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 TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR

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yanis la chouette




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MessageSujet: TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR   TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR EmptySam 4 Nov à 4:30

LE CRI DE LA RÉPUBLIQUE OU LE CROIRE DE L'HOMME.
UNE ÉPINE DANS LE CŒUR DU PEUPLE OU LE DISCOURS DU DIAPHRAGME:
L'EXISTENCE DE L'ÉTHIQUE DEMEURE DANS LA VOLONTÉ DU PEUPLE QUI DOIT
SE LIBÉRER D'UN ROI QUI SE CROIT RÉINCARNATION DE LA FORME POSSESSIVE
DE L'HÉRITAGE. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS.

Cambodge — Wikipédia

Le Cambodge, en forme longue le Royaume du Cambodge,
en khmer Kâmpŭchéa et ព្រះរាជាណាចក្រកម្ពុជា, Preăhréachéanachâkr
Kâmpŭchéa, aussi appelé Srok Khmer, ស្រុកខ្មែរ, littéralement « Pays des Khmers »,
est un pays d'Asie du Sud-Est, peuplé d’environ 15 millions d'habitants.

La capitale du royaume est Phnom Penh. Le Cambodge est l’État successeur
de l’Empire khmer hindouiste et bouddhiste qui régna sur pratiquement
toute la péninsule d’Indochine entre le xie et le xive siècles.
Le Cambodge a des frontières communes avec la Thaïlande
à l'ouest et au nord-ouest, avec le Laos au nord-est et avec le Viêt Nam à l'est et au sud-est.

Les citoyens du pays portent le nom de Cambodgiens ou Khmers
en référence à l’ethnie khmère. La majorité des Cambodgiens sont
de religion bouddhiste theravāda (96 % de la population, religion d'État),
bien que le pays comporte une communauté musulmane cham (2 %) ainsi
que quelques tribus des montagnes et une communauté chrétienne (1 %)2.

La prise de pouvoir par les Khmers Rouges en 1975 et la mise en place du totalitarisme communiste
entraîne la mort de plus d'un million de Cambodgiens, persécutés ou assassinés.
L'agriculture reste le secteur économique dominant (57,6 % de la population active
et 33,4 % du PIB)2. Les industries principales du Cambodge sont la confection et le tourisme
(plus de 2 millions en 2007-083). Du pétrole et du gaz ont été découverts
dans les eaux territoriales du pays en 2005. Malgré l'extrême pauvreté d'une grande partie
de la population (31 % en dessous du seuil de pauvreté2), le Cambodge connaît
depuis la fin des années 1990 un fort développement économique et bénéficie
de l'afflux d'investissements internationaux. Entre 2004 et 2007, le PIB du royaume connut
une croissance moyenne de 10 % par an2. Malgré cette embellie, le PIB par habitant
du Cambodge reste, avec seulement 773 dollars par an et par habitant2, bien en dessous
de la moyenne régionale et au même niveau que nombre de pays d'Afrique sub-saharienne.

Le Cambodge actuel se veut l’héritier de l’empire khmer qui dominait la majeure partie de la péninsule indochinoise au xiie siècle. De nombreux temples furent érigés sur l’ensemble du territoire, dont le plus notable est Angkor vat. S’en suivra un long déclin au profit du Siam à l’ouest puis de l’Annam à l’est ; paradoxalement, cet affaiblissement ne prendra fin qu’avec la mise sous tutelle du pays par la France, à la suite de la signature d’un traité de « protectorat » en 1863. Les milieux nationalistes instrumentaliseront pour leur part souvent ce déclin, en attribuant la responsabilité aux différents dirigeants qui s’étaient succédé et qui par intérêt auraient permis cette décadence. Il convenait donc d’après eux de les écarter pour pouvoir renouer avec les fastes d’antan. Ce retour à la gloire d’Angkor sera sous plusieurs formes le cheval de bataille de la plupart des dirigeants de la seconde moitié du xxe siècle4.

Articles détaillés : Protectorat français du Cambodge et Royaume du Cambodge (1953-1970).
Le protectorat français intégré à l'Indochine française se termine le 9 novembre 1953 par l'indépendance du pays, à la fin de la guerre d'Indochine. Devenu une monarchie constitutionnelle (dès 1947) dirigée par le roi Norodom Sihanouk, le pays affiche une politique de neutralité dans la guerre du Viêt Nam, mais dès 1966 ne s'oppose pas au transit par son territoire des troupes et des fournitures du Nord Viêt Nam à destination des combattants anti-américains du Front national de libération du Sud Viêt Nam (Việt Cộng).

Articles détaillés : Guerre civile cambodgienne (1967-1975) et République khmère.
Confronté, à partir de 1967-1968, à une insurrection fomentée par les Khmers rouges — des rebelles communistes d'inspiration maoïste —, avec une économie qui va de mal en pis, Norodom Sihanouk doit se résoudre à confier le 14 août 1969 la direction du gouvernement au général Lon Nol, son pilier militaire, connu pour son anticommunisme, en échange d'une aide américaine. Le 18 mars 1970, Lon Nol, poussé par le prince Sirik Matak, de la branche Sisowath concurrente, renverse Sihanouk en déplacement à l'étranger (Moscou et Pékin) et instaure la république khmère. Devenu allié des États-Unis, le Cambodge est alors intégré à la stratégie d'endiguement du communisme en Asie du Sud-Est.


Février 1975, Phnom Penh. Sur la rive gauche du Mekong l'armée républicaine tente de repousser les khmers rouges. Jean-Christian Tirat, photo-reporter français suit les combats.
|vignette|gauche|Phnom Penh, février 1975]].

Articles détaillés : Histoire du Cambodge, Chronologie de l'Empire khmer et Chronologie du Cambodge.
Avec l'appui de la Chine, les Khmers rouges déclenchent alors une véritable guerre contre les forces gouvernementales. En sus de cette guerre civile, le pays est entraîné dans la guerre du Viêt Nam. Dès 1970, les Khmers rouges sont en passe de gagner, mais les États-Unis interviennent intensivement (larguant plus de 2,7 millions de tonnes de bombes, faisant du Cambodge le pays le plus bombardé de l'histoire5) et maintiennent provisoirement le régime républicain (avril-juin 1970). Cependant, lorsqu'en 1973 les États-Unis se désengagent de la région, leurs frappes aériennes ne parviennent plus à arrêter la menace communiste. Les Khmers rouges de Pol Pot, soutenus par la République populaire de Chine, prennent Phnom Penh le 17 avril 1975 et installent un régime totalitaire maoïste.

