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 SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I

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yanis la chouette




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SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I Empty
MessageSujet: SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I   SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I EmptyMer 12 Déc à 9:53

Le programme Voyager est un programme d'exploration robotique de l'agence spatiale américaine (NASA) dont l'objectif est d'étudier les planètes extérieures du Système solaire. Il comprend deux sondes spatiales identiques Voyager 1 et Voyager 2 lancées en 1977 qui ont survolé les planètes Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune ainsi que 48 de leurs satellites. Les données collectées par les 9 instruments portés par chaque sonde en font sans doute la mission d'exploration du Système solaire la plus fructueuse sur le plan scientifique de toute l'histoire spatiale. Les sondes Voyager sont les premières à effectuer un survol d'Uranus et Neptune et les secondes à étudier Jupiter et Saturne. Voyager 1 et 2 ont permis d'obtenir des informations détaillées sur l'atmosphère de Jupiter, Saturne et Uranus. Elles ont révélé de nombreux détails sur la structure des anneaux de Saturne, permis de découvrir les anneaux de Jupiter et ont fourni les premières images détaillées des anneaux d'Uranus et de Neptune. Les sondes ont découvert en tout 33 nouvelles lunes. Elles ont révélé l'activité volcanique de Io et la structure étrange de la surface de la lune galiléenne Europe.

La NASA met sur pied en 1972 le programme Voyager pour exploiter une conjonction des planètes extérieures exceptionnelle qui doit permettre aux sondes de survoler plusieurs des planètes pratiquement sans dépense en carburant, en utilisant l'assistance gravitationnelle. Malgré les contraintes budgétaires liées à un climat économique et politique peu favorable à l'espace, la NASA après avoir renoncé à un projet plus ambitieux, parvient à construire deux engins parfaitement adaptés à ce programme complexe comme vont le prouver la longévité et la qualité du matériel scientifique récolté par les deux sondes. Voyager 1 et 2 sont dans leur catégorie des engins lourds, 800 kg emportant plus de 100 kg d'instrumentation scientifique à comparer à la masse totale 235 kg des sondes Pioneer lancées en 1972-1973 qui ont pénétré pour la première fois dans les régions externes du système solaire et survolé Jupiter et Saturne.

Les sondes Voyager sont, en 2014, toujours en état de fonctionnement ; plusieurs de leurs instruments continuent à transmettre des informations sur le milieu environnant. Le 16 décembre 2004, Voyager 1 a traversé le choc terminal, faisant de lui le premier objet humain explorant l’héliogaine. En septembre 2013, la sonde devient officiellement le premier objet de fabrication humaine à sortir de l'héliosphère, mais elle en était déjà sortie depuis le mois d'août 2012[Information douteuse] [?]. Se déplaçant à plus de 17 km/s par rapport au Soleil, Voyager 1, porteur d'un message symbolique de l'Humanité, devrait être la première sonde spatiale à passer à proximité d'une autre étoile dans 40 000 ans. Bien avant, vers 2020, la sonde aura cessé de fonctionner du fait de la défaillance des thermocouples des générateurs thermoélectriques à radioisotope qui lui fournissent son énergie.

Les missions spatiales préparatoires : d'Apollo 7 à Apollo 10
Après plusieurs missions sans équipage destinées à tester en orbite terrestre basse la fusée Saturn V et les deux vaisseaux spatiaux, la NASA lance dans un laps de temps très court de 7 mois quatre missions avec équipage qui permettent d'achever la qualification des vaisseaux en effectuant une répétition des différentes phases d'une mission lunaire hormis l'atterrissage. Toutes ces missions se déroulent sans anomalie majeure :

Apollo 7 (octobre 1968) est la première mission habitée du programme Apollo. Son but est de valider les modifications effectuées sur le vaisseau spatial à la suite de l'incendie d’Apollo 1 (CMS version 2). Une fusée Saturn IB est utilisée car le module lunaire ne fait pas partie de l'expédition. Au cours de son séjour en orbite, l’équipage répète les manœuvres qui seront effectuées lors des missions lunaires1.
Apollo 8 (décembre 1968) est le premier vol habité à quitter l’orbite terrestre. À ce stade d'avancement du programme, il s'agit d'une mission risquée car une défaillance du moteur du vaisseau Apollo au moment de sa mise en orbite lunaire ou de son injection sur la trajectoire de retour aurait pu être fatale à l'équipage, d'autant que le module lunaire a été remplacé par une maquette. Mais les dirigeants de la NASA redoutent un coup d'éclat des Soviétiques pour la fin de l'année et décident de courir le risque. Les astronautes font au total 10 révolutions autour de la Lune. Durant ce vol, ils réalisent de nombreux clichés de la Lune dont le premier lever de Terre. Apollo 8 permet pour la première fois à un homme d'observer directement la « face cachée » de la Lune. L'une des tâches assignées à l'équipage consistait à effectuer une reconnaissance photographique de la surface lunaire, notamment de la mer de la Tranquillité où doit se poser Apollo 112.
Apollo 9 (mars 1969) constitue le premier essai en vol de l’ensemble des équipements prévus pour une mission lunaire : fusée Saturn V, module lunaire et vaisseau Apollo. Les astronautes effectuent toutes les manœuvres de la mission lunaire tout en restant en orbite terrestre. Le module lunaire simule un atterrissage puis réalise le premier rendez-vous réel avec le vaisseau Apollo. Les astronautes effectuent également une sortie extravéhiculaire de 56 minutes pour simuler le transfert d'équipage du module lunaire au vaisseau Apollo en passant par l'extérieur (manœuvre de secours mise en œuvre en cas d'amarrage infructueux entre les deux vaisseaux). En outre, ils testent l'utilisation du module lunaire comme « canot de sauvetage » dans la perspective d'une défaillance du vaisseau Apollo3.
Avant le lancement d'Apollo 10 (mai 1969) les dirigeants de la NASA ont envisagé que cette mission soit celle du premier atterrissage sur le sol lunaire, car l'ensemble des véhicules et des manœuvres ont été testés sans qu'aucun problème majeur n'ait été détecté. Mais, dans la mesure où les Soviétiques ne semblent pas préparer de mission d'éclat, ils préférèrent opter pour une dernière répétition au réalisme encore plus poussé. Une fois le train spatial placé en orbite autour de la Lune, le module lunaire, surnommé « Snoopy », entame la descente vers le sol lunaire qui est interrompue à 15,6 km de la surface. Après avoir largué l'étage de descente non sans quelques difficultés dues à une erreur de procédure, le LEM réalisa un rendez-vous avec le vaisseau Apollo4.

Image Label Nom Rayon moyen (km) Demi-grand axe (km) Période de révolution
(en jour) (r = rétrograde)

Année de découverte Découvert par Notes Réf(s) Planète
Lune
I Lune 1737,10 384 399 27,321582 Préhistoire — Rotation synchrone 11 Terre
Phobos (lune)

I Phobos 11,1 ± 0,15 9 380 0,319 1877 Asaph Hall 12,13,14 Mars
Déimos (lune)
II Déimos 6,2 ± 0,18 23 460 1,262 1877 Asaph Hall 12,13,14 Mars
Io (lune)

I Io 1818,1 ± 0,1 421 800 1,769 1610 Galilée Satellite galiléen 14,15 Jupiter
Europe (lune)
II Europe 1560,7 ± 0,7 671 100 3,551 1610 Galilée Satellite galiléen 14,15 Jupiter
Ganymède (lune)
III Ganymède 2634,1 ± 0,3 1 070 400 7,155 1610 Galilée Satellite galiléen 14,15 Jupiter
Callisto (lune)
IV Callisto 2408,4 ± 0,3 1 882 700 16,69 1610 Galilée Satellite galiléen 14,15 Jupiter
Amalthée (lune)
V Amalthée 83,45 ± 2,4 181 400 0,498 1892 Edward Emerson Barnard Satellite interne, groupe d'Amalthée 13,14,16 Jupiter
Himalia (lune)
VI Himalia 67 ± 1017 11 461 000 250,56 1904 Charles Dillon Perrine Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe d'Himalia 13,14,18 Jupiter
Élara (lune)
VII Élara 43 11 741 000 259,64 1905 Charles Dillon Perrine Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe d'Himalia 13,14,19 Jupiter
Pasiphaé
VIII Pasiphaé 30 23 624 000 743,63 (r) 1908 Philibert Jacques Melotte Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,20 Jupiter
Sinopé (lune)
IX Sinopé 19 23 939 000 758,90 (r) 1914 Seth Barnes Nicholson Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,21 Jupiter
Lysithée (lune)
X Lysithée 18 11 717 000 259,20 1938 Seth Barnes Nicholson Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe d'Himalia 13,14,22 Jupiter
Carmé (lune)
XI Carmé 23 23 404 000 734,17 (r) 1938 Seth Barnes Nicholson Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,22 Jupiter
Ananké (lune)
XII Ananké 14 21 276 000 629,77 (r) 1951 Seth Barnes Nicholson Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,23 Jupiter
XIII Léda 10 11 165 000 240,92 1974 Charles T. Kowal Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe d'Himalia 13,14,24 Jupiter
Thebe (lune)
XIV Thebe 49,3 ± 2,0 221 900 0,675 1979 Stephen P. Synnott, Voyager 1 Satellite interne, groupe d'Amalthée 13,14,25 Jupiter
Adrastea (lune)
XV Adrastée 8.2 ± 2.0 129 000 0,298 1979 David C. Jewitt, G. Edward Danielson, Voyager 1 Satellites internes, groupe d'Amalthée 13,14,26 Jupiter
Metis (lune)
XVI Métis 21,5 ± 2,0 128 000 0,295 1979 Stephen P. Synnott, Voyager 1 Satellites internes, groupe d'Amalthée 13,14,27 Jupiter
Callirrhoe (lune)
XVII Callirrhoé 4,3 24 103 000 758,77 (r) 2000 Scotti, Spahr, McMillan, Larsen, Montani, Gleason, Gehrels Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,28 Jupiter
Themisto (lune)
XVIII Thémisto 4,0 7 284 000 130,02 1975/2000 Charles T. Kowal et Roemer (originale) ; Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier (redécouverte) Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14,29,30 Jupiter
XIX Megaclite 2,7 23 493 000 752,86 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,31 Jupiter
XX Taygète 2,5 23 280 000 732,41 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,31 Jupiter
XXI Chaldéné 1,9 23 100 000 723,72 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,31 Jupiter
XXII Harpalycé 2,2 20 858 000 623,32 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,31 Jupiter
XXIII Calycé 2,6 23 483 000 742,06 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,31 Jupiter
XXIV Jocaste 2,6 21 060 000 631,60 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,31 Jupiter
XXV Érinomé 1,6 23 196 000 728,46 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,31 Jupiter
XXVI Isonoe 1,9 23 155 000 726,23 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,31 Jupiter
XXVII Praxidiké 3,4 20 908 000 625,39 (r) 2000 Sheppard, Jewitt, Fernández, Magnier, Dahm, Evans Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,31 Jupiter
XXVIII Autonoé 2,0 24 046 000 760,95 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,32 Jupiter
XXIX Thyone 2,0 20 939 000 627,21 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,32 Jupiter
Hermippe (lune)
XXX Hermippé 2,0 21 131 000 633,9 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14,32 Jupiter
XXXI Aitné 1,5 23 229 000 730,18 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,32 Jupiter
XXXII Eurydome 1,5 22 865 000 717,33 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,32 Jupiter
XXXIII Euanthé 1,5 20 797 000 620,49 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier (groupe d'Ananké 13,14,32 Jupiter
XXXIV Euporie 1,0 19 304 000 550,74 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,32 Jupiter
XXXV Orthosie 1,0 20 720 000 622,56 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,32 Jupiter
XXXVI Spondé 1,0 23 487 000 748,34 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14,32 Jupiter
XXXVII Calé 1,0 23 217 000 729,47 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,32 Jupiter
XXXVIII Pasithée (lune) 1,0 23 004 000 719,44 (r) 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,32 Jupiter
XXXIX Hégémone (lune) 1,5 23 577 000 739,88 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
XL Mnémé (lune) 1,0 21 035 000 620,04 (r) 2003 Gladman, Allen Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14 Jupiter
XLI Aédé 2,0 23 980 000 761,50 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
XLII Thelxinoé 1,0 21 164 000 628,09 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Gladman, Kavelaars, Petit, Allen Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14 Jupiter
Arche (lune)
XLIII Arche (lune) 1,5 23 355 000 731,95 (r) 2002 Sheppard, Meech, Hsieh, Tholen, Tonry Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14,32 Jupiter
XLIV Callichore 1,0 23 288 000 728,73 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
XLV Hélicé 2,0 21 069 000 626,32 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
XLVI Carpo (lune) 1,5 17 058 000 456,30 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Gladman, Kavelaars, Petit, Allen Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14 Jupiter
XLVII Eukéladé 2,0 23 328 000 730,47 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
XLVIII Cyllène (lune) 1,0 23 809 000 752 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
XLIX Coré (lune) 1,0 24 543 000 779,17 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
L Hersé (lune) 1,0 22 983 000 714,51 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Gladman, Kavelaars, Petit, Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
LI S/2010 J 1 1,0 23 314 335 723,2 (r) 2010 Jacobson, Brozović, Gladman, Alexandersen Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 33 Jupiter
LII S/2010 J 2 0,5 20 307 150 588,1 (r) 2010 Christian Veillet Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 33 Jupiter
LIII Dia (lune) 2,0 12 570 000 287,93 2001 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe d'Himalia 33 Jupiter
LIV S/2016 J 1 3,0 20 595 480 602,7 (r) 2016 Sheppard Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 33 Jupiter
LV S/2003 J 18 1,0 20 426 000 596,58 (r) 2003 Gladman, Sheppard, Jewitt, Kleyna, Kavelaars, Petit, Allen Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
LVI S/2011 J 2 0,5 23 329 710 726,8 (r) 2011 Sheppard Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 33 Jupiter
LVII S/2003 J 5 2,0 23 498 000 738,74 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
LVIII S/2003 J 15 1,0 22 630 000 689,77 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
LIX S/2017 J 1 2,0 23 483 978 734,2 (r) 2017 Sheppard Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 33 Jupiter
LX S/2003 J 3 1,0 20 224 000 583,88 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14 Jupiter
— S/2003 J 2 1,0 28 455 000 981,55 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Jupiter
— S/2003 J 4 1,0 23 933 000 755,26 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández, Hsieh Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
— S/2003 J 9 0,5 23 388 000 733,30 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
— S/2003 J 10 1,0 23 044 000 716,25 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
— S/2003 J 12 0,5 17 833 000 489,72 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Jupiter
— S/2003 J 16 1,0 20 956 000 616,33 (r) 2003 Gladman, Sheppard, Jewitt, Kleyna, Kavelaars, Petit, Allen Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe d'Ananké 13,14 Jupiter
— S/2003 J 19 1,0 23 535 000 740,43 (r) 2003 Gladman, Sheppard, Jewitt, Kleyna, Kavelaars, Petit, Allen Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe de Carmé 13,14 Jupiter
S/2003 J 23
— S/2003 J 23 1,0 23 566 000 732,45 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Fernández Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe de Pasiphaé 13,14 Jupiter
— S/2011 J 1 0,5 20 155 290 580,7 (r) 2011 Sheppard Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 33 Jupiter

Mimas (lune)
I Mimas 198,2 ± 0,4 185 540 0,942 1789 Herschel Lune du groupe principal 13,14 Saturne
Enceladus
II Encelade (lune) 252,3 ± 0,6 238 040 1,370 1789 Herschel Lune du groupe principal 13,14 Saturne
Tethys
III Tethys 536,3 ± 1,5 294 670 1,888 1684 Cassini I Lune du groupe principal, Sidera Lodoicea (en) 13,14 Saturne
Dione (lune)
IV Dioné (lune) 562,5 ± 1,5 377 420 2,737 1684 Cassini I Lune du groupe principal, Sidera Lodoicea (en) 13,14 Saturne
Rhea (lune)
V Rhéa (lune) 764,5 ± 2,0 527 070 4,518 1672 Cassini I Lune du groupe principal, Sidera Lodoicea (en) 13,14 Saturne
Titan_(moon) Titan
VI Titan 2575,5 ± 2,0 1 221 870 15,95 1655 Christian Huygens Lune du groupe principal 13,14 Saturne
Hyperion_(moon) Hyperion
VII Hypérion (lune) 133,0 ± 8,0 1 500 880 21,28 1848 William Cranch Bond, George Phillips Bond et William Lassell Lune du groupe principal 13,14 Saturne
Iapetus (lune)
VIII Iapetus 734,5 ± 4,0 3 560 840 79,33 1671 Cassini I Lune du groupe principal, Sidera Lodoicea (en) 13,14 Saturne
Phoebe (lune)
IX Phoebe 106,6 ± 1,1 12 947 780 550,31 (r) 1899 William Henry Pickering Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Janus (lune)
X Janus (lune) 90,4 ± 3,0 151 460 0,695 1966 Audouin Dollfus ; Voyager 1 (confirmation) lune intérieure (en) (co-orbital) 13,14 Saturne
Epimetheus (lune) XI Épiméthée 58,3 ± 3,1 151 410 0,694 1980 Richard Walker ; Voyager 1 (confirmation) lune intérieure (en) (co-orbital) 13,14 Saturne
Helene (lune)
XII Hélène (lune) 16 ± 4 377 420 2,737 1980 Laques, Lecacheux groupe principal des lunes troyennes (en) 13,14 Saturne
Telesto (lune)
XIII Télesto (lune) 12 ± 3 294 710 1,888 1980 Smith, Reitsema, Larson, Fountain, Voyager 1 groupe principal des lunes troyennes (en) 13,14 Saturne
Calypso (lune)
XIV Calypso 9,5 ± 1,5 294 710 1,888 1980 Pascu, Seidelmann, Baum, Currie groupe principal des lunes troyennes (en) 13,14 Saturne
Atlas (lune)
XV Atlas 15,3 ± 1,2 137 670 0,602 1980 Terrile, {Voyager 1 lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Saturne
Prometheus (lune)
XVI Prometheus 46,8 ± 5,6 139 380 0,613 1980 Collins, Voyager 1 lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Saturne
Pandora (lune)
XVII Pandore 40,6 ± 4,5 141 720 0,629 1980 Collins, Voyager 1 lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Saturne
Pan (lune)
XVIII Pan 12,8 133 580 0,575 1990 Showalter, Voyager 2 lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Saturne
Ymir (lune)
XIX Ymir 9 23 140 400 1 315,58 (r) 2000 Gladman Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Paaliaq (lune)
XX Paaliaq 11 15 200 000 686,95 2000 Gladman Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe inuit 13,14 Saturne
Tarvos (lune)
XXI Tarvos 7,5 17 983 000 926,23 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe celte 13,14 Saturne
Ijiraq (lune)
XXII Ijiraq 6 11 124 000 451,42 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe inuit 13,14 Saturne
XXIII Suttungr 3.5 19 459 000 1 016,67 (r) 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Kiviuq (lune)
XXIV Kiviuq 8 11 110 000 449,22 2000 Gladman Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe inuit 13,14 Saturne
Mundilfari (lune)
XXV Mundilfari 3,5 18 628 000 952,77 (r) 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XXVI Albiorix 16 16 182 000 783,45 2000 Holman, Spahr Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe celte 13,14 Saturne
XXVII Skathi 4 15 540 000 728,20 (r) 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XXVIII Erriapus 5 17 343 000 871,19 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe celte 13,14 Saturne
XXIX Siarnaq 20 18 015 400 896,44 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe inuit 13,14 Saturne
Thrymr
XXX Thrymr 3,5 20 314 000 1 094,11 (r) 2000 Gladman, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Narvi (lune)
XXXI Narvi 3,5 19 007 000 1 003,86 (r) 2003 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Methone (lune)
XXXII Méthone 1,6 194 440 1,010 2004 Porco, Charnoz, Brahic, Dones, Cassini-Huygens groupe des Alcyonides 14 Saturne
Pallene (lune)
XXXIII Pallène 2 212 280 1,154 2004 Gordon, Murray, Beurle (en) et al., Cassini-Huygens groupe des Alcyonides 14 Saturne
Polydeuces (lune)
XXXIV Polydeuces 1,25 377 200 2,737 2004 Porco et al., Cassini-Huygens Groupe principal des lunes troyennes (en) 14 Saturne
Daphnis (lune)
XXXV Daphnis 3–4 136 500 0,594 2005 Porco et al., Cassini-Huygens Lune intérieure (en), satellite berger 14 Saturne
XXXVI Aegir 3 20 751 000 1 117,52 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Bebhionn (lune)
XXXVII Bebhionn 3 17 119 000 834,84 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe celte 13,14 Saturne
Bergelmir (lune)
XXXVIII Bergelmir 3 19 336 000 1 005,74 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XXXIX Bestla 3,5 20 192 000 1 088,72 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XL Farbauti 2,5 20 377 000 1 085,55 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XLI Fenrir 2 22 454 000 1 260,35 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
Fornjot (lune)
XLII Fornjot 3 25 146 000 1 494,2 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XLIII Hati 3 19 846 000 1 038,61 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
XLIV Hyrrokkin 4 18 437 000 931,86 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
Kari (lune)
XLV Kari 3,5 22 089 000 1 230,97 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
XLVI Loge 3 23 058 000 1 311,36 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
XLVII Skoll 3 17 665 000 878,29 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
XLVIII Surtur 3 22 704 000 1 297,36 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
Anthe (lune)
XLIX Anthée 1 197 700 1,0365 2007 Porco et al. (Cassini–Huygens) groupe des Alcyonides 34 Saturne
L Jarnsaxa 3 18 811 000 964,74 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
LI Greip 3 18 206 000 921,19 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
LII Tarqeq 3,5 18 009 000 887,48 2007 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement prograde, satellite irrégulier, groupe inuit 14 Saturne
Aegaeon (lune)
LIII Égéon 0,25 167,500 0.808 2008 Équipe d'imagerie scientifique de Cassini–Huygens Satellite mineur de l'anneau G 35 Saturne
— S/2004 S 7 3 20 999 000 1 140,24 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
— S/2004 S 12 2,5 19 878 000 1 046,19 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
— S/2004 S 13 3 18 404 000 933,48 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
— S/2004 S 17 2 19 447 000 1 014,70 (r) 2004 Sheppard, Jewitt, Kleyna, Marsden Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 13,14 Saturne
— S/2006 S 1 3 18 790 000 963,37 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
— S/2006 S 3 3 22 096 000 1 227,21 (r) 2006 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
— S/2007 S 2 3 16 725 000 808,08 (r) 2007 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
— S/2007 S 3 3 18 975 000 977,8 (r) 2007 Sheppard, Jewitt, Kleyna Mouvement rétrograde, satellite irrégulier, groupe nordique 14 Saturne
S/2009 S 1
— S/2009 S 1 0,15 117,000 0,471 2009 Équipe d'imagerie scientifique de Cassini–Huygens Satellite mineur de l'anneau B 36

Saturne

Ariel (lune)
I Ariel 578,9 ± 0,6 190 900 2,520 1851 William Lassell Lune du groupe principal 13,14 Uranus
Umbriel (lune)
II Umbriel 584,7 ± 2,8 266 000 4,144 1851 William Lassell Lune du groupe principal 13,14 Uranus
Titania (lune)
III Titania 788,9 ± 1,8 436 300 8,706 1787 Herschel Lune du groupe principal 13,14 Uranus
Oberon (lune)
IV Oberon 761,4 ± 2,6 583 500 13,46 1787 Herschel Lune du groupe principal 13,14 Uranus
Miranda (lune)
V Miranda 235,8 ± 0,7 129 900 1,413 1948 Kuiper Lune du groupe principal 13,14 Uranus
Cordelia (lune)
VI Cordelia 20,1 ± 3 49 800 0,335 1986 Terrile, Voyager 2 lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Uranus
Ophelia (lune)
VII Ophelia 21,4 ± 4 53 800 0,376 1986 Terrile, Voyager 2 Lune intérieure (en), satellite berger 13,14 Uranus
Bianca (lune)
VIII Bianca 25,7 ± 2 59 200 0,435 1986 Bradford A. Smith, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Portia, Cressida et Ophelia
IX Cressida 39,8 ± 2 61 800 0,464 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Desdemona (lune)
X Desdemona 32,0 ± 4 62 700 0,474 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Juliet (lune)
XI Juliette 46,8 ± 4 64 400 0,493 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Portia, Cressida et Ophelia
XII Portia 67,6 ± 4 66 100 0,513 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Rosalind (lune)
XIII Rosalinde 36 ± 6 69 900 0,558 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Belinda (lune)
XIV Belinda 40,3 ± 8 75 300 0,624 1986 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Puck (lune)
XV Puck 81 ± 2 86 000 0,762 1985 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Uranus
Caliban (lune)
XVI Caliban 49 7 231 100 579,73 (r) 1997 Gladman, Nicholson, Burns, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Sycorax (lune)
XVII Sycorax 75 12 179 400 1 288,38 (r) 1997 Gladman, Nicholson, Burns, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Prospero (lune)
XVIII Prospero 25 16 256 000 1 978,29 (r) 1999 Gladman, Holman, Kavelaars, Petit, Scholl Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Setebos (lune)
XIX Setebos 24 17 418 000 2 225,21 (r) 1999 Gladman, Holman, Kavelaars, Petit, Scholl Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Stephano (lune)
XX Stephano 10 8 004 000 677,36 (r) 1999 Gladman, Holman, Kavelaars, Petit, Scholl Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
XXI Trinculo 5 8 504 000 749,24 (r) 2001 Holman, Kavelaars, Milisavljevic Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Francisco (lune)
XXII Francisco 6 4 276 000 266,56 (r) 2001 Holman, Kavelaars, Milisavljevic, Gladman Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
XXIII Margaret 5,5 14 345 000 1 687,01 2003 Sheppard, Jewitt Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Ferdinand (lune)
XXIV Ferdinand 6 20 901 000 2 887,21 (r) 2001 Holman, Kavelaars, Milisavljevic, et al. Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Uranus
Perdita (lune)
XXV Perdita 10 76 417 0,638 1986 Karkoschka (en), Voyager 2 Lune intérieure (en) 14 Uranus
Mab (lune)
XXVI Mab 5 97 736 0,923 2003 Mark R. Showalter, Jack J. Lissauer Lune intérieure (en) 14 Uranus
Cupid (lune)
XXVII Cupid 5 74 392 0,613 2003 Mark R. Showalter, Jack J. Lissauer Lune intérieure (en) 14 Uranus

Triton
I Triton 1353,4 ± 0,9 354 800 5,877 (r) 1846 William Lassell Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
Nereid (lune)
II Néréide 170 ± 25 5 513 820 360,14 1949 Kuiper Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
Naiad (lune)
III Naïade 33 ± 3 48 227 0,294 1989 Terrile, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Thalassa (lune)
IV Thalassa 41 ± 3 50 075 0,311 1989 Terrile, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Despina (lune)
V Despina 75 ± 3 52 526 0,335 1989 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Galatea (lune)
VI Galatée 88 ± 4 61 953 0,429 1989 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Larissa (lune)
VII Larissa 97 ± 3 73 548 0,555 1982 Reitsema (en), Hubbard, Lebofsky, Tholen, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Proteus (lune)
VIII Protée 210 ± 7 117 647 1,122 1989 Stephen P. Synnott, Voyager 2 Lune intérieure (en) 13,14 Neptune
Halimede (lune)
IX Halimède 31 15 728 000 1 879,71 (r) 2002 Holman, Kavelaars, Grav, Fraser, Milisavljevic Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
Psamathe (lune)
X Psamathée 20 46 695 000 9 115,91 (r) 2003 Jewitt, Kleyna, Sheppard, Holman, Kavelaars Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
XI Sao 22 22 422 000 2 914,07 2002 Holman, Kavelaars, Grav, Fraser, Milisavljevic Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
XII Laomédie 21 23 571 000 3 167,85 2002 Holman, Kavelaars, Grav, Fraser, Milisavljevic Mouvement prograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
XIII Néso 30 48 387 000 9 373,99 (r) 2002 Holman, Kavelaars, Grav, Fraser, Milisavljevic Mouvement rétrograde, satellite irrégulier 13,14 Neptune
S/2004_N_1 — S/2004 N 1 8–10 105 283 0,9362 2013 Mark R. Showalter et al. Lune intérieure (en) 37 Neptune

Charon (lune) I Charon 603,6 ± 1,4 19 591 6,387 1978 Christy 13,14 Pluton
Nix (lune) II Nix 23,0 ± 2 48 671 24,85 2005 Weaver, Stern, Buie, et al. 13,14 Pluton
Hydra (lune) III Hydre 30,5 ± 4 64 698 38,20 2005 Weaver, Stern, Buie, et al. 13,14 Pluton
Kerberos (lune) IV Kerbéros 14,0 57 729 32,17 2011 Showalter, Hubble 13,14,38,39 Pluton
Styx (lune) V Styx 10,0 42 393 20,16 2012 Showalter, Hubble 13,14,40 Pluton

I Hiʻiaka ~160 49,500 ± 400 49.12 ± 0.03 2005 Brown et al. 41,42 Haumea
II Namaka ~85 39 000 (r) 34.7 ± 0.1
if e = 0
2005 Brown et al. 41,42 Haumea

Makemake — S/2015 (136472) 1 ~80 2016 Alex Parker et al. 43 Makémaké
Dysnomia (lune)

I Dysnomie 257± 11044 37 370 ± 150 15.774 ± 0.002 2005 Brown, Rabinowitz, Trujillo et al. Objet épars 45,46,47 Éris

C'est dans l'océan Pacifique que se trouvent les fosses les plus profondes de la Terre, avec des profondeurs dépassant 10 000 mètres dans les fosses des Kouriles, des Mariannes et des Philippines. Il comporte également de nombreux récifs coralliens dont l'île Christmas, le plus étendu et le plus ancien atoll du monde.

L'océan Pacifique est parcouru par plusieurs dorsales qui forment parfois en surface des archipels linéaires. Il contient des chaînes de monts sous-marins formés par des points chauds, dont la chaîne sous-marine Hawaï-Empereur et la chaîne sous-marine Louisville.

Il est entouré par la ceinture de feu et connaît de nombreux tremblements de terre. Lorsqu'ils se produisent dans l'océan, ces derniers provoquent des tsunami (raz-de-marée). Entre 1900 et 2004, 796 tsunamis ont été observés dans l'océan Pacifique, et 17 % d'entre eux ont lieu près du Japon. Un centre international d'alerte, le Pacific Tsunami Warning Center, est chargé de l'observation et de l'alerte sur ces phénomènes.

Satellites naturels du Système solaire https://fr.wikipedia.org/wiki/Satellites_naturels_du_Syst%C3%A8me_solaire
Apollo 11 https://fr.wikipedia.org/wiki/Apollo_11
Océan Pacifique https://fr.wikipedia.org/wiki/Oc%C3%A9an_Pacifique

Raymond Poulidor, dit « Poupou », est un coureur cycliste français, né le 15 avril 1936 à Masbaraud-Mérignat, dans la Creuse. Sa popularité (« poupoularité ») fut exceptionnelle en France, en dépit de son statut d'« éternel second » sur le Tour de France, épreuve qu'il n'a jamais gagnée et au cours de laquelle il n'a jamais porté le maillot jaune, mais dont il détient le record de podiums (huit). Il a cependant remporté le Tour d'Espagne en 1964. Il fait partie des rares coureurs de l'histoire à avoir terminé plus de 10 fois sur un podium final de grand tour.

Neil Alden Armstrong, né le 5 août 1930 à Wapakoneta dans l'Ohio aux États-Unis et mort le 25 août 2012 à Cincinnati dans le même État, est un astronaute américain, pilote d'essai, aviateur de l'United States Navy et professeur. Il est le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune le 21 juillet 1969 UTC, durant la mission Apollo 11, prononçant alors une phrase restée célèbre : « C'est un petit pas pour [un] homme, [mais] un bond de géant pour l'humanité ».

Jacques Anquetil, né le 8 janvier 1934 à Mont-Saint-Aignan en Seine-Maritime et mort le 18 novembre 1987 à Rouen, est un coureur cycliste français. Professionnel de 1953 à 1969, il est considéré comme l'un des plus grands coureurs de l'histoire du cyclisme et possède l'un des palmarès les plus riches de son sport. Surnommé « Maître Jacques », il est le premier coureur de l'histoire à remporter cinq fois le Tour de France et compte également deux victoires sur le Tour d'Italie et une victoire sur le Tour d'Espagne, ce qui en fait le premier cycliste à remporter les trois grands tours. Il détient aussi le record du nombre de podiums dans les trois grands tours, avec treize podiums.

Apollo 11
Mission spatiale avec équipage
Insigne de la mission
Insigne de la mission
Données de la mission
Vaisseau Module de commande et de service Apollo
Module lunaire Apollo
Équipage N. Armstrong, M. Collins et B. Aldrin.
Date de lancement 16 juillet 1969 (49 ans)
Site de lancement Centre spatial Kennedy
Date d'atterrissage 24 juillet 1969
Site d'atterrissage Océan Pacifique
13° 30′ N, 169° 15′ O
Durée 195 h 18 min 35 s
Date d'atterrissage sur la Lune 20 juillet 1969 UTC
Site d'atterrissage Mer de la Tranquillité
Roches lunaires collectées 21,55 kilogrammes
Durée sortie extravéhiculaire 2 heures 31 minutes (1)
Distance parcourue 1 km

Jermaine Jackson & Pia Zadora - When The Rain Begins To Fall...
https://www.youtube.com/watch?v=jDNLbzfxrPA

RAPPORT DE
Y'BECCA
SOUS L’ÉGIDE DU
CITOYEN TIGNARD YANIS


Dernière édition par yanis la chouette le Mar 11 Juil à 3:52, édité 1 fois
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SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I Empty
MessageSujet: Re: SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I   SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I EmptyMer 12 Déc à 9:57

L'albédo, ou albedo (sans accent), est le pouvoir réfléchissant d'une surface, c'est-à-dire le rapport de l'énergie lumineuse réfléchie à l'énergie lumineuse incidente. C'est une grandeur sans dimension, comparable à la réflectance, mais d'application plus spécifique, utilisée notamment en astronomie, climatologie et géologie.

Influence gravitationnelle sur la Terre
Article connexe : Force de marée.

La Terre et son satellite, distance non respectée.
Parmi les influences les plus connues, des plus réelles aux plus romantiques, citons :

la marée : le mouvement de révolution de la Lune autour de la Terre induit un effet gravitationnel différentiel (par rapport à l’effet gravitationnel Lune-Terre, vu du centre de la Terre) sur les eaux qui constituent les océans et les mers, provoquant une hausse locale du niveau d’eau à la surface de la Terre, approximativement dans la direction Terre-Lune, et dans la direction opposée. Cet effet différentiel est supérieur à celui dû au Soleil, même si sur Terre le champ de gravitation du Soleil est supérieur à celui de la Lune. L’onde de marée est en retard par rapport au mouvement de la Lune du fait de la déformabilité de l'eau ; il s’ensuit un lent ralentissement du mouvement de rotation de la Terre, et un très lent éloignement de la Lune.
l’activité sismique : le magma du manteau, présent sous la croûte terrestre solide, subit lui aussi du fait de son état visqueux des mouvements, correspondant au passage du satellite. Pour certains[Qui ?], la fragmentation de la croûte en plaques serait une conséquence de la présence de la Lune.[réf. nécessaire] Il est important de réaliser que cela n’est plausible que parce que la Lune était beaucoup plus près de la Terre à ses origines. Pour le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff, « la Lune a un effet de marée bien connu sur la Terre. Mais son influence est trop faible pour déclencher une éruption. Cependant pour un volcan en activité, la Lune peut modifier légèrement son comportement. Bien différent est le cas de Io, lune (satellite) de Jupiter. L'énorme Jupiter provoque des éruptions fantastiques sur Io. »5
le climat6 : lors des différentes phases de la lune, la force de marée attire plus ou moins l’atmosphère et participe ainsi, à hauteur de quelques pourcents, aux phénomènes de surpression et de dépression.
la croissance des animaux : le nautile possède une coquille en spirale formée d’anneaux. Chaque jour, il forme un anneau supplémentaire. Au bout d’un mois se forme une nouvelle cloison intérieure. Si l’on observe des coquilles fossiles, la fréquence des cloisons intérieures augmente proportionnellement à leur ancienneté. C’est une confirmation indirecte et indépendante de l’allongement du mois dû à l’augmentation progressive de la distance Terre-Lune7. Cependant cette hypothèse est de plus en plus contestée8,9.
l’obliquité terrestre : l’obliquité de la Terre varie entre 21 et 24° environ par rapport au plan de l’écliptique. Celle de Mars qui n’a pas de satellite naturel comparable varie entre 20 et 60°. Les scientifiques[Qui ?] pensent donc que la Lune stabilise la Terre dans son mouvement comme si elle était un contrepoids — simplement parce que le moment d’inertie du système Terre-Lune est bien plus grand que celui de la Terre seule.
depuis longtemps, les calendriers indiquent les phases de la Lune, notamment pour les activités rurales (visibilité de nuit) ou de pêche (marées).

Voyager 1 est l'une des deux sondes spatiales jumelles du programme spatial Voyager de la NASA lancées le 5 septembre 1977 pour étudier les planètes externes du Système solaire qui n'avaient jusque-là été observées qu'au moyen de télescopes situés sur Terre, notamment les systèmes de Jupiter et de Saturne.

Voyager 1 est, avec sa sonde jumelle, à l'origine d'un grand nombre de découvertes sur le Système solaire remettant parfois en cause ou affinant les modèles théoriques existants et à ce titre, une des missions spatiales les plus fructueuses de l'agence spatiale américaine. Parmi les résultats les plus remarquables figurent le fonctionnement complexe de la Grande Tache rouge de Jupiter, la première observation des anneaux de Jupiter, la découverte du volcanisme d'Io, la structure étrange de la surface d'Europe, la composition de l'atmosphère de Titan, la structure inattendue des anneaux de Saturne ainsi que la découverte de plusieurs petites lunes de Jupiter et de Saturne. La sonde est aussi à l'origine de la célèbre photographie Un point bleu pâle (Pale Blue Dot en anglais) de la planète Terre prise en 1990 à une distance de 6,4 milliards de kilomètres, ce qui en a fait la photographie la plus lointaine jamais prise pendant 27 ans

La sonde spatiale fait preuve d'une grande longévité et dispose toujours en 2015 d'instruments opérationnels qui collectent des données scientifiques sur le milieu traversé. Elle a quitté en août 2012 l'héliosphère – la région de l'espace placée sous l'influence magnétique du Soleil – et progresse désormais dans le milieu interstellaire, même si à compter de 2020, les instruments devront néanmoins être progressivement arrêtés pour faire face à l'affaiblissement de sa source d'énergie électrique. Voyager 1 ne sera plus capable de transmettre de données au-delà de 20252. Au 4 décembre 2018, la sonde est à environ 21 557 059 600 kilomètres (144,1 unités astronomiques) du Soleil et à environ 21 677 578 330 kilomètres (144,91 unités astronomiques) de la Terre. Elle est ainsi l'artefact humain le plus loin de la Terre jamais envoyé.

Énergétique
Avant d'installer un équipement utilisant l'énergie solaire, il est important de connaître l'éclairement énergétique au niveau du sol, c'est-à-dire la quantité de lumière solaire reçue au sol. Pour cela, une des techniques les plus efficaces est l'utilisation de satellites d'observation terrestre. Le satellite de Météosat de seconde génération est ainsi capable de fournir des mesures précises toutes les 15 minutes sur l'éclairement énergétique au niveau du sol du continent européen.

Le calcul de la luminance au sol intéresse également de nombreux autres domaines, comme :

l'agriculture (voir évapotranspiration);
l'architecture ;
l'industrie du plastique, désireuse d'adapter la garantie de ses produits en fonction de l'endroit où ils seront utilisés ;
la médecine, pour étudier l'impact de la lumière solaire sur la santé, via notamment la luminothérapie.

Avalanche - Johnny, Johnny come home - 1989...
https://www.youtube.com/watch?v=qRyiQbeYvf0

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MessageSujet: Re: SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I   SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I EmptyMer 12 Déc à 10:01

La force de marée est une conséquence de la force d'attraction gravitationnelle et elle est la cause des marées. Dans certains cas, la force de marée est suffisante pour disloquer le satellite d'un corps spatial.

Étymologie
Le substantif3 masculin4 albédo est emprunté3,4 au latin4 tardif (bas latin)3 albedo, substantif féminin5 signifiant blancheur3,6. Il a été introduit au xviiie siècle en optique et en astronomie par le mathématicien et astronome Jean-Henri Lambert.

Définitions
L'albédo, dans sa définition la plus courante dite albédo de Bond, est une valeur comprise entre 0 et 1 : un corps noir parfait, qui absorberait toutes les longueurs d'onde sans en réfléchir aucune, aurait un albédo nul, tandis qu'un miroir parfait, qui réfléchirait toutes les longueurs d'onde, sans en absorber une seule, aurait un albédo égal à 1. D'autres définitions, dont celle de l'albédo géométrique, peuvent donner des valeurs supérieures à 1.

Le terme albédo est également utilisé en transfert radiatif pour décrire la part de la diffusion dans l'extinction totale d'un milieu semi-transparent. Il s'agit donc d'une quantité comprise entre 0 (pas de diffusion) et 1 (pas d'absorption).

Mesures


La lave a un albédo très faible et réfléchit peu la lumière : elle apparaît noire alors que la neige fraîche, avec un albédo très élevé, paraît très blanche.
Dans la pratique, un corps est perçu comme blanc dès qu'il réfléchit au moins 80 % de la lumière d'une source lumineuse blanche. À l'inverse tout corps réfléchissant moins de 3 % de la lumière incidente paraît noir.

Certaines matières ont un albédo très variable, comme les nuages. En revanche, les corps solides ont bien souvent des albédos fixes, dépendant de leur composition chimique. Par exemple, la lave a un albédo de 0,04, le sable entre 0,25 et 0,30, la glace environ 0,60, la neige (épaisse et fraîche) jusqu'à 0,90. L'albédo moyen terrestre est de 0,30 toutes surfaces confondues.

Usages
Climatologie
L'albédo est l'un des indicateurs prévenant de la température de la surface de la Terre. C'est un « baromètre » des variations climatiques qui influe sur la connaissance de l'amplitude de l'effet de serre en opposant une rétroaction positive (qui s'auto-alimente) sur la température en surface et des océans, en fonction de la variation du volume des glaces.

Le refroidissement d'origine astronomique entraîne une extension des glaces continentales, de l'inlandsis, des glaciers, et donc une augmentation de l'albédo ; la planète réfléchit davantage le rayonnement solaire, en absorbe moins, ce qui amplifie son refroidissement. Le réchauffement a des effets inverses. Ce qui pose problème aujourd'hui : le réchauffement de la planète fait fondre la banquise polaire, ce qui diminue l'albédo et donc augmente la température de la planète. La planète Terre présente un albédo de Bond de l'ordre de 0,34.

Afin de lutter contre le réchauffement climatique, une piste de recherche consisterait à provoquer à grande échelle des nuages artificiels provoquant une augmentation de l'albédo terrestre7. En l'absence de recul et de maîtrise de la technologie, cette piste est cependant repoussée.

Lutte contre la chaleur

Un diagramme de l'EPA illustre l'albédo de différentes surfaces : de 10 à 15% pour la tôle à 50% à 90% pour un toit peint en blanc.
La ville de Los Angeles peint en blanc certains sols et bâtiments, ce qui permet de faire baisser la température de 6 ou 7 degrés lors des épisodes de forte chaleur ou de canicule8. Un dispositif similaire dans la ville de New York consistant à peindre les toits de peinture blanche réfléchissante donne une baisse de température allant jusqu'à 15 degrés9. Un rapport estime que pour les blocs d'immeubles, peindre en blanc murs et trottoirs permettrait une économie d'énergie liée à la climatisation de 10 à 30%10.

Au Pérou, une ONG aidée par le gouvernement et la Banque mondiale a peint les zones libérées par le recul des glaciers à l'aide de chaux et de blanc d'œuf, avec des résultats positifs sur la température et un retour de la glace par endroits. Cependant, au coût de 5 000 $ l'hectare, l'expérimentation n'est pas réalisable à plus grande échelle11,12.

Astronomie
Articles détaillés : albédo géométrique et albédo de Bond.
L'albédo est utilisé en astronomie pour avoir une idée de la composition d'un corps trop froid pour émettre sa propre lumière, en mesurant la réflexion d'une source lumineuse externe, comme le Soleil. On peut différencier ainsi facilement les planètes gazeuses, qui ont un fort albédo, des planètes telluriques qui ont, elles, un albédo faible.

Les astronomes ont affiné cette définition en distinguant d'une part l'albédo de Bond, correspondant à la réflectivité globale d'un objet céleste pour toutes les longueurs d'onde et tous angles de phase confondus, et d'autre part l'albédo géométrique, correspondant au rapport entre l'intensité électromagnétique réfléchie par un astre à angle de phase nul et l'intensité électromagnétique réfléchie à angle de phase nul par une surface équivalente à réflectance idéalement lambertienne (c'est-à-dire isotrope quel que soit l'angle de phase) : conséquences de ces définitions, l'albédo de Bond est toujours compris entre 0 et 1, tandis que l'albédo géométrique peut être supérieur à 1.

Dans la représentation la plus simple, on peut dire que la Lune a une orbite elliptique autour du centre de la Terre (conformément aux lois de Kepler), qui lui-même tourne autour du Soleil. Pour être plus précis, on peut résoudre le problème à deux corps, ce qui permet de montrer que la Terre et la Lune orbitent en fait autour du barycentre du système double, qui lui-même tourne autour du Soleil, l’influence gravitationnelle perturbatrice du Soleil étant faible par rapport à leur interaction mutuelle10. Comme ce barycentre se trouve à l’intérieur de la Terre, à environ 4 700 kilomètres de son centre, le mouvement de la Terre est généralement décrit comme une « oscillation », et le système Terre-Lune est donc le plus souvent considéré comme un système planète-satellite plutôt qu'une planète double, bien que ce dernier statut tende à devenir plus courant ces dernières années11 et a même été considéré ainsi (au moins pendant un temps) par l'Agence spatiale européenne.

La période de rotation de la Lune est la même que sa période orbitale et elle présente donc toujours le même hémisphère (nommé « face visible de la Lune ») à un observateur terrestre (l'autre hémisphère est donc appelé « face cachée de la Lune »). Cette rotation synchrone résulte des frottements qu’ont entraînés les marées causées par la Terre à la Lune, et qui ont progressivement amené la Lune à ralentir sa rotation sur elle-même, jusqu’à ce que la période de ce mouvement coïncide avec celle de la révolution de la Lune autour de la Terre. Actuellement les effets de marée de la Lune sur la Terre ralentissent la rotation de cette dernière et provoquent un léger éloignement des deux astres d'environ 3,78 cm par année12,13. Du fait de cet éloignement et du ralentissement qui fait que la durée du jour terrestre augmente de 15 μs par an, la Lune à sa naissance orbitait à une distance 2 fois moindre qu'aujourd'hui et la Terre tournait alors sur elle-même en 6 heures14,15.

Moon nearside LRO 5000 (2).png Moon farside LRO 5000.jpg
Face visible de la Lune Face cachée de la Lune
Les points où l’orbite de la Lune croise l’écliptique (plan orbital de la Terre) s’appellent les « nœuds » lunaires : le nœud ascendant est celui où la Lune passe vers le nord de l’écliptique et le nœud descendant est celui où elle passe vers le sud.

Les différentes périodes de la Lune
Nom Valeur (jours) Définition
Période sidérale 27,321 661 Par rapport aux étoiles lointaines
Période synodique 29,530 588 Par rapport au Soleil (phases de la Lune ou lunaison)
Période tropique 27,321 582 Par rapport au point vernal (précession en ~ 26 000 a)
Période anomalistique 27,554 550 Par rapport au périgée (précession en 3 232,6 jours = 8,8504 a)
Période draconitique 27,212 220 Par rapport au nœud ascendant (précession en 6 793,5 jours = 18,5996 a)
La Lune et la Terre à l'échelle.
La Lune et la Terre avec tailles et distances à l'échelle.

Image de la Terre et la Lune, avec leurs tailles et distances à l'échelle. La barre jaune représente une impulsion de lumière voyageant de la Terre à la Lune (approximativement 400 000 km) en 1,26 secondes.
Le plan de l’orbite lunaire est incliné en moyenne de 5,145 396 degrés par rapport à l’écliptique. Cette inclinaison varie entre 5 degrés et 5,28 degrés selon un cycle de 173 jours (la moitié d'une année draconitique).

Le plan de rotation de la Lune subit une précession d’une période de 6 793,5 jours (18,5996 années). Cette précession est provoquée par la gravitation du Soleil et, dans une moindre mesure, par le bourrelet équatorial de la Terre.

Comme la Terre est elle-même inclinée de 23,45 degrés par rapport à l’écliptique, l’inclinaison du plan orbital lunaire par rapport à l’équateur terrestre varie entre 28,72 degrés et 18,16 degrés.

Enfin, l’inclinaison de la Terre varie de 0,002 56 degrés de part et d’autre de sa valeur moyenne, ce qu’on appelle la nutation, mise en évidence pour la première fois par James Bradley en 1748 (voir aussi Librations en latitude).

Principe de base

Les forces d'attraction qu'exerce l'astre 1 sur les astres 2 et 3, notées F1/2 et F1/3, peuvent se décomposer en une composante moyenne F et une composante différentielle f1/2 et f1/3. Cette composante différentielle tend à éloigner les astres 2 et 3 (haut) ou à les rapprocher (bas).
Imaginons deux masses d'un même côté d'un astre et alignées sur la direction de cet astre qu'on nommera par la suite « primaire » (mais qui n'est pas forcément le plus massif des trois), qui les attire. En vertu de la loi d'attraction universelle, la plus proche de l'astre sera plus attirée que l'autre et tendra donc à s'en séparer. Imaginons maintenant une autre configuration où la ligne qui joint les deux masses est perpendiculaire à la ligne qui va de leur centre de masse à l'astre. Les forces d'attraction ont des directions convergentes (vers l'astre) ; ainsi les masses auront une tendance à se rapprocher. Ainsi l'astre primaire sera à la fois responsable du mouvement accéléré de l'ensemble des deux masses, plus précisément de leur centre de masse, mais aussi responsable de forces qui régissent le mouvement relatif de ces deux masses et qu'on appelle forces de marée. La force de marée est donc une interaction gravitationnelle indirecte entre ces masses induite par un ou plusieurs astres primaires.

L'expression exacte de cette force de marée sera dérivée plus loin. Le résultat essentiel, dans le cas le plus fréquent où une des masses, par exemple la Terre, est beaucoup plus grande que l'autre, par exemple une petite masse d'eau de l'océan ou un satellite de la terre, et où la distance qui les sépare est beaucoup plus petite que la distance à l'astre primaire (la distance Terre-Lune par exemple), est que dans la configuration alignée cette force de marée est « centrifuge » et a pour intensité

{\displaystyle 2\mathrm {G} \,m\,\mathrm {M_{L}} r/\mathrm {R} ^{3}} 2{\mathrm {G}}\,m\,{\mathrm {M_{{L}}}}r/{\mathrm {R}}^{{3}}
où r est la distance de la masse d'eau au centre de la terre, m la masse d'eau, R la distance Terre Lune (la Lune est l'astre primaire ici), {\displaystyle \mathrm {M_{L}} } {\displaystyle \mathrm {M_{L}} }la masse de la Lune, et G la constante universelle de la gravitation. Dans l'autre configuration envisagée, la force de marée est « centripète » et deux fois moins intense.

Cette force de marée, s'exerçant entre les constituants d'un satellite (dans ce cas, les deux masses considérées sont parties intégrantes d'un seul et même corps), tend à le déformer, voire parfois à le briser (voir la photographie de la brisure de la comète Shoemaker-Levy 9 par les forces de marée dues à Jupiter) lorsque la force de marée centrifuge l'emporte sur l'interaction gravitationnelle directe des deux parties ou sur les forces de cohésion de ces mêmes parties (voir ci-dessous la sous-section sur la limite de Roche).

Dans le cas où ce satellite a une rotation propre non synchrone avec sa révolution autour de l'astre, la déformation périodique qui en résulte est responsable des marées océaniques et/ou terrestres. De plus cette déformation périodique entraîne, par le biais des forces de friction, un échauffement du satellite. Ces forces de friction sont aussi à l'origine d'un couple qui tend à synchroniser sa rotation propre et sa révolution autour de l'astre, comme c'est déjà le cas pour la lune qui nous montre toujours la même face. Ce même phénomène est également responsable du ralentissement progressif de la rotation de la Terre d'environ 2 ms/siècle. Ces forces de friction sont enfin responsables de la modification de l'orbite, le satellite pouvant s'écraser sur l'astre ou, au contraire, s'en éloigner comme c'est le cas pour l'orbite de la Lune qui s'éloigne d'environ 4 cm par an de la Terre.

Corona - Rhythm Of The Night...
https://www.youtube.com/watch?v=gwVxXEYrgZk

Force de marée https://fr.wikipedia.org/wiki/Force_de_mar%C3%A9e
L'albédo, ou albedo https://fr.wikipedia.org/wiki/Force_de_mar%C3%A9e

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MessageSujet: Re: SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I   SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I EmptyMer 12 Déc à 10:09

Star Wars: The Last Jedi.
https://www.youtube.com/watch?v=3mzj1oAkOVo
Voyager 2, Das Nachtlied, Claude Seignolle et Trois contes.
http://leclandesmouettes.bbflash.net/t925-voyager-2-das-nachtlied-claude-seignolle-et-trois-contes
Y'BECCA.
TAY

Jean Moulin, né le 20 juin 1899 à Béziers et mort le 8 juillet 1943 près de Metz, en Moselle annexée, est un haut fonctionnaire et résistant français.

Préfet de l'Aveyron puis de l'Eure-et-Loir, refusant l'occupation nazie, il rejoint en septembre 1941, l'organisation de résistance la France libre à Londres en passant par l’Espagne et le Portugal. Il est reçu par Charles de Gaulle à qui il fait un compte rendu de l’état de la Résistance en France et de ses besoins, notamment financiers et en armement.

À l'issue de quelques entretiens, il est envoyé à Lyon par Charles de Gaulle pour unifier les mouvements de la Résistance. Il est arrêté à Caluire-et-Cuire, dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon où il est torturé ; il est ensuite transféré à la Gestapo de Paris. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz.

Il dirigea le Conseil national de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération de la France, puis général de division en novembre 19462.

Un cénotaphe lui est dédié au Panthéon où se trouvent les tombeaux des grands hommes de la République française. Son corps n'a jamais été identifié avec certitude, et l'urne transférée au Panthéon ne contient que les « cendres présumées de Jean Moulin ».

ILS VEULENT MA FOURRURE POUR ÉTABLIR UN POUVOIR ET UNE RICHESSE SUR AUTRUI. ILS S'ATTRIBUENT UNE PUISSANCE AUQUEL LA NATURE N'A PAS VOCATION. LA CHALEUR MONTRE QUE LA VIE N'EST JAMAIS ACQUISE : LIBRE EN MES MOUVEMENTS, JE SUIS LA VOLONTÉ D'UNE LIBERTÉ DE VIVRE.
JE SUIS IRBIS.
TAY

Panthère des neiges
Panthera uncia, Uncia uncia • Léopard des neiges, Once, Irbis
https://fr.wikipedia.org/wiki/Panth%C3%A8re_des_neiges


https://www.youtube.com/watch?v=4y_q1OAkioE
https://www.youtube.com/watch?v=RZHCjnKai78


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MessageSujet: Re: SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I   SATELITTES NATURELS DU SYSTEME SOLAIRE, 0° ET VOYAGER II + I EmptyVen 14 Déc à 10:32

The Doors - Light My Fire...
https://www.youtube.com/watch?v=deB_u-to-IE

NASA's Juno Mission Halfway to Jupiter Science...

On Dec. 21, at 8:49:48 a.m. PST (11:49:48 a.m. EST) NASA's Juno spacecraft will be 3,140 miles (5,053 kilometers) above Jupiter's cloud tops and hurtling by at a healthy clip of 128,802 mph (207,287 kilometers per hour). This will be the 16th science pass of the gas giant and will mark the solar-powered spacecraft's halfway point in data collection during its prime mission.

Juno is in a highly-elliptical 53-day orbit around Jupiter. Each orbit includes a close passage over the planet's cloud deck, where it flies a ground track that extends from Jupiter's north pole to its south pole.

