Moby 'Lift Me Up' - Evan Bernard version : https://www.youtube.com/watch?v=pT_Y-eodTv4
Nicolas Drieux, c'est une musicienne prénommée Slamity Jane. Je te propose de découvrir son univers musical car je pense que
cela va te faire ressentir des aspects musicaux enfouis dans ton coeur et ton esprit... C'est une musicienne indépendante et affirmée...
Elle me connait pas plus que toi ! Elle a sa propre maison de production et malgré son indépendance musicale, elle n'est pas
une autarcie de système et de solfège. Voilà, Slamity Jane, Boris Maurussane et Jérémy Laffon viennent de Limoges et
d'autres horizons de légendes champêtres et organiques. Je dois dire que çà fait longtemps qu'on s'est pas vu mais je sais que votre exubérance et votre tonicité musicale vont leur plaire mais sachez que eux aussi ont de l'énergie, de l'inspiration et de l'engagement
dans le monde underground, musical et humaniste. Tout comme vous, ce sont des caractères affirmés et n'ont pas de clichés sexistes
en ce qui concerne les musiques, les philosophies et les réflexions... " La véritable musique est le silence et toutes les notes ne font qu'encadrer ce silence. " : notre amitié doit traverser le temps et s’agrandir dans la continuité d'un univers dans l'infini et en l'infini !
Lift Me Up
Moby
Parler simplement (parler simplement)
Plain talking (plain talking)
Emmène-nous si loin (emmène-nous si loin)
Take us so far (take us so far)
Voitures en panne (voitures en panne)
Broken down cars (broken down cars)
Comme les vieilles étoiles enfilées (comme les vieilles étoiles enfilées)
Like strung out old stars (like strung out old stars)
Parler simplement (parler simplement)
Plain talking (plain talking)
Nous a si bien servi (nous a si bien servi)
Served us so well (served us so well)
Nous avons voyagé en enfer (voyagé en enfer)
We traveled through hell (traveled through hell)
Sachez comment nous nous sentions (oh comment nous nous sentions)
Know how we felt (oh how we felt)
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Parler simplement (parler simplement)
Plain talking (plain talking)
Nous rendre audacieux (nous rendre audacieux)
Making us bold (making us bold)
Alors tendu et froid (tendu et froid)
So strung out and cold (strung out and cold)
Je me sens si vieux (je me sens si vieux)
I'm feeling so old (feeling so old)
Parler simplement (parler simplement)
Plain talking (plain talking)
Nous a ruinés maintenant (nous a ruinés maintenant)
Has ruined us now (ruined us now)
Tu ne sais jamais comment (tu ne sais jamais comment)
You never know how (you never know how)
Plus doux que toi (plus doux que toi)
Sweeter than thou (sweeter than thou)
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Plus haut maintenant ama
Higher now ama
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Soulevez-moi, soulevez-moi
Lift me up, lift me up
Oh la la la la
Oh la la la la
Source : LyricFind
Paroliers : Richard Melville Hall
Paroles de Lift Me Up
Kobalt Music Publishing Ltd., Warner Chappell Music, Inc
Music: 'Lift Me Up' by Moby, released as the first single from his 2005 album 'Hotel'.
Find out more about Moby's book Porcelain and his second memoir Then I...
Yanis Tignard Bee Gees - Stayin' Alive (Remix) : https://www.youtube.com/watch?v=Q8obnvD14H0
Yanis Tignard : Dans le Moody Blues du Nights In White Satin : https://www.youtube.com/watch?v=qbqxbGm9hBI
Amandine rajoute que le lundi 16 mars 2020 au matin, une coordination européenne a lieu entre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le président du Conseil européen, Charles Michel, la chancelière allemande, Angela Merkel et le président français, Emmanuel Macron. À l'issue de cette réunion, le président français annonce sur Twitter qu'il prendra « des décisions exigeantes dans les prochaines heures ». L'après-midi, il convoque un conseil restreint de Défense à l’Élysée, et la progression du Covid-19 est, au même moment, qualifiée d’« inquiétante » par le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, au vu de la "courbe exponentielle" de l'épidémie entraînant l'augmentation du nombre de décès. Cette décision fait suite aux mesures de confinement des pays voisins : le confinement similaire commencé en Italie le 9 mars 2020, ainsi que celui appliqué en Espagne depuis le 15 mars 2020.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Confinement_de_2020_en_France
Yanis Tignard Amandine dans l'orgueil de sa poitrine se mets à chantonner vers la révolution et l'infini : Non, sous quelque drapeau que le barde se range,
La muse sert sa gloire et non ses passions !
Non, je n'ai pas coupé les ailes de cet ange
Pour l'atteler hurlant au char des factions !
Non, je n'ai point couvert du masque populaire
Son front resplendissant des feux du saint parvis,
Ni pour fouetter et mordre, irritant sa colère,
Changé ma muse en Némésis !
D'implacables serpents je ne l'ai point coiffée ;
Je ne l'ai pas menée une verge à la main,
Injuriant la gloire avec le luth d'Orphée,
Jeter des noms en proie au vulgaire inhumain.
Prostituant ses vers aux clameurs de la rue,
Je n'ai pas arraché la prêtresse au saint lieu ;
A ses profanateurs je ne l'ai pas vendue,
Comme Sion vendit son Dieu !