Articles détaillés : Kampuchéa démocratique et Khmers rouges.

Carte du Cambodge, réalisée avec des ossements de victimes du régime khmer rouge, un temps exposée au musée de Tuol Sleng.
L'« Angkar » (organisation) des Khmers rouges applique alors une politique maximaliste, plus extrémiste encore que celle des Soviétiques et des maoïstes, visant notamment à purifier le pays de la civilisation urbaine et bourgeoise. Les villes, à l'image de Phnom Penh dans la nuit du 17 au 18 avril 1975, sont vidées de leurs habitants, envoyés en rééducation dans les campagnes.

La traque systématique des anciennes élites, « identifiées » parce que parlant des langues étrangères ou portant des lunettes (par exemple), ajoutée aux mines placées par les deux camps, à la malnutrition et aux maladies, aboutit à des massacres de masse et à une catastrophe humanitaire d'origine politique. Le chiffrage du nombre de victimes est un travail difficile et sur lequel les historiens ne sont pas encore parvenus à un consensus. Le chiffre de 1,7 million de victimes directes et indirectes est le plus communément admis.

Articles détaillés : Conflit cambodgien (1978-1999) et République populaire du Kampuchéa.
Le 25 décembre 1978, redoutant le chaos s'installant chez son voisin, le Viêt Nam envahit le Cambodge et provoque la destruction des rizières, entraînant l'effondrement du régime des Khmers rouges. Les autorités vietnamiennes installent un gouvernement proche de leurs intérêts et réorganisent le pays selon le modèle socialiste laotien et vietnamien. Une guérilla rassemblant des mouvements divers allant des Khmers Rouges aux mouvements royalistes appuyés par la Thaïlande fait alors rage dans le pays semant la destruction dans toutes les provinces. Des millions de mines sont alors disséminées à travers tout le territoire et nombre d'entre elles perdurent jusqu’aujourd'hui. Des centaines de milliers de réfugiés, repoussés par les combats, passent la frontière thaïlandaise et trouvent refuge dans des camps encadrés par l'armée royale thaïe (camps de Sa Keo, Nong Samet et Nong Chan). Durant toute la décennie des années 1980, le pays est ruiné et divisé au gré des combats. La malnutrition fait des ravages et les épidémies causent des milliers de morts alors que le pays ne dispose plus ni d'alimentation ni de médicaments.

Article détaillé : Autorité provisoire des Nations unies au Cambodge.

Un char M41 "Walker bulldog", vestige de la vingtaine d'années de guerres, est reconverti en aire de jeux pour les enfants.
Après le départ des forces du Viêt Nam en 1989 et l'envoi de forces de l'ONU au début des années 1990, le régime retrouvera peu à peu un semblant d'autonomie tout en restant régulièrement dénoncé pour ses atteintes aux droits de l'Homme. Le premier ministre actuel Hun Sen, placé au pouvoir par le Viêt Nam, dirige le pays depuis cette période, et s'est maintenu au sommet grâce à trois élections douteuses successives dans un climat patent de violence politique. Le principal opposant, Sam Rainsy, s'est réfugié à Paris en 2005. Le roi Norodom Sihanouk, redevenu chef de l’État en 1993, a abdiqué une seconde fois en 2004 au profit de son fils cadet Norodom Sihamoni, ancien danseur classique et ambassadeur du Cambodge auprès de l'Unesco à Paris.

Le Cambodge est aujourd'hui confronté à une série de choix douloureux. Son économie, qui dépend encore très largement de l'aide internationale (en 2001, un tiers du budget de l'État provenait de donateurs internationaux), souffre d'une corruption très importante (pays classé 157e sur 176 de l'Indice de perceptions de la corruption Transparency International en 20126). De nombreux trafics (pierres précieuses, bois, filières de prostitution, drogues) en direction des pays voisins et un système judiciaire de qualité médiocre pénalisent le développement économique. [réf. souhaitée] D'autres problèmes hérités du désastre khmer rouge obèrent aussi le développement du pays comme la question des terres (le cadastrage, supprimé par les Khmers Rouges, est encore loin d'être finalisé) ou l'éducation, le système éducatif ayant été complètement détruit par les Khmers rouges (enseignants assassinés, etc.).

Actuellement, le secteur touristique et le textile (présence de grandes chaînes internationales de prêt-à-porter) sont les principaux pourvoyeurs de devises du pays. La stabilité politique établie sous l'autorité de Hun Sen attire nombre d'investisseurs étrangers et permet au pays de bénéficier d'un des plus forts taux de croissance de la région (+10 % par an entre 2004 et 2007)2.

En janvier 2011, des rivalités territoriales avec la Thaïlande autour du temple de Preah Vihear (patrimoine mondial de l'humanité UNESCO) entraînent des violences entre les deux voisins. Des bombardements visant le Cambodge font une dizaine de morts. Côté thaïlandais, deux soldats sont tués. Les tensions restent cependant limitées à la zone frontalière aux abords directs du temple et les échanges commerciaux entre les deux pays continuent à se développer.

Politique[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Politique au Cambodge.
Le Cambodge est membre de l'ASEAN (Association of Southeast Asian Nations) depuis 1999.

Hommes politiques historiques[modifier | modifier le code]

