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 QUEL EST LE POIDS DE L'ÉVÉNEMENT EN L'HORIZON DES PARTICULES

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yanis la chouette




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MessageSujet: QUEL EST LE POIDS DE L'ÉVÉNEMENT EN L'HORIZON DES PARTICULES   QUEL EST LE POIDS DE L'ÉVÉNEMENT EN L'HORIZON DES PARTICULES EmptyMar 2 Mai à 10:19

LES SYNDICATS DANS LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA LUMIÈRE !

De manière générale, pour un physicien et en relativité restreinte ou générale, le terme horizon des événements renvoie à une limite. Celle de l'univers observable. L'horizon des événements correspond à la plus grande distance que la lumière émise maintenant pourra atteindre dans le futur. Une limite au-delà de laquelle les événements ne peuvent donc pas affecter un observateur. L'Univers observable est, en cosmologie, la partie visible de notre Univers. Il est donc une boule dont la limite est située à l'horizon cosmologique et dont la Terre constitue le centre. C'est ainsi une notion relative, d'autres observateurs situés ailleurs dans l'Univers n'ont pas la même boule observable, mais une similaire de même rayon.
Du fait que notre Univers a un âge fini, de 13,8 milliards d'années, la lumière des objets célestes situés au-delà de l'horizon n'a pas eu le temps de parvenir jusqu'à nous et ces objets sont donc encore invisibles ; néanmoins, l'Univers observable s'agrandit par nature au cours du temps : le rayon de l'Univers visible est ainsi une seconde-lumière plus grand chaque seconde ou de manière équivalente une année-lumière plus grand chaque année, et ce indépendamment de l'expansion de l'Univers.

Il ne faut pas confondre horizon des événements et horizon des particules. Ce second concept renvoie à la plus grande distance à partir de laquelle de la lumière émise dans le passé peut atteindre un observateur à un moment donné. L'évolution de l'horizon des particules dans le temps dépend de la nature de l'expansion de l'univers. Ainsi des parties de l'univers pourraient ne jamais être observables. La limite au-delà de laquelle les événements ne peuvent jamais être observés est un horizon des événements. Il représente l'étendue maximale de l'horizon des particules. Les objets les plus éloignés de l'Univers observable sont également ceux qui peuvent être observés dans leur état le plus primordial, le plus proche du Big Bang, car ce sont ceux dont la lumière a mis le plus de temps à parvenir à l'observateur. Ils sont également perçus avec un décalage vers le rouge d'autant plus grand qu'ils sont éloignés. L'Univers observable est défini comme tout ce qui est observable et mesurable, et la vitesse de la lumière étant la vitesse limite, tout ce qui est situé au-delà de l'horizon cosmologique ne peut être observé ni ne peut influencer ce qui peut être observé. Le principe cosmologique, ainsi désigné à la suite d'Edward A. Milne (1896-1950), énonce que l'Univers observable est, à grande échelle, homogène et isotrope. L'Univers étant globalement identique dans toutes les directions, les rayons lumineux provenant de toutes les directions parcourent a priori la même distance dans le même temps. L'Univers observable à un instant donné est donc une boule dont l'observateur est le centre et dont le rayon est la distance parcourue par un signal lumineux pendant le temps d'existence de l'Univers à cet instant !

Pour les astrophysiciens, le terme horizon des événements appartient à l'univers des trous noirs. L'horizon des événements d'un trou noir, c'est, en quelque sorte, la surface de ce trou noir. Le point de non-retour au-delà duquel rien ne peut plus sortir. Pas la moindre particule. Pas même un rayon de lumière. Cet horizon se place en effet à l'endroit où la vitesse de libération -- la vitesse que doit atteindre une particule pour échapper à la gravitation du trou noir -- devient supérieure à la vitesse de la lumière. Comme la théorie de la relativité générale nous apprend que rien ne peut voyager plus vite que la lumière, il est impossible, donc, de voir ce qui se passe au-delà de l'horizon des événements.

En relativité restreinte et en relativité générale, l'horizon des particules à un instant donné est la limite dans l'Univers entre l'ensemble des particules qui ont été observables à un temps antérieur et celles qui ne l'ont pas été. Cet horizon est la limite de l'univers observable. Notez que si l'horizon des événements d'un trou noir est considéré comme définissant sa taille, il ne correspond pas à une véritable limite physique, matérielle comme c'est le vas des limites d'une planète ou d'une étoile. L'horizon des événements reste une limite théorique. Une limite dont la position et la forme sont définies essentiellement par la masse du trou noir et par son moment angulaire. L'horizon des événements du trou noir supermassif au centre de la Voie lactée serait ainsi situé à près de 13 millions de kilomètres de son centre.

L'horizon des particules est le pendant de l'horizon des évènements, qui détermine la limite éventuelle de la région qui peut être influencée dans le futur par un observateur situé en un endroit donné à une époque donnée. Comme l'horizon des événements ne constitue pas une frontière matérielle, rien n'empêche en revanche que matière ou rayonnement pénètre cette limite, de l'extérieur vers l'intérieur du trou noir. Cet horizon des événements cacherait, par ailleurs, la singularité nichée au cœur de chaque trou noir. La région dans laquelle toutes les lois de la physique s'affolent !

Car, En pratique, l'Univers observable s'est longtemps réduit à l'univers visible à l'œil nu. Il est aujourd'hui limité par la surface de dernière diffusion qui peut être définie, en première approximation, comme la région de l'espace d'où a été émis, environ 380 000 ans après le Big Bang, le rayonnement électromagnétique observé aujourd'hui, le fond diffus cosmologique. Son anisotropie a été cartographiée par COBE, WMAP puis Planck. Le fond cosmologique de neutrinos, prédit dès 19532 par Ralph Alpher, James Follin et Robert Herman, n'a pas été détecté. Quant au fond cosmologique d'ondes gravitationnelles, sa détection par la collaboration BICEP24, annoncée le 17 mars 2014, est contestée. D'autre part, certaines régions de l'Univers observable ne sont pas visibles. Il s'agit des régions situées au-delà de l'horizon des trous noirs astrophysiques tels que les trous noirs stellaires, résultant de l'effondrement gravitationnel d'étoiles massives, ou les trous noirs supermassifs, situés au centre de galaxie ! Les objets lointains de l'Univers observable n'apparaissent pas comme ils sont, au même temps cosmique que le moment de l'observation, mais comme ils étaient, au moment de l'émission de leur lumière. Plus les objets sont lointains, plus ils sont observés à un temps cosmique jeune ; l'objet astronomique qui apparaît aujourd’hui le plus lointain est le quasar ULAS J134208.10+092838.61, qui apparaît tel qu'il était 690 millions d'années après le Big Bang. Toutefois, au moment où il avait les caractéristiques aujourd’hui observées, ce n'était pas l'objet aujourd'hui observable le plus lointain de nous, loin de là.

L'appréciation de l'âge des objets observés par rapport au Big Bang n'est pas une chose facile et constitue la recherche du temps de regard vers le passé. Ce temps n'est pas directement observé et doit être déduit du décalage vers le rouge directement mesuré par rapport au décalage des raies spectrales du spectre électromagnétique de l'objet observé. La conversion de ce décalage en temps cosmique dépend du modèle cosmologique employé, ainsi que de la valeur de ses paramètres, qui sont souvent mal connus.

Modèles cosmologiques :

Théories !
Atome primitif Classification de Bianchi Cosmologie branaire Cosmologie cordiste Dimensions supplémentaires Espace anti de Sitter Espace de Sitter Espace de Taub-NUT Expansion de l'Univers Accélération de l'expansion de l'Univers Gravité quantique Inflation cosmique Théorie des cordes Univers de Milne

Principes !
Principe anthropique Principe cosmologique Principe cosmologique parfait Principe de Copernic Principe de médiocrité Principe de causalité

Histoire et destin de l'Univers !
Pré-Big Bang Big Bang Univers primordial Frise chronologique du Big Bang Ère de Planck Big Bounce alias Univers phénix Big Chill alias Mort thermique de l'Univers Big Crunch
Grande déchirure

Modèle standard !
Modèle ΛCDM

Modèles non-standard
Modèle cyclique Cosmologie cyclique conforme Modèle OCDM Modèle SCDM Modèles cosmologiques bi-métriques Théorie de l'état stationnaire

Paramètres !
Âge de l'Univers Constante cosmologique Constante de Hubble Énergie noire Indice spectral Matière baryonique Matière noire Paramètre de densité Réionisation

Types !
Univers d'Einstein Univers de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker Univers de Gödel Univers de Milne Univers de de Sitter Univers ekpyrotique Univers en tore bidimensionnel
Univers fractal Univers hésitant Univers mixmaster

Problèmes
Problème de l'horizonProblème de la formation des structuresProblème de la platitudeAsymétrie baryoniqueProblème des baryons manquantsProblème de la rotation des galaxiesProblème de l'accélération de l'expansion de l'Univers

Autres concepts
Courbure spatiale Densité critique Forme de l'Univers Horizon cosmologique Horizon des événements Horizon des particules Masse de l'Univers Univers observable

Non scientifique
Cosmologie religieuse Cosmogonie Créationnisme Dessein intelligent

Ce que l'on peut observer et mesurer de l'Univers en est une image, et non l'Univers tel qu'il existe au moment où il est observé. Cette image est sensiblement différente du présent, du fait que la lumière se propage à vitesse finie, et de surcroît dans un Univers en expansion, ce qui s'accompagne de certains effets :

l'Univers observable paraît fini alors que l'Univers est au moins beaucoup plus vaste et potentiellement infini ;
la lumière reçue des objets les plus lointains est décalée vers le rouge et devient de moins en moins visible et énergétique à mesure que l'objet est lointain. C'est une autre raison de la finitude de l'Univers observable ; les objets astronomiques apparaissent d'autant plus jeunes (par rapport au Big Bang) qu'ils sont éloignés ;
la distance de l'objet à l'observateur au moment où sa lumière a été émise et sa distance au moment où la lumière est reçue par celui-ci peuvent être très différentes. De plus, du fait de l'expansion de l'Univers, certains objets qui se trouvaient plus proches de l'observateur que d'autres lors de l'émission de la lumière paraissent à la réception en ordre inversé et plus éloignés [pourquoi ?]. À l'extrême, la position de la zone ayant émis le fond diffus cosmologique actuellement observable était relativement proche (environ 40 millions d'années-lumière), bien plus proche que d'autres objets observables actuellement, qui étaient plus éloignés au moment de l'émission de leur lumière ! Les objets astronomiques observés à de grands décalages vers le rouge sont, au même temps cosmique que l'observation, d'autant plus éloignés que leur décalage vers le rouge est grand. C'est la distance à la réception de la lumière, qui est plus grande que la vitesse de la lumière, multipliée par l'âge de l'objet, étant donné l'expansion de l'Univers. Nous ne pouvons pas savoir à quoi ressemblent ces objets à ce moment et à cette distance. En revanche, nous voyons ces objets tels qu'ils étaient au moment de l'émission de leur lumière, où ils étaient à une distance plus proche de l'observateur, c'est la distance à l'émission. La distance à l'émission augmente avec le décalage vers le rouge pour les petits décalages, passe par une valeur maximale, puis diminue pour les grands décalages. Dans un univers modélisé selon une métrique FLRW, le décalage vers le rouge limite, après lequel la distance à l'émission diminue est de z = 5/4 = 1,25, représentant une distance d'à peu près 5 milliards d'années-lumière12. Autrement dit, nous ne pouvons pas observer des objets qui étaient à plus de 5 milliards d'années-lumière de nous, au moment où ils étaient tels qu'ils apparaissent aujourd'hui. Le fond diffus cosmologique étant à un décalage vers le rouge très élevé, la partie de l'espace qui a généré ces photons était particulièrement proche de nous au moment de l'émission : environ 40 millions d'années-lumière.

compagnon.yanis.tignard @Yanis_Tignard · 23h
AU NIVEAU DE LA MER NOIRE, DE LA MER D'AZOZ ET DU DÉTROIT DE ISTANBUL, LA DIVERSITÉ DE L'ÉCOSYSTÈME EST REMISE EN CAUSE PAR LA POLLUTION ET LA RIVALITÉ ENTRE NATIONS !
LE PONT DE LA CRIMÉE A UN INTÉRÊT MALGRÉ L'ACTUELLE SITUATION POLITIQUE : PERCEVOIR LES LIENS ENTRE PEUPLES.
TAY

LA VALEUR DU MONDE EST BASÉ SUR LA RESPONSABILITÉ DANS SES ESPÉRANCES : LA LAÏCITÉ ET L'ÊTRE SONT DES SENS FRANÇAIS DANS LE MONDE, L'UNIVERS ET LA RÉPUBLIQUE. NOTRE RELATION DANS L'EUROPE EST DE RAPPELER SES RAISONS ET SES ORIGINES QUI SONT LE CONTEXTE POLITIQUE DE LA FRANCE.
TAY

EN CERTAINS MOMENTS, ON SAIT QUE LE MIRACLE EST LÀ MAIS QUE PERSONNE NE VEUT L'ENTREVOIR !
ALORS TEL CE BOURDON, IL S'ÉTEINT MAIS IL Y A CELUI QUI LE RAMASSE ET LUI OFFRE UNE FEUILLE COMME BARQUE EN CE VOYAGE LOINTAIN !
UN MIRACLE A UN CORPS ET UNE ÂME CAR IL EST MIRACLE.
TAY

DANS LA NUIT, LE SOMMEIL EST RÉVEILLÉ PAR LE SOUFFLE DU PAIN. CE SENTIMENT DU SOUFFLE PAR LE DEVOIR CONSTATE LE CONSTRUIT, LE COEUR ET LE CONTEXTE POLITIQUE : L'ÉCRITURE EST LA BASE DE L'ÉCONOMIE ET LE ZÉRO S'ÉGOUTTE DANS LES CHAUMIÈRES.
TAY

TÉMOIGNAGE DU
COMPAGNON TIGNARD YANIS,
LE JUGE DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER...
MINISTRE DU SECOURISME COMMUN
DE LA RÉPUBLIQUE D’ISRAËL ET DE LA COMMUNAUTÉ PARLEMENTAIRE DE LA PALESTINE,
PN 3286 de la Cour Européenne des droits de la femme, de l'enfant, de l'animal, des plantes et de l'homme,
ALIAS
TAY
La chouette effraie,
Y'BECCA EN JÉRUSALEM :
les peuples dans le l'horizon, le vent et le verbe vers l'infini, le souffle et le vivant
DANS L'ABNÉGATION DE L’ÉGIDE DE AMANDINE NIETZSCHE-RIMBAUD !
Y'BECCA EN JÉRUSALEM AVEC IN GOD WE TRUST ! Les peuples dans l'horizon vers l'infini
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