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 Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca

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yanis la chouette




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MessageSujet: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:03

Pour Agnés, Prieuse et conférencière du Kalinka...


Chaque Ave Maria détruit le mal

Dieu a concédé un pouvoir immense à Notre Dame : elle écrase sous ses pieds la tête du " serpent ", symbole des forces du Mal. C'est pourquoi on dit qu'Elle est " terrible comme une armée rangée en bataille ". Le pape Benoît XVI nous dit : " Le rosaire contient en lui la force salvatrice du nom de Jésus " (3 mai 2008).

Marie ne cesse de rassembler ses enfants pour ce combat. Dans chaque apparition mariale elle nous montre le chapelet comme une arme puissante contre l'ennemi.

Le chapelet est une épée ! Jésus lui-même nous donne le chapelet comme arme. Écoutons Mgr Olivier, évêque de Maiduguri au Nigéria : " Le 18 avril 2016, j'étais en train de réciter le chapelet quand le Seigneur m'est apparu. Jésus m'a tendu une épée que j'ai saisie. Celle-ci s'est immédiatement transformée en un chapelet ! "

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Germinal is the thirteenth novel in Émile Zola's twenty-volume series Les Rougon-Macquart. Often considered Zola's masterpiece and one of the most significant novels in the French tradition, the novel – an uncompromisingly harsh and realistic story of a coalminers' strike in northern France in the 1860s – has been published and translated in over one hundred countries and has additionally inspired five film adaptations and two television productions.

Germinal was written between April 1884 and January 1885. It was first serialized between November 1884 and February 1885 in the periodical Gil Blas, then in March 1885 published as a book.

The title (pronounced: [ʒɛʁminal]) refers to the name of a month of the French Republican Calendar, a spring month. Germen is a Latin word which means "seed"; the novel describes the hope for a better future that seeds amongst the miners. As the final lines of the novel read:

Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt éclater la terre.
Men were springing forth, a black avenging army, germinating slowly in the furrows, growing towards the harvests of the next century, and their germination would soon overturn the earth.
— 1885 translation[1]

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Chère Agnés
Pour Morgane
Il n'y a aucun symbole dans cette bougie mais il réside dans le livre que toi et ta communauté m'as offert
un souffle que ma Bougie m'a indiqué.... Si le vent souffle vers le nord, je vais au Nord....

Yanis


Saint Louis Marie Grignion de Montfort nous dit : " Le Rosaire nous rend victorieux de tous nos ennemis. " Alors prenons l'équipement du combat chaque jour et participons à la victoire du Cœur Immaculé de Marie ! Souvenons-nous de David et Goliath, le chapelet c'est la fronde ! Chaque Ave Maria est une bénédiction qui détruit le mal.

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Title Star formation on filaments in RCW106
Released 20/02/2017 9:30 am
Copyright ESA/Herschel/PACS, SPIRE/Hi-GAL Project. Acknowledgement: UNIMAP / L. Piazzo, La Sapienza – Università di Roma; E. Schisano / G. Li Causi, IAPS/INAF, Italy
Description

Stars are bursting into life all over this image from ESA’s Herschel space observatory. It depicts the giant molecular cloud RCW106, a massive billow of gas and dust almost 12 000 light-years away in the southern constellation of Norma, the Carpenter's Square.

Cosmic dust, a minor but crucial ingredient in the interstellar material that pervades our Milky Way galaxy, shines brightly at infrared wavelengths. By tracing the glow of dust with the infrared eye of Herschel, astronomers can explore stellar nurseries in great detail.

Sprinkled across the image are dense concentrations of the interstellar mixture of gas and dust where stars are being born. The brightest portions, with a blue hue, are being heated by the powerful light from newborn stars within them, while the redder regions are cooler.

The delicate shapes visible throughout the image are the result of radiation and mighty winds from the young stars carving bubbles and other cavities in the surrounding interstellar material.

Out of the various bright, blue regions, the one furthest to the left is known as G333.6-0.2 and is one of the most luminous portions of the infrared sky. It owes its brightness to a stellar cluster, home to at least a dozen young and very bright stars that are heating up the gas and dust around them.

Elongated and thin structures, or filaments, stand out in the tangle of gas and dust, tracing the densest portions of this star-forming cloud. It is largely along these filaments, dotted with many bright, compact cores, that new stars are taking shape.

Launched in 2009, Herschel observed the sky at far-infrared and submillimetre wavelengths for almost four years. Scanning the Milky Way with its infrared eye, Herschel has revealed an enormous number of filamentary structures, highlighting their universal presence throughout the Galaxy and their role as preferred locations for stellar birth.

This three-colour image combines Herschel observations at 70 microns (blue), 160 microns (green) and 250 microns (red), and spans over 1º on the long side; north is up and east to the left. The image was obtained as part of Herschel’s Hi-GAL key-project, which imaged the entire plane of the Milky Way in five different infrared bands. A video panorama compiling all Hi-GAL observations was published in April 2016.
Id 373561

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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:14

La Conversion inachevée Les Indiens et le christianisme
Joëlle Rostkowski, Albin Michel, 1998, 430 p., 150 F.
NICOLAS JOURNET

Publié le 01/10/1998

Comment peut-on être chrétien, quand on est Indien de la réserve de Pine Ridge ou de Taos ? Telle est la question à laquelle Joëlle Rostkowski tente de répondre par ce vivant récit de l'histoire religieuse et politique de deux des plus importants groupes indiens des Etats-Unis : les Pueblos du sud-ouest et les Sioux du Dakota. Dans les deux cas, J. Rostkowski décrit les étapes successives de leur évangélisation forcée par des missionnaires franciscains, jésuites ou encore épiscopaliens. Ces récits, évidemment tragiques, diffèrent : après une première évangélisation hispanique et une révolte au xviie siècle, les Pueblos optèrent pour une conversion apparente et le maintien de traditions rituelles tenues secrètes.

Les Sioux, Indiens des plaines sans cesse plus menacés dans leurs terres, eurent à subir la conquête de l'Ouest, contre laquelle ils se révoltèrent au xixe siècle : les missionnaires constituèrent, après leur défaite, une forme de tutelle protectrice contre l'Etat et les colons, au prix d'un bannissement de leur langue, de leurs rites et conventions propres. Mais les Sioux, en réalité, n'acceptèrent jamais l'interdiction des « danses du soleil », « danses des esprits » et autres grands rites panindiens. Ces deux exemples donnent l'occasion à J. Rostkowski d'examiner la signification du renouveau politique et spirituel des Indiens d'Amérique, observé depuis les années 60. Son récit souligne le fait que les Indiens ont en fait, dans leur majorité, accepté le christianisme pour la protection qu'il leur offrait, mais ne se sont pas convertis, au sens où leur foi serait exclusive de toute autre. Pueblos et Sioux ont en effet, à travers le temps, conservé la notion d'une tradition spirituelle propre qui, lorsque la pratique des rites fut de nouveau autorisée en 1934, s'est exprimée de manière chaque jour plus ouverte.

Aujourd'hui, elle rayonne même en dehors des communautés indiennes, sans d'ailleurs s'opposer particulièrement au christianisme. Animé et documenté, le récit de J. Rostkowski débouche, en fin de compte, sur une interrogation religieuse : d'où vient la spiritualité indienne, est-elle païenne ou chrétienne, et pourquoi a-t-elle pris tant d'importance ?

Ses réponses, prudentes et nuancées, insistent sur la compatibilité fondamentale des croyances indiennes et chrétiennes, ainsi que sur la multiplicité des combinaisons possibles. Peut-être, seulement, pourrait-on leur reprocher de ne pas sortir du cadre de la discussion de principe : cette histoire, rappelons-le, se passe aux Etats-Unis, où l'expression des identités collectives se dispense rarement d'une dimension religieuse de sorte que, sur ce plan, les Indiens ne diffèrent pas beaucoup du reste des populations américaines.

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Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt éclater la terre.
Men were springing forth, a black avenging army, germinating slowly in the furrows, growing towards the harvests of the next century, and their germination would soon overturn the earth.

Cela pourrait paraitre une menace et une prédiction... Non, le savoir faire des indiens a démontré une philosophie
de combat où s'inclue un humanisme... Tel un figuier est il...? Non...!
hard-working idealist sont devenu les indiens, et en cela; je me dois de venir à leur repas et de les écouter... Amenant une
bougie qui est plus pour permettre de se diriger dans la nuit et la mine et qui est aussi un instant de prière autan pour les
polythéistes que pour les monothéistes... un instant de Silence pour les athées et les indécis...
Tout cela est l'aspect universelle et infini de la Laïcité...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
ou
Dark Obscur

Bon, Monsieur Tignard Yanis pour les registres électoraux....

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yanis la chouette




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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:16

Guns for San Sebastian (French: La Bataille de San Sebastian) is an 1968 French action-adventure film based on the 1962 novel A Wall for San Sebastian, written by Rev. Fr. William Barnaby "Barby" Faherty, S.J.[1][2][3] The film is directed by Frenchman Henri Verneuil, it stars Anthony Quinn and Charles Bronson. The score is by Ennio Morricone.

Plot

In 1743 Mexico, a womanizing outlaw, the army deserter Leon Alastray (Anthony Quinn) is wounded and pursued by the Spanish military into a church. He is given sanctuary by a sympathetic priest (Sam Jaffe), who will not turn Alastray over to the military. The church authorities side with the army, and when the priest still refuses to hand Alastray over they send him to minister to a remote village, San Sebastian. The priest smuggles Alastray, who is proudly atheistic and anti-clerical, past the soldiers surrounding the church. Alastray feels guilty for what has happened to the priest, so accompanies him to the village to ensure he gets there safely. However he is angry and embittered throughout the trip.

They arrive at San Sebastian to find the church barely stands and the village apparently abandoned. The priest is killed by a marauding vaquero, but his ringing of the church bell brings the villagers out from their hiding places in the surrounding hills. They hide there because they are regularly terrorized by Yaqui Indians. The villagers mistake Alastray for a priest. He at first denies it and is scornful of them, but, guided by a persistent village woman, Kinita (Anjanette Comer), to whom he is attracted, decides to take on the role and organize the villagers. They are aided by the persuasive power of an accident the villagers think is a miracle.

Teclo (Charles Bronson) is a half-breed leader of the vaqueros. He pretends to side with the villagers, but in reality wants them to be scattered in the hills permanently, under his leadership. While Alastray organizes the men of the village to build a dam, the Yaqui attack and massacre many of the inhabitants of the village. The angry villagers order the priest out. Alastray leaves, with Kinita following. He tells her all his life he has fallen just short of achieving something meaningful, and sends her back to the village. A storm of approaching riders are heard, and the two take cover. They see Teclo and the Yaqui leader, Golden Lance (Jaime Fernández) together, and realize the alliance of those two means terrible things for the village.

Alastray goes to the capital and, using a previous love connection, obtains muskets, gunpowder and a cannon, which he takes back to the village. When the villagers see the weapons, they are encouraged and willing to fight. Alastray makes a peace overture to Golden Lance which is initially successful, but Teclo sabotages it and a Yaqui attack is inevitable.

On the eve of the battle the villagers ask Alastray to lead them in a Mass. He tells them he is not a priest, but they nonetheless accept him. Together they repel the Yaqui attack on the village, but they use up most of their gunpowder and things appear grim. However a village boy out playing sees the vaqueros and the Yaquis gather in preparation for the next day’s attack. During the night Alastray and a few villagers set charges in a mountainside overlooking the gathering place, to explode rocks down onto the attackers.

The next morning Teclo rides by and sees the fuse to the charges, but the villagers kill him before he can do anything about it. The Yaquis gather below the rocks, and most, including Golden Lance, are killed when the charges are detonated. With the area pacified, government authorities come to administer the village. A military officer recognizes Alastray and sends soldiers to capture him. The villagers outwit the soldiers, getting them to pursue a decoy. Alastray flees on horseback in the opposite direction, with Kinita riding after him.
Differences between the novel and the film

The original novel by Faherty had the hero a former soldier who became a Jesuit Friar, as opposed to the film's depiction of the hero as an army deserter and atheist bandit. The Indians in the novel were Comanche rather than Yaqui and the half-breed character played by Charles Bronson does not appear in the book.

It is a rare instance of a spaghetti western actually being shot in Mexico instead of substituting Spain or some similar European location.

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L’évangélisation des Indiens du Mexique
26 juillet 2014 Isabelle Poutrin 2 commentaires

À propos de : Eric Roulet, L’évangélisation des Indiens du Mexique. Impact et réalité de la conquête spirituelle (XVIe siècle), Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2008.

La distinction entre conversion menée « d’en haut », à l’initiative d’une autorité politique et religieuse et recourant à la contrainte plus ou moins brutale, et conversion menée « d’en bas » [1], à l’initiative de missionnaires professionnels ou non, invite à analyser les phénomènes de conversion dans une double dimension politique et sociologique.

L’évangélisation des Indiens du Mexique au XVIe siècle correspond manifestement au premier cas de figure. Amener les infidèles à la foi Roulet_Evangélisation_2008chrétienne était un objectif majeur des monarques d’Espagne et, du point de vue du droit, la justification principale de la conquête. C’est aussi dans ce but que les papes, en vertu du pouvoir qu’ils détenaient sur la terre entière comme vicaires du Christ, avaient accordé ces territoires aux Rois Catholiques d’Espagne par la bulle Inter caetera en 1493, puis leur avaient donné la haute main sur l’organisation de l’Église dans les îles et terres récemment découvertes. Ainsi en 1518, Hernan Cortes passa sur le continent américain avec un objectif de conquête mais aussi avec la mission, qui lui était confiée par le gouverneur de Cuba, d’amener les populations à embrasser la foi chrétienne. Cortès donna la priorité à la conquête militaire qui supposait de rallier des chefs indigènes et non de les heurter par une conversion brutale. Ce n’est qu’après la prise de Mexico le 13 août 1521 et la capture du dernier empereur aztèque Cuauhtémoc que la « conquête des âmes » put véritablement commencer.

Eric Roulet s’est attaché à saisir le déroulement de cette entreprise entre 1521 et la fin des années 1560, à travers les points de vue souvent contradictoires des acteurs en présence : les autorités castillanes et les missionnaires, mais aussi les populations indiennes longtemps négligées par les études sur l’évangélisation. Outre la masse de documents émanant de l’administration castillane et des ordres religieux, les procès d’Inquisition et les codex produits par les Indiens lui ont permis de mieux comprendre les effets et les limites de l’entreprise de conversion. Les limites chronologiques de son enquête sont les mêmes que celles de l’ouvrage magistral de Robert Ricard, La « conquête spirituelle » du Mexique (1933) [2] ; cependant alors que le tableau dressé par R. Ricard était centré sur l’action des ordres mendiants de façon statique, celui que livre Eric Roulet, dynamique et dense, prend en compte la multiplicité des acteurs en s’éloignant de toute vision linéaire, mécaniste ou apologétique de l’évangélisation.

Une entreprise missionnaire sous contrôle politique

La dynamique missionnaire procédait de l’empereur Charles Quint, roi de Castille qui gouvernait à distance les « Indes Occidentales ». Les aspects institutionnels et politiques de la « conquête des âmes » pilotée depuis l’Espagne mériteraient une étude approfondie, qui dépasse le propos du livre d’E. Roulet. Le début de l’évangélisation des territoires mexicains, en effet, est consécutif à la mise en place du Conseil des Indes (durant les années 1511-1524): un organe spécialisé du gouvernement de Charles Quint, qui contrôlait pour la couronne de Castille tout ce qui concernait les territoires d’Amérique espagnole, qu’il s’agît de l’administration, de la justice, des finances ou encore des affaires religieuses. Au fil des chapitres pourtant, il apparaît que la papauté donnait les autorisations nécessaires aux missionnaires et que, avec le concile de Trente, un souffle de réforme vint de Rome jusqu’en Nouvelle-Espagne. Mais c’est la Couronne qui décida de confier l’évangélisation aux religieux des ordres mendiants (les franciscains dès 1523, suivis par les dominicains en 1526 puis les augustins en 1533), qui érigea les diocèses et nommait les évêques, qui conféra au premier évêque de Mexico Juan de Zumarraga (un franciscain, de 1528 à 1548) la fonction d’Inquisiteur chargé de poursuivre les délits contre la foi. C’est encore la Couronne qui, dans le conflit entre les évêques du Mexique et les religieux qui s’amplifia dans les années 1550, trancha en faveur des premiers tout en couvrant les religieux d’aides financières. Le système de l’encomienda, central pour l’exploitation des Indiens et des territoires, était une institution de type seigneurial règlementée par la Couronne : le roi déléguait à un particulier (encomendero) ses pouvoirs sur un ensemble d’Indiens, à charge pour lui de les protéger et de les instruire dans la foi chrétienne, en échange d’impôts prélevés sur les Indiens ou de corvées (p. 175). Les encomenderos étaient censés enseigner les principales prières aux Indiens, faire construire une église, rémunérer un prêtre. L’évangélisation fut donc confiée à une pluralité d’acteurs : religieux des trois ordres mendiants, clergé séculier, laïcs. Ce procédé fut très loin d’assurer la réussite rapide et sans heurts de la conquête spirituelle.

La période fondatrice commença en 1523 avec l’arrivée des premiers franciscains en Nouvelle-Espagne, trois flamands dont Juan Tecto (les noms sont hispanisés), un professeur de théologie qui avait été le confesseur de Charles Quint, et Pedro de Gante qui commençait ainsi cinquante années d’évangélisation. Ils furent suivis par les Douze – nombre rappelant les Apôtres – menés par Martin de Valencia ; parmi eux, Toribio de Benavente qui décida de porter le nom de « Motolinia » signifiant « pauvre » en nahuatl. Leur mission deviendra rapidement légendaire. Mus par l’idéal évangélique et peut-être des idées millénaristes, ces franciscains voyaient dans la Nouvelle-Espagne l’occasion d’édifier une nouvelle Église, loin des corruptions de la vieille Chrétienté. Se référant aux débuts du christianisme, ils entreprirent de détruire les idoles et les objets cultuels des Indiens, qu’ils considéraient comme autant d’instruments du démon. Les objets détruits se comptèrent par milliers, les baptêmes aussi. Au début des années 1530, les religieux tentaient d’en dresser un bilan, sans y parvenir : un million ? Neuf millions ? (p. 41). Les sources émanant des ordres religieux décrivent des foules se pressant à la rencontre des missionnaires. Cependant, à la fin des années 1530, l’enthousiasme tiédit, l’utopie de la nouvelle Église s’évanouit. Les résultats attendus n’avaient pas été obtenus, et « l’espoir d’une évangélisation rapide et sincère » laissa place à un certain scepticisme (p. 79). Des divergences étaient apparues entre les ordres mendiants : la capacité des Indiens à devenir rapidement des chrétiens et les rites du baptême plus ou moins expéditifs étaient des sujets de controverse entre les franciscains, qui célébraient les baptêmes en masse et montraient un solide optimisme à l’égard de la conversion, et les dominicains, plus réticents. En 1537, la bulle Sublimis Deus de Paul III proclama que les Indiens (et tous les peuples qui pourraient être découverts à l’avenir) étaient capables de recevoir la foi catholique tandis que la bulle Altitudo divini consilii reconnaissait la validité des baptêmes déjà conférés, rappelait la nécessité d’une instruction chrétienne et tenta de faire entrer les mariages indigènes dans le cadre chrétien[3].

Deux événements conduisirent à réviser la politique d’évangélisation. Le procès, en 1539, de don Carlos Chichimecatecotl, mené par l’évêque Zumarraga en qualité d’Inquisiteur et qui se termina par la pénitence publique et l’exécution de l’accusé ; ce fut la première condamnation d’un Indien au bûcher dans un procès d’Inquisition. L’affaire posait la question de la conversion des élites indiennes car don Carlos, qui connaissait la doctrine chrétienne et se définissait comme un bon chrétien, était accusé d’idolâtrie, entre autres. D’autre part, le soulèvement des Indiens chichimèques du Mixton en 1541-1542 montra leur hostilité aux religieux et au christianisme. Tout indiquait que l’idolâtrie n’avait pas été éradiquée. Le travail missionnaire des religieux fut remis en cause. Par la suite, les évêques obtinrent la juridiction sur les Indiens, prenant en main leur instruction chrétienne. Le nouvel évêque de Mexico, le dominicain Alonso de Montufar (1553-1572), insistait surtout sur la lutte contre l’hérésie et sur le contrôle des livres destinés à instruire les Indiens. À la fin des années 1560, le bilan de la « conquête des âmes » était décevant. Avec l’arrivée des jésuites en Nouvelle-Espagne en 1572, les ordres mendiants furent écartés du terrain missionnaire.
Baptêmes de masse

L’image des baptêmes de masse, et même des conversions forcées, est restée attachée à l’évangélisation menée par les Espagnols au Nouveau Monde, devenant un élément majeur de la « légende noire » anti-espagnole[4]. S’y ajoute la destruction des codex, des temples et des objets de culte ou considérés comme tels. Pourtant, cette image de violence procède largement des écrits des missionnaires eux-mêmes, qui ont vanté leur travail de destruction des idoles – 500 temples et 20 000 idoles, selon Zumarraga (p. 33). De même, Motolinia a évoqué, dans son Histoire des Indiens de la Nouvelle-Espagne achevé en 1541, la tâche écrasante des premiers franciscains : « un seul prêtre devait baptiser, confesser, célébrer fiançailles, mariages et obsèques, prêcher, dire les prières, la messe, apprendre la langue, enseigner le catéchisme aux enfants, ainsi que la lecture et le chant [5] » et avancé le chiffre de 2000 à 3000 baptêmes par jour.

Les réalités de la conquête spirituelle apparaissent plus complexes. Les missionnaires, suivant les instructions données par Charles Quint, s’attachèrent d’abord à la conversion des chefs qui devaient montrer l’exemple à la masse des Indiens (p. 39). On voit ici une conversion « d’en haut », organisée par l’empereur, mais aussi conversion « par le haut » puisque, dans une société fortement hiérarchisée, l’effet d’entrainement des élites sur le peuple était probable (d’ailleurs, la conversion de Constantin restait présente dans les esprits). Cette stratégie s’accordait aussi avec le faible nombre des missionnaires. À partir de 1525, l’ensemble de la population fut visé. Les franciscains furent alors conduits à simplifier le rituel du baptême pour n’en conserver que l’essentiel (p. 40). Sur ce point, qu’E. Roulet ne développe pas, Motolinia mentionne une réflexion menée par les Douze sur ce qui pouvait être simplifié, voire abandonné, dans un rituel de baptême qui était à cette époque assez complexe mais dont les critères de validité étaient bien établis par le droit canonique. Selon le plaidoyer de Motolinia, les conditions matérielles d’une célébration « comme en Espagne » n’étaient pas réunies faute d’églises, de fonts baptismaux et d’officiants. De plus, il ne semble guère avoir existé en Nouvelle-Espagne, durant ces premières années, de procédures d’enregistrement des baptêmes : les conditions administratives nécessaires à la tenue de registres étaient absentes. Il était donc possible aux Indiens d’échapper au baptême, volontairement ou non, tout en portant un prénom chrétien ou en se présentant comme tel (p. 45). Les indications que livre E. Roulet sur les prénoms donnés aux convertis datent des années 1535-1540 (p. 40). Le conformisme de ces prénoms où, comme en Espagne à la même époque, dominent María, Ana et Magdalena, et Pedro, Juan et Francisco, n’est d’ailleurs pas nécessairement l’effet d’une massification des baptêmes. Comme en Espagne aussi [6], des caciques adoptent le prénom et parfois aussi le patronyme de leurs prestigieux parrains tels que Cortes, ou le conquistador de la région, ou encore leur encomendero.

Dans leur hâte de voir les Indiens venir à la conversion, certains missionnaires firent usage de la force, notamment du fouet, pour enseigner la doctrine chrétienne ou obtenir l’assistance régulière à la messe dominicale. Cependant E. Roulet ne précise pas en quoi « les conversions ne sont pas toutes librement consenties » (p. 43). Il indique en revanche que la monarchie condamnait ces voies de fait.
La Fête des morts. Codex Telleriano-Remensis, p. 2v.
Uey micailhuitl, la « grande fête des morts ». Codex Telleriano-Remensis, p. 2v. Cette fête est représentée dans le calendrier rituel par un mort ficelé sur son brancard funéraire. Elle était encore célébrée à la fin des années 1530 (E. Roulet, p. 193).
Les résistances des Indiens

Les échecs et les fluctuations de l’évangélisation sont imputables en grande partie aux insuffisances de l’encadrement des Indiens. Le nombre des religieux augmenta régulièrement, mais resta toujours insuffisant : il avoisinait le millier au total, au milieu du XVIe siècle (p. 112), pour plusieurs millions d’Indiens, alors que la qualité spirituelle et intellectuelle des nouveaux arrivants était en baisse. Le clergé de Nouvelle-Espagne, régulier ou séculier, demeura toujours insuffisant pour encadrer la population. Dans ces conditions, des régions entières restèrent vides de missionnaires car trop chaudes, trop montagneuses ou trop éloignées de la capitale. Qui plus est, la société coloniale était traversée de conflits et de contradictions : religieux contre clercs séculiers, religieux contre encomenderos… Les missionnaires eux-mêmes étaient loin d’être des modèles de vertu chrétienne, comme en témoignent les sources judiciaires ou administratives. Si les religieux dénonçaient les exactions des encomenderos, la protection qu’eux-mêmes exerçaient sur les Indiens se traduisait par de lourdes contraintes matérielles pour ces derniers. Quant à la monarchie, elle condamnait la somptuosité des couvents – résultat du travail imposé aux Indiens, et contre lequel ils ne manquaient pas de protester – tout en subventionnant leur construction (p. 148). Le heurt des intérêts partisans, analysé dans la deuxième partie du livre, contraste avec l’idéal apostolique incarné par les Douze.

« La réponse indienne », objet de la troisième partie du livre, traverse en réalité l’ensemble de l’enquête. Sur ce thème également E. Roulet se garde de toute généralisation, montrant au contraire l’évolution des rapports de force. Dès la période de la Conquête, les Indiens cachèrent leurs divinités ou dépistèrent les Espagnols. À l’époque des premières conversions et au long du siècle, les réticences des Indiens demeurèrent visibles. Les pratiques indigènes telles que la « grande fête des morts », les sacrifices, les rituels pour la pluie ou les cultes funéraires subsistèrent, de même que les cultes domestiques, les sortilèges et la médecine traditionnelle. La religion indienne conserva son dynamisme et ses prêtres. À cette obstination des Indiens, la monarchie répondit tout d’abord en employant un moyen forgé dans un tout autre contexte : l’Inquisition, qui réprimait l’hérésie par la voie de procès individuels. La période 1535-1540 est celle de plus forte activité de l’institution, alors confiée à l’évêque de Mexico Juan de Zumarraga. Les poursuites visaient avant tout les caciques (26 accusés sur 64), élites indiennes censées être des agents de la christianisation. L’accusation d’idolâtrie lancée par un cacique contre un autre pouvait relever du règlement de comptes [7].Mais la condamnation de don Carlos Chichimecatecotl, inhabituellement dure, fut désapprouvée par l’entourage de Charles Quint : « En ces lieux, on n’a pas usé d’une telle rigueur envers les morisques qui sont convertis de puis de nombreuses années […] » (p. 84). En conséquence, Zumarraga fut suspendu de cette fonction. Par la suite, les affaires d’idolâtrie des Indiens furent jugées par les évêques.

Le durcissement de l’attitude des autorités envers les Indiens dans les années 1540 accompagna la désillusion des Espagnols. C’est par la voie d’ordonnances royales que se renforcèrent le contrôle de la vie religieuse des Indiens et la répression des comportements déviants (p. 211). Ces mesures montrent que le baptême était désormais la règle, les Indiens non baptisés devant être placés dans des couvents pour y être instruits. Par ailleurs, tout comme en Castille, l’imposition des normes religieuses allait de pair avec la discipline des mœurs : l’adultère, l’ivresse, le jeu étaient condamnés. Dans cette entreprise, les élites indiennes virent leur autorité diminuée (les caciques n’avaient pas été les agents de conversion espérés par les Espagnols) mais tout de même maintenue, tandis qu’émergeaient d’autres Indiens qui apportaient leur concours à l’évangélisation. Quelle a été, finalement, la part de l’indianisation du culte chrétien et celle de l’acculturation des Indiens ? L’offensive contre les pratiques traditionnelles indiennes, en particulier les danses, se renforça à partir des années 1540 et plus encore avec le concile de 1555. Malgré les aléas de la conquête spirituelle, le christianisme prit racine et l’hispanisation accompagna la christianisation, d’autant plus que la politique linguistique avait elle aussi été révisée : à l’apprentissage des langues indigènes qui mobilisait les premiers missionnaires, Charles Quint préféra dans les années 1540 l’enseignement du castillan aux Indiens, qui devait permettre de transmettre sans distorsion le message chrétien. Celui-ci fut donc progressivement reçu, devenant un repère essentiel de la vie des Indiens. Peut-on, pour autant, parler de syncrétisme ? « Il semble que les Indiens pratiquent au XVIe siècle deux religions, héritées de deux univers culturels qui ne se croisent pas encore, quoi qu’ils soient déjà perméables » (p. 250).

Pour en savoir plus :

Eric Roulet, maître de conférences HDR en histoire moderne à l’université du Littoral-Côte d’Opale (ULCO), a soutenu en 2005 sa thèse de doctorat sur l’évangélisation des Indiens du Mexique. Ses recherches portent sur la genèse des sociétés coloniales au Mexique (XVIe siècle) et aux Antilles françaises (XVIIe siècle).

A lire : Pierre Ragon, Les Indiens de la découverte : évangélisation, mariage et sexualité, Mexique, XVIe siècle, Paris, L’Harmattan, 1992.

Pour citer cet article : Isabelle Poutrin, « L’évangélisation des Indiens du Mexique », Conversion/Pouvoir et religion (Hypotheses.org), 26 juillet 2014.

En ligne : http://pocram.hypotheses.org/324

[1] Rodney Stark, One True God : Historical Consequences of Monotheism, Princeton, 2001.

[2] Robert Ricard, La « conquête spirituelle » du Mexique. Essai sur l’apostolat et les méthodes missionnaires des ordres mendiants en Nouvelle-Espagne de 1523-1524 à 1572, Paris, Institut d’Ethnologie, 1933.

[3] Sur ce thème, voir Charlotte de Castelnau-L’Estoile, «Le mariage des infidèles au XVIe siècle : doutes missionnaires et autorité pontificale », Mélanges de l’École Française de Rome – Italie et Méditerranée modernes et contemporaines (MEFRIM), 121/1, 2009, p. 95-121.

[4] Voir Jean-Louis Benoit, « L’évangélisation des Indiens d’Amérique. Autour de la « légende noire », Amerika [en ligne] 8 / 2013, consulté le 25 juillet 2014.

[5] Fray Toribio de Benavente, Historia de los Indios de la Nueva España, éd. Claudio Esteva, Madrid, Historia 16, 1985, p. 161 (traduit par mes soins) ; le chapitre 4 de la 2e partie du livre est un plaidoyer en faveur de la façon dont les franciscains administraient les sacrements durant les premiers temps de l’évangélisation mexicaine.

[6] Miguel Angel Ladero Quesada, « Los bautismos de los musulmanes granadinos en 1500 », in De mudejares a moriscos: una conversión forzada. Actas del VIII Simposio internacional de mudejarismo, Teruel, 15-17 septiembre de 1999, Teruel, Centro de Estudios mudejares, Instituto de estudios turolenses, 2002 p. 481-542.

[7] Voir Jean-Pierre Dedieu, L’administration de la foi. L’Inquisition de Tolède (XVIe-XVIIIe siècles), Madrid, Casa de Velázquez, 1989.
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:20

Don Carlos Ometochtzin (Nahuatl for "Two Rabbit"; pronounced [oːmeˈtoːtʃ.tsin]) or Ahuachpitzactzin,[1] or Chichimecatecatl (Nahuatl for "Chichimec lord," is also known simply as Don Carlos of Texcoco, was a member of the Acolhua nobility. His date of birth is unknown. In dispute is how old he was when he was executed by the Inquisition. He is known to history for his resistance to Christian evangelization.[2][3] He was burnt at the stake on November 30, 1539 at the order of Bishop Don Juan de Zumárraga, the first Catholic bishop of New Spain, for continuing to practice the pre-Hispanic religion. The main source of information on Don Carlos is the record of his inquisition trial, published in 1910 by the Mexican archives.[4]
Juan de Zumárraga, the first archbishop of Mexico City, who investigated Don Carlos. There is no known image of Don Carlos himself.

Don Carlos was a grandson of the famous Texcocan ruler Nezahualcoyotl through his son Nezahualpilli. He held significant lands in the Texcoco region in the Aztec codex known as the Oztoticpac Lands Map, from ca. 1540 just after his execution.

The pictorial on native paper (amatl) from Texcoco ca. 1540 is held by the manuscript division of the Library of Congress, measuring 76 x 84 cm. The contents are both pictorial and alphabetic text in Nahuatl in red and black ink. The glosses indicate it deals with lands that Texcocan lord Ixtlilxochitl I may have given to Don Carlos with litigation over the lands' ownership.

The Oztoticpic Lands map was likely created between 1540 and 1544, as part of an effort to reclaim land held by Don Carlos. The map indicates a palace held by Don Carlos in Oztoticpac. In the schematic cadastrals of particular pieces of land, the map shows Nahua families who farmed the land as well as the measurements of the plots. A number of these properties were rented by tenants with standard glyphic representations of the rents. The names of the pieces of land are indicated with toponymic glyphs. The Oztoticpac Lands Map has been linked to another indigenous pictorial, the Humboldt Fragment VI held by the Berlin State Library. One of the most interesting and important features of the map is depictions of fruit trees, both European and local, many of them grafted. Pears, quince, apple, pomegranates, peaches, and grapevines are shown Income from the sale of fruit would have increased the value of the property. The importation of European fruit trees is part of the Columbian Exchange, but what is especially significant is that not just the trees were integrated into local horticulture, but the practice of grafting to increase the health and yield of the plants.[5][6]
Further reading

Cline, Howard F. "The Oztoticpac Lands Map of Texcoco, 1540," in The Quarterly Journal of the Library of Congress, April 1966, pp. 77–115. Republished in A la Carte: Selected Papers on Maps and Atlases, Washington, DC: Library of Congress 1972, pp. 5–33.
Don, Patricia Lopes. Bonfires of Culture: Franciscans, Indigenous Leaders, and the Inquisition in Early Mexico, 1524-1540. Norman: University of Oklahoma Press 2010.
García Granados, Rafael (1952). "111 Ahuaxpitctzatzin". Diccionario Biográfico de Historia Antigua de Méjico. Mexico: Instituto de Historia. pp. vol. 1, pp. 34–37.
García Garagarza, León. "The 1539 Trial of Don Carlos Ometochtli and the Scramble for Mount Tlaloc." In Mesoamerican Memory: Enduring Systems of Remembrance, eds. Amos Megged and Stephanie Wood, 193-214. Norman: University of Oklahoma Press 2012.
González Obregón, Luis (ed.) (1910). Proceso inquisitorial del cacique de Texcoco. Mexico: Archivo General de la Nación.
Smith, Kevin Paul. "Here I stand!: Don Carlos of Texcoco, the Inquisition, and the end of Aztec resistance, 1539," Master's thesis, University of California Santa Barbara 2003.

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References

Rafael García Granados, Rafael. "111 Ahuaxpitctzatzin". Diccionario Biográfico de Historia Antigua de Méjico. Mexico: Instituto de Historia. pp. vol. 1, (1952) pp. 34–37.
Smith, Kevin Paul. "Here I stand!: Don Carlos of Texcoco, the Inquisition, and the end of Aztec resistance, 1539," Master's thesis, University of California Santa Barbara 2003.
Patricia Lopes Don, Bonfires of culture : Franciscans, indigenous leaders, and the Inquisition in early Mexico, 1524-1540. Norman: University of Oklahoma Press 2010.
Luis González Obregón. Proceso inquisitorial del cacique de Texcoco (1539). Mexico: Archivo General de la Nación, 1910.
Howard F. Cline, "The Oztoticpac Lands Map of Texcoco, 1540," in The Quarterly Journal of the Library of Congress, April 1966, pp. 77-115. Cline also cites a lawsuit by Pedro de Vergara against the Holy Office of the Inquisition in the Archivo General de la Nación, Inquisición vol 139, expediente 11, fols 60-72v over trees owned by the late Don Carlos, executed by the Inquisition in 1539.
Howard F. Cline, "The Oztoticpac Lands Map of Texcoco, 1540," in A la Carte: Selected Papers on Maps and Atlases, Washington, DC: Library of Congress 1972, pp. 5-33.
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:22

20 February 2017

ESA has backed the development of a ‘metamaterial’ device to sift through the faint afterglow of the Big Bang, to search for evidence of primordial gravitational waves triggered by the rapidly expanding newborn Universe.

“This technological breakthrough widens the potential for a future follow-on to ESA’s 2009-launched Planck mission, which would significantly increase our detailed understanding of the Universe as it began,” explains Peter de Maagt, heading ESA’s Antennas and Sub-Millimetre Wave section.

Planck mapped the ‘cosmic microwave background’ (CMB) – leftover light from the creation of the cosmos, subsequently redshifted to microwave wavelengths – across the deep sky in more detail than ever before.

The CMB retains properties of ordinary light, including its tendency to polarise in differing directions – employed in everyday life by polarised sunglasses to cut out glare, or 3D glasses used to see alternating differently polarised cinema images through separate eyes.
Metamaterial-reflective half-wave plate

Researchers are now searching for one particular corkscrew polarisation of the CMB, known as ‘B-mode polarisation’, predicted to have been caused by gravitational waves rippling through the early Universe as it underwent exponential expansion – surging from a subatomic singularity to its current vastness.

Identifying these theorised ‘stretchmarks’ within the CMB would offer solid proof that expansion did indeed occur, bringing cosmologists a big step closer to unifying the physics of the very large and the very small.

“This would be the holy grail of cosmology,” comments Giampaolo Pisano of Cardiff University, heading the team that built the new prototype B-mode polarisation device for ESA.
The history of the Universe

“Our contribution is only a small bit of the hugely complex instrument that will be necessary to accomplish such a detection. It won’t be easy, not least because it involves only a tiny fraction of the overall CMB radiation.”

One of the main obstacles in detecting primordial B-modes is additional sources of polarisation located between Earth and the CMB, such as dust within our own galaxy.

Such polarised foreground contributions have different spectral signatures to that of the CMB, however, enabling their removal if measurements are taken over a large frequency range.
ESA's Planck spacecraft was the second, after Herschel, to be safely retired after orbiting at L2
Planck

The challenge is therefore to devise a polarisation modulator that operates across a wide frequency bandwidth with high efficiency.

“Our new ‘magnetic mirror’-based modulator can do just that, thanks to the quite new approach we adopted,” said Giampaolo Pisano.

Polarisation modulation is often achieved with rotating ‘half-wave plates’. These induce the rotation of the polarised signals which can ‘stick out’ from the unpolarised background. However, the physical thickness of these devices defines their operational bandwidths, which cannot be too large.

“Our new solution is based on a combination of metal grids embedded in a plastic substrate - what we call a ‘metamaterial’ – possessing customised electromagnetic properties not found in nature.

“This flat surface transforms and reflects the signal back like a half-wave plate, facing none of the geometrical constraints of previous designs.”

The team’s prototype multiband magnetic mirror polarisation modulator measures 20 cm across. Any post-Planck space mission would need one larger than a metre in diameter, its design qualified to survive the harsh space environment. The team are now working on enlarging it.

“To come so far, the University of Cardiff team has had to develop all the equipment and engineering processes making it possible,” adds Peter. “Their work has been supported through ESA’s long-running Basic Technology Research Programme, serving to investigate promising new ideas to help enable future missions.”

http://www.esa.int/spaceinimages/Images/2017/02/Star_formation_on_filaments_in_RCW106
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:27

Religion au Canada

La religion au Canada inclut une très grande diversité de groupes religieux et de croyances. La majorité de la population canadienne est chrétienne, représentant 67 % des Canadiens. L'Église catholique romaine est la confession la plus importante parmi les Chrétiens du Canada. En pourcentage de la population, le christianisme est suivi par les gens sans religion qui représentent 24 % de la population. Les autres religions, les principales étant l'islam, l'hindouisme, le sikhisme, le bouddhisme et le judaïsme, englobent 8 % de la population. Les taux d'affiliation à une religion sont en baisse constante.

Le préambule de la Charte canadienne des droits et libertés fait référence à « Dieu » et le monarque canadien porte le titre de Défenseur de la Foi (en). Cependant, le Canada n'a aucune religion d'État et l'appui au pluralisme religieux et à la liberté religieuse (en) est un élément important de la culture politique du Canada (en).

Avant la colonisation européenne, les religions aborigènes (en) étaient surtout animistes incluant une vénération intense des esprits et de la nature. La colonisation française commençant au XVIIe siècle apporta l'établissement d'une population francophone catholique romaine en Acadie et en Nouvelle-France qui devint plus tard le Bas-Canada qui sont aujourd'hui respectivement la Nouvelle-Écosse et le Québec. Elle a été suivie par une colonisation britannique qui apporta des Anglicans et d'autres Protestants au Haut-Canada qui est maintenant l'Ontario.

Avec le déclin du christianisme après avoir été un élément central et intégral de la culture et de la vie quotidienne canadiennes, le Canada est entré dans une ère post-chrétienne (en) avec un État laïc. La pratique de la religion est maintenant considérée comme étant une question d'ordre privé au sein de la société et de l'État. De plus, une majorité de Canadiens considère la religion comme étant sans importance tout en continuant de croire en Dieu.

Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, c'est l'ensemble de la Nouvelle-France qui est conquise par les Britanniques. L'intention initiale du gouvernement britannique était de convertir les catholiques au protestantisme. Cependant, ce plan fut abandonné dans la foulée de la Révolution américaine. En effet, l'Acte de Québec de 1774 reconnut les droits de l'Église catholique à travers la province de Québec dans le but de garder la loyauté des Canadiens français envers la couronne britannique21. D'un autre côté, la Révolution américaine déclencha une importante ruée de protestants vers le Canada alors que les Loyalistes fuyaient les États-Unis rebelles. Ces derniers s'établirent en grand nombre dans le Haut-Canada et dans les provinces maritimes22. Ils étaient protestants, à majorité anglicane, mais comprenaient également beaucoup de presbytériens et de méthodistes.

Au début du XIXe siècle, dans les provinces maritimes et le Haut-Canada, l'Église anglicane avait la même position officielle qu'elle avait en Grande-Bretagne. Ceci causait des tensions au sein de la population des colonies puisqu'une grande partie de celle-ci n'était pas de confession anglicane. En effet, une immigration accrue en provenance d'Écosse créa une importante communauté presbytérienne qui exigea l'égalité des droits aux côtés d'autres groupes. Ceci fut d'ailleurs une cause importante de la rébellion du Haut-Canada en 1837. Avec l'arrivée du gouvernement responsable, le monopole anglican fut terminé23.

Au Bas-Canada, l'Église catholique était officiellement prééminente et occupait un rôle central dans la culture et la politique de la colonie. Contrairement aux colonies anglophones, le nationalisme canadien-français devint intimement lié avec le catholicisme. Durant cette période, l'Église catholique dans la région devint l'une des plus réactionnaires au monde. Sous ce mouvement ultramontain, l'Église catholique adopta des positions condamnant toutes formes de libéralisme24, poussant mêmes les papes très conservateurs de l'époque à lui reprocher son extrémisme.[réf. nécessaire]

En politique, ceux alignés avec le clergé catholique au Québec étaient appelés « les bleus ». Ils formèrent une alliance curieuse avec les anglicans pro-britanniques et fortement monarchistes (souvent membres de l'ordre d'Orange) pour former la base du Parti conservateur du Canada. De son côté, le Parti réformiste, qui est plus tard devenue le Parti libéral, était surtout composé de Canadiens français anti-cléricaux, appelés « les rouges », et les groupes protestants non-anglicans. À cette époque, avant les élections, les curés de paroisse livraient des sermons à leurs ouailles pour les avertir que « le ciel est bleu, l'enfer est rouge. »

Le changement le plus important au niveau de la religion au Canada s'opéra au Québec dans les années 1960. En effet, en 1950, la province était toujours une des régions les plus catholiques du monde. Le taux de fréquentation de la messe demeurait extrêmement élevé, les livres mis à l'Index étaient difficiles à trouver, et le système d'éducation était contrôlé en grande partie par l'Église.[réf. nécessaire] Après la Révolution tranquille qui commença dans les années 1960, cette situation se transforma [précision nécessaire]. Bien que la majorité des Québécois se disent toujours catholiques, le taux de fréquentation de l'église est aujourd'hui le plus bas en Amérique du Nord[réf. nécessaire]. Les relations de droit commun, l'avortement et l'appui au mariage homosexuel sont tous beaucoup plus répandus au Québec que dans le reste du Canada.[réf. nécessaire]

Le reste du Canada a connu une transition similaire, quoique beaucoup moins extrême. L'Église unie du Canada, la plus importante église protestante du pays, est une des Églises protestantes majeures les plus libérales du monde. Elle pratique et défend farouchement le mariage et l'ordination des homosexuels, ainsi que l'ordination des femmes.[réf. nécessaire]

De plus, un fort courant de protestantisme évangélique existe hors du Québec. Les groupes les plus importants[Lesquels ?] se retrouvent dans l'Ouest canadien, particulièrement dans les régions rurales de l'Alberta, du Sud du Manitoba et de l'intérieur sud et de la région de la vallée du Fraser de la Colombie-Britannique. Il y a également une forte population évangélique dans les régions rurales du Sud et de l'Est ontariens à l'extérieur de la grande région de Toronto et les parties rurales des provinces maritimes.

Dans ces régions, la culture est plus conservatrice, comparable à ce qu'on retrouve dans certaines régions des États-Unis, et les sujets comme le mariage homosexuel, l'avortement et les unions libres sont beaucoup moins populaires. Ce mouvement s'est considérablement amplifié au cours des dernières années, bien que le nombre total de chrétiens évangéliques demeure de loin inférieur à ce qu'on retrouve aux États-Unis[réf. nécessaire]. Il se trouve très peu d'évangéliques au Québec et dans les grandes régions urbaines du Canada qui sont extrêmement séculières.[réf. nécessaire]

ainsi,

Huttérisme
Colonie huttérite au Manitoba
Article principal : Huttérisme.

Au milieu des années 1870, les huttérites déménagèrent de l'Europe au Territoire du Dakota aux États-Unis afin de fuir les persécutions dont ils étaient victimes32. Durant la Première Guerre mondiale, les huttérites ont été victimes de persécutions aux États-Unis parce qu'ils parlaient allemand et qu'ils refusaient le service militaire33,34. Ils ont alors déménagé presque toutes leurs communautés au Canada dans les provinces de l'Alberta et du Manitoba en 191834. Dans les années 1940, il y avait 52 colonies huttérites au Canada34.

De nos jours, plus de 75 % des colonies huttérites du monde sont situées au Canada, principalement en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba ; les autres sont presque exclusivement situées aux États-Unis35. La population huttérite en Amérique du Nord est d'environ 45 000 personnes.


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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:28


LES AMÉRINDIENS DU CANADA ET DU QUÉBEC



L'arrivée des Amérindiens en Amérique remonte à 12 000 ans environ, mais de récentes découvertes archéologiques feraient remonter les premières migrations à 40 000 ans. Venant de Sibérie, ils auraient traversé le détroit de Béring, plusieurs fois à sec au cours de la dernière grande glaciation, puis peuplé le continent américain.

Ils tiraient leur subsistance de la chasse et de la cueillette, des activités qui exigent l'accès à un vaste territoire. La pêche était également très importante, tout comme la pêche à la baleine, la chasse au phoque et la capture d'autres espèces marines. Les Autochtones employaient de nombreuses plantes pour les rites religieux et les cérémonies et ils s'en servaient également comme médicaments et comme nourriture.

Dans le territoire qui correspond de nos jours au sud de l'Ontario et le long du Saint-Laurent, les Iroquois pratiquaient l'agriculture et avaient adopté un mode de vie plus sédentaire avant l'arrivée des Européens.

Voici la présentation de quelques tribus amérindiennes du Canada :


Les Algonquins

Histoire
D'abord nommés Algoumequins par les Malécites et les Micmacs, puis Algonquins par les Européens, c'est plutôt le terme Anishnabe, «les vrais hommes», que les Algonquins préfèrent utiliser pour s'identifier. Leur territoire traditionnel s'étendait du lac des Deux-Montagnes, dans la région de Montréal, jusqu'en Abitibi-Témiscamingue et en Ontario, leur permettant d'exercer ainsi le contrôle sur la rivière des Outaouais, principale route des fourrures. L'environnement de ce peuple nomade fut fortement perturbé au début du 20ème siècle après que les colons, prospecteurs et bûcherons affluèrent en Abitibi. Toutefois, le lien intime qui unit les Algonquins à la nature leur permet de conserver et de perpétuer leur culture. Encore aujourd'hui, certaines familles passent tout l'hiver dans leurs territoires de chasse, tout comme le faisaient leurs ancêtres au siècle dernier.

Population et langue
Les Algonquins du Québec sont au nombre de 8 293, dont un peu plus de la moitié vit dans les neuf communautés de la nation algonquine (deux en Outaouais et sept en Abitibi-Témiscamingue.) Les autres sont plutôt installés en ville, comme à Montréal, Ottawa, Val-d'Or ou Senneterre. On trouve également des communautés algonquines en Ontario. La langue algonquine demeure bien vivante, puisqu'elle est encore parlée par 60 % de la population. Selon les communautés, la langue seconde est le français ou l'anglais.

Art et culture
Les vêtements en peau et en poil d'orignal, les paniers en écorce de bouleau, les broderies en perles et le tikinagan (porte-bébé traditionnel que seuls les Algonquins, les Cris et les Atikamekw continuent d'utiliser) constituent les trésors de l'artisanat algonquin.


Les Micmacs

Histoire
À l'embouchure du Saint-Laurent, porte d'entrée maritime du Québec, les Micmacs furent les premiers à rencontrer au 16ème siècle les nouveaux arrivants européens. Leur habileté à la pêche et à la navigation en ont fait par la suite des aides précieux pour les explorateurs comme pour les marchands. Traditionnels alliés des Français, ils ont participé à plusieurs batailles, dont celle de la Restigouche dans la baie des Chaleurs. Aujourd'hui très impliqués dans l'exploitation des ressources naturelles et le développement touristique, les Micmacs s'attachent à mettre en valeur leur propre histoire par le développement de sites ancestraux, ainsi que par la pratique de la traditionnelle pêche au saumon.

Population et langue
Parmi les 4 540 Micmacs que compte actuellement le Québec, presque 60 % résident au sein des deux communautés de Listuguj et Gesgapegiag, la troisième, Gaspé, n'ayant pas de territoire défini. Quelque 15 000 autres Micmacs vivent au Nouveau-Brunswick, sur l'Île-du-Prince-Édouard et en Nouvelle-Écosse. De cette population, 40 % parlent toujours leur langue ancestrale.

Art et culture
Les Micmacs de Gaspésie perpétuent la mémoire de leurs traditions à travers leurs spécialités artisanales comme les paniers en frêne et en foin d'odeur, les vêtements de peau ou d'autres très belles pièces ornées de perles. Les sites d'interprétation qu'ils ont ouverts transmettent également la connaissance de leurs modes de vie ancestraux.


Les Atikamekw

Histoire
Appelés Têtes-de-Boule du fait de leur coiffe ronde aux 18ème et 19ème siècles, les Atikamekw ont depuis repris leur nom d'origine qui signifie «poissons blancs», désignant la corégone qui constitue la base de leur alimentation. Uniquement présents au Québec et intimement liés à la forêt, les Atikamekw ont dû se faire une place entre les territoires des Algonquins, des Cris et des Innus (Montagnais.) Ils ont toutefois eu une part active dans le commerce des fourrures, à l'époque où la Compagnie de la Baie d'Hudson avait établi des postes de traite sur leurs territoires. L'exploitation forestière et la construction de la voie ferrée ont ensuite considérablement modifié leur cadre et leur mode de vie. La nation concentre aujourd'hui ses efforts sur le développement économique, l'éducation des jeunes et le tourisme, dans le respect des traditions et de l'environnement.

Population et langue
Les trois communautés atikamekw de Weymontachie (Wemotaci), Obedjiwan (Opitciwan) et Manawan se trouvent en plein cour du Québec, en Haute-Mauricie et dans Lanaudière, et regroupent plus de 80 % des 5 224 Atikamekw recensés. Aujourd'hui, les Atikamekw parlent toujours leur langue d'origine et également le français.

Art et culture
Spécialisés dans les confections en tous genres à base d'écorce de bouleau, y compris les fameux canoës légers et profilés, les Atikamekw produisent également quelques oeuvres admirables de sculpteurs et de peintres, ainsi que des vêtements en peau d'orignal. Ils sont aussi passés maîtres depuis des millénaires dans l'art de fabriquer la pâte de bleuets et le sirop d'érable, lequel est considéré aujourd'hui comme étant une spécialité nationale du Canada.


Les Abénaquis

Histoire
Poussés au 17ème siècle hors de leurs territoires ancestraux, situés en Nouvelle-Angleterre, les Abénaquis, ou Abénakis, sont dès lors venus s'installer définitivement au Québec. Ils y ont fondé les deux communautés situées sur la rive sud du Saint-Laurent, à la hauteur de Trois­Rivières : Odanak, «bienvenue» et Wôlinak, «la baie».

Population et langue
La nation abénaquise, rassemblée sous son nom d'origine Wabanaki qui signifie «pays du soleil levant», compte aujourd'hui 1 965 membres, dont environ 20% habitent les deux communautés. Tous parlent communément le français. Quelques personnes âgées utilisent encore la langue abénaquise.

Art et culture
Les vanneries abénaquises en frêne et en foin d'odeur sont très réputées. Certains artistes connaissent encore les secrets des danses traditionnelles et de la fabrication du masque du soleil, du masque de maïs et des totems identifiés à l'animal gardien de la tribu. Les Abénaquis ont ouvert le premier musée amérindien du Québec, qui renferme une impressionnante collection d'artéfacts et d'oeuvres d'artistes.


Les Innus (Montagnais)

Histoire
Les Montagnais tiennent leur nom des Européens qui désignaient ainsi ces habitants des petites montagnes de la Côte-Nord, avec lesquels ils entretenaient de nombreux échanges. Mais, entre eux, les Montagnais se sont toujours appelés Innus, ce qui signifie «hommes véritables». Peuple de chasseurs, de pêcheurs et de cueilleurs nomades, les Innus migraient traditionnellement en automne de leurs campements d'été situés sur le littoral nord du Saint-Laurent, vers leurs riches territoires de chasse au coeur du Québec (près du Labrador et du lac Saint-Jean) en remontant les rivières Saint-Jean, Romaine, Georges, Sainte-Marguerite ou Mistashipu. La nation innu fut la première à s'organiser politiquement et culturellement face à l'évolution de l'identité autochtone.

Population et langue
Au nombre de 14 304, les Innus représentent la nation amérindienne la plus populeuse au Québec. Ils vivent à 70 % dans leurs neuf communautés toutes établies sur la Côte-Nord, à l'exception d'une située au Lac-Saint-Jean et d'une autre du côté de Schefferville, tout au nord. En plus du français, la langue innu est employée par la quasi-totalité des Montagnais.

Art et culture
Les Innus réalisent des oeuvres remarquables en sculpture (bois, panache de caribou ou pierre), en dessin, en peinture, en gravure ainsi qu'en artisanat (à base de cuir, perles, fourrure et vannerie). Le caribou et le saumon sont deux animaux très importants chez les Innus. La nation compte de nombreux musiciens reconnus et possède par ailleurs deux musées d'importance.


Les Inuits

Histoire
Au Canada, les Inuits occupent les terres éloignées de l'Arctique, du détroit de Béring jusqu'au Groenland. Au Québec, leur pays ancestral s'appelle Nunavik, «la très grande place où l'on vit», situé au nord du 55ème parallèle, entre la baie d'Hudson et le Labrador. Peuple courageux et habile, les Inuits ont adapté depuis des millénaires leur mode de vie et leurs coutumes alimentaires, vestimentaires et sociales notamment aux rigueurs du climat, ainsi qu'à une faune et une flore bien spécifique. En signant, en 1975, avec le gouvernement la Convention de la Baie-James et du Nord québécois, les Inuits ont donné le coup d'envoi de leur essor économique. Aujourd'hui, ils prospèrent particulièrement dans les domaines du transport aérien et de l'alimentation, notamment dans le commerce international du caribou et de l'omble chevalier. Leurs villages nordiques se sont modernisés, sous l'impulsion de nouvelles institutions inuites.

Population et langue
Inuit, qui signifie «homme, être humain», est désormais le terme à employer pour désigner ceux que l'on appelait autrefois Esquimaux, «mangeurs de viande crue». Ils sont 9 145 Inuits à vivre majoritairement dans les 14 villages du Nunavik. Une soixantaine d'entre eux sont établis à côté de Chisasibi, un village crie de la Baie-James. Tous parlent l'inuktitut, leur langue ancestrale. Ils maîtrisent également l'anglais et, de plus en plus, le français.

Art et culture
Inspiré de légendes et de coutumes encore très vivantes, comme les danses et les chants traditionnels, l'art inuit fascine. Les sculptures inuites taillées dans la stéatite (pierre de savon) de même que les gravures sont très appréciées des collectionneurs et des galeries d'art du monde entier. Les vêtements en peau et les broderies témoignent également de l'ingéniosité et du talent artistique de ce peuple enraciné dans sa culture.


Les Cris

Histoire
Les territoires des Cris se situent dans le bassin de la Baie-James, entre la forêt boréale et la taïga. Dans cette région peu propice à l'agriculture, les Cris nomades ont développé de grandes compétences en matière de chasse, de trappe et de pêche, ainsi qu'une volonté farouche de protéger l'environnement. Après avoir été des acteurs de premier plan dans la traite des fourrures, ils ont également été au centre de négociations en 1975 avec les gouvernements fédéral et provincial concernant l'exploitation hydroélectrique de leur région, marquant ainsi un tournant décisif dans leur mode d'autogestion. Les Cris du Québec ont depuis pris en charge leurs intérêts et accédé à une importante croissance économique.

Population et langue
Les neuf communautés qui regroupent la presque totalité des 13 027 Cris, sont dispersées dans la région la plus nordique du Québec encore accessible par la route. La plus récente de ces communautés, Oujé-Bougoumou, inaugurée en 1993, s'est vu décerner un prix par l'ONU pour son architecture qui marie admirablement modernité et tradition. Deuxième nation en importance au Québec sur le plan démographique (on retrouve également des Cris en Ontario, au Manitoba et en Saskatchewan), la majorité de la population parle le cri et utilise l'anglais comme seconde langue. Les jeunes sont toutefois de plus en plus nombreux à s'initier au français.

Art et culture
Forts d'un long héritage culturel, les Cris sont des experts dans la confection de vêtements et de gants en peau d'orignal, magnifiquement ornementés de perles et de broderies. Quant aux fameux appelants - oiseaux servant d'appeau - qu'ils fabriquent en brindilles de mélèze, ils sont devenus de véritables objets de décoration. La sculpture, la peinture et la musique sont également des domaines dans lesquels brillent de nombreux artistes cris.


Les Hurons-Wendat

Histoire
Originaires des Grands Lacs, plus particulièrement de la baie Georgienne, les Hurons-Wendat sont venus s'installer dans la région de Québec en 1650. Le nom de Huron leur a été donné par les Européens du fait de leur coiffe en forme de hure, tandis que Wendat, «les gens de l'île», est le nom sous lequel ils se sont toujours désignés en référence à leurs origines. La nation wendate a connu une période des plus prospères lorsqu'elle était au centre des échanges entre Européens et Amérindiens et comptait une vingtaine de villages pour ses 40 000 membres répartis en quatre clans : Ceux du chevreuil, de la pierre, de l'ours et de la corde. Décimés plus tard par les maladies et les guerres entre nations, les Hurons-Wendat d'aujourd'hui sont les descendants du clan de la corde qui, forts de leur puissant héritage culturel, ont particulièrement à coeur de développer leur savoir-faire de façon moderne, tout en préservant leurs traditions.

Population et langue
Il reste une seule communauté huronne dans tout le Canada, celle de Wendake, anciennement appelée Village-des-Hurons et établie depuis 300 ans dans la banlieue de Québec. Là résident quelques 1 100 Hurons-Wendat, sur les 2 873 que compte la nation aujourd'hui. Même si certains tentent de faire revivre leur langue ancestrale, les Hurons parlent avant tout le français.

Art et culture
La communauté de Wendake dispose de nombreux attraits touristiques, comme son église classée monument historique, ses maisons Nouvelle-France et son village traditionnel reconstitué. La valorisation du patrimoine Huron-Wendat, appuyée par le développement du commerce et de l'artisanat, atteste du dynamisme ancestral de ces gens d'affaires amérindiens.


Les Mohawks

Histoire
Membres de la «Confédération des Cinq Nations iroquoises», les Mohawks formaient une nation puissante, dont la force s'appuyait sur une organisation sociale très structurée et une tradition sédentaire empreinte de spiritualité. Leurs territoires s'étendaient sur une grande partie de la Nouvelle-Angleterre. Aujourd'hui, ils se situent entre le Québec, l'Ontario et l'État de New-York. Malgré la proximité et l'influence des villes environnantes, les Mohawks ont su garder leurs valeurs traditionnelles bien ardentes, tout en assumant la gestion de leur éducation, de leur santé et de leur service de police. Leur habileté légendaire à travailler en hauteur, sur des chantiers de grands ponts ou de gratte-ciels, est une réalité encore bien vivante aujourd'hui.

Population et langue
Sur le plan démographique, la nation mohawk arrive en troisième position parmi les Autochtones du Québec, avec ses 10 718 membres. La grande majorité d'entre eux réside dans les trois communautés mohawks de Kahnawake, Akwesasne et Kanesatàke. La langue mohawk est parlée par 15 % de la population. L'anglais reste habituellement le plus employé.

Art et culture
Sculpteurs et artistes peintres renommés, les Mohawks sont aussi reconnus pour leur joaillerie et leur vannerie. Chacune de leurs communautés, situées dans la grande région de Montréal, accueille de nombreux visiteurs venus retracer l'histoire de la nation et admirer le travail de ses artisans, comme les vêtements de peau richement décorés de bijoux en argent, ornés de perles ou de sculptures en pierres iroquoises.


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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 2:37

LES AMÉRINDIENS DU CANADA ET DU QUÉBEC

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The Prime Minister announces changes in the senior ranks of the Public Service

February 17, 2017
Ottawa (Ontario)

The Prime Minister, Justin Trudeau, today announced the following changes in the senior ranks of the Public Service:

Gavin Liddy, currently Associate Deputy Minister of Public Services and Procurement, becomes Senior Advisor to the Privy Council Office, effective March 6, 2017.

Les Linklater, currently Deputy Secretary to the Cabinet (Operations), Privy Council Office, becomes Associate Deputy Minister of Public Services and Procurement, effective March 6, 2017.

Catrina Tapley, currently Assistant Secretary to the Cabinet, Economic and Regional Development Policy, Privy Council Office, becomes Deputy Secretary to the Cabinet (Operations), Privy Council Office, effective March 6, 2017.

Jonathan Fried, currently Ambassador and Permanent Representative of Canada to the World Trade Organization in Geneva, becomes Coordinator, International Economic Relations, Global Affairs Canada, effective April 18, 2017. Mr. Fried will support the Ministers and Deputy Ministers of Foreign Affairs and of International Trade.

The Prime Minister took the opportunity to congratulate John Turner, Associate Deputy Minister of National Defence, on the occasion of his retirement from the Public Service, following a distinguished career marked by dedication and excellence in serving Canadians.

PMO Media Relations:
613-957-5555

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17 February 2017

Tomorrow, a Space-X Dragon cargo ferry will be launched to the International Space Station packed with supplies, experiments, tools and food for the six astronauts living and working high above Earth. In the unpressurised cargo hold is a new NASA sensor that will monitor our atmosphere with a helping hand from ESA.
Moonset from the ISS
Moonset seen from Space Station

The Space Station flies 400 km above our planet at 28 800 km/h, experiencing 16 sunrises, sunsets, moonrises and moonsets every 24 hours. This orbit is lower than most satellites and offers scientists interesting possibilities for research.

NASA’s Stratospheric Aerosol and Gas Experiment, or SAGE III, will monitor aerosols, ozone and other gases in Earth’s high atmosphere by looking at the sunlight and moonlight as they pass through. Astronauts on the Space Station often remark at how thin the atmosphere appears when seen from the side.

SAGE will improve our understanding of ozone and climate change in the upper atmosphere by looking sideways at the Sun and Moon as they skim the horizon and this where ESA’s Hexapod comes in.
Space sunrise

Hexapod’s six legs work together to track the Sun and Moon precisely in the few seconds of their setting and rising dozens of times each day.

Hexapod will track the Sun until it disappears behind the horizon and then return to a starting position to repeat the process with the Moon, for years on end.
Falcon 9 launcher with Dragon spacecraft

Once Dragon arrives at the Station, Hexapod and SAGE will be moved to the Station’s main truss and installed using its robotic arm. Hexapod’s intricate machinery will be locked for the demanding g-forces and vibrations of launch, before being released on command to do its job, eliminating the need for a spacewalk.

Hexapod was built by OHB Italia and Thales Alenia Space Italy with Airbus Defence and Space. Following checks in orbit expected to take two weeks, ESA will hand over control to NASA for the atmospheric studies to begin. The goal is for at least three years of observations, with all measurements publicly available.

http://www.esa.int/Our_Activities/Human_Spaceflight/ESA_s_six-legged_Suntracker_flying_on_a_Dragon
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyLun 20 Fév à 10:23

Le sentiment de l'inconnu m’envahit devant l'afflux d'informations...
Celui auquel je dois dire que je suis proche d'une sorte d'overdose...
Les Rieuses vont devoir quitter la Garonne à l'approche du Printemps...
C'est une période de flou à chaque rotation de la terre qui se provoque
en moi... C'est aussi la période de l'Amour qui s'annonce, les rieuse
se dotent d'une tête noire et les Corbeaux poussent leurs premiers cris
d'amour...

Les Cormorans sont déjà proche du départ et les jonquilles sortent de
Terre... Je me rappelle alors du passé et de ceux qui sont partis dans
le grand chemin: Humain; Animaux et Végétaux... C'est devant cet
afflux d'informations... Une sorte d'overdose où le sentiment de liberté
est celui de la chanson du fidèle... Le mot est il mal interpréter !
Le corbeau, mon fidèle ami est de trois... Toujours trois sont ils !

Malgré les invitations de la Plèbe et de la Curie; je suis resté sur une
forme de Nuage auquel il n'y a aucune forme de métaphore sur le rien...
Depuis les appels, je ne ressens que celui de l'infini... Ce qui me paraissait
être une conquête et finalement, l'aspect même de la découverte du soi.
Ce qui est si proche, m'est finalement si éloigné... Et en cela, je vous en
remercie; Douce Agnès et Aimable Serge... Toujours trois sont ils !

Et en cela, j'en appelle à cette fameuse bougie, quels sens donnaient au feu;
doit on le craindre, l'ignorer ou le diviniser... Cette bougie, quels sens ?
Mais a t'elle réellement besoin d'un sens, tout ce que je sais: c'est qu'elle
peut se révéler utile de liberté... Devant l'aspect des Curies et de la Plèbe,
elle ne doit dévoiler l'aspect de sa forme... Je dois retourner dans les lignes
de front, les chasseurs sont trop nombreux alors je vais dévoiler mes efforts
sur les cuirassiers... Oui, je suis dans une sorte de cri:

"Alors que le sang coule, certains tout comme leurs maitres, s’efforcent
de construire un mirage... Une pyramide auquel ils effacent le nom de celui
pour y ajouter leurs noms sous forme de C.S.G ou d’impôts... Ma venu dans votre
communauté n'est pas innocente, je suis venu chercher cette aspect de répulsion
sur l'image et l’impôt... Oui, cette aspect de communauté auquel la communauté
de Saint Nicolas de Saint Cyprien de Toulouse aspire... Alors je dois dire que je suis
tel le figuier, je ne crains pas la brulure si cela me conduit à la Simplicité d’Âme..."

Oui et comme je vous l'ai dit: Cela est mon Mystère... En tout cas la seul chose
que je peux dire: Je ne suis pas nombriliste et je m'inclus au terme de Peuple...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
ou
Dark Obscur

Mais si vous préférez, Citoyen Yanis Tignard...
Kalinka : Non à l'Inquisition et Oui à la Justice...
Mes aventures au sein du sénat français
et j'en oublie....

Yanis
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyMar 21 Fév à 10:16

Le silence absolu, Paul Valéry, la mer d'Aral et Y'becca

http://leclandesmouettes.bbflash.net/t253-le-silence-absolu-paul-valery-la-mer-d-aral-et-y-becca#5113
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptySam 25 Fév à 2:54

La violence n'est pas la fille de la pauvreté mais de l'inculture. André #Brahic,
astrophysicien, #nuitsdesetoiles

André Brahic nous parle de Saturne c'était en ...1981 ! Vidéo Ina.fr
http://www.ina.fr/video/CPA8105437703 …
via @Inafr_officiel

Je suis un enfant du soleil... Dit Jean d'Ormesson du guide des égarés...

Un bel hommage à André #Brahic et l'#HomoRigolus par @FlorencePorcel
dans « l'espace dans gravité »

Vient de paraître #Cahiers_Clairaut n°156 Hiver 2016 "Images en astronomie"
"André Brahic" Aujourd'hui pour ab num
http://clea-astro.eu/vieclea/productions-recentes/cc/cc156 …

Il avait raison André Brahic quand il disait que "La Science c'est de l'amour".
Benjamin‏@VulgaSciences

Qu'aurait dit André Brahic en voyant ces images des anneaux
de Saturne faisant des vagues ?
#SaturnSaturday #ICYMI A closer look at Daphnis making waves
http://go.nasa.gov/2hg6vPy
Ça Se Passe Là-Haut‏@astroparticule

Astronomie Amnéville‏@AstroAmneville 31 déc. 2016
On se donne rdv en 2017 ?
En attendant
"Enfants du Soleil, histoire de nos origines"
conférence d'André BRAHIC
https://www.youtube.com/watch?v=J0h4tMvLthU&sns=tw …

Citations de Babelio‏@citationbabelio 15 déc. 2016
Nouvelle citation : La Science: une ambition pour la France par André Brahic La recher...
http://www.babelio.com/auteur/Andre-Brahic/13490/citations/1104960 …

Film hommage à André Brahic aux #RCE2016.
A revoir chaque matin pour avoir la pêche toute la journée :
https://www.youtube.com/watch?v=0TmwYM1zYn8

AFondlaScience‏@AFondlaScience 10 nov. 2016
Hommage à André BRAHIC♥ #astrophysicien Séance inaugurale #RCE2016 11/11 à 10h30 @afastronomie @citedessciences https://goo.gl/hqbMUu

Les Enfants du soleil
Pauline Gedge
Anne Laflaquière (Traducteur)
ISBN : 225313757X
Éditeur : Le Livre de Poche (17/05/1995)
Après le succès mondial de La Dame du Nil, Pauline Gedge revient à son sujet favori, l’Egypte.
L’histoire qu’elle nous conte ici est celle du pharaon peut-être le plus surprenant de l’Egypte ancienne, Aménophis IV, et de son épouse la très belle Néfertiti. C'est aussi celle d'une femme d'une rare clairvoyance, sa mère, l'impératrice Tii.
Nonchalant et rêveur, préférant s'initier à la poésie plutôt qu'aux affaires publiques, le jeune pharaon semble, dans les premières années de son règne, laisser à sa mère le soin de gouverner l’Etat. Sous la ferme direction de Tii, l'empire connaît paix et prospérité et, à la cour de Thèbes, les fêtes succèdent aux banquets.
Pourtant une passion habite le cœur et l’âme de Pharaon, non pour une femme mais pour un Dieu, Aton, le dieu du disque solaire, dont il croit être la réincarnation terrestre. Bravant la colère et la puissance des prêtres d’Amon, il se proclame Akhenaton (l’Esprit d’Aton): désormais, l'Esprit du dieu touchera tous ceux qui, charnellement, s'uniront à lui. ils seront tous les Enfants du Soleil.
Dès lors, plus rien ne compte aux yeux de Pharaon que ce culte hérétique. Tandis que les royaumes vassaux se rebellent et qu’une épouvantable sécheresse s’abat sur le pays, Akhenaton, reclus dans ses appartements, se livre à tous les débordements, allant jusqu’à transgresser, avec sa mère, le plus terrifiant des tabous…

S'appuyant sur une vérité historique indéniable, Pauline Gedge, avec son immense talent de conteur, ressuscite un monde passionné, où les jeux de l'amour côtoient sans cesse la folie du pouvoir.
Dès les premières pages on pénètre avec bonheur dans une vie quotidienne d'une rare qualité. L'ocre et le safran qui ornent les corps, la souplesse du lin des tuniques, la somptuosité des demeures, le léger murmure des fontaines intérieures... Un réel plaisir de lecture.

pourtant;
Enigma - Beyond The Invisible
https://www.youtube.com/watch?v=f8mMWh62XpU

Stéphanie Guillaume‏@sguillaume 14 nov. 2016
J'ai ajouté une vidéo à une playlist @YouTube - La physique, André Brahic
https://www.youtube.com/watch?v=IWzOQL-FGd8

Nouveaux livres‏@Nouveaux_livres 23 oct. 2016
Nouvelle notice : De feu et de glace: Planètes ardentes par André Brahic
http://www.babelio.com/livres/Brahic-De-feu-et-de-glace-Planetes-ardentes/887742 …

Les étoiles et la matière qui nous entoure , par André Brahic – DNU#2
bit.ly 2dz0sAH @cafe_sciences Watts Up Science

A concept is an abstract idea representing the fundamental characteristics of what it represents. Concepts arise as abstractions or generalisations from experience or the result of a transformation of existing ideas.[1] The concept is instantiated (reified) by all of its actual or potential instances, whether these are things in the real world or other ideas. Concepts are treated in many if not most disciplines both explicitly, such as in linguistics, psychology, philosophy, etc., and implicitly, such as in mathematics, physics, etc. In informal use the word concept often just means any idea, but formally it involves the abstraction component. These concepts are then stored in long term memory[2]
Diagram
When the mind makes a generalization such as the concept of tree, it extracts similarities from numerous examples; the simplification enables higher-level thinking.

In metaphysics, and especially ontology, a concept is a fundamental category of existence. In contemporary philosophy, there are at least three prevailing ways to understand what a concept is:[3][See talk page]

There are hierarchical organizations of concepts and they are at the top, superordinate, the middle basic level categories, and at the bottom, subordinate categories.[4] It would go furniture, chair, and easy chair.

Concepts as mental representations, where concepts are entities that exist in the brain (mental objects)
Concepts as abilities, where concepts are abilities peculiar to cognitive agents (mental states)
Concepts as Fregean senses (see sense and reference), where concepts are abstract objects, as opposed to mental objects and mental states

et

Concept peut désigner :

Sommaire

1 Philosophie
2 Psychologie
3 Art
4 Informatique
5 Commerce
6 Jeux et musique

Philosophie

Un concept est un contenu de pensée, parfois considéré comme une idée abstraite, donc séparée de la réalité d'une chose, d'une situation, d'un phénomène. Un concept se distingue aussi bien de la chose désignée par ce concept, que du mot ou de l'énoncé verbal, qui est le signifiant de ce concept. Voir aussi conceptualisme.

Psychologie

concept (psychologie).

Art

Le concept est l'idée de base et l'élément moteur du processus créatif. Voir aussi art conceptuel.

Informatique

Dans le cadre d'un réseau de concepts (aussi nommé réseau sémantique), un concept est un ensemble de nœuds fortement liés et activés simultanément.

Commerce

on désigne aussi comme concept toute idée, le plus souvent commerciale, plus ou moins novatrice.
la décoration, tout comme l'idée commerciale de base, d'un commerce franchisé, le design et la fonction d'un objet, sont parfois désignés comme des concepts.
un concept car est un prototype de véhicule automobile conçu et réalisé par un constructeur pour tester et montrer des idées, sans forcément qu'il y ait une intention de production en série et de commercialisation par la suite.

Jeux et musique

Concept est un jeu de société où le mécanisme de jeu repose sur l'identification d'entités par combinaison d'éléments symboliques.
un album-concept (concept album) est un recueil de musique dont les morceaux et chansons, au lieu d'être indépendants, sont liés entre eux par un thème ou une histoire, par exemple les opéras rock.

In a platonist theory of mind, concepts are construed as abstract objects. This debate concerns the ontological status of concepts – what they are really like.

La violence n'est pas la fille de la pauvreté mais de l'inculture. André #Brahic,
astrophysicien, #nuitsdesetoiles

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Je suis un enfant du soleil... Dit Jean d'Ormesson du guide des égarés...

Un bel hommage à André #Brahic et l'#HomoRigolus par @FlorencePorcel
dans « l'espace dans gravité »

Vient de paraître #Cahiers_Clairaut n°156 Hiver 2016 "Images en astronomie"
"André Brahic" Aujourd'hui pour ab num
http://clea-astro.eu/vieclea/productions-recentes/cc/cc156 …

Il avait raison André Brahic quand il disait que "La Science c'est de l'amour".
Benjamin‏@VulgaSciences

Qu'aurait dit André Brahic en voyant ces images des anneaux
de Saturne faisant des vagues ?
#SaturnSaturday #ICYMI A closer look at Daphnis making waves
http://go.nasa.gov/2hg6vPy
Ça Se Passe Là-Haut‏@astroparticule

Astronomie Amnéville‏@AstroAmneville 31 déc. 2016
On se donne rdv en 2017 ?
En attendant
"Enfants du Soleil, histoire de nos origines"
conférence d'André BRAHIC
https://www.youtube.com/watch?v=J0h4tMvLthU&sns=tw …

Citations de Babelio‏@citationbabelio 15 déc. 2016
Nouvelle citation : La Science: une ambition pour la France par André Brahic La recher...
http://www.babelio.com/auteur/Andre-Brahic/13490/citations/1104960 …

Film hommage à André Brahic aux #RCE2016.
A revoir chaque matin pour avoir la pêche toute la journée :
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MessageSujet: Re: Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca   Jésus, La Bougie d'Agnés, La foi et Y'becca EmptyJeu 2 Mar à 10:37

Inside Man...

J'ai donné parole de maintenir un fait... Il y a le candidat désigné par le vote des
adhérents et en cela, j'interpelle la Justice sur le fait que je maintiens le cap choisis
par les adhérents... Je savais qu'il s'agissait d'une erreur mais je fais preuve de
démocratie même si cela m'en coute... Ce n'est pas pour Monsieur Fillon mais
pour les adhérents, le principe de justice démocratique et l'affirmation d'une parole.
Je déplore la mauvaise foi sur les mots et les actes tout en y ajoutant le fait
que je vais balayer devant mon seuil que devant celui des autres...

En cela, je ne participerai pas à la manifestation Fillon mais je ne trouve pas choquant
sur le fait qu'il doit avoir étudier d'une manière juridique, le fait... Je n'abandonne
pas le profit de l'éthique pour celui de la conviction... je ne cherche pas à établir
une lumière qui est le fait de la Justice... Vous savez que je suis de ceux qui croit
en une république organisé sur tous les aspects de la complexité du peuple de Droit.

Si Fillon se détourne de sa parole et de ses convictions, en tant que membre fondateur
des républicains 201 001 364; je m'investis dans le fait de diriger mon navire dans
le fait de se maintenir devant une rancœur annoncée... Je ne comprends pas la décision
des adhérents et je pars du principe que je reste à bord: je peux faire acte sur le fait.
En cela, je prépare les premiers secours car les pertes seront certaines... Régionales...

Il y a pas de quoi crier ! Oui, vraiment; vivre dans la peur ou dans le rôle de l'inculpé !
Certes, je ne défie pas la Justice mais je compare cette situation que j'ai vécu en 1995
contre le Gouvernement Chirac et Juppé... Je ne comprends pas la décision des adhérents.
Pour Fillon, c'est plutôt rude mais vaut mieux être isolé et bien entouré que le contraire...
Des gens croient encore en lui et cela est une équation d'écoute de la Démocratie...
J’espère que les Procureurs ma pardonneront mais je rajoute que je ne partage pas le fait
qu'il soit une victime du système judiciaire...

Il peut prétendre à présent avoir réunis autour de lui, une équipe de baroudeurs prête à
exercer une expérience gouvernementale et présidentielle; Je réalise le fait et je réitère
mon soutien dans l'exercice de la Justice... Le voilà tel Octave devant Marc Antoine
dans la célèbre bataille de Actium... Il reproche à la justice de vouloir sa mort;
il devrai se réjouir de s'être débarrasser des piques assiettes... mais il devra accepter
un fait il n'est pas Octave devant Marc Antoine car je dirais plus que son destin
s'approche de plus en plus à celui de Brutus... Ceux, qui l'entoure, sont brave pour Certains...

L'image de l’infamie est celle que l'on attribut à son adversaire. Le salaire du privilège
peut être rendu à de la vanité et de la jalousie sur des fonctions plus hautaines... Cela et
cela, il ne veut l'admettre... Entouré par les siens, il cherche la fonction de l'oint pour
ensuite se sentir investi par une force électorale qui se transformera en une action miraculeuse
du Peuple si il est élu... Cela fait peur même pour les plus proches d'entre eux... Le doute
ne fait pas parti de leur recueil... La prière est une révélation sur le mauvais sort ambiant...
le sacrifice du soi et du service publique sans prendre en compte l'aspect social de la personne
humaine: Les frais médicaux, chirurgicaux et une saignée sur le Service Public alors que la
population augmente... Les vieux vivent trop longtemps, se permettent de dire tous les classes
sociales au sujet de la santé et des retraites... Hum; oui, la Justice surveille les homicides !

La Justice, elle, se remets dans le droit de sauvegarde du bien et de l’intérêt sur les aspects
que les sbires des présidentielles ont constitués des comités de riposte sur tous les événements
de la campagne... Prêt à donner des coups sans vouloir en recevoir: La Naïveté ou l'Orgueil de Foi.
en tout cas, je ne suis pas juge de la République Française... Je déplore des faits où nul n'est
à l'abri d'une mauvaise réflexion sur ces idées et sur sa conscience... Les candidats le savent,
les militants le savent mais ceux qui sont là pour entendre des faits... Ils entendent la vérité
sur un système élaboré par le concept des droits : L'attribution divine et électorale où même
la Justice est soumise aux vagues de l'apriori, du conflit d’intérêt et de Personne...
Chacun y va de son Jugement... Pourtant, il y a une procédure indéterminée... Et cela, Personne
ne veut l'admettre... La Justice est confondu avec le Secourisme et le Secourisme est confondu
avec la Justice... Y'becca et Les Pompiers Jacques Vion de Toulouse...
Pour La Justice
Non à l'Esclavage, à la Torture qu'elle soit physique ou morales et aux viols qu'ils soient physiques
ou morales, Non à la diffamation de la Justice pour un intérêt morale ou physique...
Oui à la Gréve, à La Justice, à l’Écoute, à la Santé, au bien être, aux manifestations publiques...

Ecrit de
TAY
La chouette effraie
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