Norodom Sihanouk.
Cheng Heng : Ancien directeur de prison devenu président de l'Assemblée nationale de Sihanouk, puis premier président de la République khmère.
Sosthène Fernandez : Secrétaire d'État à la sécurité nationale.
Ieng Sary : Frère no 3 et ministre des affaires étrangères du régime communiste khmer rouge.
In Tam : Dernier président de l'Assemblée nationale du Sangkum Reastr Niyum et dignitaire du régime de Sihanouk. C'est lui qui avait conduit en 1970 l'Assemblée nationale à voter la destitution de son chef le prince Sihanouk, chef d'État en titre.
Khieu Samphân : Président du Kampuchea démocratique du régime communiste des Khmers rouges.
Lon Nol : Maréchal et président de la République khmère (1970-1975).
Lon Non : Chef de la police de la République khmère et frère de Lon Nol (républicain).
Long Boret : Premier ministre de la République khmère.
Nuon Chea : Président de l'Assemblée nationale du Kampuchea démocratique, frère no 2 du régime communiste des Khmers rouges.
Norodom Sihanouk.
Penn Nouth : Un des premiers ministres du régime de Sihanouk (Sangkum Reastr Niyum ou Communauté socialiste populaire, régime paternaliste et autoritaire mis en place par Norodom Sihanouk).
Pol Pot (pseudonyme de Saloth Sar) : Premier responsable ou frère no 1 du régime communiste khmer rouge.
Sisowath Monireth : Général et ministre des années 1950 ; oncle de Norodom Sihanouk.
Sisowath Sirik Matak : de sang royal, Premier Ministre de la République Khmère en 1971 et 1972 ; assassiné par les Khmers Rouges en 1975.
Sok An : Ancien ministre du conseil des ministres (PPC).
Son Ngoc Thanh : Khmer de Cochinchine dit Krom, il fut premier ministre après la prise de pouvoir en 1945 par les Japonais en Indochine française.
Son Sann : Khmer Krom. Conseiller économique et Premier ministre de Sihanouk, il fut le premier gouverneur de la Banque nationale du Cambodge. Devenu président du Parti libéral démocratique bouddhiste en 1993, après avoir dirigé la lutte contre l'occupation vietnamienne et présidé le Front de libération national khmer du Cambodge [réf. souhaitée].
Son Sen : Khmer Krom, chef de l'armée khmère rouge. Il a été assassiné avec toute sa famille par les hommes de main de Pol Pot.
Ta Mok (dit le Boucher) : Officier supérieur du régime communiste khmer rouge, l'un des principaux responsables du génocide cambodgien entre 1975 et 1979, successeur de Pol Pot après la mise à l'écart du Frère no 1 en 1997, décédé en 2006.
Chea Sim (1932-2015) : Président du Parti du peuple cambodgien (PPC), ancien ministre de l'intérieur de la République Populaire du Kampuchéa, mis en place par l'armée d'occupation vietnamienne.
Hommes politiques actuels[modifier | modifier le code]

Hun Sen, premier ministre du Cambodge.

Sam Rainsy principal opposant au premier ministre Hun Sen.
Hor Namhong : Ministre des affaires étrangères (PPC).
Hun Sen : Fils de paysan, ancien milicien khmer rouge, il est premier ministre depuis 1984 (PPC).
Kem Sokha : Ancien responsable de commissions et d'organisations de défense des droits de l'homme. A fondé en 2007 un nouveau parti politique nommé le Parti des Droits de l'Homme.
Norodom Ranariddh : Un des fils de Norodom Sihanouk, président du Parti royaliste FUNCINPEC, ancien président de l'Assemblée nationale du Cambodge.
Pen Sovan : Il fut le 1er premier ministre (1979-81) du régime communiste mis en place par la République Socialiste du Viêt Nam, après la victoire des Vietnamiens sur le régime de Pol Pot. A rejoint en 2007 le Parti des Droits de l'Homme de Kem Sokha.
Sam Rainsy : Fils de Sam Sary, un ancien dignitaire du Sangkum Reastr Niyum. Président du parti du même nom, principale force d'opposition.
Sar Kheng : Ministre de l'intérieur (PPC).
Tea Banh : Général, ministre de la défense. Communiste d'origine thaïe du PPC.
Principaux partis politiques (représentés à l'Assemblée Nationale)[modifier | modifier le code]
PPC (Parti du Peuple Cambodgien) ou Kanakpak Pracheachon Kâmpuchéa : Mis au pouvoir par les forces vietnamiennes à la suite de leur intervention victorieuse en 1978, il s'agit toujours du principal parti cambodgien. Le PPC, anciennement communiste, est dirigé par Chea Sim et Hun Sen. Il se veut aujourd'hui nationaliste de gauche et social-démocrate, se montrant particulièrement intransigeant sur les questions de disputes frontalières. Le PPC a obtenu 90 sièges (58 % des suffrages)7 aux élections législatives de 2008 et ne cesse de progresser depuis les années 1990 s'appuyant notamment sur les classes populaires et les populations rurales.
PSR (Parti Sam Rainsy) : Principal parti d'opposition au PPC, il s'affiche centriste, démocrate et libéral. Dirigé par l'opposant en exil à Paris Sam Rainsy, il est particulièrement bien implanté dans les zones urbaines et parmi les classes moyennes. Le PSR a obtenu 26 sièges (22 % des voix)7 aux élections législatives de 2008 et tend à gagner en influence depuis les années 2000.
Parti des Droits de l'Homme : Fondé en 2007 par Kem Sokha afin de promouvoir le pluralisme, la démocratie ainsi que la lutte contre la corruption. Allié au sein d'une coalition d'opposition avec le Parti Sam Rainsy, il a obtenu 3 sièges aux élections législatives de 2008 (6 % des suffrages).
FUNCINPEC (Front uni national pour un Cambodge indépendant, neutre, pacifique et coopératif) : Ancien mouvement de guérilla royaliste, anti-communiste et anti-vietnamien dans les années 1980, le FUNCINPEC se transforme en parti politique lors des élections législatives de 1993 (les premières depuis la guerre) qu'il remporte. Le parti se démarque par son conservatisme, son nationalisme, son royalisme et son attachement aux traditions ancestrales khmères. Son dirigeant de l'époque, le prince Norodom Ranariddh, deviendra alors premier ministre. Démis de ses fonctions au sein du parti en 2006, il fondera un mouvement politique concurrent. Le FUNCINPEC n'a cessé de perdre de l'influence depuis le début des années 2000 mais son audience demeure importante dans les zones rurales. Le parti a obtenu 2 sièges aux élections législatives de 2008 ne rassemblant plus que 5 % des suffrages7 contre 21 % cinq ans auparavant8.
Élections législatives[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Élections au Cambodge.

La campagne électorale de 2003.

Le roi Norodom Sihamoni lors d'une cérémonie officielle.
Nombre de sièges
Parti 19939 199810 200311 200812 2013
FUNCINPEC

58

43

26

2

Parti du Peuple Cambodgien (PPC)

51

64

73

90

67

Parti libéral démocratique bouddhiste (PLDB)

10

Mouvement pour la libération nationale du Kampuchéa (MOLINAKA)

1

Parti Sam Rainsy (PSR)

15

24

26

56note 1

Parti des Droits de l'Homme (PDH)

3

Parti Norodom Ranariddh (PNR)

2

TOTAL

120

122

123

123

123

Subdivisions[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Subdivisions du Cambodge.

Carte des provinces du Cambodge.

Le Palais Royal de Phnom Penh.
Le Cambodge comprend 24 provinces14, plus la capitale Phnom Penh :

Banteay Mean Chey
Battambang
Kampong Cham
Kampong Chhnang
Kampong Spoe
Kampong Thom (ou Kampong Thum)
Kampot
Kandal
Kaoh Kong
Kep (depuis 200815)
Kratie
Mondol Kiri
Otdar Mean Cheay
Pailin (depuis 200815)
Pothisat
Preah Vihear
Prey Veng
Rotanah Kiri
Siem Reap
Sihanoukville (depuis 200815)
Stoeng Treng
Svay Rieng
Takeo
Tbong Khmum (depuis 201414,16)
Géographie[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Géographie du Cambodge.

Situation en Asie du Sud-Est.
Pays d'Asie du Sud-Est, le Cambodge est entouré par la Thaïlande, le Laos et le Viêt Nam. Sa superficie est 181 035 km2 et sa bordure maritime, longue de 443 km, donne sur le golfe de Thaïlande. Il possède trois grandes chaînes de montagnes : celle de l'Éléphant au sud, celle des Cardamomes à l'ouest et la Cordillère annamitique à l'est.

La géographie du Cambodge est dominée par le fleuve Mékong (khmer : Tonlé Thom ou Grande Rivière) et le Tonlé Sap (Rivière d’Eau Fraîche), principale ressource halieutique. Sa faible altitude fait que le pays se trouve en grande partie au niveau ou sous le niveau des fleuves. À la saison des pluies, le courant du Mékong se renverse et s’écoule vers le Tonlé Sap dont le lac augmente considérablement sa superficie.

Hydrographie[modifier | modifier le code]
La capitale, Phnom Penh, est située sur le principal fleuve du pays, le Mékong, à l'entrée de son delta. Ce fleuve prend sa source au Tibet et traverse la moitié est du Cambodge avant de rejoindre le Viêt Nam, où il se jette en mer de Chine. Le plus grand lac du pays est le Tonlé Sap, formé par l'inondation d'une vaste plaine durant la saison des pluies (environ 300 km2 lors de la saison sèche, et jusqu'à 10 000 km2 lors de la saison des hautes eaux).

Climat[modifier | modifier le code]

Le Cambodge des campagnes.
Le pays est situé en basse altitude, soit au niveau du fleuve ou encore plus bas, ce qui fait que la saison des pluies fait augmenter le niveau des lacs et du fleuve principal : le Mékong. Près de 80 % des précipitations reçues en une année tombent durant la saison des pluies. Les températures s'échelonnent entre 10 °C et 38 °C. Le Cambodge est sous l’influence d’un climat tropical à « saisons alternées ». Les pluies s’échelonnent de mai à novembre. La sécheresse, quant à elle, est presque absolue entre décembre et avril.



Le Cambodge a un climat tropical.

LE CRI DE LA RÉPUBLIQUE OU LE CROIRE DE L'HOMME.
UNE ÉPINE DANS LE CŒUR DU PEUPLE OU LE DISCOURS DU DIAPHRAGME:
L'EXISTENCE DE L'ÉTHIQUE DEMEURE DANS LA VOLONTÉ DU PEUPLE QUI DOIT
SE LIBÉRER D'UN ROI QUI SE CROIT RÉINCARNATION DE LA FORME POSSESSIVE
DE L'HÉRITAGE.
ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS
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MessageSujet: Re: TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR   TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR EmptySam 4 Nov à 4:30

Deux typhons vont frapper l’Asie du Sud-Est cette semaine

par Yohan Demeure
11 septembre 2017, 20 h 31 min

Le typhon Talim approche de l’île de Taïwan et devrait impacter le nord du territoire dans la nuit du mercredi 13 septembre 2017. L’ouragan gagne en puissance et devrait bientôt devenir un super typhon. Par ailleurs, un deuxième typhon moins puissant est en cours de formation aux Philippines et les prévisions annoncent un impact à Hong Kong.

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Peu avant d’impacter Taïwan, Talim atteindra le niveau 5 (super typhon) dont les vents seront au moins supérieurs à 251km/h. Après avoir touché le nord de l’île, le super typhon sera rétrogradé au niveau 4 avant d’arriver en Chine, au niveau de la limite entre les deux provinces du Fujian et du Guangdong. Ensuite, Talim sera rétrogradé au niveau de tempête tropicale (niveau 2) et passera proche de la ville de Shanghai avant de s’estomper.


Crédits : Hong Kong Observatory
Le gouvernement taïwanais a déjà lancé des opérations d’évacuation de la population habitant les villages côtiers. Depuis quelques années, l’intensification de la puissance des typhons fait que la population prend davantage les alertes au sérieux, bien plus qu’auparavant. À Taïwan, les conséquences les plus redoutées liées aux typhons sont les coulées de boue et autres glissements de terrain soudains.

L’Asie du Sud-Est devrait essuyer un autre phénomène de ce type, selon la Philippine Atmospheric, Geophysical and Astronomical Services Administration (PAGASA), évoquant la situation de la dépression tropicale (niveau 1) nommée Maring, se trouvant actuellement aux Philippines, dans la partie nord du pays.


Crédits : Philippine Atmospheric, Geophysical and Astronomical Services Administration (PAGASA)
La dépression Maring devrait se transformer en tempête tropicale ce mercredi 13 septembre 2017 puis en typhon, tout en se déplaçant vers le nord-ouest en direction de Hong Kong, se renforçant progressivement. Maning devrait atteindre le niveau 3 le vendredi 15 septembre, avant de toucher terre le lendemain. Hong Kong et toute la région du delta de la rivière des Perles commencent à se préparer, bien que le typhon sera loin d’être le plus puissant de la saison.

Erratum



De nouvelles prévisions font état d’un changement de trajectoire pour les deux typhons. Talim devrait simplement effleurer le nord de Taïwan et ne pas pénétrer dans les terres en Chine continentale mais remonter la côte est du pays en impactant le littoral. Celui-ci devrait ensuite se diriger vers l’est en direction du Japon qu’il frôlera par le sud durant le week-end.

Le typhon Maring ne prendra finalement pas la direction de Hong Kong mais se dirigera plus à l’ouest en direction de l’île d’Hainan (Chine) qu’il impactera ce vendredi, ainsi que le nord du Vietnam le lendemain. Les prévision peuvent changer d’un jour sur l’autre en raison des courants pouvant modifier la trajectoire des typhons.

Sources : International Business Times – The Standard – Rappler
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MessageSujet: Re: TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR   TALIM, MARING ET LA RÉPUBLIQUE DU CROIRE EN VOULANT, ANGKOR EmptySam 4 Nov à 4:30

POUR MERLIN, LE ROUGE-GORGE DU NÉPAL
ANGKOR EST LE SANCTUAIRE DE CELLES ET CEUX QUI RECHERCHENT L'HARMONIE, L'ÉTHIQUE, L'OSMOSE, L'ÉQUILIBRE, L'OEUVRE DE L'ESPÉRANCE, L'EXISTENCE DU SOI, LA LAÏCITÉ DE LA RÉPUBLIQUE, LA RESPONSABILITÉ BOUDDHISTE ET LA FACULTÉ CIVILE. ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS
Angkor — Wikipédia

Angkor est un site archéologique du Cambodge composé d'un ensemble de ruines et d'aménagements hydrauliques (barays, canaux) qui fut une des capitales de l'Empire khmer, existant approximativement du ixe au xve siècle.

Ces ruines sont situées dans les forêts au nord du Tonlé Sap, en bordure de la ville de Siem Reap. Classées depuis 1992 au patrimoine mondial par l'UNESCO, elles attirent plus d'un million de visiteurs par an, constituant ainsi la principale attraction touristique au Cambodge.

Historique[modifier | modifier le code]
Angkor préhistorique[modifier | modifier le code]
Si l'histoire retient le ixe siècle pour la fondation d'Angkor, les ruines de ce site cambodgien ne seraient que la partie monumentale connue d'une présence remontant à l'âge du bronze et révélée la nécropole de Koh Ta Méas, datée d'au moins 1800 avant notre ère.

Pas moins de vingt-sept sépultures ont été dégagées, avec leurs nombreuses offrandes. Les squelettes humains des cinquante-neuf individus identifiés sont d'une grande valeur pour la connaissance du peuplement préhistorique du Sud-Est asiatique continental. Celle-ci révèle une population peu robuste, qui a cependant développé une résistance immunitaire à la malaria.

Ces fouilles ont été l'objet d'une exposition au Musée national de Phnom Penh jusqu'en février 2010.

Hariharālaya (Rolûos)[modifier | modifier le code]

Le Preah Kô

Preah Khan
L'empire khmer est fondé au début du ixe siècle par Jayavarman II. L'un de ses successeurs, Indravarman I, entreprend des travaux d'aménagement hydraulique qui seront la base de la prospérité de la région. Il est aussi à l'origine du premier édifice encore visible, le Preah Kô, consacré en 879 et construit en brique comme tous les monuments antérieurs, inaugurant plus de trois siècles d'apogée de l'architecture khmère.

Le premier temple-montagne, configuration caractéristique de la cosmologie hindouiste, est édifié par ses soins en 881 au Bakong. Ces temples-montagnes adoptent une symbolique du mont Meru, axe du monde et séjour mythique des dieux en 5 niveaux concentriques hérissés de 109 tours.

Yaśodharapura (Angkor proprement dit)[modifier | modifier le code]
Les successeurs d'Indravarman, notamment son fils Yaśovarman crédité du titre de « créateur d'Angkor », entreprennent des aménagements gigantesques, plus au nord-ouest, avec construction des digues du bārāy oriental (le Yaśodhatatāka) et l'édification de monuments, désormais en pierre : le Phnom Bakheng (vers 900), le Mebon oriental au centre du bārāy oriental, et le Prè Rup (vers 960). Les temples-montagnes utilisent des collines naturelles : Phnom Dei, Phnom Bok, Phnom Krom.

Après une période de troubles pendant laquelle la capitale du royaume khmer est transférée à Koh Ker, Sūryavarman Ier réinstalle un pouvoir fort à Angkor. Son successeur Udayādityavarman II fait établir le bārāy occidental et construit le Baphuon vers 1060. Quelques autres querelles de succession plus tard, c'est Sūryavarman II qui édifie Angkor Vat vers 1130.

Les grands rivaux des Khmers, les Chams occuperont Angkor quelques années avant que Jayavarman VII en reprenne possession (1181) et établisse le bouddhisme mahāyāna comme religion officielle. Les constructions prennent de l'ampleur avec l'enceinte d'Angkor Thom et le Bayon, puis le Ta Prohm, le Preah Khan et leurs tours ornées de gigantesques visages du Bouddha souriant sont construits successivement pendant le xiie siècle. À cette époque, la capitale khmère s'étend sur 200 km² et compte près d'une centaine de temples.


Ta Som
Mais l'un de ses successeurs, Jayavarman VIII, dès son avènement (1243), impose le retour à l'hindouisme et détruit de nombreuses sculptures du Bouddha.

Puis le bouddhisme reprend le dessus au milieu du xive siècle, sous sa forme theravāda. Cette nouvelle voie religieuse, beaucoup plus simple dans son approche du sacré, généralise les constructions légères dont seules subsistent quelques terrasses bouddhiques, réemployant souvent les blocs de pierre des édifices antérieurs.

Le déclin du royaume Khmer est ensuite rapide, son territoire rétréci par la sécession des Thaïs du royaume de Sukhothaï et ravagé par des guerres incessantes avec ceux-ci et les Chams.

Angkor est définitivement abandonnée comme capitale vers 1431, après sa prise par les thaïs du royaume d'Ayutthaya.

Au cours des xve et xvie siècles, des moines bouddhistes s'approprient le site et détournent des constructions vers des représentations du Bouddha telle l'énorme Bouddha couché au Baphuon. Ce site sera laissé à l'abandon et, pour la plus grande part, enseveli sous la végétation foisonnante de la jungle tropicale.

La période sinistre des Khmers rouges avait rendu le site inaccessible aux visiteurs, mais, malheureusement pas aux pillards. Par précaution, de nombreuses pièces sont aujourd'hui à l'abri au musée de Phnom Penh.

Le déclin d'Angkor[modifier | modifier le code]
Angkor a connu l'un des effondrements les plus méconnus de tous les temps. Le royaume khmer dura du ixe au xve siècle. À son apogée, il domina une large frange de l'Asie du Sud-Est continentale, de la Birmanie, à l'ouest, au Viêt Nam, à l'est. Sa capitale, Angkor, comptait pas moins de 750 000 habitants et couvrait une superficie d'environ 1 000 km2. À la fin du xvie siècle, lorsque des missionnaires portugais découvrirent les tours en forme de lotus d'Angkor Vat - le temple le plus sophistiqué de la cité et le plus vaste monument religieux du monde[réf. nécessaire] -, la capitale de l'empire agonisait déjà. Les spécialistes ont avancé de nombreuses explications mais la plus probable est la suivante : Angkor aurait été condamnée d'avance par cette même ingéniosité qui transforma un ensemble de petits fiefs en empire. La civilisation khmère avait appris l'art d'apprivoiser les déluges saisonniers de l'Asie du Sud-Est, en stockant l'eau dans d'immenses bassins (appelés baray) pour éviter les inondations et la restituer en période de sécheresse. Mais elle perdit le contrôle de l'eau, la plus vitale des ressources, entraînant ainsi son déclin. Des sécheresses sévères et prolongées, ponctuées par des pluies torrentielles, auraient anéanti le système hydraulique.
Le pouvoir se déplaça vers Phnom Penh, au xvie siècle, après une période de moussons irrégulières.

Les monuments[modifier | modifier le code]

Une partie d'Angkor vue par le satellite SPOT.

Plan d'ensemble (englobant l'image satellite).
Angkor est constitué de nombreux ensembles archéologiques significatifs, dont :

Angkor Central
Angkor Vat
Ta Prohm
Phnom Bakheng (Yaśodhragiri)
Baksei Chamkrong
Prasat Bei
Thma Bay Kaek
Angkor Thom
Baphûon
Bayon
Phiméanakas
Terrasse des éléphants
Terrasse du Roi lépreux
Tep Pranam
Preah Palilay
Preah Pithu
Prasat Suor Prat
Mangalārtha
les Khleang

Trois apsaras au temple du Bayon.
Angkor Est
Thommanon
Chau Say Tevoda
Spean Thma
Ta Nei
La Chapelle de l'Hôpital
Ta Keo
Ta Prohm (Rājavihara)
Kutiçvara
Banteay Kdei
Srah Srang
Prasat Kravan
Bat Chum
Le Baray oriental
Prè Rup
Le Mebon oriental
Banteay Samré
Angkor Nord-Est
Preah Khan
Neak Pean
Krol Kô
Ta Som
Le Baray occidental
Le Mebon occidental
Ak Yum
Phnom Krom
Rolûos (Hariharālaya) à 10 km au sud-est
Bakong
Lolei
Preah Kô
Sur le site de Iśvarapura à 20 km au Nord-Est
Banteay Srei
La plupart des noms sont les noms communs actuels. Quelques rares noms d'origine sont parvenus jusqu'à nous.


Angkor Vat en 1866

Façade d'Angkor Wat, par Henri Mouhot
Le temple d'Angkor Vat (selon la graphie française, Wat localement) a été le seul monument entretenu constamment par des moines bouddhistes. Après de nombreuses campagnes de restauration et un très long déminage, la plus grande partie du site d'Angkor est aujourd'hui visitable.

Redécouverte et restauration[modifier | modifier le code]
La première relation sur l'empire khmer en Europe date de 1570 par des voyageurs espagnols et portugais. Il fallut attendre la publication en 1819 par Jean-Pierre Abel-Rémusat de Description du royaume de Cambodge par un voyageur chinois qui a visité cette contrée à la fin du xiiie siècle, précédée d'une notice chronologique sur ce même pays, extraite des annales de la Chine, Imprimerie de J. Smith, traduction d'un récit de voyage d'un officier chinois pour réapparaître du néant. C'est en 1861, début de la conquête de la Cochinchine par la France, que le naturaliste Henri Mouhot explorant la région avec l'abbé Sylvestre permet la redécouverte d'Angkor Vat puis d'Angkor Thom. Son récit sera publié dans le Tour du Monde en 1863. Une seconde exploration, de 1863 à 1866, menée par Ernest Doudart de Lagrée sera beaucoup plus exhaustive et fera l'objet d'un compte-rendu dans Voyage d'Exploration en Indo-Chine, publié en 1873.

De nombreuses missions d'exploration se succèdent alors jusqu'à la longue présence d'Étienne Aymonier, nommé représentant au Cambodge en 1879. Celui-ci organisa la traduction des nombreuses inscriptions, reconstitua l'histoire du royaume khmer. Rentré en France à l'issue de sa mission (vers 1886) il publia de nombreuses études, un dictionnaire et de multiples articles qu'il rassemble à partir de 1900 dans son grand ouvrage Le Cambodge.

Depuis le début du xxe siècle, le site d'Angkor est patiemment réhabilité par des archéologues, notamment par ceux de l'École française d'Extrême-Orient (EFEO), comme Henri Marchal et Bernard-Philippe Groslier. (Aujourd'hui, l'EFEO est toujours représentée sur place.)

En 1993, alors que la guerre civile s’estompe, l'UNESCO lance un programme de préservation du site. Dans le but de coordonner l’actions des donateurs, l'autorité APSARA (Autorité pour la Protection du Site et l'Aménagement de la Région d’Angkor / Siem Reap) est créée. Mais affaiblie par les divergences d’opinion politique de ses dirigeants, l’autorité ne peut lutter contre le développement anarchique de projets touristiques ni contre la lutte acharnée que se livrent les différents pays pourvoyeurs d’aide qui chacun veulent se voir octroyer un temple à restaurer. Très vite, l’autorité se voit confinée dans un rôle d’intermédiaire entre ses différents intervenants sans réel pouvoir1.

En 2001-2012, une étude archéologique à grande échelle, le Greater Angkor Project a rassemblé l'Université de Sydney (notamment les archéologues australiens Damian Evans et Roland Fletcher), l'École française d'Extrême-Orient, et l'APSARA2 avec le support de l'Australian Nuclear Science and Technology Organisation3. Elle a étudié les raisons du déclin d'Angkor et de son abandon en 1431, avec l'intention d'en tirer des enseignements sur l'exploitation durable des ressources naturelles pour l'agriculture. Les premiers résultats de ces recherches — s'appuyant notamment sur des photos satellite de la NASA révélant le moindre édifice alentour, ainsi qu'une vision précise du réseau hydraulique — ont permis l'établissement d'une nouvelle cartographie du site.

Ils confirment qu'Angkor était bien l'un des plus vastes complexes urbains de l'ère pré-industrielle, bien plus étendu que ce que l'on croyait jusqu'alors. Le centre urbain s'étendait sur 400 km2 et la surface totale atteignait 3 000 km2, soit dix fois plus que ce que l'on imaginait. On évalue la population à 700 000 habitants. Les experts en tirent la conclusion que cette extension de la capitale de l'empire khmer n'a vraisemblablement pas été sans conséquences pour l'environnement et que les problèmes écologiques (déforestation, dégradation des sols, érosion) liés à ce développement ont sans doute contribué à la chute de l'empire.

En 2012, une étude par topométrie laser a confirmé la très grande extension du site4.

Pour visiter les temples et accéder à l'enceinte du parc national classé au patrimoine mondial de l'Unesco, il faut acheter un passe valable pour 3 jours pour 62 $ US (prix au 1er février 2017). Des passes 1 jour (37 $ US) et 7 jours sont également disponibles à la vente.

Les autres sites[modifier | modifier le code]
Quelques autres cités comparables à celles d'Angkor ont été construites sur d'autres sites, principalement à l'époque de Jayavarman VII, dont :

Beng Mealea, 70 km au nord-est
Banteay Chmar (province de Banteay Mean Chey)
Prasat Muang Sing, dans la Thaïlande actuelle.
Preah Khan de Kampong Svay (province de Preah Vihear) la plus grande cité-monastère khmère (4,5 km2)
Ta Prom de Tonlé Bati, 30 km au sud de Phnom Penh (Province de Takeo)
Wat Banan (province de Battambang)
Wat Nokor (province de Kompong Cham)
Ces sites associent une grande enceinte défensive, des dispositifs hydrauliques (bārāy) et un temple aux multiples enceintes symboliques, dans le style du Preah Khan d'Angkor.

Le travail du Cambodian Archaeological Lidar Initiative, lors des deux campagnes au Lidar (2010-2015, 2015-2020), sous coordination de l'école française d'Extrême-Orient, a permis depuis 2012 de révéler divers sites ː Mahendraparvata, Beng Mealea, Preah Khan (Kompong Svay) (en), Banteay Chhmar.

Angkor au cinéma[modifier | modifier le code]
Les Mystères d'Angkor (1960)
Lord Jim (1965).
Le final du film In the Mood for Love (2000) de Wong Kar-wai a été intégralement tourné à Angkor Wat.
En 2001 est sorti le film Tomb Raider dont de nombreuses scènes ont été tournées sur le site d'Angkor.
Le film Deux frères (2004) a été tourné dans plusieurs temples d'Angkor, notamment le Ta Prohm et le Beng Mealea, ainsi qu'à Kbal Spean.
Le film : Le temps des aveux (2014) Le film relate la captivité de François Bizot ethnologue Français pendant la période des khmers rouges, l'action se situe en partie sur le site d'Angkor
Angkor dans l'actualité[modifier | modifier le code]
Les propos attribués à l'actrice thaïlandaise, Suvanant Kongying (en), revendiquant l'appartenance d'Angkor à la culture et au territoire thaïs, ont provoqué des émeutes à Phnom Penh en janvier 2003, au cours desquelles l'ambassade de Thaïlande a été pillée. L'actrice a rapidement nié avoir tenu les propos qu'on lui a prêtés5.
En 2008, des sandales vendues sur un marché vietnamien et comportant une image d'Angkor Vat sur la semelle ont causé une mini crise diplomatique6.
Références[modifier | modifier le code]
↑ Alain Forest (dir.) et al., Cambodge contemporain, Les Indes savantes, 21 novembre 2008, 525 p. (ISBN 9782846541930), partie I, chap. 1 (« Pour comprendre l'histoire contemporaine du Cambodge »), p. 130-131
↑ (en) « Past Projects » [archive], Angkor Research Program - Structure, Université de Sydney (consulté le 10 juillet 2014)
↑ (en) « Australian archaeologists unlock secrets of suburban Angkor » [archive], Media Release, sur Australian Nuclear Science and Technology Organisation [archive], 14 juin 2002 (consulté le 10 juillet 2014)
↑ (en) Lasers reveal Angkor city four times bigger than previously believed [archive], par By Justine Drennan et Alistair Walsh, The Phnom Penh Post, 16 juin 2013.
↑ (fr) « L'ambassade de Thaïlande incendiée à Phnom Penh », Le nouvel Obs,‎ 30 janvier 2003 (lire en ligne [archive])
↑ (fr) « Le scandale des sandales », Cambodge Soir,‎ 24 janvier 2008 (lire en ligne [archive])
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Histoire et archéologie[modifier | modifier le code]
Jean-Pierre Abel-Rémusat, Description du royaume de Cambodge par un voyageur chinois qui a visité cette contrée à la fin du xiiie siècle, précédée d'une notice chronologique sur ce même pays, extraite des annales de la Chine et qui comporte une description détaillée des temples d'Angkor au xiiie siècle, Imprimerie de J. Smith, 1819
Jean-Pierre Abel-Rémusat, Nouveaux Mélanges Asiatiques, Éditions Schubart et Heideloff, Paris, 1829, 446 pages
Étienne Aymonier, Le Cambodge (1900-1904), en 3 tomes: Le royaume actuel ; Les provinces siamoises ; Le groupe d'Angkor et l'histoire
Jean Boulbet et Bruno Dagens, Les sites archéologiques de la région du Bhnam Gulen (Phnom Kulen), Arts Asiatiques (numéro spécial) tome XXVII, Paris, 1973
Michael Freeman, Claude Jacques, Ancient Angkor, 1999, River Books (ISBN 978-974-9863-81-7)
Maurice Glaize, Les Monuments du groupe d'Angkor, 1944, 1963, 1993
George Groslier, nombreuses études parues entre autres dans la revue "Arts et Archéologie khmers" et le "Bulletin de l'École Française d'Extrême-Orient"
Étienne Lunet de Lajonquière, Inventaire descriptif des monuments du Cambodge (1902)
Henri Marchal, Guide archélogique aux temples d'Angkor, 1928, 1962
Zhou Daguan et Paul Pelliot, Mémoires sur les coutumes du Cambodge de Tcheou Ta-Kouan, vol. 3, Adrien Maisonneuve, coll. « Œuvres posthumes », 1er mars 2003, 71-03 éd. (1re éd. 1951), 178 p. (ISBN 9782720011078, présentation en ligne [archive])
Michel Petrotchenko, Le guide des Temples d'Angkor, 384 pages, Amarin Printing and Publishing, 2015, (ISBN 978-616-382-338-0)
Autobiographie[modifier | modifier le code]
François Bizot, Le portail, 2003 (prisonnier des Khmers Rouge en 1975)
Jean Boulbet, De Palmes et d'épines, Vers le paradis d'Indra, 2003 (tranche de vie d'un ethnologue à Angkor de 1963 à 1975)
Romans autour d'Angkor[modifier | modifier le code]
Pierre Loti, Un pèlerin d'Angkor, 1913 (le roman est situé en 1901)
Pierre Benoit, Le Roi Lépreux, 1927
André Malraux, La Voie royale, 1930 (roman situé dans les années 1920)
James Rollins, La Malédiction de Marco Polo, 2007
Raphaël Aubert, La Terrasse des éléphants, 2009
Maxence Fermine, Le Papillon de Siam, 2010
Liens externes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
Angkor, sur Wikimedia Commons Angkor, sur Wikivoyage
Documentaires : "Sur les traces de l'Empire d'Angkor" [archive]
District de Siem Reap - Khmer et anglais [archive]
Histoire d'Angkor [archive] infographie sur le site de l'UIA
« APSARA - Autorité pour la Protection du Site et l'Aménagement de la Région d’Angkor / Siem Reap » [archive] (consulté le 14 juillet 2014)

