les Antilles françaises (en anglais: French West Indies ou FWI ; en créole haïtien: Zantiy franse) sont les îles françaises de l'archipel des Antilles dans la mer des Caraïbes.
Ancienne partie intégrante des Îles et Terre Ferme de l'Amérique et de l'Empire colonial français jusqu'en 1946, ces territoires deviennent à cette date des départements d'outre-mer (collectivité territoriale).
Liste des îles des Antilles françaises
Les Antilles françaises (en rouge) depuis 1814
L'archipel de la Guadeloupe qui forme administrativement avec ses dépendances à la fois un département et une région d'outre-mer (DOM et ROM, ou DROM) ainsi qu'une région ultrapériphérique (RUP) de l'Union européenne, son code officiel géographique départemental (COG) est le 971. L'archipel se compose de deux îles principales :
Basse-Terre
Grande-Terre
La Désirade : un haut plateau calcaire de 21 km2, située en plein océan Atlantique, elle est l'île la plus orientale des Antilles françaises. L'île dépend administrativement de la Guadeloupe.
Marie-Galante : la troisième île la plus étendue des Antilles françaises. Elle est également rattachée au département de la Guadeloupe sur le plan administratif et jouit donc des prérogatives relatives au statut européen de ce dernier.
L'archipel des Saintes : composé de deux terres habitées (Terre-de-Haut et Terre-de-Bas) et de quelques ilots déserts. Il est également une dépendance administrative du département de la Guadeloupe et inclut donc les régions ultrapériphériques de l'union européenne par l'intermédiaire de celui-ci.
La Martinique : l'île de la Martinique forme administrativement une Collectivité territoriale unique d'outre-mer sous le code officiel géographique 972. Elle compte aussi parmi les régions ultrapériphériques de l'Europe.
Saint-Barthélemy : cette île du nord des Antilles, ancienne dépendance de la Guadeloupe, est devenue sur le plan administratif, une collectivité d'outre-mer (COM). Même si le code postal 97133 relatif à la Guadeloupe demeure, son code est le 977 depuis les changements intervenus à la suite de la loi organique no 2007-223 du 21 février 2007 publiée au Journal Officiel no 45 du 22 février 20072 portant dispositions statutaires et institutionnelles relatives à l'outre-mer3. Elle est incluse parmi les régions ultrapériphériques de l'Europe jusqu'au 1er janvier 2012, date officielle où l'île est devenue le premier pays et territoire d'outre-mer français de la Caraïbe.
Saint-Martin : la partie nord de l'île est française. Le sud est, quant à lui, le territoire du pays autonome Sint-Maarten du royaume des Pays-Bas. Depuis la loi organique no 2007-223 du 21 février 2007 publiée au Journal Officiel no 45 du 22 février 20072, dans les mêmes conditions que Saint-Barthélemy, la partie française, ancienne dépendance de la Guadeloupe, est passée du statut de commune à celui de collectivité d'outre-mer (COM). Son C.O.G est 978, même si le code postal 97150 relatif à la Guadeloupe reste d'actualité3. Elle est incluse dans les régions ultrapériphériques de l'Europe.
Répartie sur 2 835 km2, la population totale des Antilles françaises est de 844 811 habitants en 2008.
Quel que soit le poste de soignant, en dispensaire ou dans les services de l’hôpital de
Mayotte, nous sommes amenés à traiter des patients originaires des Comores. Nous les rencontrons
à l’accueil des Urgences, les vêtements et le carnet de santé encore mouillés par la traversée,
fatigués par le départ nocturne et la peur de se faire intercepter par la police ou pire, de chavirer.
Rares sont les patients qui se présentent seuls; la famille ou des amis du village, qu’ils soient
comoriens ou bien mahorais les ont retrouvés sur la plage ; ou bien informés de leur arrivée sur l’île
se présentent aux urgences, image de ces liens familiaux qui relient les îles de l’archipel.
Ces patients sont nombreux, et à chaque fois le motif de consultation est sérieux. Parfois les
malades arrivent dyspnéiques avec une bouteille d’oxygène déjà vide, une fracture ouverte non
immobilisée, ou bien encore avec une poche de transfusion coagulée…
À l’heure actuelle encore aucune étude n’avait été faite pour chiffrer et connaître les motifs
de santé qui poussent les patients à risquer la traversée entre Anjouan et Mayotte.
L’étude a été réalisée sur une période de six mois aux urgences du centre hospitalier de
Mamoudzou, de juin à novembre 2013.
L’objectif principal de ce travail est de faire un état des lieux sur la migration sanitaire en
décrivant le profil épidémiologique des patients arrivants illégalement pour soins sur Mayotte.
Essayer de comprendre la migration sanitaire est une des premières étapes pour identifier
les problématiques de santé aux Comores et ainsi tenter d’apporter une aide adaptée à cette
demande de soins. Développer la coopération régionale par le biais de missions médicales et
améliorer le système des évacuations sanitaires Comores- Mayotte permettraient de diminuer les
retards de prises en charge et les risques pris par ces patients pour accéder aux soins.
Nous allons dans une première partie resituer Mayotte et les Comores dans leur
environnement géographique puis dans une deuxième partie leur histoire et les rapports politiques
souvent conflictuels qui en ont découlé. Dans une troisième partie, nous comparons des indicateurs
de santé puis décrivons les systèmes de santé aux Comores et sur Mayotte. Dans une quatrième
partie nous présentons le phénomène d’immigration sur Mayotte avec des clandestins arrivants de
l’ensemble des Comores mais aussi de l’Afrique ; nous décrivons également les moyens mis en place
pour lutter contre l’arrivée des migrants. Pour finir, nous présentons plus précisément la mobilité des
patients comoriens dans l’Océan Indien et plus particulièrement sur Mayotte avec le processus légal
des évacuations sanitaires ainsi que l’immigration clandestine de patients venant pour soins. Pour
finir nous présentons l’étude que nous avons effectuée aux Urgences de Mamoudzou.
TIGNARD YANIS @Yanis_Tignard 21 avr.
LA JUSTICE FRANÇAISE DOIT CLARIFIER LA SITUATION ET L'AVENIR : TELS SONT LES RAISONS D'UN DISCOURS QUI DÉSIGNE
LE DESTIN ET OÙ LA VÉRITÉ DIT SES DIRE. ON NE PEUT OUBLIER LES VICTIMES SANS DÉROGER LA PRÉSOMPTION D'INNOCENCE
PAR UN SILENCE MALSAIN. AINSI EST LE SAVOIR DU TEMPS.
TAY
REGARDS DE NOTRE DAME DE PARIS. O REFLET, PUISSE TU INTERPELLER LEURS VANITÉS. DANS LA VÉRITÉ,
J'AI ENTENDU SES PRIÈRES ET SES CLAMEURS QUI ONT CONSTRUIT LES FRÉNÉSIES ET LES ESPÉRANCES.
EN MON CŒUR RÉSONNENT ÉTERNELLEMENT SES SOUPIRS QUI CONDUISENT LES ÂMES ET LES ESPRITS.
TAY
TEL UNE ÂME VAGABONDE, JE SUIS LA CHARITABLE QUI CHERCHE À FUIR MON AMOUR.
J'AURAI REÇU AVEC HOSPITALITÉ ŒDIPE ET ANTIGONE SANS CRAINTE DES FOUDRES DE THÈBES : J
E DÉFIERAI LES CRUAUTÉS, LES VANITÉS ET LES MENSONGES POUR VOUS. JE SUIS NOTRE DAME DE PARIS.
TAY
LES VIERGES NOIRES DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE SONT LE TÉMOIGNAGE DES MILLÉNAIRES QUI ONT TRAVERSÉ
L'HISTOIRE DE FRANCE : NOTRE DAME DE PARIS EST UN HÉRITAGE DES SENTIMENTS QUI UNISSENT
LES VIKINGS DE CAPET, LES OMEYYADES DE CHARLEMAGNE ET LES FONCTIONNAIRES DE LA RÉPUBLIQUE.
TAY
POMPIERS DE PARIS NE PERÇOIVENT PAS NOTRE DAME DE PARIS COMME UNE SCÈNE DE CRIME :
IL LA SOIGNE EN SA DIGNITÉ ET SES LÈVRES DE PIERRES. LE PRINCIPE DU SECOURISME QUI DONNE CETTE CIRCONSTANCE FRANÇAISE
ET NAGALÏÉW EST HEUREUSE D'ÊTRE UNE ESPÉRANCE MODESTE DANS LEUR QUOTIDIEN.
TAY
LA FOI EN LA RÉPUBLIQUE EST QUE CHACUNE ET CHACUN PUISSENT DEVENIR UNE RÉALITÉ DE L'ÉVOLUTION, DE L'AUDACE DE L'HUMANITÉ
DANS LE TEMPS ET L'UNIVERS. CE PÉRIPLE NE PEUT ÊTRE DÉCRIT CAR CHACUN POSSÈDE SA VOLONTÉ DANS LE TUMULTE DES POUSSIÈRES ET DES SONS.
TAY
SI LE TERME VEUT SE DÉROBER AU VERBE, LA PERSONNALITÉ NE PEUT S'ATTRIBUER UNE DICTATURE POUR LE PLAISIR
DE SON ÉVOLUTION. NOTION DE DROITS DANS LE TEMPS OÙ LE SÉNAT FUT DÉVORÉ PAR DES PÉRICLÈS ET DES NÉRONS
QUI DANS LE PRESTIGE AFFAIBLISSENT LE DEVENIR ET LE PARTAGE.
TAY
LE VOLCAN RUMINE SES SOUPIRS ET LA TERRE TRANSPIRE SES GRONDEMENTS. LA TEMPÊTE SOUFFLE SUR LES RIVAGES ET LE PHARE
TÉMOIGNE DE SA VOLONTÉ DANS LES FUREURS : NOTRE DAME DE PARIS, LES VIERGES NOIRES ET LA RADIO.
L'HUMANITÉ DOIT DÉFENDRE SES PRINCIPES DE LIBERTÉS ET DE VIVRE.
TAY
LA CONDITION DE L'ANIMAL NE DOIT PAS NOUS FAIRE CROIRE À UNE SUPÉRIORITÉ SUR LA NATURE.
NOTRE DAME DE PARIS S'EST ABNÉGATION DU CROIRE DANS LE TEMPS, NOTRE DAME DE LA GARDE S'EST LA COHABITATION
DEVANT LE MISTRAL ET LES TEMPÊTES : NOUS SOMMES.
TAY
LA TEMPÊTE SONNE SUR LE FAIT ET LE SENTIMENT DE DÉCEPTION S'ABAT SUR LA VALEUREUSE COLOMBO.
POURTANT, SON POUVOIR DE DÉVELOPPEMENT RESTE DANS LE DEVENIR DE L'ÉVOLUTION :
LE DESTIN SPATIAL ET LE SOUFFLE DU DESSEIN DANS LE DEVENIR ET L'HARMONIE.
TAY
BÉATITUDE SUR L'ÉVOLUTION OÙ L'OCÉAN INDIEN FAIT PARVENIR SES PROPRES HANTISES SUR LES SENTIMENTS ET LES RÉALITÉS :
NOUS DEVONS RÉAGIR DEVANT DES MARIAGES PRINCIERS QUI ASSOIENT LA POPULATION AU DÉTRIMENT DU PRINCIPE D’AUMÔNERIE
ET DE PARTAGE.
TAY
LE DÉVELOPPEMENT EST UNE ÉTHIQUE DANS L'ÉVOLUTION ET PERMETTRE DE SE DISTINGUER DANS L'HONNEUR ET LA DIGNITÉ.
LA RICHESSE N'EST PAS UN CRIME MAIS QUE LES BANQUETS DEVIENNENT DES GOURMANDISES ET DES FRÉNÉSIES
ALORS LA JUSTICE DOIT INTERVENIR DEVANT CE GASPILLAGE DE NOURRITURE.
TAY
MYTHES. LE NUAGEUX RÈGNE SUR UN ASPECT DE L'INFINI. QUELS SONT CES MOUVEMENTS QUI ENSEIGNENT LE CRÉPUSCULE ET LA RÉALITÉ ?
LA NATURE EST DANS SA NAISSANCE CAR AYANT CET ALVÉOLE DE TOURBILLONS DANS L'INFINI : ÉMERVEILLÉ PAR SES MYSTÈRES.
TAY
LA CONVICTION DONNE LIEU À DES CONVERSIONS. LA NATURE FIGURE DANS LE MOMENT OÙ LE SEUIL EST DEVENU LE TEMPS.
DANS CES FIGURATIONS OÙ SE SITUE LE BIG BANG ET CETTE IMMENSE ÉTINCELLE QUI RETENTIT DANS LE SOUFFLE :
LE VERBE DU SILENCE ENGENDRA LA LUMIÈRE.
TAY
LE SYMBOLISME EST DANS LA SENSIBILITÉ CAR IL SIGNIFIE UN CROIRE. CE SENTIMENT QUAND IL EST DANS L'ÉTHIQUE ET L'ÉTENDUE
EST LE PLUS NOBLE DES CARACTÈRES QUE L'ON PUISSE TROUVER DANS LA NATURE :
CETTE DÉFINITION EST LA RÉALITÉ DE LA RESPONSABILITÉ DANS LA JUNGLE.
TAY
LA TUNIQUE ET LE TIGRE. DEVANT L'EMPEREUR, LE TIGRE BRANDIT SA TUNIQUE ET SA FEMME DEVIENT UNE JUNGLE POUR DÉFINIR
LA NOTION DE JUSTICE FACE À LA TYRANNIE DE CALIGULA. LA CALLIGRAPHIE GARDE MÉMOIRE DANS LE TEMPS DE CES ACTES QUI ÉRIGEA
UNE ABNÉGATION DANS LE SOUFFLE.
TAY
LA FLEUR ROUGE EST LE NOM QUI EST DÉSIGNÉ PAR LES ANIMAUX POUR DÉFINIR LE FEU. LE TIGRE GUIDE LES ÉLÉPHANTS
DANS LES ÉLÉMENTS ET TEL UN PHARE, LES LOUPS SONT LES CRIS DE LA LUNE. LA LUMIÈRE INCARNAIT PAR UNE PANTHÈRE NOIRE
ET LE TEMPS SE MUE EN UN OURS : LA PRINCESSE DE MARS.
TAY
SOCIÉTÉS. ON NE PEUT DISSOCIER LA PRINCESSE DE MARS ET LE LIVRE DE LA JUNGLE : CES VARIATIONS SUR LA NATURE
SONT D'UN AUTEUR. LA PERCEPTION D'UN UNIVERS LIÉE EN SES PARADOXES ET CES PHÉNOMÈNES PERMETTANT À UNE ÉTHIQUE
DE S'ÉTABLIR DANS UN ENVIRONNEMENT AUTRE QUE LA SIENNE.
TAY
Remerciements
Dactyle
University of South Pacific, Antoine R. de N’Yeurt,
Université de la Polynésie française
University of California Berkeley (Gump station Moorea)
IRD (Coreus et EIO)
Financements passés :
Orstom (TypAtoll), UPF (Contrat État territoire),
Financements récents et en cours :
AAMP, IRD (ERA-Net Netbiome)
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini