ADMINISTRATION DE LA SÉCURITE SOCIALE EN LES TESTAMENTS !
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 4h
L'INDÉPENDANCE EST BASÉE SUR DES RÉFLEXIONS SUR LE DEVENIR OÙ CHAQUE INTERPRÉTATION SE BASE SUR LES TERMES PLUS QUE SUR
LES SENTIMENTS ET LES TEMPÊTES :
LES THÈSES ONT VOULU DÉVORER LES THÉORIES SUR LA ROUTE ET LES PRIÈRES CAR LA POUSSIÈRE INTERPELLE L'ORGUEIL DE LA FOUDRE !
TAY
LA VILLE S'ENDORMAIT !!!!
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Et la nuit peu à peu
Et le temps arrêté
Et mon cheval boueux
Et mon corps fatigué
Et la nuit bleu à bleu
Et l'eau d'une fontaine
Et quelques cris de haine
Versés par quelques vieux
Sur de plus vieilles qu'eux
Dont le corps s'ensommeille
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Et mon cheval qui boit
Et moi qui le regarde
Et ma soif qui prend garde
Qu'elle ne se voit pas
Et la fontaine chante
Et la fatigue plante
Son couteau dans mes reins
Et je fais celui-là
Qui est son souverain
On m'attend quelque part
Comme on attend le roi
Mais on ne m'attend point
Je sais, depuis déjà
Que l'on meurt de hasard
En allongeant le pas
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Il est vrai que parfois
Près du soir, les oiseaux
Ressemblent à des vagues
Et les vagues aux oiseaux
Et les hommes aux rires
Et les rires aux sanglots
Il est vrai que souvent
La mer se désenchante
Je veux dire en cela
Qu'elle chante d'autres chants
Que ceux que la mer chante
Dans les livres d'enfants
Mais les femmes toujours
Ne ressemblent qu'aux femmes
Et d'entre elles les connes
Ne ressemblent qu'aux connes
Et je ne suis pas bien sûr
Comme chante un certain
Qu'elles soient l'avenir de l'homme
La ville s'endormait
J'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Et vous êtes passée
Demoiselle inconnue
À deux doigts d'être nue
Sous le lin
Qui dansait
Source : LyricFind
Paroliers : Gérard Jouannest / Jacques Brel / Marcel Azzola
Paroles de La ville s’endormait
Warner Chappell Music France
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 4h
En réponse à @POTUS
DES RÉFLEXIONS SUR LE DEVENIR OÙ CHAQUE INTERPRÉTATION SE BASE SUR LES TERMES PLUS QUE SUR
LES SENTIMENTS ET LES TEMPÊTES :
LES SECOURISMES HOSPITALIERS ET MILITAIRES ONT ÉTÉ SOUMIS À DES RENDEMENTS OÙ ILS ONT SU
GARANTIR ET SAUVEGARDER LES LIBERTÉS SENTIMENTALISTES !
TAY
ORLY !!!!
Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés semble-t-il l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire "je t'aime"
Elle doit lui dire "je t'aime"
Je crois qu'ils sont entrain de ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement ils pleurent, ils pleurent à gros bouillons
Tout entourés qu'ils sont d'adipeux en sueur et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés, superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens l'exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu, c'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et maintenant ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui, lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu'ils sont, ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis, et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment lentement ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis ils se reprennent
Redeviennent un seul, redeviennent le feu
Et puis se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis en reculant
Comme la mer se retire
Ils consomment l'adieu
Ils bavent quelques mots
Agitent une vague main
Et brusquement il fuit, fuit sans se retourner
Et puis il disparaît, bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu, c'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et puis il disparaît, bouffé par l'escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'à terre
Ça y est elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là, je la suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
Source : Musixmatch
Paroliers : Jacques Romain Brel
Paroles de Orly
Les Editions Jacques Brel
compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 4h
LE COMMENCEMENT DU CHAOS EST LE COMPAGNON DE VOYAGE QUI GUIDA DIEU VERS LA CRÉATION DE LA NATURE SAUVAGE
DANS LES NOTIONS DE MATIÈRE ET DE LUMIÈRE : LA RÉALITÉ N'EST PAS LE DROIT UNIQUE DU CHAOS ET
LA MANIÈRE N'EST PAS L'ATTRIBUT DES ACTES COSMIQUES !
L'OCÉAN PRIMORDIAL EST !
TAY
EN LA POUSSIÈRE DES POÉSIES, LE CYCLE DES NATURES DÉVOILE LE DEVENIR ET LES CARACTÈRES :
AINSI LA MARRÉE SUBIT L'ATTRACTION D'UNE MATIÈRE ALORS QUE LA LUNE INFLUENCE LES TRAJECTOIRES.
LA RÉALITÉ INTERPELLE LA MÉTÉO : LES MÉTAMORPHOSES DES NUAGES SE DÉTACHENT DE L'ÊTRE DIVIN !
TAY
AU DELÀ DE MA PERSONNE DIT GIBERT DU MOTIER DE LA FAYETTE AU 4 JUILLET 1776 ET À LA NUIT DU 4 AOUT 1789
CAR LES MÉTAMORPHOSES DES NUAGES SE DÉTACHENT DE L'ÊTRE DIVIN, CELUI QUI VEUT TRANSFORMER SON AFFECTIVITÉ EN UNE CROYANCE EST EN L'ERREUR !
CAR, LE SENTIMENT EST NATUREL !
TAY
TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes, des logiciels, des robots et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE DAME AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD : ÊTRE !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini