La Tragédie de Alep, courtisane de Petra, qui malgré tout avait réussi à survivre devant l'avancée du désert et de ses oubliés. Là où la Nature n'a pas réussi devant la persévérance de ses habitants, la discorde par ses bombes réussit par ses intérêts à propager une certaine vision autre que celle d'une grande unité: (The Man Who Would Be King) ainsi se souleva une autre réalité dans les entrailles du proche orient. Le grand royaume de Petra et les républiques des oasis furent ensevelis par une déluge autre que des grains de sables, une malédiction créait par les hommes et je dois dire que notre discorde n'est pas l’œuvre du Démon. Si il se moque de Nous et bien après tout, Y'becca doit reconnaitre les erreurs des gouvernances tel il se passa dans la guerre de Troie. Alep est tout comme se récit où chacun d'entre nous se perçoit tel un
Josiah Harlan. Enfin bref, certains d'entre vous prévoit comme Kipling a pu aussi s'inspirer de l'histoire de Sir James Brooke (1803–1868), surnommé le « Rajah blanc », qui fonda une dynastie à Sarawak en 1841 dans son œuvre. La démocratie rattrapé par l'utopie, si cela ne ramènera pas les victimes de Alep, c'est pas ses mots que j'honore cette guerre de l'absurde pour certains, de la Liberté pour d'autres, de la délivrance pour eux et de l'espérance chez les plus fous. Finalement que ce soit Josiah Harlan ou Sir James Brooke, l'histoire ne retiendra que les casques blancs de Alep, les secouristes désintéressés de Y'becca et les défenseurs des croyances issus de la Bataille de l'Hydaspe et Bucéphale: la couronne du Kafiristan. Celle de croire au retour d'une entité prénommé La République et ses utopies.
Ecrit de
TAY
La chouette effraie
Analyse
Il est probable que Kipling se soit inspiré de la vie de Josiah Harlan (en) (1799-1871), un aventurier américain qui se rendit en Afghanistan et au Punjab dans l'intention de devenir roi. Après s'être mêlé de politique locale et de faits d'armes, il finit par obtenir le titre de « Prince de Ghor » pour lui-même et ses descendants en échange de son aide militaire. Kipling a pu aussi s'inspirer de l'histoire de Sir James Brooke (1803–1868), surnommé le « Rajah blanc », qui fonda une dynastie à Sarawak en 1841.
L'histoire s'appuie sur les symboles et les rites de la franc-maçonnerie, à laquelle appartenait Kipling, et sans grand souci de vraisemblance perpétue le mythe d'une maçonnerie antique, à laquelle aurait appartenu Alexandre le Grand.
Autour du film
L'Homme qui voulut être roi était un projet désiré et imaginé par John Huston depuis 25 ans. Lorsqu'il le réalisa en 1975, il avait 69 ans. Il avait envisagé de tourner le film avec Clark Gable et Humphrey Bogart comme interprètes, mais le décès de ceux-ci (respectivement en 1960 et 1957) le contraignit à y renoncer. Il pensa ensuite à Kirk Douglas et Burt Lancaster puis Peter O'Toole et Richard Burton. Enfin, il proposa le rôle à Paul Newman et Robert Redford. Paul Newman, qui venait de faire deux films avec le cinéaste, incita Huston à prendre deux acteurs britanniques, pour une question de véracité (de son point de vue).
Le tournage s'est déroulé à Glen Canyon aux États-Unis, Chamonix-Mont-Blanc en France, au Maroc et aux studios Pinewood au Royaume-Uni.
Lors de la « ressortie » française du film en 2002 (en copie neuve), les spectateurs ont pu voir (pour la première fois) un plan fantôme absent de toutes les copies en circulation du film (copie pour Câble, VHS, DVD…). À la toute fin du film, lorsque Kipling (Christopher Plummer) vient de découvrir le sort tragique de Daniel Dravot (Sean Connery), Huston choisit de nous montrer une image mentale de Kipling : Dravot tombe, au ralenti, dans un trou noir. Sa couronne en or tournoie, elle aussi, lentement. Ils disparaissent finalement dans les ténèbres. Puis on revient sur le visage de Kipling.
Il s'agit du film préféré de Michael Caine et de Sean Connery.[réf. nécessaire]
Souffrant de graves problèmes cardiaques, John Huston vit un jour arriver, dans sa chambre d'hôpital, Sean Connery et Michael Caine. Les deux acteurs refirent (à l'identique) la scène de présentation du film.
Sean Connery réalisa lui-même la cascade périlleuse à la fin du film.
Les prêtres et habitants de Sikandergul parlent l'arabe dialectal marocain, John Huston ayant recruté ces acteurs parmi les autochtones de la région du tournage, au Maroc. Les dialogues dits par le grand prêtre sont fidèles aux traductions de Billy Fish, sauf lors des plans où le grand prêtre dévoile la pierre où est gravé le signe des francs-maçons. En substance, le prêtre disait : « Ceci est ma terre et mon pays. Vous ne l'aurez jamais. Vous n'êtes pas les bienvenus », ce que Billy Fish traduisait par l'exact contraire. On peut relever d'autres traductions de Billy Fish complètement fantaisistes, mais très rares.
Sean Connery rencontra sa future seconde femme Micheline Roquebrune à Marrakech durant le tournage du film.
Roxane, jeune fille dont Daniel Dravot choisit de faire sa femme est interprétée par Shakira Caine, la femme de Michael Caine.
Aux Indes, Daniel Dravot et Peachy Carnehan, deux amis britanniques, anciens militaires, francs-maçons et surtout aventuriers déterminés et peu scrupuleux, caressent un rêve fou : entrer au Kafiristan (un pays légendaire où aucun Européen n'a mis le pied depuis Alexandre le Grand) et en devenir le roi.
Avec l'aide d'un journaliste anglais (qui dans le film, mais non dans la nouvelle, est Rudyard Kipling), ils parviennent à entreprendre le périlleux voyage…
Dans son bureau du journal The Northern Star, Kipling reçoit la visite d'une épave humaine, en haillons et à moitié fou, qui se présente comme celui qu'il a jadis connu sous le nom de Peachy Carnehan. Peachy raconte à Kipling comment, avec Daniel Dravot, il est arrivé au Kafiristan, province de l'Afghanistan, où ils sont devenus des dieux, ont régné et ont fini par tout perdre.
Quelques années plus tôt Daniel Dravot et Peachy Carnehan ont rendu visite à Kipling dans son bureau. Ils y ont consulté des cartes et des encyclopédies et ont signé devant Kipling un contrat les obligeant à être loyaux l'un envers l'autre, et à se tenir à l'écart de l'alcool et des femmes tant que leur but ne serait pas atteint. Puis ils sont partis vers le nord, franchissant la passe de Khyber, pénétrant par des régions inexplorées au Kafiristan (littéralement, « le pays des étrangers »).
Ils rencontrent par hasard un Ghurka qui se fait appeler Billy Fish, nom qui lui a été donné par son régiment parce que plus prononçable, seul survivant d'une expédition cartographique disparue des années auparavant. Billy parle l'anglais parfaitement, ainsi que la langue locale, et c'est ainsi qu'il aide Carnehan et Dravot dans leur ascension vers le trône, en tant qu'interprète et guide des coutumes locales.
Ils offrent leurs services comme « conseillers militaires », aidant un village puis un autre à triompher de leurs ennemis pour s'en faire des alliés. Lorsqu'au cours d'une bataille Dravot reçoit une flèche en pleine poitrine mais continue à se battre, les indigènes le croient immortel. En fait la flèche a été arrêtée par une cartouchière, sous la tunique rouge de Dravot, où elle est restée plantée. Dravot et Carnehan décident de ne pas détromper les indigènes, leur superstition pouvant les aider à parvenir à leurs fins. Plus tard, leurs exploits étant parvenus aux oreilles du « grand-prêtre », ils sont convoqués dans la « ville sainte » de Sikandergul. On découvre sur la poitrine de Dravot la médaille maçonnique que lui avait offerte Kipling, dans laquelle les indigènes reconnaissent un symbole gravé dans une pierre qu'ils attribuent à Alexandre le Grand (« Iskander »). Dans une variante du culte du cargo, ils prennent Dravot pour le fils d'Alexandre revenu parmi son peuple et il est couronné roi.
Dravot prend son rôle au sérieux: il rend la justice, entreprend de « moderniser » le pays avec l'aide de Carnehan et de Billy Fish, et se voit à la tête d'un empire. Les mois passent et Peachy Carnehan songe à quitter le pays en emportant sa part du fabuleux trésor de Sikandergul. Mais Dravot, qui entretient des rêves de grandeur, est décidé à rester et à faire son métier de roi. Ayant décidé, contre l'avis de son ami, de prendre femme pour fonder une dynastie, il jette son dévolu sur la belle Roxanne. Peachy Carnehan accepte d'attendre le mariage pour partir. Mais Roxanne, comme ses compatriotes, craint qu'une mortelle ne puisse survivre au commerce d'un dieu, et quand Dravot la prend dans ses bras pour l'embrasser devant la foule de ses sujets elle le mord jusqu'au sang. Il apparaît alors que Dravot n'est, après tout, qu'un homme. Dravot, Carnehan et Billy Fish s'enfuient, poursuivis par la foule. Billy se lance bravement dans la mêlée, sabre au clair, et succombe bientôt sous le nombre. Dravot et Carneghan sont pris. Dravot est envoyé, couronne sur la tête, au milieu du pont de cordes qu'il a fait construire au-dessus d'un ravin profond, les cordes sont coupées et il tombe dans le précipice. Carnehan est crucifié mais survit et il est libéré. Il repart en Inde, où il retrouve Kipling à qui il montre la tête de Dravot, qu'on lui a permis d'emporter, encore ornée de la couronne du Kafiristan.
Fiche technique
Titre : L'Homme qui voulut être roi
Titre original : The Man Who Would Be King
Réalisation : John Huston et John Foreman
Scénario : John Huston et Gladys Hill, d'après une histoire de Rudyard Kipling
Production : John Foreman
Société de production : Columbia Pictures
Budget : 8 millions de dollars
Musique : Maurice Jarre
Photographie : Oswald Morris et Alex Thomson (seconde équipe)
Montage : Russell Lloyd
Décors : Alexandre Trauner
Costumes : Edith Head
Pays d'origine : Royaume-Uni, États-Unis
Format : Technicolor - 2,35:1 - Stéréo - 35 mm
Genre : Aventures
Durée : 123 minutes (2 h 3)
Dates de sortie :
17 décembre 1975 Drapeau des États-Unis États-Unis
21 avril 1976, 10 avril 2002 (ressortie) Drapeau de la France France
Distribution
Sean Connery (VF : Jean-Claude Michel) : Daniel Dravot
Michael Caine (VF : Francis Lax) : Peachy Carnehan
Christopher Plummer (VF : Jean Lagache) : Rudyard Kipling
Saeed Jaffrey (VF : Gérard Hernandez) : Billy Fish
Doghmi Larbi : Ootah
Jack May (VF : Roland Ménard) : le commissaire
Karroom Ben Bouih : Kafu Selim
Mohammad Shamsi : Babu
Albert Moses : Ghulam
Paul Antrim : Mulvaney
Graham Acres : l'agent
Shakira Caine : Roxanne
L'Homme qui voulut être roi (The Man Who Would Be King) est un film américano-britannique réalisé par John Huston, sorti en 1975.
Le film est l'adaptation de la nouvelle du même titre de Rudyard Kipling publiée en 1888.
La Tragédie de Alep, courtisane de Petra, qui malgré tout avait réussi à survivre devant l'avancée du désert et de ses oubliés. Là où la Nature n'a pas réussi devant la persévérance de ses habitants, la discorde par ses bombes réussit par ses intérêts à propager une certaine vision autre que celle d'une grande unité: (The Man Who Would Be King) ainsi se souleva une autre réalité dans les entrailles du proche orient. Le grand royaume de Petra et les républiques des oasis furent ensevelis par une déluge autre que des grains de sables, une malédiction créait par les hommes et je dois dire que notre discorde n'est pas l’œuvre du Démon. Si il se moque de Nous et bien après tout, Y'becca doit reconnaitre les erreurs des gouvernances tel il se passa dans la guerre de Troie. Alep est tout comme se récit où chacun d'entre nous se perçoit tel un
Josiah Harlan. Enfin bref, certains d'entre vous prévoit comme Kipling a pu aussi s'inspirer de l'histoire de Sir James Brooke (1803–1868), surnommé le « Rajah blanc », qui fonda une dynastie à Sarawak en 1841 dans son œuvre. La démocratie rattrapé par l'utopie, si cela ne ramènera pas les victimes de Alep, c'est pas ses mots que j'honore cette guerre de l'absurde pour certains, de la Liberté pour d'autres, de la délivrance pour eux et de l'espérance chez les plus fous. Finalement que ce soit Josiah Harlan ou Sir James Brooke, l'histoire ne retiendra que les casques blancs de Alep, les secouristes désintéressés de Y'becca et les défenseurs des croyances issus de la Bataille de l'Hydaspe et Bucéphale: la couronne du Kafiristan. Celle de croire au retour d'une entité prénommé La République et ses utopies.
Ecrit de
TAY
La chouette effraie
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