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ANGKOR EST LE SANCTUAIRE DE CELLES ET CEUX QUI RECHERCHENT L'HARMONIE, L'ÉTHIQUE, L'OSMOSE, L'ÉQUILIBRE, L'OEUVRE DE L'ESPÉRANCE, L'EXISTENCE DU SOI, LA LAÏCITÉ DE LA RÉPUBLIQUE, LA RESPONSABILITÉ BOUDDHISTE ET LA FACULTÉ CIVILE.
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An international team of astronomers led by NASA scientists successfully completed the first global exercise using a real asteroid to test global response capabilities.

Planning for the so-called "TC4 Observation Campaign" started in April, under the sponsorship of NASA's Planetary Defense Coordination Office. The exercise commenced in earnest in late July, when the European Southern Observatory's Very Large Telescope recovered the asteroid. The finale was a close approach to Earth in mid-October. The goal: to recover, track and characterize a real asteroid as a potential impactor -- and to test the International Asteroid Warning Network for hazardous asteroid observations, modeling, prediction and communication.

The target of the exercise was asteroid 2012 TC4 -- a small asteroid originally estimated to be between 30 and 100 feet (10 and 30 meters) in size, which was known to be on a very close approach to Earth. On Oct. 12, TC4 safely passed Earth at a distance of only about 27,200 miles (43,780 kilometers) above Earth's surface. In the months leading up to the flyby, astronomers from the U.S., Canada, Colombia, Germany, Israel, Italy, Japan, the Netherlands, Russia and South Africa all tracked TC4 from ground- and space-based telescopes to study its orbit, shape, rotation and composition.

"This campaign was an excellent test of a real threat case. I learned that in many cases we are already well-prepared; communication and the openness of the community was fantastic," said Detlef Koschny, co-manager of the near-Earth object (NEO) segment in the European Space Agency (ESA)'s Space Situational Awareness program. "I personally was not prepared enough for the high response from the public and media -- I was positively surprised by that! It shows that what we are doing is relevant."

"The 2012 TC4 campaign was a superb opportunity for researchers to demonstrate willingness and readiness to participate in serious international cooperation in addressing the potential hazard to Earth posed by NEOs," said Boris Shustov, science director for the Institute of Astronomy at the Russian Academy of Sciences. "I am pleased to see how scientists from different countries effectively and enthusiastically worked together toward a common goal, and that the Russian-Ukrainian observatory in Terskol was able to contribute to the effort." Shustov added, "In the future I am confident that such international observing campaigns will become common practice."

Using the observations collected during the campaign, scientists at NASA's Center for Near-Earth Object Studies (CNEOS) at the Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California were able to precisely calculate TC4's orbit, predict its flyby distance on Oct. 12, and look for any possibility of a future impact. "The high-quality observations from optical and radar telescopes have enabled us to rule out any future impacts between the Earth and 2012 TC4," said Davide Farnocchia from CNEOS, who led the orbit determination effort. "These observations also help us understand subtle effects such as solar radiation pressure that can gently nudge the orbit of small asteroids."

A network of optical telescopes also worked together to study how fast TC4 rotates. Given that TC4 is small, astronomers expected it to be rotating fast, but were surprised when they found that TC4 was not only spinning once every 12 minutes, it was also tumbling. "The rotational campaign was a true international effort. We had astronomers from several countries working together as one team to study TC4's tumbling behavior," said Eileen Ryan, director of the Magdalena Ridge Observatory. Her team tracked TC4 for about 2 months using the 7.9-foot (2.4-meter) telescope in Socorro, New Mexico.

The observations that revealed the shape and confirmed the composition of the asteroid came from astronomers using NASA's Goldstone Deep Space Network antenna in California and the National Radio Astronomy Observatory's 330-foot (100-meter) Green Bank Telescope in West Virginia. "TC4 is a very elongated asteroid that's about 50 feet (15 meters) long and roughly 25 feet (8 meters) wide," said Marina Brozovic, a member of the asteroid radar team at JPL.

Finding out what TC4 is made of turned out to be more challenging. Due to adverse weather conditions, traditional NASA assets studying asteroid composition -- such as the NASA Infrared Telescope Facility (IRTF) at the Mauna Kea Observatory in Hawaii -- were unable to narrow down what TC4 was made of: either dark, carbon-rich or bright igneous material.

"Radar has the ability to identify asteroids with surfaces made of highly reflective rocky or metallic materials," said Lance Benner, who led the radar observations at JPL. "We were able to show that radar scattering properties are consistent with a bright rocky surface, similar to a particular class of meteorites that reflect as much as 50 percent of the light falling on them."

In addition to the observation campaign, NASA used this exercise to test communications between the many observers and also to test internal U.S. government messaging and communications up through the executive branch and across government agencies, as it would during an actual predicted impact emergency.

"We demonstrated that we could organize a large, worldwide observing campaign on a short timeline, and communicate results efficiently," said Vishnu Reddy of the University of Arizona's Lunar and Planetary Laboratory in Tucson, who led the observation campaign. Michael Kelley, TC4 exercise lead at NASA Headquarters in Washington added, "We are much better prepared today to deal with the threat of a potentially hazardous asteroid than we were before the TC4 campaign."

NASA's Planetary Defense Coordination Office administers the Near-Earth Object Observations Program and is responsible for finding, tracking and characterizing potentially hazardous asteroids and comets coming near Earth, issuing warnings about possible impacts, and assisting coordination of U.S. government response planning, should there be an actual impact threat.


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LE CRI DE LA RÉPUBLIQUE OU LE CROIRE DE L'HOMME.
UNE ÉPINE DANS LE CŒUR DU PEUPLE OU LE DISCOURS DU DIAPHRAGME:
L'EXISTENCE DE L'ÉTHIQUE DEMEURE DANS LA VOLONTÉ DU PEUPLE QUI DOIT
SE LIBÉRER D'UN ROI QUI SE CROIT RÉINCARNATION DE LA FORME POSSESSIVE
DE L'HÉRITAGE.

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