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 Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...

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yanis la chouette




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MessageSujet: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:00

Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... Partie 1

Les Hommes-Animaux alors se regroupèrent et décidèrent d'élire un nouveau guide...
Tous les animaux étaient là du lion au Gnou, de l'albatros au colibri, des Ents aux
éléphants...

-"Traffics ligthts... Ils déboisent et ils se divisent... Ils se détournent de Yahvé... ils se moque des langues diverses de Dieu et ils se crache sur Les Vierges et les Amazones... Ils ne songent qu'à apporter le cri et la douleur au cri d'une feuille de route..." Hurla le Lion de Jersey.

-"A la bonne heure, Toi qui te fais faire des effigies tout comme des Césars... Le feu sacrée s'est savoir reconnaître ses ennemies ! Tu t'es auréolé d'attribut... Tu t'es fait couronner dans le royaume des hommes !" s'écrit la cigogne verte...

-"Tu as érigé des dictature afin selon tes dires, purifié la gangrène du communisme et de sa tour de Babel, Tchernobyl... Et du gaullisme, le procès et l'abdication ! Quand je pense à toutes ces rumeurs et chimères sur la dénonciation de Jean Moulins... Et puis, Yalta... Diffamation, injustice... Tu insulte, tu nous... Et pourtant, elle porte le courage tout comme la colombe !" rajoute TAY la chouette effraie...

-" le référendum ne te donne pas droit de juger mon peuple, Qui que tu sois, malgré l'age, je suis encore vivante... Je suis la Lion du Roseau... Du haut de ta tour, Tu contrôle, tu entends et tu complote, O mélancolique démon... Tu poursuit tes éloges et tes flatteries; mais tu ne construit pas l’Orgueil de ses Vieux Coqs et de leur Fermier... Sahler, Marjinth et Aakbar regarde l'olivier qui grandit, Lui et sa République eurent le courage de se soulever contre ton droit divin de la Chancellerie des Carolingiens" S'écrie Elisabeth-Mathilde, La Lionne du Roseau.

Police La Coatie écoute de ses oreilles et observe de ses yeux, la réaction des Dragons et de leurs alliés, le peuples des cétacés et des phoques... L'Ours Blanc et Le Manchot semble être en accord avec la Lionne du Roseau... C'est alors que de nouveaux personnage entre en scène...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:01

Titre : Le chapelet des Mavromikhalis
Poète : Charles Marie René Leconte de Lisle (1818-1894)
Recueil : Poèmes tragiques (1895).

Les Mavromikhalis, les aigles du vieux Magne,
Ont traqué trois cents Turks dans le défilé noir,
Et, de l'aube à midi, font siffler et pleuvoir
Balles et rocs du faîte ardu de la montagne.

L'amorce sèche brûle et jaillit par éclair
D'où sort en tournoyant la fumerolle grêle ;
L'écho multiplié verse comme une grêle
Les coups de feu pressés qui crépitent dans l'air.

Une âcre odeur de poudre et de chaudes haleines
S'exhale de la gorge étroite aux longs circuits
Qui mêle, en un vacarme enflé de mille bruits,
Le blasphème barbare aux injures hellènes :

— Saint Christ ! — Allah ! Chacals ! — Porcs sans prépuce ! — Tiens !
Crache ton âme infecte au diable qui la happe ! —
À l'assaut ! Que pas un de ces voleurs n'échappe !
Sus ! La corde et le pal à ces chiens de Chrétiens ! —

Arrivez, mes agneaux, qu'on vous rompe les côtes ! —
Tels les rires, les cris, les exécrations,
Râles de mort, fureurs et détonations
Vont et viennent sans fin le long des parois hautes.

Et tous les circoncis, effarés et hurlants,
Parmi les buissons roux et les vignes rampantes
Montent, la rage au ventre, et roulent sur les pentes,
Et s'arrachent la barbe avec leurs poings sanglants.

Les femmes du Pyrgos, en de tranquilles poses,
D'en haut, sur le massacre ouvrent de larges yeux,
Tandis que leurs garçons font luire, tout joyeux,
Leurs dents de jeunes loups entre leurs lèvres roses.

Par la Vierge ! La chose est faite. Le dernier
Des Turks crève, le poil roidi sur sa peau rêche.
Les oiseaux carnassiers, gorgés de viande fraîche,
Deviendront gras à lard dans ce riche charnier.

— Alerte ! Tranchez-moi ces crânes d'infidèles,
Dit le chef. En guirlande à mon mur clouez-les.
Ce sera le plus beau de tous mes chapelets,
Et j'y ferai nicher les bonnes hirondelles ! —

Pendant bien des étés, bien des mornes hivers,
Le roi du Magne a vu, le long de sa muraille,
Ces têtes, dont la peau se dessèche et s'éraille,
Blanchir, chacune au clou qui s'enfonce au travers.

Depuis, tous sont morts, lui, ses enfants et ses proches,
Par la balle ou le sabre, ou vaincus ou vainqueurs.
Leur souvenir farouche emplit les jeunes cœurs,
Et leurs spectres, la nuit, hantent les sombres roches.

C'étaient des hommes durs, violents et hardis,
Âpres à la vengeance, orgueilleux de leur race,
Ne sachant demander merci, ni faire grâce,
Et, pour cela, certains d'aller en paradis.

Au rebord du ravin abrupt et sans issue,
Sous la ronce, au milieu des sauvages mûriers,
L'ancien Pyrgos, gercé par les ans meurtriers,
Dresse encore sa masse ébréchée et moussue.

Les crânes turks, autour, luisent comme des lys ;
Et le berger, vêtu de sa cotte de laine,
Qui paît ses moutons noirs au-dessus de la plaine,
Sourit au chapelet des Mavromikhalis.
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:01

Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... Partie 2

"Et nos Nids, tu les viole... Tu fais alliance avec le Serpent l'anneau et les poisons ou les crochets; Tu critiques ton Gouvernement mais qu'en est il de la pensée de Ton peuple... Certes s'est platonique et démocratique mais j'ai l’impression d'un abus extrême de ta part... Ou sinon, Abdique..." Lance dans une stupeur général merlin le Rouge-Gorge du Népal sous le regard de la Chatte Athéna et du Lion du Roseau...

"Et, toi, la Chouette agit tu en girouette du vent mauvais ou en une boussole réglé sur l'espace temps ! Vers Où, nous conduit tu ! Regarde l'Europe, vas tu te mettre à dévorer les vers de Terre." rajoute Le Lion de Jersey, ami du Vieux Coq et du Fermier...

-"J'indique le sens de la nature et c'est à la nature que de juger l'ombre de tes tours et tes poulailler... Tu y invite les coqs mais en ta demeure et sous tes crocs, il se métamorphose en Chapons... Oui, les péninsules et les terres arides" Hurle Floé la Mouette, Mère de Nagaliew et femme de Magellan qui prends la Défense de la République de l'Olivier...

Benjamin l’Âne d’Israël regarde les Dragons de Palestine... Il s'est juré de mener son propre chemin mais le débat prends des allures d’inondation: Le Destin refuse de se laisser prédire... Les iguanes se mettent à divaguer sur les divers appellations de L’Éternel; rien de bon mais pourtant le mauvais n'a pas pris le dessus... Ils se chamaillent, les sept piliers de la sagesse et Gordon Pacha... Georges Orwell... Les Femmes élèvent la voie et pourtant ce n'est pas la Zizanie: La Discorde est enfin apparu et si elle saigne, c'est qu'elle peut être guéri... Le Destin est neutre, Abraham est devant son Destin... Il sort de ses rêveries lorsque :

-" Ce n'est pas moi qui es érigé les choses, j’essaye de les arranger" Rajoute la Lionne de Jersey envieuse de la liberté d'autrui que possède la Lionne du Roseau... Ces vieux Coqs commence à l'agacer... Mais heureusement il y a Chanteclerc le Coq-Volant...

-"Oh toi, sac à puce de Jersey, la rumeur fait de toi une complice de la tragédie et de la dégradation... Vous êtes Mauvais dans le cœur mais pourtant... La Tradition du sang et de la femme... Vous niez le viol pour l'importance du Bien... J'appliquerai des règles nouvelles avant de vous juger, je le Jure par Chanteclerc... Une révolution ouverte sur le sens de l'Absolue...
La République contre le Chaos, les fourmis contre les Géants." Rajoute Milord le Chat de Myamnar, Cousin de Merlin le Rouge-Gorge du Népal...

La Chouette effraie soupire Le sentier d'or certes mais, le droit du Livre de Ghanima... Une porte s'ouvre vers la Démocratie. Le Sultan d’Istanbul peut commencer à trembler, Le peuple entends que sa voie n'est plus celle de la Croyance mais celle de son Ambition...
A suivre
Ecrit
de
TAY
La chouette effraie
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:02

Titre : L'apothéose de Mouça-al-Kébyr
Poète : Charles Marie René Leconte de Lisle (1818-1894)
Recueil : Poèmes tragiques (1895).

La royale Damas, sous les cieux clairs et calmes,
Dans la plaine embaumée et qui sommeille encor,
Parmi les caroubiers, les jasmins et les palmes,
Monte comme un grand lys empli de gouttes d'or.

L'orient se dilate et pleut en gerbes roses,
La tourelle pétille et le dôme reluit,
L'aile du vent joyeux porte l'odeur des roses
Au vieux Liban trempé des larmes de la nuit.

Tout s'éveille, l'air frais vibre de chants et d'ailes,
L'étalon syrien se cabre en hennissant,
Et du haut des toits plats les cigognes fidèles
Regardent le soleil jaillir d'un bond puissant.

Au-dessus des mûriers et des verts sycomores,
Au rebord dentelé des minarets, voilà
Les mouazzin criant en syllabes sonores :
À la prière ! À la prière ! Allah ! Allah !

Âniers et chameliers amènent par les rues
Onagres et chameaux chargés de fardeaux lourds ;
Les appels, les rumeurs confusément accrues
Circulent à travers bazars et carrefours.

Juifs avec l'écritoire aux reins et les balances,
Marchands d'ambre, de fruits, d'étoffes et de fleurs,
Cavaliers du désert armés de hautes lances
Qui courent çà et là parmi les chiens hurleurs ;

Batteurs de tambourins, joueurs de flûtes aigres,
Émyrs et mendiants, et captifs étrangers,
Et femmes en litière aux épaules des nègres,
Dardant leurs yeux aigus sous leurs voiles légers.

La multitude va, vient, s'agite et se mêle
Par flots bariolés entre les longs murs blancs,
Comme une mer mouvante et murmurant comme elle,
Tandis que le jour monte aux cieux étincelants.

Et la chaude lumière inonde la nuée,
La cendre du soleil nage dans l'air épais ;
L'oiseau dort sous la feuille à peine remuée,
Et toute rumeur cesse, et midi brûle en paix.

C'est l'heure où le khalyfe, avant la molle sieste,
Au sortir du harem embaumé de jasmin,
Entend et juge, tue ou pardonne d'un geste,
Ayant l'honneur, la vie et la mort dans sa main.

Voici. Le dyouân s'ouvre. De place en place,
Chaque verset du livre, aux parois incrusté,
En lettres de cristal et d'argent s'entrelace
Du sol jusqu'à la voûte et sans fin répété.

Sous le manteau de laine et la cotte de mailles
Et le cimier d'où sort le fer d'épieu carré,
Les émyrs d'Orient dressent leurs hautes tailles
Autour de Soulymân, l'ommyade sacré.

Les imâms de la Mekke, immobiles et graves,
Sont là, l'écharpe verte enroulée au front ras,
Et les chefs de tribus chasseresses d'esclaves
Dont le soleil d'Égypte a corrodé les bras.

Au fond, vêtus d'acier, debout contre les portes,
De noirs éthiopiens semblent, silencieux,
Des spectres de guerriers dont les âmes sont mortes,
Sauf qu'un éclair rapide illumine leurs yeux.

Croisant ses pieds chaussés de cuir teint de cinabre,
Le khalyfe, appuyé du coude à ses coussins,
La main au pommeau d'or emperlé de son sabre,
Songe, l'esprit en proie à de sombres desseins.

Car les temps ne sont plus de la grandeur austère.
Le chamelier divin et le bon corroyeur,
Aly, le saint d'Allah, ont déserté la terre,
Ayant fait de leur âme un ciel intérieur.

Cléments pour les vaincus de la lutte guerrière,
Ils méditaient parmi les humbles à genoux ;
Le poil de leurs chameaux, tissé dans la prière,
Non la pourpre, ceignait leurs fronts mâles et doux.

Hélas ! Ils sont allés par delà les étoiles,
Et, livrant leur puissance à de vils héritiers,
S'ils vivent dans la gloire éternelle et sans voiles,
Pour le monde orphelin ils sont morts tout entiers.

L'ommyade est rongé de soupçons et d'envie.
Ses lourds coffres d'ivoire et de cèdre embaumé
Débordent, mais qui sait la soif inassouvie
D'un cœur que l'avarice impure a consumé ?

Le hadjeb de l'empire, huissier du seuil auguste,
Qui tient le sceau, l'épée et le sceptre, trois fois
Prosterné, dit : — Très grand, très sévère et très juste !
Bouclier de l'Islam, protecteur des trois lois !

Œil du glorifié, khalyfe du prophète,
Qui règles l'univers du levant au couchant
Par la force invincible et l'équité parfaite !
Délices du fidèle et terreur du méchant !

Ainsi qu'il est écrit aux sourates du livre,
Puisqu'il faut rendre compte et payer ce qu'on doit,
L'homme est prêt : il attend de mourir ou de vivre.
J'ai parlé. — Soulymân écoute et lève un doigt.

Les tentures de soie, aussitôt repliées,
S'ouvrent. Un grand vieillard, sous des haillons de deuil,
La tête et les pieds nus et les deux mains liées,
Maigre comme un vieil aigle, apparaît sur le seuil.

Sa barbe, en lourds flocons, sur sa large poitrine,
Plus blanche que l'écume errante de la mer,
Tombe et pend. Le dédain lui gonfle la narine
Et dans l'orbite cave allume son œil fier.

Un sillon rouge encore, une âpre cicatrice,
Du crâne au sourcil droit traverse tout le front
Qui se dresse, bravant l'envie accusatrice,
Indigné sous l'outrage et hautain sous l'affront.

Ceux d'Yémen, d'Hedjaz, de Syrie et d'Afrique,
Pour le laisser passer s'écartent un moment,
Et lui, sans incliner sa stature héroïque,
Devant le maître assis s'arrête lentement.

L'un foudroyé, croulé du plus haut de ses rêves,
L'autre en un rire amer faisant luire ses dents,
Comme le double éclair qui jaillit de deux glaives,
Ils échangent leur haine avec des yeux ardents.

Or, feignant par mépris de méconnaître l'homme,
Soulymân dit : — Quel est cet esclave, ô Hadjeb ?
Qu'a-t-il fait ? — C'est un traître, ô Khalyfe ! Il se nomme
Mouça-Ben-Noçayr, l'ouali du Maghreb.

Non content d'opprimer l'Afrique et de soumettre
À son joug usurpé les émyrs, ses égaux,
Sans attendre ton ordre et ton signal, ô maître,
Il a passé la mer et combattu les Goths.

Pareil au noir vautour qui rôde à grands coups d'aile,
Il s'est gorgé du sang, de la chair et de l'or
Du chrétien idolâtre et du juif infidèle,
Volant ainsi ton bien et pillant ton trésor.

Il a voulu, rompant l'unité de l'empire,
Ivre d'orgueil, d'envie et de rapacité,
En haine de celui par qui l'Islam respire,
Séparer l'orient du couchant révolté.

Oubliant qu'il n'était qu'une impure poussière
Qu'un souffle de ta bouche emporte en tourbillons,
Il a rêvé d'enfler sa fortune grossière
Jusqu'au faîte sublime où nous te contemplons.

Et qui sait — Car tout homme ambitieux et louche
S'enfonce au noir chemin par le maudit tracé —
S'il ne reniait Dieu du cœur et de la bouche
Pour le fils de la vierge et son culte insensé ?

Si, relevant ceux-là qu'il renversait naguère,
À ses mauvais désirs donnant ces vils soutiens,
Il ne voulait livrer ses compagnons de guerre
Aux vengeances des chiens juifs et des loups chrétiens ?

Aussi bien, trahissant le secret de leur âme,
Pour assurer leur crime et mieux tendre leurs rets,
Son fils, Abd-Al-Azyz, n'a-t-il point pris pour femme
La veuve du roi goth qui mourut à Xérès ?

Mais ta haute raison qui jamais ne trébuche
Sait rompre les desseins que l'infidèle ourdit.
Le renard, ô Khalyfe, est tombé dans l'embûche.
Le voici. Juge, absous ou condamne. J'ai dit. —

Alors, le vieux Mouça, faisant sonner sa chaîne
Et sur son âpre front levant ses bras pesants,
Cria : — Honte au mensonge et silence à la haine
Qui bave sur l'honneur de mes quatre-vingts ans !

Louanges au très-haut, l'unique ! Car nous sommes
De vains spectres. Il est immuable et vivant.
Il voit la multitude innombrable des hommes,
Et comme la fumée il la dissipe au vent.

Gloire au très-haut ! Lui seul est éternel. Le monde
Est périssable et vole au suprême moment ;
Mais lui, roulant les cieux dans sa droite profonde,
Enflera le clairon du dernier jugement.

Les cœurs seront à nu devant son œil sublime,
Et sur le pont Syrath, plus tranchant qu'un rasoir,
Le juste passera sans tomber dans l'abîme,
Tel qu'un éclair qui fend l'ombre épaisse du soir.

De musc et de benjoin et de nard parfumées,
Ses blessures luiront mieux que l'aurore au ciel.
Allah fera jaillir pour ses lèvres charmées
Quatre fleuves de lait, de vin pur et de miel.

Les vierges, au front ceint de roses éternelles,
Dont les yeux sont plus clairs que nos soleils d'été
Et si doux, qu'un regard tombé de leurs prunelles
Enivrerait Yblis soumis et racheté ;

Les célestes hûris, que rien d'impur ne fane,
Blanches comme le lys, pures comme l'encens,
Entre leurs bras légers, sur leur sein diaphane,
Multiplieront l'ardeur sans déclin de ses sens.

Puis, par delà les jours, les siècles et l'espace,
Dans le bonheur sans fin au croyant réservé,
Il verra le très-haut, l'unique, face à face,
Et saura ce que nul n'a conçu, ni rêvé !

Mais, pour le vil chacal qui vient mordre et déchire
Le vieux lion sanglant au bord de son tombeau,
Le souille de sa bave, et, devant qu'il expire,
Le dévore dans l'ombre et lambeau par lambeau ;

Pour le lâche, qu'il soit émyr, Hadjeb, Khalyfe,
Qui blêmit de la gloire éclatante d'autrui,
Yblis le lapidé le prendra dans sa griffe
Et crachera d'horreur et de dégoût sur lui.

Qu'ai-je à dire, sinon rien ? Car ma tâche est faite.
J'ai vécu de longs jours et je meurs, c'est la loi.
Mon sang, ma vie, Allah, les anges, le prophète,
Plus haut que le tonnerre ont répondu pour moi.

— Traître ! N'atteste pas le saint nom que tu souilles,
Dit Soulymân. Réponds, confesse ton forfait.
Les vingt couronnes d'or des goths et les dépouilles
Des royales cités, voleur ! Qu'en as-tu fait ?

Plus d'insolent silence ou de ruse subtile !
Les émyrs d'Occident t'accusent de concert.
Rends ces trésors pour prix de ta vie inutile
Et va cacher ta honte aux sables du désert.

— Fais plutôt rendre gorge à ce troupeau d'esclaves
Qu'engraisse la rançon des peuples et des rois,
Dit Mouça. J'ai parlé. Les sages et les braves,
Ô Khalyfe ! Apprends-le, ne parlent pas deux fois. —

Tout pâle, Soulymân se lève de son siège :
— Liez, tête et pieds nus, ce traître, et le traînez
Sur un âne, à rebours, et qu'il ait pour cortège
La fange et les cailloux et les cris forcenés !

Qu'un eunuque le tienne au cou par une corde ;
Que dans sa chair, saignant de l'épaule à l'orteil,
À chaque carrefour le fouet qui siffle morde,
Et tranchez-lui la tête au coucher du soleil !

Allez, et sachez tous qu'il n'est point de refuge
Devant mon infaillible et sévère équité.
— Soit ! Dit Mouça. L'arrêt, par Allah ! Vaut le juge.
Khalyfe ! Songe à moi dans ton éternité. —

À travers la huée et les coups, par la ville,
Sur un âne poussif bon pour d'abjects fardeaux,
Le vieux guerrier, vêtu de quelque loque vile,
Impassible, s'en va, les poings liés au dos.

La multitude hurle et le poursuit. Les pierres
Volent, heurtant sa face et meurtrissant ses bras.
Le fouet coupe ses reins saignants. Mais ses paupières
Sont closes. Il ne voit, n'entend rien, ne sent pas.

Son âme s'en retourne aux splendides années
Qui semblaient ne jamais décroître ni s'enfuir,
Où, méditant déjà ses hautes destinées,
Il quittait l'Yémen et sa tente de cuir ;

Où, farouche, enivré de jeunesse et de force,
Il criait vers le ciel, ainsi qu'un lionceau
Qui s'essaie à rugir et déchire l'écorce
Des durs dattiers dont l'ombre abrita son berceau.

Il revoit ses combats de Syrie et de Perse,
Et l'Égypte et Carthage et le désert ardent,
Et les rudes tribus qu'il pourchasse et disperse
Des gorges de l'Atlas à la mer d'Occident ;

Puis, le détroit franchi par les barques berbères,
Et son noble étalon qui, hérissant ses crins,
Pour fouler le premier le sol des vieux ibères,
Saute parmi l'écume et les embruns marins ;

Les assauts furieux des hautes citadelles,
La mêlée où, debout sur le large étrier,
Le sabre au poing, trouant les hordes infidèles,
Il buvait à longs traits l'ivresse du guerrier ;

Et les bandes de goths aux lourdes tresses rousses
Fuyant, la lance aux reins, par les vals et les monts,
Et les noirs cavaliers du Maghreb à leurs trousses
Bondissant et hurlant comme un vol de démons !

Allah ! Jours de triomphe, heures illuminées
Par l'héroïque orgueil hérité des aïeux !
Quand, du mont de Tharyq jusques aux Pyrénées,
L'étendard de l'Islam flottait victorieux ;

Quand les chrétiens, traqués aux rocs des Asturies,
Sur les sommets neigeux, au fond des antres sourds,
Loin des belles cités et des plaines fleuries
Vivaient avec les loups, les aigles et les ours !

Mouça, dans ses liens, hausse toute sa taille,
Et sous ses sourcils blancs darde des yeux en feu :
— Ô croyants ! Balayez de bataille en bataille
Ces chiens blasphémateurs du prophète de Dieu !

Semblables aux torrents tombés des cimes blanches,
Sur le pays d'Afrank ruez-vous, mes lions !
À vous les fruits dorés qui font ployer les branches,
La beauté de la vierge et le grain des sillons !

Enseignez la loi sainte à l'idolâtre immonde !
Ni trêve ni repos à ces buveurs de vin !
Portez le nom d'Allah jusqu'aux confins du monde
Et ne vous reposez qu'au paradis divin ! —

Ainsi parle le vieux héros dans son délire.
Et la boue et la pierre, et l'injure et les coups,
Et la clameur féroce et l'exécrable rire
Le submergent comme un assaut de mille loups.

Mais, au Liban lointain, la flamme occidentale,
Par flots rouges, s'enflant de parois en parois,
Inonde les rochers qu'elle allume, et s'étale
Sur les cèdres anciens, immobiles et droits.

C'est l'heure de la mort. Le supplice est au terme.
Voici le carrefour funèbre et le pavé.
Un sombre éthiopien dégaîne d'un poing ferme
Le sabre grêle et long tant de fois éprouvé.

La foule, alors, dont œil multiple se dilate,
Voit se transfigurer l'homme aux membres sanglants.
Ses haillons sont d'azur, d'argent et d'écarlate ;
La cotte d'acier clair luit et sonne à ses flancs.

Il n'est plus garrotté sur le morne squelette
Qu'un eunuque abruti traîne par le licou,
Et qui geint de fatigue, et qui bute, et halète,
Et tend son maigre col d'un air sinistre et fou.

Eunuque, éthiopien, âne poussif et gauche,
Tout s'efface. Lui seul surgit, l'épée en main.
Sa barbe et ses cheveux rayonnent. Il chevauche
La créature auguste aux lèvres de carmin,

Aux serres d'aigle, avec dix blanches paires d'ailes,
Al-Boraq, dont la croupe est comme un bloc vermeil,
Et qui, telle qu'un paon constellé de prunelles,
Élargit la splendeur de sa queue au soleil.

Agitant ses crins d'or, la céleste cavale,
Dans la sérénité de l'air silencieux,
D'une odeur ineffable embaume l'intervalle
Qu'elle a franchi d'un bond en s'envolant aux cieux.

Elle plane, elle va, majestueuse et fière.
De ses beaux yeux de vierge et du divin poitrail
Sortent d'éblouissants effluves de lumière
Dont ruisselle sa plume ouverte en éventail.

Tous deux, loin des rumeurs confuses de la terre,
En un magique essor, irrésistible et sûr,
Montent. Leur gloire emplit l'espace solitaire ;
Ils touchent aux confins suprêmes de l'azur.

Comme une torche immense ardemment secouée,
Le couchant fait jaillir jusqu'à l'orient noir
Le sombre et magnifique éclat de la nuée,
Et Mouça disparaît dans la pourpre du soir.
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:02

Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... Partie 3
-"Pourtant, seule la soif le guide" hurle condor chauve...

-" Et celle t'entendre la peur dans le corbeau." rajoute le condor du Chili.

-" eh bien, la chouette, tu ne sais même pas chanter ni hurler... Aussi indésirable que Chanteclerc." siffle le Vieux Coq qui fait une grimace à la Lionne du Roseau...

-"Mes pères et mon père sont juste... J'accompli la descendance du Sentier d'Or... Malgré tout qu'en est il de la liberté, j'en ai assez d'être une génétique avant l'heure... Nadiège l'affamée avec sa noblesse me saoule et Sylvaine la socialiste avec son hautain libertaire se gangrène de critique
sur l'absurde... Elles appartiennent aux fables Lyonnaise du Guignol... Parlons d'avenir et du réel message de la Lune et du hululement de la chouette, de cet appel universelle qui nous lie en une forme de peuple... Tel une épopée, une armée enfin en un n'importe quoi empli de peur et de gourmandise, enfin bref en un peuple de l'imparfait qui culmine dans ses rêveries ou dans son suicide d'apocalypse... et c'est en cela que je ne supporte plus, la dénonciation alors que c'est toi qui prostitue et dirigent le besoin sur un but précis, et ce n'est pas au Démon que je m'adresse mais à tes cours d'aristocrate, de bourgeois et de scribes, Lion de Jersey ainsi qu'à ton fermier et ses coqs" Dit TAY la Chouette effraie avec Ludivine l’Afghane, Kounak l'ami fidèles des Russies et il se tourne vers la Lionne du Roseau et Les Dragons:

"Crois tu qu'il vont crier vive la République de l'Angleterre ! Que le Peuple a droit de réponse et que toi la Reine et tes héritiers accompagnés d’héritières violent le droit de presse... Ne t’inquiète pas Majesté, Regarde le Royaume D'Espagne... Toi lorsque il a été à Terre, tu l'aides à se relever alors que lui si il pouvait de mettre la tête sous l'eau... Alors oui, je Réclame Un Procès et Une Nouvelle République, Malthilde-Elisabeth, Pour la République de l'Olivier et la Justice de l'Eau..."

Le Lion de Jersey vers la Lionne du Roseau: "Cette chouette s'est une vraie tête de Turc et il a des jambes de marathoniens..."

Et ce n'est pas Benjamin l’Âne d’Israël et Y'asser l'Iguane de la Palestine qui diront le contraire
sous le regard de Marjinth, Aakbar et Sahler accompagné de leur singe Guetteur et S'ylvia la futur médecin...

Ecrit de
TAY
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:11

l'esprit de liberté est un esprit qui est emprunt à la naïveté de l'émoi. Il est fragile et se console d'un rien sur l'échelle de la vie. Il est naturel et humble... Sa diversité est un affront et pourtant il consiste à dire une réalité fragile et menaçante devant la Tyrannie et ses sbires: La Justice pour Tous pour le Lion tout comme pour le Rat. Pour Georges Orwell et Malabar le cheval et benjamin l'âne. Voilà être au milieu d'un peuple s'est pas la garantie d'une opinion, cela est pour certains un crime, moi je vous avoue que par moment. Mais voilà pour certain(e)s s'est le Roi ou la Reine ou autres, il s'agit de l'opinion. Le parfait est il accessible ? L'imparfait est il lié à la Richesse ? Toujours est il un rempart à l'injustice ? L'amitié ne ruine t'elle pas l'espérance devant la Trahison et la croyance ? Tant de questions qui ont trouvé des réponses... Mais le crime est collectif car le caractère n'est pas l'unisson: Le personnel est trop lié à l'ensemble... Quand on tue une Femme ou un homme; c'est tout un aspect de l'harmonie qui s'évapore de la pensée... L'esprit de liberté est universel dans la foi d'une vision, qu'en est-il du ventre ? Ce n'est pas la liberté qui a détruit les civilisations; ce sont nos ventres affamées devant l'échelle de l'abondance. Et pourtant l'amour est la plus belle des liberté et c'est en cela que certains peuvent se prétendre plus libre et autonomes que certains. Cette liberté de l'amour est certes idiote mais après tout, elle est la plus digne des révolutions.... En Hommage, à l’expression de la vie même si on peut dire que cela est emprunt à la naïveté de l'émoi.
Ecrit de
Monsieur Tignard Yanis CEDH AD/mr PN 3286
ou
TAY
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:29

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

"Je suis Y'becca"

Ecrit de
TAY
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMar 28 Juin à 10:30

Des iles, des livres et des cultures.

Les langues s’écartelèrent,
le Silence s'introduit:
La chair de Poule pénètre...!

L’Égalité affronte le racisme...
Les enfants des justes sont mis
sous tutelle d'un mauvais œil.

De là haut, on ramène vers le bas
afin de renforcer ses stratégies
au détriment de l'uniforme
et de la République.

Ainsi pas besoin d'y introduire
des raisons ou des valeurs,
c'est juste le ventre d'une femelle requin.

Au sein de cette discorde, tu
dois préserver et sa réintroduire
propre pomme: Elle est Pépins.

Ecrit de
TAY
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMer 29 Juin à 10:37

maltraitance animale
http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/06/29/nouvelles-images-de-maltraitance-animale-dans-deux-abattoirs-francais_4960209_3244.html

La beauté est celle de s'émouvoir et malgré l'aspect des choses s'est de l'aborder dans la vie. Encore un scandale sur les abattoirs en France. La beauté est celui qui lâche le couteau devant le Conseil d'État et qui dit : " Ce n'est pas la première fois, et on y prends plaisir ou c'est juste une routine apparemment." Plutôt que le lâche qui se cache derrière le fait qu'il y était forcé. Les images montre une dextérité du couteau et même un sadisme plus qu'à de la rage... La vision de Brel dans sa chanson Au suivant n'est rien à l'appréhension qu'on put ressentir ces Créatures-Animaux doué de souffrance, de survie et d'intelligence indéterminé. La Justice doit juger sur actes de tortures volontaires et sur négligence volontaire de la part des établissements incriminés.

Jacques Brel - Au suivant - English subtitle
https://www.youtube.com/watch?v=b3zlM7d69rA

C’est une liste qui n’en finit pas de s’allonger. Pour la quatrième fois en huit mois, l’association L214 dévoile de nouveaux cas de maltraitance animale dans des abattoirs français. Deux établissements sont cette fois visés : ceux de Pézenas, dans l’Hérault, et du Mercantour, à Puget­-Théniers, dans les Alpes­-Maritimes.

Dans le Port d Amsterdam Jacques Brel
https://www.youtube.com/watch?v=n2kkr0e_dTQ

Comme sur les images tournées à Alès, au Vigan (Gard) et à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques), qui avaient suscité l’indignation, on voit de nombreux animaux mal étourdis reprendre conscience lors de la saignée ou de la suspension à la chaîne. Dans l’abattoir du Mercantour, un veau, accroché au rail par la patte arrière, tente de se relever pendant deux minutes entières, à moitié décapité, la tête dans un bac de sang. Plus tard, un mouton cherche à fuir, la gorge ouverte et en pleine conscience.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/06/29/nouvelles-images-de-maltraitance-animale-dans-deux-abattoirs-francais_4960209_3244.html#hwiErwFVXEx6F6q0.99
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyVen 1 Juil à 8:40

La bataille de la Somme désigne une confrontation opposant les Britanniques et les Français aux Allemands en 1916, dans le nord de la France, lors de la Première Guerre mondiale, dont ce fut l'une des batailles les plus sanglantes.

Conçue en décembre 1915, par Joffre, commandant en chef des armées françaises, l'offensive de la Somme dut être amendée du fait du déclenchement de la bataille de Verdun, le 21 février 1916. Foch fut chargé par Joffre de sa mise en œuvre. Les Français, qui devaient fournir l'effort principal, durent, en fin de compte, le confier aux Britanniques.

Ce fut la première offensive conjointe franco-anglaise de la Grande Guerre. Les forces britanniques lancèrent là leur première opération d’envergure, et tentèrent avec les troupes françaises de percer à travers les lignes allemandes fortifiées sur une ligne nord-sud de 45 km proche de la Somme, dans un triangle entre les villes d'Albert du côté britannique, Péronne et Bapaume du côté allemand.

Il s'agit de l'une des batailles les plus meurtrières de l'histoire (hors victimes civiles), avec parmi les belligérants environ 1 060 000 victimes, dont environ 442 000 morts ou disparus. La première journée de cette bataille, le 1er juillet 1916, fut, pour l'armée britannique, une véritable catastrophe, avec 58 000 soldats mis hors de combat dont 19 240 morts.

La bataille prit fin le 18 novembre 19163. Le bilan fut, sur le plan militaire, peu convaincant. Les gains de territoires pour les Alliés furent modestes, une douzaine de kilomètres vers l'est tout au plus, le front ne fut pas percé. Les combats usèrent les adversaires, sans vainqueurs ni vaincus.

La bataille de la Somme se singularise, cependant, par deux innovations :

sur le plan militaire, par l'utilisation, pour la première fois sur un champ de bataille, d'une arme nouvelle, le char d'assaut ;
par l'utilisation du cinéma à des fins de propagande. Pour la première fois, un film, La Bataille de la Somme, saisit une grande partie des horreurs de la guerre moderne en incluant des images tournées lors des premiers jours de la bataille.

Ces événements furent également couverts par des photographes et peintres, comme François Flameng, peintre officiel des armées françaises, dont les nombreux croquis et dessins de ces événements parurent dans la revue L'Illustration.

La mémoire collective des Français n'a pas gardé trace de la bataille de la Somme tandis que celle-ci tient une large place dans la mémoire collective des Britanniques, des Canadiens, des Australiens et des Néo-Zélandais. Le 1er Juillet est une journée de commémoration sur les principaux lieux de mémoire du Commonwealth dans le département de la Somme de même que l'ANZAC Day, le 25 avril.
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyVen 15 Juil à 10:22

Le Temps et sa fécondité voulaient entendre le souffle du vent alors que j'entends mugir le cri de la colère... Les servantes et les femmes ont crées de nouveaux chefs... Ils ont été instruit dans le dunes du désert selon chaque tributs des douze et des bédouins. Oui, les mouettes et la géographie... L'extension de la civilisation de la vallée de l'Indus et à la notoriété d'un homme issu de la chair et non de l'essence, doué d'un esprit intime et vivant dénudé de la vocation à se définir comme Dieu ou messager mais Vivant dans l'instant présent contre la pauvreté, l'esclavage, le viol, le braconnage et la torture ayant lutter dans les contrées de Chine... Un Anglais... Comme quoi, Le Commonwealth possède une grande âme à vocation laïque et de liberté malgré sa croyance propre et La République de France tout comme la Desporah peuvent devenir des soeurs intimes telle que "Isis et Nephtys"... Un étranger lié à la Nature et autres aux divinités multiples portant ni chapelet, ni livre du monothéisme : ne connaissant pas les textes hindouistes canoniques, tels que les quatre védas, les Brāhmaṇas, les Āraṇyaka et les Upaniṣad sont composés en sanskrit védique, une forme du sanskrit. La culture associée à cette période, parfois désignée comme la civilisation védique, se développe au nord et au nord-ouest du sous-continent indien. mais qui ose s'adresser en fables en laissant le libre arbitre de la culture autonome et grandissante d'une culture millénaire et autonome dans sa justice malgré que les Femmes... Les Femmes dites Objets d'une richesse sur le bien et oubliant le bonheur du relationnel... Car, oui, il y a l'histoire du prince du Népal qui ne put épouser sa bien aimée: il tua son père et sa famille, le jour de son mariage qui par la suite se suicida et un roi absurde se déclara divin: Ainsi Naquit la République du Népal, l'Autonomie des Mustangs et le Rayonnement.
du royaume du Bhoutan. Ce Prince du Népal, je ne peut l'oublier; il est à la mesure de la détresse des peuples de l’Himalaya et de ses plaines... Autrefois, il y avait un consulat du Royaume du Népal... Dipendra, Je prie pour l’Âme de ce prince qui ne trouvera le repos que lorsque des mariages libres se célébreront dans l'Himalaya, ses plaines et dans le monde. Le Chant de Merlin le rouge gorge du Népal est perçu dans les mariages libres et où Les Femmes ne sont plus des Objets d'une richesse sur le bien.

Pourtant je crois toujours en la République de l'Olivier, la France et sa République, L'O.N.U et à une évolution dans l'espace: La destinée du destin , mes Frères et Sœurs. Et je n'ai voté que pour une seule volonté: Celle de l'équité dans la Justice de l'Eau.

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
avec l'aide du chant,
Du Rouge Gorge du Népal.
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyLun 18 Juil à 10:14


Title Mars Express spies a nameless and ancient impact crater
Released 18/07/2016 11:58 am
Copyright ESA/DLR/FU Berlin, CC BY-SA 3.0 IGO
Description

This striking perspective view from ESA’s Mars Express shows an unnamed but eye-catching impact crater on Mars. This region sits south-west of a dark plain named Mare Serpentis (literally ‘the sea of serpents’), which in turn is located in Noachis Terra (literally ‘the land of Noah’).

Noachis Terra is one of the oldest known regions on the Red Planet, dating back at least 3.9 billion years— in fact, the earliest martian era, the Noachian epoch, is named after it. Noachis Terra is representative of ancient Mars’ surface, which is characteristically peppered with craters that have been preserved for billions of years, although many have degraded over time.

The crater visible on the top right of this image is around 4 km deep and 50 km in diameter. At its very centre is a small depression known as a central pit. These are common in craters on rocky worlds throughout the Solar System, especially on Mars, and are thought to form as icy material explosively vaporises and turns to gas in the heat of the initial crater-forming collision.

The outer walls around the crater are slightly raised above its surroundings. These stacked deposits may have formed during the impact that carved out the crater itself. As a rocky impactor slammed into the surface of Mars it likely compacted the loose and powdery material — small-grained dust and soil dubbed ‘regolith’ — to form a small plateau that has stood the test of time.

Just within the crater walls are channels and valleys threading and weaving down the inner slope — these are thought to have been carved and sculpted by running water. This water, locked up within the soil as groundwater and ice, would have melted as the Sun illuminated the crater walls, driving fluvial erosion processes and sketching thin lines down towards the centre of the crater.

This image was created using data from the Mars Express High Resolution Stereo Camera’s stereo channels (resulting in this oblique perspective) as well as its colour and nadir channels (creating the colour). The data were obtained on 29 July 2015 during orbit 14680. The resolution is approximately 14 m per pixel and the image is centred at 37° East and 35° South.

The image is a perspective view from a series that includes a colour nadir view, a colour-coded digital terrain model and a 3d anaglyph.
Id 363200

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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyMer 20 Juil à 10:12

L'intégrité et l'entreprise individuelle
ou la diversité industrielle devant Y'becca traduisait le Phare d'une Vie.

