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 Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum

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Vent d'est, une dette « négative » ?
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yanis la chouette




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Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum Empty
MessageSujet: Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum   Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum EmptyLun 27 Nov à 10:46

Le Liechtenstein est une monarchie parlementaire et directe dirigée actuellement par le prince Hans-Adam II, qui est monté sur le trône à la mort de son père en 1989. Depuis 2004, son fils Aloïs assume en pratique toutes les fonctions de chef de l'État. Le Landtag, le Parlement du Liechtenstein, est composé de 25 députés élus par les citoyens. Un gouvernement de cinq ministres assure la gestion des affaires courantes.

Le Liechtenstein est membre des organisations internationales suivantes : AELE, AIEA, BERD, CE, CIO, CNUCED, CPA, CPI, CSI, FISCRCR, Interpol, MICRCR, OIAC, OITS, OMC, OMPI, ONU, OSCE, UIP, UIT, UPU

Le Liechtenstein concilie monarchie réelle et pouvoir parlementaire, car contrairement à beaucoup d’autres monarchies constitutionnelles, sa Constitution accorde au prince plusieurs pouvoirs d’une réelle importance.

Le Liechtenstein est avec la Suisse, le pays européen où les outils de démocratie directe sont les plus développés, comprenant l'initiative populaire et le référendum.

Lors d’un référendum organisé le 1er juillet 1984 et activement soutenu par le prince, les électeurs, jusque-là exclusivement masculins, se prononcent en faveur du droit de vote pour les femmes, mais uniquement pour les scrutins nationaux et non locaux.

Une pétition pour réclamer la légalisation de l'avortement est soumise à une votation populaire le 18 septembre 2011. Avec un taux de 60 % de participation, le « non » l'emporte avec 52,3 %.

Le 1er juillet 2012, à la suite d'une initiative populaire destinée à réduire les pouvoirs princiers, les citoyens de la principauté rejettent par référendum à 76,1 % des voix la demande de réforme. Le prince du Liechtenstein conserve donc son droit de veto sur les décisions du peuple.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le Liechtenstein resta neutre et les biens familiaux se situant dans les zones de combat furent rapatriés dans la principauté ou à Londres, pour être conservés en lieu sûr. À la fin du conflit, la Pologne annexa des territoires allemands et la Tchécoslovaquie expulsa ses habitants germanophones (dont des Allemands des Sudètes), ce qui eut pour conséquence d’exproprier des sujets du Liechtenstein de la totalité de leurs possessions héréditaires en Bohême, en Moravie (principalement à Lednice et Valtice dont les parcs et château sont inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO) et en Silésie. Les expropriations portaient sur 1 600 km2 de terres forestières et agricoles, ainsi que sur plusieurs châteaux et palais impériaux que les princes de la famille utilisaient d'ailleurs peu jusqu'à 1938 (en effet, les princes de la famille vécurent principalement à Vienne jusqu'à cette date), et font encore aujourd’hui l’objet de négociations à la Cour internationale de justice. La tension à ce sujet était telle au cours de la guerre froide que les autorités tchécoslovaques interdirent l’entrée du territoire aux citoyens du Liechtenstein.

À la fin de la guerre, le Liechtenstein donna asile à environ 500 soldats et civils constituant une "armée nationale russe" sous la direction du général Holmston, à ne pas confondre avec l'Armée Vlassov, constituée de Russes et d'Ukrainiens qui avaient combattu avec la Wehrmacht contre le régime de Staline. Ceux-ci connurent un destin bien différent de celui des combattants de l'armée Vlassov. Les soldats capturés par les Américains et par les Britanniques furent désarmés et livrés aux Soviétiques, conformément aux accords de Yalta et la grande majorité d'entre eux fut envoyée au Goulag ou tuée5. Le prince du Liechtenstein, Franz-Joseph II, et son gouvernement furent les seuls qui refusèrent de livrer à l'URSS ces soldats, réfugiés sur sa minuscule principauté, et à tenir tête aux pressions soviétiques. Cet épisode est commémoré par un monument du village frontière de Hinterschellenberg, et a été relaté une cinquantaine d'années plus tard dans le film Vent d'est.
Le château de Vaduz, qui surplombe la ville, est toujours le lieu de résidence de la famille princière.

Le Liechtenstein n'entretenait aucune relation diplomatique avec la République tchèque et la Slovaquie, États qu'il ne reconnaît pas à la suite d'un différend concernant la confiscation de biens de la famille princière en Tchécoslovaquie, après la Seconde Guerre mondiale (Décrets Beneš). Les relations diplomatiques sont établies en juillet 2009.

Les difficultés financières rencontrées par la famille après la guerre la contraignirent à se défaire de plusieurs trésors artistiques, notamment du Ginevra de' Benci de Léonard de Vinci, acheté par le gouvernement des États-Unis. Déjà, après le premier conflit mondial de 1914-1918, les dévastations économiques autant que la modification des équilibres politiques, avaient d'ailleurs conduit le petit pays à se rapprocher de la Suisse en 1919, pour conclure par la suite avec elle une union monétaire et douanière.

Après la Seconde Guerre mondiale le pays se développa avec une grande rapidité. Au cours des décennies suivantes, la principauté entra dans une ère de prospérité et de modernisation économique, grâce notamment à l’instauration de conditions fiscales avantageuses qui attirèrent de nombreuses entreprises. Le prince de Liechtenstein compte aujourd’hui parmi les chefs d’État les plus riches du monde et la population du pays bénéficie également d’un des niveaux de vie les plus élevés de la planète.

Le Liechtenstein, en forme longue la principauté de Liechtensteina (en allemand : [forme longue] Fürstentum Liechtenstein), est un pays alpin d'Europe centrale (ou de l'Ouest selon certaines définitions), sans accès à la mer, bordé par la Suisse à l'ouest et au sud et par l'Autriche à l'est et au nord. Sa superficie est de 160 km2, avec une population estimée à 38 000 habitants. Sa capitale est Vaduz et sa plus grande ville Schaan. Le Liechtenstein possède le plus haut PIB par habitant du monde en 2008 selon The World Factbook. Le pays a également un des taux de chômage les plus bas au monde (2,5 % en 2011).

Le Liechtenstein est le plus petit et le plus riche des pays germanophones, et le seul à être entièrement situé dans les Alpes. Politiquement, il s'agit d'une principauté et d'une monarchie constitutionnelle, avec un prince pour chef d'État. Le pays est divisé en onze communes et deux régions qui se nomment l'Unterland et l'Oberland4. La majorité de son territoire est montagneux, faisant de lui une destination pour les sports d'hiver. Les champs cultivés et les petites fermes caractérisent les paysages du sud plus élevés (Oberland) et du nord moins élevés (Unterland). L'économie du pays repose principalement sur le puissant secteur financier localisé dans sa capitale, Vaduz, mais il n'est plus identifié par l'OCDE comme un paradis fiscal. Il est membre de l'Association européenne de libre-échange, de l'Espace économique européen et de l'espace Schengen, mais pas de l'Union européenne.

Le territoire actuel du Liechtenstein constituait autrefois une petite partie de la province romaine de Rhétie. Pendant des siècles, cette terre resta géographiquement éloignée des intérêts stratégiques européens. Avant l’avènement de la dynastie actuelle, la région était inféodée à une branche de la famille des Habsbourg.

La dynastie de Liechtenstein tire son nom du château de Liechtenstein, un édifice situé plus loin en Autriche, dans la banlieue sud de Vienne et ayant appartenu à la famille de l’an 1140 au XIIIe siècle, avant de lui revenir définitivement en 1807. Au cours des siècles, les Liechtenstein entrèrent en possession de vastes domaines, notamment en Moravie, en Basse-Autriche et en Styrie, sans toutefois échapper à la tutelle de seigneurs supérieurs, pour la plupart des Habsbourg, et auxquels les princes de Liechtenstein offraient leurs services de conseillers. Ainsi, sans aucun territoire détenu directement sous l’égide de l’Empereur, la dynastie de Liechtenstein ne put remplir les conditions requises pour siéger à la Diète.

La famille, désireuse d’accroître son pouvoir par l’obtention d’un siège, mit tout en œuvre pour acquérir des terres dites immédiates (unmittelbar), c’est-à-dire n’ayant d’autre suzerain que l’empereur lui-même. Les Liechtenstein, après de longues négociations, furent autorisés à acheter les deux minuscules comtés de Schellenberg et Vaduz aux Habsbourg, respectivement en 1699 et 1712.

Ces deux petites parcelles répondant aux critères requis, l’empereur Charles VI les unifia et les éleva le 23 janvier 1719 au rang de principauté, laquelle fut baptisée Liechtenstein en l’honneur de son nouveau prince, Antoine-Florian de Liechtenstein. C’est à cette date que le Liechtenstein devint un État souverain dans le cadre du Saint-Empire. La transaction ayant été purement politique, les princes de Liechtenstein ne se rendraient pas sur leur nouvelle terre avant plusieurs décennies.

En 1806, le Saint-Empire fut envahi par la France. Cet événement eut d’importantes conséquences pour le Liechtenstein : les anciennes structures politiques et administratives se délitèrent rapidement à la suite de l’abdication de l’empereur, et l’empire lui-même fut dissous par Napoléon. De ce fait, le Liechtenstein fut délié de toute obligation d’obéissance à une puissance extérieure et devint véritablement indépendant. Dès lors, il aligna ses intérêts sur ceux de l’Autriche. Après 1815, le Liechtenstein prit part à la Confédération germanique, il est d'ailleurs l'une des deux principautés qui relevaient de la Confédération (avec le Grand-Duché de Luxembourg) à subsister encore aujourd'hui.

Le Liechtenstein est subdivisé en onze communes (Gemeinden en allemand, ou Gemeinde au singulier). La plupart correspond à une seule ville :

   Vaduz
   Balzers
   Eschen
   Gamprin
   Mauren
   Planken
   Ruggell
   Schaan
   Schellenberg
   Triesen
   Triesenberg

Géographie
Articles détaillés : Géographie du Liechtenstein et Liste de points extrêmes du Liechtenstein.
Le Rhin : La frontière entre le Liechtenstein et la Suisse vue depuis la rive liechtensteinoise.

Le Liechtenstein est situé dans les Alpes, le long de la vallée du Rhin. Le fleuve délimite la totalité de la frontière ouest du pays avec la Suisse. À l’est, les montagnes atteignent de hautes altitudes : le sommet le plus élevé est le mont Grauspitz, qui culmine à 2 599 mètres. Les vents prédominants en provenance du sud, cependant, ont tendance à adoucir le climat de la principauté.

Le Liechtenstein est traversé du sud au nord par la Samina, un affluent de l'Ill.

En saison froide, les pentes neigeuses des montagnes sont très prisées par les adeptes des sports d'hiver.

Le Liechtenstein, en plus de n’avoir aucun accès à la mer, est entouré de pays n’y ayant eux-mêmes aucun accès, à savoir la Suisse et l’Autriche. Cela pourrait en faire, avec l'Ouzbékistan, un des deux seuls États au monde à être doublement enclavé, c'est-à-dire qu'il faudrait traverser au moins deux autres États pour avoir un accès à l'Océan mondial, à ceci près que la Suisse a un accès direct à l'Océan mondial par le Rhin, qui est sous statut international à partir de la ville de Bâle, et qui bénéficie des mêmes privilèges, notamment en matière de douanes que les eaux internationales.

Les frontières de la principauté sont longues de 77,9 km, dont 41 km avec la Suisse et 35 km avec l'Autriche.
Société
Démographie
Article détaillé : Démographie du Liechtenstein.

Seuls deux tiers de la population environ (65,8 %) sont d’origine liechtensteinoise. 20,1 % des résidents proviennent d'autres pays germanophones (10,8 % de Suisse, 5,9 % d’Autriche et 3,4 % d’Allemagne). Suivent de près les Italiens (3,3 %), les ressortissants de l’ex-Yougoslavie (3,3 %), les Turcs (2,6 %) et les autres nationalités (4,8 %).
Langues
Articles détaillés : Langues au Liechtenstein et Allemand.
L'aire de diffusion traditionnelle des formes dialectales de l'allemand supérieur occidental (=alémanique) au XIXe et XXe siècle.

Au Liechtenstein, tout comme dans la partie germanophone de la Suisse, la langue usuelle est le suisse allemand, un dialecte alémanique apparenté à l’allemand. L’allemand est néanmoins la langue officielle de l’administration.
La présence française au Liechtenstein

Pour commencer il faut mentionner que le français est une langue parlée couramment au Liechtenstein9.

De plus la langue française est la première langue étrangère moderne de la Principauté et est enseignée comme matière obligatoire à partir de la sixième, au lycée et dans les cours complémentaires généraux10.

Dans les collèges le français qui est alors proposé comme langue optionnelle est choisi par 18 % des étudiants10.

Plusieurs programmes d'échange sont aussi proposé aux étudiants lors de leurs études au sein de la Principauté et la plupart de ces programmes sont dirigés vers la francophonie de Suisse et de France10.

Enfin la communauté originaire de France qui elle aussi fait partie de la francophilie du Liechtenstein représente une population de 90 individus d'origine française11.
Religion
Article détaillé : Religion au Liechtenstein.

Selon l'article 37 de la Constitution, l'Église catholique a le statut d'Église nationale, protégée par l'État. L'exercice des autres confessions est également garanti.

Lors d’une enquête réalisée en juin 2003, 75,7 % de la population se déclare de confession catholique, contre 7 % de protestants et 4,2 % de musulmans. 10,9 % ne fournissent aucune réponse.
Économie
Articles détaillés : Économie du Liechtenstein et Liste d'entreprises liechtensteinoises.

Malgré sa petite taille et ses ressources naturelles limitées, le Liechtenstein bénéficie d’une économie prospère, fondée sur le marché libre et un haut niveau d’industrialisation (biens d'équipement industriel, outillage, etc.). Le secteur financier de la principauté, tout comme le niveau de vie de sa population, peuvent tout à fait se comparer aux régions urbaines les plus riches de ses grands voisins européens.
20 heller du Liechtenstein, 1920.

Un impôt sur les sociétés très avantageux (le taux maximum est de 18 %, la moyenne européenne s’élevant environ à 30 %) et diverses autres facilités ont incité près de 74 000 multinationales à s’implanter au Liechtenstein, le plus souvent sous la forme d’une simple boîte postale. La principauté en tire 30 % de ses revenus et a été retirée des derniers paradis fiscaux de la liste noire de l'OCDE en 200912, à la suite d'un engagement de sa part13 pour suivre les recommandations de l'OCDE en matière de transparence et de coopération fiscale.

Le Liechtenstein, contraint d’importer plus de 90 % de ses besoins énergétiques, participe à une union douanière et monétaire avec la Suisse, et utilise donc le franc suisse comme monnaie nationale. La principauté est par ailleurs membre de l’Espace économique européen (EEE) depuis mai 1995, et le gouvernement cherche à harmoniser sa politique économique avec celle de l’Union européenne. Le chômage, bien qu’ayant doublé depuis l’an 2000, ne s’élève qu’à 2,2 % au troisième trimestre de 2004, ce qui constitue le taux le plus bas de tout l’EEE. Son P.N.B. atteignait en 2008 3,97 milliards de dollars américains, ce qui donnait pour la même année un P.N.B. par habitant de 111 488 $, soit le deuxième du monde après celui de Monaco14.

Le Liechtenstein n'a pas de dette, il possède même une dette « négative », une réserve15.
Culture
Musée des beaux-arts du Liechtenstein à Vaduz.

Le musée des beaux-arts du Liechtenstein construit par les architectes suisses Morger, Degelo et Kerez est inauguré en 2000 est un véritable emblème architectonique. La façade, un béton teinté coulé sans joint et essentiellement constitué de pierre noire de basalte et de gravier de rivière coloré, a été traitée de manière que sa surface réfléchissante produise des effets de matière et de lumière. En tant que musée d’art moderne et contemporain, il abrite la collection nationale d’art et offre régulièrement des expositions temporaires.

Il y a aussi un musée national (Landesmuseum), inauguré en novembre 2003, un musée du ski (Skimuseum), le musée de la poste (Postmuseum) ou encore celui de la machine à calculer avec notamment la Curta.

L’unique théâtre de la principauté, le théâtre de la Place de l’Église (Theater am Kirchplatz), se trouve à Schaan. Mais depuis octobre 2003, Vaduz abrite également le Kleintheater Schlösslekeller16, qui propose des concerts, des numéros d'humoristes ou des représentations de petites pièces. Parmi les artistes locaux reconnus dans leur domaine, on peut citer le sculpteur Georg Malin et les peintres Bruno Kaufmann et Martin Frommelt.

Des vins sont également produits au Liechtenstein et sont estimés correctement à l'international.[réf. nécessaire]
Média

La seule et unique chaîne de télévision du pays est actuellement la société privée 1FLTV créée en 2008. Elle n'est pas encore membre de l'Eurovision.

En ce qui concerne la radiodiffusion, le programme national de Radio Liechtenstein a été créé de 1938 à 1939. Puis après de longues années d'inactivité, il a été recréé en 1995.
Transports
La route à la frontière entre le Liechtenstein et la Suisse

Le réseau routier du Liechtenstein, bien entretenu, est long d’environ 140 km. Il n’existe aucune autoroute, et les règles de conduite, tout comme les panneaux de signalisation, sont à quelques exceptions près les mêmes qu’en Suisse. Ces exceptions concernent notamment l'alcoolémie tolérée (0,8 gramme d’alcool par litre de sang contre 0,5 g L−1 en Suisse).

Le Liechtenstein, bien qu’ayant conclu une union postale avec la Suisse, dispose de ses propres timbres et de son propre indicatif téléphonique international (+423).

La principauté ne compte que 9,5 km de voies ferrées, qui assurent en réalité la connexion entre la ville suisse de Buchs et la ville autrichienne de Feldkirch par la ligne de Feldkirch à Buchs. Les voies, pour cette raison, sont entretenues et administrées par la compagnie nationale ferroviaire autrichienne, l'ÖBB (Chemins de fer fédéraux autrichiens). Seules quatre gares ou haltes sont situées sur son territoire : Schaanwald, Nendeln, Schaan-Forst-Hilti et Schaan - Vaduz.

Le réseau Liechtenstein Bus, remplaçant CarPostal depuis 2000 et placé sous l'autorité de LIEmobil, assure la desserte de l’ensemble des communes du Liechtenstein. Les bus du réseau relient également la principauté avec les communes suisses de Sargans, Buchs et Sevelen.
Sports
Article détaillé : Sport au Liechtenstein.

Les équipes de football du Liechtenstein jouent au sein des ligues suisses. La Coupe du Liechtenstein permet tous les ans à la meilleure équipe du pays d'accéder à la Ligue Europa : il s'agit le plus souvent du FC Vaduz, qui a été champion de 2e division suisse en 2008, ce qui lui a permis d'évoluer en Super League (1re division suisse) pour la saison 2008-2009 avant d’être relégué en 2e division suisse. Le FC Vaduz a connu son plus grand succès à l'occasion de la Coupe des Coupes de 1996-1997 en battant les Lettons du FC Universitate Riga par quatre buts à deux. Lors du tour suivant, ils rencontrent le Paris Saint-Germain et sont éliminés sur un score cumulé de sept buts à zéro (quatre buts à zéro à Vaduz et trois buts à zéro à Paris).

L'équipe nationale de football du Liechtenstein est traditionnellement considérée comme une équipe faible. Les Liechtensteinois connaissent pourtant une semaine exceptionnelle à l'automne 2004 à l'occasion des matchs de qualification pour la Coupe du monde de 2006, en obtenant un match nul deux buts partout face au Portugal, à Vaduz, quatre jours avant de triompher du Luxembourg par quatre buts à zéro. La sélection termine avant-dernière de son groupe de qualification avec huit points, leur record en compétition.

En tant que pays montagneux, les athlètes liechtensteinois connaissent des succès dans le domaine des sports d'hiver, notamment le ski alpin : Hanni Wenzel a ainsi remporté deux médailles aux jeux olympiques d'hiver de Lake Placid (États-Unis) en 1980. Au total, les sportifs du pays ont remporté neuf médailles olympiques (deux en or, deux en argent et cinq en bronze).

Le Liechtenstein a également une activité équestre importante. Sa fédération (LPSV : Liechtensteiner Pferdsport Verband) possède de nombreux membres évoluant principalement au niveau régional. Cependant elle compte également trois cavaliers de saut de niveau international : Thomas Batliner, Fidel Vogt et Nicholas Hochstadter. Ces trois cavaliers évoluent régulièrement dans nombre de concours internationaux avec, notamment, pour Thomas Batliner une participation aux Jeux Olympiques, pour Fidel Vogt de nombreux résultats en 2011 et pour Nicholas Hochstadter une qualification et participation au Championnat d'Europe de Madrid en 2011.
Codes

Le Liechtenstein a pour codes :

   FL, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques ;
   HB, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs ;
   LI, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2 ;
   LIE, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3 ;
   LIE, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-3 ;
   LIE, selon la liste des codes pays du CIO ;
   LS, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2 ;
   .li, selon la liste des Internet ccTLD (country code Top-Level Domain).

Notes

   ↑ Deux graphies sont connues :
       « la principauté de Liechtenstein », selon les recommandations typographiques de la présente encyclopédie en ligne ;
       « la Principauté de Liechtenstein » pour l'usage diplomatique, selon les préconisations du ministère des Affaires étrangères de la République française3.

Références

   ↑ « Liechtensteinois », dans Office québécois de la langue française, Grand dictionnaire terminologique (lire en ligne [archive]).
   ↑  [archive]
   ↑ République française (Commission générale de terminologie et de néologie), « Recommandation concernant les noms d’États, d’habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie par le ministère des Affaires étrangères et européennes) » [archive], sur legifrance.gouv.fr, 24 septembre 2008 (consulté le 1er août 2016).
   ↑ Pierre-Alexis Blévin, Les micro-États européens, étude historique, juridique et fiscale, (Andorre, Liechtenstein, Monaco, Saint-Marin, Vatican), Ed. L'Harmattan, 2016, p. 1997.
   ↑ Anthony Rowley (dir.), Les collabos, Librairie Arthème Fayard/Pluriel, 2010 (ISBN 978-2-81850-039-2).
   ↑ http://elections-en-europe.net/institutions/democratie-directe-au-liechtenstein/ [archive]
   ↑ LeMonde.fr du 18 septembre 2011 [archive]
   ↑ « Le prince du Liechtenstein conserve son droit de veto », RTS, 1.07.2012 [archive]
   ↑ http://www.easyvoyage.com/liechtenstein/pratiques [archive]
   ↑ a, b et c https://books.google.ca/books?id=sFz-LtdKHp4C&pg=PA30&lpg=PA30&dq=La+langue+seconde+au+Liechtenstein&source=bl&ots=fVkg67vhtX&sig=fnd3cJ3JuhDn5k65VnJuafIPilM&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiks6eItNTSAhVD02MKHUpACDAQ6AEIPTAF#v=onepage&q=La%20langue%20seconde%20au%20Liechtenstein&f=false [archive]
   ↑ http://www.ambafrance-li.org/Donnees-generales [archive]
   ↑ [1] [archive]
   ↑ [2] [archive]
   ↑ Atlaséco Le Nouvel Observateur Édition 2011
   ↑ The state in the third millenium, Hans-Adam II
   ↑ Site web officiel du Kleintheater Schlösslekeller [archive]
   ↑ (en) CIA World Fact Book [archive], consulté le 1er janvier 2009

   Je dédie ce livre au rocher d'hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l'île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable.

Victor Hugo.
Les travailleurs de la mer (1866) de Victor Hugo

Synopsis

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un régiment de l’Armée Vlassov (l'Armée de libération russe, inféodée à l'Allemagne nazie) se réfugie au Liechtenstein pour échapper à l’Armée rouge.

Venus chercher asile et salut dans cet État neutre, ces soldats, ainsi que quelques civils associés, sont accueillis avec bienveillance par le gouvernement du Liechtenstein. En effet, bien que rentrés en force dans le pays, le prince Franz-Joseph II se montre compréhensif et accepte les réfugiés avec le respect dû à leur rang de combattants. Le général russe Boris Smyslovski essaye de monnayer la reddition de ses troupes aux Américains plutôt qu’aux Soviétiques. Il s’emploie à les conduire en Argentine, pays où ils ne seront plus pourchassés, mais c’est sans compter avec la haine des Soviétiques pour ces « traîtres ».

Le film retrace les efforts des autorités du Liechtenstein pour ne pas livrer ces quelque 400 réfugiés, et montre les mensonges et les manipulations des Soviétiques pour les convaincre de revenir volontairement. Après leur avoir promis une vie nouvelle dans le cadre de la reconstruction de l’U.R.S.S., les Soviétiques parviennent à persuader environ 200 de ces hommes de rentrer. Lors du voyage de retour, le train s’arrête en Hongrie et tous les « rapatriés » sont assassinés à la mitrailleuse.
Fiche technique

   Scénario : Robert Enrico, Frédéric H. Fajardie, Marc Miller
   Musique : Karl-Heinz Schäfer
   Photographie : Michel Abramowicz
   Montage : Patricia Nény
   Pays : Drapeau de la France France / Drapeau de la Suisse Suisse
   Langue : français
   Couleur
   Son : Stéréo

Distribution

   Malcolm McDowell : Général Smyslowsky
   Pierre Vaneck : docteur Joseph Hoop, premier ministre
   Jean-François Balmer : Père Anton Siegler, chef du Parlement
   Ludmila Mikaël : Capitaine Barinkova
   Caroline Sihol : Comtesse Irène
   Wojciech Pszoniak: Colonel Tcheko
   Annick Blancheteau : Mme Hoop
   Catherine Frot : Martha Hubner
   Catherine Bidaut : Natalya
   Serge Renko : Petrov Gregori
   Jean de Coninck : M. Brandt
   Geneviève Mnich : Mme Brandt
   Clémentine Célarié : Anna
   Elena Safonova : la princesse de Liechtenstein
   Patrice Alexsandre : François-Joseph II, prince de Liechtenstein
   Gilles Treton : Peter Hubber

Voir aussi
Liens externes

   (en) Vent d'est [archive] sur l’Internet Movie Database

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Robert Enrico
Courts métrages Jehanne (1956) · Thaumetopoea, la vie des chenilles processionnaires du pin et leur extermination contrôlée (1960) · Chickamauga (1962) · Montagnes magiques (1962) · La Rivière du hibou (1962)
Longs métrages À chacun son paradis (1959, coréalisation) · La Belle vie (1963) · Contre point (1964) · La Redevance du fantôme (TV, 1964) · Les Grandes Gueules (1965) · Les Aventuriers (1967) · Tante Zita (1967) · Au cœur de la vie (1968) · Ho ! (1968) · Un peu, beaucoup, passionnément... (1971) · Boulevard du rhum (1971) · Les Caïds (1972) · Le Secret (1974) · Le Vieux Fusil (1975) · Un neveu silencieux (1977) · L'Empreinte des géants (1980) · Pile ou Face (1980) · Au nom de tous les miens (1983) · Zone rouge (1986) · De guerre lasse (1987) · La Révolution Française - Les Années Lumière (1989) · Vent d'est (1993) · Saint-Exupéry : La Dernière Mission (TV, 1994) · Fait d'hiver (1999)

Vaduz est la capitale du Liechtenstein, le siège du gouvernement de la Principauté et le lieu de résidence de la famille princière. La ville abrite aussi le siège de l'Archevêché de Liechtenstein et constitue une place financière internationale. La commune liechtensteinoise de Vaduz compte environ 5 203 habitants (décembre 2006) et s'étend sur 17,3 km² (répartis sur sept enclaves dont la principale est bordée par le Rhin).

Alexandre SANGUEDOLCE, « Vent d'Est sur le Liechtenstein », Reportages de guerre n°19,‎ octobre 2016.

REGARDS ET ADMIRATIONS
POUR LE PEUPLE DU LIECHTENSTEIN.
VIVE LA FRANCE, VIVE LA RÉPUBLIQUE ET VIVE LA DÉMOCRATIE.
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MessageSujet: Re: Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum   Éthique du Liechtenstein, Général Holmston et le référendum EmptyLun 27 Nov à 10:57

COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE, L'ÉTHIQUE EST DE DONNER DU CRÉDIT AUX ETATS TEL QUE L'ANDORRE, SAN MARIN ET LIECHTENSTEIN. LE VATICAN VEUT GARDER SA NEUTRALITÉ DE SIGNATURE. INTÉGRER LA RÉPUBLIQUE D'ISRAËL DANS LES STATUTS DE LA CHARTE DE L'ANTARCTIQUE. TAY


CleanSeaNet: Ten years protecting our seas
Copernicus Observer
24/11/2017
MCA/Irish Coast Guard

The European Maritime Safety Agency (EMSA) is celebrating the 10th anniversary of CleanSeaNet, one of its flagship services. Operational since 2007, CleanSeaNet is a satellite-based pan-European oil spill and vessel monitoring service which processes images coming from Synthetic Aperture Radar (SAR) satellites - such as the Copernicus Sentinel-1A/B satellites - to identify and trace oil pollution on the sea surface, to monitor accidental pollution during emergencies and to identify potential polluters in case of accidental or deliberate pollution.


The service aims at strengthening national operational response chains to accidental spills and deliberate discharges from ships. It provides information to national authorities in 34 coastal states in less than thirty minutes after the acquisition of the satellite imagery.

Last week a conference took place at the European Maritime Safety Agency (EMSA) premises and a publication was released to commemorate 10 years of successful activities.


Satellites provide outstanding and beautiful images of Earth – whose seas and oceans occupy most of our “Blue Planet”. In addition, they uncover less pleasant aspects: thousands of tonnes of oil are released (accidentally or deliberately) by shipping vessels into our oceans every year. Although we know that this is not the only danger to our oceans, it is one of the major concerns for European and national coastal authorities.


In the European Union, the acknowledgement of the importance of protecting the seas is continually demonstrated by the ongoing efforts of institutions, agencies and services to safeguard marine habitats, to coordinate the activities taking place around them and to develop new technological tools capable of responding to sea pollution and the degradation of ecosystems. CleanSeaNet, operated by the European Maritime Safety Agency (EMSA) since 2007, is a good example of satellite-based EU tools available to protect our oceans.

CleanSeaNet is a pan-European oil spill and vessel monitoring service which processes images coming from Synthetic Aperture Radar (SAR) satellites - such as the Copernicus Sentinel-1A/B satellites - to detect possible oil spills on the sea surface, to monitor accidental pollution during emergencies and to identify potential polluters either in case of deliberate or accidental pollution. But how does oil spill detection using SAR work? Satellite radar systems emit electromagnetic signals which in turn ‘illuminate’ the ocean surface. The radar signals are then reflected back to the satellite. Capillary waves which the wind creates at the surface of the sea are an important factor enabling the CleanSeaNet service. These waves reflect the signals back to the satellite. Some substances, for example oil, smooth the sea surface and reduce the level of the signal returned to the satellite. After downlinking, the signal is processed by the CleanSeaNet service into an image. Possible oil spills appear on such an image as dark areas, while vessels and oil platforms appear as bright spots.

Since the very beginning, the CleanSeaNet service has had the explicit purpose of providing support during accidental large-scale pollution events. Fortunately, there have not been any pollution incidents in Europe of such a large scale since the Prestige tanker accident in 2002, but the CleanSeaNet service has been activated regularly to monitor the occurrence and evolution of unexpected oil spill incidents. CleanSeaNet is now celebrating ten years of activity, during which it has been available in 23 EU coastal member states, 2 EFTA coastal states, 3 EU candidate countries, the Dutch Caribbean, the French Antilles, Greenland and finally the European neighbourhood partner countries across the Mediterranean, Black and Caspian seas.


To commemorate this anniversary, EMSA has organised a 10-year anniversary conference and released an interesting publication (accessible here) where readers can learn, among other things, how the information obtained by the Copernicus Sentinel-1 mission with its all-weather day/night capability is processed into images and analysed for oil spills, vessel & oil platform positions and additionally for wind and waves characterisation.



EMSA – entrusted entity for operating the Copernicus Maritime Surveillance component – celebrated, with a dedicated conference, the ten year anniversary of CleanSeaNet detecting marine pollution in Europe in cooperation with Copernicus.



SAR imagery is highlighted in this publication as an effective tool for the detection of oil spills at sea, either caused by accident or by deliberate discharge from ships, from offshore oil platforms or caused by natural seepage. In this sense, EMSA also remarks that the integration of Copernicus Sentinel-1A data into the service in 2016 has improved the detection capabilities. Its spatial resolution and intrinsic technical capabilities allow CleanSeaNet to detect smaller spills than before - the average size of the spills detected in 2016 was 25% smaller than the size of the spills detected in 2015. Though the spills were smaller, they were also more frequent. Copernicus Sentinel-1 has also improved the volume of accessible imagery and now allows to have an even more systematic maritime surveillance of major shipping routes.

The bright spots in the image are oil platforms off the coast of Norway. The black areas show where production water is released by the platforms.
Production water is slightly oily, though not enough to be in violation of regulations.
The sensitivity of the radar on Sentinel-1A makes it possible to identify these events. © ESA

From its inception, CleanSeaNet has supported operations for a wide range of incidents and, to date, it has delivered 24,571 images to monitor the occurrence and evolution of unexpected incidents, making frequent use of the SAR sensors fitted on the two new Sentinels 1A and 1B.

Marine oil discharges and spills resulting from illegal dumping at sea or from accidents pose serious risks of ecological damage and socio-economic losses all over the world. Our seas deserve to be protected, and failure to preserve them from pollution can have serious environmental and economic consequences. Over 4,300 million km2 of marine surfaces have been and continue to be monitored by CleanSeaNet with support from Copernicus. Reality proves that these actions are crucial for protecting our Blue Planet.

Top ten reasons to congratulate CleanSeaNet:

Sustainable, mature EU wide harmonized service;
24,571 images have been delivered since April 2007;
23,319 possible spills/discharges have been detected;
4,300 million Km2 are monitored;
Access to data from 20 different satellites (12 satellites with optical sensors and 5 with radar sensors);
For average EO scenes covering 400 X 400 km the analysis is provided in less than 30 minutes;
Delivered to authorities in 34 Coastal states;
Optimizes the uses of Coastal States surveillance assets and is strongly integrated in National pollution response chains;
Creates a clear long term deterrent effect for European waters. From 2007 to 2017, the number of potential spills / discharges detected per 1,000 km2 has halved from an average of 11 to an average of 5, as CleanSeaNet represents a deterrent for illegal oil discharge;
Supported EU States in responding to 31 accidental spills and oil related emergencies.


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