Non, non : je l'ai conduite au fond des solitudes,
Comme un amant jaloux d'une chaste beauté ;
J'ai gardé ses beaux pieds des atteintes trop rudes
Dont la terre eût blessé leur tendre nudité :
J'ai couronné son front d'étoiles immortelles,
J'ai parfumé mon coeur pour lui faire un séjour,
Et je n'ai rien laissé s'abriter sous ses ailes
Que la prière et que l'amour !
L'or pur que sous mes pas semait sa main prospère
N'a point payé la vigne ou le champ du potier ;
Il n'a point engraissé les sillons de mon père
Ni les coffres jaloux d'un avide héritier :
Elle sait où du ciel ce divin denier tombe.
Tu peux sans le ternir me reprocher cet or !
D'autres bouches un jour te diront sur ma tombe
Où fut enfoui mon trésor.
Je n'ai rien demandé que des chants à sa lyre,
Des soupirs pour une ombre et des hymnes pour Dieu,
Puis, quand l'âge est venu m'enlever son délire,
J'ai dit à cette autre âme un trop précoce adieu :
"Quitte un coeur que le poids de la patrie accable !
Fuis nos villes de boue et notre âge de bruit !
Quand l'eau pure des lacs se mêle avec le sable,
Le cygne remonte et s'enfuit."
Honte à qui peut chanter pendant que Rome brûle,
S'il n'a l'âme et la lyre et les yeux de Néron,
Pendant que l'incendie en fleuve ardent circule
Des temples aux palais, du Cirque au Panthéon !
Honte à qui peut chanter pendant que chaque femme
Sur le front de ses fils voit la mort ondoyer,
Que chaque citoyen regarde si la flamme
Dévore déjà son foyer !
Honte à qui peut chanter pendant que les sicaires
En secouant leur torche aiguisent leurs poignards,
Jettent les dieux proscrits aux rires populaires,
Ou traînent aux égouts les bustes des Césars !
C'est l'heure de combattre avec l'arme qui reste ;
C'est l'heure de monter au rostre ensanglanté,
Et de défendre au moins de la voix et du geste
Rome, les dieux, la liberté !
La liberté ! ce mot dans ma bouche t'outrage ?
Tu crois qu'un sang d'ilote est assez pur pour moi,
Et que Dieu de ses dons fit un digne partage,
L'esclavage pour nous, la liberté pour toi ?
Tu crois que de Séjan le dédaigneux sourire
Est un prix assez noble aux coeurs tels que le mien,
Que le ciel m'a jeté la bassesse et la lyre,
A toi l'âme du citoyen ?
Tu crois que ce saint nom qui fait vibrer la terre,
Cet éternel soupir des généreux mortels,
Entre Caton et toi doit rester un mystère ;
Que la liberté monte à ses premiers autels ?
Tu crois qu'elle rougit du chrétien qui l'épaule,
Et que nous adorons notre honte et nos fers
Si nous n'adorons pas ta liberté jalouse
Sur l'autel d'airain que tu sers ?
Détrompe-toi, poète, et permets-nous d'être hommes !
Nos mères nous ont faits tous du même limon,
La terre qui vous porte est la terre où nous sommes,
Les fibres de nos coeurs vibrent au même son !
Patrie et liberté, gloire, vertu, courage,
Quel pacte de ces biens m'a donc déshérité ?
Quel jour ai-je vendu ma part de l'héritage,
Esaü de la liberté ?
Va, n'attends pas de moi que je la sacrifie
Ni devant vos dédains ni devant le trépas !
Ton Dieu n'est pas le mien, et je m'en glorifie :
J'en adore un plus grand qui ne te maudit pas !
La liberté que j'aime est née avec notre âme,
Le jour où le plus juste a bravé le plus fort,
Le jour où Jehovah dit au fils de la femme :
" Choisis, des fers ou de la mort ! "
Que ces tyrans divers, dont la vertu se joue,
Selon l'heure et les lieux s'appellent peuple ou roi,
Déshonorent la pourpre ou salissent la boue,
La honte qui les flatte est la même pour moi !
Qu'importe sous quel pied se courbe un front d'esclave !
Le joug, d'or ou de fer, n'en est pas moins honteux !
Des rois tu l'affrontas, des tribuns je le brave :
Qui fut moins libre de nous deux ?
Fais-nous ton Dieu plus beau, si tu veux qu'on l'adore ;
Ouvre un plus large seuil à ses cultes divers !
Repousse du parvis que leur pied déshonore
La vengeance et l'injure aux portes des enfers !
Écarte ces faux dieux de l'autel populaire,
Pour que le suppliant n'y soit pas insulté !
Sois la lyre vivante, et non pas le Cerbère
Du temple de la Liberté !
Un jour, de nobles pleurs laveront ce délire ;
Et ta main, étouffant le son qu'elle a tiré,
Plus juste arrachera des cordes de ta lyre
La corde injurieuse où la haine a vibré !
Mais moi j'aurai vidé la coupe d'amertume
Sans que ma lèvre même en garde un souvenir ;
Car mon âme est un feu qui brûle et qui parfume
Ce qu'on jette pour la ternir.
Poème de Alphonse de Lamartine, À Némésis...
Le hululement de la chouette brule et parfume la lune et le peuple...
Me voici enfin dans la capacité de rugir, moi, Amandine le léopard des neiges !!!!
MOSAÏQUE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
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Kounak le chat....