Frappé face à la diversité entre l'Homme et le sang, l'Homme devant son Épouse
ne connait pas encore la rigueur entre l’impôt direct et le commerce du respect
des personnes...Le Sida avance et il faut le repousser: le secret de l’asthme est d'apprendre son souffle et ses limites. Son étude peut aider des malades à écouter leur souffle tout en participant
à des réunions collectives; L'allergies et le sang font apparition à présent dans le commerce
du média et des sponsor tels les gladiateurs qui à présent sont décrit comme des athlètes
des temps anciens, cela peut laisser croire à une vertu de mémoire ! Il en est autres, c'est
toujours les mêmes aspects des grands propriétaires terriens ou commerciaux qui s'affrontent
dans une mascarade où les places faisant lieu d'ombres sont les plus onéreuses.

Vivre ou survivre, le don d'organe n'est pas l'influx de la circulation; la bourse s’oppose à l'horreur.
Car finalement, ce n'est plus à l’hémicycle que ce joue la légalité de l'information.
Elle réside sur le seuil que l'on veut bien accorder à l'aspect de l'importance sur le modeste foyer
ou sur le simple fait d'un échange Commercial: La Démocratie dans un vacarme de cloches. Drôle de Bataillon pour Une grande Muette appeler à entendre ses préfets.

Vivre ou mourir: C'est dans l'unité... Nous apprends t'on à l'école; même les plus laïque...
L'individuelle se lie dans le collectif dans le contexte sportif en tant que joueur, illusion ! en tant qu'
entraîneur, il s'agit d'une ironie... Mais, il demeure le secourisme, le rempart de la Grande muette, des Anarchistes, des démocrates et du Phare d'une Vie ou Y'Becca... La Vie individuelle devant le soi et l'autre
voilà un aspect des choses auquel même le sport et les guerres restent assez flou.
En effet,
La décentralisation et la santé.
Le moyen et les assemblées;
le Lointain et l'Agriculture.
L’humidité et l'évolution.
Le moyen d'obtenir provoque le chômage et l'exclusion et pourtant la volonté provoque l'embauche. Nous revenons à La Vie individuelle devant le soi et l'autre. voilà un aspect des choses auquel même le sport et les guerres restent assez flou. Pourtant, il demeure le secourisme, le rempart de la Grande muette, des Anarchistes, des démocrates et du Phare d'une Vie ou Y'Becca. La Loi et le silence devant l'Athée et la croyance n'a pas de jugements, elle le porte sur le criminel et ses complices selon les gravités: et c'est en cela que la Conscience et le Peuple se doivent d'être Une Âme portant sur le Temps et l'Avenir !

Ecrit de
TAY
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MessageSujet: Re: Le Procès et l'Abdication ou la Conférence...   Le Procès et l'Abdication ou la Conférence... EmptyJeu 21 Juil à 10:17

Le chant de la volonté.

A l'heure où les colonels furent renversés, nous avions le coeur
du retrouvé: celui de la Paix, de l'Amour et de la Joie. A la porte,
des richesses, nous voyions le temps; celui qui guide nos pas...
Platon n'est plus le père de la démocratie; il dresse Aristote
comme successeur de notre héritage. Et si encore, c'était
ces barbares de Macédonien"ne"s qui en étaient les virevolteurs.
Même pas, ce sont ceux de l'Ouest; enfin bref; eux qui Küçük
Kaynarca, ont inventé l'électricité... Et puis, la couverture
du mythe démocrate: Socrate... Φλέρυ Νταντωνάκη - Κάθε τρελό παιδί.
Autrefois résonne dans ce cœur: Cet Alexandre est aussi grecque
et européen que Staline n'était russe et européen... Je me demande
d'où vient ces thèmes sur l'immortalité humaine car après tout,
même devant les idoles, les hommes rejettent l'aspect de leur poussière.
Notre paix, Notre amour et Notre Joie volait par des financiers, nous
qui avons subi des siècles d’errance. Notre langue rejetait en blasphème
et comme tant d'autre devant des conquistadors nous devions recevoir
le fouet sur nos visions culturelles. L'Europe l'avait compris mais les
commissaires du budget l'ont oublié. Préparant les guerres sur leurs diffamations.
nous revoilà replonger dans l'ouverture d'une tactique d'horloger...
Celui d'une gloire éphémère, jamais Alexandre ne fut aussi proche de la mort
qu'il ne l'est aujourd'hui... Visionnaire, il organise à Suse le mariage de dix mille de ses officiers et soldats avec autant de jeunes filles perses pour fondre entre elles les cultures grecque et perse. voyez la politiques de ces dirigeants qui se prétendent leurs héritiers.
O Douce Méditerranée, Même César et Napoléon ne furent aussi sourd à l'
institution du clivage... Les chants des fabuleux s’estompent où chacun sombre dans le clivage.
La chorale des richesses atténue la soif de celui qui apprends ! On croit savoir alors
pourquoi apprendre. Car Oui, Mesdames et messieurs, nous apprenons à réciter !
Fautes aux guerres, fautes à la protection de la richesse d'autrui !

Notre paix, Notre amour et Notre Joie... Alors, on interpelle Justice et là,
je suis le fils de ou la femme de... A tu es l'ami de lui, mais voilà, celui qui n'aime pas
se retrouve bien seul ! Et si une idée germe... Elle peut naître de rien et de tout...
Ce qui me désole, c'est le nombre d'idée disparu dans cette abîme de rien prénommé
la société de l'autrui alors qu'elle est juste une système de hiérarchie et de privilèges.
La Citoyenne et le Citoyen ont enfanté la révolution devant le Palais. Et même là, ce qui semblait être le symbole le plus absolu de la Liberté est repris par la Tyrannie... Le Peuple est une sorte de Toupie, il suffit juste de bien la lancer et de bien le faire virevolter... Ce symbole
de liberté devenu une toupie et si le joueur de toupie est enchanteur il se dévoile comme soleil
et nous comme lune autour de la terre... Mais voilà, les enchanteurs ont disparus ou bien,
ils sont enfermés: et dans certains endroits, c'est leur Paix, Leur Joie et leur Amour...

Küçük Kaynarca (ou Koutchouk-Kaïnardji)

Ecrit de
TAY
La chouette Effraie.
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