"With our 16th science flyby, we will have complete global coverage of Jupiter, albeit at coarse resolution, with polar passes separated by 22.5 degrees of longitude," said Jack Connerney, Juno deputy principal investigator from the Space Research Corporation in Annapolis, Maryland. "Over the second half of our prime mission - science flybys 17 through 32 - we will split the difference, flying exactly halfway between each previous orbit. This will provide coverage of the planet every 11.25 degrees of longitude, providing a more detailed picture of what makes the whole of Jupiter tick."

Launched on Aug. 5, 2011, from Cape Canaveral, Florida, the spacecraft entered orbit around Jupiter on July 4, 2016. Its science collection began in earnest on the Aug. 27, 2016, flyby. During these flybys, Juno's suite of sensitive science instruments probes beneath the planet's obscuring cloud cover and studies Jupiter's auroras to learn more about the planet's origins, interior structure, atmosphere and magnetosphere.

"We have already rewritten the textbooks on how Jupiter's atmosphere works, and on the complexity and asymmetry of its magnetic field," said Scott Bolton, principal investigator of Juno, from the Southwest Research Institute in San Antonio. "The second half should provide the detail that we can use to refine our understanding of the depth of Jupiter's zonal winds, the generation of its magnetic field, and the structure and evolution of its interior."

Two instruments aboard Juno, the Stellar Reference Unit and JunoCam, have proven to be useful not only for their intended purposes, but also for science data collection. The Stellar Reference Unit (SRU) was designed to collect engineering data used for navigation and attitude determination, so the scientists were pleased to find that it has scientific uses as well.

"We always knew the SRU had a vital engineering job to do for Juno," said Heidi Becker, Juno's radiation monitoring investigation lead at NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California. "But after making scientific discoveries in Jupiter's radiation belts and taking a first-of-its-kind image of Jupiter's ring, we realized the added value of the data. There is serious scientific interest in what the SRU can tell us about Jupiter."

The JunoCam imager was conceived as an outreach instrument to bring the excitement and beauty of Jupiter exploration to the public.

"While originally envisioned solely as an outreach instrument to help tell the Juno story, JunoCam has become much more than that," said Candy Hansen, Juno co-investigator at the Planetary Science Institute in Tucson, Arizona. "Our time-lapse sequences of images over the poles allow us to study the dynamics of Jupiter's unique circumpolar cyclones and to image high-altitude hazes. We are also using JunoCam to study the structure of the Great Red Spot and its interaction with its surroundings."

The SRU and JunoCam teams both now have several peer-reviewed science papers -either published or in the works - to their credit.

NASA's JPL manages the Juno mission for the principal investigator, Scott Bolton, of the Southwest Research Institute in San Antonio. Juno is part of NASA's New Frontiers Program, which is managed at NASA's Marshall Space Flight Center in Huntsville, Alabama, for NASA's Science Mission Directorate. The Italian Space Agency (ASI) contributed two instruments, a Ka-band frequency translator (KaT) and the Jovian Infrared Auroral Mapper (JIRAM). Lockheed Martin Space in Denver built the spacecraft.

More information about Juno is available at:

https://www.nasa.gov/juno

https://www.missionjuno.swri.edu

More information on Jupiter is at:

https://www.nasa.gov/jupiter

The public can follow the mission on Facebook and Twitter at:

https://www.facebook.com/NASAJuno
https://www.twitter.com/NASAJuno

News Media Contact
DC Agle
Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, Calif.
818-393-9011
agle@jpl.nasa.gov

Dwayne Brown / JoAnna Wendel
NASA Headquarters, Washington
202-358-1726 / 202-358-1003
dwayne.c.brown@nasa.gov / joanna.r.wendel@nasa.gov

Deb Schmid
Southwest Research Institute, San Antonio
210-522-2254
dschmid@swri.org

2018-286

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7303&utm_source=iContact&utm_medium=email&utm_campaign=nasajpl&utm_content=Juno-20181212

et,

NASA's New Horizons ‘Phones Home’ Safe after Pluto Flyby ...


New Horizons Flight Controllers celebrate after they received confirmation from the spacecraft that it had successfully completed the flyby of Pluto, Tuesday, July 14, 2015 in the Mission Operations Center (MOC) of the Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory (APL), Laurel, Maryland.
Credits: NASA/Bill Ingalls

The call everyone was waiting for is in. NASA’s New Horizons spacecraft phoned home just before 9 p.m. EDT Tuesday to tell the mission team and the world it had accomplished the historic first-ever flyby of Pluto.

“I know today we’ve inspired a whole new generation of explorers with this great success, and we look forward to the discoveries yet to come,” NASA Administrator Charles Bolden said. “This is a historic win for science and for exploration. We’ve truly, once again raised the bar of human potential.”

The preprogrammed “phone call” -- a 15-minute series of status messages beamed back to mission operations at the Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory in Maryland through NASA’s Deep Space Network -- ended a very suspenseful 21-hour waiting period. New Horizons had been instructed to spend the day gathering the maximum amount of data, and not communicating with Earth until it was beyond the Pluto system.

“With the successful flyby of Pluto we are celebrating the capstone event in a golden age of planetary exploration,” said John Grunsfeld, associate administrator for NASA's Science Mission Directorate in Washington. “While this historic event is still unfolding --with the most exciting Pluto science still ahead of us -- a new era of solar system exploration is just beginning. NASA missions will unravel the mysteries of Mars, Jupiter, Europa and worlds around other suns in the coming years."

Pluto just had its first visitor! Thanks @NASA - it's a great day for discovery and American leadership. pic.twitter.com/FfztBSMbK0
— President Obama (@POTUS44) July 15, 2015

Pluto is the first Kuiper Belt object visited by a mission from Earth. New Horizons will continue on its adventure deeper into the Kuiper Belt, where thousands of objects hold frozen clues as to how the solar system formed.

“Following in the footsteps of planetary exploration missions such as Mariner, Pioneer and Voyager, New Horizons has triumphed at Pluto,” says New Horizons principal investigator Alan Stern of the Southwest Research Institute in Boulder, Colorado. “The New Horizons flyby completes the first era of planetary reconnaissance, a half century long endeavor that will forever be a legacy of our time."

New Horizons is collecting so much data it will take 16 months to send it all back to Earth.

“On behalf of everyone at the Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory, I want to congratulate the New Horizons team for the dedication, skill, creativity, and determination they demonstrated to reach this historic milestone,” said APL Director Ralph Semmel. “We are proud to be a part of a truly amazing team of scientists, engineers, and mission operations experts from across our nation who worked tirelessly to ensure the success of this mission.”

APL designed, built and operates the New Horizons spacecraft and manages the mission for NASA’s Science Mission Directorate. SwRI leads the mission, science team, payload operations and encounter science planning. New Horizons is part of NASA’s New Frontiers Program, managed by the agency’s Marshall Space Flight Center in Huntsville, Alabama.

Follow the New Horizons mission on Twitter and use the hashtag #PlutoFlyby to join the conversation. Live updates also will be available on the mission Facebook page.

For more information on the New Horizons mission, including fact sheets, schedules, video and images, visit:

http://www.nasa.gov/newhorizons

and

http://solarsystem.nasa.gov/planets/plutotoolkit.cfm

-end-

Dwayne Brown / Laurie Cantillo
Headquarters, Washington
202-358-1726 / 202-358-1077
dwayne.c.brown@nasa.gov / laura.l.cantillo@nasa.gov

Mike Buckley
Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory, Laurel, Md.
240-228-7536
michael.buckley@jhuapl.edu

Maria Stothoff
Southwest Research Institute, San Antonio
210-522-3305
maria.stothoff@swri.org

Last Updated: Aug. 7, 2017
Editor: Sarah Ramsey
Tags: New Horizons, Pluto

https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7303&utm_source=iContact&utm_medium=email&utm_campaign=nasajpl&utm_content=Juno-20181212
https://www.nasa.gov/press-release/nasas-new-horizons-phones-home-safe-after-pluto-flyby

The Doors- The Soft Parade...
https://www.youtube.com/watch?v=8p-AUo1w45w

TÉMOIGNAGE D'UNE CITOYENNE
PAR LE
CITOYEN TIGNARD YANIS

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